Francaisdefrance's Blog

07/03/2012

La pratique du football devient « licite » pour les femmes musulmanes; sous conditions…

A mon avis, les joueuses de foot en hijab auront un désavantage si elles jouent contre une équipe qui ne le porte pas. Mais ça… Allah comptera les points.

FDF

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L’équipe nationale féminine de foot d’Iran

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Feu vert pour le football en hijab

Les instances mondiales du football ont pris une décision lourde de conséquences pour l’émancipation des femmes.

l’International Football Association Board (IFAB), l’organe qui établit et fait évoluer les règles du football international, a pris une décision qui pourrait bien changer la vie de centaines de milliers de jeunes musulmanes. Le 3 mars, l’IFAB a décidé d’autoriser le port du voile en football féminin lors d’une assemblée générale à Bagshot, en Angleterre. Cette décision ne sera toutefois officialisée que lors d’une réunion le 2 juillet et après examen de questions liées à la santé et à la sécurité.


L’affaire avait atteint un point critique en juin 2011: on avait alors interdit à l’équipe iranienne féminine de football de disputer un match de qualification aux Jeux Olympiques, match qui devait avoir lieu en Jordanie. La disqualification d’une équipe entière, à quelques minutes d’un match international de première importance, a rouvert un débat sur les relations qu’entretiennent hijab, sport, et politique internationale. Mais aujourd’hui, le vent du changement semble souffler dans l’autre direction. Des militants, des athlètes et des sympathisants (musulmans ou non) semblent avoir répondu à toutes les objections de la Fédération international de Football Association (FIFA) —qui gère et développe le football dans le monde.

Exclusion des femmes musulmanes

Lorsqu’on a interdit à l’équipe nationale d’Iran de participer aux compétitions internationales, et ce avant un match clé des qualifications aux Jeux Olympiques, le président Mahmoud Ahmadinejad a laissé éclater sa colère, qualifiant la décision d’«inhumaine» avant de traiter les instances dirigeantes de la FIFA de dictateurs, sans sembler prendre la mesure de l’ironie d’une telle déclaration. Certains ont estimé que l’Iran ne pouvait s’en prendre qu’à lui-même. Si cette théocratie, particulièrement rétrograde quant à l’égalité des sexes, ne régissait pas l’habillement des femmes, le problème ne se serait jamais posé. Mais ce problème dépasse l’Iran. Trois joueuses de l’équipe nationale de Jordanie ont-elles aussi quitté le terrain en refusant d’enlever leurs hijabs pour disputer le match.

Contrairement à l’Iran, qui est un cas extrême —dans tous les sens du terme, ou presque— la Jordanie est plus représentative des pays à majorité musulmane (ils sont plus de cinquante dans le monde). Le hijab n’y est ni imposé, ni interdit. La décision appartient aux citoyennes, pas au gouvernement. (Seul l’Iran et l’Arabie Saoudite légifèrent sur la tenue des femmes, et cette dernière ne compte aucune équipe de football féminine —ce qui n’est guère surprenant).

Et oui, de fait, des pressions sociales (et même patriarcales) pèsent sur les femmes dans de nombreuses régions. Mais en Jordanie, comme dans la plupart des pays à majorité musulmane, le hijab ne concerne qu’une partie de la population féminine. En choisissant de légiférer sur la question, la FIFA a, d’un simple trait de plume, privé 650 millions de femmes musulmanes de compétitions internationales. Ce problème ne se résume donc pas aux envolées anti-impérialistes du président iranien. La véritable question est de savoir si la FIFA va continuer de discriminer et d’exclure les femmes musulmanes qui choisissent de porter le hijab sur le terrain.

Reflet de l’islamophobie ambiante

Revenons sur l’élément qui a déclenché l’affaire. Le football international (et, de façon plus importante, les athlètes musulmanes) sont pris au piège entre la montée de l’hostilité anti-musulmane et les guerres culturelles qui font rage dans le monde —et ce tout particulièrement en Europe et en Amérique du Nord. En 2007, la Fédération de soccer du Québec a interdit le port du hijab et de tout symbole religieux ostentatoire sur le terrain. Peu après, ce règlement s’est étendu aux petites filles de 11 ans; toute équipe comportant une joueuse refusant d’enlever son hijab se voit désormais obligée de déclarer forfait. Cette même année, l’International Football Association Board (IFAB) a appuyé la décision du Québec, lui donnant ainsi une portée planétaire.

Il y a deux ans (en mars 2010), la FIFA est revenue sur cette position pour autoriser le port d’un couvre-chef permettant de couvrir les cheveux —mais ne devant pas descendre sous les oreilles ou couvrir le cou. Or pour les femmes qui portent le foulard, ce dernier sert principalement à recouvrir les cheveux et le cou. Ce n’est pas un symbole religieux explicite (les différentes communautés du monde arabe ne se sont jamais mis d’accord sur le hijab) ; il s’agit avant tout d’une question de culture, et d’une certaine conception de la pudeur. De nombreuses femmes musulmanes,des millions en réalité, choisissent de ne pas couvrir leurs cheveux. Mais des millions d’autres portent le hijab.

Le problème: un simple foulard

Et le type de hijab en question n’est qu’un foulard, rien de plus. Il ne doit pas être confondu avec les accoutrements contraignant couvrant l’ensemble du corps, qui sont imposés aux femmes dans certaines sociétés, comme le tchador en Iran et les burqas bleues de sinistre mémoire, associées à l’Afghanistan des talibans. Vous n’entendrez personne dire que les athlètes féminines devraient porter le tchador, la burqa ou tout autre type de voile. Et personne ne propose de contraindre les femmes à porter le hijab, que ce soit par leur pays d’origine ou lorsque leur équipe est en déplacement dans un pays musulman. L’objectif est de permettre à toutes les femmes de faire un choix culturel et personnel, sans qu’aucune autorité (essentiellement masculine, que ce soit celle de la FIFA ou des Etats concernés) ne leur impose quoi que ce soit.

Mais si le problème se résume à un simple foulard, où est ce problème, au juste? Les premières objections soulevées à l’encontre du hijab trouvent leur source dans une série de malentendus ; sur l’Islam, la religion et la culture. Mais on a vite transformé la question en un problème de sécurité. Dans un match brutal et particulièrement physique, des joueuses pourraient être tirées par le hijab, s’exposant ainsi à des blessures sérieuses. Mais si un hijab pourrait être agrippé dans le feu de l’action, les cheveux ne seraient-ils pas encore plus susceptibles de servir de cible?

Si l’on s’en tient à cette logique «de sécurité», les cheveux longs et les queues de cheval sont bien plus dangereux que le seul foulard. D’ailleurs, un hijab bien ajusté pourrait même être le plus sûr moyen de protéger les cheveux et la tête des joueuses. Le mouvement qui demande la levée de l’interdiction du hijab n’a cependant jamais rien dit de tel. Ses membres se contentent de souligner l’incohérence et l’éventuel caractère fallacieux de l’argument sécuritaire.

Le hijab version sport

Ceci dit, l’initiative pour l’autorisation du hijab a pris au sérieux les premières objections de la FIFA ; elle y a répondu, et propose une solution à la question de la sécurité des joueuses: une nouvelle version du hijab, spécialement conçu pour les athlètes. Ils ne demandent pas la simple levée de l’interdiction, mais l’introduction d’un hijab pensé pour le sport —et tout particulièrement pour le football. Le hijab sportif couvre les cheveux et le cou ; il est près du corps, mais il est réalisé à base de matériaux laissant la peau respirer, et il se fixe à l’aide d’une bande de type Velcro. Ce hijab est conçu pour se décrocher dès qu’il est agrippé, ce qui permettrait d’éviter les blessures. Les nouveaux designs ont été présentés lors de la réunion de l’IFAB.

La décision coïncide également avec une période d’importants changements au sein de la FIFA. L’organisation a été ébranlée par divers scandales éthiques, dont l’interdiction à vie de l’ancien président de la Confédération asiatique de football, Muhammad Bin Hammam. Cette réorganisation au sommet de la FIFA a permis un apport de sang neuf —voilà plusieurs décennies que la chose ne s’était pas produite. En janvier 2011, aux termes d’une élection particulièrement serrée, Ali Ibn al-Hussein, prince de Jordanie, a été nommé vice-président de la FIFA et représentant de l’ensemble de l’Asie. Il a supplanté le Sud-Coréen Chun Mong Joon, candidat pourtant mieux implanté au sein de l’organisation, et ce par 25 voix contre 20. A peine nommé, le prince hachémite a promis d’œuvrer pour faire évoluer la FIFA dans un sens progressiste, en commençant par lancer une campagne pour populariser le football auprès des jeunes et des femmes dans toute l’Asie.

Ce sport est pratiqué dans le monde entier, mais l’Europe et l’Amérique Latine dominent largement le reste de la planète (et ce particulièrement dans le cadre de la Coupe du monde). Aussi l’objectif premier est-il d’aider le football asiatique à accéder à un niveau de jeu comparable aux meilleurs. Il est bon de souligner que dans le football féminin, le déséquilibre géographique vis-à-vis de l’Europe et de l’Amérique Latine est moins important que dans le football masculin: les Etats-Unis, la Chine (et, plus récemment, le Japon) comptent parmi les vainqueurs de la Coupe du monde. 

Le combat du prince de Jordanie

Le prince Ali a constitué une équipe jeune et professionnelle —comprenant d’anciens diplomates jordaniens particulièrement talentueux— pour promouvoir le changement, en commençant par l’Asie. Ils tentent aujourd’hui de faire annuler ce qui n’est —probablement— qu’une forme de discrimination sexuelle involontaire au sein du football international. Parmi leurs différents projets, on peut notamment citer une campagne de sensibilisation intitulée «Let Us Play» [«Laissez-nous jouer»], dont le groupe Facebook a vite attiré plus de 65.000 membres.

En novembre 2011, à Kuala Lumpur (Malaisie), la proposition visant à mettre fin à l’interdiction du hijab a été acceptée par le comité exécutif de la Confédération asiatique de football (CAF). La CAF a alors chargé le prince Ali de soumettre cette proposition au comité exécutif de la FIFA, qui se réunirait à Tokyo en décembre 2011. L’étape suivante s’est déroulé en Angleterre: la réunion de mars 2012 de l’IFAB, à Londres, chargée de promulguer et de modifier les règles du football international, et dont les décisions doivent être respectées par toutes les associations et les confédérations régionales.

La dynamique du changement initiée en Asie progresse vers l’Occident ; au fil des mois, elle a recueilli de nombreux soutiens chez les sportifs non-musulmans, comme Ryan Nelson (capitaine de l’équipe masculine de Nouvelle-Zélande) et Michele Cox (ancienne milieu de terrain de l’équipe féminine de Nouvelle-Zélande). Le syndicat international des joueurs de football (FIFPro) a soutenu la campagne, bientôt suivi par les joueuses de l’équipe nationale du Japon (ou Nadeshiko).

L’équipe du prince Ali a mené une campagne extrêmement approfondie, en mettant l’accent sur trois points: l’éducation, l’élargissement de la participation des femmes et le recueil de soutiens —chez les musulmans comme chez les non-musulmans. La FIFA et l’IFAB doivent désormais prendre une décision de très grande importance. En rendant leur verdict, ils auront sans doute à l’esprit la mission que la FIFA s’est donnée: populariser la pratique du football —et par conséquent, permettre au plus de femmes possible de le pratiquer.

La levée de l’interdiction a cet effet salutaire. Elle permet à de nombreuses femmes de pratiquer le sport le plus populaire au monde. C’est une situation rare ; l’une de celle où les conservateurs culturels et les progressistes sociaux peuvent et doivent se battre pour la même cause. En levant l’interdiction et en autorisant le port d’un hijab conçu pour le sport —uniquement destiné aux femmes qui désireraient le porter— le monde du football œuvre pour l’émancipation des femmes. Lever l’interdiction permet aux femmes de choisir, plutôt que de voir la FIFA choisir pour elles.

La balle est dans le camp de la FIFA. Il ne lui reste qu’à assurer la passe…

Source: http://www.slateafrique.com/

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Je ne suis pas très « foot », mais tant qu’à faire, je prendrais plutôt un billet pour cette rencontre…

FDF

15/02/2012

Tunisie: ils ont voulu la démocratie: ils auront la charia…

Wajdi Ghenim: il me fait penser à tous ces malades qui m’écrivent sur ce blog. Et qui me menacent de mort et m’insultent… Le ver est dans le fruit.

Je plains les Tunisiens qui ont été assez fanatisés pour y croire, à leur révolution.

FDF
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Wajdi Ghenim prône l’instauration de la charia en Tunisie.

Wajdi Ghenim
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Wajdi Ghenim, prédicateur islamiste égyptien, qui donne une série de conférences en Tunisie, a appelé, hier, lundi 13 févier 2012, à la grande mosquée de Sousse, sur fond de takbir, à ce que la Tunisie, comme elle a été déjà la première à se révolter contre la dictature, soit également l’instigatrice et un modèle aux autres pays en appliquant la chariâa islamique.

Lors de son prêche, M. Ghenim s’est adressé, sous les slogans scandés par les participants de « non non à la laïcité, la Tunisie islamiste » aux laïcs qu’il considère comme étant haineux envers l’Islam : «mourrez de rage ! L’islam viendra, viendra… et le jihad aussi, inch’allah!»
Par ailleurs, selon lui, les laïcs sont «ceux qui détestent Dieu, détestent la religion, détestent l’Islam et le combattent, des criminels qui combattent le hijab et le niqab et qui assiègent les mosquées».

Pendant ce temps, un grand rassemblement de citoyens a eu lieu devant la mosquée pour protester contre Wajdi Ghenim et surtout ce qu’il prêche notamment l’encouragement de l’excision féminine, sous des slogans de « Tunisie libre, le terrorisme dehors », « non au prêche wahhabite« , « honte au gouvernement qui nous a vendu pour des dollars », etc. Comme d’habitude une contre-manifestation était organisée par les islamistes, dont certains défendaient le prédicateur et essayaient d’expliquer les raisons de sa venue en Tunisie et sa logique.

Notons que selon certains médias, le prédicateur a prolongé sa visite : il sera à Sfax à la mosquée de Sidi Lakhmi où il animera le prêche du vendredi prochain. Ces médias précisent que des rassemblements de protestation sont prévus également.

Source: http://www.businessnews.com.tn/

Bonus: http://youtu.be/qRH2elTeroU

28/01/2012

Chômage: on voit le bout du tunnel !

Photo d’illustration…

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Pôle Emploi recrute! Si si! On nous avait (encore) menti avec les chiffres du chômage.

Comme preuve cette annonce; lisez bien…

FDF

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Pour le moment l’annonce ne précise pas si le hijab, la burka, les babouches et le keffieh  sont autorisés, ni même le salaire (hors convention par exemple)

La langue française  doit, peut-être,  être facultative, bien qu’il ne s’agisse que de travailler en France (pas d’import/export par exemple°

L’annonce  ne précise pas  si les  5 prières sont prévues,  des horaires aménagés durant le ramadan, et le jour férié de l’aïd,  etc etc etc etc

MAIS NE CRAIGNONS RIEN DES QUE HOLLANDE SERA ÉLU,  avec AUBRY / BROCHEN comme Ministre d’État,
TOUT CELA SERA AUTORISé,  FAVORISé,  REGLEMENTé   ET LEGIFERé

Pas belle, la reprise économique ???

Merci à JC JC…

Source: http://fdesouche2.wordpress.com/

11/01/2012

Burqa: la provocation continue…

Ces sanctions sont insupportables ! C’est de la ségrégation! Du racisme ! 100 euros ET un stage de citoyenneté? C’est trop horrible! Musulmans de France: soulevez-vous ! On vous empêche de façon despotique de nous  imposer vos coutumes. Alertez les Droits de l’Homme, Sos Racaille Racisme, le MRAP, la Licra, etc… Et Forsane Alizza, pendant que vous y êtes.

N’informez pas la SPA; Il parait qu’elle a fait peur aux crocos qui, depuis, n’osent plus sortir de leurs abris…

Honte sur nous, les sous-chiens!

FDF

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Elle viole la loi en portant une burqa      EN PROVOQUANT NOTRE REPUBLIQUE !

Elle emmerde tout le monde, y compris les gendrames,  pour sa vérification d’identité !

Elle ne se présente pas au tribunal !

Elle écope   seulement de 100 €  d’amende   et un stage de citoyenneté !
(qu’elle refusera certainement de faire).

MAIS QUE FAIT NOTRE JUSTICE ?

JC JC…

Traumatisé à vie…

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Elle refuse d’enlever sa Burka à “La ferme aux crocos”… 100 euros !

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Une jeune femme de 20 ans a été condamnée hier à une amende de 100 € par le juge de proximité de Montélimar (Drôme). Ceci, pour “le port d’une tenue destinée à dissimuler son visage dans un espace public.”

Les faits remontent au 1 er octobre 2011. La jeune femme, accompagnée de son compagnon et du fils de celui-ci, a voulu visiter “La ferme aux crocodiles”, à Pierrelatte. Elle portait un vêtement noir, recouvrant intégralement son corps, des gants, ainsi qu’une grille de tissu ne permettant pas de distinguer son visage.

Les employés du site touristique drômois, qui reçoit plus de 300 000 visiteurs par an, ont avisé la gendarmerie. En présence des gendarmes, uniquement des hommes, elle a refusé de retirer son voile. C’est finalement une employée de “La ferme aux crocos”, hors des regards, qui a contrôlé qu’il s’agissait bien de la même personne que celle qui figurait sur ses papiers d’identité.

Après avoir quand même pu visiter le site, la jeune femme s’est rendue à la gendarmerie de Pierrelatte. Là, elle n’a pas souhaité, non plus, qu’un homme puisse voir son visage.

Elle devra participer à un stage de citoyenneté

Née en 1991, d’origine maghrébine et de nationalité française, cette jeune femme de confession musulmane est domiciliée à Péage-de-Roussillon (Isère). Elle a expliqué qu’elle porte le sitar (autre nom de la burqa) en raison de sa foi. Consciente de l’interdiction de circuler dans un lieu public avec le visage dissimulé, elle n’a fait aucune difficulté.

Convoquée hier, elle ne s’est pas présentée à l’audience de la juridiction de proximité. Afin d’éviter tout débordement éventuel, la police nationale avait mis en place un dispositif de sécurité autour du tribunal. Jugée en son absence, elle a non seulement été condamnée à une amende de 100 €, mais aussi à participer à “un stage de citoyenneté. “

Source:http://www.ledauphine.com/

07/01/2012

Une enseignante Québécoise publie son ras le bol sur Facebook !

Bravo à cette dame! Mais vu qu’elle a publié sur Facebook, je pense qu’elle va être poursuivie; pour avoir dit la vérité

Ca se fait beaucoup aussi, en France…

FDF

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Image d’illustration

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Cru, peut-être, mais bien vrai ! Voilà ce que la majorité des gens pensent tout bas, sans oser l’exprimer.  Bravo à elle.

UNE ENSEIGNANTE QUÉBÉCOISE A ÉCRIT SUR FACEBOOK CE QUI SUIT : 

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Là, ça suffit !

Bon… la v’là ma montée de lait et attention aux oreilles chastes et pures, je ne serai pas délicate dans mes mots… on va parler comme une vraie Québécoise… je vais probablement passer pour une raciste… mais savez-vous quoi ? JE M’EN CALICE !

Il est temps que quelqu’un dise tout haut ce que tout le monde pense tout bas et ce message s’adresse à vous… JUIFS, MUSULMANS ET TOUTES LES AUTRES RELIGIONS qui briment nos coutumes, ceux qui ont foi en nos traditions québécoises.

Je suis athée et je ne fais pas chier le peuple avec ça… Ce n’est pas parce que je ne crois pas en Dieu que je dois mettre de côté les traditions et les valeurs qu’on m’a apprises. La fête de Noël n’est pas une RELIGION…. Mais un ÉVÉNEMENT !

Noël existe depuis que le monde est monde… Et n’est-ce pas en Israël que le tout a commencé ?

 Vous quittez vos pays respectifs parce que la guerre, la violence, la haine et même la mort, y règnent.

Vous venez vous établir ici dans NOTRE PAYS, pour pouvoir fuir tout ça et vivre heureux, en santé et à l’abri de tout ce que vous avez quitté.

On vous donne tout ce dont vous avez besoin pour vous aider à vous intégrer ici même, dans NOTRE PAYS. On vous donne un toit, de la nourriture, de l’argent, on vous inscrit à l’école pour apprendre la langue, on vous aide à acquérir de meilleures connaissances de NOTRE PAYS, vos études sont payées, afin de faciliter votre intégration sur le marché du travail. Mais à vous entendre, ce n’est pas encore ASSEZ !

Moi c’est à vous que je dis C’EST ASSEZ… Assez de vouloir changer nos traditions et nos coutumes, assez de brimer nos droits et libertés parce que c’est contraire à votre religion, assez de nous traiter de racistes parce qu’on n’aime pas votre façon de faire.

 Pourquoi venez-vous dans notre pays si ce n’est que pour tenter de le changer à l’image du pays que vous avez fui ?

C’est nous qui vous offrons l’hospitalité, alors à vous de vous conformer à nos traditions et nos coutumes. Lorsqu’un étranger s’établit dans votre pays, il doit se convertir à vos traditions, à vos coutumes et celui qui ne les respecte pas, peut être passible de mort, dans certains pays. Et nous QUÉBÉCOIS devrions vous laisser tout changer sans rien dire ? ASSEZ, C’EST ASSEZ !

Retournez dans votre pays si nos traditions et nos coutumes vous déplaisent tant que ça… Vous me faites chier à vouloir tout changer… Ça suffit Ostie… RESPECTEZ NOS VALEURS ! Attendez-vous d’avoir des tapes sur gueule avant d’arrêter.

 Vos femmes peuvent aller voter en portant le voile, vous portez vos armes sur vous, et nous, on vous a donné des espaces pour prier… MAINTENANT CALICEZ NOUS LA PAIX ET LAISSEZ-NOUS NOTRE NOËL…

Si on veut mettre un sapin de Noël on va en mettre un, si on veut décorer la ville entière pour Noël, on va le faire. Si on a envie de crier NOËL partout on va le crier, si nos enfants ont envie de parler de Noël à l’école, ils vont le faire…

 RESPECTEZ-NOUS, SI VOUS VOULEZ QU’ON CONTINUE À VOUS RESPECTER….

Qui sont les plus racistes d’après-vous ? VOUS ! Musulmans, juifs et les autres….. car vous voulez changer notre image ! Un raciste est une personne qui n’aime pas les gens d’une autre nationalité. N’est-ce pas une forme de racisme ce que vous faites ?

 Jetez votre Hijab & Niqab aux vidanges…

Est-ce que c’est clair ?… Tabarnak !

L’oppression est finie…Ostie.

Réfléchissez donc avant de vouloir nous brimer dans NOTRE PAYS !

Merci à JC JC…

10/12/2011

« ILS » ont peur…

Et « ILS » ont raison d’avoir peur… A force de trop tirer sur la ficelle.

Témoin cet article paru chez Oumma.com qui reflète bien cette peur déguisée en élucubrations sur-phrasées dignes d’animaux traqués. Jusqu’à mélanger République et islam; exemple d’une incompatibilité plus que logique.

Et pourtant, la résistance ne traque personne; elle tente de faire savoir la réalité. Et ça, « ILS » n’aiment pas…

FDF

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De l’islamophobie à l’islamoparanoïa

LA DÉRÉLICTION DU LANGAGE ISLAMO-RÉPUBLICAIN

Face à la difficulté du repérage clinique de la paranoïa, du fait de sa cohérence logique, le célèbre psychiatre-psychanalyste Jacques Lacan a défini un nouveau critère diagnostique de la psychose : « la présence de troubles du langage » (7). Le néologisme en est le prototype : le délirant a besoin de créer de nouveaux mots pour penser et communiquer la néo-réalité imaginaire qu’il est le seul à vivre. Mais dans un délire collectif, les sujets possèdent déjà une langue commune, qu’ils réutilisent en la subvertissant de sa signification originelle. Et l’islamoparanoïa est précisément cela : un révisionnisme sémantique systématique des signifiants fondateurs de la République et de l’islam.

La « laïcité » a subi une terrible inversion sémantique qui en fait désormais le plus perverti des concepts républicains. L’article premier de la loi de 1905, dite de séparation des Eglises et de l’Etat, l’avait défini comme une obligation de l’Etat, requis d’ « assurer la liberté de conscience » et « le libre exercice des cultes », lesquelles supposent la liberté d’expression religieuse des citoyens, y compris par le port de tenues et signes religieux dans l’espace public. Cette obligation s’est inversée en quelques années, la laïcité devenant un devoir incombant aux seuls citoyens, sommés d’être « neutres », désubjectivés, d’exercer leur liberté religieuse dans le seul domaine où elle n’a plus de sens, parce qu’elle va de soi : la « sphère privée ». Dérive totalitaire transformant les citoyens en marionnettes désubjectivées, malléables à merci.

Le « voile » islamique (hijab) a subi une inversion sémantique similaire. Le drame de la loi anti-voile de 2004 n’est pas tant d’avoir interdit le port d’une tenue traditionnelle que d’avoir nié que cette tenue en soit une en en faisant un « signe religieux ostensible ». La signification du voile s’en est, depuis, trouvée inversée : il ne sert plus à « voiler, cacher » (hajaba) une partie du corps – avec ce que tout vêtement signifie d’un rapport au corps et à la sexualité dont chacun est libre en démocratie, y compris les adolescentes – mais, avec l’adjectif quasi néologique « ostensible », à « montrer, exhiber » son appartenance religieuse !

Ce révisionnisme a ouvert la porte à nombre de dérives. Au début de l’année 2010, au lycée Auguste Blanqui de Saint-Ouen, des lycéennes se sont retrouvées exclues de cours, sans grand émoi dans l’opinion publique, au seul motif qu’elles étaient habillées, ont expliqué les responsables pédagogiques, de « longues robes noires » : décider que devient « signe religieux ostensible » tout vêtement en usage dans tel groupe religieux, c’est ce que, dans le jargon psychiatrique, on nomme précisément un « trouble du langage ».

On peut multiplier à l’envie le répertoire de cette déréliction du langage dans le discours sur l’islam. La « chari’a », nom de la Loi en islam, correspond, dans l’imaginaire collectif, à une Anti-Loi, une Loi antinomique, autorisant la décharge sans limites de toutes les pulsions sexuelles et agressives de l’homme (polygamie, répudiation et lapidation des femmes, main coupée du voleur, meurtre de l’infidèle). On s’obstine à traduire « jihâd » par « guerre sainte », quand bien même les islamologues s’épuisent à rappeler qu’il signifie littéralement « effort » vers Dieu, que l’archétype en est, conformément à un célèbre hadîth, le « Grand Jihâd », la lutte spirituelle contre l’égo passionnel.

Quant à la religion musulmane, le psychanalyste Fethi Benslama constate même qu’il n’existe plus, depuis la fin des années 90, de signifiant pour la désigner : le terme « islamisme », qui depuis le XVIIe siècle avait cette fonction, a été confisqué au profit de la nomination des mouvements politiques activistes et extrémistesii. Ne subsiste, partant, qu’un terme fourre-tout, « islam », lieu de tous les malentendus, désignant, selon le contexte, le dogme, les peuples, la civilisation, voire les dérives extrémistes (8)de cette foi, et qui, in fine, est devenu le nom d’un frisson. L’ensemble de ces dérives sémantiques explique qu’il n’est plus possible de parler sereinement de l’islam dans l’espace social, le langage perverti nous plongeant d’emblée dans le malentendu.

L’« ISLAMOPARANOÏA » : LA CRISE SYMBOLIQUE DE L’OCCIDENT

Ce négationnisme linguistique nous indique que nous sommes bien dans le processus d’exclusion propre aux psychoses, celui que Lacan, par opposition au « refoulement » névrotique, a théorisé, dans une thèse devenue célèbre, comme « forclusion du Nom-du-Père » (9). Le psychanalyste indique par cette expression que le sujet délirant se met à décompenser au moment où il rencontre dans sa vie des signifiants liés au registre sémantique de la paternité en tant qu’il est le registre de la Loi symbolique.

Ces signifiants, inassimilables pour son psychisme, en sont alors « forclos », exclus. Or l’islamoparanoïa se réactive précisément chaque fois qu’un fait d’actualité amène la conscience « occidentale » à rencontrer en l’islam cette dimension patriarcale de la Loi : en témoignent la récurrente butée sur la question de la chari’a, mais aussi sur les interdits sexuels (le voile), les obligations rituelles (prière du vendredi, construction de mosquées), les interdits alimentaires (le halal, l’alcool).

Les élites européennes sont ainsi devenues psychiquement incapables de concevoir que des femmes puissent décider librement de fixer des limites à leur propre sexualité en se voilant, par quoi elles signifient aux hommes que s’ils veulent avoir quelque commerce sexuel avec elles, ils devront en passer par la Loi symbolique, à savoir le mariage. Dès lors, intellectuels, politiciens et médias n’ont d’autre possibilité que de délirer en voyant dans le voile un symbole de soumission, subi ou inconscient, ou un signe prosélyte.

Les mêmes ne peuvent non plus admettre que des hommes soient à ce point animés de spiritualité qu’ils préfèrent se prosterner, faute de place dans les mosquées, dans des rues sordides, plutôt que de renoncer à l’obligation rituelle de la prière du vendredi. C’est, énoncent-ils doctement, un geste d’affirmation identitaire, alors qu’au contraire, pour la majorité des fidèles, prier dans ces conditions constitue une humiliation narcissique.

Nous vivons dans des sociétés post-modernes, marquées par ce que le psychiatre-psychanalyste Charles Melman nomme le « libéralisme psychique »(10), où plus aucune limite ne doit venir contrarier le désir, autrement dit l’assouvissement des pulsions sexuelles, scopiques (désir de voir et d’être vu) et alimentaires. Partant, une religion, qui tel l’islam, continue d’articuler ces pulsions aux interdits d’une loi morale est devenue pour beaucoup incompréhensible, inassimilable, forclose. Et c’est pourquoi son nom même – tout comme le nom de son rejet – est désormais forclos, aboli, ce qui conduit Fethi Benslama à l’écrire désormais en le barrant : islamisme (11). Il y a donc bien un « choc des civilisations » : non pas, cependant, entre l’Islam et l’Occident, mais au sein de la civilisation occidentale, qui a mis en œuvre, assez récemment, une « nouvelle économie psychique » (12), liée à la fin des idéologies, au désenchantement du monde et à la déchristianisation.

Dans cette « société du spectacle », pour reprendre le titre du célèbre ouvrage de Guy Debord, où l’idolâtrie de l’image et de l’émotion s’est substituée au Verbe des religions monothéistes – en tant que Logos grec, simultanément « parole » et « raison » -, une religion qui demeure symboliquement structurée par l’interdit de la représentation et le primat de la raison est devenue anachronique.

L’islamoparanoïa n’est peut-être alors qu’un nom de la « psychose sociale », cette « actualité paranoïaque » (13), qui en tant que nouveau « malaise dans la civilisation » a pris la place de la névrose sociale de jadis. Au pessimisme de Freud voyant l’Homme réduit à l’insatisfaction du fait de la loi morale et religieuse succède désormais, à l’inverse, la promesse d’un bonheur absolu faite par l’économie et les techno-sciences, où la jouissance sans limites a remplacé le désir en tant qu’articulé à la Loi.

L’ISLAMOPARANOÏA : LA CRISE NARCISSIQUE DE L’EUROPE

Pourtant, ce libéralisme psychique, qui est le fondement du libéralisme économique, concerne l’ensemble du « monde occidental » et ne suffit pas à expliquer la rupture que constitue l’islamoparanoïa européenne avec l’islamophobie américaine. Certes, la permanence d’une forme sentimentale de la religiosité au pays de l’Oncle Sam y maintient un certain ordonnancement pseudo-symbolique, pseudo-patriarcal, du lien social, et rend la présence de l’islam moins anachronique. Mais si cette crise du symbolisme est plus marquée dans la vieille Europe, c’est qu’elle se traduit, s’historicise, par une crise narcissique identitaire.

Pour le comprendre, il importe de repérer la nature de l’angoisse inconsciente sous-jacente à cette islamoparanoïa. Un sondage IFOP pour Le Monde, paru en décembre 2010, nous la dévoile sans ambiguïté : l’islam est, pour plus de 40% des Français et des Allemands, « plutôt une menace pour l’identité de notre pays ». Une telle angoisse identitaire est propre au psychotique. Le névrosé ne se sent menacé dans son identité, même face au serpent ou à la foule qui l’angoisse. Le psychotique en revanche est taraudé par une angoisse mortifère, dite « de destruction » ou « de morcellement ». Là où chacun voit dans le miroir une image unifiée de soi-même, lui n’y voit qu’une image brisée, un corps morcelé, il a sans cesse peur de perdre son identité. Il a échoué à l’épreuve de ce que Lacan nommait le « stade du miroir », par laquelle chacun, normalement, se dote de la dose nécessaire et suffisante de narcissisme dont il a besoin pour vivre.

Or c’est bien une telle crise narcissique, identitaire, qui s’exprime à travers l’islamoparanoïa européenne depuis le début des années 2000 et qui se cristallise autour du « débat sur l’identité nationale ». L’idée s’est répandue partout que l’islam menace l’identité nationale, risque d’éradiquer la démocratie, les valeurs républicaines, la laïcité, l’égalité des sexes. L’anéantissement de soi par invasion de l’Autre est devenu un thème récurrent : Marine le Pen assimile les prières de rue à « l’occupation du territoire », Claude Guéant juge que « l’accroissement du nombre de fidèles (musulmans) et un certain nombre de comportements posent problème », l’ « islamisation de l’Europe » est devenue une certitude. Cette angoisse identitaire est nouvelle. Elle n’existait pas dans le racisme des années 70 ou 80 où l’immigré musulman, avec la fin du plein emploi, était perçu comme un simple rival économique, venant « manger le pain des français ». Nous sommes ainsi passés de l’islamophobie économique à l’islamoparanoïa identitaire.

Le célèbre psychanalyste anglais Winnicott rassurait ses patients psychotiques en leur disant qu’ils n’avaient à craindre de personne une destruction d’eux-mêmes, puisque leur identité, ils l’avaient déjà perdue, ils étaient déjà morts psychiquement : l’angoisse de morcellement est la « la crainte d’un effondrement qui a déjà été éprouvé » (14). Cette thèse s’accorde parfaitement au constat fait par Raphaël Liogier, Professeur à Sciences Po Aix, Directeur de l’Observatoire du religieux, pour lequel « l’islamophobie » est devenue le « symptôme » d’une « décadence européenne » déjà consommée (15).

Pour le sociologue, les années 2000 marquent un « tournant » où la « crise économique et sociale » de l’Europe des années 80 s’est mutée en une « crise symbolique », narcissique, liée à la globalisation. D’une part, à l’international, l’Europe a vu s’effondrer son autorité morale et politique – en témoigne le conflit irakien – au même titre que son économie, dépassée par l’Inde et la Chine. D’autre part, en interne, l’échec des différents processus d’unification (Euromed, Union Méditerranéenne, Constitution européenne) a créé des angoisses identitaires au sein des nations esseulées : chacune a pris conscience de son insignifiance en tant que nation sur la scène internationale. Et la France plus que tout autre, qui a en outre perdu son prestige intellectuel et culturel d’antan.

La haine du musulman a alors pour fonction de restaurer le narcissisme brisé des nations européennes. Freud avait vu juste, qui définissait le délire comme une « tentative de guérison une reconstruction » (16) . Incapable de s’identifier positivement à une Loi symbolique commune au travers d’un Idéal collectif – religieux, moral, rationnel, juridique ou politique -, les peuples européens n’ont d’autre choix que de se doter d’une identité en négatif qui consiste à nier la Loi patriarcale de l’islam. Prenant la tête de la « croisée », la France cherche alors à retrouver sa position patriarcale de « Patrie des Droits de l’Homme » et des « Lumières », en votant, au nom de ces mêmes fondements symboliques, des lois d’exception contre les musulmans.

LA « MUSLIM PRIDE » : UNE THÉRAPIE SOCIALE CONTRE L’ISLAMOPANOÏA

La renomination que nous proposons du racisme antimusulman par le terme « islamoparanoïa » en lieu et place de l’ « islamophobie » a pour enjeu fondamental de définir une politique militante spécifique. Un diagnostic différentiel n’a de sens qu’à déboucher sur une thérapeutique différenciée. La « Muslim Pride », telle que l’a théorisée Raphaël Liogier dans son appel programmatique lancé en avril 2011 (17), nous semble en mesure d’incarner cette thérapie sociale qu’il est urgent et nécessaire de mettre en œuvre pour lutter contre l’islamoparanoïa.

La voie de la guérison suppose que la France et l’Europe retrouvent confiance en leurs valeurs citoyennes, leurs lois et leurs institutions. Mais dans ce climat passionnel, irrationnel, où prime le déni de la réalité, les solutions qui passent par la voie de la raison sont d’emblée vouées à l’échec. C’est qu’on ne soigne pas le délirant en tentant de lui démontrer le caractère déraisonnable de son propos et de ses conduites. Dès lors, qu’il s’agisse de la négociation diplomatique avec l’Etat français, ou du combat juridique pour permettre aux jeunes filles et femmes voilées discriminées à l’école ou au travail de recouvrer leur droit, ou encore de la participation à des débats télévisés, où quoi qu’il dise, le musulman n’est là qu’à titre de bouc émissaire d’un

spectacle de mise à mort, toutes ces stratégies défensives, si elles sont nécessaires, ne peuvent suffire à changer la donne.Il est par ailleurs indifférent au paranoïaque que son persécuteur se taise ou réagisse. S’il se tait, c’est la « preuve » qu’il « complote » en secret contre la République ! S’il se montre citoyen, il est accusé de tenir un « double discours » ! S’il manifeste son mécontentement, il est taxé de « communautariste » !

Seul un grand mouvement social fondé sur l’émotion sera à même de fixer des limites symboliques au déchainement des passions. La « Muslim Pride » propose ainsi de se jouer avec humour des préjugés sur l’islam et de substituer au « musulman métaphysique » les musulmans réels dans leur diversité sociale, ethnique, culturelle et cultuelle. Cette Muslim Pride sera d’abord culturelle, artistique, avant que d’être politique. Puisque la raison est impuissante à renouer le contact avec la réalité déniée de l’islam, peut-être l’émotion artistique y parviendra-t-elle, par l’entremise de la musique, d’expositions, de films, de pièces de théâtre, etc.

L’enjeu est de taille : il s’agit pour les citoyens, quelles que soient leurs confessions ou absence de confessions et leurs orientation politiques, d’oser, à travers la défense de la pratique de l’islam, réhabiliter une certaine idée de la République et de l’identité européenne, celle où le lien social repose non sur l’exclusion – communautariste – du dissemblable, mais sur la reconnaissance de l’altérité, qu’elle soit sexuelle, religieuse, philosophique ou politique. La si souvent décriée fraternité islamique pourra t’elle s’unir à la si souvent oubliée fraternité républicaine ? Une « Muslim Pride » pour faire de « Liberté, égalité, fraternité » l’isthme qui conjoint l’Islam et la République ? Tout dépendra de l’aptitude des musulmans et de leurs grandes organisations à sortir de leur dépression collective, traumatique et réactionnelle à l’islamoparanoïa, où la honte d’être soi, l’aboulie de la volonté, l’apathie et l’inertie, les laissent depuis une dizaine d’années totalement impassibles face à la persécution institutionnalisée.

Source: Oumma.com

06/09/2011

Et un p’tit coup sur le voile !

Il est vrai qu’il y avait longtemps que l’on n’en n’avait pas parlé… Voici une analyse intéressante…

FDF

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« Ne pas céder sur l’affaire du voile, c’est rendre un immense service à l’islam, lui apprendre qu’il n’est pas la religion unique mais une parmi les autres et que la France ou l’Europe ne sont pas des terres de conquête mais des territoires de partage. »

« A Jérusalem, on ne lapide pas ceux qui ont oublié leur croix ou leur étoile de David, en revanche, de Téhéran à Khartoum, de Kaboul à Casablanca, chaque jour des femmes sont violées, vitriolées, assassinées, fouettées ou licenciées parce qu’elles ne se sont pas couvert le visage et le corps. » « Le hijab est l’étoile jaune de la musulmane, et toute musulmane est une juive que chaque fondamentaliste rêve de déporter cinq fois par jour. Le hijab est l’effacement et l’abolition virtuels de la femme. Tous les écrits fondamentalistes l’affirment, « le voile est obligatoire car il doit cacher la awra de la femme ». » « « Le Seigneur n’a recommandé le voile qu’aux femmes du Prophète, toute musulmane qui se voilerait le visage se ferait passer à tort pour la sienne et donc sera passible de 80 coups de fouet. » » « Derrière chaque voile, il y a trois mille ans de haine envers la femme qui nous regarde. » ________________________________________________________________________

Mais d’où vient donc le voile?

D’une croyance sémitique très ancienne, qui considérait la chevelure comme le reflet de la toison pubienne! Cette croyance était si répandue dans les pays d’Orient, notamment en Mésopotamie, qu’elle a fini par avoir force de loi. Aussi, le port du voile est-il rendu obligatoire dès le XIIe siècle avant J.-C. par le roi d’Assyrie, Teglat Phalazar 1er : « Les femmes mariées n’auront pas leur tête découverte. Les prostituées ne seront pas voilées. » C’était dix-sept siècles avant Mahomet et cela se passait en Assyrie, l’Irak d’aujourd’hui. Dans la Bible hébraïque, on ne trouve aucune trace de cette coutume, cependant la tradition juive a longtemps considéré qu’une femme devait se couvrir les cheveux en signe de modestie devant les hommes. Il faudra attendre l’avènement du christianisme pour que le voile devienne une obligation théologique, un préalable à la relation entre la femme et Dieu. C’est saint Paul qui, le premier, a imposé le voile aux femmes en avançant des arguments strictement religieux. Dans l’épître aux Corinthiens, il écrit : « Toute femme qui prie ou parle sous l’inspiration de Dieu sans voile sur la tête, commet une faute identique, comme si elle avait la tête rasée. Si donc une femme ne porte pas de voile, qu’elle se tonde ; ou plutôt, qu’elle mette un voile, puisque c’est une faute pour une femme d’avoir les cheveux tondus ou rasés. » Et plus loin : « L’homme, lui, ne doit pas se voiler la tête : il est l’image et la gloire de Dieu, mais la femme est la gloire de l’homme. Car ce n’est pas l’homme qui a été tiré de la femme, mais la femme de l’homme, et l’homme n’a pas été créé pour la femme, mais la femme pour l’homme. Voilà pourquoi la femme doit porter sur la tête la marque de sa dépendance. » L’Eglise s’en servira à l’égard des femmes, pour les considérer comme des créatures inférieures par nature et selon le droit. On voit qu’à l’origine, le voile est utilisé comme un instrument de ségrégation qui fait de la femme un être inférieur, non seulement vis-à-vis de l’homme mais aussi de Dieu. Il est intéressant de noter que ce passage des Corinthiens est repris aujourd’hui par la plupart des sites islamistes qui font l’apologie du foulard. Sept siècles plus tard naît l’islam. Le Coran consacre au voile ces deux passages : « Et dis aux croyantes de baisser leurs regards, de garder leur chasteté et de ne montrer de leurs atours que ce qui en paraît et qu’elles rabattent leur étoffe sur leurs poitrines. » Coran (24 : 31). Enfin dans la sourate 33, Al-Ahzab (les Coalisés), au verset 59, il est dit : « Prophète ! Dis à tes épouses, à tes filles, et aux femmes des croyants, de ramener sur elles de grandes étoffes : elles en seront plus vite reconnues et éviteront d’être offensées. » Coran (33 : 59). Sans vouloir être aussi pointilliste que les orthodoxes, je ferai remarquer que nulle part dans ces sourates, il n’est fait explicitement mention de voile (hijab) recouvrant le visage, cachant les cheveux et encore moins tout le corps. Dans la première sourate, le Coran appelle simplement les croyantes à recouvrir leurs poitrines. La très sérieuse Encyclopédie de l’Islam (éditions Leyde) apporte cette explication : « Dans l’Arabie préislamique, une coutume tribale voulait que durant les batailles, les femmes montent en haut des dunes et montrent leurs poitrines à leurs époux guerriers pour exciter leur ardeur au combat et les inciter à revenir vivants afin de profiter de ces charmes ». Le verset en question aurait été inspiré au Prophète pour instaurer un nouvel ordre moral au sein des tribus. Quant au deuxième verset, il a fait l’objet de maintes lectures et controverses, la plus intéressante étant celle d’un grand imam qui, à l’âge d’or de Bagdad, au IXe siècle, en fit cette originale lecture : « Le Seigneur n’a recommandé le voile qu’aux femmes du Prophète, toute musulmane qui se voilerait le visage se ferait passer à tort pour la sienne et donc sera passible de 80 coups de fouet. » Le voile est resté depuis le signe distinctif des riches citadines et demeura inconnu dans les campagnes où les hommes ne songeaient pas à voiler les femmes en raison des travaux qu’ils leur confiaient. C’est la Révolution iranienne de 1979 qui entraîne la généralisation du voile. Le hijab, innovation sortie tout droit de la tête des tailleurs islamistes, a supplanté dans les pays du Maghreb le haïk traditionnel, un carré de tissu blanc. Bien sûr, ce sont là les signes d’une société arabo-musulmane en crise, sans projet, sans perspectives, soumise à des régimes totalitaires et qui n’a pour unique espace de respiration, d’utopie, que la religion. Pierre Bourdieu expliquait que dans l’Algérie coloniale, l’homme colonisé renvoyait sur la femme toute la violence subie de la part du colonisateur. Désormais, l’homme musulman renvoie sur la femme tout le chaos que lui fait subir la crise planétaire. Dans ces pays sans libertés, l’islamisme fonctionne comme une eschatologie. Il est devenu une sorte de propédeutique de la mort. Il efface toutes les aspérités de la vie pour ne faire miroiter que les plaisirs de « son vaste paradis ». Ici se pose également la question de la place de l’islam chez l’Autre. Contrairement au judaïsme qui s’est forgé dans l’exil, au christianisme qui s’est inventé durant les persécutions, l’islam est venu au monde comme une religion d’Etat et une religion de conquête. Il n’a pas été souvent minoritaire et la place qu’il a accordée aux autres religions n’a pas été un exemple de tolérance. Et qu’on en finisse également avec cette parité des signes religieux. À Rome ou à Jérusalem, on ne lapide pas ceux qui ont oublié leur croix ou leur étoile de David, en revanche, de Téhéran à Khartoum, de Kaboul à Casablanca, chaque jour des femmes sont violées, vitriolées, assassinées, fouettées ou licenciées parce qu’elles ne se sont pas couvert le visage et le corps. Le hijab est l’étoile jaune de la musulmane, et toute musulmane est une juive que chaque fondamentaliste rêve de déporter cinq fois par jour. Le hijab est l’effacement et l’abolition virtuels de la femme. Tous les écrits fondamentalistes l’affirment, « le voile est obligatoire car il doit cacher la awra de la femme ». C’est-à-dire que tout son corps est perçu comme une partie honteuse. Le hijab joue la fonction que lui a assigné Paul, il y a deux mille ans : signifier à la femme en public qu’elle est un être inférieur, bonne à tondre et à museler. Toute fille pubère est donc perçue comme une partie honteuse. Elle est éduquée pour se percevoir, depuis l’âge de 8 ans, comme un objet sexuel potentiel qui doit être dérobé aux yeux de la foule concupiscente. Derrière chaque voile, il y a trois mille ans de haine envers la femme qui nous regarde. Tolérer le voile, c’est livrer une génération de filles pieds et poings liés aux mains de frères et de pères qui ne demandent qu’à leur imposer cette tenue d’infamie.

Enfin, que ferons-nous demain, nous, citoyens de culture musulmane ayant fui nos pays d’origine en raison de la dictature du religieux, de l’absence de démocratie, et qui avons choisi la France comme terre d’accueil ou comme patrie, que ferons-nous quand nos filles à l’école publique se feront traiter de putes et traîner dans les caves parce qu’elles n’auront pas porté le voile, et que nos garçons se feront traiter de mécréants car ils n’auront pas respecté le ramadan dans les cantines ?

Mohamed Kacimi

05/09/2011

Le cauchemar de la France: que le PS l’emporte en 2012…

C’est l’islamisme au pouvoir. C’est la charia à la place de la Constitution. C’est la chasse aux infidèles assurée. Ca, on peut en être sûrs… Mais les chiens sous-chiens, ça mord et ça fait très mal…

FDF

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Vous voulez une France islamisée ? Votez socialiste en 2012 !

Vous ne viendrez pas dire : « on ne savait pas« . Tous les socialistes font, actuellement, des déclarations d’amour extravagantes à l’islam et à l’immigration, et les principaux candidats aux présidentielles de 2012, comme les futurs ministres putatifs, osent à visage découvert dire qu’ils n’aiment ni notre identité, ni notre histoire, ni nos travailleurs et qu’ils sont là pour changer de civilisation  et remplacer une population par une autre, de gré ou de force.

Les dirigeants socialistes n’aiment pas la France et les Français. C’est indéniable. On reviendra, bien sûr, au cours des mois à venir, sur le programme du PS et sur les déclarations des uns et des autres, mais, actuellement, les favoris et leurs soutiens les plus actifs assument de façon décomplexée leurs objectifs mortifères.

Suicide ? Provocation ? Cynisme ?

Sont-ils sûrs du résultat de 30 années de lavage de cerveau au point de pouvoir annoncer avec certitude la fin de la France et des Français sans perdre leur électorat traditionnel éperdu d’horreur à l’idée de voter « à droite » ou « Marine le Pen » ?

En tout cas, ils clament à qui mieux mieux que les soi-disant 6 millions de musulmans que compte  notre pays seraient devenus plus importants que les athées ou les chrétiens et que  leur soi-disant religion serait un apport et incontournable et inestimable pour notre civilisation.

La preuve ? Que ce soit conviction, désir inconscient de voir disparaître la France, son histoire, son patrimoine, sa culture, les valeurs héritées des Lumières, tout ce qui fait obstacle à la mondialisation ultra-libérale, ils mettent un coupable empressement, qui, comme Martine Aubry, à dire béni oui-oui aux demandes de piscines réservées aux femmes ou à celle du recteur de la mosquée de Lille  de ne pas respecter la volonté d’un ex-musulman devenu athée de se faire incinérer, qui à participer aux rites musulmans comme Ségolène Royal, qui à  les organiser et célébrer aux frais du contribuable comme Delanoë, qui à prendre comme porte-parole –encore Royal- une femme chargée d’œuvrer en France pour « l’essor de sa mère patrie, le Maroc, qui à déclarer comme François Hollande que la France doit demander pardon pour la colonisation et qu’elle doit célébrer la fête de l’Aid El Kebir(5) (« nous célèbrerons« …), il va même jusqu’à souhaiter une bonne fête de l’Aid El Kebir à chacun… Bientôt la célébration obligatoire ? Bientôt l’agneau égorgé sauvagement dans les cantines ce jour-là ? Bientôt le jour de l’Aid El Kebir férié ?

Quant aux sous-fifres, on est gâtés ! Entre Daniel Vaillant qui affirme sans rire que les prières dans les rues dans le XVIIIe ne  dérangent personne et Olivier Ferrand, le directeur de Terra Nova (qui a publié ouvertement le programme ultra-libéral et anti-ouvriers français de Strauss-Kahn, devenu celui de Aubry et compagnie) qui, en 4 minutes, affirme que l’identité de la France n’est plus… française  et accumule contre-vérités et mensonges délibérés avec un culot monumental. ! Il ose même prendre l’exemple des immigrés italiens du siècle dernier dont il est un descendant, alors qu’il s’agit précisément d’un contre-exemple puisque les Italiens se sont intégrés, se sont assimilés, font partie de l’identité française tout simplement parce qu’ils n’ont pas cherché à la modifier…. Quelles sont les traditions italiennes suivies au plus haut sommet de l’Etat ?  Quels sont les « territoires perdus de la République » aux mains des Italiens ou de leurs descendants ? Quels gages les Italiens ont-ils obtenu dans la société ? Quelle communauté italienne se permet de protester, de mettre des diktats, des interdits, partout et toujours ? Zola, ce descendant d’immigré italien plus français que tous doit se retourner dans sa tombe.

Il est néanmoins une phrase choc d’Olivier Ferrand qu’il n’est pas besoin de commenter. Elle dit suffisamment à quel point les socialistes se contrefichent de la place de la femme et quelle est leur vision de notre avenir  :  « On évolue dans le bon sens, on est passés du voile il y a dix ans au hijab, on a ajouté un mètre de tissu« .

Bien triste pot-pourri que ce rappel, qui n’est que la face émergée de l’iceberg socialiste.

Avec les socialistes, le pire est à venir. Ils ont trahi Jaurès, ils s’apprêtent à trahir tous les naïfs qui les croient encore de gauche et humanistes.

La pire chose qui puisse nous arriver ? Que ce soit eux qui l’emportent en 2012.

Christine Tasin

Résistance républicaine

20/07/2011

Promenade en Francarabia…

Pas très rassurant, tout ça. Mais très motivant pour la « Résistance »…

FDF

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Un habitant de Lyon nous fait parvenir une vidéo tournée en caméra cachée dans sa ville. Un aperçu furtif de la substitution de population et de l’islamisation de Lyon. Burqas, hijab, magasins islamistes, « barbus », restaurants et boucheries halal sont au menu…

Ici: http://youtu.be/_6sn1vfsxj4


Source: http://www.defrancisation.com/


Merci à DG pour l’info…

28/06/2011

Il y a deux ans, Obama montrait son vrai visage…

C’était en juin 2009 et c’est passé « entre les gouttes », bien entendu… A noter que ce qu’annonçait à l’époque Obama ne concernait pas son propre pays… La gouvernance mondiale tant redoutée s’affirme.

FDF

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Hijab : Obama égratigne la France…

Le président américain Barack Obama a défendu aujourd’hui au Caire le port du voile pour les musulmanes en Occident, prenant le contre-pied de la France.

C’est par trois fois que M. Obama a pris la défense du voile islamique dans son discours prononcé à l’Université du Caire, critiquant le fait qu’un pays occidental « dicte les vêtements » qu’une musulmane « doit porter ».

Au nom de la laïcité, la France a banni en 2004 dans les écoles les signes religieux ostentatoires avec une loi interprétée comme ciblant surtout le voile islamique. La polémique fait également rage au Canada et en Allemagne alors qu’en Belgique, 90% des écoles le bannissent et il est jugé « discriminatoire » par un décret du Conseil d’Etat.

« Il est important pour les pays occidentaux d’éviter de gêner les citoyens musulmans de pratiquer leur religion comme ils le souhaitent, et par exemple en dictant les vêtements qu’une femme doit porter », a-t-il lancé.

Sans jamais citer la France ou d’autres pays, il a enchaîné en affirmant qu' »on ne doit pas dissimuler l’hostilité envers une religion devant le faux semblant du libéralisme ».
« Je sais qu’il y a un débat sur ce sujet », a encore dit M. Obama avant de trancher sur ce sujet toujours controversé en Occident devant un public trié sur le volet, parmi lequel de nombreuses femmes voilées.

« Je rejette », a-t-il ainsi affirmé, « les vues de certains en Occident » pour qui le fait « qu’une femme choisisse de couvrir ses cheveux a quelque chose d’inégalitaire ».
Il a encore souligné que « le gouvernement américain s’est porté en justice pour protéger le droit des « femmes et des filles à porter le voile » et « punir ceux qui voudrait leur dénier ».

Pour la première fois, une américaine musulmane portant le voile, Dalia Mogahed, d’origine égyptienne, a fait son entrée à la Maison Blanche comme conseillère de Barack Obama.

Mais la question du port du voile, notamment à l’école, met aussi à l’épreuve des gouvernements et opinions publiques dans des pays musulmans.

Source: http://www.lefigaro.fr/ juin 2009

18/03/2011

Dounia Bouzar veut halaliser, hijabiser, ramadaniser, salatiser et burkiniser toute la société française!

Non-non-non-non-non-non !

Encore une fanatique qui, assise sur ses chiottes, n’est pas plus fière que les autres… Désolé.

FDF

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Dounia Bouzar veut halaliser, hijabiser, ramadaniser, salatiser et burkiniser toute la société française!


Dounia Bouzar s’autoproclame « anthropologue sur le fait religieux », « expert européen (mazette !) sur les discriminations », et use et abuse des mots « laïcité », « diversité », « vivre-ensemble », etc.

Faux-nez que tout cela. L’hypocrisie – que l’on peut appeler takia dans son cas – de Dounia Bouzar est apparue clairement à tous les Français dans une interview sur I-Télé (1). Robert Ménard lui rappelle qu’elle est « favorable à des salles de prières dans les entreprises ». Et Dounia Bouzar de lever les mains au ciel : « Nonnnnn ! Non-non-non-non-non-non ! Absolument pas ! Je suis pour des salles de repos, transversales, pas des salles sacrées, (…) ça doit être un endroit où on peut jouer au scrabble, écouter de la musique, et éventuellement, pendant les moments de repos… voilà ! » Robert Ménard a traité Dounia Bouzar de « faux-cul », et il a eu parfaitement raison.

Car la « laïcité », la « diversité », le « vivre-ensemble », et tout ce baratin que nous livre Dounia Bouzar, ainsi que tous les titres gonflants qu’elle s’attribue ne servent qu’à masquer sa véritable mission : islamiser, islamiser et encore islamiser le moindre recoin de la société française. Son dernier ouvrage « Laïcité, mode d’emploi » ne parle absolument pas de laïcité, mais de conseil pour imposer ici la viande halal, là le hijab, ailleurs l’aménagement d’horaires et de locaux pour la prière, et le ramadan, etc. Et évidemment uniquement au profit de l’islam et de lui seul.

Autre preuve de cette fausse laïcité et de cette vraie islamisation : Dounia Bouzar tient une chronique dans la même veine, et devinez où ? Sur un blog spécifique ? Dans un média d’information ? Sur un site laïque ? Pas du tout. Sur le site islamique SaphirNews, qui se présente comme « quotidien musulman d’actualité », et qui est consacré exclusivement à l’actualité musulmane et à la défense des musulmans.

Cette chronique est intitulée « Ma foi, le droit et moi ». Elle devrait plutôt s’appeler : « Mon islam, comment l’imposer ostensiblement aux mécréants ».

Et la takia commence dès l’introduction de sa rubrique : « Vous avez vécu une situation de discrimination liée à votre religion dite « minoritaire » (protestante, bouddhiste, juive, sikh, musulmane…), et souhaitez poser une question sur vos droits et devoirs ? N’hésitez pas à proposer votre cas. »

Tartufferie là encore, puisqu’absolument aucun cas de « discrimination » de protestants, de bouddhistes, de juifs, de sikhs n’est proposé à l’étude ! Et d’ailleurs tous ces gens de religions minoritaires n’ont jamais voulu protestantiser, bouddhistiser, juiviser, sikhiser notre société. Hypocrisie de mettre le mot « musulmane » en dernier de cette liste, alors que c’est le seul qui intéresse Dounia Bouzar ! Et nous allons d’ailleurs vérifier tout cela en passant en revue les différents articles de cette chronique.

« Prendre un congé pour l’Aïd, c’est mon droit »

Tous les articles sont construits sur le même canevas : « Que dit la loi ? », « Mise en situation », « Eléments du débat », « Que faire ? » Il s’agit de donner aux militants de l’islamisation tous les arguments et moyens de pression pour imposer leur but. Ici, en l’occurrence, obtenir auprès d’un patron un jour de congé musulman (et pas juif, bouddhiste ou sikh…)

Dounia Bouzar joue de la victimisation en criant à l’injustice : « le calendrier français est du pain bénit (sic !) pour les chrétiens » et qualifie cela de « discriminatoire ». Salauds de racistes français et chrétiens ! Et évidemment elle demande que toutes les fêtes musulmanes soient des jours fériés puisque l’islam « fait partie du patrimoine français » (Ah bon ?)

« Travailler dans une crèche en portant le voile »

C’est évidemment une réaction à la fameuse affaire de la crèche Baby Loup de Chanteloup-les-Vignes (Yvelines). Dounia Bouzar prend bien sûr la défense de la militante voilée et condamne son licenciement, mais qualifie également tout règlement intérieur « laïque » d’« illégal » alors que cela est parfaitement faux.

Notre islamisatrice en chef balaie l’objection du prosélytisme envers de très jeunes enfants en disant que porter un hijab, c’est « transmettre auprès des enfants le message que toutes les visions du monde sont égales ». Hé bien non ! La charia n’est pas « égale » aux droits de l’homme, le Coran n’est pas égal aux Evangiles et à la Constitution française, Mahomet n’est pas égal à Jésus et à Bouddha. Militer pour l’islam dans une crèche, c’est « transmettre » aux enfants comme respectable la « vision » du beau modèle sanguinaire, polygame, pédophile, sexiste, raciste de Mahomet. Est-ce cela que nous voulons pour nos bambins ?

« Halal, casher, végétarisme : la dame de la cantine a forcé mon enfant à manger de la viande »

Après l’aïtisation de nos entreprises et la hijabisation de nos petites filles, voilà la très classique revendication de halalisation des cantines scolaires. Evidemment, le casher et le végétarisme ne servent là encore que d’écran de fumée pour l’islamisation.

Dounia Bouzar prodigue ses bons conseils. Tout d’abord, faire pression sur « l’élu municipal chargé de la restauration scolaire ». Il faut revendiquer le fait que les musulmans sont « chez eux » en France, et procéder par étapes : d’abord demander « le minimum : qu’au moins on n’oblige pas votre enfant à manger de la viande non ritualisée ! » et donc revendiquer un repas « avec poisson, œufs, fromages ou équivalent ». Le halal, ce sera pour une seconde étape.

On note là encore l’hypocrisie de Dounia Bouzar : il faut permettre « à tous ceux qui ne mangent pas de viande de s’inscrire à la cantine pour prendre leur repas avec leurs camarades, sans qu’il soit question de religion à un moment ou à un autre. » Le « vivre-ensemble » n’est qu’un prétexte, et on balaie carrément l’argument « religieux » alors que c’est le sujet même de l’article. Parfaitement « faux-cul », comme pour les salles de scrabble athée et de prières musulmanes en entreprise…

« Un Noël pour tous »

Dounia Bouzar invente un cas d’école : « Vous êtes animateur au sein d’une maison des jeunes, chargé de l’organisation du buffet de la fête de Noël pour tous les habitants du quartier. » Il faut « assurer la cohésion sociale », et blablabla. Evidemment, le classique rappel de la loi : « assurer la liberté de conscience ».

Concrètement, Dounia Bouzar demande déjà que le même animateur organise aussi un « Aïd pour tous » dans les mêmes conditions que le « Noël pour tous ». Ensuite, votre « Noël pour tous » devra obligatoirement respecter la charia alimentaire : « foie gras habituel, foie gras halal et casher ». Et pour ne pas vexer les hôtes musulmans si sensibles, interdiction de toute référence chrétienne pour ce Noël : il faut bannir les crèches (pourtant élément traditionnel de cette fête), et… les chants de Noël ! Par contre, bien sûr, on peut apporter son hijab…

Et dans une note, Dounia Bouzar raconte que : « Cela se passe ainsi à Marseille, où tous les Marseillais fêtent l’Aïd, quelles que soient leurs convictions, de manière cultuelle pour les uns et de manière culturelle pour les autres. « L’Aïd dans la cité » est ainsi organisé depuis de nombreuses années par l’Union des familles musulmanes (UFM). »

C’est parfaitement faux. Les manifestions publiques de cet « Aïd dans la cité » marseillais ne comportent que des repas exclusivement halal, sans « foie gras habituel », on y chante moult hymnes islamiques, et « tous les Marseillais » n’y participent pas, loin de là ! A part les musulmans et quelques responsables politiques ou associatifs venus faire de la retape, on n’y trouve quasiment aucun « Marseillais de souche ». Et c’est amusant de voir Dounia Bouzar présenter cet Aïd marseillais comme s’il était fêté « de manière cultuelle pour les uns et de manière culturelle pour les autres », alors qu’elle veut interdire toute référence chrétienne dans son « Noël pour tous ».

Comme je le disais dans un commentaire de l’article de Dounia Bouzar : « Non mais franchement, vous me voyez débarquer dans une « maison de jeunes » à La Mecque ou au Maroc, avec un saucisson pur porc et une bouteille de Beaujolais, et expliquer aux autochtones qu’il faut qu’ils enlèvent leurs icônes de leur caillou (la Kaaba) et tout ça ? Ce serait exactement comme Madame Bouzar qui nous demande d’enlever nos crèches et d’acheter du halal pour financer le culte de Mahomet. »

Cet exemple du « Noël pour tous » est symptomatique de la dissymétrie des situations, de la non-réciprocité mais aussi du véritable dessein de Dounia Bouzar : il faut déchristianiser, dé-jésuiser, ces fêtes traditionnelles et populaires de Noël dans les lieux publics, et les halaliser et les hijabiser pour la plus grande gloire d’Allah et de son Prophète. C’est donc une véritable substitution culturelle et religieuse qui est recherchée, une colonisation islamique des lieux et des esprits. Et si vous, pauvres mécréants, n’obtempérez pas, alors vous aurez affaire à la Halde voire à la justice.

« Accusée d’entrave à la laïcité, une association est interdite de salle municipale »

« Vous êtes le président d’une association de loi 1901 qui se réunit tous les dimanches, depuis des années, dans un local du centre social. Récemment, le nouveau directeur de ce centre social est venu vous voir pour vous signifier que le foulard (de la vice-présidente) ne pouvait être porté dans un bâtiment public. Il a également estimé que certaines de vos activités entravent la laïcité. Pour toutes ces raisons, il tient à vous prévenir qu’il remet en question le prêt de la salle jusque-là octroyée. »

Et un beau morceau de langue de bois : « Vous avez fondé votre association pour renforcer la cohésion sociale de votre commune. En effet, depuis les événements du 11-Septembre 2001, vous avez constaté qu’un certain nombre de citoyens amalgament islam et intégrisme et que le « choc des ignorances » s’accentue. Du coup, votre association développe le dialogue interculturel, les actions socioculturelles, la sensibilisation à l’initiative citoyenne et aux valeurs de l’islam actualisées dans le contexte français. »

Donc en fait, la « cohésion sociale » sert là encore de paravent à la promotion « des valeurs de l’islam », et uniquement à celles-ci. Il est d’ailleurs remarquable de constater que jamais Dounia Bouzar ne fait la promotion inverse : la « sensibilisation » des musulmans aux valeurs chrétiennes, athées ou laïques dans les quartiers islamisés de nos villes ! Toujours ce sens unique, ce rabotage de notre civilisation pour imposer l’islamisation. On islamise la France au lieu de franciser l’islam. C’est un dogme musulman : les « infidèles » doivent se convertir ou se soumettre à la seule religion authentique.

Dans sa grande habitude de la takia, Dounia Bouzar conseille au président de l’association d’agir par ruse : enlever tout simplement « la sensibilisation aux valeurs de l’islam » des statuts de son association. C’est là encore parfaitement « faux-cul », tout comme la pseudo-absence de la « question de religions » dans la revendication de bannir la viande non halal dans les cantines scolaires. Nous connaissons tous ces associations communautaristes qui cachent leur but islamique sous des dénominations neutres, du genre « Vivre-ensemble à … », « Amicale culturelle du quartier de… », etc.

« On me refuse une formation pour port de signe religieux »

Dounia Bouzar propose le cas suivant : une voilée veut effectuer une formation professionnelle dans un établissement public, mais le règlement intérieur stipule que « ne peuvent être admis le port de tenues provocantes, d’une casquette ou de tout autre couvre-chef. »

Dounia Bouzar explique longuement « ce que dit la loi », puis nous affirme que l’interdiction de « couvre-chef » est « discriminatoire » envers les musulmanes voilées, mais également « les hommes portant le turban sikh ou la kippa ». Toujours le même alibi fallacieux, puisqu’à ma connaissance, ni la justice ni la Halde ni les gazettes n’ont eu à traiter de telles revendications de la part de juifs et de sikhs, alors que les voilées et leurs gourous ne cessent de nous emm… depuis 1989.

Là encore, je vous renvoie à mon commentaire : « On vient chercher une formation pour s’intégrer dans la société ou on vient faire du prosélytisme religieux ? Pourquoi pas demander que les cours s’arrêtent au moment de la prière tant qu’on y est ! » Car évidemment, ça viendra en son temps. C’est la méthode de ces soldats et soldates de l’islam : avancer peu à peu, et dès qu’on obtient un doigt de charia, on en demande un autre, puis toute la main y passe, et enfin tout le bras. Dans les entreprises, on tolère déjà le voile (sinon Halde et tribunaux), donc on est passé à la salle de prière et aux horaires du Ramadan. Et ainsi de suite. C’est la technique de la grenouille chauffée peu à peu dans une marmite d’eau : quand elle se rend compte qu’elle va mourir, il est trop tard. Et Dounia Bouzar alimente largement le feu sous la marmite, pour tuer la grenouille française.


C’est extraordinaire, ces affaires de voiles qui nous pourrissent la vie depuis trois décennies, et qui continuent de plus belle. Comme si ces femmes et ces filles avaient leur hijab collé à la glue sur la tête, comme si le ciel leur tombait dessus si elles l’enlèvent ! Le vrai problème que devrait aborder Dounia Bouzar, c’est « l’actualisation dans le contexte français » d’une « valeur de l’islam » aussi fétichiste et abêtissante. Et ça favoriserait bien mieux le « vivre-ensemble » qu’elle appelle de ses vœux, puisqu’aujourd’hui, 3 Français sur 5 sont opposés au voile islamique… dans la rue (4).

C’est le fond du problème, que j’ai d’ailleurs signalé maintes fois à Dounia Bouzar dans mes commentaires à ses articles et qu’elle refuse d’entendre. Toute sa croisade – ou plutôt sa croissantade – pour halaliser, hijabiser, ramadaniser, salatiser (et j’en passe) tous les rouages de la société civile française ne fait que donner raison à ceux qui combattent cette islamisation, et renforce ce que Dounia Bouzar appelle « l’islamophobie ». Nous sommes en France, tout de même, pas en Arabie saoudite ou en Iran ! C’est incroyable de prôner une telle régression intellectuelle et obscurantiste quand on se prétend scientifique.

Mais j’ai sans doute été trop naïve en voulant interpeller Dounia Bouzar, puisqu’elle n’a jamais répondu à mes objections. J’aurais dû écouter les conseils d’un ami marocain, qui m’expliquait que ça ne sert à rien de « leur » parler, que leur islam c’est tout leur être, toute leur vie, et qu’ils se fichent royalement de ce que peuvent en penser « les Français ». L’islamisation, c’est leur but, par tous les moyens. Dounia Bouzar utilise l’hypocrisie, la méthode « soft », la culpabilisation, l’instrumentalisation de l’antiracisme. D’autres se chargent de méthodes plus musclées, comme les prieurs de rue ou les racketteurs de financement public. Et les plus extrêmes passent au jihadisme. Mais toutes ces méthodes se complètent parfaitement : Dounia Bouzar ose invoquer le 11 septembre pour victimiser les musulmans (ce qui est tout de même paradoxal), et son combat pour imposer des signes ostentatoires partout permet aux extrémistes musulmans de terroriser leurs coreligionnaires qui ne s’y soumettent pas. Le cas du voile est exemplaire de cette double démarche : plus les filles seront voilées dans les cités, dans les administrations ou les entreprises, et plus celles qui refusent de le porter seront harcelées comme mauvaises musulmanes et traîtres à l’islam. Beau service que leur rend Dounia Bouzar !

« Porter un burkini dans une piscine municipale, est-ce possible ? »

Voilà le dernier article de la chronique de Dounia Bouzar (pour le moment), qui illustre parfaitement son jusqu’auboutisme. Vous avez tous entendu parler du « burkini », ce maillot de bain intégral et intégriste, sorte de burka aquatique pour nager à la mer ou en piscine. On atteint évidemment là le comble du ridicule et de l’obstination ostentatoire, discriminante et sexiste (car il n’y a ni burkini ni hijab pour hommes). Hé bien pas pour Dounia Bouzar, qui se fait l’avocate du « burkini » dans les piscines municipales !

« Que dit la loi ? ». Rien, et donc Dounia Bouzar va devoir trouver autre chose : refuser le burkini, c’est une « atteinte fondamentale » à la « liberté de conscience » des musulmanes, et une « pression psychologique » contre elles. Ah bon ? Et l’islam, n’est-ce pas en soi une montagne de « pression psychologique », qui pousse ses adeptes à de telles extrémités ?

Autre argument de Dounia Bouzar, le « vivre-ensemble », idéologie impérieuse dans notre « pays multiculturel », qui se décline ici en « nager ensemble ». Quelle bonne blague ! Franchement, je n’ai guère envie de « nager ensemble » avec des burkinisées qui ne cherchent qu’à se singulariser et se ridiculiser, et je suis sûre que 95% des femmes françaises sont comme moi.

Mais comme Dounia Bouzar ne peut pas utiliser son chantage à la Halde et aux tribunaux dans le cas du burkini, elle propose une solution, et tenez-vous bien, cette solution ce sont les horaires réservés à la mode de Martine Aubry à Lille ! Comme « nager-ensemble », on fait mieux, mais ça prouve une fois de plus que l’objectif de Dounia Bouzar est bien l’islamisation et non la convivialité.

Evidemment, Dounia Bouzar use de la même tartufferie que le maire de Lille : les créneaux horaires islamiques en piscines doivent être déguisés par des locations exclusives, de la part d’« associations » qui comme dans le cas de la salle municipale (voir plus haut) cacheraient leur objectif islamique sous une quelconque étiquette non religieuse.

C’est justement ce que prétend actuellement Martine Aubry, interpellée par Jean-Jacques Bourdin sur les horaires de piscine municipale pour musulmanes à Lille (5). Comme l’opinion publique est désormais sensible à la mise à mal de la laïcité par l’islamisation, elle change de stratégie. Au lieu de refuser de répondre aux journalistes sur cette question, elle passe au déni total. Mais non, nous assure-t-elle, il n’y a jamais eu d’horaires de piscines réservés pour les femmes musulmanes à Lille. Et de nous inventer sur le champ une fable de femmes obèses qui ne voulaient pas se montrer en maillot de bain. Martine Aubry assure que tous les journalistes qui sont venus enquêter à Lille sur cette affaire l’ont constaté.

C’est un mensonge sur toute la ligne, puisque justement plusieurs reportages télévisés ont montré que ces horaires étaient exclusivement réservés aux musulmanes, avec interdiction à tout personnel masculin. Et que la piscine en question était fermée lors de ces horaires islamiques pendant le mois de ramadan…

Takia et chariatisation sur toute la ligne

« Faux-cul », Martine Aubry, qui nie également dans cette interview qu’il y a ait la moindre femme portant le voile intégral dans les rues de Lille (malgré là encore plusieurs reportages de la presse locale), et même que les musulmans y posent le moindre problème. Quelle menteuse ! Et elle prétend devenir Présidente de la République ?

« Faux-cul » et menteuse tout comme Dounia Bouzar, dont désormais nous connaissons la responsabilité éminente dans l’islamisation de la France, à l’encontre de toutes les valeurs humanistes, républicaines ou laïques qu’elle prétend défendre. Dounia Bouzar est non seulement une militante de la charia et du communautarisme musulman, mais également une soldate zélée qui veut imposer l’islam aux Français par un maximum de signes et manifestations prosélytes et conquérantes dans toute la société civile.

On peut donc résumer sa fonction dans l’islam politique et dominateur par le mot de « chariatisation » de la France et des Français.

(1) http://www.youtube.com/watch?v=LZrhe5PPRK8

(2) Éditions Eyrolles, 2010

(3) http://www.saphirnews.com/dounia-bouzar/

(4) http://www.ifop.com/media/poll/1365-1-study_file.pdf

(5) http://www.bfmtv.com/video-infos-actualite/detail/martine-aubry-972475/

http://ripostelaique.com/dounia-bouzar-veut-halaliser-hijabiser-ramadaniser-salatiser-et-burkiniser-toute-la-societe-francaise.html

Eh! Dimanche:

19/11/2010

Chili: une écolière autorisée à garder son hijab à l’école…

Ca commence… Et « ils » ne sont que 1%, au Chili… On est mal. Ca va « leur » donner encore des idées. Et il faudra encore nous défendre…

FDF

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Le ministre chilien de l’éducation Joaquin Lavin est intervenu récemment lors d’un conflit opposant les parents de la jeune Yasmine Elsayed âgée de 9 ans à l’école W. A. Mozart de Santiago.

L’école interdisait à la jeune musulmane de porter le hijab* au prétexte qu’il n’était pas compatible avec l’uniforme. La famille de Yasmine a directement écrit au ministre de l’éducation qui s’est saisi du dossier. Les musulmans ne représentant qu’un pour cent de la population chilienne et l’État chilien a du faire face pour la première fois à un conflit de ce type. Incident qui a été réglé sans en faire une affaire d’État. Le ministre a demandé à l’école d’accepter Yasmine avec son hijab et de renouveler son inscription. Il déclare :

La loi sur l’éducation protège le droit de Yasmine de porter le foulard avec son uniforme

Il ajoute qu’« il ne doit y pas avoir de discriminations religieuses » et que « le Ministère de l’Éducation Chilien défendra les droits des musulmans comme il le ferait pour les adeptes d’autres religions si un cas similaire se produirait « . Le ministre de l’Éducation a rencontré la famille Elsayed au centre islamique de Santiago, une rencontre qui était attendue par les ambassadeurs du Liban, de l’Irak, de la Jordanie et de l’Iran.

hijab au chili

En France le hijab est interdit dans les écoles publiques et la majorité des écoles privées, un choix pris au nom de la laïcité mais qui a mis un coup d’accélérateur au développement des écoles privées musulmanes.

* Le hijab n’est pas obligatoire pour les fillettes, il le devient dès l’âge de la puberté.

Via PressTV

Source: http://www.ajib.fr/2010/11/chili-hijab-ecole/

04/11/2010

Burqa, niqab, hijab: enfin l’explication…

On a anfin trouvé le pourquoi et le comment du port de la burqa, du niqab et autres déguisements islamiques… Cela vient d’une époque très lointaine…

FDF

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Lire ce PPS: 5994-enfinEuneEexplicationEA1

12/10/2010

Retour sur Baby Loup: la crèche de la polémique…

80 000 euros de dommages et intérêts !!!

Elle n’y va pas de main morte, l’ hijabée… Des fois que ça marche… Faut pas abuser, tout de même! Profitez-en, les muzz, la situation vous est favorable pour l’instant… Mais pour l’instant, seulement. Par ce genre d’action, vous vous faites de plus en plus haïr… Faudra pas venir pleurer, après… A la stigmatisation non plus… Votre petit jeu, on commence à connaître.

FDF

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Baby Loup, une crèche d’une cité de Chanteloup (Yvelines), pourrait fermer. Une salariée, qui conteste son licenciement, exige de pouvoir travailler avec son hijab.

 

Baby Loup, la crèche expérimentale de Chanteloup-les-Vignes (Yvelines), unique en France, est menacée de fermeture. Une ex-salariée, Fatima, a saisi les prud’hommes pour licenciement discriminatoire.
Cette Marocaine, embauchée en 1997, exige de pouvoir porter le voile sur son lieu de travail. Le tribunal de Mantes-la-Jolie devra se prononcer le 8 novembre, et l’on voit mal comment il ne pourra pas tenir compte de l’avis rendu en mars par la Haute Autorité de lutte contre les discriminations et pour l’égalité (Halde).

A l’époque présidée par Louis Schweitzer, elle a condamné la crèche pour discrimination.

L’ex-salariée réclame 80 000 € de dommages et intérêts!

Natalia Baléato, la fondatrice et directrice de Baby Loup, est amère. « On se sent poignardés », confie celle qui depuis bientôt vingt ans bataille pour l’émancipation des femmes des cités à travers l’insertion professionnelle.

D’ailleurs, poursuit-elle, « Fatima a bénéficié de cet ambitieux projet. Arrivée chez nous sans la moindre qualification, elle a décroché un diplôme d’auxiliaire puéricultrice avant de devenir directrice adjointe de l’établissement. » Enceinte, en 2003, Fatima cesse son travail.

Tout bascule après ses deux congés parentaux. Le 8 décembre 2008, elle effectue son retour, vêtue d’un hijab. « Elle est revenue couverte de noir de la tête aux pieds. Seul son visage était visible. Et elle a exigé de travailler avec le voile », raconte Natalia Baléato. La directrice a alors mis en avant le règlement intérieur : « Obligation de respecter une neutralité confessionnelle, philosophique, politique. » S’ensuit un véritable bras de fer. Un arrangement à l’amiable est proposé à l’employée. Face à son refus, la crèche opte pour une mise à pied, avant son licenciement pour faute grave signifié le 20 décembre 2008.

Fatima porte l’affaire devant les tribunaux et alerte la Halde.Devant les prud’hommes, l’ex-salariée réclame aujourd’hui 80 000 € de dommages et intérêts. Elle peut même par la suite saisir le tribunal de grande instance de Versailles. En cas de victoire, cela pourrait porter un coup fatal à l’association. Quant à Me Majda Régui, l’avocate de l’ex-employée, elle ne souhaite pas s’exprimer. Elle réserve ses arguments pour la justice.

Source: http://tinyurl.com/2frx88l

09/10/2010

Islamistes: les provocations pleuvent…

Il nous emmerderont jusqu’au bout. Mais quel bout? Quelle issue? La loi contre la dissimulation du visage n’étant pas encore promulguée qu’il fallait s’attendre à des provocations de toutes sortes. Et ça tombe…

Preuve en est déjà lors d’un procès à  Bobigny: http://www.lexpress.fr/actualite/societe/femme-voilee-au-tribunal-la-loi-n-est-pas-encore-applicable_926242.html

En outre: http://www.leparisien.fr/yvelines-78/a-chanteloup-l-affaire-du-voile-a-divise-la-cite-08-10-2010-1100028.php

Vivement la promulgation de cette loi… Mais, le problème est que là aussi, ils ont déjà prévu la riposte… Et ben, on organisera la notre…


06/10/2010

Des écoles islamiques ont adopté des politiques sur l’uniforme scolaire qui obligent les élèves à porter la burqa ou le niqab!

Mais ça se passe en Grande-Bretagne, rassurez vous. En France, c’est pour demain…
FDF

Au nom du multiculturalisme, on bafoue les droits des enfants. Ces jeunes filles sont victimes, dans les faits, d’un traitement cruel, inhumain et dégradant. Je dirais même qu’il s’agit d’une forme de torture.

Burka-free
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Le Sunday Telegraph a déterminé que trois institutions du Royaume-Uni avaient adopté des politiques obligeant les jeunes filles à porter le voile intégral lorsqu’elles se rendent à l’école ou en reviennent. Il s’agit de la Madani Girls’ School  à Londres-Est, de la Jamea Al Kauthar à Lancaster et de la Jameah Girl’s Academy à Leicester. Toutes trois sont des écoles indépendantes, payantes et non mixtes pour des jeunes filles de 11 à 18 ans.

Des critiques ont prévenu que la vue d’élèves vêtues de la burqa entrant et sortant de l’école au début et à la fin de la journée pourrait nuire aux relations entre les communautés musulmanes et non-musulmanes.

Ed Husain, co-directeur de Quilliam, un think tank anti-extrémisme, a déclaré : «Il est absurde que des écoles imposent ce rituel désuet, lequel envoie le message nuisible voulant que les musulmans ne veulent pas participer pleinement à la société britannique. Même s’il n’appartient pas au gouvernement de dicter aux citoyens la manière dont ils doivent s’habiller, il faut s’assurer que ces écoles ne sont pas financées par les contribuables britanniques. L’imposition du niqab aux jeunes filles n’est pas une pratique de l’islam dominant, que ce soit en Grande-Bretagne ou dans les pays à majorité musulmane. Il s’agit d’une coutume du désert qui appartient à un autre siècle et à un autre monde.»

Le Dr Taj Hargey, imam et président du Muslim Educational Trust d’Oxford, a déclaré: «C’est très troublant, et cela crée un précédent dangereux. On fait fait subir un lavage de cerveau à de jeunes musulmanes en leur faisant croire qu’elles doivent vivre séparément du reste de la société. Le financement de telles institutions par l’argent des contribuables devrait être absolument interdit. Le port de la burqa ou du niqab est une coutume tribale et ces vêtements ne sont même pas mentionnés dans le Coran.»

Philip Hollobone, le député conservateur qui a tenté de présenter un projet de loi  visant à interdire la burqa en public, a également condamné la politique sur l’uniforme scolaire de ces institutions. «Quelle tristesse de constater qu’au 21e siècle en Grande-Bretagne, trois écoles obligent des jeunes filles d’à peine 11 ans à se couvrir le visage. Comment ces jeunes filles pourront-elles évoluer comme membres pleinement intégrées de la société si on les traite comme des objets à un âge aussi précoce ?»

Le formulaire de demande d’admission [de l’école Madani] prévient les jeunes filles qu’elles recevront une «punition appropriéee» si elles ne portent pas le bon uniforme,  et son site Internet ajoute : «Si le ministère de l’Éducation entre en communication avec les parents au sujet de leur enfant, ceux-ci ne doivent divulguer aucune information sans en avoir discuté avec le comité. »

L’école Madani explique sa philosophie sur son site Internet: «Comme nous sommes opposés au mode de vie occidental, il ne nous apparaît pas raisonnable que les enseignants et le système qui représentent ce mode de vie éduquent nos enfants.»

Source : British schools where girls must wear the Islamic veil, par David Barrett, Telegraph, 2 octobre 2010. Traduction partielle

18/09/2010

La principale autorité de l’islam interdit le voile intégral !

Et dire quon nous les brise depuis de nombreuses semaines avec cette pseudo loi qui ne sera jamais applicable vu les multiples « aménagements » qu’elle contient… En Egypte, ça a été vite reglé; et ça ne date pas d’hier…

FDF


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La polémique fait rage en Egypte depuis que le grand imam de l’Université Al-Azhar, au Caire, a interdit le port du niqab dans les classes de filles. Le gouvernement égyptien a quant à lui décidé d’en finir dans tous les lycées. Pour contrer la montée en force des Frères musulmans?

Trop c’est trop. L’Université d’Al-Azhar au Caire, qui fait référence dans l’ensemble du monde arabo-musulman, a décidé d’interdire le port du niqab (le voile intégral cachant le visage) dans les cours réservés aux filles et donnés par des femmes. Les étudiantes devront également s’abstenir de le porter dans la résidence universitaire de cette prestigieuse institution islamique.

C’est en fait une écolière de 12 ans qui a mis le feu aux poudres il y a quinze jours. Appelons-la Leïla. Couverte de la tête aux pieds, elle a suscité l’ire du grand imam d’Al-Azhar, Mohammed Sayyed Tantaoui, qui rendait une banale visite dans une école tenue par la célèbre institution religieuse. «Le niqab n’est qu’une tradition! Il n’a pas de lien avec la religion, ni de près ni de loin», s’est-il emporté, exigeant de l’enfant qu’elle ôte le voile et montre son visage aux autres filles et à l’institutrice.

Ni une ni deux, le haut conseil d’Al-Azhar a prononcé l’interdiction dans la foulée. «Car l’insistance de porter le niqab en présence de femmes est un genre de rigorisme rejeté par la charia islamique.» Certes, il n’est pas question d’en empêcher le port dans la rue ou au travail, mais cette importante autorité de l’islam sunnite veut éviter que le rigorisme ne soit «gravé dans la mentalité des jeunes filles».

Pourquoi ce soudain accès de colère? C’est que la montée du port du voile intégral commence à inquiéter les autorités et certains responsables religieux, qui y voient un signe de progrès de l’islam fondamentaliste, dans un pays déjà très conservateur. Pour l’instant, la grande majorité des Egyptiennes musulmanes s’en tiennent au simple hijab, le foulard cachant les cheveux et le cou. Mais elles sont de plus en plus nombreuses à vouloir voiler leur visage.

L’influence des djihadistes et des chaînes satellitaires

«C’est un phénomène récent, le niqab est étranger à la culture égyptienne», explique à Genève Hasni Abidi, qui dirige le Centre d’études et de recherche sur le monde arabe et méditerranéen (Cermam). «On peut y voir l’influence de l’islam pratiqué dans le Golfe, très présent sur les chaînes satellitaires. Ou encore l’impact des djihadistes revenus d’Afghanistan avec leurs familles. Une importation culturelle qui fait peur en Egypte.»

Avant-hier, le ministre de l’Enseignement a ainsi décidé de réactiver une directive de 1995 interdisant le port du niqab. Il y a quelques mois, le ministre de la Santé en faisait autant pour le personnel soignant.

«Les autorités veulent montrer qu’elles ne laisseront pas faire», poursuit Hasni Abidi. «Un message clair à tous les fondamentalistes. Et aux Frères musulmans. Le principal mouvement d’opposition s’est emparé de cette affaire, défendant le droit des femmes à porter le niqab, au nom de la liberté de religion.»

source : lesquotidiennes.com (Andrès Allemand | 15-10-2009 | 09:32)

03/08/2010

Piqûre de rappel…

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Pour combattre son ennemi, mieux vaut connaître ses us et coutumes…
FDF

Hijab: déjà, en 2009, au Québec…

« Pour régler la question du hijab dans la fonction publique, il faut d’abord faire reculer l’islam politique… »

Publication originale de cette chronique, le 22 mai 2009

Le Québec est à nouveau mobilisé autour de la question du voile, la Commission Bouchard-Taylor n’ayant rien réglé. Certains parlent d’un nouveau « débat ». En réalité, il n’y a pas de débat, il n’y a jamais eu de débat. Il n’y a qu’une nouvelle confrontation due à une nouvelle provocation islamiste, qui nous plonge de force dans des problèmes causés par l’islam radical.

La question du voile ne peut être abordée sans examiner l’islam politique dont il est l’étendard. Pour régler le problème du voile, il faut d’abord faire reculer l’islam politique et l’évacuer de notre société, de la même manière que durant la Guerre froide, la gauche et la droite, qui comprenaient l’importance de la Liberté, l’ont défendue contre la menace du totalitarisme communiste

Un débat suppose que l’on puisse discuter ouvertement d’une question sans crainte de menaces de mort, de manifestations violentes, ou de poursuites.

Les discussions sur l’islam politique, qui avance furtivement sous couvert de religion partout dans le monde, y compris au Québec – faisant reculer la liberté d’expression, les droits des femmes, et notre sécurité – sont étouffées. Nos dirigeants se contentent de réagir aux provocations, ils sont constamment sur la défensive, ils sont pris au dépourvu à chaque nouvelle provocation. Pourquoi? Parce qu’il n’y a jamais eu une discussion ouverte sur l’islam radical et la menace qu’il fait peser sur notre société. Il n’y a jamais eu une prise de position claire et ferme par nos gouvernants démontrant qu’ils sont conscients de la menace et qu’ils ont à cœur le mieux-être de la nation. Nos élus s’en remettent lâchement à des Bouchard-Taylor ou à la commission des droits de la personne!

La question dépasse largement le voile, mais c’est souvent par le voile qu’elle nous arrive.

La dernière provocation nous vient par le biais de la Fédération des femmes du Québec qui, le 9 mai, a adopté, en assemblée générale spéciale, « la position proposée par leur conseil d’administration sur les signes religieux. En même temps qu’elles s’opposent à l’obligation qui est faite aux femmes de porter des signes religieux ici et ailleurs dans le monde, elles s’opposent également à l’interdiction du port de ces signes au sein de la fonction et des services publics québécois.»

Mme Djemila Benhabib, auteur du livre Ma vie à contre-Coran, était présente à cette assemblée et a diffusé une déclaration dénonçant cette dérive de la FFQ, sous le titre: «J’accuse la Fédération des femmes du Québec de trahir le combat des femmes». La déclaration a été affichée sur le site Sisyphe.org et publiée dans divers médias :

Voici des extraits :

Fortement épaulée par des représentantes du Conseil islamique canadien et de Présence musulmane, la Fédération des femmes du Québec (FFQ) vient d’adopter une résolution banalisant le port du voile islamique dans les institutions publiques québécoises lors d’une assemblée générale spéciale qui s’est déroulé à l’université Laval, le 9 mai dernier, et à laquelle j’ai assisté en qualité d’observatrice.

Il y a des alliances et des prises de position qui minent les principes. Avec cette dernière, la crédibilité de la FFQ est sérieusement entachée. Pour une poignée de militantes islamistes, la FFQ a sacrifié des millions de femmes musulmanes qui se battent au péril de leur vie. Aujourd’hui, il n’y a qu’un verbe qui tourne en boucle dans ma tête : j’accuse !

J’accuse la FFQ de compromission avec des mouvements politiques des plus rétrogrades tels que le Conseil islamique canadien qui a mené une campagne acharnée pour l’instauration des tribunaux islamiques en Ontario ou encore Présence musulmane qui fait la promotion des thèses de Tarik Ramadan qui prône un « moratoire » sur la lapidation des femmes adultères, un châtiment préconisé par la charia islamique. Un moratoire… ???
Bien qu’il ait été beaucoup question des femmes arabo-musulmanes lors de cette rencontre, seule la propagande des femmes islamistes dominait. Quel bel exemple de diversité et de pluralité ! C’est à croire que la pensée unique est devenue la norme à la FFQ. Quelle tristesse.. Combien de Aqsa Parvez faudra-t-il encore pour qu’enfin la FFQ comprenne que la bataille pour la liberté se déroule aussi, ici même, dans notre pays au sein de nombreuses familles musulmanes ? Que vaut le sang de ces jeunes filles et de ces femmes ? Pour la FFQ, certainement pas grand chose…

INTIMIDATION

Présence musulmane Montréal a envoyé une mise en demeure à Sisyphe.org, intimant ses éditrices de publier sa réplique au texte de Mme Benhabib, vraisemblablement sous peine d’une poursuite en diffamation en cas de défaut d’obtempérer à son arrogant diktat.

Les poursuites et menaces de poursuites sont une tactique fréquemment employée par les islamistes pour punir leurs critiques ou les réduire au silence. Ils manipulent les systèmes juridiques démocratiques pour réprimer la liberté d’expression, abolir le discours public critique de l’islam, et faire progresser furtivement l’établissement des principes de la charia.

Il faut condamner sans réserve ces stratégies d’intimidation qui limitent le droit des citoyens de participer au débat public, et pointer un doigt accusateur en direction des islamistes qui abusent de nos lois.

La Cour suprême du Canada a jugé que «nous vivons dans un pays libre, où il est permis d’énoncer des opinions outrancières et ridicules tout autant que des vues modérées», et que «la controverse publique a parfois de rudes exigences, et le droit doit respecter ses exigences». Pour la Cour suprême, «l’important dans un débat sur des sujets d’intérêt public est que tous les aspects de la question sont présentés avec force». Ce jugement établit le droit pour l’ensemble du pays. Comme dit Tarek Fatah, les islamistes qui ont des problèmes avec la liberté d’expression devraient quitter le Canada.

Aucun autre groupe religieux ou ethnique au Québec n’utilise la stratégie de la guérilla juridique pour intimider les critiques. Les médias, les politiciens et les citoyens pratiquent d’ailleurs l’auto-censure, directement par le silence, ou indirectement en s’exprimant par «amalgames». Il faut dénoncer «tous les extrémismes» avec la même vigueur, disent-ils, pour éviter de «stigmatiser» injustement l’islam. Allons… l’intégrisme bouddhiste et hindou exige une mobilisation nationale… Il faut demeurer vigilants face au risque d’atteintes graves aux droits à l’égalité des chrétiennes, et ne pas baisser la garde face à la menace d’attaques terroristes par des témoins de Jehovah! Ce faisant, on détourne l’attention du véritable problème, celui de l’islam radical. On sème la confusion, on se perd dans des discussions absurdes sur la croix du Mont-Royal et les sapins de Noël. On ne règle jamais rien, on éteint des feux, et tout est toujours à recommencer, parce qu’inévitablement, il y aura d’autres provocations! C’est comme ça que l’islam politique avance.

INFILTRATION

Une autre tactique est celle de l’infiltration. Ici, des islamistes ont infiltré la Fédération des femmes du Québec et, en détournant le vocabulaire de la liberté et de l’égalité pour le rendre charia-compatible, elles ont réussi à faire progresser leur agenda d’islamisation de nos institutions. Voilà maintenant que le voile dans la fonction publique est l’instrument de choix favorisant l’émancipation de la femme musulmane! Les mollahs, les ayatollahs et les talibans rient dans leurs barbes. La Fédération des femmes du Québec est leur alliée!

DISCOURS VICTIMAIRE

Michèle Asselin, présidente de la FFQ, reprend le discours victimaire des musulmans qui se plaignent d’être l’objet de préjugés liés aux attaques du 11 septembre 2001. Et pourtant…

Les femmes voilées sont présentes partout, et en grand nombre, même dans les emplois les plus sensibles du point de vue de la sécurité. Plusieurs d’entre nous avons fait l’expérience de fouilles à l’aéroport par des femmes voilées, et avons eu affaires à des femmes voilées dans nos transactions avec diverses agences gouvernementales.

Elles vont et viennent en toute liberté, et en nombre croissant, dans les rues de Montréal et ailleurs au Québec. Les musulmans, hommes et femmes, bénéficient de la pleine liberté de conscience, ils ont leurs lieux de culte et centres culturels, ils jouissent des mêmes droits et libertés que les autres citoyens.

Les vraies victimes du 11 septembre, c’est l’ensemble de la population. Nous devons attendre des heures dans les aéroports en raison des lourds dispositifs de sécurité, nous devons financer des services de renseignement et de police pour nous protéger des fous d’allah. Nos libertés reculent à cause du refus des musulmans d’assumer leurs responsabilités et de collaborer pleinement avec les forces de l’ordre.

PRÉJUGÉS?

Les minorités musulmanes sont les seules à continuellement critiquer la majorité et à réclamer des restrictions à nos libertés, en particulier notre liberté de les critiquer, eux. Ils sont les seuls à proférer des menaces de mort ou de poursuites pour faire taire la critique. D’ailleurs, nos médias pratiquent l’auto-censure, par peur, et réservent aux musulmans un traitement privilégié par rapport à toutes les autres communautés et religions, sur lesquelles ils n’hésitent pas à s’acharner.

Des auteurs progressistes du Golfe persique écrivaient récemment sur le mal que font les musulmans à l’Occident tout en profitant de ses libertés et de ses services. L’un d’eux écrit que les musulmans en Occident «crachent dans le puits dans lequel ils puisent leur eau». Il reproche aux islamistes de «contrôler la vie des musulmans» et de favoriser «l’isolement, le repli et, à terme, le terrorisme djihadiste contre l’Occident». Il déplore que les musulmans «se retournent contre la société qui les a accueillis, leur fournit le toit, du travail et l’assurance santé.» Il trouve curieux de voir certains imams «maudire et insulter l’Occident dans les prêches qu’ils font dans des mosquées occidentales, et appeler de leurs vœux la destruction des pays occidentaux, alors même qu’ils sont placés sous la protection de la police de ces pays». Un autre auteur observe, parlant des islamistes, que la tolérance des Occidentaux envers les musulmans ne les a pas conduits à «reconnaître que le choix de la religion est une affaire personnelle. … Au contraire, ils sont devenus de plus en plus agressifs, parce qu’ils ont compris que l’Occident cédait à leurs exigences et les traitait avec tolérance. Ils ont donc gagné du terrain et de la popularité, et leur arrogance est devenue sans limites».

Les minorités islamiques sont les seules à se comporter de cette manière et à retourner nos lois et nos institutions contre nous, érodant la liberté de tous les autres citoyens. À titre de comparaison, les Sikhs du Canada ont aussi leurs extrémistes, mais ils ont des leaders qui les confrontent, parfois au prix de leur vie. Wally Oppal, un Sikh qui a été ministre de la Justice de la Colombie-Britannique, s’est servi de sa position de pouvoir pour combattre ces extrémistes et permettre à l’ensemble de la communauté indo-canadienne de s’émanciper à l’intérieur des valeurs canadiennes de liberté et d’égalité, au lieu de s’auto-isoler et de s’enfoncer dans l’impasse du discours victimaire infantilisant. Ainsi, en 2006, à la suite de deux crimes d’honneur, il a convoqué des états généraux de la communauté indo-canadienne pour discuter de la violence contre les femmes et des éléments culturels qui la fondent. Il n’a pas eu peur de dire que les crimes d’honneur « ont leur origine dans des concepts dépassés sur le traitement des femmes », qui sont enracinés dans des traditions culturelles.

Les groupes islamistes, quant à eux, ont plus à cœur de défendre la réputation de l’islam que d’assurer la protection des musulmanes. Les médias et les bien-pensants jouent le même jeu, au nom d’une conception de l’anti-racisme que Tarek Fatah dénonce comme un «racisme de la moindre attente». Pourtant, selon une étude britannique, la plus grande crainte des musulmanes «n’est pas l’islamophobie ou d’être attaquées par des racistes ou arrêtées pour suspicion de terrorisme. Elles craignent avant tout leur propre famille».

LES QUÉBÉCOIS ONT RAISON DE SE MÉFIER DE L’ISLAM

Les Québécois ont raison d’être inquiets face à l’islam. Un sondage récent démontre leur résistance tenace face à cette religion, et leur opposition, dans une proportion de 74%, aux accommodements religieux. On peut avancer avec quasi-certitude que le taux de 74% serait largement inférieur si l’islam ne faisait pas partie de l’équation.

Voici quelques exemples, parmi tant d’autres, de situations qui expliquent sans doute leur résistance tenace face à l’islam:

Un cheikh machiste, ancien grand mufti de Jérusalem, a été invité à Montréal par IRFAN-Canada pour une levée de fonds. Ce cheikh pourfend les lois occidentales qui criminalisent le viol par le conjoint. Nous étions présents à cette soirée, à laquelle ont assisté environ 500 personnes, dont une centaine de femmes. La FFQ n’a pas dénoncé cet événement, ni les autres féministes, musulmanes ou pas.

– «Souhaiter Joyeux Noël ou Bonne année aux mécréants est interdit. C’est un acte répugnant» – c’est l’attitude à l’égard des «mécréants» que recommandait à ses fidèles la mosquée Masjed Essuna Nabawiya en décembre dernier. Cette mosquée se décrit, sur oumma.com, comme la plus grande mosquée salafiste de Montréal, avec une capacité d’accueil évaluée entre 2500 et 3000 fidèles. Aucun musulman n’a dénoncé ce discours méprisant, suprématiste et peu propice au «vivre-ensemble».

– Au moins quatre prédicateurs radicaux ont été invités par l’Association étudiante musulmane de l’Université Laval (AEMUL), le 9 mai, pour marquer leur 20e anniversaire, au théâtre de la Cité universitaire. Ces prédicateurs comprenaient le machiste ancien grand mufti de Jérusalem, l’imam de la mosquée suprématiste Masjed Essuna Nabawiya de Montréal, ainsi que le Cheikh Ahmad Shehab. Personne n’a réagi.

– Un imam propage ouvertement la doctrine de l’islam radical suprématiste, misogyne et haineux, sans être inquiété par la commission canadienne des droits. Personne dans la communauté musulmane, ou chez les féministes, ne l’a dénoncé ouvertement. Il continue de propager ses enseignements en toute impunité, et à gagner de nouveaux adeptes à ses vues abjectes. La communauté musulmane démontre ainsi sa complète irresponsabilité, et son incapacité à faire le ménage dans ses rangs. Elle est la première responsable de la résistance tenace des Québécois face à l’islam. Le sort du voile dans la fonction publique n’y changera absolument rien.

Khaled Mouamar, le président de la Fédération canado-arabe qui soutient ouvertement des groupes terroristes, a siégé à la Commission de l’immigration et du statut de réfugié, ce qui est incroyable. Cet exemple extrême démontre l’incurie de nos dirigeants, pour qui les droits des extrémistes passent avant la sécurité et le bien-être de l’ensemble de la population. Le résultat, c’est qu’on se méfie de tous les musulmans.

Sondage: Reason to Fear, par Salim Mansur, Western Standard, 26 mai 2007 – 12 % des musulmans interrogés – un chiffre qui s’élève à 84 000 sur une population de 700 000 musulmans canadiens – se sont identifiés comme des extrémistes qui soutiennent le terrorisme. Même si l’on prend en compte la marge d’erreur de 4,4%, le chiffre arrondi à 7% de la population, le nombre des musulmans qui s’associent idéologiquement aux extrémistes est de 49 000. Pour mettre un peu de perspective, il y a deux fois plus d’extrémistes que de soldats canadiens au pays…

Sondage: Glad to be Canadian, Muslims say
Dans ce rapport, on occulte les différences idéologiques entre canadiens musulmans et non musulmans pour faire un portrait à l’eau de rose. Pourtant, il démontre que 53% des canadiens musulmans sont en faveur de l’adoption de tribunaux de la charia pour régler les litiges familiaux, que 27% des musulmans trouvent que les attaques planifiées à Toronto étaient justifiées (ou du moins ne disent pas qu’elles étaient injustifiées).

DÉNONCER L’ISLAMISME ET L’EXTIRPER DE LA SOCIÉTÉ

Discuter du foulard, c’est s’intéresser à l’arbre qui cache la forêt. C’est ignorer l’idéologie de l’islam radical qui progresse chez nous comme un cancer, et s’attarder à un symptôme sans jamais oser prononcer le mot « cancer », et l’extirper.

L’islam politique n’est pas une race, une ethnie ou une culture, pas plus que le fascisme ou le nazisme. Cette idéologie n’a pas sa place au Québec et au Canada. Il n’y a pas lieu d’en débattre, pas plus qu’on ne débattrait du nazisme. Cette idéologie doit être nommée, discréditée, et éradiquée de la société.


Nous avons tenu une conférence à Montréal en septembre dernier sur le thème: L’islam politique menace nos libertés, à laquelle 200 personnes ont assisté, ce qui confirme l’inquiétude des citoyens et leur intérêt pour le sujet. Les trois conférenciers, des musulmans, sont menacés de mort par des musulmans canadiens. Tout comme la députée Fatima Houda-Pépin, ils sont traités de traîtres par leurs coreligionnaires – souvent des membres influents de leur communauté -, parce qu’ils militent contre la charia et défendent avec acharnement la démocratie et nos libertés fondamentales, particulièrement la liberté d’expression. On a tout lieu de s’inquiéter du profond conflit d’allégeance des musulmans canadiens qui menacent leurs compatriotes, et du fait que ce genre de personnes puisse occuper des emplois donnant accès à des renseignements personnels sur les citoyens.

Tant que nos gouvernements ne s’attaqueront pas avec courage à l’islam politique qui menace la société, musulmans compris, tant que la communauté musulmane ne prendra pas ses responsabilités et ne fera pas le ménage dans ses rangs, tant que les médias persisteront à nous endormir avec un discours rose bonbon sur l’islam, tant que nous ne serons pas rassurés que la politique d’immigration est gérée de manière responsable et ne sert pas à transporter cette idéologie chez nous à dos d’hommes et de femmes… nous aurons toujours des « crises » à gérer, et le cancer finira par nous emporter.

Il faut combattre l’islam politique, et le vaincre. Voici des conseils tirés du manuel L’art de la guerre écrit par Sun Tzu il y a plusieurs siècles:

Ne différez pas de livrer le combat, n’attendez pas que vos armes contractent la rouille, ni que le tranchant de vos épées s’émousse. La victoire est le principal objectif de la guerre.
S’il s’agit de prendre une ville, hâtez-vous d’en faire le siège; ne pensez qu’à cela, dirigez là toutes vos forces; il faut ici tout brusquer; si vous y manquez, vos troupes courent le risque de tenir longtemps la campagne, ce qui sera une source de funestes malheurs.
Ceux qui possèdent les vrais principes de l’art militaire ne s’y prennent pas à deux fois. Dès la première campagne, tout est fini.
Si vous faites exactement ce que je viens de vous indiquer, les succès accompagneront tous vos pas, partout vous serez vainqueur, vous ménagerez la vie de vos soldats, vous affermirez votre pays dans ses anciennes possessions, vous lui en procurerez de nouvelles, vous augmenterez la splendeur et la gloire de l’État, et le prince ainsi que les sujets vous seront redevables de la douce tranquillité dans laquelle ils couleront désormais leurs jours.
L’essentiel est dans la victoire et non dans les opérations prolongées.
Le général qui s’entend dans l’art de la guerre est le ministre du destin du peuple et l’arbitre de la destinée de la victoire.

Citoyens… à vos armes! Vos ordinateurs sont vos kalashnikovs. Mobilisez-vous, écrivez aux députés, aux médias, et demandez-leur des comptes! Nous sommes à préparer un Manifeste, qui proposera des objectifs et un plan d’action.



Source : pointdebascule.canada.ca 9 Octobre 2009 par Annie Lessard, Marc Lebuis