Photo d’illustration
Dans les pas de Mahomet… Une preuve de plus.
FDF
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NOS POLITIQUES VENDENT LA FRANCE A DES PRINCES DU QATAR DONT L’UN A ÉTÉ POURSUIVI ET CONDAMNé à 30 MOIS DE PRISON POUR PÉDOPHILIE EN EUROPE – il n’a pas accompli sa peine et s’est précipité dans le 1er avion
ET bien évidemment, BLANCHI DANS SON PAYS
JC JC…
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L’affaire du prince du Qatar va être réexaminée par le ministre de la Justice
Un membre de la famille royale du Qatar, le prince Hamid bin Abd al Thani, a été condamné à Prague pour rapports sexuels avec des jeunes filles de moins de 16 ans en été 2005. Le verdict n’a pas pris effet et peu après le prince prenait l’avion pour son pays, et y était définitivement blanchi.
Assez de points troubles pour intéresser les médias, comme la Télévision tchèque. Dimanche, le ministre de la Justice, Jiří Pospíšil, l’ancienne procureur de la République, Marie Benešová, et la juge de la Cour de justice de Prague 2, Monika Křikavová, répondaient aux questions du présentateur. Ces questions ont surtout porté sur d’éventuelles pressions qui ont conduit à l’extradition du prince al Thani. Avant la présentation de l’acte d’accusation, la décision sur cette extradition revenait à la procureur, alors qu’après au ministère de la Justice. La pression visait donc l’accélération du début du procès. Les deux magistrates ont déclarés ouvertement qu’elles avaient été sous la pression d’employés du ministère de la Justice. A ce propos, Monika Křikavová :
Elle a encore ajouté que le ministère en prenant la décision de libérer le prince al Thani avait violé la Constitution en outrepassant le pouvoir judiciaire et qu’il serait bon que le code pénal soit révisé pour que cela ne se produise plus. Le ministre de la Justice, Jiří Pospišil, s’est engagé à mener une enquête sur une pression éventuelle des anciens employés de son ministère et a répondu à l’appel de la juge Monika Křikavová en assurant que le code pénal serait modifié. Le Comité d’Helsinki pour les droits de l’homme, pour sa part, affirme que cette affaire nuit considérablement à la réputation de la justice tchèque et de la Tchéquie en général, et il n’est pas le seul à le constater.
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