Francaisdefrance's Blog

25/02/2012

Le crime de « diffamation des religions » bientôt adopté au niveau mondial ?

C’est bien évidemment un tour de passe-passe pour créer un délit de diffamation de la religion islamique, uniquement. Mais nous étions déjà prévenus.

Le retour du Califat; et un nouveau combat pour conserver nos origines chrétiennes… Nous sommes prêts.

FDF

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Une conférence intitulée «Processus d’Istanbul» vise à faire adopter en droit international la diffamation des religions.

On sait ce qui va se passer si ce programme est adopté : il n’y aura aucune réciprocité ; la liberté d’expression va reculer en Occident ; la répression des minorités et des esprits libres va s’accroître dans les pays musulmans ; et l’intolérance religieuse, loin de diminuer, va aller en augmentant.
– La Commission Européenne fer de lance de la tentative islamique de criminaliser la liberté d’expression
– L’Union européenne a proposé d’accueillir la prochaine réunion du Processus dit d’Istanbul, une tentative agressive des pays musulmans de faire de la critique de l’islam un crime international.
– L’annonce intervient moins d’un mois après que les États-Unis aient organisé leur propre Conférence du Processus d’Istanbul à Washington.
– Le Processus d’Istanbul – son but explicite est d’inscrire dans le droit international une interdiction mondiale de tout examen critique de l’islam et/ou de la charia islamique – est dirigé par l’Organisation de la coopération islamique (OCI), un bloc de 57 pays musulmans. Basée en Arabie saoudite, l’OCI a longtemps fait pression sur l’Union européenne et les États-Unis pour imposer des limites à la liberté de parole et d’expression sur l’Islam.   (suite  sur le lien ci-dessous)

http://observatoiredesconspirations.over-blog.com/article-le-processus-d-istambul-99749186.html
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Le « Processus d’Istanbul », un processus pervers
Nina Shea rend compte de la conférence qui s’est déroulée à Washington avec l’OCI dans le but de mettre en œuvre des résolutions de l’ONU qui, sous prétexte de combattre «l’intolérance religieuse», menacent de conduire à la répression de toute critique de l’islam.

La réunion de Washington a été planifiée à Istanbul en juillet dernier, d’où le nom «Processus d’Istanbul».

Le processus a été dénoncé par des leaders musulmans d’Amérique du nord dans une déclaration dont Tarek Fatah est l’un des signataires.

Lire aussi :
USA : le « Processus d’Istanbul » est une bien mauvaise idée

USA : Département d’État contre Liberté d’expression
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La Secrétaire d’Etat Hillary Clinton a clôturé mercredi le «Processus d’Istanbul», une conférence internationale de trois jours à huis clos sur les mesures de lutte contre «l’intolérance religieuse, les stéréotypes négatifs et la stigmatisation», organisée par le Département d’Etat.

La conférence avait pour but de «mettre en œuvre» la résolution 16/18 adoptée en mars dernier par le Conseil des droits de l’homme de l’Onu sur ce sujet. Cette conférence a été une folie, même si Clinton a défendu la liberté de religion et de parole dans son discours de clôture.

La résolution 16/18 remplace le dangereux projet de pénalisation de la «diffamation des religions» dans le monde entier. La demande d’une loi universelle sur le blasphème a été poussée sans relâche pendant 12 ans par l’Organisation de coopération islamique basée en Arabie saoudite, un organisme essentiellement religieux mandaté pour «combattre la diffamation de l’islam». L’OCI émet des fatwas et d’autres directives pour punir l’expression publique de l’apostasie de l’islam ainsi que «l’islamophobie».

Les leaders de cette campagne de l’OCI – l’Arabie saoudite, l’Iran, l’Egypte et le Pakistan – emprisonnent les «blasphémateurs» ou les condamnent à mort.

La résolution 16/18 déplore l’intolérance religieuse ; toutefois, grâce à une manœuvre habile du Département d’État, elle n’apporte pas de restriction à la liberté de parole. L’Administration aurait dû en rester là. Au lieu de cela, alors qu’elle co-présidait une «réunion de haut niveau» de l’OCI sur l’islamophobie à Istanbul en juillet, Mme Clinton a invité l’OCI à Washington pour discuter de la manière de «mettre en œuvre» la résolution 16/18. Même si la conférence de Washington s’est terminée sans véritable conclusion, elle n’aurait pas dû avoir lieu, pour les raisons suivantes :

– Elle a offert à l’OCI une plate-forme transnationale lui permettant de raviver son agenda contre la diffamation de la religion alors que cette question avait été enterrée à l’ONU. L’Administration a commis une erreur en pensant que la résolution 16/18 représente une convergence de vues entre l’OCI et les USA sur la liberté de religion et de parole.

A Istanbul, Mme Clinton a affirmé que les États-Unis ne veulent pas de restrictions à la liberté de parole. Toutefois, son annonce de la conférence a immédiatement relancé les demandes de l’OCI que l’Occident punisse les discours anti-islamiques. Comme le rapportait l’OCI : «Les réunions qui se tiendront prochainement [à Washington] … permettront l’adoption de lois nationales par les états concernés par ce problème, ainsi que la formulation de lois internationales visant à empêcher l’incitation à la haine résultant de la diffamation des religions».

– La conférence a injustement singularisé les États-Unis pour un examen critique.

Lors de l’ouverture de la conférence, un avocat du gouvernement a présenté un portrait biaisé de l’historique du sectarisme contre les minorités religieuses, y compris les musulmans, sans expliquer notre succès relativement exemplaire en matière de respect des libertés individuelles de religion et de parole dans une société extraordinairement tolérante et pluraliste. Il a dit aux participants, dont certains représentaient les nations les plus répressives au monde, que l’Amérique pouvait tirer des enseignements de leur expérience de la protection de la tolérance religieuse.

– En restant «unis» (terme utilisé par le chef de l’OCI dans un article publié dans un quotidien turc), avec l’OCI sur ces questions, les États-Unis semblent valider l’agenda de l’OCI, ce qui démoralisera les innombrables défenseurs des droits des femmes et des droits humains, blogueurs,  journalistes, minorités, convertis, réformateurs, et tous les autres dans les pays membres de l’OCI qui comptent sur le soutien des États-Unis contre l’oppression.

– La conférence suscite des attentes de réglementation du discours sur l’islam par les États-Unis comme l’ont fait l’Europe de l’ouest, le Canada et l’Australie.

L’Union européenne a imposé l’adoption de normes sur le discours religieux haineux après l’éruption d’émeutes et d’autres violences dans le monde suivant la publication des caricatures de Mahomet dans un journal danois. La conférence intensifiera les pressions exercées sur les États-Unis pour qu’ils se conforment à ces nouvelles «meilleures pratiques» mondiales.

– Clinton a naïvement irrité les diplomates islamistes mercredi  en disant : «Nous devons dépasser l’idée selon laquelle nous pouvons opprimer les minorités religieuses et restreindre la liberté de parole, et que nous sommes assez intelligents pour substituer notre jugement à celui de Dieu en déterminant qui a blasphémé ou pas ». Il est peu probable que l’establishment wahhabite saoudien se laisse persuader par de tels arguments d’«infidèles».

Les diplomates américains devraient mettre fin au «Processus d’Istanbul» et commencer à promouvoir avec énergie et confiance les vertus de notre Premier amendement. Ils doivent être soigneusement informés de la position intransigeante de l’OCI sur les lois sur le blasphème et l’ampleur des atrocités qui y sont associées. Ils doivent cesser d’envoyer les signaux d’un consensus sur ces questions entre l’OCI et nous.

Source: http://www.postedeveille.ca/

23/01/2012

L’islam est la tromperie la plus réussie de l’histoire de l’humanité ! (Amil Imani)…

Rejoignez les rangs des hommes libres qui ont choisi de ne pas tomber dans la tromperie de l’islam ! Le troisième Reich n’a rien inventé…

FDF

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« Malgré la propagande massive des organisations islamiques, de plus en plus de gens commencent à reconnaître l’islam pour ce qu’il est en réalité : une tromperie.

Je propose à tous les musulmans culturels ou n’importe quelle autre sorte de musulman non-djihadiste, d’accomplir avec courage ce qui est juste, et de faire le saut décisif : inhalez la vie à pleins poumons, respirez le délicat parfum de la liberté, oubliez cette tromperie de l’islam, et venez rejoindre les rangs des hommes libres, là où tous les membres de la tribu humaine peuvent vivre en paix et dans l’harmonie. »

L’islam n’est pas une religion mais une forme d’esclavage

http://www.postedeveille.ca/

Amil Imani est un Américain d’origine iranienne. Ancien musulman, il tente d’alerter le monde au danger de l’islam radical et de libérer ses coreligionnaires de l’emprise de l’islam. Écrivain, essayiste, poète, traducteur, conférencier et analyste politique, Imani collabore à la rédaction de FamilySecurityMatters.org et est l’auteur de Obama Meets Ahmadinejad et du thriller Operation Persian Gulf.


Dans le primitif désert d’Arabie, est apparu il y a quatorze siècles, un employé illettré d’une riche veuve, Khadija, prétendant être porteur de préceptes de vie parfaits dictés par Allah : le coran.

Il proclama que l’humanité n’avait rien de mieux à faire que de suivre ces préceptes et d’imiter son comportement dans la vie pour garantir son bonheur et son salut. En contrepartie, les gens devaient adopter l’islam – se soumettre – en inféodant leur liberté à Mahomet.

L’islam est la tromperie ayant rencontré le succès le plus énorme de l’histoire de l’humanité. Des millions de mollahs et d’imams entretiennent cette arnaque et un milliard et demi de croyants en paient le prix. Ils paient en argent, en labeur et même de leur vie pour les reconnaissances de dette des organisations musulmanes qui se faufilent dans la vie sans jamais la moindre goutte de sueur pour gagner leur pain quotidien. L’islam est une arnaque et les musulmans en sont les victimes.

Mahomet, pendant sa période mecquoise, était ridiculisé par les membres de sa propre tribu, les Quraychites, pour ses propos incohérents. Ils le surnommaient le « shaeron majnoon », le poète cinglé.

Le décès de sa première épouse, et très riche patronne, laissa Mahomet dans une situation précaire et à la merci des quolibets et du harcèlement des Mecquois. Il a pris la fuite vers Médine, et dans la sécurité relative de cette ville où vivait une large communauté juive tolérante, il trouva davantage de gens disposés à rejoindre sa clique.

Arrivé à Médine, Mahomet imagina une formule à succès plus performante : il justifia tout en prétendant que c’était la volonté d’Allah. Et Allah ne devait pas être pris à la légère. Il détient les clés du plus magnifique paradis et du plus horrible enfer. L’obéissance aveugle aux paroles et aux désirs de Mahomet devint un devoir pour tout bon musulman. Mahomet se transforma en gardien du paradis et de l’enfer d’Allah. Cette formule magique a très bien marché avec les Bédouins d’Arabie qui prospéraient grâce aux pillages et aux meurtres. Sa religion se répandit comme une pandémie, en un temps record.

Alors que Mahomet rassemblait de plus en plus d’adeptes, il se retourna contre la communauté juive de Médine, tua les hommes, pilla leurs biens et emmena leurs femmes et leurs enfants comme esclaves. C’était la naissance du « djihad ». Etre tout mielleux et cacher son jeu au début, puis dégainer le glaive dès que l’on a gagné en puissance. Cela marchait à l’époque et cela marche encore.

En un temps record, ces sauvages du désert arabique, émoustillés par la promesse gagnant-gagnant de Mahomet – soit tu assassines et tu as le butin dans ce bas-monde, soit tu es tué et tu demeures pour l’éternité dans les jouissances et les voluptés inimaginables du paradis d’Allah – se ruèrent, sabre au clair, en avant vers la conquête des terres lointaines.

Contrôle mental
Les êtres humains se déplacent sur leurs deux pieds, mais c’est l’esprit qui dicte la direction à prendre dans la vie et ce qu’il convient de faire. Là où l’esprit ordonne d’aller, là on va. Cependant, l’esprit humain n’arrive pas dans ce monde avec la marche à suivre. Contrairement à certaines opinions, nous sommes nés ni anges ni démons. Chacun de nous a le potentiel de devenir ange ou démon. La plupart évoluent vers un mélange des deux, quelques rares spécimens évoluent vers une voie angélique, d’autres deviennent l’incarnation du Mal. La programmation mentale joue un rôle crucial dans ce que nous devenons.

L’islam, dès son origine, a découvert le secret crucial de formater les très jeunes esprits, selon l’adage : instruire dans la petite enfance c’est comme sculpter dans le roc. Dans la même veine, les Jésuites disent « Donnez-moi un enfant jusqu’à ses sept ans et je vous rendrai un homme », c’est une application de la philosophie et de la théologie de Saint Augustin. L’importance immense de s’adresser à des enfants très jeunes est également soulignée par des doctrines non-religieuses, allant de la psychanalyse freudienne à la psychologie behavioriste de Watson.

Les apologistes de l’islam
Et nous voilà, au 21ème siècle, face aux assauts des islamistes, des djihadistes et des apologistes de l’islam dans notre culture et notre mode de vie. Voici les fruits nocifs de l’arbre fallacieux planté par Mahomet il y a 1400 ans.

Les docteurs autoproclamés de la religion musulmane pratiquent universellement un enrobage mielleux pour camoufler la vaste escroquerie de l’islam. Ils affirment haut et fort l’importance d’accepter les choses sans discuter, dénigrent la raison, alternent la carotte et le bâton et exigent une soumission inconditionnelle en contrepartie de la promesse du bonheur et du salut. Les masses marchent au pas, entretiennent un clergé parasitaire au mode de vie somptueux, et le manège continue à tourner. Cela fonctionne comme un envoûtement. Tu utilises le djihad de l’épée si tu peux, ou sinon le djihad soft puis tu dégaines le sabre pour terminer le boulot. Et surtout, n’oublie pas : « La fin justifie les moyens », prêchent sans cesse les apologistes de l’islam à leurs hordes.

Les apologistes de l’islam n’exposent jamais la vérité nue de l’islam. Ils ne mentionnent jamais cet islam qui se nourrit de haine, jette de l’acide au visage des femmes qui ont omis leur voile et aux fillettes sur le chemin de l’école, fouette ceux qui arborent des coiffures non-islamiques, lapide à mort ceux qui dévient de ses normes sexuelles et toutes ces sortes d’atrocités comme les crimes d’honneur. Ils ne disent jamais non plus que la pédophilie est institutionnalisée par l’islam.

Le prophète Mahomet a « épousé » une fillette de six ans et a consommé ce mariage quand Aicha avait seulement neuf ans, alors qu’il allait sur ses 60 ans. Quand les apologistes sont confrontés au sujet de ce comportement répugnant du fondateur de leur si « parfaite religion », certains exercent le mécanisme de défense du déni et prétendent que cela ne s’est jamais passé, reniant leurs propres sources historiques les plus fiables. D’autres prétendent que ce n’était pas vraiment un mariage mais une alliance seulement politique, une action de l’émissaire parfait d’Allah. Et depuis lors, des cas innombrables d’enfants violées ont lieu dans le monde musulman, copiant l’exemple de Mahomet. Des fillettes prépubères sont mariées à des vieillards. Il y a peu de temps, le Dr Salih bin Fawzan, un religieux éminent et membre du plus haut Conseil religieux saoudien, a émis une fatwa proclamant qu’il n’y a pas d’âge minimum pour le mariage et que les fillettes peuvent être mariées « même lorsqu’elles sont encore au berceau ».

Pour aggraver le tout, l’islam a des alliés puissants et inconscients dans la masse des braves mais naïfs Américains qui se mettent en quatre pour protéger leur cher principe de liberté de religion. Et toute cette frange bien-pensante de notre société incite Hillary Clinton, par exemple, à accorder un visa à des types comme Tariq Ramadan, qui viennent chez nous pour exploiter le filon d’un système généreux et ouvert afin d’y établir la servitude musulmane.


L’islam est politique jusqu’au noyau. Dans l’islam la mosquée et l’Etat ne sont qu’une seule et même chose, la mosquée est l’Etat et cela remonte au temps de Mahomet. L’islam est également radical à l’extrême. Même l’islam « modéré » est radical dans ses croyances et dans ses actes. Les musulmans sont convaincus que tous les non-musulmans, absolument tous, sont condamnés aux feux de l’enfer et méritent d’être maltraités, comparés aux croyants.

Un vrai musulman ne croit pas à la liberté et il ne le peut pas. Tout est volonté d’Allah, répète Mahomet. Tout ce que fait un musulman est en référence à un ordre ou à un décret d’Allah. C’est pour cette raison que la phrase « Inch Allah » (si Allah veut) accompagne toujours une promesse ou une décision que font les croyants. En acceptant Mahomet en tant qu’émissaire éternel et infaillible d’Allah, le musulman abandonne toute liberté de décider par lui-même.

Les musulmans et la liberté
L’abdication totale de leur liberté n’est pas une simple question de choix personnel pour les musulmans. Ils renoncent à leurs plus précieux droits et s’efforcent que les autres y renoncent aussi, de gré ou de force. On dit que la misère adore avoir de la compagnie. Or ce genre de misère que l’escroquerie de l’islam impose aux musulmans est une peste envahissante et doit être combattue par tous ceux qui chérissent leur liberté innée.

Malgré la propagande massive des organisations islamiques, de plus en plus de gens commencent à reconnaître l’islam pour ce qu’il est en réalité : une tromperie.

Je propose à tous les musulmans culturels ou n’importe quelle autre sorte de musulman non-djihadiste, d’accomplir avec courage ce qui est juste, et de faire le saut décisif : inhalez la vie à pleins poumons, respirez le délicat parfum de la liberté, oubliez cette tromperie de l’islam, et venez rejoindre les rangs des hommes libres, là où tous les membres de la tribu humaine peuvent vivre en paix et dans l’harmonie.

Source : The Fraud of Islam, par Amil Imani, 24 novembre 2011. Traduction par Capucine pour Poste de veille

10/10/2011

Un pasteur iranien attend son éxécution…

Religion de tolérance… Idéologie d’abrutis rétrogrades sanguinaires, plutôt…

FDF

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Youcef Nadarkhani , le prêtre iranien sera bien assassiné pour apostasie !

La cour d’appel a confirmé la condamnation à mort pour Youcef Nadarkhani. Le pasteur iranien peut être exécuté à tout moment. La condamnation prend pour base la loi islamique qui punit les apostats (dans le cas présent ils considerent que le pretre était forcément musulman de naissance) , le verset 9:30 condamant meme le fait d’etre juif ou chrétien

Son crime? Être chrétien en terres d’islam…

A quatre reprises, les juges lui ont demandé de renier sa foi et de revenir à l’islam. A chaque fois, il a refusé. La Cour Suprême iranienne, devant laquelle Youcef Nadarkhani comparaissait en appel, a donc maintenu le verdict de condamnation à mort.

Aujourd’hui, les audiences sont terminées et tous les recours sont épuisés. Youcef peut être exécuté à tout moment. La communauté internationale se mobilise pour obtenir son acquittement. Le 30 septembre 2011, la secrétaire d’état américaine Hillary Clinton avait exprimé sa préoccupation quant au sort de Youcef.

La France a aussi interpellé l’Etat iranien : « La condamnation de Youcef Nadarkhani constituerait une violation du Pacte international sur les droits civils et politiques auquel l’Iran a librement souscrit ainsi que de la Constitution iranienne qui garantit la liberté de religion et de croyance » a déclaré Bernard Valéro, porte-parole du ministère des affaires étrangères.

Les autorités iraniennes vont jusqu’à pousser l’horreur et le mensonge en requalifiant de viol et extorsion.

Que Dieu accueille Youcef Nadarkhani , victime de cette barbarie. Il laissera derriere lui 2 jeunes enfants , Joel et Daniel

Source: Le Post

22/08/2011

Réciprocité !

On nous bassine depuis des années avec ce mot: réciprocité. Et, depuis des années, on peut constater que la réciprocité est à sens unique. Et ce sont toujours les mêmes qui passent pour des idiots; sciemment…
FDF

Une solution aux problèmes de l’immigration :

La réciprocité !  Cliquez-moi!
http://french.ruvr.ru/2011/08/14/54640547.html

Ces dernières 24 heures l’île de Lampedusa a abrité 1600 réfugiés africains!

http://www.courrierinternational.com/breve/2011/08/22/deux-espions-americains-condamnes-a-huit-ans-de-prison

Deux « espions » américains condamnés à huit ans de prison

Shane Bauer et Josh Fattal, deux jeunes Américains qui étaient détenus en Iran depuis le 31 juillet 2009, ont été condamnés à huit ans de prison pour « espionnage », a annoncé le 21 août le procureur de Téhéran. Les deux hommes avaient été arrêtés alors qu’ils effectuaient une randonnée dans la zone frontalière entre l’Iran et l’Irak. Selon leur version des faits, ils auraient traversé la frontière par erreur. Hillary Clinton, la secrétaire d’Etat américaine, s’est dite « profondément déçue » par cette condamnation.
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Merci à Henri…

30/03/2011

Merci pour cette guerre, monsieur le président; merci…

La France est en guerre…

C’est le triste constat que l’on peut tirer des affaires dont notre chef de guerre-président de la République s’occupe en ce moment au lieu d’être à l’écoute de son peuple, lequel a parlé récemment par la voix des urnes. Les Français le désapprouvent mais lui, impassible, il s’en fout et préfère armer des peuples qui vont s’entre-tuer, provoquant la mort de civils innocents…  Il se sait fini, terminé, laminé par le peuple dont il est censé être président… Alors, la France, NOTRE France, il l’ignore complètement. Et pourtant Dieu sait si en 2007, il en avait fait, des promesses, aux Français… Beaucoup ont voté pour lui aux présidentielles. Pardonnons leurs; ils ne savaient pas qu’en 2011, il entrainerait la Patrie dans une guerre. Et vu les adversaires que nous avons en face, il ne reste plus qu’une chose à dire:

Que Dieu nous garde…

Merci, monsieur le président; merci… Si nous sommes encore là en 2012, ayez l’obligeance et la décence de ne pas vous représenter…

FDF

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« La France est prête à discuter avec ses alliés d’une aide militaire aux rebelles en Libye, a déclaré mardi le chef de la diplomatie française, Alain Juppé. « Ce n’est pas ce que prévoit la résolution 1973, ni la résolution 1970. Pour l’instant la France s’en tient à la stricte application de ces résolutions. » a-t-il tempéré. « Cela dit, nous sommes prêts à en discuter avec nos partenaires », a déclaré le ministre lors d’une conférence de presse. Alain Juppé n’a pas précisé la nature exacte de l’aide dont la France entend discuter.

Il s’exprimait à Londres à l’issue de la première réunion d’un groupe de contact créé pour s’occuper du dossier de la Libye, et qui va réunir à l’avenir, selon lui, une vingtaine de membres, dont une quinzaine d’États complétés d’organisations (ONU, UE, Ligue arabe…).

Les États-Unis pour le départ de Kadhafi

Un peu plus tôt dans la journée, l’ambassadrice américaine à l’ONU, Susan Rice, avait indiqué sur la chaîne de télévision ABC que les États-Unis « n’excluaient pas » de fournir une assistance militaire aux insurgés libyens afin de les aider à renverser le colonel Muammar Kadhafi. « Nous avons de toute évidence un grand intérêt à voir Kadhafi quitter le pouvoir », a dit Susan Rice, rappelant que si la mission des États-Unis dans le cadre du mandat de l’ONU se limitait à la « protection des civils », leur objectif à long terme était d’obtenir la chute du dirigeant libyen.

« Cela implique de couper les ressources de Kadhafi, de l’empêcher d’utiliser ses mercenaires, ses armes, de fournir une aide aux rebelles et à l’opposition, d’engager un processus politique », a détaillé Susan Rice. Interrogée sur la possibilité que les États-Unis fournissent une aide militaire directe aux rebelles pour remplir cet objectif, Susan Rice a répondu : « Nous n’avons pas pris cette décision (…). Mais nous ne l’excluons pas ». « Kadhafi doit prendre la décision de quitter le pouvoir. Mais nous n’avons pas encore d’indications suggérant qu’il se préparerait à le faire », a poursuivi la diplomate.

« Nous entendons différentes choses de la part de différentes personnes autour de Kadhafi ou se réclamant de son entourage », a expliqué Susan Rice. « Mais plus que des mots, nous attendons des actes », a-t-elle dit. Elle a ajouté que ce serait en fin de compte au « peuple libyen de décider des circonstances du départ » du dirigeant. La secrétaire d’État américaine Hillary Clinton avait affirmé la semaine dernière que des proches du colonel Kadhafi avaient pris des contacts dans le monde entier pour trouver une porte de sortie au conflit. »

Source: http://www.lepoint.fr/

 

20/11/2010

Dhimmitude…

Dhimmitude à la française…

Un exemple parmi tant d’autres…

FDF

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Dhimmitude

18/11/2010

USA : Hillary Clinton égratigne la France et la Suisse pour l’interdiction de la burqa et des minarets

L’Europe fait face à une islamisation galopante ; la burqa et les minarets sont des marqueurs de conquête territoriale par l’islam politique bien plus que des manifestations de dévotion, ce que le département d’État américain ne comprend pas. Au rythme où vont les choses, et si l’Europe ne fait rien, les États-Unis recevront un jour des masses de réfugiés fuyant les persécutions musulmanes sur le Vieux Continent.

Hillary-voile
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Hillary Clinton, la chef de la diplomatie américaine, a égratigné mercredi l’Europe au sujet des libertés religieuses, visant sans la nommer l’attitude face au voile et à l’islam en général.

«Plusieurs pays européens ont appliqué des restrictions sévères à l’expression religieuse», a observé la secrétaire d’État à l’occasion de la publication du rapport annuel du département d’État sur la liberté religieuse. Ce document note une détérioration depuis un an des libertés religieuses en particulier en Afghanistan et en Iran, et met en lumière des évolutions plus contradictoires en Chine et en Indonésie notamment.

La remarque de Mme Clinton sur l’Europe a été étayée ensuite par son adjoint chargé des droits de l’homme, Michael Posner, qui a cité l’interdiction de construire des minarets en Suisse et l’interdiction de la burqa. «Il y a une sensibilité et une tension croissantes en Europe», a-t-il estimé, avant d’inviter les gouvernements européens à «prendre des mesures pour apaiser cette tension».

La question des libertés religieuses suscite régulièrement des incompréhensions entre les deux côtés de l’Atlantique. «Aux États-Unis», a souligné M. Posner, «on défend devant les tribunaux le droit des musulmanes à porter une burqa dans la rue, à l’école, etc. C’est notre position».

Lire la suite « USA : Hillary Clinton égratigne la France et la Suisse pour l’interdiction de la burqa et des minarets » »

Source: http://www.postedeveille.ca