Francaisdefrance's Blog

06/02/2012

Islamisation: la meilleure riposte est la diffusion de la vérité…

Un excellent billet. A vous de juger.

FDF

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La Valse à trois temps du djihad, par Olaf de Paris

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Cette chronique d’Olaf de Paris est une adaptation libre d’une vidéo de David Wood du groupe Answering Muslims intitulée : Three Stages of Jihad. La vidéo (en anglais) figure à la fin du billet.

Après avoir lu cette chronique, vous saurez pourquoi les chrétiens et les juifs sont considérés comme des quasi sous-humains dans le monde musulman, pourquoi certains sont prêts à tuer pour des caricatures, pourquoi les musulmans sont si prompts à se prétendre victimes de toutes les discriminations, etc.

Malheureusement, nos dirigeants et les bien-pensants ne veulent pas entendre la vérité sur l’islam. Or il faut la connaître car, comme l’écrit Olaf, «le meilleur allié du djihad, c’est l’ignorance crasse. La meilleure riposte : la vérité ! »  

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L’islam ? On n’y comprend rien !

Pour un même coran, voici un musulman paisible, imaginons le commerçant aimable, bon père de famille, bon mari, et tolérant avec ça, des amis chrétiens et athées, bref un musulman parfaitement soluble dans notre monde moderne, et en voici un autre tout vilain, tout barbu, qui voile ses femmes, lapide à qui mieux mieux, coupe une main par-ci par-là, soutient pourquoi pas le terrorisme et œuvre à établir le califat mondial … Et si différents qu’ils sont, ils seraient tous deux aussi musulmans ? Qui représente l’islam alors, qui a raison, notre musulman paisible ou notre barbu ?

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Ouvrons donc notre coran : « Nulle contrainte en religion » (S2 : 256). Une belle parole d’amour de paix et de tolérance, c’est donc notre musulman paisible qui a raison, voilà le vrai islam. Poursuivons la lecture : « Combattez ceux qui ne croient pas en Allah » (S9 : 29). Où sont passés l’amour, la paix et la tolérance ? C’est notre barbu qui a raison ! Quoi ? Ils ont tous les deux raison ? C’est tout de même embêtant ce paradoxe. Un peu comme celui de voir les adeptes de la religion d’amour, de paix et de tolérance réclamer à grands cris un peu de cette tolérance pour pouvoir construire des mosquées et faire manger halal à la cantine de leurs enfants, alors qu’en terre d’islam les chrétiens sont durement persécutés au nom de cette même religion de tolérance. Insoluble énigme de l’islam …

Insoluble ? Pas tant que cela. Car comme souvent avec les totalitarismes, le mode d’emploi est déjà écrit. Tout est là dans les textes, le coran, les hadiths, la sunna. Et ce mode d’emploi, c’est la vie de Mahomet comme elle y est rapportée, la vie de Mahomet comme elle est enseignée aujourd’hui aux musulmans, Mahomet alias « le Beau Modèle », l’exemple à suivre dans la foi, Mahomet qui a prêché et répandu l’islam tant qu’il a pu, Mahomet dont la vie n’aura donc été au final qu’un long djihad* …

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On ne pourra donc jamais voir clair dans cette religion si, à l’aide de l’exemple de Mahomet, on ne décortique pas le djihad tel qu’il l’a pratiqué, et comme il est enseigné depuis. Et de là, on peut en saisir un de ses caractères essentiels : le djihad procède par étapes. 14 siècles d’islamisation du monde en attestent, un même schéma s’est toujours répété, un même plan a toujours été appliqué, que l’on examine les actes des premières communautés musulmanes, les grandes conquêtes, et jusqu’à l’expansion actuelle de l’islam, politique et démographique. Et ce plan, c’est la vie de Mahomet lui même, étapes après étapes. Elle découpe le djihad en trois grandes phases successives, selon le statut des musulmans dans la société dans laquelle ils vivent.

1ère étape : le djihad secret

Lorsque les musulmans sont très minoritaires, que toute tentative de faire prévaloir l’islam par la force, l’intimidation ou la confrontation physique semble vouée à l’échec, ils se doivent, à l’imitation de Mahomet, de prôner la paix et la tolérance avec les infidèles. C’est ce que faisait Mahomet et ses premiers adeptes, lorsqu’ils vivaient à la Mecque et y formaient un groupe religieux ultra minoritaire au milieu des païens, des Juifs, des judéo-nazaréens et de tous ces Mecquois d’alors. Ils avaient beau critiquer les croyances des infidèles, ils étaient réputés prêcher la tolérance ; ils laissaient à Allah le soin de les punir tous plus tard, un jour, après leur mort, et en attendant, ils vivaient en paix avec eux. Les versets du coran à cette époque le reflètent bien :

« Dis : Ô vous les infidèles !  Je n’adore pas ce que vous adorez ;  pas plus que vous n’adorez ce que j’adore ! Je ne suis pas adorateur de ce que vous adorez et vous n’êtes pas adorateurs de ce que j’adore. À vous votre religion, et à moi la mienne » (S109).

Ne voilà-t-il pas une vraie religion d’amour, de paix et de tolérance, hein ? C’est ce que nous disent les musulmans établis en occident, en citant précisément ce verset. Et pourtant, alors même que Mahomet prêchait ce verset de pur amour, nous savons qu’en secret, il conspirait à conquérir tous les infidèles. Il tentait de se gagner des adeptes en leur promettant la victoire sur les non-arabes. Al Tabari, historien de l’islam du IXème siècle le rapporte dans ses chroniques, à propos d’une rencontre qu’avait organisée l’oncle de Mahomet, Abou Talib, avec quelques membres éminents de la tribu de Mahomet scandalisés par ses prédication très véhémentes contre leurs croyances :

« Abou Talib fit chercher le Messager d’Allah, et lorsqu’il entra, il lui dit : « Mon neveu, voici les cheikhs et les nobles de ta tribu. Ils réclament justice contre toi, que tu cesses d’insulter leurs dieux, et ils te laisseront ainsi à ton dieu ». « Mon oncle », dit-il, « Ne devrais-je pas les exhorter à croire à ce qui est mieux pour eux que leurs dieux ? » « A quoi les exhortes-tu ? » demanda-t-il. Il répondit « Je les exhorte à proférer les paroles grâce auxquelles les Arabes se soumettront à eux et grâce auxquelles ils règneront sur les non-Arabes ». Abou Jahl lui dit alors au cours de cette réunion « De quelles paroles s’agit-il, par le nom de ton père ? Nous les proférerons, et les répèterons dix fois. » Il répondit « Il n’y a de dieu qu’Allah. » (The History of al-Tabari, vol. 6, Muhammad at Mecca, édition en anglais du State University of New York Press**).

Etonnante révélation n’est ce pas ? Voici le prophète de la religion de tolérance qui, alors même qu’il prêche la paix et la tolérance à la Mecque pour lui même, abuse de la tolérance dont ses contemporains faisaient preuve envers l’islam naissant pour non seulement prêcher l’insulte et le sacrilège envers leur religion, mais également la sédition armée. Il s’agissait tout de même de convaincre secrètement les chefs politiques de la Mecque, ses compatriotes, de rejoindre sa religion pour en retirer tous les bénéfices de la conquête armée des infidèles qu’il prévoyait déjà. Infidèles qui au passage ne lui avaient rien demandé.

Et là, bizarrement, que nous évoque cet épisode ? Combien de fois avons-nous pu voir des responsables musulmans soi-disant modérés dans nos pays occidentaux rivaliser de propos mielleux en public, y prôner la paix et la tolérance, pour mieux prêcher la ségrégation religieuse et la sédition en privé, auprès de leurs coreligionnaires ? Cette fameuse pratique du double langage des islamistes, dénoncée par exemple par Caroline Fourest, trouve sa justification dans la conduite même de Mahomet à la Mecque, alors en situation ultraminoritaire. Et un élément clé de cette première étape du djihad, c’est la taqiya, le fait de dissimuler aux infidèles les intentions réelles de conquête poursuivies par l’islam, de feindre la bonne amitié pour protéger la communauté musulmane de la réaction légitime de défense que pourraient avoir ces infidèles. C’est noir sur blanc dans le coran, époque mecquoise :

« Que les croyants ne prennent pas, pour alliés, des infidèles, au lieu de croyants. Quiconque le fait contredit la religion d’Allah, à moins que vous ne cherchiez à vous protéger d’eux. Allah vous met en garde à l’égard de Lui-même » (S3 : 28).

Grosso modo, pas d’amis infidèles, c’est défendu, sauf si vous cherchez à vous en protéger parce que vous êtes en situation de faiblesse au milieu d’eux, par exemple en minorité. Auquel cas vous êtes en droit de les tromper en feignant des rapports d’amitié envers  eux alors même que vous les détestez en votre for intérieur. C’est l’exégèse qu’a faite Ibn Kathir, « savant » de l’islam du 14ème siècle, de cette citation du coran. Il s’est appuyé pour cela sur ce très sérieux hadith attribué à Abou Darda, compagnon du prophète, témoin de première main, « Certes, nous sourions à des gens que nos cœurs maudissaient » (rapporté par Boukhari), hadith concernant l’attitude de la première communauté musulmane envers les infidèles. Ah, cette époque bénie de l’islam de la Mecque, le puits sans fond de douceur et d’amour que c’était…

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Autre élément clé qui caractérise cette première étape du djihad, c’est l’usurpation d’un statut de victime : les musulmans d’aujourd’hui soutiennent que Mahomet et ses premiers adeptes ont été persécutés à la Mecque à cause de leur foi nouvelle. Et ces premiers n’hésitent pas d’ailleurs à faire le parallèle entre leur situation actuelle de musulmans soi-disant persécutés, minoritaires dans un occident hostile, avec celles de la première communauté. Et pourtant, à y regarder de près, les premiers musulmans n’ont pas été persécutés en raison de leur foi, ils ont été laissés totalement libres de la pratiquer dans un premier temps ; ils n’ont été persécutés que pour avoir insulté la foi, les croyances, les dieux, les coutumes, les traditions et in fine les lois des Mecquois d’alors, au point de braquer complètement ces derniers. Al Tabari le rapporte ainsi :

« Alors fut révélé le verset suivant « Vous serez, vous et ce que vous adoriez en dehors d’Allah, le combustible de l’enfer, vous vous y rendrez tous » [S21 : 98]. Le prophète vint à la mosquée et proclama ce verset devant le peuple. Les hommes se tournèrent tous contre lui, l’expulsèrent de la mosquée et se rendirent ensuite auprès d’Abou Talib [cet oncle de Mahomet qui le protégeait]. Ils lui dirent : notre patience est à bout. Ton neveu insulte nos divinités. Il a introduit une religion nouvelle, et nous l’avons supporté. Il nous a insultés en disant que nous et nos pères irons en enfer, et nous l’avons supporté. Maintenant il se met à insulter nos dieux. Dis-lui qu’il fasse ce qu’il voudra, mais qu’il n’attaque pas nos dieux ; qu’il s’occupe de son dieu et de sa religion. S’il ne le fait pas, nous le frapperons et nous le chasserons de la ville. » ***.

Et que croyez-vous qu’il arriva ? Il ne l’a pas fait, il a donc été frappé et chassé de la Mecque. Mais avant de discuter des conséquences importantes de cet événement (l’hégire), notons bien à quel point les Mecquois païens d’alors se sont montrés tolérants si longtemps envers Mahomet, si tolérants envers sa conduite indigne vis-à-vis d’eux et si tolérants envers sa nouvelle religion. Et surtout notons bien que Mahomet n’a pas été persécuté pour sa foi mais pour avoir dépassé dans l’insulte et le sacrilège tout ce que les Mecquois étaient prêts à entendre, s’attaquant à ce qu’ils avaient de plus cher (toute ressemblance avec des personnes ou des situations existantes ne saurait être que fortuite, bien entendu ; ce que nous avons de plus cher, n’est absolument pas remis en cause, ni nos morts, nos pays, nos traditions, nos lois, ni non plus notre conception de l’Homme, de l’égalité, de la laïcité, et autres sornettes). Et Mahomet de sauter sur l’occasion pour s’arroger ce statut de victime de persécution religieuse, et d’accuser les Mecquois de toutes les forfanteries, une preuve de plus de l’ancrage profond dans l’islam de ce double langage, ce deux poids deux mesures : insulter les croyances, mœurs et traditions des autres, aussi tolérants soient-ils, c’est l’islam, c’est hallal, c’est normal, c’est juste ; que face à ces attaques incessantes, les autres le fassent à leur tour à propos de l’islam,  c’est de la persécution, c’est de l’islamophobie, et cela l’était déjà en 622 !!! C’est là un des buts recherchés par le djihad secret : par cette fausse victimisation, il s’agit de donner à l’islam un statut de religion privilégiée dans la société, de rendre insupportable l’islamophobie des infidèles tout en escamotant l’infidèlophobie des musulmans … Cela marchait du temps de Mahomet, c’est exactement la même chose aujourd’hui.

Mais la persécution a tout de même fini par s’abattre sur Mahomet et le chasser de la Mecque, à juste titre semble-t-il. Et ce fut une bénédiction pour le développement de l’islam. Sectateurs chrétiens, juifs ou païens d’Abyssinie ou de Yathrib (qui deviendra Médine) ont volé à son secours de pauvre victime, l’accueillant et le protégeant des vilains islamophobes de la Mecque – et tout cela alors même qu’il nourrissait déjà le plan secret de conquérir tous ses bienfaiteurs … Et Mahomet et ses adeptes ont pu alors se renforcer, nouer des alliances guerrières, et d’un seul coup, le message du coran a alors changé de sens …

2ème étape : le djihad défensif

Lorsque les musulmans à Yathrib ont eu disposé de suffisamment de fidèles, de troupes, de forces pour défendre la communauté contre les attaques, les persécutions, ou mêmes les simples critiques, Mahomet s’est vu révéler de nouvelles sourates engageant les musulmans à combattre ceux qui pouvaient poser une menace physique ou intellectuelle à l’islam et à son développement. Et que voilà de la révélation tombe à pic :

« Toute autorisation de se défendre est donnée aux victimes d’une agression, qui ont été injustement opprimées, et Dieu a tout pouvoir pour les secourir. Tel est le cas de ceux qui ont été injustement chassés de leurs foyers uniquement pour avoir dit : Allah est notre Seigneur ! » (S3 : 39-40, datée des premiers temps suivant l’hégire).

Et le coran de réécrire l’histoire, puisqu’il stipule ici que les musulmans auraient été chassés de la Mecque pour leur foi en Allah, alors que nous avons vu clairement qu’ils l’ont été pour leur conduite insultante envers des Mecquois pourtant très tolérants. Et l’on voit avec cet extrait du coran (la parole incréée de Dieu, tout de même, ne l’oublions pas) à quel point le statut de victime revendiqué à tort est capital : il justifie au nom de Dieu « l’autorisation de se défendre », ce qui en langage clair, après étude des actes du prophète, veut tout simplement dire le terrorisme. Effectivement, qu’a alors fait Mahomet ? Il a entraîné ses adeptes et ses alliés dans une guerre de harcèlement contre les caravanes des Mecquois, les attaquant de nombreuses fois sans que les Mecquois ne répliquent. Mais lors de la septième attaque, qui se soldera par force tueries, pillages et rafles de butin et d’esclaves, certains de ses suivants vinrent questionner le Beau Modèle : celui-ci les avait en effet menés au combat en plein mois saint (et non, Mahomet n’a pas inventé le ramadan, il existait avant lui) ce qui pouvait grandement fâcher Dieu (sans parler des conventions de la guerre de cette époque, que respectaient entre autres les Mecquois – puisqu’on vous dit qu’il s’agit de terrorisme !). Et là, comme précédemment, voici qu’arriva une nouvelle révélation fort opportune :

« Ils t’interrogent aussi sur le mois sacré et s’il y est permis de combattre. Réponds-leur : certes, combattre en ce mois est un vrai sacrilège ! Mais éloigner les gens de la Voie de Dieu, renier Dieu, détourner les fidèles de la Mosquée sacrée [de la Mecque] et chasser de son enceinte ceux qui l’habitent est un sacrilège bien plus grave encore auprès de Dieu, car la subversion [des musulmans] est plus grave que la guerre.» (S2 : 217).

C’est-y pas beau ? L’islam s’invente un nouveau référentiel moral. Briser la règle de la trêve sacrée du ramadan ? Tuer au risque de déplaire à Dieu ? Mais c’est vous qui avez commencé en nous persécutant et en œuvrant contre l’islam, chiens d’infidèles, et ça, c’est bien plus grave! Alors ne cherchez surtout à pas nous juger !! Deux poids, deux mesures, encore une fois ! Du coup, les Mecquois ont accompagné la caravane suivante d’une garde armée, attaquée bien entendu par Mahomet et sa troupe, et écrasée dans ce que la tradition appelle la bataille de Badr. Ce fut la première véritable bataille rangée entre musulmans et infidèles, et elle résulte précisément de la volonté des Mecquois de protéger leurs caravanes, c’est-à-dire leur gagne-pain, du harcèlement – du terrorisme – que leur faisaient subir les musulmans …

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Et ce ne fut que le début de la longue campagne sanglante qui allait amener Mahomet à la conquête (« défensive » !!) de la Mecque. L’occasion se présenta donc très rapidement pour les alliés de Mahomet, en particulier les tribus juives de Yathrib (devenue Médine), de se rendre compte que les soi-disant victimes innocentes des islamophobes de la Mecque, victimes qu’ils avaient accueillies et protégées chez eux, se révélaient être bien davantage cupides, agressives et violentes que leurs  ennemis Mecquois, leurs pseudo persécuteurs. Mais on ne renverse pas comme cela une alliance avec le prophète de la religion d’amour, de paix et de tolérance. Mahomet n’a pas toléré les remontrances des juifs, et s’est ensuivi le fameux massacre des trois tribus de Médine – massacre, pillage, prises d’esclaves et autres joyeusetés, le pire élément de cette sombre affaire restant que pour la justifier, Mahomet eut la révélation de versets tous plus antisémites les uns que les autres, justifiant la rupture d’alliance et prônant le meurtre et la persécution de ses anciens alliés, révélation remplaçant les versets plus tolérants qui fondaient l’alliance initiale. Point n’est besoin de les citer une fois de plus, tant ils sont abjects, corroborés par les hadiths, et ils le sont d’autant plus qu’ils s’appliquent toujours pour régler les relations des musulmans et des Juifs, particulièrement aujourd’hui. Cela devrait faire réfléchir à deux fois tous les idiots utiles de l’islamisme dans nos pays, toutes ces associations antiracistes, ces petits marquis du politiquement correct volant au secours d’un islam qui les méprise.

Bref, s’opposer à la religion de tolérance, c’est de la subversion, et la subversion est une attaque contre l’islam, « plus grave que la guerre » comme le coran l’enseigne. Et voilà pour la tolérance. Donc, concomitamment, Mahomet lança une campagne d’assassinats contre tous les critiques de sa religion, justifiés au besoin par la révélation de nouveaux versets de coran, agissant comme une sorte de parrain mafieux envers ses ennemis, et glorifiant ceux qui les exécutaient. Des histoires comme celles-là, il y en a plein les hadiths – cherchez donc comment et pourquoi ont été assassinés les poètes Asma bint Marwan, Abou Afak, ou Kaab Ibn Al Achraf, le riche Kinanah Al Rabi, ou encore Al Huqayq, vous verrez combien il est facile de maquiller de religion des crimes politiques des plus sordides et des plus cruels au motif d’une pseudo attaque de l’islam (je vous épargne les subtils raffinements de cruauté employés, lisez pour cela « l’Islam des Interdits », d’Anne Marie Delcambre, vous aurez tous les détails et les références aux textes …). Voilà tout le djihad défensif : à l’exemple de Mahomet, il autorise « religieusement » les musulmans à répondre à toute attaque de l’islam par le meurtre et le terrorisme. Et on l’a vu, la définition d’une attaque est très très large. Lire cet article, par exemple, peut être interprété comme une attaque en règle, et aurait pu mériter votre assassinat « défensif » à l’époque bénie de Mahomet … mais, mais bon sang, il le mérite aussi aujourd’hui puisque rien n’a changé pour nos chers islamistes ! Pensez également aux exemples récents des assassinats de Théo van Gogh, Pim Fortuyn, Salman Taseer, et Shahbaz Bhatti, ou même un peu plus loin d’Anouar El Sadate ou de Mohamed Boudiaf, et aux menaces qui pèsent sur tant d’autres, Salman Rushdie ou Robert Redeker en particulier. Rien n’a changé depuis Mahomet …

3ème étape : le djihad offensif

Lorsque les musulmans disposent de la majorité, ou tout du moins du pouvoir politique, ils sont appelés au djihad offensif. La guerre totale. Il ne s’agit plus de combattre les persécuteurs, ceux qui critiquent l’islam, ceux qui l’attaquent, mais de combattre TOUS les infidèles, pour leur seul tort de ne pas être musulmans, à l’image de la conduite de Mahomet vers la fin de sa prédication, devenu alors le chef militaire incontesté de l’Arabie. Le coran s’est fait alors particulièrement dur …

« Ô Prophète, lutte contre les mécréants et les hypocrites, et sois rude avec eux ! » (S9 : 73).

Et le paradis étant promis aux combattants, alors allons-y franchement, sans remords :

« En vérité, Dieu a acheté aux croyants leurs personnes et leurs biens en échange du Paradis, en vue de défendre Sa Cause : tuer et se faire tuer. » (S9 : 111).

Et si vous cherchez quels infidèles frapper, commencez donc par vos voisins :

« Ô vous qui croyez ! Combattez ceux des infidèles qui vivent dans votre voisinage ! Qu’ils trouvent en vous de rudes combattants ! » (S9 : 123).

Et toujours dans cette sourate 9 :

« Combattez ceux qui ne croient ni en Allah ni au jour dernier, ceux qui ne s’interdisent pas ce qu’Allah et Son Prophète ont déclaré interdit, ceux qui, parmi les gens d’Écriture, ne pratiquent pas la vraie religion. Combattez-les jusqu’à ce qu’ils versent directement la capitation [djizia, impôt de la soumission des dhimmis] en toute humilité ! » (S9 : 29).

La cible est nommément désignée, « ceux qui ne croient pas en Allah ». Non plus ceux qui attaquent l’islam, comme dans le djihad défensif, mais tous les non-musulmans, c’est-à-dire le reste du monde … Et les hadiths en rajoutent une louchée, lorsqu’ils font dire à Mahomet que « J’ai reçu l’ordre de combattre les idolâtres jusqu’à ce qu’ils confessent qu’il n’y a d’autre divinité qu’Allah » (selon Abou Hurayra, Sahi Muslim, 30). Hypocrite Mahomet que voilà, le même qui se plaignait d’être persécuté pour ses croyances, à la Mecque il y a quelques années, le voilà qui proclame qu’il doit combattre le reste du monde à cause de ses croyances ! Vraiment, on n’avait encore jamais mis autant d’amour, de tolérance et de paix dans une seule religion !

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C’est ainsi qu’il est arrivé à conquérir l’Arabie, renouvelant sa doctrine religieuse à mesure que ses forces augmentaient, et justifiant ainsi l’usage d’une violence de plus en plus généralisée. Pardon, mon esprit blasphémateur s’égare, je voulais juste signifier qu’Allah, fort opportunément, dans sa toute puissance, lui révélait de nouveaux versets justifiant sa conduite, quitte à ce que ceux-ci contredisent des versets précédents.

Toutefois, le djihad offensif n’est heureusement pas (pas encore ?) généralisé dans le monde contrôlé par les musulmans (il conviendra de faire le distinguo entre le monde contrôlé par les musulmans et le monde soumis à l’islam dans son acception pure). Certains territoires – péninsule arabique et ses lieux saints – sont les territoires de prédilection du djihad offensif, car ils sont jugés stratégiques. Déjà à l’époque de Mahomet, il s’agissait, et il s’agit toujours, de les purifier de toute présence infidèle :

« J’expulserai d’Arabie les Juifs et les chrétiens, et n’y laisserai que des musulmans » a dit le prophète (selon Al Khattib, Sahi Muslim 4366).

C’est toujours aujourd’hui ce qui justifie la peine de mort applicable à tout Juif ou chrétien mettant le pied à la Mecque. Et cette nécessité d’épuration religieuse, voire ethnique, peut s’étendre au-delà de la péninsule arabique. Il suffit pour cela que les islamistes prennent suffisamment de pouvoir, que les territoires deviennent ainsi « dar-al-islam » comme au Pakistan, en Egypte, en Irak, ou au Londonistan, pour que le djihad offensif devienne la règle, au nom de la religion de tolérance, bien entendu.
 

En conclusion

Et voilà donc le plan de l’islam, le plan auquel obéit le djihad, le plan auquel se doivent d’obéir les bons musulmans, calqué sur la vie même de Mahomet le Beau Modèle, et l’histoire de sa prédication, telle qu’elle est enseignée aujourd’hui par les savants de l’islam, telle qu’on la trouve dans le coran, les hadith, les traditions musulmanes.

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1) Le djihad secret : quand les musulmans sont trop faibles pour combattre, ils prônent la paix et la tolérance, cherchent à s’octroyer le statut de victime et à imposer un deux poids deux mesures favorable à l’islam ; dans le même temps, ils préparent secrètement la conquête à venir dans les étapes suivantes.

2) le djihad défensif : lorsque les musulmans sont assez forts pour combattre mais pas encore assez pour soumettre frontalement les infidèles, ils se cherchent des alibis et des faux prétextes d’attaque envers l’islam (le blasphème d’Asia Bibi par exemple) pour pratiquer le terrorisme, intellectuel et politique, envers les ennemis de la religion de tolérance.

3) le djihad offensif : lorsque les musulmans islamistes ont le pouvoir, ils soumettent violemment les infidèles, essaient de gagner de nouveaux territoires et pratiquent ouvertement l’épuration religieuse.

Et l’on peut donc maintenant s’amuser à voir où en sont les différents pays du monde sur l’échelle du djihad … L’Arabie Saoudite en est sans aucun doute à l’étape 3 – écrasante majorité de musulmans, aucune autre religion que l’islam n’y est tolérée, la parfaite application du manuel du djihad offensif. Le Maghreb, de nombreux pays africains, certaines zones d’Europe (les zones de « non-droit ») en sont à la deuxième étape : les musulmans bénéficient à plein des alliances avec les idiots utiles et combattent selon le djihad défensif – terrorisme, églises brûlées, assassinats, persécution des chrétiens et des infidèles … Pour certains pays – Pakistan, Egypte, Irak – on hésite encore entre l’étape deux et l’étape trois. Faisons confiance aux grands défenseurs des libertés et de la démocratie que sont l’administration américaine et ses alliés pour y donner l’ultime pichenette à la religion de paix, d’amour et de tolérance… L’Europe, l’Amérique du Nord, la Russie, et même tout le reste du monde, et bien vous l’avez deviné : nous en sommes à la première étape. L’islam n’y est bien entendu qu’amour et bienfaisance, les musulmans qui y sont établis ne demandent qu’à y vivre comme tout le monde, mais de grands méchants racistes islamophobes haineux les attaquent à cause de leur foi islamique. Heureusement, l’islam peut compter sur un establishment servile pour voler à son secours, tout comme il a bénéficié du temps de Mahomet de la protection des mêmes puissants alliés.

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Et bien voilà, vous avez compris l’islam ! Etait-ce donc si difficile ? Maintenant vous savez pourquoi les chrétiens et les juifs sont considérés comme des quasi « untermenschen » dans le monde musulman, pourquoi certains sont prêts à tuer pour des caricatures, pourquoi les musulmans sont si prompts à se prétendre victimes de toutes les discriminations. Tout est écrit, le mode d’emploi est très clair, mais ceux de nos dirigeants qui devraient absolument le lire se refusent à le faire … Merci les musulmans, leurs leaders, leurs relais d’opinion et leurs idiots utiles dans nos pays, qui ont si brillamment réussi la première étape du djihad qu’ils en ont convaincu nos dirigeants que les seules informations valables sur l’islam sont celles à prendre chez eux.

Pouvons-nous donc alors, quand nos dirigeants se refusent à le faire, continuer d’être aussi consciemment aveugles à propos de cette religion et ses visées de domination violente ? Le meilleur allié du djihad, c’est l’ignorance crasse. La meilleure riposte : la vérité ! Et comme nous ne pouvons pas compter sur la loi, et que nous pourrons de moins en moins compter sur elle (à 15, 20 voire 40% d’adeptes de l’islam dans la société, n’espérons rien de la loi et de la puissance publique pour défendre la laïcité, les valeurs, les traditions et les non musulmans), il faut donc nous prendre en main et diffuser au maximum l’information sur les trois étapes du djihad.

Un dernier point et non des moindres sur nos amis musulmans occidentalisés, et revenons, souvenez vous, à notre musulman paisible que je présentai en introduction. Le djihad secret commande aux musulmans de dissimuler leurs intentions de domination sous les atours de la paix et de la tolérance. Mais si vous parlez de cela à vos amis « musulmans paisibles », ils vous riront au nez, vous traiteront de fou et de paranoïaque, et vous défendront la version que nous connaissons bien de la religion de paix, d’amour et de tolérance. Et ils le feront certainement avec la plus grande sincérité, tant ils ont certainement été davantage influencés par le mode de vie occidental que par l’islam. Ils ont beau prier cinq fois par jour ou jeûner pendant le ramadan, le problème, c’est que ces « musulmans paisibles » ne connaissent que peu de choses de l’islam. Ont-ils seulement lu le coran et les hadiths, se sont-ils imprégnés des traditions, que connaissent-ils réellement de ce dont nous avons discuté dans cet article ? Nos amis musulmans paisibles ne sont en rien une source valide de doctrine islamique. La doctrine islamique est inscrite dans les textes, ce ne sont pas ces musulmans paisibles qui la décrètent, et cette doctrine est très claire pour ce qui relève du djihad. Il nous manque donc une étape dans notre échelle du djihad, c’est celle du degré zéro du djihad, pour ceux qui n’ont aucune idée à propos du djihad. Et parce que cette étape valide de fait l’islam et sa doctrine même sans les connaître parfaitement, parce qu’elle les transmet de génération en génération, elle conduit directement à l’étape d’après …

* djihad à comprendre au sens des efforts réalisés pour répandre la foi musulmane, le seul sens qui m’intéresse … Je laisserai les grands savants de l’islam ergoter pour désigner lequel des djihad de cœur de langue, de main ou d’épée est le vrai djihad de la vraie foi musulmane, je m’occupe ici de ce que je vois, je m’occupe des faits  … En aparté, je me fonde ici sur la version religieuse de la personne et de la vie de Mahomet, telle que défendue par l’islam. Elles peuvent s’éloigner grandement de la vérité historique, mais ce n’est pas le sujet de cet article – plus d’infos dans ma chronique !

**traduite en français par votre serviteur

***toujours dans cette même chronique citée précédemment, mais cette fois-ci dans son édition française ancienne, traduite par Zotenberg

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Three Stages of Jihad, de David Wood : http://youtu.be/ERou_Q5l9Gw

Source: http://www.postedeveille.ca/

06/11/2011

De l’eau au moulin de Charlie Hebdo…

Preuve est que l’attentat chez Charlie Hebdo est bien du fait d’intégristes un peu trop lobotomisés par des « meneurs propagandistes » avide de haine, de sang et avides de conquêtes… Et Dieu sait si ils sont légion parmi nous… Pourtant, il n’y a qu’un islam, qu’un coran…

Interdire de reproduire l’image de Mahomet n’est mentionné nulle part dans le coran. Celui de le tourner en dérision par humour non plus…
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(Au fait, merci à Charlie Hebdo d’avoir imprimé une autre série du numéro « du scandale »; il y a eu autant de demandes…).

FDF

Dessin de Dilem

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Le siège de l’hebdomadaire satirique Charlie Hebdo a été attaqué au cocktail Molotov dans la nuit du mardi au mercredi 2 novembre, à la veille de la publication d’un numéro spécial intitulé «Charia Hebdo», dont la couverture est un dessin représentant Mahomet. Si l’attaque n’a pas été revendiquée, une autre, virtuelle celle-ci, est venue d’un groupe de pirates turcs qui ont affiché sur la page d’accueil du site de l’hebdomadaire un message dénonçant «des dessins dégoûtants». La page Facebook du journal a également été envahie de commentaires s’offusquant de la caricature du prophète.

Au-delà de la question du caractère offensant ou non du dessin, l’incident a remis sur le devant de la scène un sujet qui avait éclaté de manière souvent confuse aux yeux de l’opinion publique mondiale en 2006 avec l’affaire des caricatures de Mahomet parues dans un journal danois, celui de la représentation du prophète musulman. L’islam interdit-il la fabrication d’images de Mahomet?

Les trois grandes religions monothéistes que sont l’islam, le judaïsme et le christianisme ont comme point commun l’acceptation d’un seul Dieu (Allah pour la religion musulmane) et l’interdiction de le représenter. La représentation de Dieu est ainsi restée taboue tout au long de l’histoire de l’islam.

Pas dans le Coran

Si l’interdiction de faire des images de Dieu dans l’islam n’est pas contestée, il n’en va pas de même pour les images de Mahomet, le prophète de la religion musulmane. Aucun passage du Coran n’interdit la représentation des êtres vivants, et donc de Mahomet, qui n’est qu’un homme et non l’incarnation de Dieu comme Jésus. C’est une différence majeure avec la Bible, qui interdit de manière explicite la création d’images dans le second commandement:

«Tu ne te feras point d’image taillée, ni de représentation quelconque des choses qui sont en haut dans les cieux, qui sont en bas sur la terre, et qui sont dans les eaux plus bas que la terre.» (Exode XX, 4)

Une interdiction plutôt respectée par les juifs mais vite abandonnée par les chrétiens, qui ont considéré que l’arrivée sur terre de Jésus, la réincarnation de Dieu, permettait de représenter ce dernier de manière figurative et d’en faire un vieux barbu.

Hadiths

C’est dans les hadiths, recueils qui rassemblent l’ensemble des traditions relatives aux actes et aux paroles du prophète et de ses compagnons, que l’on trouve des allusions plus claires à la création d’images. Plusieurs textes y font référence à la fabrication d’images d’Hommes ou d’animaux, et donc de Mahomet lui-même. Le problème théologique ne concerne en effet pas le prophète en particulier mais tous les êtres vivants (les végétaux n’étant pas considérés comme tels).

Dans Al-Bukhârî, LXXVII, 87. Al-Sahîh (L’Authentique), l’un des plus grands et importants recueils de hadiths, compilé au IXe siècle, on peut lire:

«Les anges n’entreront pas dans une maison où il y a un chien, ni dans celle où il y a des images.»

L’image est assimilée à une impureté semblable à celle d’avoir un chien, animal impur par excellence, notamment à cause du risque d’idolâtrie qu’elle entraîne, un des pires pêchés dans l’islam comme dans le christianisme et le judaïsme.

Les images seraient aussi proscrites parce que les Hommes qui créent des représentations d’humains ou d’animaux sont perçus comme voulant imiter Dieu. Plusieurs hadiths affirment que le jour du jugement dernier, ceux qui ont peint des Hommes ou des animaux seront sommés de leur insuffler une âme, de leur donner vie. L’artiste qui dessine les êtres vivants se pose en concurrent du Créateur.

C’est de l’interprétation de ces hadiths que vient le désaccord entre ceux qui estiment que la tradition musulmane interdit et a toujours interdit les représentations de Mahomet et ceux pour qui rien ne permet de l’affirmer. La question n’a pas toujours été aussi taboue qu’aujourd’hui. Tout dépend du climat plus ou moins rigoriste de l’époque à laquelle on se trouve, mais aussi de la région où l’on se trouve.

Images de Mahomet au 13e siècle

L’histoire de l’art apporte des preuves de ce passé où Mahomet pouvait être représenté. A partir du 13e siècle, des représentations du prophète ont circulé dans des miniatures islamiques, turcopersanes d’abord, puis aussi arabes. La Bibliothèque nationale de France a ainsi abrité à l’été 2011 une exposition intitulée «Eluminures en islam» dont une partie était consacrée à l’art figuratif islamique, et qui s’est également intéressée au contexte dans lequel sont apparues les images du prophète.

Aux 14e et 15e siècles, les représentations de Mahomet à visage découvert n’étaient pas problématiques et n’ont pas entraîné de réprobation de la part des autorités religieuses. Si les images figuratives du prophète ont toujours été absentes des lieux de prière et des mosquées, certains ouvrages religieux utilisaient des images de Mahomet comme des illustrations, pour promouvoir la connaissance de l’islam ou même pour transcrire des hadits en image. A partir du 16e siècle apparaissent des images de Mahomet avec le visage vide ou caché par un voile ou des flammes, et les premières fatwas contre les images du prophète ont attendu la fin du 20e siècle.

On retrouve des exemples d’icônes religieuses et de dessins figuratifs de Mahomet jusqu’aux années 2000, comme cette image tirée d’un livre pédagogique iranien:

Aujourd’hui, l’idée selon laquelle le prophète ne devrait pas être représenté est très répandue chez les musulmans, même s’il y a des nuances: les musulmans arabes ont tendance à être plus stricts en matière d’imagerie religieuse, et les chiites sont en général plus flexibles que les sunnites sur la question. Mais on assiste dans l’ensemble depuis quelques décennies à un durcissement et à une simplification sur le sujet, une tendance qui s’est accélérée depuis l’affaire des caricatures de Mahomet en 2006. La carte postale iranienne ci-dessous, qui représente un «jeune Mahomet», a arrêté de circuler en Iran en 2008.

Ce raidissement sur une question qui n’était presque pas débattue avant l’époque coloniale est interprété par certains experts comme une réaction identitaire face à l’acceptation des arts figuratifs dans les sociétés occidentales et chrétiennes.

On observe pourtant la diffusion de toutes sortes d’images figuratives à travers les formes modernes que sont la photographie, la télévision, Internet et les réseaux sociaux dans le monde musulman. Il n’y a qu’à voir le nombre d’images et de portraits géants des chefs d’État dans les rues de tous les pays musulmans, même les plus rigoristes, les cinémas arabes et persan ou encore les images figuratives brandies et dessinées lors des révolutions en Tunisie, en Libye ou encore place Tahrir en Egypte.

Source: http://www.slate.fr/

08/08/2011

«La violence n’est pas un synonyme de l’islam»… Ah bon ?

C’est récent, alors. On en apprend tous les jours…

FDF

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L’Islam est une religion qui incite l’homme à aller vers le savoir et à porter un grand intérêt à toutes les sciences afin de pouvoir s’émanciper et d’avoir la force de lutter contre l’ignorance, a estimé, vendredi soir, à Alger, l’écrivain, Kamel Bouchama.
Pour cet ancien ministre, la violence, l’intolérance et tout ce qui dérive de l’obscurantisme, forment aujourd’hui les composantes de l’image que certains courants étrangers tentent de coller à l’Islam, cette religion qui, pourtant, prône la paix et l’amour entre les peuples, a-t-il dit.
«L’islam éduque l’homme et lui offre les sciences par lesquelles il accédera au plus haut niveau de développement. C’est une religion qui l’incite à aller vers le savoir dans tous ses domaines, pas forcément la théologie», a indiqué M. Bouchama, auteur de plusieurs ouvrages d’histoire, dont le dernier est intitulé Les Algériens de Bilad El-Cham.
Il a estimé, que la relation entre l’Islam et la science est claire, citant comme exemple plusieurs versets coraniques et des hadiths dans lesquels l’homme est appelé à apprendre en permanence et à développer son savoir tant qu’il est en vie. C’est ainsi que M. Bouchama a tenté de démontrer que l’idée d’attribuer la violence ou l’ignorance à l’Islam et aux musulmans n’est qu’un acte attentatoire à cette religion.
Selon lui, la jeunesse devrait être fière des savants du monde arabo-musulman des siècles passés qui ont légué un riche patrimoine scientifique dans des spécialités diverses, comme la philosophie, les mathématiques, la théologie, la médecine, l’astronomie et la littérature.
Il a, toutefois, tenu à préciser que cette jeunesse, notamment les étudiants, doivent prendre ces savants comme modèles à suivre dans leur démarche scientifique et les considérer comme une référence, au lieu de se limiter à glorifier un illustre passé fait par leurs ancêtres, dont les travaux ont été traduits vers plusieurs langues.
Kamel Bouchama s’exprimait lors d’une conférence sur le thème «La foi génératrice d’essor et de progrès: les chantres de la civilisation arabo-musulmane», organisée au quotidien La Tribune à l’occasion du mois de Ramadhan.

Source: http://www.lexpressiondz.com/

02/07/2011

Fin du procès de Geert Wilders; début du procès de l’islam…

Une page d’Histoire est tournée. Raison a été donnée à Geert Wilders. Il a gagné son procès contre les islamistes et ses admirateurs occidentaux. Maintenant, c’est l’islam dont il faut faire le procès. Si tous les résistants du monde voulaient se donner la main…

FDF

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La relaxe de Geert Wilders ouvre le procès de l’islam

Dans son hebdomadaire, Yves Daoudal revient sur la relaxe de Geert Wilders :


« L’importance de ce verdict vient du fait que Geert Wilders a traité de l’islam en allant à la source: au Coran. Il a lu le Coran, et il a vu que l’islam du Coran, donc le véritable islam, l’islam ni modéré ni intégriste, l’islam tout court, est une idéologie totalitaire. Il l’a montré par un petit film documentaire, qui n’est pas sans défaut, mais qui a le mérite d’exister, et qui est sur le fond absolument inattaquable, puisqu’il est constitué de citations du Coran… avec les illustrations ad hoc… Le choc des mots et des images pouvait être considéré comme blessant pour les musulmans. Il l’est peut-être, mais le tribunal a décidé qu’il s’agissait d’un débat de société où la liberté d’expression doit primer. Or Geert Wilders compare le Coran à Mein Kampf, dit que ce livre doit donc être interdit, et déclare que l’islam est une idéologie fasciste. Sur le plan des idées, c’est le côté le plus contestable de son action. Mais sur le plan de l’efficacité, c’est payant. Et surtout, en comparant l’islam et son livre sacré aux idéologies qui sont l’horizon indépassable de l’horreur pour les médias, il frappe un grand coup. (En réalité, comme l’a démontré de façon prophétique Jules Monnerot, l’islam est un autre communisme, mais la dénonciation du communisme est totalement inopérante dans une société où ce mot n’est pas synonyme des crimes atroces à l’échelle industrielle et d’esclavage de peuples, mais d’un idéal de justice sociale qui a un peu dévié…) Or l’intérêt du procès de Geert Wilders est aussi qu’il a fait venir à la barre d’authentiques spécialistes de l’islam, qui ont dit comme lui. … C’est un véritable procès de l’islam qui a été fait, et il serait bon que les principaux témoignages – et le verdict… – fassent l’objet d’un livre publié en plusieurs langues.

On voit, par exemple dans Le Monde des religions, que les intellectuels accusent le coup. Car lorsque l’on veut aller au-delà des insultes habituelles (« extrême droite »…), on doit reconnaître que « l’une des originalités de la démarche de Geert Wilders », par rapport à d’autres personnalités politiques européennes hostiles à l’islam, « est son examen direct des sources de l’islam, en particulier le Coran ». Mais on se sert de cela même pour tenter de le disqualifier quand même: «Pour autant, sa démarche plus que contestable qui consiste à prendre des éléments d’un texte sans leur contexte, et surtout en faisant abstraction des treize siècles qui ont suivi l’écriture du Coran constitue une insulte à l’intelligence et à la rationalité. Car il semble bien que tous les livres saints possèdent leur zone d’ombre, et que le foisonnement intellectuel et doctrinal qui suit toute instauration d’une foi nouvelle fait tout autant partie de la religion que son ou ses textes fondateurs. Mais c’est un élément que GeertWilders semble ignorer. » Il faut être vraiment singulièrement ignorant de l’islam pour oser écrire de telles absurdités dans un journal qui se veut spécialisé dans les religions. D’autant que le foisonnement dont parle l’auteur, ce sont les hadiths, qui aggravent le texte du Coran…

L’intérêt du procès de GeertWilders est aussi que le personnage combat l’islam d’un point de vue de libéral laïque, et qu’ainsi il peut être compris de nombreuses personnes que rebuterait un discours religieux. Car au-delà des étiquettes infamantes, Geert Wilders est un libéral, comme l’indique le nom de son parti : le parti de la liberté. Il est pour le mariage homosexuel, et c’est semble-t-il une des raisons qui l’ont amené à combattre l’islam. Ce n’est assurément pas notre vision des choses. Mais … il ne met plus cela en avant, et même il demande la suppression de toutes les lois antiracistes et antidiscrimination, y compris celles qui voient de l’homophobie dans toute critique de l’homosexualité. Même si nous ne sommes pas de la même chapelle, on ne peut que saluer cette démarche. Et c’est évidemment de Geert Wilders que je me sens le plus proche, et non de Marine Le Pen, lorsque celle-ci déclare : « Wilders est dans un combat contre la religion. Pour lui, l’islam est incompatible avec la démocratie, mais je ne le crois pas. Je crois que la charia est incompatible, pas l’islam.  » Sauf que la charia fait partie intégrante de l’islam, de façon obligatoire, et non facultative. C’est comme si on disait: l’évangile est incompatible avec la démocratie, pas le christianisme… ».

Source: http://www.chretiente.info/

29/06/2011

2) Le coran est il barbare ?

Pour confirmer mon billet précédent.

FDF

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Le Coran passe souvent, en Occident, pour une religion intolérante qui ne pense qu’à convertir les gens de force, sans leurs laisser le droit de croire en ce qu’ils veulent.

Pourtant certaines sourates du Coran semblent indiquer qu’il n’est pas permis de convertir les gens de force :

Coran 2, 256 :
« Point de contrainte en matière de religion… »

Coran 4, 80 :
« Obéir à l’envoyé, c’est obéir à Dieu ; lui tourner le dos… Nous ne t’avons pas envoyé pour être leur gardien. »

Coran 10, 99 :
« Si ton Seigneur le voulait, sûr que les habitants de la terre croiraient tous jusqu’au dernier. Mais toi, peux-tu contraindre les gens à croire ? »

Sourate 29, 46 :
« Ne discutez avec les gens du Livre (les juifs et les chrétiens) que de la manière la plus douce, sauf avec ceux d’entre eux qui ont été injustes. »

Cependant la plus grande partie des sourates du Coran tiennent un tout autre discours.
Ainsi par exemple :

Sourate 9, 5 :
« Après que les mois sacrés expirent, tuez les associateurs (Chrétiens) où que vous les trouviez. Capturez-les, assiégez-les et guettez-les dans toute embuscade. Si ensuite ils se repentent, accomplissent la Salat et acquittent la Zakat, alors laissez-leur la voie libre, car Allah est Pardonneur et Miséricordieux. »

En fait, si on le lit de bout en bout, le Coran apparait aux occidentaux comme un tissus de préceptes barbares, intolérants et haineux.
Voici de nombreux exemples illustrant cela :

– Le corant est opposé à toutes les formes d’arts ( Voir > )

– Le corant contient des prescriptions sexistes et misogynes ( Voir > )

– Le Coran incite à la xénophobie et au racisme ( Voir >)

– Le Coran contient des lois barbares et cruelles ( Voir > )

– Le Coran contient de nombreuses incitations à la guerre ( Voir > )

– Le Coran se complait de manière sadique à décrire la punition des infidèles en enfer ( Voir > )

De plus, les hadiths (recueils traditionnels de paroles du Prophète Mahomet) contiennent autant de paroles d’aspect barbare que le Coran (cependant il est trés probable que la majorité de ces hadiths ne soient que des inventions tardives et n’aient jamais correspondu avec de véritables paroles prononcées par Mahomet)..

On pourrait, certe, se demander si ces textes apparaitraient toujours aussi anti-spirituels s’ils étaient affichés dans leur contexte au lieu d’être isolés. Mais tout le monde a la possibilité de vérifier par lui-même en lisant le Coran … lequel peut être téléchargé ICI .

En ce qui concerne les hadiths, un recueil des pires d’entre eux peut être téléchargé ICI .
Sinon, 3 000 hadiths et citations coraniques, tirés du recueil de Al-Boukhary, peuvent être également lus et téléchargés sur ce site : http://www.islamhouse.com/p/173247

Nul n’est besoin d’interpréter. Il suffit de lire.

Source: http://atil.ovh.org/noosphere/

16/12/2010

Menace islamiste et déferlante islamiste en Europe…

 


Partout en Europe, les problèmes d’insécurité et d’identité, dont ceux liés à l’islamisme radical, figurent parmi les préoccupations majeures des électeurs.

Une véritable bombe à retardement électorale pour les partis au pouvoir.

En Suède, l’attentat suicide perpétré samedi soir à Stockholm par des islamistes réclamant la tête du dessinateur Lars Vilks qui a caricaturé Mahomet et dont la maison a été incendiée, donne du grain à moudre au Parti démocrate (nationale-populiste) qui fait du rejet de l’islam son thème favori.

Au Danemark, le Parti du Peuple danois (PPD, droite-populiste), bataille contre la construction des mosquées.

En Suisse, le référendum de l’UDC (droite populiste) sur le retrait du droit de séjour des étrangers coupables d’infractions a été approuvé juste un an après celui interdisant les minarets.

En Italie, tandis que la députée d’origine marocaine Souab Sbahi, membre du parti de Silvio Berlusconi (Pdl) a proposé une loi contre la Burqa au terme d’un vif débat sur l’identité nationale et l’islamisme, la Ligue du Nord (parti populiste-autonomiste), membre de la coalition gouvernementale, multiplie les déclarations contre l’islamisation.

En Hollande, le Parti pour la Liberté (PVV) de Geert Wilders, qui compare le Coran au nazisme, troisième parti du Parlement, conditionne son appui au gouvernement à l’adoption de lois contre la burqa et l’islamisation.

En France, Marine Le Pen a comparé vendredi soir les prières de rue organisées par des mosquées parisiennes à l’« occupation ». A l’instar du FN, crédité de 12 à 14% des intentions de vote, les partis populistes anti-immigration sont en progression partout en Europe et ils inquiètent les partis au pouvoir. D’où l’appel de certains représentants de ces partis à se réapproprier ces questions, afin qu’elles ne soient pas monopolisées par les extrêmes.

Citons notamment le refus du Ministre des Affaires étrangères norvégien, Jonas Gahr Støre, d’autoriser le financement d’une mosquée par l’Arabie saoudite, au motif que « l’on ne peut pas accepter les financements de pays refusant la liberté religieuse » et persécutant les Chrétiens. Où la décision du patron de l’UMP Jean François Copé de relancer le débat sur l’identité nationale, ou encore les propos de la chancelière allemande Angela Merkel sur « l’échec du multiculturalisme » et de l’intégration des Musulmans d’Allemagne. De même, le Conseiller de Nicolas Sarkozy, Henri Guaino, déplorait jeudi dernier, lors du dîner républicain deJean-Louis Borloo, le danger communautariste et regrettait que « tout concourt aujourd’hui à affaiblir notre modèle républicain ».

De son côté, la Droite populaire, courant de l’UMP créé par le secrétaire d’Etat Thierry Mariani, a approuvé le vote suisse sur l’expulsion des étrangers délinquants. Déjà, dans une tribune du Monde du 8 décembre 2009, le président Nicolas Sarkozy invitait à ne pas laisser aux extrêmes ces thèmes, assurant que « l’identité nationale est l’antidote au tribalisme et au communautarisme ».

Au PS, ces questions sont abordées par Manuel Valls ou les proches de SOS Racisme et de Ni Putes ni Soumises. Mais elles demeurent un tabou chez les faiseurs d’opinion et les « intellectuels » qui continuent globalement de nier les problèmes, de diaboliser toute critique voltairienne de l’islam, au nom d’une « exception » islamique et d’un « droit à la différence » perverti. Ils ont tort, car si l’on laisse agir les fanatiques religieux qui combattent l’intégration au nom d’un « antiracisme dévoyé » et qui intimident les musulmans républicains comme le courageux imam de Drancy Hassen Chalghoumi (invité remarqué du GO le 13 décembre dernier à l’instigation de la sarkozyste fidèle Dominique Lunel qui oeuvre au raprochement inter-religieux et à la défense de la laïcité républicaine), les électeurs qui craignent pour leur identité et croient que les imams intégristes représentent les Musulmans de France risquent de porter Mme Lepen au second tour des présidentielles de 2012 …

Certes, les personnes informées savent parfaitement que le Front National est ouvertement pro-iranien, a défendu le Front islamique du Salut algérien, l’Irak, puis le droit de l’Iran à la bombe nucléaire.

Chacun sait que les Verts, les Bruns et les Rouges, bien que se déclarant ennemis les uns des autres, convergent dans la même détestation des démocraties libérales et ont la même psychologie totalitaire, d’où leur ascension synchrone et parallèle. Mais le fait que la Droite classique complexée et paternaliste ait abandonné ces thèmes identitaires par peur de la « reductio ad hitlerum », a laissé un boulevard à l’extrême droite populiste. Il est donc urgent que les bien-pensants comprennent ce que la présidente de Ni Putes Ni Soumises répète à longueur de temps: les islamistes sont des « fascistes verts », ils ne sont nullement péférables aux « fascistes blancs », et l’on ne peut pas combattre les seconds sans combattre tout aussi fermement les premiers. Les élus les ont trop souvent courtisés dans le cadre d’une « pax islamica » des banlieues et d’une vision électoraliste à court terme.

Pire, c’est un élu UMp qui a proposé pour la première fois en France une loi à l’iranienne punissant le « blasphème » et « l’islamophobie » pour faire plaisir aux associations islamistes liberticides qui veulent instaurer progressivement la charia en Europe. Heureusement, dans le pays de Voltaire, cette loi ridicule n’a pas été adoptée.

Il est temps de dresser un code de bonne conduite pour l’islam de France et de confier les structures de représentation de l’Islam français à des imams républicains, formés en France et respectueux de nos valeurs, c’est-à-dire renonçant explicitement à la violence de la charia et aux dispositions intolérantes, guerrières et misogynes contenues dans certains passages du Coran, des Hadiths et de la tradition islamique en général dans ses différentes écoles. Il est temps de mettre hors-la-loi ceux qui sapent de l’intérieur les fondements de la République et profitent de la Liberté d’expression pour fanatiser les jeunes et empêcher l’intégration.

Ces organisations islamistes radicales adeptes d’un islam « salafiste » (« des ancêtres ») rétrograde et obscurantiste qui pullulent dans nos banlieues, à commencer par le Tabligh, les Wahhabites ou les Frères musulmans, devraient être assimilées à des mouvements sectaires ou extrémistes et donc sanctionnés purement et simplement par la loi lorsqu’elles incitent à la haine, à l’intolérance et à l’antisémitisme, à la christianophobie, etc, exactement de la même façon que l’on punit pénalement ceux qui professent des idées racistes et révisionnistes.


Publié avec l’autorisation de l’auteur: Alexandre Del Valle pour blog.alexandredelvalle.com

 

source : rebelles.info

08/11/2010

La Résurrection du Califat… Vidéo.

Pas mal fait…

FDF

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Lire: http://www.youtube.com/watch?v=PNYspGFDy6Q

28/10/2010

Burqa: la face caché de l’iceberg…

Parce que nos démocraties sont en grand danger si nous laissons faire, ceci offre aux citoyens qui y sont attachés l’occasion de s’exprimer face au danger que représente l’islam dans nos pays respectifs. Alors, si vous êtes de ceux qui pensez que l’occident est en danger, lisez la charte et signez-là.

La charia est la loi islamique régissant la vie religieuse, politique, sociale et individuelle, appliquée de manière stricte dans presque tous les états où la religion dominante est l’islam. Les principes fondamentaux de la charia Islamique seront considérés comme la principale source de la législation . Ces principes fondamentaux sont tirés des préceptes du Coran et des «hadiths» Les hadiths sont les récits des paroles et des actes de Mohamed rapportés, pour la plupart des lustres après sa mort, par une succession de témoins par procuration. Ce qu’implique la charia : Lapidation-Amputation-Flagellation-Mutilations sexuelles féminines-Polygamie

LUTTONS POUR NE PAS PERDRE NOTRE LIBERTE DE PENSER ET D’AGIR

La Charia et la lapidation des femmes en Iran

Un bonne petite lapidation ?

 

CHARTE DES NATIONS REFUSANT LA CHARIA

Nous, organisations ou citoyen(ne)s libres et responsables de nos actes, au nom et pour la préservation des valeurs de Liberté, de Laïcité et de respect d’autrui présentes dans la Convention Européenne des Droits de l’Homme, qui est un des socles de nos sociétés démocratiques, déclarons en plein accord avec la Cour Européenne des Droits de l’Homme refuser la présence et l’introduction de règles de la Charia sur notre territoire.

Arrêt du 13 Février 2003 de la Cour Européenne des Droits de l’Homme: « la Cour partage l’analyse effectuée par la chambre* quant à l’incompatibilité de la charia avec les principes fondamentaux de la démocratie. »

Les signataires de la charte récusent toute accusation de racisme ou de xénophobie. Condamner la charia est un acte politique et social qui ne concerne en rien la nature des individus ni leur personne. C’est la charia qui, en actant dans les sociétés la classification et la hiérarchisation des groupes humains en fonction de leurs croyances ou de leur sexe et en obligeant les gens à se conduire comme si une partie de l’humanité était impure et inférieure, constitue un inacceptable système de sexisme, de racisme, de xénophobie et d’apartheid religieux.

La Charia qui prétend régir les actes des individus sous la menace de châtiments spirituels ou physiques au nom d’une croyance, est un ensemble de règles qui viole de manière fondamentale les libertés constitutionnelles et la dignité humaine de nos citoyen(ne)s en tentant de les persuader d’abjurer leurs droits inaliénables au profit d’une servitude dégradante.

Nous, signataires de cette charte, constatant l’incompatibilité entre la Démocratie et la Charia, déclarons celle-ci inacceptable dans nos pays respectifs et appelons citoyen(ne)s et organisation de tous ordres à adhérer à cette proclamation et à œuvrer de concert pour la défense de nos libertés fondamentales et de la dignité humaine.

Nous nous engageons à préserver et à protéger de la Charia nos concitoyen(ne)s et nos sociétés ainsi qu’ à œuvrer en vue de son bannissement définitif par tous les moyens en notre possession, dans le respect des lois et des principes démocratiques.

Nous nous engageons à:

– Promouvoir dans nos pays respectifs le vote de lois transformant en délit l’enseignement des règles de la charia ainsi que la promotion ou l’incitation, publique ou privée, de leur application individuelle ou collective en tant que normes comportementales.

– Promouvoir l’adoption, dans nos pays respectifs, de mesures éducatives, législatives et éventuellement répressives efficaces visant à un dépérissement rapide des pratiques sociales liées au respect des règles de la charia.

* La Grande Chambre de la Cour Européenne des Droits de l’Homme est l’instance juridique suprême de l’Europe au sujet des droits de l’Homme, ses décisions s’imposent aux états signataires de la Convention.

Sincerely,

The Undersigned

La burqa ne représente que ce que l’on voit : le haut de l’iceberg.

Iceberg Burqa

 

Source: http://tinyurl.com/33fu495