Merci à JPPS de m’avoir fait parvenir cette vidéo. Je vous préviens, elle n’est visible que par un public « averti ». Alors éloignez les enfants et les âmes sensibles, abstenez-vous de regarder.
FDF
.
Merci à JPPS de m’avoir fait parvenir cette vidéo. Je vous préviens, elle n’est visible que par un public « averti ». Alors éloignez les enfants et les âmes sensibles, abstenez-vous de regarder.
FDF
.
Un petit billet spécial caricatures.
Une belle avec du sang, de la violence, qu’on essaye de m’égorger, de me tirer dans le dos, que l’on piège mon 4X4, enfin, tout ce dont dispose la religion d’amour, de paix et de tolérance. Ah, j’oubliais: qu’on me mutile, qu’on me foute de l’acide en pleine poire, qu’on de démembre, qu’on me pende, qu’on m’émascule (prévoyez une tronçonneuse… « pas de remarques, Henri »), et autres délices orientaux.
FDF
.
Bonne lecture: servez vous largement, il n’ y a pas de copyright…
Ici: http://creepingsharia.wordpress.com/mohammed-cartoon-collection/
La même question se pose tous les ans : faut-il permettre ou interdire aux enfants d’assister à la cérémonie de l’égorgement du mouton ? «Mon fils Aïmane a tout juste trois ans. Cette année, c’est la première fois qu’il va assister à l’égorgement du mouton. (…)
«Ma petite Ghita a huit ans et elle s’enferme toujours dans sa chambre au moment de l’égorgement du mouton. Elle ne peut pas supporter de voir le sang ni regarder l’animal en train de «souffrir» avant de mourir.
La situation était encore pire lorsqu’on ramenait le mouton quelques jours avant la journée d’Al Aïd. Elle s’habituait à l’animal et il nous fallait attendre des jours voire quelques semaines pour qu’elle oublie l’histoire complètement. De toute façon, il est hors de question qu’elle mange la viande du mouton après l’avoir vu, ne serait-ce qu’une seule fois», témoigne Hanane.
Source: http://elisseievna.blogspot.com/
Entre le 16 et le 18 novembre 2010, les moutons seront à la fête! Le jour exact, c’est selon le pays dans lequel ils pratiqueront cette coutume où ils se défouleront en égorgeant des animaux innocents; au nom d’Allah. Bains de sang assurés. C’est la grosse java.
Il foutront peut-être la paix provisoirement aux otages Occidentaux qu’ils retiennent…
FDF
Et la connerie? Elle est tournée vers la Mecque, durant l’égorgement?
Pour celles et ceux qui n’ont pu voir l’émission: morceaux choisis (c’est le cas de le dire…). « Rachid business », mon frère…
FDF
.
http://www.canalplus.fr/c-infos-documentaires/pid3357-special-investigation.html?
Depuis quelques années, le marché des produits halal est en pleine expansion. Alors qu’on ne trouvait précédemment ces produits que dans des boucheries spécialisées, ils sont désormais disponibles en supermarchés. Viandes, mais aussi bonbons ou encore crèmes peuvent désormais être estampillées « halal ». Le documentaire Halal : les dessous du business, diffusé dans l’émission Spécial investigation lundi sur Canal Plus, dénonce les abus liés au manque de règlementation du secteur.
Ce business juteux – près de 5 milliards d’euros – souffre d’une absence de contrôles sur les certifications. Les auteurs du reportage, Feurat Alani et Florent Chevolleau révèlent les fraudes que cette situation engendre. Il existe en effet une quinzaine d’organismes délivrant des « labels », mais aucun d’entre eux n’est certifié, comme peut l’être le « bio ».
Ces organismes n’ont jamais réussi à se mettre d’accord sur un cahier des charges commun. En raison d’un trop grand « flou », le Conseil français du Culte musulman (CFCM) a d’ailleurs annoncé lundi qu’il préparait une « charte du halal » pour la fin de l’année.
Les bonbons de marque italienne Fini, vendus avec l’étiquette halal, font partie des produits les plus populaires du marché. La liste des ingrédients indique qu’ils sont fabriqués à base de gélatine de bœuf, et non de porc, un aliment interdit dans la religion musulmane. Or, après deux analyses de ces produits, la présence de porc dans ces confiseries est avérée.
Le documentaire révèle également que les poulets vendus par la marque Doux, première du marché du poulet halal en France, ne sont pas tués selon la tradition musulmane.
Théoriquement, pour qu’une viande soit halal, l’animal doit être égorgé et saigné vivant, et orienté vers la Mecque.
Pourtant, on découvre dans le documentaire que les poulets de cette marque sont anesthésiés et abattus mécaniquement à la chaîne, de la même façon que les poulets « non halal ». Les personnes chargées de l’étranglement des animaux doivent aussi être musulmanes et obtenir un certificat de la part d’un imam.
Interrogé sur ces révélations, un porte-parole de la société Doux a répondu lundi. « Nous assurons une production halal depuis plus de 50 ans pour des pays du Moyen-Orient conformément à un cahier des charges. Il n’y a ni tromperie ni ambiguïté », assure-t-il. Selon lui, l’électronarcose pratiquée est « réversible », c’est-à-dire que l’animal peut se réveiller et qu’il est donc bien vivant au moment de l’abattage. Il assure qu’il y a aussi sur place des sacrificateurs qui « vérifient que le poulet a bien été égorgé ».
Source: http://tinyurl.com/2bjqkqy
L’organisme Afcai, chargé de la certification des produits, « bénéficie de la confiance des autorités religieuses des pays importateurs, tels que l’Arabie saoudite », selon Doux, tout comme de l’aval de la mosquée de Paris. La marque livre en effet ses poulets aux restaurants KFC.