Un peu d’Histoire, récente ou moins; ça va forcément vous rappeler quelque-chose…
FDF
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Algérie… Les Québécois ont connu le même fléau…
FDF
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Source: R.S….
Je relaie ici un soutien de « Nouvelles de France » au député Christian Vanneste que l’on accuse de négationnisme un peu trop facilement… Heureusement qu’il ne porte pas le nom de « Le Pen »…
On musèle aussi l’Histoire, en France.
FDF
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Bientôt plus le droit de rire, non plus ???
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Suite au procès en sorcellerie intenté au Député C. Vanneste, qui recoit desormais le soutien de personnalités de renom, voici le message que Nouvelles de France vous propose d’envoyer en un clic aux instances dirigeantes de l’UMP et, en copie, aux députés de la majorité :
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MERCI DE FAIRE SUIVRE DANS VOS RESEAUX
Déjà reçu par mail, une fois… C’est à méditer…
FDF
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La propagande Juive a quelquefois des accents de vérité ………..
La VIE est morte à Auschwitz
Ce qui suit est une copie d’un article écrit par l’écrivain espagnol Sebastián Rodríguez Vilar et publiée dans un journal espagnol le 15 Jan. 2008.
Il ne faut pas beaucoup d’imagination pour extrapoler le message au reste de l’Europe – et, éventuellement, au reste du monde. Ce n’est guère de la propagande, les faits parlent d’eux-mêmes.
COMME VOUS LISEZ, N’OUBLIEZ PAS:
C’est dans un journal espagnol
Date: mardi 15 Janvier 2008 14:30
TOUTES LES VIES européennes sont mortes à Auschwitz
Par Sébastien Vilar Rodrigez
Je marchais dans la rue à Barcelone, et soudain je découvrais une terrible vérité – L’Europe est morte à Auschwitz ….
Nous avons tué six millions de Juifs et nous les avons remplacés par 20 millions de musulmans.
A Auschwitz, nous avons brûlé une culture, la pensée, la créativité, le talent.
Nous avons détruit le peuple élu, véritablement choisi, car ils ont produit des gens formidables et merveilleux qui ont changé le monde.
La contribution de ce peuple se fait sentir dans tous les domaines de la vie: science, art, commerce international, et surtout, comme la conscience du monde.
Ce sont les gens que nous avons brûlés.
Et sous prétexte de tolérance, et parce que nous voulions prouver à nous-mêmes que nous avons été guéris de la maladie du racisme, nous avons ouvert nos portes à 20 millions de musulmans, qui nous ont apporté la stupidité et l’ignorance, l’extrémisme religieux et le manque de tolérance, la criminalité et la pauvreté, due à un manque de volonté de travailler et de soutenir leurs familles avec fierté.
Ils ont fait sauter nos trains et transformé nos belle villes espagnoles dans le tiers monde, noyé tout dans la crasse et la criminalité.
Enfermé dans les appartements qu’ils reçoivent gratuitement du gouvernement, ils planifient d’assassiner et de détruire leurs hôtes naïfs.
Et ainsi, dans notre misère, nous avons échangé la culture pour de la haine fanatique, le savoir-faire créatif pour des compétences destructrices, l’intelligence pour le retour en arrière et la superstition.
Nous avons échangé la poursuite de la paix des Juifs d’Europe et leur talent pour un avenir meilleur pour leurs enfants, leur détermination à s’accrocher à la vie car la vie est sacrée, pour ceux qui poursuivent la mort, pour des personnes consommées par le désir de mort pour eux et les autres, pour nos enfants et les leurs.
Quelle terrible erreur a été faite par la misérable Europe …
La population mondiale est d’environ 1,2 milliard de musulmans, (un milliard deux cent millions) ou 20% de la population mondiale. Ils ont reçu le Prix Nobel suivants:
Littérature:
1988 – Najib mahfouz
Paix:
1978 – Mohamed Anwar El-Sadat
1990 – Elias James Corey
1994 – Yasser Arafat:
1999 – Ahmed Zewai
Économie:
(Zéro)
Physique:
(Zéro)
Médecine:
1960 – Peter Medawar Brian
1998 – Ferid Mourad
TOTAL: 7
La population juive mondiale est approximativement de 14.000.000, (quatorze millions), soit environ 0,02% de la population mondiale.
Ils ont reçu le Prix Nobel suivants :
Littérature:
1910 – Paul Heyse
1927 – Henri Bergson
1958 – Boris Pasternak
1966 – Shmuel Yosef Agnon
1966 – Nelly Sachs
1976 – Saul Bellow
1978 – Isaac Bashevis Singer
1981 – Elias Canetti
1987 – Joseph Brodsky
1991 – Nadine Gordimer mondiale
Paix:
1911 – Alfred Fried
1911 – Tobias Michael Carel Asser
1968 – René Cassin
1973 – Henry Kissinger
1978 – Menahem Begin
1986 – Elie Wiesel
1994 – Shimon Pérès
1994 – Yitzhak Rabin
Physique:
1905 – Adolph von Baeyer
1906 – Henri Moissan
1907 – Albert Abraham Michelson
1908 – Gabriel Lippmann
1910 – Otto Wallach
1915 – Richard Willstaetter
1918 – Fritz Haber
1921 – Albert Einstein
1922 – Niels Bohr
1925 – James Franck
1925 – Gustav Hertz
1943 – Gustav Stern
1943 – George Charles de Hevesy
1944 – Isidor Rabi Issac
1952 – Felix Bloch
1954 – Max Born
1958 – Igor Tamm
1959 – Emilio Segre
1960 – Donald A. Glaser
1961 – Robert Hofstadter
1961 – Melvin Calvin
1962 – Lev Davidovich Landau
1962 – Max Ferdinand Perutz
1965 – Richard Phillips Feynman
1965 – Julian Schwinger
1969 – Murray Gell-Mann
1971 – Dennis Gabor
1972 – William Howard Stein
1973 – Brian David Josephson
1975 – Benjamin Mottleson
1976 – Burton Richter
1977 – Ilya Prigogine
1978 – Arno Allan Penzias
1978 – Peter L Kapitza
1979 – Stephen Weinberg
1979 – Sheldon Glashow
1979 – Herbert Charles Brown
1980 – Paul Berg
1980 – Walter Gilbert
1981 – Roald Hoffmann
1982 – Aaron Klug
1985 – Albert A. Hauptman
1985 – Jerome Karle
1986 – Dudley R. Herschbach
1988 – Robert Huber
1988 – Leon Lederman
1988 – Melvin Schwartz
1988 – Jack Steinberger
1989 – Sidney Altman
1990 – Jerome Friedman
1992 – Rudolph Marcus
1995 – Martin Perl
2000 – Alan J. Heeger
Économie:
1970 – Paul Anthony Samuelson
1971 – Simon Kuznets
1972 – Kenneth Joseph Flèche
1975 – Leonid Kantorovitch
1976 – Milton Friedman
1978 – Herbert A. Simon
1980 – Laurent Robert Klein
1985 – Franco Modigliani
1987 – Robert M. Solow
1990 – Harry Markowitz
1990 – Merton Miller
1992 – Gary Becker
1993 – Robert Fogel
Médecine:
1908 – Elie Metchnikoff
1908 – Paul Erlich
1914 – Robert Barany
1922 – Otto Meyerhof
1930 – Karl Landsteiner
1931 – Otto Warburg
1936 – Otto Loewi
1944 – Joseph Erlanger
1944 – Herbert Spencer Gasser
1945 – Ernst Boris Chain
1946 – Hermann Joseph Muller
1950 – Tadeus Reichstein
1952 – Selman Abraham Waksman
1953 – Hans Krebs
1953 – Fritz Albert Lipmann
1958 – Joshua Lederberg
1959 – Arthur Kornberg
1964 – Konrad Bloch
1965 – François Jacob
1965 – André Lwoff
1967 – George Wald
1968 – Marshall W. Nirenberg
1969 – Salvador Luria
1970 – Julius Axelrod
1970 – Sir Bernard Katz
1972 – Gerald Maurice Edelman
1975 – Howard Martin Temin
1976 – Baruch S. Blumberg
1977 – Roselyn Sussman Yalow
1978 – Daniel Nathans
1980 – Baruj Benacerraf
1984 – Cesar Milstein
1985 – Michael Stuart Brown
1985 – Joseph L. Goldstein
1986 – Stanley Cohen [& Rita Levi-Montalcini]
1988 – Gertrude Elion
1989 – Harold Varmus
1991 – Erwin Neher
1991 – Bert Sakmann
1993 – Richard J. Roberts
1993 – Phillip Sharp
1994 – Alfred Gilman
1995 – Edward B. Lewis
1996 – Lu RoseIacovino
TOTAL: 129!
Les Juifs ne font pas la promotion du lavage de cerveau des enfants dans les camps de formation militaire.
Ils ne leur apprennent pas à se faire exploser et à causer le maximum de mort de Juifs et d’autres non-musulmans.
Les Juifs ne détournent pas des avions, ne tuent pas les athlètes lors des Jeux olympiques, et ne se font pas exploser dans un restaurant allemand.
Il n’y a pas un seul Juif qui a détruit une église.
Il n’y a pas un seul Juif qui proteste en tuant des gens.
Les Juifs ne font pas de trafic d’esclaves, n’ont pas de dirigeants qui appellent au Jihad et à la mort de tous les infidèles.
Peut-être les musulmans du monde devraient considérer à investir plus dans l’enseignement ordinaire et moins à blâmer les Juifs pour tous leurs problèmes.
Les musulmans doivent se demander ce qu’ils peuvent faire pour l’humanité avant d’exiger que l’humanité les respecte.
Indépendamment de vos sentiments à propos de la crise entre Israël et les Palestiniens et les voisins arabes, même si vous croyez qu’il y a plus de culpabilité de la part d ‘Israël, les deux phrases suivantes disent vraiment tout :
« Si les Arabes déposaient les armes aujourd’hui, il n’y aurait plus de violence. Si les Juifs déposaient leurs armes aujourd’hui, il y aurait plus d’état Israël ».
Benjamin Netanyahu
Le général Eisenhower nous a avertis : c’est un fait historique.
Et donc lorsque le commandant suprême des Forces alliées, le général Dwight Eisenhower a trouvé les victimes des camps de la mort, il a ordonné à prendre toutes les photographies possibles, au peuple allemand des villages environnants à visiter les camps et même, d’enterrer les morts.
Il a fait cela parce qu’il a dit des mots à cet effet :
« Rassemblez tous les dossiers et documents maintenant – saisissez les films – faites parler les témoins – parce que quelque part sur la route de l’histoire, quelques bâtards vont se lever et dire que cela n’est jamais arrivé ».
Récemment, le Royaume-Uni a débattu pour savoir s’il fallait supprimer la Shoah dans son cursus scolaire, car il « offense » la population musulmane qui affirme que cela n’a jamais eu lieu.
Ce n’est pas encore supprimé…
Cependant, c’est un signe effrayant de la peur qui paralyse le monde et combien il est facile pour chaque pays d’être paralysé par elle.
Cela fait plus de 60 ans après que la Seconde Guerre mondiale prit fin en Europe.
Cet e-mail est envoyé comme une chaîne commémorative, en souvenir des 6 millions de juifs, 20 millions de Russes, 10 millions de chrétiens, et 1900 prêtres catholiques qui ont été assassinés, violés, brûlés, affamés, battus, humiliés et ont servis de cobaye, tandis que le peuple allemand a regardé ailleurs.
Maintenant, plus que jamais, avec l’Iran, entre autres, revendiquant que l’Holocauste est « un mythe », il est impératif de s’assurer que le monde n’oublie jamais.
Cet e-mail est destiné à atteindre 400 millions de personnes.
Être un maillon dans la chaîne de mémoire et aider à distribuer ce message à travers le monde.
Combien d’années faudra-il avant que l’attaque du World Trade Center « n’a jamais eu lieu » parce qu’elle offense les musulmans des États-Unis ?
Ne vous contentez pas de supprimer ce message, cela ne prendra que quelques minutes pour le faire passer.
Merci.
Notre ami Jean-Jacques nous donne un petit cours d’Histoire. Toujours bon à savoir, tout ça… La France a toujours été convoitée par les muzz. Et ça continue. Ce sont les méthodes d’invasion qui ont changé (je n’ai pas dit « évolué). Ils ont bientôt tout essayé.
Merci JJ.
FDF
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Les invasions au Moyen âgeLes Sarrasins |
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Au Moyen âge
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Des preuves historiques irréfutables, en fait…
Si c’est ce que vous voulez revivre; moi pas.
FDF
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Très étonnant… Eux aussi ont des lois protectionnistes en faveur des musulmans. Mais ils n’ont pas non plus vu ce que va leur apporter l’islam devant lequel ils s’agenouillent: la charia.
Cette dame fait les frais de la politique de l’autruche (pas l’Autriche). C’est une des premières victimes de cette idéologie qui étend ses tentacules à tout le monde Occidental. Elle « plonge » pour une histoire de religion; alors que l’on commence enfin à se rendre compte que l’islam n’est pas une religion: c’est une idéologie barbare, sans plus. Ce qui est extrêmement plus dangereux…
Bon courage, Elisabeth; et continuez à vous défendre!
FDF
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Source: Un article de Soeren Kern sur la confirmation, par la cour d’appel, de la condamnation d’Elisabeth Sabaditsch-Wolff pour avoir dénigré l’islam. En Autriche, ceux qui dénigrent le christianisme ne sont pas poursuivis, ce qui démontre le caractère politique du procès fait à Elisabeth. La justice autrichienne s’est soumise à la charia.
Une cour d’appel autrichienne a maintenu la condamnation d’Elisabeth-Sabaditsch-Wolff, une mère de famille viennoise et militante contre le djihad, pour avoir « dénigré des croyances religieuses » lors d’une série de conférences sur les dangers de l’islam radical.
Ce jugement du 20 décembre 2011 prouve que tandis que le christianisme et le judaïsme peuvent être dénigrés en toute impunité dans l’Autriche postmoderne et multiculturelle, énoncer la vérité sur l’islam entraîne immédiatement une lourde peine judiciaire.
Malgré le fait que ce cas ait des implications énormes pour la liberté d’expression en Autriche, et dans toute l’Europe, il n’a reçu pratiquement aucune couverture dans les grands médias américains.
Les problèmes kafkaïens d’Elisabeth Sabaditsch-Wolff ont débuté en novembre 2009, lorsqu’elle a animé un séminaire en trois séances pour le Freedom Education Institute, une organisation politique liée au Parti de la Liberté Autrichien.
Un hebdomadaire socialiste sur papier glacé, intitulé pompeusement NEWS en lettres majuscules, a envoyé une journaliste incognito à cette conférence afin d’enregistrer secrètement les deux premières sessions. Les avocats de cette publication gauchiste ont ensuite envoyé les transcriptions au procureur viennois comme preuves de discours de haine envers l’islam, selon l’article 283 du code pénal autrichien (Strafgesetzbuch, StGB). Les poursuites judiciaires ont été engagées contre Sabaditsch-Wolff en septembre 2010, et le procès, présidé par un juge multiculturel mais sans jury, a commencé le 23 novembre 2010.
Cependant, dès le premier jour du procès, il s’avèra très vite que les accusations portées contre Sabaditsch-Wolff n’étaient pas aussi solides que le parquet les avaient présentées. La juge Bettina Neubauer souligna, par exemple, que seulement trente minutes de la première session du séminaire avaient été enregistrées.
Neubauer souligna également que certaines citations attribuées à Sabaditsch-Wolff étaient des apartés lors des pauses et ne faisaient pas partie du séminaire. De plus, seules quelques personnes les avaient entendues, non pas 30 personnes ou plus, soit le critère légal en Autriche pour définir une déclaration « en public ». Par ailleurs, Sabaditsch-Wolff a dit que ses commentaires n’étaient pas destinés à un forum public car le groupe restreint d’auditeurs avait été réuni exclusivement sur invitations et inscriptions au préalable.
Plus important encore, plusieurs commentaires attribués à Sabaditsch-Wolff étaient des citations qu’elle lisait directement du coran et d’autres textes théologiques musulmans. Craignant que cette farce de procès n’aboutisse à un non-lieu, la juge décida soudainement d’ajourner l’audience au 18 janvier 2011, visiblement pour se donner du temps pour écouter plus attentivement les enregistrements sur cassettes, mais aussi pour permettre au parquet d’étoffer sa cause.
Le 18 janvier, ayant réalisé que les premières accusations ne tenaient pas la route, la juge, non pas le parquet, informa Sabaditsch-Wolff qu’en plus de l’accusation de discours de haine, elle était maintenant accusée d’avoir « dénigré les symboles religieux d’un groupe religieux reconnu ». L’avocat de Sabaditsch-Wolff a immédiatement demandé que le procès soit ajourné afin que la défense prépare une nouvelle stratégie.
Lors de la reprise du procès, le 15 février 2011, la plainte pour incitation à la haine fut déboutée car la cour a conclu que les déclarations de Sabaditsch-Wolff n’avaient pas été faites de manière « provocante ». Mais Sabaditsch-Wolff fut déclarée coupable d’avoir « dénigré les croyances d’une religion reconnue par la loi», en violation de l’article 188 du code pénal autrichien.
La juge a statué que Sabaditsch-Wolf avait commis un délit en déclarant lors de son séminaire sur l’islam que le prophète musulman Mahomet était un pédophile (les paroles exactes de Sabaditsch-Wolff étaient : « Mahomet avait un penchant pour les petites filles »).
Selon le raisonnement de la juge, les relations sexuelles de Mahomet avec Aïcha, une fillette de neuf ans, ne pouvaient être considérées comme un cas de pédophilie puisqu’il est resté marié avec elle jusqu’à son décès [âgé de 63 ans]. Par conséquent, Mahomet n’avait pas un désir exclusif pour les petites filles car il était également attiré par des femmes adultes puisque Aicha avait 18 ans lorsque Mahomet décéda.
La juge a condamné Sabaditsch-Wolff à verser une amende de 480 euros (625 dollars) ou à une peine alternative de 60 jours de prison. De plus, elle doit payer tous les frais du procès. L’amende peut sembler légère (elle représente une pénalité journalière de 4 euros pendant 120 jours, parce que Sabaditsch-Wolff est mère de famille et n’a pas de revenus), mais elle aurait été beaucoup plus lourde si Elisabeth avait eu des revenus.
Sabaditsch-Wolff a fait appel de cette condamnation auprès de la cour d’appel provinciale de Vienne (Oberlandesgericht Wien), mais cet appel a été rejeté le 20 décembre 2011. La cour a déclaré qu’Elisabeth irait en prison si l’amende n’était pas payée dans les six prochains mois. Elle a décidé de porter l’affaire devant la Cour européenne des droits de l’Homme à Strasbourg.
Après le procès, Elisabeth a déclaré que sa condamnation représentait « une journée noire pour l’Autriche ». La Fédération des universitaires de Vienne (Wiener Akademikerbund) a déploré le fait que ce jugement représente « une justice fondée sur la politique et les sentiments » et marque « la fin de la liberté d’expression en Autriche ».
Sabaditsch-Wolff n’est pas la seule Autrichienne à avoir eu des démêlés avec la justice à cause des lois liberticides de son pays. En janvier 2009, la politicienne et députée Susanne Winter a été condamnée pour le « crime » d’avoir affirmé, en faisant référence au mariage de Mahomet et Aicha, que « de nos jours, Mahomet serait considéré comme un pédophile ». Winter a également été condamnée pour « incitation à la haine » pour avoir déclaré que l’Autriche fait face actuellement à un « tsunami d’immigration musulmane ». Winters fut condamnée à payer une amende de 24 000 euros (31 000 dollars ) et à une peine de prison de trois mois avec sursis.
Soeren Kern est «Senior Fellow» pour les relations transatlantiques au groupe madrilène «Grupo de Estudios Estratégicos/Strategic Studies Group».
Source : « A Black Day for Austria », par Soeren Kern, Hudson NY, 26 décembre 2011. Traduction par Capucine pour Poste de veille
En fait, « ils » ont fait comme ils le font encore: tout s’approprier… Sans honte ni vergogne.
FDF
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N.B.: nombreux sont ceux qui mettent en doute l’existence même leur prophète, leur CORAN, livre de la haine, etc, etc…
La civilisation arabe par Freya von Asgard |
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La plupart des historiens s’accordent à assimiler la civilisation arabe à la civilisation islamique, puisque pendant la “période de l’ignorance” antérieure à Mahomet les Arabes , à l’instar des peuples africains noirs, avaient une littérature orale. Nous la ferons donc commencer en 622, année de l’Hégire. Au cours de leur très complexe histoire les Arabes , à plusieurs reprises et en maints endroits, ont , d’un point de vue civilisationnel, d’une part contribué à détruire l’unité de l’ancienne civilisation romaine dans le bassin méditerranéen, d’autre part bénéficié , et fait bénéficier les peuples conquis, d’une remarquable civilisation : Mésopotamie et Turkestan aux X° et XI° siècle, Egypte et Espagne au XII° . Mais cette civilisation n’était en rien originale , elle ne fut jamais que l’adaptation des civilisations byzantines et persanes dans la cadre historique que venait de bouleverser l’islamisme. Dans le domaine intellectuel ( mathématiques , astronomie, alchimie , médecine , philosophie ) les Arabes ne se montrèrent jamais que les disciples des Hindous, des Persans, des Grecs alexandrins, et ce avec un bonheur inégal, se bornant en général à compiler . De même en art, les Arabes empruntèrent les coupoles à la Mésopotamie, à Byzance et à la Perse, et les arcs en plein-cintre à Rome.Les chiffres de “un” à “neuf” ont été inventés au IVe siècle avant notre ère.
Une autre affabulation récurrente est la civilisation de la péninsule ibérique par les musulmans : dans l’Espagne des Wisigoths , les monastères regorgaient de textes anciens latins et grecs recueillis du temps de l’Empire Romain et laissés sur place , et les clercs n’y eurent jamais besoin de l’aide de quelques “Arabe” que ce soit _ tel le calife Al Mansour qui au IX° siècle fit brûler par milliers les manuscrits antiques de la Grande Bibliothèque de Cordoue ! Car si les Arabes perpétuaient d’une certaine façon l’Antiquité classique , il n’en demeure pas moins qu’ils furent bien plus des dépositaires que des créateurs de culture . Or qui avait fondé les prestigieuses civilisations dont ils reprirent les créations? Les Aryens _ du terme sanskrit ārya (avestique, airya) signifiant « excellent, honorable, noble ». _ ces populations de langue indo-européenne qui, vers la fin du IIIe millénaire avant l’ère chrétienne, s’établirent sur le plateau iranien pour pénétrer ensuite dans le Pendjab entre les ~ xviiie et ~ xve siècles, et qui n’étaient autres que les blonds Hyperboréens, mes ancêtres, qui bâtirent au fil des millénaires les plus puissantes civilisations que connut l’Antiquité, y compris l’Héllène : Homère ne décrit-il pas les principaux guerriers grecs de l’Illiade comme blonds? Et les Troyens étaient des Boréens (des Européens) de même race que leurs adversaires grecs, les Achéens “à la chevelure blonde”, également appelés Argiens (originaire d’Argolide) ou Danéens (descendants du mythique Danaos)
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Un PPS plein d’enseignement et qui va j’espère faire ouvrir les yeux à pas mal de monde…
FDF
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Lu sur Saphirnews:
La Finlande a introduit des manuels sur la religion musulmane et les traditions islamiques dans les écoles publiques du pays. Une manière pour les autorités de mieux faire comprendre l’islam aux jeunes générations et de lutter contre les préjugés qui mine la communauté musulmane en Europe. Le pays, qui compte 5,2 millions de personnes, abrite près de 50 000 musulmans sur une population.
Un des livres, intitulé «Salam – islamin polku» («Salam – le chemin de l’islam») et conçu pour des élèves de primaires, enseigne également aux jeunes finlandais les autres religions et l’importance de la tolérance en islam, rapporte le site Onislam. De nouveaux manuels pour des élèves plus âgés sont en cours de rédaction.
«Le statut de l’islam comme une religion minoritaire se reflète dans le fait que les histoires enseignent également comment il est possible de vivre avec d’autres personnes même si la religion et les coutumes sont différentes», a déclaré Suad Onniselka, un des auteurs de l’ouvrage.
En parallèle, le gouvernement finlandais projette de lancer une formation pour les imams du pays. «Il est important que les membres de la communauté musulmane, comme ceux des autres religions, aient des liens étroits avec la société finlandaise, sa langue et sa culture», a déclaré l’archevêque Kari Makinen, le chef de l’Église luthérienne, ajoutant que cela permettra aux musulmans de se sentir vraiment chez eux en Finlande.
Source: http://www.islamisation.fr/
Une bien belle histoire…
FDF
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J’aime beaucoup la conclusion...
Dans un zoo californien, une tigresse a donné naissance à 3 petits.
Malheureusement, à cause de complications liés à la grossesse et de leur naissance prématurée, les tigrons sont morts peu après leur venue au monde.
La mère qui s’était bien remise de son accouchement à soudainement commencé à aller plus mal, bien que les vétérinaires la trouve physiquement en bonne santé.
Ils ont diagnostiqué une dépression liée à la perte de ses petits et se sont dit qu’ils devaient trouver des bébés tigres orphelins pour améliorer son état.
Après avoir vérifié dans tous les états à travers le pays, il s’est avéré qu’aucun bébé tigre ne pourrait être placé auprès de la mère en deuil.
Les vétérinaires ont alors essayé quelque chose que personne n’avait jamais tenté auparavant dans le cadre d’un zoo. Il arrive que parfois une mère d’une espèce prenne soin des petits d’une autre espèce.
Les seuls bébés disponibles rapidement étaient des porcelets sevrés.
Les employés du zoo et les vétérinaires ont déguisé les porcelets avec des peaux de tigre et placé ceux-là autour de la maman tigre, se demandant s’ils allaient être acceptés ou se transformer en côte de porc?
Regardez… vous n’allez pas en croire vos yeux !!!
Maintenant, dites-moi pourquoi le reste du monde n’arrive pas à vivre en harmonie ?
Merci à JC…
L’amour de la France et des Français…
Ce billet est spécialement dédié à tous les algériens de France qui n’ont cesse de m’insulter ici sur tout ce qui concerne la « colonisation » de leur foutu patelin et qui prennent ça pour excuse pour commettre toutes sortes d’exactions sur NOTRE territoire; et qui aussi pratiquent un racisme anti-blanc exacerbé. En général, on les nomme des « jeunes »: ceux-là même qui brûlent nos voitures, insultent nos filles, compagnes, épouses et mères, tirent avec des armes à feu sur nos policiers et que l’on retrouve souvent aux guichets des Allocs ou autres.
Donc, sous forme de PPS, je leur offre une leçon d’Histoire, en souhaitant qu’ils sachent lire…
FDF
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Ici: Algerie_colonisee
« Je » vous ai déniché un peu de lecture pour ce mois d’août…
FDF
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Par Pierre Tucoo-Chala
Version de Poche
Paru le 13/05/2000 (1ère édition juin 1994)
Editeur J & D, 18 rue de Folin, 64200 Biarritz
ISBN 2-84127-158-7
EAN 9782841271580
203 pages (11cm x 17cm x 1,6cm / 210 g)
Prix public : 11,43 €
Ce livre raconte un grand moment de l’histoire des Pyrénées et de la France méridionale. Il commence au XIe siècle avec le grand effort de l’Occident pour se dégager de l’emprise de l’Islam, effort symbolisé par la figure du vicomte de Béarn, Gaston le Croisé, qui entra dans Jérusalem puis dans Saragosse. Sa vie a un parfum d’épopée comme celle de son contemporain, le Cid Campeador. L’histoire s’achève au XIIIe siècle dans le sang versé lors de la bataille de Muret, point culminant de la terrible crise que fut la Croisade des Albigeois. Pierre Tucoo-Chala est agrégé de l’Université et Docteur ès lettres. Eminent médiéviste, il enseigna à la Faculté des Lettres de Bordeaux, puis contribua à la création de l’Université de Pau et des Pays de l’Adour, dont il est professeur émérite. |
Existe aussi en version normale (24 x 15,6 x 2,8cm) :
Cette édition est disponible, neuve, chez l’éditeur ATLANTICA-Séguier.
Pour acheter d’occasion, voir les liens vers les libraires et bouquinistes en fin d’article.
(En gris clair sont indiqué les pages qui ne figurent pas dans l’édition de poche)
Préface
Bibliographie
Islam ibérique, Pyrénées et Aquitaine vers la fin du Xl° siècle
– Les grandes aires de civilisation
– Al-Andalus
– Aragon chrétien et musulman
– La formation de la vicomte de Béarn
– Les premiers chocs
– L’œuvre de Sanche-Ramirez d’Aragon
– La prise de Huesca par Pierre l » d’Aragon
Gaston de Béarn, un croisé exemplaire
– La prédication de la Première Croisade
– De Morlàas à Constantinople
– Le Proche-Orient vers la fin du XI° siècle
– Les forces en présence de Constantinople à Antioche
– La prise de Jérusalem à la bataille d’Ascalon et au retour de Gaston le Croisé
Gaston le Croisé et Alphonse le Batailleur à l’assaut de Saragosse
– Gaston le Croisé en Béarn
– La fin du règne de Pierre l » d’Aragon
– Les débuts d’Alphonse le Batailleur
– Premières interventions de Gaston de Béarn en Aragon
– Siège et prise de Saragosse
– La convention de capitulation
Le temps des chevauchées : victoires, défaites et morts
– La prise de Tudèle
– La bataille de Cutanda et ses conséquences
– Les chevaliers de Monréal et de Belchit
– La chevauchée andalouse
– La mort de Gaston le Croisé
– Fraga et la mort d’Alphonse le Batailleur
– Eglise militante, église triomphante
Béarn et Aquitaine entre les Couronnes de France, d’Angleterre, d’Aragon au temps de l’Espagne Almohade
– La succession du Batailleur
– La maison de Barcelone
– L’achèvement de la reconquête dans le bassin de l’Ebre
– L’hommage des Béarnais à l’Aragon : Canftanc
– Les premiers conflits autour de Toulouse
– L’hommage de Huesca
– Une grande famille catalane : les Moncade
Droit et société au temps des Fors de Béarn
– Chronologie des Fors de Béarn
– La noblesse en Béarn
– La paysannerie libre en Béarn
– Violences et procédure
– Les chemins vicomtaux et le droit
Les chemins de Saint-Jacques et l’intégration des Pyrénées-Occidentales dans l’Europe
– Les itinéraires dans Adour-Pyrénées
– Sainte-Christine du Somport
– Un réseau d’accueil en Béarn
– Notre-Dame de Roncevaux
– Chapitres de chanoines et confréries
– Marchands et colons
– Les débuts de l’art roman dans les Pyrénées-Occidentales : chronologie
– Un relais en Béarn : Lacommande d’Aubertin
– Influences stylistiques complexes : de la cathédrale de Lescar à celle d’Oloron
– Archéologie et géologie
Le temps de la Croisade contre les Almohades et les Albigeois (1196-1229)
– Pierre II d’Aragon en lutte sur deux fronts : Las Navas de Tolosa
– Triomphe et mort de Pierre II : Muret
– La politique de Guillaume-Raymond de Moncade
– L’assaut contre les Baléares et la mort de Guillaume II de Moncade
– Vers une nouvelle Europe
– Bibliographie Dans le véritable océan de livres suscité par l’hérésie Cathare et la croisade des Albigeois, il suffit renvoyer au travail de Michel Roquebert, L’épopée cathare, Toulouse, Privat, 4 volumes publiés de 1970 à 1989. Sur les rapports entre les Chrétiens et les musulmans qui eux aussi ont fait l’objet de multiples ouvrages, la meilleure synthèse à la portée des non-spécialistes est celle de Joseph Pérez dans l’Histoire, n°137 « Chrétiens, Juifs et Musulmans en Espagne, le mythe de la tolérance religieuse, VIIIe-XVe siècles »
Légende, littérature et histoire
– Le destin posthume de Gaston le Croisé
– Le souvenir des Moncade
– L’oliphant de Gaston de Béarn
– La vocation ibérique du Béarn
Tableaux généalogiques simplifiés
Table des illustrations en couleur hors-texte
Table des cartes et plans
Table des illustrations et documents dans le texte
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Extraits…
Préface
En 1096, un obscur chevalier pyrénéen, Gaston, vicomte de Béarn, chevauchait vers Jérusalem d’où il revint chargé de gloire avec le surnom de le Croisé, pendant que Pierre Ier d’Aragon transférait sa capitale de Jaca à Huesca dont la prise marquait la sortie de ce royaume chrétien de son petit réduit pyrénéen. Ainsi commençait la reconquête sur l’Islam de toute la vallée de l’Ebre de Tudèle à Tarragone. En 1229, un autre vicomte de Béarn trouvait la mort en débarquant dans l’île de Majorque dont l’occupation paracheva la victoire de la Couronne d’Aragon née, en 1134, grâce à l’union du royaume d’Aragon et de la principauté de Barcelone devenue la Catalogue.
Mais peu avant, entre 1212 et 1214, le sort de l’Occident, et plus particulièrement du monde pyrénéen et de la France méridionale, avait basculé pour des siècles. En 1212, à la bataille de las Navas de Tolosa, celui de l’Islam ibérique avait été scellé, sa défaite impliquant son élimination à terme. En 1213, à Muret, Simon de Montfort avait mis fin au grand projet d’un État multiforme, à cheval sur les Pyrénées, sous la houlette de la monarchie aragonaise. En 1214, les victoires des troupes de Louis de France et de Philippe Auguste à La Roche aux Moines et à Bouvines, annonçaient que les Capétiens seraient les grands bénéficiaires de cette redistribution des cartes au pied des Pyrénées.
En effet, la politique définie par Gaston le Croisé avait conduit le Béarn ainsi que la Bigorre à basculer de l’espace gascon dans l’espace ibérique. L’achèvement de la conquête des pays de l’Èbre donnait à la Couronne d’Aragon une puissance telle qu’elle avait conçu un nouveau grand dessein : absorber les pays du piémont pyrénéen nord, de ce Béarn et de cette Bigorre dont ils avaient le contrôle jusqu’à leurs possessions du Roussillon et de la Cerdagne. Trop souvent ce moment décisif dans l’histoire de la formation de la nation française est abordé de façon fragmentaire, dans des chapitres distincts : ici, la Reconquista, là, la Croisade des Albigeois alors qu’il faut rétablir leur continuité dans le cadre géographique des deux versants des Pyrénées.
C’est en quelque sorte l’objet de ce livre, dans une perspective historique définie dès 1951 par Charles Higounet dans un article intitulé « Un grand chapitre de l’histoire du XIIe siècle. La rivalité des maisons de Toulouse et de Barcelone pour la prépondérance méridionale ». Il écrivait ceci : « Entre les lignes de force que dessinent sur la carte de l’Europe les grands courants d’événements politiques du XIIe siècle… l’histoire générale a fait de l’aire définie à ses extrémités par la Gascogne toulousaine et les Alpes provençales, une sorte de zone morte… Les progrès des Capétiens et la résistance à l’hégémonie anglaise d’un côté et la reconquête ibérique de l’autre sont devenus des grands chapitres de l’histoire de France et de l’histoire d’Espagne, parce qu’en réussissant ils se sont inscrits dans les cadres, aujourd’hui atteints, de l’unité française et de l’unité espagnole. Au XIIe siècle, unité française et unité espagnole, n’avaient aucun sens. Toulouse tournait le dos à la « France » ; Barcelone participait à peine à la Reconquête. Face à face, les deux maisons rivales, la seconde surtout, ont visé à constituer, de la Garonne à l’Ebre et à la Provence, un « Etat » pyrénéen et méditerranéen. Cet État était alors, semble-t-il, une « possibilité » pas plus absurde qu’une autre. »
En cette fin du XXe siècle, où la constitution d’une Europe occidentale redonnant aux Pyrénées la mission d’unir — comme au Moyen Age — et non de séparer deux espaces géographiques, où la monarchie espagnole a donné naissance aux régions autonomes d’Aragon et de Catalogue, pendant que la régionalisation française faisait naître une Aquitaine et un Midi-Pyrénées, il n’est probablement pas inutile de revenir sur ce chapitre par trop méconnu.
Entre la fin du XIe siècle et le début du XIIIe siècle, cette histoire méridionale à cheval sur les deux versants des Pyrénées, s’inscrit dans un contexte plus général qui est celui de l’essor de l’Occident, avec la constitution d’un nouveau type d’organisation sociale basé sur des liens personnels, des serments d’hommages, l’octroi de fiefs, bref ce qu’il est convenu d’appeler la société féodale qui se développe dans une ambiance commune, chrétienne, définie tant par la lutte contre l’Islam que par l’apogée d’ordres monastiques internationaux comme Cluny et Citeaux. Cette évolution n ‘empêchait pas, de surcroît, la consolidation de « monarchies féodales » dont le royaume de France est le meilleur exemple. C’est alors que se façonne la figure légendaire du chevalier, animé par un esprit chevaleresque. Un personnage comme Gaston de Béarn, le Croisé, peut en apparaître comme le type achevé au moment même où s’élaboraient les gestes épiques de Roland et du Cid.
Tenter de reconstituer cette histoire pour la mettre à la portée de lecteurs qui ignorent tout de ce passé est tâche délicate. Sans parler de la recherche des documents d’archives et des chroniques, bien plus abondantes sur le versant ibérique que sur le versant français, nous avons bénéficié des travaux de nos prédécesseurs auxquels nous tenons à rendre dès maintenant hommage, avant de signaler leur contribution dans des orientations bibliographiques à la fin de chaque chapitre.
Merci à LCPEA…
Cliquez sur le lien et bonne lecture. Ceux qui arriveront au bout auront droit à une photo de Martine Aubry dédicacée (en français encore, profitez-en)…
FDF
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Source: http://www.atheisme.org |
La Turquie dans l’UE, ce n’est pas pour demain (en principe). Et pourtant, ce n’est pas sans compter les « efforts » de la part de Erdogan et de ses potes. On va bien finir par les laisser entrer, un jour. Et 80 millions de musulmans se seront infiltrés en Europe; d’un seul coup. Et là… Je ne préfère plus être de ce monde pour les « accueillir ». Et j’ai peur pour mes descendants.
En attendant, un peu d’Histoire.
FDF
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Si on ne se préoccupe que de l’immédiat, la crise monétaire et institutionnelle de la construction bruxelloise éclipse, presque légitimement, la préoccupation qui devrait s’imposer comme essentielle pour le continent européen : son problème identitaire. De la sorte cette situation éloigne la question turque des centres d’intérêts de la bulle médiatique. Ιl faut cependant tirer les leçons du scrutin du 12 juin dans ce grand pays voisin. Aux yeux de la plupart des commentateurs agréés, le succès du parti AKP actuellement au pouvoir consolide et confirme le caractère démocratique de cette nation. De la sorte elle ne peut que paraître encore plus éligible à l’Union européenne.
Jusqu’ici la plupart des arguments avancés en faveur de cette candidature pouvaient s’appliquer à la Chine, que personne ne songerait pourtant à admettre au sein de l’ensemble bruxellois (encore que). Avec des élections libres en Anatolie, une chose devient certaine, Pékin n’entrera pas avant Ankara. On se console comme on peut.
À vrai dire, depuis 1946 ce pays vit effectivement sous le régime du multipartisme. Mais jusqu’à une date très récente, son système effectif de gouvernement compensait cette louable pratique démocratique d’une propension de l’armée à riposter par des coups d’État aux situations politiques qui lui déplaisaient.
Ainsi doit-on rappeler que le 27 mai 1960 une conjuration militaire allait renverser le gouvernement légalement élu du parti démocrate. Le chef du gouvernement Adnan Menderes fut alors condamné à mort et exécuté le 16 septembre 1961 en compagnie de son ministre des Affaires étrangères et de son ministre des Finances. En octobre de la même année le général Gürsel que les putschistes avaient propulsé à la tête de l’État rendit le pouvoir aux civils. Le 12 mars 1971 le chef d’État-major, la général Tagmarc adressait un mémorandum au premier ministre Demirel pour imposer « dans le contexte des principes démocratiques (sic) un gouvernement fort ». Il s’agissait de mettre un terme à une violence grandissante entre nationalistes et marxistes. Après une « franche explication » de 3 heures le chef du parti démocrate dut se rendre aux arguments toujours si convaincants de cette armée si républicaine. Dans des conditions comparables, le 12 septembre 1980 le général Evren s’empara du pouvoir. Plus tard, il fera rédiger une constitution aujourd’hui encore en vigueur, – mais qu’on se propose de réviser radicalement désormais. Jusque-là ce genre de scénario recevait l’approbation des Etats-Unis, et plus discrètement d’Israël. On appelait cela défense de la démocratie, de la laïcité et des valeurs occidentales.
Tout change à partir de la fin des années 1990 où la réislamisation de la Turquie, constante depuis la guerre, se traduit ans les urnes. Rappelons que dans ce beau pays, une fraction grandissante de la jeunesse est scolarisée dans des écoles dites « imam-hatip », dont « soixante pour cent de leur programme est de l’éducation normale, 40 % est islamique ». (1) Mécaniquement dès 2004 (le gouvernement AKP datant de 2003) leurs élèves ont commencé à vouloir pénétrer l’université ce qui inquiétait fortement l’armée. (2)
Entre-temps celle-ci avait remporté son dernier vrai succès avec le « coup d’État post-moderne » du 28 février 1997 forçant sans heurt à la démission le vieux chef islamiste Erbakan, qui était devenu chef d’un gouvernement de coalition à la suite de la première poussée électorale de son parti.
Celui-ci fut dissous. Mais il réapparut sous une forme désormais « modérée ». Dans la belle et forte carrière du nouveau chef l’actuel premier ministre Recep Tayyip Erdoğan, on insiste trop peu sur son origine d’ancien élève du lycée immam-hatip. Pourtant lorsqu’en 2009 il rend visite à ses frères pakistanais et à son ami iranien (3) il ne manque pas de s’en glorifier. Dès l’âge de 16 ans, ce garçon plein de talent avait été appelé dans son lycée coranique à remplacer le prédicateur.
On entend d’ailleurs rappeler assez souvent qu’il a connu la prison pour avoir clamé un poème qui, au fond, une fois traduit en français, pourrait sembler, en apparence du moins, plus anodin qu’on ne cherche à le dire. « Les mosquées seront nos baïonnettes »… Cela peut éventuellement s’entendre à double tranchant. Mais, dans mon petit livre sur la Question Turque(4)j’explique la véritable dimension de cette affaire, eu égard en particulier à la question arménienne. Bref, il ne s’agit pas seulement d’un ex martyr de la liberté d’expression.
Depuis 2003, cet habile démagogue a réussi à tromper l’Europe sur son alliance avec les libéraux. On communique très peu sur le fait qu’il emprisonne, accuse, poursuit en justice des journalistes. Même Ahmet Altan le directeur de Taraf, bête noire, on hésitera ici à le qualifier de tête de Turc, des militaires kémalistes, et qui avait semblé un de ses soutiens se voit attaqué par le très susceptible et colérique premier ministre.
En avril 2007 éclate une affaire, d’ailleurs obscure, qui va commencer à marquer le recul du pouvoir militaire et des réseaux de pouvoir arque boutés sur la laïcité théorique de l’État. On pense que l’Armée aurait cherché, via des données figurant sur le site internet de l’État-major, à entreprendre une nouvelle épreuve de force. Plus de 10 ans sans putsch cela commençait à bien faire. Échec, nous affirme-t-on, la conjuration est éventée. Les comploteurs ont été mis sous les verrous, inculpés, poursuivis, dénoncés au grand jour, etc.
Or depuis lors, une à une, toutes les épreuves entre le camp laïc, militaire, judiciaire et économique et le camp gouvernemental islamique ont tourné en faveur ce ce dernier, au profit du parti AKP, de son chef Erdogan et de son compagnon fidèle Abdüllah Gül, président de la république. Y compris ce dernier scrutin aux résultats presque décevants puisque, malgré son succès, l’AKP devra composer avec les autres partis pour réformer la constitution. Accessoirement on constatera sur la carte que nous publions ci-dessus que les taches rouges correspondent aux départements où les laïcs l’emportent: cette zone correspond à la Turquie occidentalisée, celle que fréquentent les Européens. Une toute petite tache bleue, à la lisière du Caucase marque le dernier département « tenu » par les nationalistes qu’on avait imaginé éliminé en fabriquant des affaires de mœurs contre ses dirigeants, mais qui demeurent au parlement. Les taches vertes marquent la victoire du parti kurde. Faut-il commenter le caractère géographique de cette situation politique ?
Si régulière qu’on puisse l’enregistrer, la troisième victoire électorale en ce beau mois de juin des islamiques au pouvoir à Ankara nous semble d’abord entériner la lente dérive de ce pays vers l’identité musulmane, vers la solidarité islamique et la reconstruction de l’espace ottoman. Naturel, dira-t-on peut-être. Mais aussi de plus en plus incompatible avec l’appartenance à l’Europe, voilà ce qu’on doit se borner à constater.
JG Malliarakis
Apostilles
Source: http://www.insolent.fr/
Allez. Un peu d’Histoire…
FDF
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José CASTANO
« Le souvenir est un honneur, oublier serait une honte » (Devise du « Souvenir Français »)
« Les affronts à l’honneur ne se réparent point » (Corneille – Le Cid)
– Pour visionner la vidéo sur cette tragédie et consulter les photos – cliquez sur : MERS EL KEBIR 3 Juillet 1940
… et également sur : Mers-El-Kébir
Source: José Castano
On retrouve, dans cette vidéo (en anglais, mais nul besoin de traduire, je pense…) une étude des similitudes entre l’idéologie du Nazisme et et celle de l’Islamisme. Pour le moins étonnant.
FDF
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Eh ben, on a eu chaud…
FDF
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On trouve en ce moment dans les bacs de la Fnac, rayon Histoire, la réédition des mémoires d’Albert Speer, architecte en chef du despote criminel.
Speer, intime parmi les intimes, raconte entre autre dans son livre, le point de vue de son maître sur la religion, les musulmans, l’islam et le christianisme.
Page 138, on peut lire le passage suivant :
L’image que Hitler se faisait de l’Eglise officielle apparaissait clairement dans ces propos que lui aurait tenus une délégation de notabilités arabes dont il faisait sans cesse état :
Quand, au VIIIème siècle, auraient déclaré ces visiteurs, les musulmans avaient voulu envahir l’Europe centrale en passant par la France, ils avaient été battus à la bataille de Poitiers. Si les arabes avaient gagné la bataille, le monde entier serait aujourd’hui musulman. Ils auraient en effet imposé aux peuples germaniques une religion dont le dogme, propager la foi par l’épée et soumettre tous les peuples à cette foi, était comme fait pour les Germains… Les conquérants n’auraient pas pu se maintenir contre les indigènes plus vigoureux et habitués à la rudesse de cette nature où ils avaient grandi, si bien que, pour finir, ce ne sont pas les Arabes mais les Germains, convertis à la foi musulmane, qui auraient été à la tête de cet empire mondial islamique.
Hitler avait l’habitude de conclure ce récit par la déclaration suivante : » nous avons la malchance de ne pas posséder la bonne religion… La religion musulmane serait bien plus appropriée que ce christianisme, avec sa tolérance amollissante… » Le livre ici
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– Critiquer la religion n’est pas un délit
– Critiquer l’islam n’est pas un délit
– Critiquer l’islam n’est pas raciste car l’islam n’est pas une personne
– Critiquer l’islam est un devoir
– C’est l’inhumanité de l’islam qui témoigne de son origine humaine
– Que chacun pratique sa religion dans son espace privé pour ne pas l’imposer à l’autre, directement ou indirectement. Aujourd’hui, nous ne sommes plus dans cet état d’esprit. Il faut donc remettre les choses à leur place. Le plus tôt sera le mieux.