Une petite distraction explicative…
Désolé, c’est en anglais mais sous-titré, quand-même…
FDF
.
.
Pillé chez: http://webresistant.over-blog.com/
Une petite distraction explicative…
Désolé, c’est en anglais mais sous-titré, quand-même…
FDF
.
.
Pillé chez: http://webresistant.over-blog.com/
.
.
Ceux qui aiment l’état Juif sont offusqués par l’organisation par des groupes occidentaux de la « Semaine de l’Apartheid » liée à Israël, mais ne sont pas d’accord entre eux sur la meilleure riposte à cette fête de la haine.
Cette campagne de dénigrement atteint des villes et des campus à travers le monde. Certains croient qu’Israël devrait plus insister sur ses efforts continus pour la paix, d’autres proposent de faire valoir son image en mettant en relief les réalisations dans de très nombreux domaines et les succès obtenus. D’autres enfin plaident en faveur d’un rappel de ce qu’est le « sionisme », un mouvement juif de libération nationale, et de ce qu’il n’est pas, du racisme. Toutes ces approches sont utiles, mais aucune d’elles ne résoudra le problème.
La recherche de la paix et de la prospérité n’est pas une preuve de bienveillance et de justice. Les régimes les plus oppressifs ont coexisté en paix avec leurs voisins, tout en réprimant leurs populations. Les sociétés les plus prospères ont rejeté leurs propres minorités. L’Afrique du Sud n’était pas un pays pauvre et arriéré technologiquement. La nation la plus riche et la plus avancée, les Etats-Unis, pratiquait récemment encore la ségrégation des noirs. L’accusation d’apartheid ne vise pas l’oubli de la vraie nature du sionisme, mais bien le rejet de l’existence même d’Israël. Aussitôt après que la poussière se fut déposée sur les camps nazis d’extermination, les Arabes et leurs alliés occidentaux se sont précipités pour reprendre le flambeau par la confusion entre les victimes avec leurs tortionnaires.
Une brochure de la Ligue Arabe de 1945 dit: « Pour les Arabes, en effet, le sionisme semble aussi hideux que tout ce que les nazis ont conçu d’expansion raciale aux dépens d’autrui ». Une brochure publiée par l’Olp en 1964, aussitôt après sa création, dit: « Le concept sioniste de la solution finale en ce qui concerne le problème arabe en Palestine et le concept nazi de la solution finale appliqué au problème juif en Allemagne, ont essentiellement les mêmes ingrédients de base, l’élimination de l’élément humain non désiré «
Pourtant c’est bien cette organisation terroriste palestinienne qui a inventé le canard de l’apartheid vers le milieu des années 60, bien des années avant ladite « occupation » de la Cisjordanie et de Gaza. Bien entendu, cette accusation n’est pas seulement totalement fausse, mais elle est l’inverse de la vérité.
Si l’apartheid est un crime contre l’humanité, Israël est le seul pays au Moyen Orient où cet apartheid est absent, puisque sa population arabe jouit d’une égalité totale devant la loi et de plus de prérogatives que n’importe quelle autre minorité dans le monde libre, depuis la désignation de l’arabe comme langue officielle, jusqu’à la reconnaissance des fêtes religieuses non juives comme fêtes légales chômées.
En contraste, l’apartheid est un état habituel faisant partie intégrante des mœurs du Moyen Orient depuis un millénaire, et, aujourd’hui encore, les pays arabes et musulmans continuent à le pratiquer légalement, politiquement et socialement vis-à-vis de leurs minorités infortunées.
Alors comment se fait-il qu’Israël, un état sans apartheid, soit sous pression constante pour « se purifier », alors que les vrais coupables d’apartheid sont non seulement absous, et s’en sortent indemnes, mais de plus, l’Occident leur donne une plateforme mondiale pour blâmer les autres de leurs propres crimes ?
Au lieu de passer son temps à s’excuser et à protester de son innocence – par atavisme séculaire – Israël devrait adopter une stratégie dynamique, appeler un chat par son nom et dénoncer les vrais criminels de l’apartheid, les nations arabes et musulmanes du Moyen Orient. Cet apartheid prend des formes très variées selon les pays et certaines victimes ont subi plus d’une seule forme.
L’Intolérance religieuse
Sur le plan historique, les Musulmans se sont considérés comme différents et supérieurs aux autres croyants qui vivaient sous leur joug, connus comme les « dhimmis ». Aujourd’hui encore, ils ont préféré ne pas abandonner ce privilège. Les Chrétiens, les Juifs, les Baha’is sont des citoyens de seconde zone à travers le monde arabo-musulman. De même les groupes qui ne pratiquent pas le même Islam que celui des gouvernants sont partout opprimés, comme les shiites en Arabie ou les sunnites en Syrie, considérés comme des apostats dans un cas ou des ennemis dans l’autre.
L’injustice ethnique
L’héritage historique de l’intolérance s’étend au-delà de la sphère religieuse. Pendant longtemps les Arabes, les Turcs et les Perses ont été des maîtres impérialistes et ils continuent à traiter comme inférieures des populations, pourtant converties depuis longtemps à l’Islam, comme les kurdes et les berbères, qui ont voulu garder leur langue, leur culture et leurs coutumes sociales.
Le racisme
Le Moyen Orient est devenu le plus important diffuseur et incitateur de l’antisémitisme au monde, en utilisant aussi bien les diffamations moyenâgeuses (telles que l’usage du sang des enfants pour fabriquer la galette de Pâque) que des « canards » plus modernes (comme les Protocoles des Sages de Sion), décrivant les Juifs comme la source du Mal.
De même les Africains d’ascendance sub-saharienne sont traités avec un profond mépris, un vestige de l’histoire de cette région, épicentre de l’esclavage international mené par les marchands arabes.
La discrimination des sexes
La discrimination légale et sociale contre les femmes est envahissante à travers le monde arabo-islamique, allant de la violence endémique (la violence domestique et le viol de l’épouse ne sont pas considérés comme des crimes, par exemple) aux centaines d’exécutions chaque année, légales ou extra-légales (crimes d’honneur, par exemple).
La discrimination contre les homosexuels est encore pire.
Le refus de citoyenneté
Ne pas donner la citoyenneté ou les droits civils à un large segment d’une population pourtant née dans le pays est une situation habituelle. Les communautés palestiniennes dans les pays arabes offrent l’exemple le plus frappant de cette discrimination (ainsi au Liban, les Palestiniens ne peuvent pas posséder des biens, des professions leur sont interdites, ils ne peuvent pas circuler librement…). Les Bédouins dans les états du Golfe et des centaines de milliers de kurdes en Syrie ont subi des discriminations analogues.
L’inégalité devant le travail
La maltraitance des travailleurs étrangers, notamment les employés domestiques, allant des abus sexuels à l’emprisonnement de fait ou même le meurtre, est monnaie courante et largement tolérée partout au Moyen Orient, notamment dans les états pétroliers où vit une population importante d’expatriés.
L’Esclavage
Les pays arabes demeurent le plus important refuge de l’esclavage dans le monde, depuis le trafic des enfants et des femmes en Arabie saoudite et dans les pays du Golfe jusqu’à l’esclavage endémique au Soudan et en Mauritanie. C’est pourquoi, les islamistes arrivés au pouvoir aujourd’hui n’ont aucun scrupule à demander la légalisation de l’esclavage.
L’oppression politique
Nombre de régimes moyen orientaux ont des systèmes de gouvernance plus que répressifs visant à perpétuer l’apartheid par une minorité dominante: alawites en Syrie, Tikritis dans l’Irak de Saddam Hussein, oligarchie saoudienne, dynastie hashémite en Jordanie, coterie militaire en Egypte, minorité sunnite à Bahrein…
Probablement qu’il s’agit de l’anachronisme le plus saisissant de l’histoire, ces abus endémiques ont échappé jusqu’à ce jour à toute investigation et à toute condamnation !
Les gouvernements occidentaux hésitent sans doute à stigmatiser des alliés autoritaires pour ne pas éveiller leur hostilité et leurs élites les ont absous de leurs responsabilités, dans la pure tradition de condescendance de l' »homme blanc » vis-à-vis de ses anciens colonisés, les considérant comme des créatures abruties, incapables d’assumer leur destin.
Il est grands temps de dénoncer ces pratiques de discrimination et d’obliger ces régimes arabes à accepter de se soumettre aux principes de décence et de responsabilité. Cette volonté de recherche de la vérité du terrain mettra à nu la vacuité de la campagne pour délégitimer Israël, et facilitera la paix et la stabilité régionale.
L’histoire a montré que la discrimination systématique et conséquente est une menace non seulement pour les minorités opprimées, mais pour la santé politique des sociétés qui les opprime. Le jour où ces régimes autoritaires arabes et musulmans commenceront à considérer tous leurs citoyens comme égaux, alors ils pourront transcender leur malaise et regarder l’avenir comme un véritable printemps socio-politique.
Par Ephraïm Karsh, professeur au King College de Londres, spécialisé dans les études du Moyen Orient et de la Méditerranée, directeur du Middle East Forum (Philadelphia) et auteur d’un ouvrage récent, « la Palestine trahie »
Jerusalem Post du 5 mars 2012
Traduit par Albert Soued, écrivain http://soued.chez.com pour www.nuitdorient.com
.
Merci à JC…
Je vous laisse méditer ça. Qui ne date pas d’hier…
FDF
.
.
Prétendre civiliser la Turquie en lui donnant des bateaux à vapeur et des chemins de fer, en disciplinant ses armées, ce n’est pas étendre la civilisation en Orient, c’est introduire la barbarie en Occident ; des Ibrahims futurs pourront ramener l’avenir au temps de Charles Martel, ou au temps du siège de Vienne…Je dois remarquer que j’ai été le seul, avec Benjamin Constant, à signaler l’imprévoyance des gouvernements chrétiens : un peuple dont l’ordre social est fondé sur l’esclavage et la polygamie est un peuple qu’il faut renvoyer aux steppes des Mongols.
Il est bien difficile de prévoir quelle sera la conduite d’une race d’homme qui n’ont point les idées européennes. A la fois rusés comme des esclaves et orgueilleux comme des tyrans, la colère n’est jamais chez eux tempérée que par la peur.
En principe de grande civilisation, l’espèce humaine ne peut que gagner à la destruction de l’empire Ottoman : mieux vaut mille fois pour les peuples la domination de la croix à Constantinople que celle du Croissant…Tous les éléments de la morale et de la société politique sont au fond du christianisme, tous les germes de la destruction sociale sont dans la religion de Mahomet. On dit que le sultan actuel a fait des pas vers la civilisation…Depuis quand l’apprentissage machinal des armes est-il la civilisation ? C’est une faute énorme, c’est presque un crime, d’avoir initié les Turcs dans la science de notre tactique.
Vous ne voulez pas planter la croix sur Sainte Sophie ? Continuez de discipliner des hordes de Turcs, d’Albanais, de Nègres et d’Arabes, et, avant vingt ans peut-être, le croissant brillera sur Saint Pierre. Appellerez-vous alors l’Europe à une croisade contre des infidèles armés de la peste, de l’esclavage et du Coran? Il sera trop tard. »
Chateaubriand, Mémoires d’outre-tombe
.
Et oui, ça se passe en France, au XXIe siècle… On a du mal d’y croire, hein?
.
Séquestrée, frappée, contrainte de faire le ménage et de satisfaire l’appétit sexuel de son mari – voire de son beau-père – une jeune Marocaine a vécu un véritable calvaire à Châlons de juillet 2009 à mars 2010. Son mari encourt six mois ferme, son beau-père six mois avec sursis.
L’ESCLAVAGE a la vie dure.
Un mariage d’amour
Myriam a épousé Mouhssine, 30 ans, en 2008 au Maroc. Né en France, il rentrait régulièrement au pays pendant les vacances. C’est là qu’il a rencontré la jeune femme.
Le couple s’est rapidement marié, « un mariage d’amour », selon Myriam. « Tout se passait bien. Il n’y avait pas de problème »… Même avec ses beaux-parents. Un bonheur parfait, tellement parfait que Myriam va suivre son époux à Châlons-en-Champagne. Un rêve pour elle que de vivre en France.
Mais un rêve qui va se transformer en cauchemar dès son arrivée en France le 29 juillet 2009.
Dès lors, Myriam aura juste le droit de s’occuper des tâches domestiques chez elle et ses beaux-parents et de satisfaire l’appétit sexuel de son mari… qu’elle le veuille ou non.
Frappée tous les jours, privés de tous papiers d’identité (confisqués par son mari pour éviter qu’elle ne s’échappe), elle va connaître une vie de recluse avec interdiction d’allumer la lumière ou de regarder la télévision. Sa seule occupation : les tâches ménagères.
Les événements vont prendre une tournure dramatique le jour où Myriam va annoncer à son époux qu’elle est enceinte.
Faire « tomber » le bébé
Ce soir-là, dans la nuit du 1er au 2 mars 2010, il va la rouer de coups, la tirer par les cheveux, lui cogner la tête contre le bois du lit, tenter de l’étrangler pour « faire tomber le bébé », autrement dit la faire avorter de force.
Sans l’intervention d’une voisine, qui a eu le courage d’appeler les secours et ce, malgré les menaces dont elle sera victime, jamais Myriam ne serait sortie des griffes de ses tortionnaires.
Ce soir-là, elle sera hospitalisée et ne remettra plus jamais les pieds chez elle.
Lors de son audition, elle va évoquer son calvaire au quotidien, les brimades, les coups, les relations sexuelles forcées. Elle va mettre en cause son beau-père qui aurait tenté de l’agresser sexuellement en octobre 2009. Ce dernier a toujours nié les faits, y compris mercredi lors de l’audience du tribunal correctionnel de Châlons-en-Champagne.
Quant au mari, il a tout fait pour ne pas faire face à ses juges. Il ne s’est jamais présenté aux convocations des experts (psychologue et psychiatre).
Lors de la première audience qui devait se tenir le 24 août, il s’est fait porter pâle.
Mercredi, il travaillait et ne pouvait décemment pas dire à son patron qu’il comparaissait en justice pour violences et agressions sexuelles sur son épouse…
Il a donc été jugé en son absence. Anne Guérin, substitut du Procureur, a requis 2 ans de prison dont 18 mois avec sursis et mise à l’épreuve pendant 2 ans pour le mari, 6 mois avec sursis pour le beau-père. L’affaire a été mise en délibéré au 15 février.
Myriam, aujourd’hui maman d’un petit garçon né prématurément en raison des coups qu’elle a reçus, vit dans un foyer. Les policiers ont pu lui restituer les papiers d’identité que son mari lui avait confisqués. Elle apprend le Français et tente de se reconstruire, seule, loin de sa famille qui l’a rejetée.
Myriam n’est malheureusement pas un cas isolé. Le Comité contre l’esclavage moderne, une association française créée en 1994, estime entre 2 000 et 4 000 le nombre de cas d’esclavage domestique en France.
Au Maroc, c’est juste l’appellation qui change. On ne parle pas d’esclavage mais du phénomène de « petites bonnes ».
Source: http://www.lunion.presse.fr/
Saviez vous que, dans l’Histoire mondiale et durant deux siècles, on a relevé plus d’esclaves blancs vendus que d’esclaves noirs ? Et les marchands d’esclaves étaient…. des musulmans.
Voulez vous redevenir les esclaves des musulmans? Moi pas, et surtout pas ma descendance… Et c’est pour ça que je me bats.
Le PPS ci-après va vous apprendre bien des choses.
FDF
.
BarbaresquesetesclavagedesBlancs
Merci à PM pour le diaporama…
Des malades, je vous dis; des malades…
FDF
L’esclavage des chrétiens en terres d’islam dure depuis des siècles…
.
Seulement, les intérêts ne cessèrent d’augmenter, et Zulfiquar se retrouva bientôt avec des intérêts de 500% à rembourser, somme qu’il ne pouvait pas payer. C’est ainsi que la famille de Zulfiquar Masih, soit 26 personnes, hommes, femmes et enfants, devinrent les esclaves de Basharat Ali Gulo, enfermés dans une prison privée et contraints de travailler sur ses terres…
|
Fr. Rafael a déclaré à Asia News que « des milliers de travailleurs sont aujourd’hui dans des conditions esclavages au Pakistan ».
Dans la province de Sindh les hindous sont mis en esclavage pendant des générations.
La mouvance internationale de l’Alliance “Stop à la charia” initiée par VVD a décrété 2011 année internationale de la vérité sur l’islam avec ce texte associé :
2011 L’année de la vérité sur l’islam. L’islam actuel est un système politico-religieux totalitaire basé sur le principe de l’esclavage.
Le but unique de l’idéologie islamique décrit dans ses textes fondamentaux est d’imposer de gré ou de force la Charia à l’humanité.
La Charia contient l’obligation au Jihad, d’y participer ou de soutenir ceux qui le mènent, militairement, politiquement, culturellement, sociologiquement ou financièrement.
La Charia viole les droits de l’Homme, les principes démocratiques et abolit les droits à la vie, à l’intégrité physique et à la propriété de ceux qui refusent de s’y soumettre.
Guerres de conquête, esclavage, innombrables persécutions et meurtres, génocides comme celui des Arméniens et les tentatives actuelles de destruction systématique des minorités religieuses, 14 siècles d’efforts pour imposer la Charia à l’humanité ont creusé une cicatrice sanglante dans l’Histoire humaine.
Toute promotion ou propagation, directe ou indirecte, de la Charia rend celui ou ceux qui s’en rendent coupables, complices d’une incitation à la haine et à la violence religieuse à l’échelle du monde entier et donc de crime contre l‘humanité.
Cela doit être su, cela doit être dit.
Intéressante conférence d’un représentant de Vérité, Valeurs et Démocratie autour de la question de savoir si selon les lois françaises, l’islam est légal ou pas. Alors selon vous, amis lecteurs, l’islam est-il légal ou pas ?
A visiter: http://tinyurl.com/5vc37yd
Nous sommes en 2010. L’esclavage n’a pas disparu. Et son origine est toujours la même… Je ne cite personne mais tout le monde aura compris… Seule différence: le « maître » est un converti à l’islam. Ca n’a pas arrangé les choses pour cette femme.
FDF
.
Au Maroc, elle croyait avoir trouvé le prince charmant français . Et elle a découvert l’enfer en Midi-Pyrénées. Un «mari» violent qui l’a réduite à l’état de servante et d’esclave sexuelle.
Depuis une heure et demi, elle raconte. Les yeux dans les yeux. Avec des mots simples, des phrases droites, le ton juste. Et au fil des détails qu’elle confie, c’est l’esclavage moderne qui surgit. Comme à présent Batoul craque et se met à trembler, un sanglot coincé dans la gorge. En arrivant à la dernière tentative de viol et aux coups de bâton qui ont suivi… Cette ultime agression a déclenché une effroyable machine contre elle, la victime.
Batoul ? « La secrète, la réservée » : prénom en forme d’indice qu’elle s’est choisi pour témoigner. Marocaine d’une beauté de conte oriental qui vit aujourd’hui terrée dans ce petit appartement de Midi-Pyrénées. à cause de son « mari » et d’une histoire qui au départ était « un peu un conte de fée », avoue-t-elle. Arrivé dans son pays avec une équipe d’humanitaires français, le « prince charmant » avait tout pour la rassurer et la faire rêver. Elle, jeune femme âgée de 23 ans à l’époque et séduite par ce sauveteur d’âge mûr « très calme » qui lui faisait la cour.
« Mais même si je ne porte pas le voile, je suis pratiquante et ma famille est religieuse. Alors pour être plus libre ensemble, il a décidé de se marier avec moi, il s’est converti juste pour le mariage», poursuit Batoul. Qui, dûment épousée au Maroc, découvre donc « l’amour ». D’emblée réduite à l’état d’objet. «Mais c’était le mari, je croyais ça normal.»
Promesse d’appartement à Marrakech pour lui faire quitter les deux pauvres pièces où elle vit avec sa mère et venir la voir plus facilement depuis la France. Puis promesse d’un meilleur boulot et d’envoyer de l’argent à la mère isolée et malade dont Batoul est l’unique soutien… « Moi, je ne voulais pas venir en France et laisser ma mère » précise-t-elle. Mais… « Ma fille, ton mari te demande, tu dois y aller, m’a-t-elle dit. Et moi j’ai pensé, c’est un homme qui va me sauver de la misère. Alors j’ai tout vendu pour laisser de l’argent pour les médicaments et j’ai pris l’avion pour Paris, où il m’attendait. »
Paris où la première visite qu’il lui impose est pour… Pigalle. La suite ? Dans la maison du petit village, au pied des Pyrénées, il lui explique:
« Tu es chez moi, je fais tout ce que je veux et si je veux, je te tue. »
Elle demande un pyjama ? Ce sera un string et des bas.
Puis les pratiques sexuelles d’autant plus imposées que taboues pour elle. Mais aussi le ménage, la lessive, le repassage et le frigo vide « sauf quand les amis ou sa famille venaient ». Et une vie cloîtrée sans chauffage ni lumière « parce qu’il ne voulait rien dépenser ». Bref « c’était un esclavage à 100 % ». Jusqu’à ce matin où il a eu une nouvelle exigence qu’elle a refusée et où il l’a bastonnée. « Ici, je connais beaucoup de monde, tu ne sais pas quelle porte de l’enfer tu as ouverte » l’a-t-il prévenue.
Il n’avait pas menti.
Organisateur prévoyant de sa vulnérabilité économique, sociale et familiale, il n’avait jamais fait le nécessaire pour les papiers. Quand elle a fui et s’est plainte, certificat médical à l’appui, c’est elle qui s’est retrouvée en garde à vue puis au centre de rétention. Libérée, elle vit recluse depuis. Le divorce a été prononcé contre elle pour « abandon de domicile ». Mais, même expulsable, elle ne veut pas lâcher, réclamant simplement justice des violences conjugales subies: « La victime c’est moi, pas lui. »
Source: http://www.ladepeche.fr/
Ca cause, les langues se délient, les voiles se lèvent, l’islam est discrédité de plus en plus et tous les jours… Qui s’en plaindra, dans le « monde civilisé » ?
FDF
.
08/09/2010
En Arabie saoudite, beaucoup de femmes de ménage d’origine asiatique et/ou africaine travaillent dans de terribles conditions. Séquestrées, humiliées et même parfois torturées, elles sont privées de tous leurs droits. Voici le récit d’une jeune Kenyane qui tente de fuir cet enfer…
L’histoire de la femme de ménage sri-lankaise torturée par ses patrons saoudiens qui a récemment défrayé la chronique est certes un cas extrême, mais pas isolé. Un million et demi d’étrangères travaillent comme employées de maison dans le Royaume. Selon le porte-parole de la police de Dammam, 20 000 d’entre elles ont fui les maisons où elles travaillaient en raison de mauvais traitements.
J’ai ensuite été placée chez la belle-mère du couple. Là-bas, j’ai fait la connaissance d’une autre femme de ménage kenyane qui travaillait pour elle depuis deux mois. Elle m’a expliqué ce qui m’attendait. Au bout d’un mois, j’ai retrouvé mes patrons et c’était le début d’une période atroce qui a duré près de quatre mois. J’étais logée dans une petite chambre, où je dormais sur un matelas très mince, à même le sol. Je devais demander la permission pour manger. Je travaillais à un rythme acharné et faisais toutes les tâches ménagères, si bien que je n’allais jamais me coucher avant 5h ou 6h du matin pour me réveiller à 10h. »
Quant à appeler chez moi, je n’en ai eu le droit qu’au bout de deux mois. J’ai alors appris que mon père était gravement malade et qu’il avait été hospitalisé. J’ai demandé à mon patron – à qui je n’ai habituellement pas le droit d’adresser la parole – de me donner mon salaire pour que je puisse rentrer chez moi ou au moins envoyer une partie de cette somme à ma famille. Jusque-là, je n’avais rien touché de mon salaire, qui devait être de 800 rials saoudiens (environ 160 euros), ce qui est très peu ici et suffit à peine pour payer le loyer le moins cher. Mais sa femme et lui ont refusé et m’ont dit que même si mon père venait à décéder, ce n’était pas si grave !
J’ai alors compris que le seul moyen d’échapper à tout ça était de fuir. Une fois sortie de la maison, j’ai pris un taxi qui m’a emmenée au consulat de Guinée (le chauffeur a compris Guinée au lieu de Kenya, et de toute façon il n’y a pas de consulat kenyan à Djeddah). J’ai eu beaucoup de mal à exposer mon cas aux fonctionnaires guinéens, puisque je ne parlais que l’anglais. Je suis finalement restée deux mois à attendre dans la cour du consulat.
Finalement, j’ai rencontré Mohamed. Il s’occupe de moi et mes mésaventures ont pris fin. En tout cas partiellement, car, comme je n’ai toujours pas récupéré mes papiers, je ne peux pas rentrer chez moi et je vis avec la peur d’être retrouvée par mes anciens patrons. »…
Suite et source: http://tinyurl.com/22tlcok
L’employée, mère de trois enfants âgée de 49 ans, a travaillé cinq mois en Arabie saoudite et est rentrée au Sri Lanka.
« Le propriétaire et sa femme lui ont planté 24 clous dans le corps lorsqu’elle s’est plainte d’une charge de travail excessive, » a dit à Reuters Kalyana Priya Ramanayake, du bureau sri-lankais de l’emploi à l’étranger.
La famille de la victime a réalisé ce qui lui était arrivé lorsqu’elle s’est plainte de douleurs et qu’ils l’ont emmenée voir un médecin.
Elle a été hospitalisée en chirurgie pour se faire retirer les clous. Des clichés radiographiques ont révélé des clous de jusqu’à cinq cm de long dans ses mains et ses jambes et un au-dessus des yeux, ont précisé les autorités.
Environ 1,4 million de Sri-Lankais sont employés au Moyen-Orient, en majorité comme domestiques. Nombre d’entre eux se plaignent d’y subir des mauvais traitements.
Source: http://tinyurl.com/27tk27j