Francaisdefrance's Blog

15/12/2011

On n’a pas que de mauvaises nouvelles… Feu vert à l’encadrement militaire des mineurs délinquants !

Mais Cayenne reste toujours un échappatoire pour les « irrécupérables »… Ne nous plaignons pas; c’est un grand pas de franchi. Si les Droits de l’Enfant ne nous tombent pas sur la tronche.

Mais il va falloir, dans l’encadrement, choisir des « tueurs », comme aux Etats-Unis. La méthode a fait ses preuves.

Et pas des bisounours.

FDF

.

Le Parlement vient d’adopter l’instauration de l’encadrement militaire des mineurs délinquants. Étudiée à la demande du député UMP Éric Ciotti, cette loi sera applicable en février prochain.

« Une voie nouvelle entre la rue et la prison », c’est de cette façon que le député de droite Éric Ciotti a défendu son texte devant l’Assemblée Nationale aujourd’hui. Une proposition de loi élaborée par celui qui est chargée des questions des sécurités au sein de l’UMP et qui avait rédigé un rapport sur l’exécution des peines pénales pour le Président Sarkozy.

Alors que le Sénat avait rejeté le texte, le Parlement a décidé de l’adopter, le rendant ainsi définitif. Selon cette nouvelle loi, les mineurs de plus de 16 ans, s’ils l’acceptent, pourront faire un service « citoyen », d’une durée de 6 à 12 mois au sein d’un Etablissement public d’insertion de la Défense (Epide). Pour le garde des Sceaux, Michel Mercier, cette mesure va permettre « d’enrichir la palette des réponses à la délinquance des mineurs » et « renforcer les moyens de lutte contre la récidive ».

« Une énième loi d’affichage »

Dès février 2012, le dispositif sera déployé dans douze centres puis étendu à trois autres Epide d’ici juin. Le ministre de la Justice promet des moyens renforcés pour ces établissements qui accueillent déjà depuis 2005 des personnes majeures dans le cadre du plan « Défense deuxième chance ». Malgré les levers de bouclier au sein des militaires, Éric Ciotti a tenu à rassurer le Parlement : « La démarche a été construite avec les Epide et non contre les Epide comme la gauche a voulu le faire croire. Les Epide sont très motivés ».

Justement, à gauche, on continue à fustiger le texte, considéré comme « une énième loi d’affichage ». « Inutile » et « dangereux » pour l’opposition, le nouveau dispositif est jugé superflu par la députée PS Marietta Karamanli. Plusieurs syndicats du monde judiciaire (Syndicat de la Magistrature, le Syndicat des avocats de France, la CGT de la Protection judiciaire de la jeunesse, SNPES et FSU, l’Association française des magistrats…) ont également marqué leur mécontentement face à cette décision.

Mais le sujet de la délinquance des mineurs n’a pas fini de créer le débat au sein de l’Assemblée. En effet, cette dernière examinera début janvier un projet de loi sur l’exécution des peines créant 20 000 places de prison supplémentaires et comprenant des mesures relatives aux mineurs, à l’évaluation de la dangerosité et à la récidive.

Source: http://www.ladepeche.fr/

21/06/2011

N’importe quoi: un service citoyen pour jeunes délinquants…

Et pourquoi pas des vacances en bord de mer? Mais ça, on a déjà essayé; fiasco complet! Une fois dehors, cette racaille oublie tout et recommence ses exactions.

Ce qu’il faudrait, ce sont des maison de redressement à l’américaine. Ca calme…  Oui chef !

FDF

.

 

Séduit par le rapport Ciotti, Nicolas Sarkozy soutient l’idée d’une proposition de loi, dès juillet, sur cette alternative à la prison pour les grands adolescents récidivistes.

Le rapport Ciotti visant à «renforcer l’efficacité de l’exécution des peines» prend un tour concret. Séduit par les 50 propositions du député UMP des Alpes-Maritimes, Éric Ciotti, le président de la République, Nicolas Sarkozy, veut provoquer, dès le 1er juillet, une réunion interministérielle pour hâter sa mise en application. Parmi les mesures imaginées, le «service civique obligatoire» pour les mineurs délinquants les plus durs devient même une priorité. Avant la fin de la session parlementaire le 13 juillet, l’élu niçois déposera à l’Assemblée une proposition de loi sur la question. En concertation bien sûr avec le garde des Sceaux, Michel Mercier, chef d’orchestre de l’ensemble des réformes judiciaires en cours. Le texte sera débattu dès la rentrée.

D’ores et déjà, Éric Ciotti estime qu’il n’est pas certain que cette nouvelle forme de sanction conserve le nom de «service civique», pour ne pas instaurer une confusion avec le système mis en place par Martin Hirsch à l’attention des jeunes sans histoires désireux d’effectuer des missions d’intérêt général. La dénomination de «service citoyen» pourrait donc être retenue. Voici, en tout cas, à quoi devrait ressembler ce service obligatoire et à qui il s’adresse:

• Un noyau dur de 8000 jeunes

Premiers visés: les mineurs âgés de plus de 15 ans, condamnés en état de récidive légale (deux mêmes délits commis dans les cinq ans) ou de réitération (deux délits différents, par exemple, à plus de cinq ans d’intervalle). Les premiers sont environ 300 par an, les seconds 7500. Ces quelque 8000 jeunes au total représentent une sorte de «noyau dur» pour la justice et la police. Un vivier que la prison pourrait encore endurcir et auquel il faut proposer des solutions nouvelles.

• Une logique d’éloignement du quartier

«S’inspirant de l’expérience des Jeunes en équipe de travail (Jet) lancée au milieu des années 1980, le principe serait de provoquer un stage de rupture pour le jeune qui s’inscrit dans la spirale de la récidive», explique Éric Ciotti. Les «Jet» avaient été fondés par l’amiral Braque de la Perrière. Abandonnée par MAM en 2003, lorsqu’elle était à la Défense, cette formule pouvait agacer certains militaires qui estimaient parfois ne pas avoir épousé l’armée pour encadrer des délinquants. Mais depuis, les Établissements publics d’insertion de la défense (Epide) ont pris le relais, avec un public un peu moins remuant de jeunes en difficulté scolaire, sans qualification, parfois à la lisière de la délinquance. Et le système semble porter ses fruits. «Il faut en transposer les leçons pour favoriser l’insertion des profils plus durs», estime Éric Ciotti.

• Un encadrement pas forcément militaire

Le député et ses contacts à la Chancellerie ne font pas de fixation sur un encadrement semblable à celui de l’ancien service national. «Il pourrait être pris en charge par des militaires volontaires, certes, mais aussi par les services de la protection judiciaire de la jeunesse ou des structures associatives», avance-t-il. Au ministère de l’Intérieur, le Raid-aventure, structure dirigée par un ancien policier du Raid, Bruno Pomart, est souvent cité comme un exemple à suivre en matière de réinsertion des jeunes en déshérence (C’est joli, ce terme… FDF). Cette association sous-traite d’ailleurs nombre de stages pour le compte des Epide, dans son domaine de Comteville, à Dreux. Outre la possibilité d’impliquer dans le «service citoyen» la réserve militaire, notamment chez les gendarmes, l’équipe Ciotti étudie aussi le recours à des volontaires de la réserve de police nationale. Des associations en lien avec les conseils régionaux ou généraux pourraient aussi être sollicitées. Ségolène Royal, présidente socialiste de la région Poitou-Charentes, soutient, elle, sans complexe, «l’encadrement militaire», qu’elle espère voir un jour expérimenté au régiment de La Rochelle, en accord avec le maire PS de la ville, Maxime Bono.

• Une discipline de vie très stricte

En tout état de cause, assure Éric Ciotti, «cet encadrement aurait une dimension civique et comportementale: poser un cadre structurant où les repères sont clairement fixés, redonner les codes du comportement et de la vie en société, le respect de l’autorité», dit-il. Selon lui, «chaque groupe pris en charge ne devrait pas dépasser une dizaine de jeunes». Élément fondamental pour la réussite du projet: «La durée de la peine serait prononcée par les magistrats», prévient-il. Les stages dureraient d’un à six mois. «Ils seraient automatiques en cas de deuxième condamnation, sauf motivation expresse du juge», précise le député.

Source: http://www.lefigaro.fr

10/04/2011

Que Dieu sauve Rachida Dati, reine des lapsus !


Après sa confusion entre Inflation et Fellation, voilà que l’ex Garde des Sceaux nous revient plus en forme que jamais en confondant cette fois Code et Gode sur LCI.

En pleine envolée lyrique, elle parle avec entrain de ce qu’elle aimerait voir changer.

Elle balance alors qu’il faudrait rédiger un gode des bonnes pratiques. Hmmm… intéressant comme concept !

Rachida Dati se rattrape aux branches et corrige sa phrase ni vu ni connu. Chacun aura compris que l’ex-ministre voulait bien sûr dire code de bonnes pratiques.

C’était le 1er avril (joli poisson) et c’est le vilain Nicolas Domenach qui a sorti cette vidéo hilarante de sa boite à surprise, dans l’Edition Spéciale de Canal Plus, ce vendredi 8 avril.

vidéo dulapsus de rachida dati entre code et gode
http://tinyurl.com/5tpok6l

Va-t-il y avoir, comme lors de son précédent lapsus, un petit plaisantin pour envoyer un courriel à l’ancien garde des Sceaux sur sa messagerie au Parlement européen afin de lui faire une proposition que la morale réprouve en jouant sur ce lapsus du 1er avril ?

Va-t-il de même rester 48 heures en garde à vue, son appartement sera-t-il perquisitionné, son ordinateur saisi, et sera-t-il emmené au commissariat le plus éloigné possible de son domicile ?
Disons que s’il commet l’erreur d’envoyer le courriel depuis chez lui, il y a des risques, alors que depuis un cyber-café d’une autre ville que celle de son domicile et dans lequel il n’aurait jamais mis les pieds, forcément, ce serait moins risqué. Mais ne voyez pas là une incitation à le faire, surtout pas.
Pourquoi faire compliqué quand on peut faire simple… comme une carte postale ? Parce que là, même Sherlock Holmes pourra toujours se gratter pour remonter aux expéditeurs ! Et en plus ça va circuler au grand jour, le peuple pourra en profiter durant le transit et à l’arrivée.

Auto-produire la carte postale ci-dessous
et l’envoyer à la reine des Lap sus

lapsus code et gode - rachida dati
Télécharger
(à l’envers) .jpg 156 Ko

.png 400 Ko
861×574 10×15

Adresses postales publiques de Miss Gode : Miss Inflation, député Européenne & maire du VIIème arrondissement de Paris

Optionnellement vous pouvez envoyer une carte à l’avocat qui a fait appel pour le lapsus précédent, maître Ivan Flaud, qui ne manquera pas d’en rire.
Et d’en faire profiter tous ses collègues.

Flashback…

Vidéo Ina - Rachida Dati à propos de l'islam, vidéo Rachida Dati à propos de l'islam, vidéo Economie et société Justice et faits divers - Archives vidéos Economie et société Justice et faits divers : Ina.fr
Vidéo Ina - Rachida Dati à propos de l'islam, vidéo Rachida Dati à propos de l'islam, vidéo Economie et société Justice et faits divers - Archives vidéos Economie et société Justice et faits divers : Ina.fr
ina.fr/economie-et-societe/justice-et-faits-divers/video/I08277366/rachida-dati-a-propos-de-l-islam.fr.html


Madame Rachida Dati, qu’est-ce que vous pensez de la visite du ministre de l’intégration à la mosquée de Paris ?

(Rappel : en 1995 Rachida Dati est conseillère technique à la direction juridique du ministère de l’Éducation nationale. A quel titre est-elle là ? Au titre de l’arabe de service, et en l’occurrence, de l’arabe musulmane de service)

Rachida Dati : c’est intéressant de voir que quand même des ministres d’état français s’intéressent à une confession et non pas à une origine quelconque, et ça peut éviter des sortes d’amalgames entre l’islam et l’intégrisme voire le terrorisme, (Rappel : nous sommes en 1995, le 11 septembre 2001 n’a pas encore eu lieu mais il y a eu l’attentat du RER-B station Saint michel trois mois auparavant, le 25 juillet) ça permet un petit peu d’apaiser toutes les communautés et ça permet aussi de rappeler que NOUS POUVONS ÊTRE FRANÇAIS ET MUSULMANS. (Rappel : exceptionnellement oui, de manière « général » non)

14/02/2011

Délinquance: au moins 30 000 personnes condamnées à l’emprisonnement restent en liberté…

Justice à la française. De quoi se convertir en délinquant. En outre, en ces temps qui courent, tout le monde est un délinquant: toi, le « sous-chien » qui a oublié de mettre ta ceinture au volant, tu es un criminel. Toi aussi, le citoyen français qui a traité de « sale bougnoule » (et « on » t’a entendu…) un « jeune défavorisé issu de l’immigration » qui est passé sciemment au volant de sa BM flambant neuve à un feu rouge à 100 kmh et que tu as su éviter car tu as pensé à tes mômes assis à l’arrière de ta voiture. Toi, le terroriste qui t’es fait flasher à 56 kmh et que l’on menace de tous les maux si tu ne payes pas ton PV dans les 15 jours (mais tu payeras, tu es solvable, toi; tu payes des impôts)…

Comme dit un pote à moi: « 

Quand je dis souvent qu’il faudrait ré-ouvrir Cayenne.
La pelle et la pioche et un coup de gourdin dans la gueule quand ça se rebiffe. »

Pauvre France.

FDF

.

Des milliers de peines de prison non exécutées !

Exemple: en Loire-Atlantique, plus de 1 600 personnes attendent l’exécution de leur peine.

Le ministre de la Justice doit rendre, aujourd’hui, les conclusions de l’inspection ordonnée dans le cadre de l’affaire Laëtitia. Elle dira si se sont effectivement produits les « dysfonctionnements » dont le président de la République a accusé les magistrats nantais.

En matière de « dysfonctionnement », il y en a un que personne ne conteste : celui des peines non exécutées. Lors de son intervention télévisée, jeudi, Nicolas Sarkozy a reconnu, a minima, que 30 000 personnes, condamnées à de la prison ferme, n’ont pas purgé leurs peines. D’autres sources, et un rapport de 2009, donnent un nombre trois fois plus important…

Manque de places dans les prisons.

Selon une source judiciaire, le nombre des peines à exécuter s’élevait, à la fin 2010, à 1 500 à Aix-en-Provence ; 1 700 à Marseille ; 2 000 à Bordeaux et 1 600 à Nantes. « Des gens qui, dans 98 % des cas, doivent purger moins de deux ans de prison, précise cette source. Sachant que, pour être condamné à six mois ferme, il faut déjà en avoir fait beaucoup… Pourquoi ces jugements ne sont-ils pas mis à exécution ? Faute de place dans les prisons, par exemple. » À Nantes, la maison d’arrêt d’une capacité de 300 places compte déjà plus de 400 détenus.

Les juges d’applications (trois à Nantes pour quatre postes) manquent aussi de ressources pour mettre en place les aménagements de peine prévus par la loi pénitentiaire de 2009, qui pourraient permettre aux condamnés à moins de deux ans d’effectuer leur peine en dehors des prisons bondées.

Une priorité pour le ministre.

Lorsque des « fiches de recherche » sont émises, les forces de l’ordre ( police et gendarmerie ) ne disposent pas de services dédiés pour rechercher les personnes visées. Dans ces conditions, il ne reste plus qu’à espérer un faux pas du condamné : un feu rouge grillé, un flagrant délit. « Aux audiences de comparution immédiate, on juge souvent des gens qui ont commis un délit alors qu’ils faisaient l’objet d’une fiche de recherche pour une peine à exécuter », se désole un magistrat.

Comment expliquer à une victime que son agresseur, condamné à deux ans de prison, reste en liberté ? Pour le condamné aussi, les conséquences peuvent être lourdes : « Dites aujourd’hui à un homme, condamné en 2006, qu’il doit exécuter ses six mois de prison, illustre un magistrat. Il vous répondra que, depuis, il s’est marié, qu’il a des enfants et un boulot… »

« Cette situation n’est pas acceptable, elle fait perdre son sens et sa crédibilité à la décision de justice, tant pour les condamnés que pour les victimes », reconnaît le garde des Sceaux, Michel Mercier, qui promet d’en faire une priorité. Des moyens devraient être attribués pour « ramener le stock à des niveaux raisonnables », selon la formule d’une note interne. Ce qui finira par se heurter aux murs des prisons, déjà pleines.

Source: http://www.ouest-france.fr/