Francaisdefrance's Blog

12/03/2012

Ces matières qu’on ne peut plus enseigner à l’école, les paroles que ne peuvent plus prononcer les enseignants…

La bienpensance veut que l’on n’enseigne plus pas l’essentiel… Et il est interdit de « heurter » certains élèves…

FDF

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Quand les crispations confessionnelles, se retrouvent à l’école  les enseignants  se retrouvent seuls  face  aux revendications religieuses  de certains élèves.  Et en sont réduits à trouver des parades ou à éviter les sujets qui fâchent.

Lisez  cet article de MARIANNE   :  c’est passionnant   et montre l’une des raisons de la décadence  de notre enseignement en France, et les difficultés des enseignants à exercer leur métier.

JC…

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http://www.scribd.com/fullscreen/84202832

11/01/2012

Incivilités, insultes, menaces: le ton monte chez les enseignants…

A mon avis, ce lycée abrite des « chances pour la France ». Mais ce n’est que mon idée…

FDF

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Enseignants et surveillants réunis, hier matin, devant le lycée de Tournefeuille./ Photo DDM, Nathalie Saint-Affre
Enseignants et surveillants réunis, hier matin, devant le lycée de Tournefeuille./ Photo DDM, Nathalie Saint-Affre

Aucun cours n’a été dispensé, hier, par les enseignants du lycée Françoise de Tournefeuille. Toute la communauté éducative a fait valoir son droit de retrait pour condamner la violence et le manque de moyens.

Incivilités, insultes, menaces… Le ton monte et la situation s’envenime entre la communauté éducative et certains élèves du lycée polyvalent de Tournefeuille. À tel point que les enseignants de cette bourgade pourtant réputée paisible de l’Ouest toulousain ont décidé, hier, d’exercer leur droit de retrait. Sur les cinquante professeurs présents, hier matin, dans l’établissement technologique et professionnel, aucun n’a fait cours.

« C’est l’agression d’un conseiller principal d’éducation avant Noël et les menaces de mort reçues par deux enseignants qui provoquent aujourd’hui notre réaction », explique un professeur. « Nous avons aussi décidé d’utiliser notre droit de retrait car le rectorat n’a pas pris la peine de répondre à nos différents courriers dans lesquels nous expliquions nos craintes pour notre sécurité et celle des élèves ».

Réception au rectorat

Reçue hier soir au rectorat, la délégation d’enseignants et de surveillants a demandé à ce que des renforts humains soient apportés pour faire face aux menaces. « Il est nécessaire d’obtenir des postes de surveillants supplémentaires car nous connaissons un manque cruel d’encadrement », ajoute une enseignante. « N’étant pas en zone sensible, nous n’avons pas de moyens spécifiques alors que le danger s’installe. Jeudi dernier, les professeurs ont dû intervenir dans une altercation entre élèves car il n’y avait pas de surveillants. La pénurie de moyens accroît le malaise, des classes sont surchargées avec 35 élèves, des profs absents depuis plusieurs semaines ne sont plus remplacés. Le malaise est important et profond ».

Tant qu’elle estime que la sécurité n’est pas rétablie dans l’établissement, la communauté éducative exerce son droit de retrait. Sur les grilles du lycée, on peut encore lire : « Non à la violence », « Françoise en résistance ».


Le soutien des parents d’élèves

Venue chercher ses enfants devant le lycée, une maman se déclare « attristée » par la façon dont les enseignants sont traités. « Je plains vraiment les professeurs car ils font un excellent travail », constate Véronique. « Ils soutiennent vraiment les élèves. Certains nous donnent leur téléphone personnel pour qu’on les appelle en cas de difficultés. Ils ne peuvent pas faire mieux. Je tiens à leur apporter mon soutien sincère ». À ses côtés, son fils ajoute : « Il n’y a pas assez de pions pour surveiller. Parfois on n’est pas tranquilles mais on n’est pas non plus terrorisés. Il y a deux groupes dans le lycée, ceux qui veulent travailler et les autres ».

Source: http://www.ladepeche.fr/

28/12/2011

En Norvège, il ne faut plus dire « vacances de Noël »: c’est « haram »…

Il faut dire « vacances d’hiver », ça ne heurte pas les momos… Plus de chants de Noël, non plus.

Rentrez chez vous, les muzz; ça vaudrait mieux.

On ne pourra pas retenir les norvégiens de souche plus très longtemps…

FDF

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A Drammen (Norvège), les élèves de cinquième de l’école Øren étaient invités à la fête de fin d’année et à la célébration de Noël. Noël ? … Il s’agissait plus précisément de fêter les “vacances d’hiver” [Winter Marking]. A cette occasion, les enfants n’ont pas été autorisés à porter le traditionnel bonnet rouge, symbole de la Norvège. Extraits.

Les élèves avaient dès le départ reçu comme consigne de la part des enseignants de ne pas venir revêtus de bonnets rouges. Les enfants qui sont malgré tout venu avec cet accessoire traditionnel du folklore norvégien ont été invités à les retirer. Car il fallait “tenir compte de ceux qui avaient une culture et une foi différentes”.

Une fois tout le monde sur place, les enseignants ont également  indiqué qu’il ne fallait plus parler des “vacances de Noël” mais des “vacances d’hiver”.

La déception des enfants fut encore plus vive en apprenant qu’il n’y aurait pas non plus de chants de Noël traditionnels. Le directeur de l’école se refuse à parler de censure des traditions norvégiennes.

http://dt.no/nyheter/nektet-nisseluer-pa-juleavslutning-1.6661838

http://gatesofvienna.blogspot.com/2011/12/norwegian-christmas-not.html

12/10/2011

On islamise NOS enfants dans les collèges…

Et j’en ai trouvé la preuve (voir pièces jointes). Dans ce collège (comme dans beaucoup d’autres…), les jeunes Français de souche n’apprennent plus leur Histoire de France; c’est « haram ». Nos enfants sont la proie des enseignants pour se former à l’islam, à Momo, au coran et ses principes odieux, à la charia, etc… Que du bonheur. Les enseignants eux-mêmes obéissent à leurs proviseurs; lesquels obéissent aux recteurs d’académie, qui eux obéissent au ministre de l’éducation nationale, Luc Chatel, qui est aux ordres de Sarkö Ier (complice avec notre cher ministre de la « culture »)…

Je me pose une question: à qui obéi notre président ???  J’ai bien une vague idée, mais bon…

Que l’on arrête cette nouvelle « PROPAGANDA » !!! Nos écoles sont en passe de devenir des écoles coraniques et ça, c’est un affront écoeurant qui ne pourra rester impuni.

Et si il faut lutter pour mettre un terme à cette fanatisation imposée, nous lutterons !

Merci de faire circuler.

FDF

Nos classes d’école dans un proche avenir ??? JAMAIS !!!

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Preuves en pièces jointes:

Bonus: Tract argumentaire de présentation des écoles coraniques

18/06/2011

Dans le 9-3, ce sont les élèves et leurs parents qui font la loi. Celle de la République n’a plus cours….

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Ce genre de problème est rencontré par bon nombre d’enseignants. Et partout en France. Le vrai, de problème, c’est que l’on ne l’ ébruite pas… Défendu! Sinon: représailles… République bananière, quoi…

FDF

Lila

Professeur d’allemand dans un collège du 9-3, d’origine kabyle, Lila est sanctionnée par l’Education nationale pour s’être opposée au prosélytisme des élèves.

L’an dernier, la Journée de la jupe défrisait la chronique. Le ministre de l’Education nationale s’était même fait un devoir d’assurer que son administration, ce n’était pas ça. Que dans les salles sanctuarisées où l’on dispense la connaissance, les crispations identitaires, comme on dit, ne pénétraient pas. L’intégration passe par l’école de la République, n’est-il pas ?

Lila A., tout comme Isabelle Adjani qui incarnait la prof du film, est bien placée pour le savoir : elle est kabyle, aux cheveux noirs et aux yeux noirs, à la peau mate. « D’origine kabyle », précise-t-elle, « mais française ». Depuis 2001, elle est professeur d’allemand titulaire au collège Marie-Curie aux Lilas. La ville qui porte son nom. Cet amusant clin d’œil amusant de l’existence qui fleure bon le charme français a viré à l’aigre. Le bouquet est fané.

En 2004, Lila ne milite pas chez Ni Putes Ni Soumises mais publie un article, dans les pages Rebonds de Libération, pour l’interdiction du voile islamique à l’école, contre le port de signe ostentatoire d’appartenance religieuse et contre l’avis du SNES qui, à l’époque, s’y oppose résolument.

Les principaux sont impuissants, le rectorat ne veut pas de vagues, les profs ont peur

En République, nul n’est censé ignorer la loi. Mais qui l’applique dans l’Education nationale ? Manifestement pas certains établissements de Seine-Saint-Denis, selon Pascal Brun, président du syndicat départemental de la CFTC : « Le cas de Madame A. est symptomatique du laxisme républicain face aux pressions médiatiques et parentales exercées sur les enseignants dans les banlieues où la population est majoritairement musulmane. L’Education nationale y peine, en toute logique, à gérer la laïcité et elle nie totalement ce qui se passe en essayant de faire passer Madame A. pour folle. Les principaux des collèges n’ont pas les outils pour faire régner la loi et le rectorat semble redouter les révoltes. Quant aux professeurs, la plupart se taisent par crainte de représailles. Madame A. s’est élevée contre ça. Elle en paie le prix : l’Administration se range toujours du côté du plus fort. »

Accusée par le rectorat de mettre en danger ses élèves sur la foi d’un dossier à charge sans autres preuves que des lettres calomniatrices, Lila a été reléguée au placard pendant cinq mois consécutifs et amputée de la moitié de son salaire par la suite. Un congé d’office au mépris de la loi et des procédures, en vertu d’un décret de 1921 applicable pendant un mois maximum et rédigé pour protéger les élèves de la contagion de professeurs atteints de tuberculose ou de « maladie mentale ».

Soumise à deux expertises médicales ordonnées par la hiérarchie et qui ont conclu en faveur de sa normalité psychique, elle est victime d’une véritable cabale. On l’accuse d’avoir renversé des tables et des chaises, sectionné un câble télé (ce qu’aucun élève ne ferait gratuitement, « imagine » une collègue) et agressé des élèves. Elle subit avertissements, convocations absurdes, harcèlements de toutes sortes et menaces de sanctions disciplinaires. Maltraitances dont celle qui l’affecte par-dessus tout est l’allégation de violences envers des élèves avec qui, hormis quelques fauteurs de troubles, elle a toujours entretenu d’excellents rapports.

Son crime ? Boire en classe pendant le Ramadan, et avoir signifié à une élève prosélyte que la religion n’entre pas à l’école. Cinq ans après avoir honni le voile islamique dans les établissements, c’est de la récidive sans doute. Pour les parents d’élèves concernés, cela porte un nom : « non-respect de la laïcité » ! Il y aurait sans nul doute avantage à rappeler le sens d’une telle notion. Je suggérerais bien à l’académie de Créteil, à laquelle appartient l’établissement, de publier un Petit traité de laïcité pratique à l’école plutôt que de faire rédiger un dictionnaire des mots français par de jeunes « apprenants » en mal de vocabulaire.

Le keffieh, accessoire de mode…

Mais encore : avoir tenu tête à l’ancienne principale – stratégiquement mutée depuis dans la région de ses vœux premiers – en invitant au collège d’anciens déportés et en organisant un voyage à Berlin et Sachsenhausen. Ce sera d’ailleurs le seul du genre, la déléguée du SNES ayant fait annuler le suivant, prévu à Munich avec visite du camp de Dachau. Ceci allant avec peut-être avec cela, l’appel au boycott d’Israël initié par Euro-Palestine que la FSU (dont le SNES est l’un des fondateurs et membres) a signé, en mai 2009. Allez savoir.

Et enfin : avoir été soutenue par Miodrag I., un collègue homosexuel originaire d’Europe de l’Est, professeur de latin et de lettres classiques qui – ô intolérance ! – a osé interdire le port du keffieh dans ses classes. Congé d’office, le placard est égalitaire. Et le keffieh « n’est absolument pas un signe politique, mais un simple accessoire de mode, au même titre que les tee-shirts à l’effigie du Che ».

Vous ne rêvez pas

Exit la circulaire Jean Zay du 31 décembre 1936 : « Quant aux élèves, il faut qu’un avertissement collectif et solennel leur soit donné et que ceux d’entre eux qui, malgré cet avertissement, troubleraient l’ordre des établissements d’instruction publique en se faisant à un titre quelconque les auxiliaires de propagandistes politiques, soient l’objet de sanctions sans indulgence. L’intérêt supérieur de la paix à l’intérieur de nos établissements d’enseignement passera avant toute autre considération. » Dorénavant, c’est bien connu, le keffieh c’est cool, Coco ! Il n’y a qu’à voir son usage éminemment fashion dans les manifs et les altercations avec les forces de l’ordre…

Miodrag a reçu quant à lui un courrier officiel lui interdisant d’interdire au motif d’intrusion dans la vie privée des têtes blondes. « Les porteurs de keffieh sont les enfants des profs bobos », précise l’enseignant.

Que Miodrag ait essuyé des insultes homophobes, que Lila ait été maudite au nom d’Allah, ce n’est probablement que justice. De cela comme du reste, Lila ne s’expliquera pas : elle n’a pas été convoquée pour sa défense dans le bureau du principal et elle est désavouée par le rectorat. La conclusion s’impose : dans le 9-3, ce sont les élèves et leurs parents qui font la loi. Celle de la République n’a plus cours…


03/06/2011

Enseignants: la rentrée 2011/2012 ne sera pas sous le signe de la sérénité…

Cet article, relai d’une pétition de SOS Education, a été annulé à cause de ce commentaire:
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Commentaire :

« Je vous prie de bien vouloir ôter de toute urgence de votre pétition mon nom, obtenu sans mon consentement. Contrairement à la règle républicaine que vous vous targuez de défendre, vous n’avez demandé aucune confirmation de ma signature sur mon adresse e-mail. »

Il y a des personnes, comme ça, qui signent des pétitions mais veulent pas que ça se sache. Quand on s’engage, on a le courage de la faire jusqu’au bout. En outre, cette injonction m’est adressée, alors que si on avait lu correctement le billet, on aurait du comprendre que c’est SOS Education qui a recueilli les signatures et les noms, les a publiés et donc je n’ai aucun pouvoir auprès de cette organisme pour effacer quoi que ce soit. Je conseille à la personne qui a fait le commentaire ci-dessus de s’adresser directement à SOS Education et de lui faire part directement de ses griefs… Pour moi, c’est d’une logique implacable… 
FDF

07/05/2011

Education: les professionnels du futur…

Je les plains, les enseignants. Franchement, je les plains. Il faut rouvrir les maisons de redressement; ce serait un bon début… Ce qui suit est un témoignage. Mais on pourrait en trouver des centaines, des milliers, du même genre.

FDF

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Insomnies et désespoir… sont mon quotidien, combien d’années vais-je le supporter ?

Sincèrement, le plus difficile à vivre, ce n’est pas le niveau des élèves, leurs difficultés scolaires ou leur situation d’échec, non, le plus difficile, voire l’inacceptable, c’est leur indifférence sur tout, leur manque de motivation, leur mépris vis-à-vis du système éducatif et de nous-mêmes. Ils sont incapables de faire une phrase sans aligner 2 ou 3 grossièretés, incapables d’écrire une phrase sans 10 fautes d’orthographe, incapables de dire merci, bonjour ou bonne journée…

Oui, c’est déprimant car je ne retrouve plus le pourquoi de mon combat, je ne retrouve plus d’énergie pour me battre à leur côté…

Leur centre d’intérêt, leur monde tourne autour de leur portable à 350 euros !! Très utile pour tricher, ils enregistrent directement le contenu de nos cours !!! Je pense que ce qui fait l’effet d’un « acide au quotidien » = leurs paroles acerbes, leurs commentaires gratuits « Bah, Madame, fallait rester chez vous » ou « C’est bon, pfff, je me gratte, putain « . J’ai renvoyé sur le champ cette élèves de CSS, avec en prime 2 heures de retenue et un entretien avec le CPE… Ses camarades n’ont pas compris la sanction, ils ont essayé de négocier pour que je retire la sanction etc.

C’est épuisant et déprimant !!! Et c’est l’avenir de demain, puisque ces jeunes sont les professionnels du futur !!!

vu sur http://souffrancedesprofs.com/?p=762

14/12/2010

Enseigner en banlieue: chemin de croix ou purgatoire?

Enseigner en banlieue est devenu une punition donnée par l’Education Nationale. Autant prêcher dans le désert. En outre, c’est devenu très dangereux pour les enseignants. L’avis de: http://www.renaissancecatholique.org/

FDF

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Nostalgique, comme moi, de la France chrétienne, vous pensez que notre pays est en danger d’islamisation galopante. Vous avez raison et êtes peut-être encore loin du compte !

Le compte, faisons-le : dans mon collège de banlieue, une large majorité des élèves porte un patronyme arabe assorti, comme il se doit, d’un prénom musulman. Il faut y ajouter les Turcs et les élèves originaires d’Afrique noire, quasiment tous musulmans. Rien d’original à cela. Ce qui l’est plus, c’est le nombre de noms européens accolés à des prénoms musulmans, tels Ibrahim Dupont, Djamila Martinelli, Youssef Lopez ou encore Mohamed Schmitt. Pères d’origine chrétienne, ayant abjuré pour une union –souvent éphémère– avec une disciple du Prophète. “Éphémère”, car la plupart de ces mariages mixtes, je le constate, se sont soldés par un échec saignant, mais le résultat en est là : des petits musulmans ! L’inverse est aussi fréquent, même si moins visible : on distingue moins aisément les enfants issus d’un père musulman et d’une mère chrétienne, car alors il n’y a plus la moindre trace, dans leur identité, de la partie chrétienne. Cela va bien plus loin qu’un prénom sur une carte d’identité. J’observe que ces élèves issus de mariage mixtes, même s’ils se sont soldés par une rupture, se définissent comme purement musulmans. La jeune Da Silva, élève de 4e, m’annonce que « bien sûr » elle va fêter l’Aïd et être absente le lendemain. Le petit Schmitt, en 6e, se présente comme « arabe » et, lorsque je lui fais remarquer qu’il a aussi des origines alsaciennes dont personne avant moi ne lui a jamais parlé, il se vexe et me demande de ne plus les évoquer. Il rêve d’être pâtissier, pour faire des pâtisseries orientales, bien sûr. Quant à Kristina Duval, de 3e, elle a porté le survêtement de l’équipe algérienne durant toute la coupe du monde de football. On pourrait multiplier les exemples.

Voilà pour l’observation “statique”. Si l’on y ajoute une perspective “dynamique”, il faut constater que nombre de mes élèves musulmans “de souche” ne sont pas en France depuis longtemps. Le flux n’est pas tari et pas seulement, tant s’en faut, pour des raisons de misère ou de persécution politique. La famille B. est venue de Tunisie, il y a seulement deux ans –le père, sous-officier, estimant l’avenir de ses trois fils plus assuré en France. Le plus jeune, fort sympathique, ne voit cependant pas pourquoi on compte ici les années depuis la naissance du Christ. Hichem D. est pour sa part originaire d’Algérie, où son père dirigeait une entreprise. Arrivé lui aussi il y a deux ans, il conteste nombre de mes enseignements, au nom de ce qu’on lui a appris dans son pays d’origine, et m’explique sans méchanceté que, chrétien, je suis promis à l’enfer, quelles que soient par ailleurs mes qualités personnelles, qu’il juge indéniables. J’ai récemment bénéficié d’une formation sur ces ENAF (élèves nouvellement arrivés en France), qui sont si nombreux que l’éducation Nationale a cru bon de créer pour eux ce bel acrostiche au bon goût de pâté (halal, bien sûr)…

Suite et source: http://tinyurl.com/3942hg8

12/12/2010

Enseigner en banlieue: chemin de croix ou purgatoire ?

Enseigner en banlieue est devenu une sévère punition donnée par l’Education Nationale. Autant prêcher dans le désert. En outre, c’est devenu très dangereux pour les enseignants. L’avis de: http://www.renaissancecatholique.org/

FDF

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Nostalgique, comme moi, de la France chrétienne, vous pensez que notre pays est en danger d’islamisation galopante. Vous avez raison et êtes peut-être encore loin du compte !

Le compte, faisons-le : dans mon collège de banlieue, une large majorité des élèves porte un patronyme arabe assorti, comme il se doit, d’un prénom musulman. Il faut y ajouter les Turcs et les élèves originaires d’Afrique noire, quasiment tous musulmans. Rien d’original à cela. Ce qui l’est plus, c’est le nombre de noms européens accolés à des prénoms musulmans, tels Ibrahim Dupont, Djamila Martinelli, Youssef Lopez ou encore Mohamed Schmitt. Pères d’origine chrétienne, ayant abjuré pour une union –souvent éphémère– avec une disciple du Prophète. “Éphémère”, car la plupart de ces mariages mixtes, je le constate, se sont soldés par un échec saignant, mais le résultat en est là : des petits musulmans ! L’inverse est aussi fréquent, même si moins visible : on distingue moins aisément les enfants issus d’un père musulman et d’une mère chrétienne, car alors il n’y a plus la moindre trace, dans leur identité, de la partie chrétienne. Cela va bien plus loin qu’un prénom sur une carte d’identité. J’observe que ces élèves issus de mariage mixtes, même s’ils se sont soldés par une rupture, se définissent comme purement musulmans. La jeune Da Silva, élève de 4e, m’annonce que « bien sûr » elle va fêter l’Aïd et être absente le lendemain. Le petit Schmitt, en 6e, se présente comme « arabe » et, lorsque je lui fais remarquer qu’il a aussi des origines alsaciennes dont personne avant moi ne lui a jamais parlé, il se vexe et me demande de ne plus les évoquer. Il rêve d’être pâtissier, pour faire des pâtisseries orientales, bien sûr. Quant à Kristina Duval, de 3e, elle a porté le survêtement de l’équipe algérienne durant toute la coupe du monde de football. On pourrait multiplier les exemples.

Voilà pour l’observation “statique”. Si l’on y ajoute une perspective “dynamique”, il faut constater que nombre de mes élèves musulmans “de souche” ne sont pas en France depuis longtemps. Le flux n’est pas tari et pas seulement, tant s’en faut, pour des raisons de misère ou de persécution politique. La famille B. est venue de Tunisie, il y a seulement deux ans –le père, sous-officier, estimant l’avenir de ses trois fils plus assuré en France. Le plus jeune, fort sympathique, ne voit cependant pas pourquoi on compte ici les années depuis la naissance du Christ. Hichem D. est pour sa part originaire d’Algérie, où son père dirigeait une entreprise. Arrivé lui aussi il y a deux ans, il conteste nombre de mes enseignements, au nom de ce qu’on lui a appris dans son pays d’origine, et m’explique sans méchanceté que, chrétien, je suis promis à l’enfer, quelles que soient par ailleurs mes qualités personnelles, qu’il juge indéniables. J’ai récemment bénéficié d’une formation sur ces ENAF (élèves nouvellement arrivés en France), qui sont si nombreux que l’éducation Nationale a cru bon de créer pour eux ce bel acrostiche au bon goût de pâté (halal, bien sûr)…

Suite et source: http://tinyurl.com/3942hg8

03/09/2010

La rentrée à reculons pour les instits de Seine Saint Denis…

Comme partout ailleurs, en fait. Le corps enseignant aborde cette rentrée avec une apréhension peu habituelle. Souvenirs (mauvais) de l’an passé? Certes. Ils ont peur. Et ils ont raison d’avoir peur. Quand on sait que dans certains établissements, les enseignants sont obligés de cacher leurs bagdes d’accès (sur le pare-brise de leur voiture) à leur établissement quand ils sont à l’extérieur; par peur, oui. Par peur des représailles. Ce que le ministère veut à tout prix occulter… Quelle honte. Encore une fois, on plie devant la racaille…
FDF

3 septembre 2010

Beaucoup d’enseignants feront probablement leur rentrée à reculons en Seine-Saint-Denis. Sur 11.000 enseignants du premier degré, l’inspection académique a reçu 2.800 demandes de mutation d’agents souhaitant échapper au département.

Isabelle Guigon, secrétaire du SE-UNSA en Seine-Saint-Denis, n’est pas surprise par ces chiffres. « Notre département n’est pas attrayant. Les conditions de vie et de travail y sont difficiles », explique cette enseignante de Bondy. « Les loyers sont élevés et le cadre de vie n’est pas le plus agréable du monde. Il n’y a ni la mer, ni la montagne, ni la campagne », précise-t-elle.

Avant d’ajouter : « La moitié du département est classée en zone d’éducation prioritaire (ZEP). Les enseignants sont confrontés à une recrudescence de la violence des élèves et de leurs parents. Beaucoup de parents d’élèves vont mal. Ils sont au chômage, exclus, et auraient besoin d’une prise en charge médicale. »

France Soir

vu sur http://www.fdesouche.com/134669-rentree-la-deprime-des-instits-de-seine-saint-denis