Francaisdefrance's Blog

08/03/2012

L’islamisation de l’Espagne…

Un peu d’Histoire, récente ou moins; ça va forcément vous rappeler quelque-chose…

FDF

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06/03/2012

Manipulations…

Algérie… Les Québécois ont connu le même fléau…

FDF

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« Notre récent envoi relatif aux circonstances de l’abandon de l’Algérie nous a valu un abondant courrier dont quelques bordées d’injures, preuve que nous avions visé juste.
 
La réaction de FFI-Québec, que nous diffusons, est intéressante: Nos cousins d’Amérique ont subi, trois siècles avant les Pieds-noirs, une tragédie d’ampleur comparable.  Les anticolonialistes de l’époque considéraient déjà que les « quelques arpents de neige » (Voltaire dixit) du Canada français ne méritaient pas d’être défendus. Ce n’était pas rentable!
 
Le rôle joué par les services spéciaux US dans l’abandon de l’Indochine et de l’Algérie est connu. Les mêmes ont réinstallé l’Islam dans les Balkans, avec l’appui de leurs supplétifs de l’OTAN (Français et Canadiens compris). Ils courtisent aujourd’hui les « minorités visibles » dans nos banlieues. L’objectif demeure le même:  nous supplanter outre-mer puis réduire la France et l’Europe à la situation d’ espace économique ouvert, indifférencié, sans culture ni identité propres, où l’anglosphère et la finance apatride dont elle est complice pourront se donner libre cours.

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—– Original Message —–
From: FFI-Québec
To: xxxxxxxxxxxx
Sent: Friday, March 02, 2012
Subject: Re: Anniversaire

Merci pour cet envoi. C’est très apprécié.
De tels documents sont nécessaires.
 
Ce que je trouve qui manque le plus c’est des analyses sur le rôle des services secrets de l’anglosphère qui ont aidé les groupes rebelles en Algérie pour supplanter la France en Afrique.
À cette époque je voyais souvent dans la presse anglaise du Canada des nouvelles provenant soit de UPI, Reuters, AP qui faisaient état de la préférence des services secrets américains ou britanniques pour tel ou tel chef rebelle et de leurs projets pour armer et financer l’un d’entre eux plutôt qu’un autre. On hésitait pas à dire avoir plus confiance à un tel plutôt qu’à un autres.
 
De plus, l’URSS était aussi impliquée sur place tout comme les américains, et il arrivait qu’un chef rebelle passait du soutien de l’URSS au soutien américain et vice-versa.
 
Cela me rappelle aussi la présence des services secrets américains en Indochine durant la deuxième guerre qui manoeuvraient pour empêcher la France de reprendre le contrôle de l’Indochine après la guerre (Voir Histoire d’une paix manquée de Jean Sainteny).  Cela a abouti à la partition du Vietnam.

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Un fait bien documenté est que la majorité des premiers agents professionnels de l’OSS (ancêtre de la CIA) étaient des membre du Military Intelligence britannique prêtés au gouvernement des USA parce qu’ils étaient canadian et parlaient sensiblement la même langue que les américains.
 
La particularité de ces agents canadian (comme tous le bons anglophones du Canada) était leur mépris historique le plus total pour tout ce qui était français. Ce n’est donc pas étonnant que les services secrets américains aient comploté contre la France en Indochine et en Algérie.
 
François Gauthier »

Source: R.S….

01/03/2012

HOLLANDE ( l’inculture ) et l’ ALGERIE…

Soumission, repentance, pardon; François Hollande s’y met aussi concernant le « problème » Algérien… C’est dément où ça mène, la chasse aux voix, pour accéder à la présidence de la France.  On y sacrifierait même des Français, des vrais…

Ci après un courrier reçu par mail… Qui devrait faire réfléchir son destinataire, en principe. Mais faut pas rêver. Quand le ver est dans le fruit…

FDF

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Honteux !! Un peu d’Histoire que diable !

La France devrait, selon vos dires, Monsieur Hollande, demander pardon… vous rigolez ou quoi….!!!
Monsieur Hollande, la  France devrait, selon vos dires « … / / commencer d’abord par reconnaitre et faire repentance pour ces crimes et enfumages qu’elle a perpétrés en Algérie » ! ! !

Connaissez-vous vraiment le sujet ?
Votre propos ressemble, à s’y méprendre, à ceux tenus par un « fruit des urnes » des primaires socialistes, selon lequel il serait temps, je le cite : « que la France présente ses excuses pour les 132 ans de colonialisme en Algérie ! ! ! »

Ce monsieur, pur produit formaté dans l’une des fermes modèles de la fonction publique, qui avoue ne jamais lire un livre…. et donc à fortiori un livre d’histoire, …… n’aura rien de plus urgent à faire après son hypothétique accession à la présidence de la République Française, que d’aller humilier notre pays en allant s’agenouiller devant un homme, que Pierre Messmer accusa d’avoir planifié en 1962 le massacre des harkis, et… pour lui demander pardon ! ……

PARDON DE QUOI ?

Pardon d’avoir débarqué en 1830 à Sidi-Ferruch pourchasser le colonisateur ottoman qui affamait depuis plusieurs siècles les ancêtres du mafieux président algérien devant lequel il envisage de se prosterner, pillant leurs maigres biens, les réduisant à la famine et à la maladie ?Pardon d’avoir libéré les esclaves chrétiens européens, ravis sur les bateaux croisant en Méditerranée, entassés dans des bouges pour satisfaire les bas plaisirs des potentats locaux ?


Pardon d’avoir défriché, drainé, asséché et fertilisé un sol à l’abandon depuis des siècles et d’avoir perdu à l’époque 106 « colons » sur 450, morts de maladie en Mitidja ?
Pardon d’avoir construit des villes modernes là où il n’y avait rien ? Pardon d’avoir créé une agriculture prospère et exportatrice, alors qu’aujourd’hui l’Algérie doit importer des produits de la terre ?
Pardon d’avoir créé une industrie métallurgique là où il ne se trouvait que des cailloux ?
Pardon d’avoir construit 12 grands barrages ?
Pardon d’avoir implanté un immense réseau de postes et de télécommunication ? , d’avoir développé l’hôtellerie et le tourisme ? , d’avoir créé une industrie chimique, développé le gaz et l’électricité ?
Pardon d’avoir installé un réseau ferroviaire considérable et 54000 kilomètres de routes (non compris les pistes) ? Pardon d’avoir construit 23 ports, 34 phares, 23 aéroports ?
Pardon d’avoir livré des gisements de gaz et de pétrole, installations d’exploitation comprises, à un pays qui ne s’était jusque là jamais intéressé au Sahara ?
Pardon d’avoir apporté aussi la médecine, les nombreux dispensaires et hôpitaux et d’avoir permis à 2 millions d’autochtones qu’ils étaient en 1872 d’avoir 9 millions de descendants en 1962 ?, d’avoir éradiqué la peste, le choléra, la variole, le typhus et bien d’autres joyeusetés du même acabit ?
Pardon d’avoir apporté l’enseignement ? … ce qui fit dire à Belkacem Ibazizen, fils d’un instituteur kabyle ( rien à voir avec les arabes) « La scolarisation française a fait faire aux Arabes un bon de mille ans ! » ?

ET PUIS QUOI ENCORE?

Sur un million de Pieds Noirs, 20000 seulement étaient des « colons » dont 40% exploitaient moins de 10 hectares. Les 12000 autres (45000 en comptant leurs familles) ne représentaient que 4,5% du total de la population Pied Noir ! …… Les 95,5% restants étaient des ouvriers, des employés, des techniciens, des fonctionnaires, des commerçants, souvent bien moins payés qu’en métropole !
Si le prétendant socialiste à la magistrature suprême lisait autre chose que des fiches résumées, …… comme par exemple les livres de l’écrivain algérien Boualem Sansal, il pourrait, tout comme vous, découvrir qu’il a écrit :
« En un siècle, à force de bras, les colons ont, d’un marécage infernal, mitonné un paradis lumineux. Seul l’amour pouvait oser pareil défi, … Quarante ans est un temps honnête, ce nous semble, pour reconnaître que ces foutus colons ont plus chéri cette terre que nous, qui sommes ses enfants. »

C’est également lui qui écrivait déjà avec lucidité :
« Trente ans après l’indépendance, nous voilà ruinés, avec plus de nostalgiques que le pays comptait d’habitants et plus de rapetoux qu’il n’abritait de colons. Beaucoup d’Algériens regrettent le départ des Pieds Noirs. S’ils étaient restés, nous aurions peut-être évité cette tragédie. »
Il rejoint en cela la journaliste Malika Boussouf qui écrit également :
« Si les Pieds Noirs n’étaient pas partis en masse, l’Algérie ne serait peut-être pas dans l’état désastreux dans lequel elle se trouve. »
Dans les fiches résumées du prétendant, lui en a-t-on seulement glissé une qui lui aurait permis d’apprendre par exemple, au hasard, que :
Ferhat Abbas, président de la république algérienne, du temps du G.P.R.A., avait reconnu :
« La France n’a pas colonisé l’Algérie. ELLE L’A FONDÉE. »
C’est le 14 octobre 1839, et par décision du ministre de la guerre, que le nom ‘’Algérie‘’ fut attribué pour la première fois à cette partie de l’Afrique du Nord. Il n’y a jamais eu auparavant dans l’Histoire de pays ainsi nommé !
Et pour en terminer après cela, qui a dit, cher monsieur Egomis :
« Messieurs, il faut parler plus haut et plus vrai! Il faut dire ouvertement qu’en effet les races supérieures ont un droit vis à vis des races inférieures parce qu’il y a un devoir pour elles. Elles ont un devoir de civiliser les races inférieures. »
Vous donnez votre langue au chat monsieur Egomis ? …… c’est l’aïeul spirituel du prétendant :… Jules Ferry au cours d’un discours tenu devant les députés le 28 juillet 1885, discours transcrit au Journal Officiel.
Quels furent les apôtres de l’extension aux « peuples inférieurs » des bienfaits civilisateurs de la France républicaine? Réponse: Victor Hugo, Gambetta, Jaurès.
Alors, monsieur Egomis, je vous repose la question : …… PARDON DE QUOI ?
Ah oui ! …… des crimes !
Là encore, êtes-vous bien sûr de savoir de quoi vous parlez ?
Vous souvient-il de la façon dont débuta la « guerre d’Algérie » le 1er novembre 1954 ? … par l’assassinat d’un instituteur, Guy Monnerot, dans les gorges de Tighanimine dans les Aurès. C’est glorieux n’est-ce pas ?Ceux qui prirent la décision de déclencher ce conflit prirent alors TROIS INITIATIVES :
Le choix du moment …un jour de fête religieuse chrétienne,Le choix du théâtre d’action : l’ensemble du territoire des trois DÉPARTEMENTS de notre province algérienne.Le choix des MOYENS ! … LE TERRORISME, l’ÉGORGEMENT, LES ATTENTATS AVEUGLES, LE PLASTICAGE LÂCHE, LE CRIME GRATUIT, L’ÉMASCULATION, L’ÉNUCLÉATION, etc……… ( méthodes pérennes depuis l’hégire… !)
Ils n’épargnèrent d’ailleurs pas les peuplades musulmanes fidèles à la France. Elles constituaient d’ailleurs LA MAJORITÉ DES AUTOCHTONES !En février 1956, qui choisit finalement la voie de la recherche d’une victoire militaire en Algérie ? Réponse …le président du conseil socialiste Guy Mollet.
Qui donna les pleins pouvoirs au général Massu en janvier 1957, pour mener et gagner la bataille d’Alger ?Rép:le gouverneur général socialiste Robert Lacoste.
Nous les avons combattus, en leur empruntant parfois leurs propres méthodes [seul moyen de se faire respecter par cette eux], …MAIS SANS JAMAIS LES ÉGALER ! …… Ils furent néanmoins militairement vaincus sur le terrain.
Si l’On n’avait pas été aussi pressé de jeter l’Algérie aux orties en l’abandonnant aux assassins sans foi ni loi du FLN, dépourvus de toute légitimité ainsi que de toute éthique politique et morale, l’indépendance aurait pu s’envisager sous de meilleurs auspices. Beaucoup d’officiers français préparaient les conditions d’un transfert de souveraineté plus serein et plus acceptable pour tout le monde, …… SURTOUT POUR LES ALGÉRIENS ET POUR LES PIEDS NOIRS !……
On sait ce qu’il en fut !
Le FLN ne respecta pas les accords d’Évian.Il «génocida » les harkis, les moghaznis, les tirailleurs ainsi que bon nombre d’Européens qui eurent la faiblesse de croire en leur humanité.
Alors que l’ensemble de la classe politique française cesse de se balader avec sa repentance ridicule en bandoulière, avec des états d’âne [*] qui n’ont pas lieu d’être !


LA FRANCE N’A ABSOLUMENT RIEN A SE FAIRE PARDONNER ! …… RIEN !

[*] non, ce n’est pas une faute d’orthographe…

19/02/2012

Soutien à Chistian Vanneste.

Je relaie ici un soutien de « Nouvelles de France » au député Christian Vanneste que l’on accuse de négationnisme un peu trop facilement… Heureusement qu’il ne porte pas le nom de « Le Pen »…

On musèle aussi l’Histoire, en France.

FDF

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Bientôt plus le droit de rire, non plus ???

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Madame, Monsieur,

Suite au procès en sorcellerie intenté au Député C. Vanneste, qui recoit desormais le soutien de personnalités de renom, voici le message que Nouvelles de France vous propose d’envoyer en un clic aux instances dirigeantes de l’UMP et, en copie, aux députés de la majorité :

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Monsieur le Secrétaire général,

Je suis profondément choqué par le traitement que l’UMP réserve à Christian Vanneste suite à ses propos controversés sur la déportation des homosexuels de France au cours de la Seconde Guerre mondiale. Cette attitude témoigne d’un grand mépris vis à vis de la vérité historique, de la liberté d’expression, et du dévouement dont a fait preuve Christian Vanneste pour soutenir l’action de la majorité présidentielle. Elle n’est que le reflet de la pression médiatique orchestrée par une gauche militante et revancharde dont l’UMP ferait mieux d’ignorer les oukazes et le sectarisme.

Monsieur Vanneste a peut-être fait preuve de maladresse dans ses propos, mais en aucun cas de négationnisme. Et seule la vérité historique compte. Or, Serge Klarsfeld comme de nombreux historiens de renom abondent dans le sens du député du Nord. Pierre Vidal Naquet n’a d’ailleurs pas mâché ses mots en déclarant en 2005 au Nouvel Observateur que « dire que Vichy a déporté les homosexuels n’est peut-être pas du révisionnisme, mais c’est un mensonge ». Les historiens Michel Celse et Pierre Zaoui, qui se sont penchés, dans leur ouvrage « Négation, dénégation : la question des triangles roses », sur la question de la déportation des homosexuels, rappellent même que « l’homosexualité, pour les mêmes raisons qui justifiait aux yeux des nazis qu’elle fut combattue dans les populations allemandes, n’avait pas à l’être au sein de populations non-allemandes, dont elle ne pouvait que contribuer à précipiter le déclin. Les homosexuels non-allemands ne furent expressément visés par la répression nazie qu’en cas de relations impliquant un ou des partenaires allemands ».

En revanche, la thèse de la déportation a été portée de façon militante par des individus sulfureux et controversés, tels Thierry Meyssan, aux côtés duquel il serait curieux que s’affiche le Secrétaire général de l’UMP !

L’histoire de cette douloureuse période est trop grave, trop sensible, pour être l’objet de méprisables récupérations communautaristes et de manipulations politiciennes. Le débat historique doit pouvoir s’exercer librement et sereinement en France sur ces questions, à l’abri des anathèmes.

C’est pourquoi je vous demande instamment de conserver à Christian Vanneste son investiture pour les élections législatives. Et je vous demande, tout aussi instamment, de résister aux scandaleuses pressions des divers lobbies communautaristes et médiatiques visant à expulser ce député de l’UMP.

Restant vigilant sur votre traitement de cette pénible affaire, je vous prie d’agréer, Monsieur le Secrétaire général, l’expression de mes sentiments distingués.

Ensemble, disons NON au terrorisme intellectuel

Défendons l’Histoire raisonnée contre les lobbies

SIGNEZ !>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>> http://www.ndf.fr/poing-de-vue/15-02-2012/exigez-de-lump-quelle-garde-christian-vanneste#.Tzv88bEaORJ

MERCI DE FAIRE SUIVRE DANS VOS RESEAUX

10/02/2012

La conscience du monde… Les bruits de bottes sont devenus des glissements sournois de babouches.

Déjà reçu par mail, une fois… C’est à méditer…
FDF

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La propagande Juive a quelquefois des accents de vérité ………..

La VIE est morte à Auschwitz

 Ce qui suit est une copie d’un article écrit par l’écrivain espagnol Sebastián Rodríguez Vilar et publiée dans un journal espagnol le 15 Jan. 2008.
Il ne faut pas beaucoup d’imagination pour extrapoler le message au reste de l’Europe – et, éventuellement, au reste du monde. Ce n’est guère de la propagande, les faits parlent d’eux-mêmes.

COMME VOUS LISEZ, N’OUBLIEZ PAS:
C’est dans un journal espagnol

 Date: mardi 15 Janvier 2008 14:30

TOUTES LES VIES européennes sont mortes à Auschwitz

Par Sébastien Vilar Rodrigez

Je marchais dans la rue à Barcelone, et soudain je découvrais une terrible vérité – L’Europe est morte à Auschwitz ….
Nous avons tué six millions de Juifs et nous les avons remplacés par 20 millions de musulmans.

 A Auschwitz, nous avons brûlé une culture, la pensée, la créativité, le talent.

Nous avons détruit le peuple élu, véritablement choisi, car ils ont produit des gens formidables et merveilleux qui ont changé le monde.

 La contribution de ce peuple se fait sentir dans tous les domaines de la vie: science, art, commerce international, et surtout, comme la conscience du monde.

Ce sont les gens que nous avons brûlés.

Et sous prétexte de tolérance, et parce que nous voulions prouver à nous-mêmes que nous avons été guéris de la maladie du racisme, nous avons ouvert nos portes à 20 millions de musulmans, qui nous ont apporté la stupidité et l’ignorance, l’extrémisme religieux et le manque de tolérance, la criminalité et la pauvreté, due à un manque de volonté de travailler et de soutenir leurs familles avec fierté.

Ils ont fait sauter nos trains et transformé nos belle villes espagnoles dans le tiers monde, noyé tout dans la crasse et la criminalité.

Enfermé dans les appartements qu’ils reçoivent gratuitement du gouvernement, ils planifient d’assassiner et de détruire leurs hôtes naïfs.

Et ainsi, dans notre misère, nous avons échangé la culture pour de la haine fanatique, le savoir-faire créatif pour des compétences destructrices, l’intelligence pour le retour en arrière et la superstition.

Nous avons échangé la poursuite de la paix des Juifs d’Europe et leur talent pour un avenir meilleur pour leurs enfants, leur détermination à s’accrocher à la vie car la vie est sacrée, pour ceux qui poursuivent la mort, pour des personnes consommées par le désir de mort pour eux et les autres, pour nos enfants et les leurs.

Quelle terrible erreur a été faite par la misérable Europe …

La population mondiale est d’environ 1,2 milliard de musulmans, (un milliard deux cent millions) ou 20% de la population mondiale. Ils ont reçu le Prix Nobel suivants:

Littérature:

 1988 – Najib mahfouz

 Paix:

 1978 – Mohamed Anwar El-Sadat

 1990 – Elias James Corey

 1994 – Yasser Arafat:

 1999 – Ahmed Zewai

 Économie:

 (Zéro)

 Physique:

 (Zéro)

 Médecine:

 1960 – Peter Medawar Brian

 1998 – Ferid Mourad

 TOTAL: 7

 La population juive mondiale est approximativement de 14.000.000, (quatorze millions), soit environ 0,02% de la population mondiale.

 Ils ont reçu le Prix Nobel suivants :

 Littérature:

 1910 – Paul Heyse

 1927 – Henri Bergson

 1958 – Boris Pasternak

 1966 – Shmuel Yosef Agnon

 1966 – Nelly Sachs

 1976 – Saul Bellow

 1978 – Isaac Bashevis Singer

 1981 – Elias Canetti

 1987 – Joseph Brodsky

 1991 – Nadine Gordimer mondiale

 Paix:

 1911 – Alfred Fried

 1911 – Tobias Michael Carel Asser

 1968 – René Cassin

 1973 – Henry Kissinger

 1978 – Menahem Begin

 1986 – Elie Wiesel

 1994 – Shimon Pérès

 1994 – Yitzhak Rabin

 Physique:

 1905 – Adolph von Baeyer

 1906 – Henri Moissan

 1907 – Albert Abraham Michelson

 1908 – Gabriel Lippmann

 1910 – Otto Wallach

 1915 – Richard Willstaetter

 1918 – Fritz Haber

 1921 – Albert Einstein

 1922 – Niels Bohr

 1925 – James Franck

 1925 – Gustav Hertz

 1943 – Gustav Stern

 1943 – George Charles de Hevesy

 1944 – Isidor Rabi Issac

 1952 – Felix Bloch

 1954 – Max Born

 1958 – Igor Tamm

 1959 – Emilio Segre

 1960 – Donald A. Glaser

 1961 – Robert Hofstadter

 1961 – Melvin Calvin

 1962 – Lev Davidovich Landau

 1962 – Max Ferdinand Perutz

 1965 – Richard Phillips Feynman

 1965 – Julian Schwinger

 1969 – Murray Gell-Mann

 1971 – Dennis Gabor

 1972 – William Howard Stein

 1973 – Brian David Josephson

 1975 – Benjamin Mottleson

 1976 – Burton Richter

 1977 – Ilya Prigogine

 1978 – Arno Allan Penzias

 1978 – Peter L Kapitza

 1979 – Stephen Weinberg

 1979 – Sheldon Glashow

 1979 – Herbert Charles Brown

 1980 – Paul Berg

 1980 – Walter Gilbert

 1981 – Roald Hoffmann

 1982 – Aaron Klug

 1985 – Albert A. Hauptman

 1985 – Jerome Karle

 1986 – Dudley R. Herschbach

 1988 – Robert Huber

 1988 – Leon Lederman

 1988 – Melvin Schwartz

 1988 – Jack Steinberger

 1989 – Sidney Altman

 1990 – Jerome Friedman

 1992 – Rudolph Marcus

 1995 – Martin Perl

 2000 – Alan J. Heeger

 Économie:

 1970 – Paul Anthony Samuelson

 1971 – Simon Kuznets

 1972 – Kenneth Joseph Flèche

 1975 – Leonid Kantorovitch

 1976 – Milton Friedman

 1978 – Herbert A. Simon

 1980 – Laurent Robert Klein

 1985 – Franco Modigliani

 1987 – Robert M. Solow

 1990 – Harry Markowitz

 1990 – Merton Miller

 1992 – Gary Becker

 1993 – Robert Fogel

 Médecine:

 1908 – Elie Metchnikoff

 1908 – Paul Erlich

 1914 – Robert Barany

 1922 – Otto Meyerhof

 1930 – Karl Landsteiner

 1931 – Otto Warburg

 1936 – Otto Loewi

 1944 – Joseph Erlanger

 1944 – Herbert Spencer Gasser

 1945 – Ernst Boris Chain

 1946 – Hermann Joseph Muller

 1950 – Tadeus Reichstein

 1952 – Selman Abraham Waksman

 1953 – Hans Krebs

 1953 – Fritz Albert Lipmann

 1958 – Joshua Lederberg

 1959 – Arthur Kornberg

 1964 – Konrad Bloch

 1965 – François Jacob

 1965 – André Lwoff

 1967 – George Wald

 1968 – Marshall W. Nirenberg

 1969 – Salvador Luria

 1970 – Julius Axelrod

 1970 – Sir Bernard Katz

 1972 – Gerald Maurice Edelman

 1975 – Howard Martin Temin

 1976 – Baruch S. Blumberg

 1977 – Roselyn Sussman Yalow

 1978 – Daniel Nathans

 1980 – Baruj Benacerraf

 1984 – Cesar Milstein

 1985 – Michael Stuart Brown

 1985 – Joseph L. Goldstein

 1986 – Stanley Cohen [& Rita Levi-Montalcini]

 1988 – Gertrude Elion

 1989 – Harold Varmus

 1991 – Erwin Neher

 1991 – Bert Sakmann

 1993 – Richard J. Roberts

 1993 – Phillip Sharp

 1994 – Alfred Gilman

 1995 – Edward B. Lewis

 1996 – Lu RoseIacovino

 TOTAL: 129!

 Les Juifs ne font pas la promotion du lavage de cerveau des enfants dans les camps de formation militaire.

Ils ne leur apprennent pas à se faire exploser et à causer le maximum de mort de Juifs et d’autres non-musulmans.

Les Juifs ne détournent pas des avions, ne tuent pas les athlètes lors des Jeux olympiques, et ne se font pas exploser dans un restaurant allemand.

 Il n’y a pas un seul Juif qui a détruit une église.

 Il n’y a pas un seul Juif qui proteste en tuant des gens.

 Les Juifs ne font pas de trafic d’esclaves, n’ont pas de dirigeants qui appellent au Jihad et à la mort de tous les infidèles.

 Peut-être les musulmans du monde devraient considérer à investir plus dans l’enseignement ordinaire et moins à blâmer les Juifs pour tous leurs problèmes.

 Les musulmans doivent se demander ce qu’ils peuvent faire pour l’humanité avant d’exiger que l’humanité les respecte.

 Indépendamment de vos sentiments à propos de la crise entre Israël et les Palestiniens et les voisins arabes, même si vous croyez qu’il y a plus de culpabilité de la part d ‘Israël, les deux phrases suivantes disent vraiment tout :

 « Si les Arabes déposaient les armes aujourd’hui, il n’y aurait plus de violence. Si les Juifs déposaient leurs armes aujourd’hui, il y aurait plus d’état Israël ».

 Benjamin Netanyahu

 Le général Eisenhower nous a avertis : c’est un fait historique.

Et donc lorsque le commandant suprême des Forces alliées, le général Dwight Eisenhower a trouvé les victimes des camps de la mort, il a ordonné à prendre toutes les photographies possibles, au peuple allemand des villages environnants à visiter les camps et même, d’enterrer les morts.  

Il a fait cela parce qu’il a dit des mots à cet effet :

 « Rassemblez tous les dossiers et documents maintenant – saisissez les films – faites parler les témoins – parce que quelque part sur la route de l’histoire, quelques bâtards vont se lever et dire que cela n’est jamais arrivé ».

 Récemment, le Royaume-Uni a débattu pour savoir s’il fallait supprimer la Shoah dans son cursus scolaire, car il « offense » la population musulmane qui affirme que cela n’a jamais eu lieu.

 Ce n’est pas encore supprimé…

Cependant, c’est un signe effrayant de la peur qui paralyse le monde et combien il est facile pour chaque pays d’être paralysé par elle.

 Cela fait plus de 60 ans après que la Seconde Guerre mondiale prit fin en Europe.

 Cet e-mail est envoyé comme une chaîne commémorative, en souvenir des 6 millions de juifs, 20 millions de Russes, 10 millions de chrétiens, et 1900 prêtres catholiques qui ont été assassinés, violés, brûlés, affamés, battus, humiliés et ont servis de cobaye, tandis que le peuple allemand a regardé ailleurs.

 Maintenant, plus que jamais, avec l’Iran, entre autres, revendiquant que l’Holocauste est « un mythe », il est impératif de s’assurer que le monde n’oublie jamais.

 Cet e-mail est destiné à atteindre 400 millions de personnes.

Être un maillon dans la chaîne de mémoire et aider à distribuer ce message à travers le monde.

 Combien d’années faudra-il avant que l’attaque du World Trade Center « n’a jamais eu lieu »  parce qu’elle offense les musulmans des États-Unis ?

 Ne vous contentez pas de supprimer ce message, cela ne prendra que quelques minutes pour le faire passer.

 Merci.

07/02/2012

Un peu d’Histoire…

Notre ami Jean-Jacques nous donne un petit cours d’Histoire. Toujours bon à savoir, tout ça… La France a toujours été convoitée par les muzz. Et  ça continue. Ce sont les méthodes d’invasion qui ont changé (je n’ai pas dit « évolué). Ils ont bientôt tout essayé.

Merci JJ.

FDF

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Les invasions au Moyen âge

Les Sarrasins

Au Moyen âge, on désignait sous le nom de Sarrasins les peuples musulmans des bords de la Méditerranée, composés principalement d’Arabes et de Berbères, et à l’orgine pendant près de trois siècles d’incursions, qui, avec celles des Vikings et des Magyars, constituent ce qu’on appelle ordinairement invasions du Moyen âgeLorsque les Arabes eurent conquis l’Espagne sur les Wisigoths (711), ils passèrent les Pyrénées et envahirent la Septimanie ( Languedoc), qui appartenait aux vaincus. Moussa s’empara de Narbonne, de Carcassonne; mais il n’osa pas pénétrer plus avant dans la Grande terre. En 718, les Arabes envahirent le Languedoc, prirent Nîmes, et emmenèrent en Espagne un nombre immense de captifs. Le Midi de la France eût été conquis en entier par les musulmans, sans la résistance qui leur fut opposée. Les Francs possédaient seulement le nord et l’est des Gaules; l’Aquitaine était libre; la Septimanie et la Provence, jadis aux rois goths, étaient abandonnées à elles-mêmes. Mais les Arabes étaient divisés et usaient leurs forces dans leurs luttes intestines. De leur côté, les chrétiens des Asturies et de la Cantabrie commençaient une lutte terrible contre les musulmans (La Reconquista), et, occupant toute leur activité, sauvaient ainsi le midi de la Gaule d’une conquête trop facile. Mais en 721, Alsamah, habile politique, après avoir rétabli l’ordre en Espagne, vint assiéger Narbonne, la prit et en tua les habitants; puis des hordes d’Arabes vinrent, suivies de leurs femmes et de leurs enfants, s’établir dans le Languedoc, avec l’intention d’occuper le pays.

Narbonne devint dès lors la place d’armes des musulmans en France. Son port assurait leurs communications avec la mer, et sa forte position pouvait les rendre maîtres du pays. Alsamah se porta sur Toulouse; mais Eudes, duc d’Aquitaine, sauva sa capitale par une victoire où Alsamah fut tué. En vain les habitants du Languedoc essayèrent de reprendre Narbonne; une guerre à mort s’engagea, et elle durait encore, sans avoir amené de résultat, lorsque Ambissa, successeur d’AIsamah, franchit les Pyrénées en 724. Carcassonne, Nîmes, tombèrent en son pouvoir, et

« le vent de l’islam, dit un auteur arabe, commença dès lors à souffler de tous les côtés contre les chrétiens. »

Toute la Septimanie, l’Albigeois, le Rouergue, le Gévaudan, le Velay, l’Auvergne méridionale, furent dévastés, incendiés, dépeuplés; puis de là les Sarrasins fondirent sur Lyon, qu’ils pillèrent en 732. Mâcon, Châlons, Beaune, Autun, la Franche-Comté, le Dauphiné, furent ravagés à leur tour, sans que Eudes, accablé, ou Charles Martel, en guerre avec la Germanie, opposassent la moindre résistance. Il fallait l’arrivée d’Abdérame (Abd-er-Rahman) au gouvernement de l’Espagne, et son projet de conquérir la Gaule tout entière, pour  que la situation change. 
Bataille de Poitiers.
La Bataille de Poitiers (25 octobre 732).
Tavleau de Charles Steuben (1837).Abdérame avait rassemblé une armée (732); il prit sa route à travers l’Aragon et la Navarre, entra en France par les vallées de Bigorre et de Béarn, brûlant Oloron, Aire, Bazas, Bordeaux, Libourne, Poitiers. Il s’avançait sur Tours, attiré par les richesses de l’abbaye de Saint-Martin, lorsqu’il apprit l’arrivée de Charles Martel, accouru pour s’opposer

«  à cette tempête qui renversait tout, à ce glaive pour qui rien n’était sacré. » 

C’est entre Tours et Poitiers que se livra la bataille que l’historiographie officielle monta en épingle. Les Francs remportèrent la victoire et firent de cette victoire, qui n’avait rien de décisif – la poursuite des incursions sarrasines dans le Midi de la france pendant encore des siècle suffit à le prouver amplement -, un outil de propagande pour la monarchie franque. Quoi qu’il en soit, Abdérame avait été tué, et les Arabes s’étaient sauvés vers le Sud. Charles, satisfait de les avoir empêchés de traverser la Loire, rentra dans ses États, et joignit à son nom cette terrible épithète de Marteau, parce que

« comme li martiaus débrise et froisse le fer et l’acier, et tous les autres métaux, aussi froissoit-il et brisoit-il par la bataille tous ses ennemis et toutes autres nations. »

Mais en fuyant, les Sarrasins dévastèrent la Marche, le Limousin, et revinrent à Narbonne. Abdel-Malek, successeur d’Abdérame, résolut de reprendre l’offensive : 

« Tel qui fut vaincu  hier, disait-il aux Arabes consternés, triomphe aujourd’hui. »

Il attaqua les chrétiens du nord de l’Espagne, puis il rétablit la domination des Arabes dans la Septimanie et la Provence; secondé par quelques comtes goths avides de pouvoir, il prit Arles, Avignon; et, s’il n’eût éprouvé une défaite dans la Cantabrie, les Sarrasins seraient redevenus aussi redoutables qu’avant leur désastre de 732. Cependant ils prirent Valence, Vienne, Lyon, et attaquèrent la Bourgogne et le Piémont. Enfin, en 735, Charles Martel, allié avec Luitprand, roi des Lombards, envoya une armée contre eux. Childebrand son frère, qui la commandait, battit les Arabes, les chassa devant lui, et prit Avignon. Luitprand et Charles Martel s’avancèrent chacun à la tête, d’une armée. Charles marcha contre Narbonne, battit les Arabes sur les bords de la Berre; mais ne pouvant prendre Narbonne, il résolut de détruire les fortifications de toutes les villes de la Septimanie, afin de ne laisser aux Sarrasins d’autre place que Narbonne. Ce fut alors qu’on brûla les arènes de Nîmes.En 739, Charles Martel revint encore en Languedoc, fit occuper Marseille, et les Sarrasins de Narbonne n’osèrent plus s’avancer au delà du Rhône. De plus, les guerres civiles qui eurent lieu à cette époque entre les Arabes d’Espagne et d’Afrique, donnèrent aux chrétiens d’Espagne et de la Septimanie de nouvelles forces; et lorsque, en 752, Pepin le Bref vint attaquer Narbonne, une armée assez faible la bloqua et la força de se rendre, en 759

Ainsi la France était provisoirement délivrée de la présence des Sarrasins. Ce ne fut qu’en 792 que le calife de Cordoue, Hescham, résolut de reprendre la Septimanie, et leva une armée pour pénétrer en France. En 793, Charlemagne étant occupé à faire la guerre aux Avars, les Sarrasins passèrent les Pyrénées et se dirigèrent sur Narbonne, impatients de reconquérir un boulevard où ils s’étaient maintenus si longtemps. Guillaume, comte de Toulouse, marcha à leur rencontre; mais les Francs furent vaincus à Villedaigne, entre Narbonne et Carcassonne. Cependant les Arabes ne purent s’emparer de Narbonne. Cette invasion détermina Charlemagne à les attaquer; et, dans ces guerres dont nous ne parlerons pas ici , les provinces entre l’Èbre et les Pyrénées tombèrent au pouvoir des Francs. Charlemagne assura ainsi ses limites au midi. Toutefois les pirates arabes d’Afrique, qui depuis longtemps infestaient la Méditerranée, commencèrent à ravager les côtes de l’empire de Charlemagne. Déjà, entre 728 et 739, ils avaient pillé le monastère de Lérins; mais, à partir de cette époque, leurs invasions en France devinrent plus redoutables. La Corse, la Sardaigne, les îles Baléares, furent dévastées, en 806, 808, 809, 813. Charlemagne fit établir des forts au lieux de débarquement, et des flottes pour repousser les ennemis. Tant qu’il vécut, ces moyens et la terreur de son nom suffirent pour préserver les côtes de ses États.

Après sa mort les Sarrasins recommencèrent leurs courses. En 820, la Sardaigne fut ravagée; vers 838, Marseille fut livrée au pillage. La mort de Louis le Débonnaire, et les guerres qui eurent lieu entre ses enfants, laissèrent aux Sarrasins le champ libre; aussi les em bouchures du Rhône, puis Marseille en 848, furent-elles dévastées; une armée partit d’Espagne s’avança en France, et ne se retira que comblée de présents par Charles le Chauve. En 869, les pirates sarrasins firent une nouvelle invasion dans la Camargue. En 889, ils s’établirent sur les côtes de Provence, à Fraxi.et, dans le golfe de Saint-Tropez, et de ce point, leurs ravages s’étendirent dans toute la vallée du Rhône, et jusqu’aux frontières de l’Allemagne.

En 906, les Sarrasins sortirent de ce repaire, et ravagèrent le Dauphiné et la vallée de Suse. En 908, des pirates africains saccagèrent les environs d’Aigues-Mortes. En 920, les Arabes d’Espagne passèrent les Pyrénées, et poussèrent jusqu’aux portes de Toulouse. Pendant ce temps, les environs de Fraxinet se trouvaient entièrement dévastés; Marseille, Aix, Sisteron, Gap, Embrun, furent successivement pillées; la Savoie, le Piémont et la Suisse n’étaient pas, malgré les Alpes, à l’abri des attaques des Sarrasins.

En 940, Fréjus et Toulon furent prises : toute la contrée fut dépeuplée. Le mal devint tel, que Hugues, comte de Provence, fit alliance avec l’empereur grec pour prendre Fraxinet. En 942, Hugues et les Grecs s’emparèrent, en effet, de ce port si important; mais Hugues, apprenant que l’Italie, qu’il convoitait, allait passer à son rival Bérenger, fit alliance avec les Arabes et leur rendit Fraxinet pour pouvoir disposer de ses forces contre son adversaire. Depuis lors, la puissance des Sarrasins alla toujours croissant. Il n’entre pas dans notre sujet de parler ici de leurs invasions en Italie; contentons-nous de dire qu’ils vinrent cent jusque sous les murs de Grenoble, dont ils se rendirent maîtres. Une victoire de Conrad, en 952, fit chanceler leur puissance. En 960, on leur enleva le mont Saint-Bernard, et les communications entre l’Italie, l’Allemagne et la France, furent rétablies. En 965, ils furent chassés du diocèse de Grenoble, puis, postérieurement à 972, de Sisteron et de Gap. De toutes parts, les seigneurs féodaux, secondés par le peuple et excités par le clergé, se soulevaient contre les envahisseurs.

Enfin, vint le moment de la délivrance Guillaume, comte de Provence, appela à lui tous les guerriers de la Provence, du bas Dauphiné et du comté de Nice, et résolut de prendre Fraxinet. D’abord les Sarrasins furent vaincus à Tourtour, près de Draguignan; puis, malgré leur résistance, obligés de fuir de Fraxinet. C’est vers 975 que la France fut enfin délivrée de ces terribles incursions. Ceux qui ne furent pas tués, devinrent serfs et se fondirent peu à peu dans la population. Il fallut bien que les Arabes se résignassent à regarder la France comme étant à l’abri de leurs atteintes. Ils s’en consolèrent en disant que

« les Français, étant exclus d’avance du paradis, Dieu avait voulu les dédommager en ce monde par le don de pays riches et fertiles, où le figuier, le châtaignier et le pistachier étalent leurs fruits savoureux. »

Il y eut bien encore depuis cette époque des attaques partielles : en 1019 ,contre Narbonne, en 1047, contre Lérins, etc.; mais ces attaques tiennent moins à l’histoire des invasions sarrasines proprement dites qu’à celle de la piraterie des Barbaresques, qui allait durer jusqu’au début du XIXe siècle. (elle furent, pour la France, l’un des motifs de la prise d’Alger en 1830).

Les Sarrasins dans l’imaginaire populaire en France

Le souvenir des Sarrasins a été longtemps, et est encore présent dans les traditions populaires; il a même absorbé le souvenir des Vikings et des Magyars (Les invasions au Moyen âge), dans toutes les oeuvres de la littérature du Moyen âge. Les invasions normandes et hongroises se perdent généralement dans les traditions relatives aux Sarrasins, et la raison en est facile à trouver. Les Sarrasins conquéraient autant pour répandre leur foi (Islam) que pour piller; il s’agissait d’abord pour eux de soumettre le monde à la loi de Mahomet; pendant trois cents ans, la France fut attaquée par eux; pendant trois siècles, il y eut une suite de guerres acharnées, de ravages et de meurtres; puis, quand la France eut chassé les Sarrasins de son sol, les croisades commencèrent, et pendant deux siècles encore, l’attention se porta sur ces expéditions si populaires. Lorsque la lutte fut terminée avec les Sarrasins, elle se renouvela avec les Turcs, et ces nouveaux ennemis semblèrent devoir les rendre éternelles. Aussi, dans l’esprit des peuples, tout ennemi, tout barbare, tout pillard, fut-il du Nord ou de la Hongrie, était Sarrasin; et toute calamité était nécessairement attribuée aux Sarrasins; les romans de chevalerie (Le Cycle carolingien) sont pleins de ces exagérations, de ces mensonges, et ils ont été si longtemps les seuls livres lus par les grands, et la source unique des récits faits au peuple par les jongleurs, que les erreurs dont ils étaient remplis devaient nécessairement pénétrer dans l’esprit des masses. Charles-Martel, Pepin le Bref, Charlemagne, Roland et tous les héros des chansons de geste, avaient, d’après ces livres, fait la guerre aux Sarrasins; tous les peuples qu’ils avaient battus étaient sarrasins; les Frisons, les Saxons, les Bavarois, les Avars, etc., devinrent des Arabes dans les traditions populaires. 

« Il fut admis en principe que tous les exploits des paladins et des braves de l’âge héroïque de notre histoire avaient eu lieu contre les Sarrasins. Il ne s’agit plus que de multiplier les occasions où ces braves pourraient se signaler. Presque chaque ville du midi de la France fut censée avoir eu son émir et son prince sarrasin, ne fût-ce que pour ménager aux preux de la chrétienté le mérite de les déposséder. On fit même intervenir les Sarrasins dans les combats et les tournois des chrétiens, en un mot, dans tous les lieux de la terre où il y avait quelque laurier à cueillir. Il y a plus afin de relever la gloire des chevaliers chrétiens, qui naturellement finissaient par l’emporter, on rehaussa le caractère de quelques-uns des chevaliers sarrasins; on en fit des modèles de noblesse et de générosité; enfin, on ne reconnut de supérieur à leur courage, que le courage surhumain de Renaud et de Roland (Reynaud, Invasions des Sarrasins). »

 De façon plus générale, au Moyen âge, sarrasin, sarrasinois s’employait pour païen, romain; une tuile sarrasine était une tuile romaine; un monument sarrasinois était un tombeau antique. Castelsarrasin (Castel-Sarrazin) tirerait son nom de fortifications romaines et non arabes. (ED).

26/01/2012

Nazisme et islamisme: encore des coïncidences…

Des preuves historiques irréfutables, en fait…

Si c’est ce que vous voulez revivre; moi pas.

FDF

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http://youtu.be/HdsnTLvHu6w

05/01/2012

En Autriche, il est interdit de dénigrer l’islam !!! Mais pas le christianisme…

Dessin d’illustration pillé chez http://ripostelaique.com/

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Très étonnant… Eux aussi ont des lois protectionnistes en faveur des musulmans. Mais ils n’ont pas non plus vu ce que va leur apporter l’islam devant lequel ils s’agenouillent: la charia.

Cette dame fait les frais de la politique de l’autruche (pas l’Autriche). C’est une des premières victimes de cette idéologie qui étend ses tentacules à tout le monde Occidental. Elle « plonge » pour une histoire de religion; alors que l’on commence enfin à se rendre compte que l’islam n’est pas une religion: c’est une idéologie barbare, sans plus. Ce qui est extrêmement plus dangereux…

Bon courage, Elisabeth; et continuez à vous défendre!

FDF

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Autriche : la justice se soumet à la charia !

Source: Un article de Soeren Kern sur la confirmation, par la cour d’appel, de la condamnation d’Elisabeth Sabaditsch-Wolff pour avoir dénigré l’islam. En Autriche, ceux qui dénigrent le christianisme ne sont pas poursuivis, ce qui démontre le caractère politique du procès fait à Elisabeth. La justice autrichienne s’est soumise à la charia.  

Une cour d’appel autrichienne a maintenu la condamnation d’Elisabeth-Sabaditsch-Wolff, une mère de famille viennoise et militante contre le djihad, pour avoir « dénigré des croyances religieuses » lors d’une série de conférences sur les dangers de l’islam radical.

Ce jugement du 20 décembre 2011 prouve que tandis que le christianisme et le judaïsme peuvent être dénigrés en toute impunité dans l’Autriche postmoderne et multiculturelle, énoncer la vérité sur l’islam entraîne immédiatement une lourde peine judiciaire.

Malgré le fait que ce cas ait des implications énormes pour la liberté d’expression en Autriche, et dans toute l’Europe, il n’a reçu pratiquement aucune couverture dans les grands médias américains.

Les problèmes kafkaïens d’Elisabeth Sabaditsch-Wolff ont débuté en novembre 2009, lorsqu’elle a animé un séminaire en trois séances pour le Freedom Education Institute, une organisation politique liée au Parti de la Liberté Autrichien.

Un hebdomadaire socialiste sur papier glacé, intitulé pompeusement NEWS en lettres majuscules, a envoyé une journaliste incognito à cette conférence afin d’enregistrer secrètement les deux premières sessions. Les avocats de cette publication gauchiste ont ensuite envoyé les transcriptions au procureur viennois comme preuves de discours de haine envers l’islam, selon l’article 283 du code pénal autrichien (Strafgesetzbuch, StGB). Les poursuites judiciaires ont été engagées contre Sabaditsch-Wolff en septembre 2010, et le procès, présidé par un juge multiculturel mais sans jury, a commencé le 23 novembre 2010.

Cependant, dès le premier jour du procès, il s’avèra très vite que les accusations portées contre Sabaditsch-Wolff n’étaient pas aussi solides que le parquet les avaient présentées. La juge Bettina Neubauer souligna, par exemple, que seulement trente minutes de la première session du séminaire avaient été enregistrées.

Neubauer souligna également que certaines citations attribuées à Sabaditsch-Wolff étaient des apartés lors des pauses et ne faisaient pas partie du séminaire. De plus, seules quelques personnes les avaient entendues, non pas 30 personnes ou plus, soit le critère légal en Autriche pour définir une déclaration « en public ». Par ailleurs, Sabaditsch-Wolff a dit que ses commentaires n’étaient pas destinés à un forum public car le groupe restreint d’auditeurs avait été réuni exclusivement sur invitations  et inscriptions au préalable.

Plus important encore, plusieurs commentaires attribués à Sabaditsch-Wolff étaient des citations qu’elle lisait directement du coran et d’autres textes théologiques musulmans. Craignant que cette farce de procès n’aboutisse à un non-lieu, la juge décida soudainement d’ajourner l’audience au 18 janvier 2011, visiblement pour se donner du temps pour écouter plus attentivement les enregistrements sur cassettes, mais aussi pour permettre au parquet d’étoffer sa cause.

Le 18 janvier, ayant réalisé que les premières accusations ne tenaient pas la route, la juge, non pas le parquet, informa Sabaditsch-Wolff qu’en plus de l’accusation de discours de haine, elle était maintenant accusée d’avoir « dénigré les symboles religieux d’un groupe religieux reconnu ». L’avocat de Sabaditsch-Wolff a immédiatement demandé que le procès soit ajourné afin que la défense prépare une nouvelle stratégie.

Lors de la reprise du procès, le 15 février 2011, la plainte pour incitation à la haine fut déboutée car la cour a conclu que les déclarations de Sabaditsch-Wolff n’avaient pas été faites de manière « provocante ». Mais Sabaditsch-Wolff fut déclarée coupable d’avoir « dénigré les croyances d’une religion reconnue par la loi», en violation de l’article 188 du code pénal autrichien.

La juge a statué que Sabaditsch-Wolf avait commis un délit en déclarant lors de son séminaire sur l’islam que le prophète musulman Mahomet était un pédophile (les paroles exactes de Sabaditsch-Wolff étaient : « Mahomet avait un penchant pour les petites filles »).

Selon le raisonnement de la juge,  les relations sexuelles de Mahomet avec Aïcha, une fillette de neuf ans, ne pouvaient être considérées comme un cas de pédophilie puisqu’il est resté marié avec elle jusqu’à son décès [âgé de 63 ans]. Par conséquent, Mahomet n’avait pas un désir exclusif pour les petites filles car il était également attiré par des femmes adultes puisque Aicha avait 18 ans lorsque Mahomet décéda.

La juge a condamné Sabaditsch-Wolff à verser une amende de 480 euros (625 dollars) ou à une peine alternative de 60 jours de prison. De plus, elle doit payer tous les frais du procès. L’amende peut sembler légère (elle représente une pénalité journalière de 4 euros pendant 120 jours, parce que Sabaditsch-Wolff est mère de famille et n’a pas de revenus), mais elle aurait été beaucoup plus lourde si Elisabeth avait eu des revenus.

Sabaditsch-Wolff a fait appel de cette condamnation auprès de la cour d’appel provinciale de Vienne (Oberlandesgericht Wien), mais cet appel a été rejeté le 20 décembre 2011. La cour a déclaré qu’Elisabeth irait en prison si l’amende n’était pas payée dans les six prochains mois. Elle a décidé de porter l’affaire devant la Cour européenne des droits de l’Homme à Strasbourg.

Après le procès, Elisabeth a déclaré que sa condamnation représentait « une journée noire pour l’Autriche ». La Fédération des universitaires de Vienne (Wiener Akademikerbund) a déploré le fait que ce jugement représente « une justice fondée sur la politique et les sentiments » et marque « la fin de la liberté d’expression en Autriche ».

Sabaditsch-Wolff n’est pas la seule Autrichienne à avoir eu des démêlés avec la justice à cause des lois liberticides de son pays. En janvier 2009, la politicienne et députée Susanne Winter a été condamnée pour le « crime » d’avoir affirmé, en faisant référence au mariage de Mahomet et Aicha, que « de nos jours, Mahomet serait considéré comme un pédophile ». Winter a également été  condamnée pour « incitation à la haine » pour avoir déclaré que l’Autriche fait face actuellement à un « tsunami d’immigration musulmane ». Winters fut condamnée à payer une amende de 24 000 euros (31 000 dollars ) et à une peine de prison de trois mois avec sursis.

Soeren Kern est «Senior Fellow» pour les relations transatlantiques au groupe madrilène «Grupo de Estudios Estratégicos/Strategic Studies Group».

Source : « A Black Day for Austria », par Soeren Kern, Hudson NY, 26 décembre 2011. Traduction par Capucine pour Poste de veille

12/12/2011

Quand on pense qu’ils sont convaincus qu’ils ont TOUT inventé…

En fait, « ils » ont fait comme ils le font encore: tout s’approprier… Sans honte ni vergogne.

FDF

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N.B.: nombreux sont ceux qui mettent en doute l’existence même leur prophète,  leur  CORAN,   livre de la haine, etc, etc…


La civilisation arabe

par Freya von Asgard

  La plupart des historiens s’accordent à assimiler la civilisation arabe à la civilisation islamique, puisque pendant la “période de l’ignorance” antérieure à Mahomet les Arabes , à l’instar des peuples africains noirs, avaient une littérature orale. Nous la ferons donc commencer en 622, année de l’Hégire. Au cours de leur très complexe histoire les Arabes , à plusieurs reprises et en maints endroits, ont , d’un point de vue civilisationnel, d’une part contribué à détruire l’unité de l’ancienne civilisation romaine dans le bassin méditerranéen, d’autre part bénéficié , et fait bénéficier les peuples conquis, d’une remarquable civilisation : Mésopotamie et Turkestan aux X° et XI° siècle, Egypte et Espagne au XII° . Mais cette civilisation n’était en rien originale , elle ne fut jamais que l’adaptation des civilisations byzantines et persanes dans la cadre historique que venait de bouleverser l’islamisme. Dans le domaine intellectuel ( mathématiques , astronomie, alchimie , médecine , philosophie ) les Arabes ne se montrèrent jamais que les disciples des Hindous, des Persans, des Grecs alexandrins, et ce avec un bonheur inégal, se bornant en général à compiler . De même en art, les Arabes empruntèrent les coupoles à la Mésopotamie, à Byzance et à la Perse, et les arcs en plein-cintre à Rome.

 Les chiffres de “un” à “neuf” ont été inventés au IVe siècle avant notre ère.



Ils apparaissent dans des inscrïptions de Nana Ghât au 3e siècle av.J.-C., mais le principe de position n’y est pas appliqué . La numération de position avec un zéro (qui était un point à l’origine), a été inventé au cours du 5e siècle. En 773, arriva à Bagdad une ambassade indienne avec un présent pour le calife Mansour et les savants arabes qui l’entouraient : le calcul et les chiffres. Deux siècles plus tard le mathématicien perse Muhammad ibn Musa al-Khuwârizmi écrivit le premier livre en langue arabe présentant la numération indienne de position au 9e siècle, “Mafâtih al-’Olum” ce qui signifie ”livre de l’addition et de la soustraction d’après le calcul des Indiens” .C’est par cet ouvrage , écrit vers 976, que le calcul indien pénétra dans l’Occident chrétien, où vers l’an 1000, le pape Sylvestre II mit tout le poids de son autorité pour faire reconnaître ce système . Voilà donc la seule et unique raison pour laquelle ces chiffres sont dit “arabes” .

Une autre affabulation récurrente est la civilisation de la péninsule ibérique par les musulmans : dans l’Espagne des Wisigoths , les monastères regorgaient de textes anciens latins et grecs recueillis du temps de l’Empire Romain et laissés sur place , et les clercs n’y eurent jamais besoin de l’aide de quelques “Arabe” que ce soit _ tel le calife Al Mansour qui au IX° siècle fit brûler par milliers les manuscrits antiques de la Grande Bibliothèque de Cordoue !

Car si les Arabes perpétuaient d’une certaine façon l’Antiquité classique , il n’en demeure pas moins qu’ils furent bien plus des dépositaires que des créateurs de culture . Or qui avait fondé les prestigieuses civilisations dont ils reprirent les créations? Les Aryens _ du terme sanskrit ārya (avestique, airya) signifiant « excellent, honorable, noble ». _ ces populations de langue indo-européenne qui, vers la fin du IIIe millénaire avant l’ère chrétienne, s’établirent sur le plateau iranien pour pénétrer ensuite dans le Pendjab entre les ~ xviiie et ~ xve siècles, et qui n’étaient autres que les blonds Hyperboréens, mes ancêtres, qui bâtirent au fil des millénaires les plus puissantes civilisations que connut l’Antiquité, y compris l’Héllène : Homère ne décrit-il pas les principaux guerriers grecs de l’Illiade comme blonds? Et les Troyens étaient des Boréens (des Européens) de même race que leurs adversaires grecs, les Achéens “à la chevelure blonde”, également appelés Argiens (originaire d’Argolide) ou Danéens (descendants du mythique Danaos)



En Egypte, sur le tombeau du roi Sethos Ier , dans la Vallée des Rois ( 1303-1290 avant J.-C.) , se trouve une représentation d’une tribu lybienne, les Temehou : ils sont blonds, ont les yeux bleus et le teint clair, et portent un long manteau ouvert sur le devant et des plumes d’autruche dans les cheveux ; et voici maintenant la fresque ornant le tombeau du pharaon Séthi 1er ( 1294 à 1279 avant J.-C. ) où on les reconnait parfaitement!

Mais l’Egypte connut son apogée culturelle et artistique sous la dynastie des Ptolémées qui y régna de -323 à -30, et qui étaient d’origine macédonienne. C’est le premier roi de cette dynastie, Ptolémée 1er, qui fit construire la si célèbre bibliothèque d’Alexandrie, et à son sujet Théocrite écrivit “Jamais, sous son règne, une horde ennemie n’osera traverser le Nil et porter le tumulte de la guerre dans les villages d’Ègypte; jamais le pirate , s‘élançant de ses vaisseaux sur le rivage, ne viendra à main armée enlever les troupeaux de l’Égyptien. Le blond Ptolémée, si prompt à brandir sa lance meurtrière, veille à la sûreté” ( Idylles , 391 ) . Le dernier roi de Thèbes se nommait Xanthos ou Xanthe (en grec ancien Ξάνθος / Xánthos, « le blond ») . Callimaque (IIIe s. avant J.-C.) décrit les “blondes Libyennes” dans l’Hymne à Apollon, 85-87

Que les choses soient bien claires : les grandes civilisations de l’Inde, du Moyen-Orient, du bassin méditerrannéen , furent l’oeuvre quasi-exclusive des peuples nordiques qui y descendirent durant des siècles. Ce sont eux qui humanisèrent les populations locales de races indo-afghanes, orientales et méditerranéennes , et tout ce que fut en ces lieux créé comme civilisation humaine, art, science et technique est presque exclusivement le fruit de l’activité créatrice des Aryens , ce qui nous permet d’induire qu’ils sont les fondateurs déterminants d’une humanité supérieure .

Source: http://foufoune.zymichost.com/page13.html

23/11/2011

Le génocide des Pieds Noirs…

Guerre d’Algérie: remise des pendules à l’heure…
FDF
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Voir: http://www.valeursactuelles.com/dossier-d039actualit%C3%A9/dossier-d039actualit%C3%A9/guerre-d%E2%80%99alg%C3%A9rie-derniers-secrets20111103.html
Apparemment  Jean  Jacques  Jordi    a  eu   accès  a  certaines  archives  tenues  jusque là secrètes  et  ce 
qu’il  révèle avec  preuves  a  l’Appui  prouve  sans  aucun  doute  possible  que  les  Pieds  Noirs  ont  subi  un  véritable génocide 
…(  que  cela  plaise  ou  pas  a nos politiques  et   intellectuels  de  Gauche  comme de  Droite..)
N’est  pas  Mr  Bernard Henri  Levy ??? N’est ce  pas  Mr  Benjamin  Stora???
Qui accordaient plus  d’importance  a  vos  amis Lybiens et  Tunisiens  qu’a vos  propres  coreligionnaires  Pieds  Noirs  sur  qui  vous 
jetez  l’anathème depuis   des Années  et  des  Années… Les  Associations  Pieds  Noirs  doivent se  regrouper  et   au nom  de notre  peuple  porter    plainte pour crimes  contre l’Humanité…
Valeurs actuelles et  Jean- Jacques  Jordi  viennent de publier une  bombe..
Pourquoi  ne  pas  jeter  tout  cela  a la face  de La  France pour  qu’enfin  soit  reconnue  la  Culpabilité  du soi-disant plus  grand  des  Français…
…………………………………
OUI, l’ouvrage de JJ Jordi commenté élogieusement par Valeurs actuelles est une bombe, et l’inertie du camp national est surprenante, Pieds-Noirs en tête.
La communauté rapatriée, si prompte à s’indigner lorsqu’une décision administrative imbécile interdit Le Chant des Africains lors d’un dépôt de gerbe devant une stèle, reste inerte (à quelques rares exceptions près) lorsqu’un historien mandaté pour dépouiller les archives officielles de la guerre d’Algérie en tire des conclusions qui rejoignent nos positions sur les évènements de 1962, en désaccord total avec la position officielle de tous les gouvernements qui se sont succédé depuis!
Il s’agit donc, en fait, d’une REHABILITATION des partisans de l’Algérie française et de leur combat, exprimée par un historien non engagé et reprise par un hebdomadaire de grand tirage. Que nous faut-il de plus? Ne sommes-nous capables de réagir que négativement, lorsqu’on nous crache dessus?
Ce silence est pain béni pour nos adversaires. Le livre risque de passer à la trappe. Que nos porte-voix veuillent bien se réveiller  et secouer l’opinion, à la veille d’une élection majeure et du cinquantenaire des funestes accords d’Evian!
RS

21/11/2011

L’histoire de la grenouille…

Un PPS plein d’enseignement et qui va j’espère faire ouvrir les yeux à pas mal de monde…

FDF

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la_grenouille_cuite_ou_pas

16/10/2011

Islamisation: pauvres enfants Irlandais…

Et le gouvernement est de connivence; ça me rappelle un autre pays que je connais bien…

FDF

Les écoliers Finlandais obligés de subir une propagande islamophile !

Lu sur Saphirnews:

La Finlande a introduit des manuels sur la religion musulmane et les traditions islamiques dans les écoles publiques du pays. Une manière pour les autorités de mieux faire comprendre l’islam aux jeunes générations et de lutter contre les préjugés qui mine la communauté musulmane en Europe. Le pays, qui compte 5,2 millions de personnes, abrite près de 50 000 musulmans sur une population.

Un des livres, intitulé «Salam – islamin polku» («Salam – le chemin de l’islam») et conçu pour des élèves de primaires, enseigne également aux jeunes finlandais les autres religions et l’importance de la tolérance en islam, rapporte le site Onislam. De nouveaux manuels pour des élèves plus âgés sont en cours de rédaction.

«Le statut de l’islam comme une religion minoritaire se reflète dans le fait que les histoires enseignent également comment il est possible de vivre avec d’autres personnes même si la religion et les coutumes sont différentes», a déclaré Suad Onniselka, un des auteurs de l’ouvrage.

En parallèle, le gouvernement finlandais projette de lancer une formation pour les imams du pays. «Il est important que les membres de la communauté musulmane, comme ceux des autres religions, aient des liens étroits avec la société finlandaise, sa langue et sa culture», a déclaré l’archevêque Kari Makinen, le chef de l’Église luthérienne, ajoutant que cela permettra aux musulmans de se sentir vraiment chez eux en Finlande.

Source: http://www.islamisation.fr/

10/10/2011

La tigresse et les petits cochons…

Une bien belle histoire…

FDF

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  J’aime beaucoup la conclusion...   
  Dans un zoo californien, une tigresse a donné naissance à 3 petits. 
 Malheureusement, à cause de complications liés à la grossesse et de leur naissance prématurée, les tigrons sont morts peu après leur venue au monde.
La mère qui s’était bien remise de son accouchement à soudainement commencé à aller plus mal, bien que les vétérinaires la trouve physiquement en bonne santé. 
Ils ont diagnostiqué une dépression liée à la perte de ses petits et se sont dit qu’ils devaient trouver des bébés tigres orphelins pour améliorer son état.
Après avoir vérifié dans tous les états à travers le pays, il s’est avéré qu’aucun bébé tigre ne pourrait être placé auprès de la mère en deuil. 
Les vétérinaires ont alors essayé quelque chose que personne n’avait jamais tenté auparavant dans le cadre d’un zoo. Il arrive que parfois une mère d’une espèce prenne soin des petits d’une autre espèce. 
Les seuls bébés disponibles rapidement étaient des porcelets sevrés.
Les employés du zoo et les vétérinaires ont déguisé les porcelets avec des peaux de tigre et placé ceux-là autour de la maman tigre, se demandant s’ils allaient être acceptés ou se transformer en côte de porc?
Regardez… vous n’allez pas en croire vos yeux  !!!


Maintenant, dites-moi pourquoi le reste du monde n’arrive pas à vivre en harmonie ?  


Peut-être parce que certains n’aiment pas le cochon…

Merci à JC…

06/08/2011

Algérie: ce qu’on ne vous dit pas…

L’amour de la France et des Français…

Ce billet est spécialement dédié à tous les algériens de France qui n’ont cesse de m’insulter ici sur tout ce qui concerne la « colonisation » de leur foutu patelin et qui prennent ça pour excuse pour commettre toutes sortes d’exactions sur NOTRE territoire; et qui aussi pratiquent un racisme anti-blanc exacerbé. En général, on les nomme des « jeunes »: ceux-là même qui brûlent nos voitures, insultent nos filles, compagnes, épouses et mères, tirent avec des armes à feu sur nos policiers et que l’on retrouve souvent aux guichets des Allocs ou autres. 

Donc, sous forme de PPS, je leur offre une leçon d’Histoire, en souhaitant qu’ils sachent lire…

FDF

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Ici: Algerie_colonisee

01/08/2011

Un livre pour l’été: Quand l’islam était aux portes des Pyrénées…

« Je » vous ai déniché un peu de lecture pour ce mois d’août…

FDF

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De Gaston IV le croisé à la croisade des Albigeois (XIème-XIIIème siècle)

un livre pour l'été

Quand l'Islam était aux portes des Pyrénées - De Gaston IV le croisé à la croisade des Albigeois (XIème-XIIIème siècles) - couverture - édition de pocheQuand l'Islam était aux portes des Pyrénées - De Gaston IV le croisé à la croisade des Albigeois (XIème-XIIIème siècles) - dos

Par Pierre Tucoo-Chala

Version de Poche

Paru le 13/05/2000 (1ère édition juin 1994)

Editeur J & D, 18 rue de Folin, 64200 Biarritz

ISBN 2-84127-158-7

EAN 9782841271580

203 pages (11cm x 17cm x 1,6cm / 210 g)

Prix public : 11,43 €

   Ce livre raconte un grand moment de l’histoire des Pyrénées et de la France méridionale. Il commence au XIe siècle avec le grand effort de l’Occident pour se dégager de l’emprise de l’Islam, effort symbolisé par la figure du vicomte de Béarn, Gaston le Croisé, qui entra dans Jérusalem puis dans Saragosse. Sa vie a un parfum d’épopée comme celle de son contemporain, le Cid Campeador. L’histoire s’achève au XIIIe siècle dans le sang versé lors de la bataille de Muret, point culminant de la terrible crise que fut la Croisade des Albigeois.
Le couple Béarn-Aragon est au cœur de cette histoire qui est aussi celle des chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle, laboratoire d’échanges artistiques, littéraires, juridiques, économiques. L’achèvement de la Reconquista du bassin de l’Ebre permit à l’Aragon uni à la Catalogne de mettre en place un Etat à cheval sur les deux versants des Pyrénées.
Ce livre replace également dans son contexte historique cette chaîne extraordinaire de châteaux, de murailles, de cathédrales, d’églises rurales qui, dans des sites splendides, sont autant de lieux gardant la mémoire de ces temps tumultueux où l’Islam était aux portes des Pyrénées. Ces Pyrénées qui, loin de les séparer, unissaient les populations vivant sur ses deux versants.

   Pierre Tucoo-Chala est agrégé de l’Université et Docteur ès lettres.

Eminent médiéviste, il enseigna à la Faculté des Lettres de Bordeaux, puis contribua à la création de l’Université de Pau et des Pays de l’Adour, dont il est professeur émérite.

Existe aussi en version normale (24 x 15,6 x 2,8cm) :
Quand l'Islam était aux portes des Pyrénées - De Gaston IV le croisé à la croisade des Albigeois (XIème-XIIIème siècles) - couverture - Cliquer pour agrandirQuand l'Islam était aux portes des Pyrénées - De Gaston IV le croisé à la croisade des Albigeois (XIème-XIIIème siècles) - dos - Cliquer pour agrandir
Cette édition est disponible, neuve, chez l’éditeur ATLANTICA-Séguier.
Pour acheter d’occasion, voir les liens vers les libraires et bouquinistes en fin d’article.

Sommaire

(En gris clair sont indiqué les pages qui ne figurent pas dans l’édition de poche)

Préface
Bibliographie

Islam ibérique, Pyrénées et Aquitaine vers la fin du Xl° siècle

– Les grandes aires de civilisation

– Al-Andalus

– Aragon chrétien et musulman

– La formation de la vicomte de Béarn

– Les premiers chocs

– L’œuvre de Sanche-Ramirez d’Aragon

– La prise de Huesca par Pierre l » d’Aragon


Gaston de Béarn, un croisé exemplaire

– La prédication de la Première Croisade

– De Morlàas à Constantinople

– Le Proche-Orient vers la fin du XI° siècle

– Les forces en présence de Constantinople à Antioche

– La prise de Jérusalem à la bataille d’Ascalon et au retour de Gaston le Croisé

Gaston le Croisé et Alphonse le Batailleur à l’assaut de Saragosse

– Gaston le Croisé en Béarn

– La fin du règne de Pierre l » d’Aragon

– Les débuts d’Alphonse le Batailleur

– Premières interventions de Gaston de Béarn en Aragon

– Siège et prise de Saragosse

– La convention de capitulation

Le temps des chevauchées : victoires, défaites et morts

– La prise de Tudèle

– La bataille de Cutanda et ses conséquences

– Les chevaliers de Monréal et de Belchit

– La chevauchée andalouse

– La mort de Gaston le Croisé

– Fraga et la mort d’Alphonse le Batailleur

– Eglise militante, église triomphante

Béarn et Aquitaine entre les Couronnes de France, d’Angleterre, d’Aragon au temps de l’Espagne Almohade

– La succession du Batailleur

– La maison de Barcelone

– L’achèvement de la reconquête dans le bassin de l’Ebre

– L’hommage des Béarnais à l’Aragon : Canftanc

– Les premiers conflits autour de Toulouse

– L’hommage de Huesca

– Une grande famille catalane : les Moncade

Droit et société au temps des Fors de Béarn

– Chronologie des Fors de Béarn

– La noblesse en Béarn

– La paysannerie libre en Béarn

– Violences et procédure

– Les chemins vicomtaux et le droit

Les chemins de Saint-Jacques et l’intégration des Pyrénées-Occidentales dans l’Europe

– Les itinéraires dans Adour-Pyrénées

– Sainte-Christine du Somport

– Un réseau d’accueil en Béarn

– Notre-Dame de Roncevaux

– Chapitres de chanoines et confréries

– Marchands et colons

– Les débuts de l’art roman dans les Pyrénées-Occidentales : chronologie

– Un relais en Béarn : Lacommande d’Aubertin

– Influences stylistiques complexes : de la cathédrale de Lescar à celle d’Oloron

– Archéologie et géologie

Le temps de la Croisade contre les Almohades et les Albigeois (1196-1229)

– Pierre II d’Aragon en lutte sur deux fronts : Las Navas de Tolosa

– Triomphe et mort de Pierre II : Muret

– La politique de Guillaume-Raymond de Moncade

– L’assaut contre les Baléares et la mort de Guillaume II de Moncade

– Vers une nouvelle Europe

– Bibliographie Dans le véritable océan de livres suscité par l’hérésie Cathare et la croisade des Albigeois, il suffit renvoyer au travail de Michel Roquebert, L’épopée cathare, Toulouse, Privat, 4 volumes publiés de 1970 à 1989. Sur les rapports entre les Chrétiens et les musulmans qui eux aussi ont fait l’objet de multiples ouvrages, la meilleure synthèse à la portée des non-spécialistes est celle de Joseph Pérez dans l’Histoire, n°137 « Chrétiens, Juifs et Musulmans en Espagne, le mythe de la tolérance religieuse, VIIIe-XVe siècles »

Légende, littérature et histoire

– Le destin posthume de Gaston le Croisé

– Le souvenir des Moncade

– L’oliphant de Gaston de Béarn

– La vocation ibérique du Béarn

Tableaux généalogiques simplifiés

Table des illustrations en couleur hors-texte

Table des cartes et plans

Table des illustrations et documents dans le texte

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Quand l’Islam était aux portes des Pyrénées
Quand l'Islam était aux portes des Pyrénées - De Gaston IV le croisé à la croisade des Albigeois (XIème-XIIIème siècles) - couvertureQuand l'Islam était aux portes des Pyrénées - De Gaston IV le croisé à la croisade des Albigeois (XIème-XIIIème siècles) - couverture - édition de poche
dans les librairies et chez les bouquinistes :

Les deux éditions sont disponibles aussi à la boutique médiévale quand vous visitez le château de Mauvezin (Hautes-Pyrénées)

Extraits…


Préface


En 1096, un obscur chevalier pyrénéen, Gaston, vicomte de Béarn, chevauchait vers Jérusalem d’où il revint chargé de gloire avec le surnom de le Croisé, pendant que Pierre Ier d’Aragon transférait sa capitale de Jaca à Huesca dont la prise marquait la sortie de ce royaume chrétien de son petit réduit pyrénéen. Ainsi commençait la reconquête sur l’Islam de toute la vallée de l’Ebre de Tudèle à Tarragone. En 1229, un autre vicomte de Béarn trouvait la mort en débarquant dans l’île de Majorque dont l’occupation paracheva la victoire de la Couronne d’Aragon née, en 1134, grâce à l’union du royaume d’Aragon et de la principauté de Barcelone devenue la Catalogue.

Mais peu avant, entre 1212 et 1214, le sort de l’Occident, et plus particulièrement du monde pyrénéen et de la France méridionale, avait basculé pour des siècles. En 1212, à la bataille de las Navas de Tolosa, celui de l’Islam ibérique avait été scellé, sa défaite impliquant son élimination à terme. En 1213, à Muret, Simon de Montfort avait mis fin au grand projet d’un État multiforme, à cheval sur les Pyrénées, sous la houlette de la monarchie aragonaise. En 1214, les victoires des troupes de Louis de France et de Philippe Auguste à La Roche aux Moines et à Bouvines, annonçaient que les Capétiens seraient les grands bénéficiaires de cette redistribution des cartes au pied des Pyrénées.

En effet, la politique définie par Gaston le Croisé avait conduit le Béarn ainsi que la Bigorre à basculer de l’espace gascon dans l’espace ibérique. L’achèvement de la conquête des pays de l’Èbre donnait à la Couronne d’Aragon une puissance telle qu’elle avait conçu un nouveau grand dessein : absorber les pays du piémont pyrénéen nord, de ce Béarn et de cette Bigorre dont ils avaient le contrôle jusqu’à leurs possessions du Roussillon et de la Cerdagne. Trop souvent ce moment décisif dans l’histoire de la formation de la nation française est abordé de façon fragmentaire, dans des chapitres distincts : ici, la Reconquista, là, la Croisade des Albigeois alors qu’il faut rétablir leur continuité dans le cadre géographique des deux versants des Pyrénées.


C’est en quelque sorte l’objet de ce livre, dans une perspective historique définie dès 1951 par Charles Higounet dans un article intitulé « Un grand chapitre de l’histoire du XIIe siècle. La rivalité des maisons de Toulouse et de Barcelone pour la prépondérance méridionale ». Il écrivait ceci : « Entre les lignes de force que dessinent sur la carte de l’Europe les grands courants d’événements politiques du XIIe siècle… l’histoire générale a fait de l’aire définie à ses extrémités par la Gascogne toulousaine et les Alpes provençales, une sorte de zone morte… Les progrès des Capétiens et la résistance à l’hégémonie anglaise d’un côté et la reconquête ibérique de l’autre sont devenus des grands chapitres de l’histoire de France et de l’histoire d’Espagne, parce qu’en réussissant ils se sont inscrits dans les cadres, aujourd’hui atteints, de l’unité française et de l’unité espagnole. Au XIIe siècle, unité française et unité espagnole, n’avaient aucun sens. Toulouse tournait le dos à la « France » ; Barcelone participait à peine à la Reconquête. Face à face, les deux maisons rivales, la seconde surtout, ont visé à constituer, de la Garonne à l’Ebre et à la Provence, un « Etat » pyrénéen et méditerranéen. Cet État était alors, semble-t-il, une « possibilité » pas plus absurde qu’une autre. »

En cette fin du XXe siècle, où la constitution d’une Europe occidentale redonnant aux Pyrénées la mission d’unir — comme au Moyen Age — et non de séparer deux espaces géographiques, où la monarchie espagnole a donné naissance aux régions autonomes d’Aragon et de Catalogue, pendant que la régionalisation française faisait naître une Aquitaine et un Midi-Pyrénées, il n’est probablement pas inutile de revenir sur ce chapitre par trop méconnu.

Entre la fin du XIe siècle et le début du XIIIe siècle, cette histoire méridionale à cheval sur les deux versants des Pyrénées, s’inscrit dans un contexte plus général qui est celui de l’essor de l’Occident, avec la constitution d’un nouveau type d’organisation sociale basé sur des liens personnels, des serments d’hommages, l’octroi de fiefs, bref ce qu’il est convenu d’appeler la société féodale qui se développe dans une ambiance commune, chrétienne, définie tant par la lutte contre l’Islam que par l’apogée d’ordres monastiques internationaux comme Cluny et Citeaux. Cette évolution n ‘empêchait pas, de surcroît, la consolidation de « monarchies féodales » dont le royaume de France est le meilleur exemple. C’est alors que se façonne la figure légendaire du chevalier, animé par un esprit chevaleresque. Un personnage comme Gaston de Béarn, le Croisé, peut en apparaître comme le type achevé au moment même où s’élaboraient les gestes épiques de Roland et du Cid.

Tenter de reconstituer cette histoire pour la mettre à la portée de lecteurs qui ignorent tout de ce passé est tâche délicate. Sans parler de la recherche des documents d’archives et des chroniques, bien plus abondantes sur le versant ibérique que sur le versant français, nous avons bénéficié des travaux de nos prédécesseurs auxquels nous tenons à rendre dès maintenant hommage, avant de signaler leur contribution dans des orientations bibliographiques à la fin de chaque chapitre.

Merci à LCPEA…

22/07/2011

Les crimes de l’islam des origines à l’époque actuelle…

Cliquez sur le lien et bonne lecture. Ceux qui arriveront au bout auront droit à une photo de Martine Aubry dédicacée (en français encore, profitez-en)…

FDF

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Les crimes de l’islam des origines à nos jours

27/06/2011

Etrange et dangereuse Turquie…

La Turquie dans l’UE, ce n’est pas pour demain (en principe). Et pourtant, ce n’est pas sans compter les « efforts » de la part de Erdogan et de ses potes. On va bien finir par les laisser entrer, un jour. Et 80 millions de musulmans se seront infiltrés en Europe; d’un seul coup. Et là… Je ne préfère plus être de ce monde pour les « accueillir ». Et j’ai peur pour mes descendants.

En attendant, un peu d’Histoire.

FDF

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Une Turquie peut en cacher une autre…

Si on ne se préoccupe que de l’immédiat, la crise monétaire et institutionnelle de la construction bruxelloise éclipse, presque légitimement, la préoccupation qui devrait s’imposer comme essentielle pour le continent européen : son problème identitaire. De la sorte cette situation éloigne la question turque des centres d’intérêts de la bulle médiatique. Ιl faut cependant tirer les leçons du scrutin du 12 juin dans ce grand pays voisin. Aux yeux de la plupart des commentateurs agréés, le succès du parti AKP actuellement au pouvoir consolide et confirme le caractère démocratique de cette nation. De la sorte elle ne peut que paraître encore plus éligible à l’Union européenne.

Jusqu’ici la plupart des arguments avancés en faveur de cette candidature pouvaient s’appliquer à la Chine, que personne ne songerait pourtant à admettre au sein de l’ensemble bruxellois (encore que). Avec des élections libres en Anatolie, une chose devient certaine, Pékin n’entrera pas avant Ankara. On se console comme on peut.

À vrai dire, depuis 1946 ce pays vit effectivement sous le régime du multipartisme. Mais jusqu’à une date très récente, son système effectif de gouvernement compensait cette louable pratique démocratique d’une propension de l’armée à riposter par des coups d’État aux situations politiques qui lui déplaisaient.

Ainsi doit-on rappeler que le 27 mai 1960 une conjuration militaire allait renverser le gouvernement légalement élu du parti démocrate. Le chef du gouvernement Adnan Menderes fut alors condamné à mort et exécuté le 16 septembre 1961 en compagnie de son ministre des Affaires étrangères et de son ministre des Finances. En octobre de la même année le général Gürsel que les putschistes avaient propulsé à la tête de l’État rendit le pouvoir aux civils. Le 12 mars 1971 le chef d’État-major, la général Tagmarc adressait un mémorandum au premier ministre Demirel pour imposer « dans le contexte des principes démocratiques (sic) un gouvernement fort ». Il s’agissait de mettre un terme à une violence grandissante entre nationalistes et marxistes. Après une « franche explication » de 3 heures le chef du parti démocrate dut se rendre aux arguments toujours si convaincants de cette armée si républicaine. Dans des conditions comparables, le 12 septembre 1980 le général Evren s’empara du pouvoir. Plus tard, il fera rédiger une constitution aujourd’hui encore en vigueur, – mais qu’on se propose de réviser radicalement désormais. Jusque-là ce genre de scénario recevait l’approbation des Etats-Unis, et plus discrètement d’Israël. On appelait cela défense de la démocratie, de la laïcité et des valeurs occidentales.

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Tout change à partir de la fin des années 1990 où la réislamisation de la Turquie, constante depuis la guerre, se traduit ans les urnes. Rappelons que dans ce beau pays, une fraction grandissante de la jeunesse est scolarisée dans des écoles dites « imam-hatip », dont « soixante pour cent de leur programme est de l’éducation normale, 40 % est islamique ». (1) Mécaniquement dès 2004 (le gouvernement AKP datant de 2003) leurs élèves ont commencé à vouloir pénétrer l’université ce qui inquiétait fortement l’armée. (2)

Entre-temps celle-ci avait remporté son dernier vrai succès avec le « coup d’État post-moderne » du 28 février 1997 forçant sans heurt à la démission le vieux chef islamiste Erbakan, qui était devenu chef d’un gouvernement de coalition à la suite de la première poussée électorale de son parti.

Celui-ci fut dissous. Mais il réapparut sous une forme désormais « modérée ». Dans la belle et forte carrière du nouveau chef l’actuel premier ministre Recep Tayyip Erdoğan, on insiste trop peu sur son origine d’ancien élève du lycée immam-hatip. Pourtant lorsqu’en 2009 il rend visite à ses frères pakistanais et à son ami iranien (3) il ne manque pas de s’en glorifier. Dès l’âge de 16 ans, ce garçon plein de talent avait été appelé dans son lycée coranique à remplacer le prédicateur.

On entend d’ailleurs rappeler assez souvent qu’il a connu la prison pour avoir clamé un poème qui, au fond, une fois traduit en français, pourrait sembler, en apparence du moins, plus anodin qu’on ne cherche à le dire. « Les mosquées seront nos baïonnettes »… Cela peut éventuellement s’entendre à double tranchant. Mais, dans mon petit livre sur la Question Turque(4)j’explique la véritable dimension de cette affaire, eu égard en particulier à la question arménienne. Bref, il ne s’agit pas seulement d’un ex martyr de la liberté d’expression.

Depuis 2003, cet habile démagogue a réussi à tromper l’Europe sur son alliance avec les libéraux. On communique très peu sur le fait qu’il emprisonne, accuse, poursuit en justice des journalistes. Même Ahmet Altan le directeur de Taraf, bête noire, on hésitera ici à le qualifier de tête de Turc, des militaires kémalistes, et qui avait semblé un de ses soutiens se voit attaqué par le très susceptible et colérique premier ministre.

En avril 2007 éclate une affaire, d’ailleurs obscure, qui va commencer à marquer le recul du pouvoir militaire et des réseaux de pouvoir arque boutés sur la laïcité théorique de l’État. On pense que l’Armée aurait cherché, via des données figurant sur le site internet de l’État-major, à entreprendre une nouvelle épreuve de force. Plus de 10 ans sans putsch cela commençait à bien faire. Échec, nous affirme-t-on, la conjuration est éventée. Les comploteurs ont été mis sous les verrous, inculpés, poursuivis, dénoncés au grand jour, etc.

Or depuis lors, une à une, toutes les épreuves entre le camp laïc, militaire, judiciaire et économique et le camp gouvernemental islamique ont tourné en faveur ce ce dernier, au profit du parti AKP, de son chef Erdogan et de son compagnon fidèle Abdüllah Gül, président de la république. Y compris ce dernier scrutin aux résultats presque décevants puisque, malgré son succès, l’AKP devra composer avec les autres partis pour réformer la constitution. Accessoirement on constatera sur la carte que nous publions ci-dessus que les taches rouges correspondent aux départements où les laïcs l’emportent: cette zone correspond à la Turquie occidentalisée, celle que fréquentent les Européens. Une toute petite tache bleue, à la lisière du Caucase marque le dernier département « tenu » par les nationalistes qu’on avait imaginé éliminé en fabriquant des affaires de mœurs contre ses dirigeants, mais qui demeurent au parlement. Les taches vertes marquent la victoire du parti kurde. Faut-il commenter le caractère géographique de cette situation politique ?

Si régulière qu’on puisse l’enregistrer, la troisième victoire électorale en ce beau mois de juin des islamiques au pouvoir à Ankara nous semble d’abord entériner la lente dérive de ce pays vers l’identité musulmane, vers la solidarité islamique et la reconstruction de l’espace ottoman. Naturel, dira-t-on peut-être. Mais aussi de plus en plus incompatible avec l’appartenance à l’Europe, voilà ce qu’on doit se borner à constater.

JG Malliarakis
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Apostilles

  1. cf. déclaration du ministre afghan de l’éducation Farouk Wardak in Hürriyet Daily News du 31 janvier 2010. « Afghanistan wants Turkey to build imam-hatip schools in country ».
  2. cf. dépêche AFP du 6 mai 2004 « Imam-Hatip : l’armée réservée sur une réforme favorisant les écoles religieuses ».
  3. cf. article de M. Jean Marcou du 1er novembre 2009 sur le site « Observatoire de la vie politique turque »
  4. cf. « La Question turque et l’Europe » un livre de 190 pages au prix de 20 euros port compris que les lecteurs de L’Insolent peuvent commander par correspondance aux Éditions du Trident 39 rue du Cherche-Midi 75006 Paris tel :             06 72 87 31 59      .

Source: http://www.insolent.fr/

15/06/2011

En mémoire des 1927 marins français morts sous le feu « allié » le 3 juilet 1940…

Allez. Un peu d’Histoire…

FDF

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3 JUILLET 1940… L’AGRESSION BRITANNIQUE SUR MERS-EL-KEBIR

 

« Le souvenir de ces morts dérange tout le monde parce que l’évènement échappe à la logique. Il est à part des tragédies de la guerre. Personne n’a intérêt à ce que l’on en parle trop » (Amiral Marcel Gensoul)

 

Mers El-Kébir… le « Grand Port », mot composé arabe, évoque la mer, que ce lieu géographique essaie d’étreindre dans la tenaille, largement ouverte de sa rade, et l’installation portuaire que la France de la seconde moitié du XX° siècle y a créée…

Tour à tour, port de pirates, centre de transit commercial et base navale, elle a offert une physionomie différente à chaque nouveau contact de populations, à travers les vicissitudes d’une histoire bimillénaire. Ce mouillage est à 200 kilomètres des ports ibériques de Carthagène et d’Alméria, du port rifain de Mélilla, à une distance à peu près double du Détroit de Gibraltar, passage obligatoire de la Méditerranée à l’Atlantique ou du Moyen Orient à l’Occident européen.

Mieux abrité que Gibraltar, le port possède une des rades les plus belles et les plus sûres de l’Algérie. Le site profite enfin de la proximité de l’agglomération urbaine d’Oran, créée au début du X° siècle.

Le but de la base navale est, non seulement de compléter la défense des côtes algériennes, de maintenir l’intégrité du territoire français, mais aussi d’assurer la liberté des communications et d’organiser notre présence dans la Méditerranée occidentale, en cas de conflit, face à une Italie hostile (en 1939) et à une Espagne d’une neutralité bienveillante envers les pays de l’Axe Berlin-Rome.

L’armistice franco-allemand du 18 juin 1940 consacre l’échec de nos armées sur terre ; notre flotte, une des plus puissantes qui n’avait pas été vaincue, est libre. Ni l’amiral Darlan, ni le général Weygand n’ont l’intention « …de livrer à l’ennemi une unité quelconque de notre flotte de guerre » et de Gaulle le dira, le 16 juin à Churchill en ces termes  « La flotte ne sera jamais livrée, d’ailleurs, c’est le fief de Darlan ; un féodal ne livre pas son fief. Pétain lui-même n’y consentirait pas ».

Les Anglais, de leur côté, désirent que notre flotte, riche en unités lourdes et légères, se rende dans leurs ports. Elle aurait pu le faire, le 16 juin 1940, mais personne ne lui en donne l’ordre et la Marine reçoit l’assurance, « qu’en aucun cas, la flotte ne sera livrée intacte », mais qu’elle se repliera probablement en Afrique ou sera coulée précise l’Amiral Darlan. Hitler ne demande pas livraison de notre flotte (le projet d’armistice ne le prévoyant d’ailleurs pas), pas plus que de nos colonies, sachant qu’il n’est pas dans nos intentions d’accepter de telles exigences.

Les 18 et 19 juin, sont sabordées ou détruites, des unités  en construction à Cherbourg, celles en réparations à Brest, Lorient, La Pallice et au Verdon. Les bâtiments capables de prendre la mer appareillent partie pour Plymouth, partie pour Casablanca, même le cuirassé Jean Bart inachevé.

Le 27 juin, Churchill, en dépit des assurances données par le gouvernement Français, décide, dans le plus grand secret, de mettre « hors d’état de nuire » la marine française. Cette opération aura pour nom Catapult.

Le 30 juin, dans un accès de colère, l’amiral North s’adresse à l’amiral Somerville :

– Qui a eu cette fichue idée (opération Catapult) ?

– Churchill ! répondit Somerville

-No Catapult but Boomerang ! Cette opération nous met en danger, répliqua North. Winnie (Churchill) est fou ! Je vois ce qu’il veut mais c’est une solution criminelle.

 Les bâtiments de la Méditerranée, le 3 juillet 1940, sont amarrés le long de la jetée de Kébir, d’Est en Ouest : le transport Commandant Teste, les cuirassés Bretagne et Provence, les croiseurs Strasbourg et Dunkerque. Leur font vis-à-vis, dans le fond ouest de la baie, six contre-torpilleurs : Mogador, Volta, Tigre, Lynx, Terrible, Kersaine…les fleurons de la flotte française. Au mât du Dunkerque, flotte la marque de l’Amiral Gensoul, commandant en chef… La démobilisation doit commencer dans quelques jours, les équipages se préparent à aller en promenade pour se distraire à terre.

Les clauses de l’armistice ont été scrupuleusement observées, et dans le délai qui avait été fixé. Sur nos bâtiments, les culasses des pièces ont été démontées ; il en a été de même dans les batteries de côtes et de D.C.A. Dans les hangars d’aviation, les mesures de démobilisation ont été prises ; on a vidé les réservoirs de leur essence, démonté les canons des chasseurs et les mitrailleuses de tous les appareils ; les munitions ont été rassemblées et mises en dépôt.

Vers 7 heures du matin, un torpilleur anglais, le Foxhound, se présente devant Mers El-Kébir. Un premier message annonce qu’il a à son bord un officier britannique, chargé d’apporter au commandant en chef de la flotte de l’Atlantique une communication de la plus haute importance. Mais une véritable force navale l’accompagne : le Hood, bâtiment de 42000 tonnes, le plus grand cuirassé du monde, armé de pièces de 380 ; le Vaillant, la Résolution, armés également de pièces de 380 ; l’Ark-Royal, le plus rapide des porte-avions anglais, tous escortés de bâtiments légers et de torpilleurs.

Sur les bâtiments français, l’arrivée inattendue de cette imposante armada provoque de l’étonnement, qui sera bientôt de la stupeur. Un officier d’état-major français est envoyé par l’amiral Gensoul à la rencontre de l’officier britannique, le commandant Holland. Celui-ci est porteur d’un document qu’on peut résumer ainsi :

« La flotte de l’Atlantique est invitée à rallier la flotte britannique, ou à défaut, un port de l’Amérique, avec équipages réduits. En cas de refus de cette offre, elle devra se saborder, sinon, par ordre du gouvernement de Sa Majesté, la flotte britannique usera de la force. »

L’amiral Gensoul réafirma au parlementaire britannique que les craintes de voir les bâtiments français tomber aux mains des Allemands et des Italiens étaient injustifiées : « La marine française n’a pas l’habitude de manquer à sa parole ! », s’exclama-t-il.

Plus tard, il affirmera qu’il ne pouvait accepter « un ultimatum se terminant par : « ou vous coulez vos bateaux ou je vous coule. C’est exactement : la bourse ou la vie… quelquefois, on donne sa bourse pour sauver sa vie. Dans la Marine, nous n’avons pas cette habitude-là ». Servitude et grandeur militaires !

Ainsi, nos bâtiments, contre la force, se défendraient par la force.

Au moment où l’officier britannique sortait de la rade, le commandant de la flotte anglaise signalait : « Si les propositions britanniques ne sont pas acceptées, il faut que je coule vos bâtiments. »

Les bateaux français, aux feux éteints, disposés pour un désarmement rapide, reçoivent l’ordre à 7h55 : « Prendre dispositions de « combat », puis à 9h10 : « Flotte anglaise étant venue nous proposer ultimatum inacceptable, soyez prêts à répondre à la force par la « force ».

En effet, le 3 juillet 1940, vers 10h, l’Amiral anglais Somerville adresse un ultimatum aux unités de la flotte française : « Coulez vos bâtiments de guerre dans un délai de 6 heures, ou nous vous y contraindrons par la force. »

Après un conseil tenu par l’Amiral Jarry, commandant la Marine à Oran, le général de Saint-Maurice et le Préfet Boujard, celui-ci informe la population, par un communiqué affiché à 13h30, « qu’une alerte réelle pourrait avoir lieu l’après-midi, l’invite à se réfugier dans les abris, tranchées, etc…, renvoie les élèves dans leur famille ». Les consulats anglais du département sont gardés et surveillés, pour parer à toute manifestation. Les services de défense passive, l’hôpital, les services sanitaires, la Croix-Rouge et la police sont alertés. La dispersion des habitants de Mers El-Kébir est décidée, seul le Maire, les conseillers municipaux, les fonctionnaires et ouvriers de la Centrale et des travaux portuaires restent à leur poste.

Dès 14h, heure approximative de l’expiration de l’ultimatum, les avions de l’Ark Royal volant sur l’eau déposent des mines magnétiques, à l’entrée du port et de la rade de Mers El-Kébir. L’escadre française est pratiquement bloquée (Churchill l’a reconnu). L’Amiral Gensoul cherche à gagner du temps pour permettre aux batteries côtières, aux avions de la Sénia (aéroport situé à la périphérie d’Oran), aux unités de la Flotte, de se réarmer pour le combat et aussi de laisser à nos alliés d’hier le temps de réfléchir à la portée de leur ultimatum. L’amiral anglais répond à une demande de cesser le feu qu’il ne l’arrêtera « que quand toute la flotte française sera coulée ».

A 16h56, la flotte anglaise commence le feu. Abritée derrière l’éperon rocheux du fort de Mers El-Kébir, elle tire à cadence accélérée sur nos bâtiments qui cherchent à sortir de la rade. Les consignes s’exécutent partout avec ordre, à Oran comme à Kébir. Après 12 ou 15 minutes de « tir au gîte », les batteries côtières du Santon et de Canastel répondent au feu des Anglais ; le Strasbourg sort des passes. Le bilan s’établit ainsi : le croiseur Bretagne, atteint, explose, coule en sept minutes et disparaît sous l’eau : 150 hommes seulement sur 1300 fuient la mort, soit à la nage, soit en chaloupes. Le croiseur Dunkerque, n’ayant pu prendre la mer, à cause d’une avarie à son gouvernail, reçoit un obus qui tue 150 marins, plus de 100 mécaniciens et chauffeurs, 2 ingénieurs… Le bâtiment est hors de combat. Le croiseur Provence, touché, peut par ses propres moyens, aller s’échouer sur la côte de Kébir : il y a 4 morts. Le contre-torpilleur Mogador X61, incendié par l’arrière, s’échoue et compte 14 morts. Le Rigaut de Genouilli est atteint, seul le Commandant Teste, non cuirassé, amarré à la jetée en construction, est intact. Le Strasbourg fonce vers la haute mer, part vers Alger, puis Toulon.

            Et partout ces mêmes visions apocalyptiques ;  parmi les carcasses d’acier éventrées, calcinées, retentissaient les cris déchirants de centaines et de centaines de marins agonisants, mutilés, brûlés ou suffoquant au milieu d’une fumée âcre et d’un mazout noirâtre qui étouffent leurs dernières plaintes.

Aussitôt les secours s’organisent. Le Maire de Mers El-Kébir, M. Boluix-Basset, les pêcheurs, gendarmes, pompiers, marins rescapés et la population aident au sauvetage des hommes des bâtiments atteints, jetés à l’eau valides ou blessés. Une chapelle ardente est installée dans la salle du cinéma de Kébir. Les obsèques des 1380 marins –assassinés- ont lieu le 5 juillet, au cimetière de Mers El-Kébir, en présence du Maire, du Préfet et de l’Amiral Gensoul qui s’adressera une dernière fois à ses hommes en ces termes : « Vous aviez promis d’obéir à vos chefs, pour tout ce qu’ils vous commanderaient pour l’Honneur du Pavillon et la grandeur des armes de la France. Si, aujourd’hui, il y a une tache sur un pavillon, ce n’est certainement pas sur le nôtre. »

Le drame n’est pas terminé pour autant. La haine ancestrale de nos « alliés » allait se concrétiser ce 6 juillet 1940. A 6h30, par trois fois en vagues successives, des avions britanniques survolent la rade, à basse altitude, déposent des mines magnétiques entre le Dunkerque et la passe, prennent le navire comme cible. Torpilles et bombes atteignent le bâtiment qui s’enfonce et échoue sur le fond, en donnant de la bande. Les trois chalutiers ou remorqueurs, coopérant à l’évacuation des morts du 3 juillet, sont coulés à leur tour. La D.C.A  côtière, les batteries du Santon, Bel Horizon et Lamoune, les mitrailleuses installées sur la côte, au stade de la Marsa et à l’usine électrique répondent. Le drame, c’est que cette attaque fera encore 205 tués et 250 blessés atteints gravement. Au total, la marine française déplore plus de 1927 morts ou disparus et plusieurs centaines de blessés dont la plupart gravement brûlés. Deux avions anglais sont abattus.

Ce qui est horrible, c’est que les marins anglais ont tué en une semaine plus de marins français que la Flotte allemande pendant toute la seconde guerre mondiale. Nous ne sommes pas loin des 2403 morts du drame de Pearl Harbor, l’un des grands événements de cette guerre puisqu’il décida de l’entrée en guerre des Etats-Unis d’Amérique. Mais les Japonais étaient leurs ennemis, les Anglais étaient nos alliés. C’est là un crime inqualifiable… impardonnable.

Le 8 juillet, De Gaulle, parlant au micro de la BBC, déclare :

« En vertu d’un engagement déshonorant, le gouvernement qui fut à Bordeaux avait consenti à livrer nos navires à la discrétion de l’ennemi… J’aime mieux savoir que le « Dunkerque » notre beau, notre cher, notre puissant « Dunkerque » échoué devant Mers El-Kébir, que de le voir un jour, monté par les Allemands, bombarder les ports anglais, ou bien Alger, Casablanca, Dakar. » … et pas le moindre mot de compassion envers les victimes de cette tragédie.

Pour la première fois se trouvait ainsi affirmée, dans la bouche même d’un général français, une contrevérité : Alger, Casablanca, Dakar, donc les clés de l’Empire, allaient être utilisées contre les alliés britanniques. Et comme il vouait une haine viscérale à « l’Empire » qu’il considérait comme « Pétainiste » et qu’il fallait absolument mettre au pas pour la réalisation future de ses desseins, il donna à la flotte britannique, le 23 septembre 1940, la consigne de bombarder Dakar. Ce fut l’échec. L’insuccès des Britanniques fit comprendre aux uns et aux autres qu’il était vain de vouloir détacher l’Empire français de la Métropole et que la poursuite des attaques servirait de prétexte à une intervention allemande.

Dans ses mémoires, Churchill n’a pas caché son embarras. Il a comparé Mers El-Kébir à une tragédie grecque : « Ce fut une décision odieuse, la plus inhumaine de toutes celles que j’ai eues à partager », écrira-t-il.

Les historiens, les politiques, les « moralistes » et les censeurs qui ont eu à juger des hommes, des gouvernants, et à écrire l’Histoire, ont dédaigné de prendre en considération le traumatisme dévastateur que cet événement tragique avait produit dans les esprits…

Mers El-Kébir explique en grande partie l’attitude de bon nombre de nos gouvernants de Vichy durant le conflit comme elle explique aussi celle des autorités civiles et militaires d’Algérie en 1942-1943 et d’une population acquise au Maréchal Pétain mais volontaire pour poursuivre la lutte avec Darlan et Giraud contre les puissances de l’Axe.

L’Afrique du Nord, malgré son traumatisme, accepta de rentrer en guerre en 1942 et sera avec son « armée d’Afrique », l’une des composantes de la victoire finale. Elle conservera, néanmoins, son hostilité à De Gaulle, que ce dernier, devenu président du Comité de la Libération devait justifier… Il se souviendra toujours de ce sentiment d’inimitié à son égard et, dès 1958, remis au Pouvoir par ceux-là mêmes qui l’avaient blâmé, leur fera supporter amèrement le poids de sa rancune…

Ces morts Français, bannis de la mémoire nationale, auraient pu reposer en paix. Or, le 5 Juillet 2005, jour anniversaire d’une autre tragédie (Le massacre de plus de trois mille Européens, le 5 Juillet 1962 à Oran), le cimetière de Mers El-Kébir fut saccagé sans qu’aucune autorité gouvernementale française, aucun média, aucune association humanitaire et « antiraciste », n’élevassent la moindre protestation, préférant s’humilier à « commémorer » la « répression » (beaucoup plus commerciale) de Sétif par l’armée française en 1945.

Aujourd’hui encore, le souvenir de cette lâche agression britannique contre une flotte au mouillage et désarmée demeure vivace dans la Marine et, paraphrasant Talleyrand, on peut affirmer que « Mers El-Kébir a été pire qu’un crime, une faute ».

Quant aux survivants de cette tragédie qui défilèrent devant les cercueils de leurs camarades, ils ont conservé depuis, ce visage dur des hommes qui n’oublient pas.

 

N.B : Le 24 mai 1941, au large de l’Islande, le cuirassé Bismarck coula le Hood. Trois  jours plus tard, le 27 mai 1941, il fut attaqué au large de Brest et sombra à son tour sous les coups d’une armada britannique.

 

                                                                                                                                                                                José CASTANO

                                                                                                                                                        

 

« Le souvenir est un honneur, oublier serait une honte » (Devise du « Souvenir Français »)

« Les affronts à l’honneur ne se réparent point » (Corneille – Le Cid)

 

 

– Pour visionner la vidéo sur cette tragédie et consulter les photos – cliquez sur : MERS EL KEBIR 3 Juillet 1940

            … et également sur :  Mers-El-Kébir

Source: José Castano

 

21/05/2011

Similitudes entre Nazisme et Islamisme…

On retrouve, dans cette vidéo (en anglais, mais nul besoin de traduire, je pense…) une étude des similitudes entre l’idéologie du Nazisme et et celle de l’Islamisme. Pour le moins étonnant.

FDF

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Ici: http://youtu.be/7Gzyeo1Z1I4

03/05/2011

Quand Hitler rêvait d’un empire islamique germain dominant le monde… et regrettait que l’islam ne soit pas la Religion d’Etat en Allemagne…

Eh ben, on a eu chaud…

FDF

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On trouve en ce moment dans les bacs de la Fnac, rayon Histoire, la réédition des mémoires d’Albert Speer, architecte en chef du despote criminel.

Speer, intime parmi les intimes, raconte entre autre dans son livre, le point de vue de son maître sur la religion, les musulmans, l’islam et le christianisme.

Page 138, on peut lire le passage suivant :

L’image que Hitler se faisait de l’Eglise officielle apparaissait clairement dans ces propos que lui aurait tenus une délégation de notabilités arabes dont il faisait sans cesse état :

Quand, au VIIIème siècle, auraient déclaré ces visiteurs, les musulmans avaient voulu envahir l’Europe centrale en passant par la France, ils avaient été battus à la bataille de Poitiers. Si les arabes avaient gagné la bataille, le monde entier serait aujourd’hui musulman. Ils auraient en effet imposé aux peuples germaniques une religion dont le dogme, propager la foi par l’épée et soumettre tous les peuples à cette foi, était comme fait pour les Germains… Les conquérants n’auraient pas pu se maintenir contre les indigènes plus vigoureux et habitués à la rudesse de cette nature où ils avaient grandi, si bien que, pour finir, ce ne sont pas les Arabes mais les Germains, convertis à la foi musulmane, qui auraient été à la tête de cet empire mondial islamique.

Hitler avait l’habitude de conclure ce récit par la déclaration suivante :  » nous avons la malchance de ne pas posséder la bonne religion… La religion musulmane serait bien plus appropriée que ce christianisme, avec sa tolérance amollissante… » Le livre ici

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Notre liberté avant tout :

– Critiquer la religion n’est pas un délit

– Critiquer l’islam n’est pas un délit

– Critiquer l’islam n’est pas raciste car l’islam n’est pas une personne

– Critiquer l’islam est un devoir

– C’est l’inhumanité de l’islam qui témoigne de son origine humaine

– Que chacun pratique sa religion dans son espace privé pour ne pas l’imposer à l’autre, directement ou indirectement. Aujourd’hui, nous ne sommes plus dans cet état d’esprit. Il faut donc remettre les choses à leur place. Le plus tôt sera le mieux.

Islamisation et révoltes

Hassan II : les Arabes ne seront jamais intégrés ce seront de mauvais Français…

Source: http://revolteseneurope.over-blog.com/

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