Francaisdefrance's Blog

12/03/2012

Ces matières qu’on ne peut plus enseigner à l’école, les paroles que ne peuvent plus prononcer les enseignants…

La bienpensance veut que l’on n’enseigne plus pas l’essentiel… Et il est interdit de « heurter » certains élèves…

FDF

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Quand les crispations confessionnelles, se retrouvent à l’école  les enseignants  se retrouvent seuls  face  aux revendications religieuses  de certains élèves.  Et en sont réduits à trouver des parades ou à éviter les sujets qui fâchent.

Lisez  cet article de MARIANNE   :  c’est passionnant   et montre l’une des raisons de la décadence  de notre enseignement en France, et les difficultés des enseignants à exercer leur métier.

JC…

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http://www.scribd.com/fullscreen/84202832

06/03/2012

Les Suisses sont neutres … et leurs écoles sont vraiment laïques, elles !!!!!!

Des leçons à prendre pour nous autres, les Français… Les Suisses ne se cassent pas la tête avec ces faux problèmes qui nous pourrissent la vie, chez nous. En France, on serait incapable de réagir de cette manière !

En fait, c’est parce qu’on le veut bien…

FDF

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13/12/2011

Strasbourg évolue: bravo !

Avec nos impôts !
ET CA CONTINUE, CHAQUE JOUR APPORTE  DE NOUVELLES INFORMATIONS….

On n’a pas d’argent pour les routes, nos églises, nos écoles ; mais là pas de soucis

La très grande mosquée de Strasbourg : 1,5 million d’euros de subventions accordées par les collectivités locales sans compter le terrain (conseil régional, département, municipalité).La grande mosquée de Strasbourg a désormais sa silhouette définitive. Une grue géante a déposé délicatement en son milieu l’armature de la haute coupole qui sera recouverte de cuivre.Le conseil régional d’Alsace a décidé d’accorder une nouvelle subvention de près de 180.000 € pour la construction de la grande mosquée de Strasbourg.Cela porte à 682.522 € les subventions du conseil régional pour cette construction et à 1,5 million d’euros les subventions accordées par les collectivités locales (conseil régional, département, municipalité)… Avec l’argent de VOS IMPOTS.Patrick Binder (FN) souligne que le conseil de fabrique de l’église Notre-Dame de la Paix de Saint-Louis a demandé une aide financière pour la restauration intérieure de cette église.Réponse des services de la région :  «Ce type d’intervention ne peut être pris en compte au titre des critères que s’est fixé le conseil régional en matière de conservation et de renouvèlement du patrimoine».Super !!! nos églises s’effondrent par manque d’entretien et de budget. A la place s’érigent des mosquées !! bientôt il faudra changer de religion ! Bravo !!!
Parce que l’obligation de subir nous donne le droit de savoir.
Jean Rostand.

C’est nous prendre pour des cons!

Rappel des règles d’immigration…

Et une petite piqûre de rappel, une ! Faites tourner.

FDF

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1. Il n’y aura pas de programmes en langues étrangères dans les écoles.


2.. Toutes les annonces du gouvernement et les élections se dérouleront dans la langue nationale.
 
3. Toutes les questions administratives auront lieu dans notre langue.


4. Les étrangers ne seront pas un fardeau pour les contribuables.
Pas de sécurité sociale, pas d’indemnité de repas, pas de soins de santé ou tout autre avantage public ne seront accordés.
Tout abus provoquera la déportation.


5. Les étrangers peuvent investir dans ce pays, mais le montant doit s’élever au minimum à 40.000 fois la moyenne journalière de subsistance.


6. Si les étrangers achètent de l’immobilier les possibilités sont
limitées.
Certains terrains, en particulier les biens immobiliers disposant d’accès à l’eau courante, seront réservés pour les citoyens nés ici.


7. Les étrangers ne peuvent pas protester chez nous.
Aucune manifestation, aucune utilisation d’un drapeau étranger, aucune organisation politique.
Aucune calomnie sur notre pays, le gouvernement et sa politique. Toute violation conduira à la déportation.


8. Si quelqu’un pénètre dans ce pays illégalement, il sera traqué sans
merci.
Arrêté, il sera détenu jusqu’à ce qu’il soit expulsé. Tous ses biens sont
saisis.
……………………………………………………………………………………………..
Sans pitié, inhumain, trop dur ?
Non, non ce n’est pas le FN .!!!
 
Les règles ci-dessus ne sont pas celles d’un quelconque parti d’extrême droite.
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Ce sont les règles d’immigration en vigueur en Arabie Saoudite et dans les
Émirats Arabes Unis!


Alors … c’est qui les CONS ?

23/10/2011

Prosélytisme dans les écoles en Europe…

Le genre d’images qui me soulèvent le coeur…

FDF

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« Ces photos prises en Angleterre où les imams prêchent dans la rue et crient leur haine de l’Occident auraient pu passer pour des particularités locales. Par curiosité je me suis demandé si de telles visites avaient lieu également en France. Et la réponse est oui. »

Source: http://paturage.wordpress.com/

29/08/2011

Les règles de l’immigration…

Je crois (non, je suis sûr) que nous sommes vraiment des lopettes, en France… Et le monde entier doit bien se foutre de nous. Il a bien raison. Il est tout de même incroyable que la « tolérance zéro » soit appliquée dans les pays dont nous accueillons la fange…

FDF

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Règles d’immigration (Lire jusqu’au bout)

1. Il n’y aura pas de programmes en langues étrangères dans les écoles.

2. Toutes les annonces du gouvernement et les élections se dérouleront dans la langue nationale.

3. Toutes les questions administratives auront lieu dans notre langue.

4. Les étrangers ne seront pas un fardeau pour les contribuables.

Pas de sécurité sociale, pas d’indemnité de repas, pas de soins de santé ou tout autre avantage public ne seront accordés.

Tout abus provoquera la déportation.

5. Les étrangers peuvent investir dans ce pays, mais le montant doit s’élever au minimum à 40.000 fois la moyenne journalière de subsistance.

6. Si les étrangers achètent de l’immobilier les possibilités sont limitées.

Certains terrains, en particuliers les biens immobiliers disposant d’accès à l’eau courante, seront réservées  pour les citoyens nés ici.

7. Les étrangers ne peuvent pas protester chez nous.

Aucune manifestation, aucune utilisation d’un drapeau étranger, aucune organisation politique.

Aucune calomnie sur notre pays, le gouvernement et sa politique. Toute violation conduira à la déportation.

8. Si quelqu’un pénètre dans ce pays illégalement, il sera traqué sans merci.

Arrêté, il sera détenu jusqu’à ce qu’il soit expulsé. Tous ses biens sont saisis. 

Sans pitié, inhumain, trop dur et les droits de l’homme ??? 

Les règles ci-dessus ne sont pas celles d’un quelconque parti d’extrême droite français, ce sont les règles d’immigration en vigueur en Arabie Saoudite et dans les Émirats Arabes Unis ! 

  Etonnant n’est-ce pas ?

21/06/2011

Port du voile: le gouvernement Français se soumet… La République plie… et se rend…

C’était trop beau pour être vrai. Et ça ne pouvait pas durer. A un an des présidentielles, il y en a encore qui croient que les voix des « musulmans-Français » vont peser dans la balance… Il semble qu’il y en a encore qui n’ont pas compris la provocation de ces femmes voilées; ou qui font semblant de ne pas comprendre… C’est Marine qui doit bien se marrer…

FDF

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Luc Chatel souhaite proscrire le port du voile par les mères d’élèves lors des sorties scolaires, mais Matignon retarde la décision.

 

Faut-il refuser les mères voilées pour accompagner les sorties scolaires? La question divise le gouvernement. Luc Chatel, ministre de l’Éducation nationale, souhaite que les parents qui encadrent des visites de musées ou des colonies organisées par l’école publique soient soumis aux règles de neutralité, comme les fonctionnaires. Il avait annoncé au Figaro qu’il préparait une circulaire pour clarifier la situation. Mais depuis, la rédaction est suspendue.

Car le premier ministre s’y oppose. «Ce serait très douloureux pour les enfants de voir leurs mères écartées des sorties», avance-t-on à Matignon. Dès 2004, François Fillon, alors ministre de l’Éducation, avait refusé que la loi qui interdit le port de tenues religieuses ostensibles aux élèves de l’école publique soit appliquée aux parents qui intervenaient dans l’école. Ces dernières semaines, alors que le gouvernement examine les ajustements nécessaires pour que la laïcité soit mieux respectée dans la République, le premier ministre a réaffirmé sa position. «La loi sur l’école ne concerne que les élèves. Et il n’est pas sûr que les parents accompagnateurs aient le statut de collaborateurs occasionnels du service public», fait savoir son entourage.

Un été pour réfléchir

Au grand dam de Luc Chatel et de Claude Guéant qui auraient souhaité clarifier le statut de tous les collaborateurs occasionnels du service public, comme les parents, mais aussi les jurés. À ce jour, on les supposait neutres, mais aucun texte ne le spécifie. Ils ne sont juridiquement considérés comme des «collaborateurs occasionnels du service public» qu’en cas de contentieux ou d’accident. Le gouvernement s’est donné l’été pour examiner dans le détail toutes les situations et décider au besoin de mesures législatives.

Au sein de l’Éducation nationale, les professeurs sont globalement réticents à voir des parents qui affichent une croyance intervenir dans un rôle d’encadrement. Mais ils ne souhaitent pas se priver d’une occasion de se rapprocher de certaines familles, explique Patrick Gonthier qui dirige l’Unsa: «C’est un sujet difficile. Faut-il distinguer le petit foulard traditionnel de certaines femmes des groupes de mamans voilées militantes que l’on voit parfois? Il faut clarifier la règle, car, sinon, chacun va faire à sa manière. Et bien souvent, les professeurs contournent ces parents-là.» Le syndicat, qui rencontrera François Fillon mardi, est favorable à une interdiction, mais «il faudra prendre le temps de l’expliquer, de diffuser le message, avant de l’appliquer».

«C’est l’image de l’école de la République qui est en jeu», justifie Claudine Palaccio, la directrice de l’école primaire Joséphine-Baker à Pantin, qui a choisi d’écarter des sorties les parents qui affichent leurs convictions religieuses. Immédiatement taxée d’islamophobie, contestée par la FCPE, la directrice a choisi d’assumer. «L’école est laïque. S’ils interviennent dans une mission scolaire, les parents doivent être neutres. Autrement, ils viennent au conseil de classe, avec leur voile, leur turban, leur kippa, évidemment.» La directrice insiste: «J’impose la neutralité à tous les intervenants. J’ai fait enlever une grande croix d’une dame de cantine. Elle l’a très bien compris.»

«Pressions communautaires»

«On se retrouve dans la même situation que pour le foulard dans les années 1980. Ceux qui ne voulaient pas légiférer minimisaient, évoquaient quelques cas et les chefs d’établissement devaient se débrouiller seuls», rappelle Alain Seksig, ancien inspecteur de l’Éducation nationale, responsable de la laïcité au Haut-Conseil à l’intégration. «Aujourd’hui, chaque école fait sa politique. Dans certaines écoles, c’est la porte ouverte aux pressions communautaires.» Le HCI réclame d’ailleurs la neutralité des parents en mission pour l’école.

Les fédérations de parents sont, elles, divisées. La Peep aurait préféré que les parents intervenants dans l’école restent neutres. Tandis que la FCPE a pris position pour ces mères parfois exclues. Au-delà des fédérations, souvent politiques dans leurs décisions, l’affaire partage aussi les parents d’élèves. Certains se déclarent hostiles et d’autres jurent que «cela ne les dérange pas mais qu’il ne faut pas aller trop loin». En tout cas, explique une mère à Saint-Ouen, «c’est une question de principe, pas de personne».

Source: http://www.lefigaro.fr

30/04/2011

Strasbourg évolue: bravo !

Il y a vraiment de quoi s’insurger. C’est tout simplement inadmissible !!!

FDF

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Pour çà, on en trouve, de l’argent !!!


On n’a pas d’argent pour les routes , nos églises , nos écoles ; mais là pas de soucis

La très grande mosquée de Strasbourg : 1,5 million d’euros de subventions accordées par les collectivités locales sans compter le terrain (conseil régional, département, municipalité).

La grande mosquée de Strasbourg a désormais sa silhouette définitive. Une grue géante a déposé délicatement en son milieu l’armature de la haute coupole qui sera recouverte de cuivre.Le conseil régional d’Alsace a décidé d’accorder une nouvelle subvention de près de 180.000 €‚ pour la construction de la grande mosquée de Strasbourg. Cela porte à 682.522 € les subventions du conseil régional pour cette construction et à 1,5 million d’euros les subventions accordées par les collectivités locales (conseil régional, département, municipalité)..

Patrick Binder (FN) souligne que le conseil de fabrique de l’église Notre-Dame de la Paix de Saint-Louis a demandé une aide financière pour la restauration intérieure de cette église.

Réponse des services de la région : «Ce type d’intervention ne peut être pris en compte au titre des critères que s’est fixé le conseil régional en matière de conservation et de renouvellement du patrimoine.» 

 Super !!! nos églises s’effondrent par manque d’entretien et de budget. A la place s’érigent des mosquées!! bientôt il faudra changer de religion ! Bravo Bravo

 « Parce que l’obligation de subir, nous donne le droit de savoir. » Jean Rostand .

 C’est nous prendre pour des cons.

05/01/2011

Algérie: fanatiser dès le plus jeune âge…

Les petits algérois, comme ils disent, ils ne l’ont pas, le choix. Un pas de travers et c’est la punition assurée. Pour l’exemple.

En France, « issus de l’immigration », ils l’ont, le choix. Ce ne sont pas les mêmes écoles. C’est l’école de la rue, de la délinquance, de la violence, du racisme anti-blancs et anti-chrétien, voire du meurtre…

FDF

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Apprentissage du Coran et des matières scientifiques dans les mosquées
L’engouement des petits Algérois

« Beaucoup de citoyens profitent des vacances d’hiver pour envoyer leurs jeunes enfants apprendre le Coran et les préceptes de la religion musulmane dans les écoles coraniques. Celles-ci sont ouvertes dans plusieurs mosquées de la capitale. Gratuites, elles acceptent les enfants à partir de 4 ans.

La mosquée El Ouma, à Bologhine (Alger) fait partie de ces lieux de culte qui ont ouvert des classes pour l’apprentissage du Coran. Son imam, Hamdane Sefadj, nous donne quelques  détails sur le programme suivi durant l’année par les apprenants :

«Il y a trois niveaux : le préscolaire, le moyen et le supérieur. Notre première étape est d’apprendre  aux enfants de 4 à 5 ans des versets coraniques faciles à assimiler, le calcul et l’éducation civique». Le second niveau, explique notre interlocuteur, est consacré à la connaissance de la vie du prophète Mohamed.

«Cet enseignement s’adresse aux élèves âgés entre 8 et 16 ans», ajoute-t-il. Le troisième niveau est réservé aux  gens qui ont appris par cœur les 60 «hizb» du Coran, soit la totalité du contenu du livre sacré, qui sont appelés à leur tour à enseigner avec la conduite et les conseils de leur maître.

Mémed, enseignant à la mosquée, nous a déclaré qu’il a appris le Coran à l’âge de 12 ans, par son maître Cheikh Ben Youcef.

«J’enseigne le saint Coran ainsi que la langue arabe depuis 15 ans».
Mohamed, un autre éducateur de la mosquée El Ouma, nous a confié qu’il utilise une gestuelle amusante pour intéresser les jeunes enfants afin qu’ils assimilent et comprennent les cours qu’il leur dispense.

Aller à la mosquée au lieu d’aller à l’école
Plus de 20 enfants du quartier fréquentent la mosquée du quartier. «Je préfère que mon petit garçon soit à la mosquée, puisque c’est la même méthode utilisée dans les écoles», nous a déclaré une mère de famille. Selon l’imam de la mosquée de Omar Ibn El Khattab, à Alger-Centre, «les jeunes enfants qui fréquentent nos cours sortent avec le niveau des enfants de  troisième et quatrième année scolaire».

D’après quelques parents, la mosquée joue aussi le rôle d’école de soutien, qui aide leurs enfants dans différents domaines et surtout la période des examens. Un personnel bénévole qualifié donne des cours supplémentaires et gratuits dans plusieurs matières telles que les mathématiques, les sciences naturelles, la physique, etc.

La mosquée est ouverte à tous. Malgré le manque de moyens, elle a réussi à attirer beaucoup de jeunes apprenants. Imad, un jeune enseignant bénévole, nous a déclaré être satisfait des résultats obtenus. «Dispenser des cours aux enfants pendant les vacances, c’est aussi leur éviter de rester à la rue et d’apprendre les mauvaises habitudes», nous dit-il. »

Lu sur: http://www.letempsdz.com/

04/12/2010

« Réformer le programme d’histoire enseigné dans les écoles françaises. »

Minorités… Quand on pense que les Etats Unis ne sont composés que de « minorités »… C’est grave. Alors ça, c’est à lire…

FDF

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Exclusivité Défrancisation

Document Wikileaks : l’ambassade des États-Unis à Paris développe une stratégie d’engagement pour les minorités afin de promouvoir ses intérêts nationaux. Ce document diplomatique exceptionnel et classé confidentiel qu’un lecteur nous a fourni décrit la stratégie utilisée en France par l’ambassade américaine pour développer la discrimination positive et le métissage afin je cite « de promouvoir les intérêts nationaux américains ». La partie pratique se découpe en 7 étapes appelées « Tactiques », toutes détaillées dans ce document datant de janvier 2010.


Un immense merci à San Juan, CB, Monsieur L, Hychtwn et Parpaillot.
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Document Wikileaks
Ambassade américaine de Paris / Stratégie d’engagement pour les minorités

C O N F I D E N T I A L SECTION 01 OF 04 PARIS 000058
FM AMEMBASSY PARIS
TO RUEHC/SECSTATE WASHDC PRIORITY 8075

De plus, nous continuerons et renforcerons notre travail avec les musées français et les enseignants pour réformer le programme d’histoire enseigné dans les écoles françaises.

1. Préambule : restant fidèle à l’histoire unique de la France et de ses traditions, l’ambassade de Paris a créé une stratégie d’engagement pour les minorités qui englobe, entre autres groupes, les populations musulmanes françaises et répond aux objectifs du REFTEL A. Notre but est de motiver la population française à tous niveaux à augmenter ses efforts en vue d’atteindre ses propres idéaux égalitaires, et donc de promouvoir les intérêts nationaux américains. Alors que la France est à juste titre fière de son rôle phare en matière de démocratie et de champion en droits de l’homme et du respect des lois, les institutions françaises ne se sont pas révélées être assez flexibles pour s’ajuster à une démographie de plus en plus hétéroclite. Nous pensons que si la France, à long terme, ne propose pas assez d’opportunités et ne reflète pas fidèlement la représentation politique de ses minorités, elle deviendra un pays plus faible et plus divisé, peut-être plus enclin à des crises et à un repli sur soi, et donc un allié moins intéressant. Pour encourager les efforts français à supprimer les discriminations envers les minorités, nous nous engagerons dans un discours positif, montrerons clairement le bon exemple, mettrons en place une stratégie agressive de communication envers les jeunes, encouragerons les discours modérés, propagerons les meilleurs pratiques, approfondirons notre compréhension des causes fondamentales d’inégalités en France. Nous regrouperons aussi les efforts des différentes sections de l’ambassade, en visant des dirigeants influents dans notre entourage proche, et évaluerons à la fois des indicateurs concrets et abstraits du succès de notre stratégie.

Contexte : La crise de la représentation en France

2. La France a depuis longtemps été une championne dans le domaine des droits de l’homme et du respect des lois, à la fois sur son territoire national et à l’étranger, et se perçoit avec raison comme un leader historique au sein des nations démocratiques. Cette histoire et cette perception nous serviront très bien lorsque nous mettrons en œuvre la stratégie détaillée ici, dans laquelle nous presserons la France de mieux appliquer les valeurs démocratiques qu’elle défend. Cette stratégie est nécessaire parce que les institutions françaises ne se sont pas montrées assez flexibles pour s’ajuster à la démographie de plus en plus hétéroclite. Très peu de minorités tiennent des postes de dirigeants au sein des institutions publiques françaises. Comme le chantre de la diversité du président Sarkozy, Yazid Sabeg, l’a dit à l’ambassadeur Rivkin en décembre, l’Assemblée Nationale « sert de miroir de la crise de la représentation en France » (REFTEL B). L’Assemblée Nationale, parmi ses 577 députés, compte un seul représentant noir de métropole, mais ne possède pas de députés d’origine arabe ou musulmane, alors que cette minorité représente approximativement 10% de la population. Il y a deux sénateurs musulmans (sur 343), mais pas de noirs, et seulement quelques sénateurs proviennent de minorités ethniques ou religieuses. Sabeg a également noté qu’aucun des 180 ambassadeurs français n’est noir, et seulement un est de descendance nord-africaine. Malgré la nomination par Sarkozy de ministres comme Rachida Dati, Fadela Amara et Rama Yade, les minorités sont toujours tenues à l’écart des institutions publiques. Dans les média français la couleur reste en majorité le blanc, avec quelques modestes avancées dans la représentation à la caméra lors des journaux télévisés. Parmi les grandes écoles françaises, nous n’avons que l’exemple de Sciences Po qui a pris des mesures sérieuses pour intégrer les minorités. Bien qu’un peu mieux représentées dans les organisations privées, les minorités de France dirigent peu d’entreprises et de fondations. La réalité de la société française défie donc les idéaux égalitaires de la nation. La politique élitiste et « familiale » est toujours de mise dans les institutions publiques, alors que l’extrême droite et les tendances xénophobes regroupent une petite (mais parfois influente) minorité. Ce document va explorer d’autres origines des barrières sociales, politiques et économiques qui empêchent le développement des minorités en France.

3. La France subit des conséquences néfastes alors que ses institutions dirigeantes n’arrivent pas à représenter la composition de la population. Nous pensons que la France n’a pas bénéficié totalement de l’énergie, de la motivation et des idées de ses minorités. Malgré certaines assertions françaises de servir de modèle d’assimilation et de méritocratie, des inégalités indéniables ternissent l’image globale de la France et diminuent son influence à l’étranger. A notre avis, un échec non corrigé d’amélioration des opportunités et de fournir une représentation politique fidèle de ses minorités peut faire de la France un pays plus faible et plus divisé. Les conséquences géopolitiques de cette faiblesse et division affecteront négativement les intérêts américains, car nous avons besoin de partenaires forts au coeur de l’Europe pour nous permettre de promouvoir les valeurs démocratiques. De plus, l’exclusion sociale a des conséquences pour la France, incluant l’aliénation de certaines parties de la population, ce qui peut alors contrecarrer nos efforts pour combattre les réseaux mondiaux d’extrémistes violents. Une politique française développée et intégrée nous servira à promouvoir nos intérêts dans la propagation de la démocratie et améliorera la stabilité mondiale.

Une stratégie pour la France : nos objectifs

4. Le but principal de notre stratégie de sensibilisation des minorités est d’engager la population française à tous niveaux à réaliser ses propres idéaux égalitaires. Notre stratégie comporte trois grandes cibles : (1) la majorité, particulièrement les élites, (2) les minorités, avec une attention particulière à leurs dirigeants, (3) la population générale. En employant les sept tactiques décrites ci-dessous, nous visons à (1) améliorer la perception, parmi les élites françaises, des bienfaits de l’amélioration des opportunités et des coûts du maintien du statu quo ; (2) améliorer les compétences et renforcer la confiance des dirigeants des minorités qui cherchent à augmenter leur influence ; (3) communiquer à l’ensemble de la population que nous admirons particulièrement la diversité et le dynamisme de sa population, en mettant en avant les avantages à profiter de ces bienfaits en améliorant les opportunités pour tous.
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Tactique 1 : S’engager dans un discours positif

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5. Premièrement, nous focaliserons notre discours sur le problème des discriminations. Lorsque nous nous exprimerons en public sur la communauté des démocraties, nous mettrons en avant, parmi les qualités de la démocratie, le droit d’être différent, la protection des droits des minorités, la valeur de l’égalité des chances, et l’importance d’une représentation politique fidèle. Lors des rencontres privées, nous poserons délibérément des questions sur l’égalité des chances en France à des haut-dirigeants qui ne sont pas issus de minorités. Plutôt que de se retirer des discussions qui impliquent les deux vaches sacrées de France (la laïcité et le communautarisme), nous demanderons directement aux dirigeants français le rôle que pourrait jouer leur terminologie et leurs concepts intellectuels dans la promotion (ou la diminution) de l’égalité des chances. Nous nous efforcerons de montrer les coûts pour la France de la sous-représentation des minorités, en mettant en évidence les bénéfices que nous avons accumulés avec le temps, en travaillant dur pour supprimer les différents problèmes rencontrés par les minorités américaines. Nous continuerons à adopter, bien sûr, une attitude humble par rapport à notre propre situation aux Etats-Unis, mais continuerons néanmoins à souligner les bénéfices innombrables venant d’une approche proactive à une grande inclusion sociale, complémentant nos partenaires français sur toute mesure positive qu’ils prennent. De plus, nous continuerons et renforcerons notre travail avec les musées français et les enseignants pour réformer le programme d’histoire enseigné dans les écoles françaises, pour qu’ils prennent en compte le rôle et les perspectives des minorités dans l’histoire de France…

Suite et source: http://www.defrancisation.com/

26/11/2010

Et l’on stigmatise avec l’exclusion. La belle affaire…

Là, moi, j’applaudis. J’applaudis l’Académie de Toulouse et ses responsables. Il faut bien qu’un jour, ces gens là (les muzz) apprennent que la provocation ne peut durer ad vitam eternam… La provocation conduit inéluctablement à l’exclusion… Et après on braille sur l’exclusion. Quel beau prétexte… Pourvu que cette sanction fasse jurisprudence.

FDF

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Tournefeuille. L’enseignante musulmane licenciée pour refus d’ôter son voile

En poste à Tournefeuille, dans la Haute-Garonne, la nouvelle enseignante a refusé de retirer son voile./Photo DR
En poste à Tournefeuille, dans la Haute-Garonne, la nouvelle enseignante a refusé de retirer son voile./Photo DR


Une enseignante stagiaire de la banlieue toulousaine risque d’être bientôt licenciée pour avoir refusé de retirer son voile islamique devant ses élèves du primaire. Une commission réunie le 19 novembre en formation disciplinaire avec des représentants des syndicats enseignants et de l’administration a proposé au recteur le licenciement.

Cette commission a une vocation consultative et c’est au recteur qu’il appartient maintenant de trancher, a priori sous quelques jours.

«Dans la pratique, les recteurs, notamment en matière disciplinaire, ont plutôt tendance à suivre les recommandations de la commission administrative paritaire départementale», explique au rectorat, Michel Montredon, tout en invitant à la prudence.

L’enseignante a réussi son concours en 2002, mais n’a pas été appelée à faire la classe en raison de différents congés maternité et congés parentaux. Convertie entre-temps à l’islam et arrivée au terme de ses congés, elle s’est présentée à la rentrée de cette année dans une école primaire de Tournefeuille pour prendre en charge une classe. Les responsables de l’établissement lui ont demandé de retirer son voile, ce qu’elle a refusé de faire.

Premier cas constaté dans l’académie de Toulouse

«C’est vraisemblablement le premier cas que nous avons eu à connaître dans l’académie de Toulouse, (avec) une enseignante et non pas une assistante», dit-on au rectorat. L’inspecteur d’académie Jean-Louis Baglan a confirmé ne pas avoir été confronté à des cas semblables en Haute-Garonne.

«Je ne sais pas dans quel sens le recteur va se prononcer; ce que je sais, c’est qu’il est extrêmement soucieux du respect des principes de laïcité et que, sachant que c’est le premier cas, il sera très attentif à la décision à prendre, qui fera jurisprudence», précise-t-on au rectorat.

Cette affaire rappele celle d’une employée voilée d’une crèche de Chanteloup-Les vignes , dans les Yvelines. La jeune femme, licenciée en début de mois, poursuit l’établissement devant les prud’hommes.

L’académie de Toulouse a décidé au nom de la laïcité de licencier une enseignante stagiaire qui refusait de retirer son voile islamique pour faire la classe à des élèves de primaire, a annoncé le recteur vendredi.

« J’ai décidé de suivre l’avis de la commission administrative paritaire, qui avait été émis à l’unanimité, et donc de procéder à l’exclusion de service de l’intéressée », a dit le recteur, Olivier Dugrip, à l’AFP.

Cette exclusion est définitive et revient à un licenciement, a-t-il précisé.

A sa connaissance, il s’agit d’une première dans l’académie de Midi-Pyrénées.

La jeune femme, dont l’identité n’a pas été révélée, n’a manifesté jusqu’alors aucune intention de contester cette décision. Au contraire, elle l’a acceptée « avec beaucoup de dignité et de responsabilité, elle n’a montré aucune volonté de monter cette affaire en épingle, elle savait ce que sa décision impliquait dans sa vie professionnelle et publique », a affirmé le directeur de la communication du rectorat, Michel Montredon.

Le recteur a invoqué « le principe de laïcité qui est affirmé par l’article premier de la Constitution et qui se traduit pour les fonctionnaires par une obligation de neutralité », laquelle leur interdit d’exprimer ou de matérialiser leurs croyances religieuses.

« Or cette personne se présentait revêtue d’un foulard recouvrant l’ensemble de sa chevelure, elle refusait par ailleurs de serrer la main de ses collègues ou des personnes de sexe masculin au nom de ses convictions religieuses », a-t-il dit.

Selon des informations concordantes, l’enseignante a réussi son concours en 2001 (et non 2002 comme rapporté précédemment), mais n’avait pas été appelée à faire la classe en raison de différents congés maternité et congés parentaux.

Convertie entre-temps à l’islam et arrivée au terme de ses congés, elle s’est présentée à la rentrée de cette année dans une école primaire de Tournefeuille, dans la proche banlieue de Toulouse, pour prendre en charge une classe.

Les responsables de l’établissement lui ont demandé de retirer son voile mais elle a refusé.

Une commission ad hoc réunie le 19 novembre en formation disciplinaire avec des représentants des syndicats enseignants et de l’administration a proposé au recteur le licenciement.

C’est cet avis que le recteur a suivi.

Devant le conseil de discipline, « elle a constamment affirmé ses convictions religieuses, elle a admis les conséquences de sa position, cela n’a fait aucune difficulté, ni pour elle, ni pour les membres de la commission, puisqu’ils se sont prononcés à l’unanimité », a-t-il dit.

Même s’il s’agit d’une première dans la région, la décision ne fera pas jurisprudence, a-t-il souligné, parce qu’il « y a déjà une jurisprudence clairement établie, il y a eu d’autres situations de ce type » ailleurs en France. « C’est l’application pure et simple du droit » et ce cas « s’inscrit dans une ligne jurisprudentielle qui est toujours la même », celle de l’exclusion, a-t-il dit.

Source: http://tinyurl.com/25gvw49

25/11/2010

La charia enseignée au Royaume Uni: c’est pas du pipo…

Et c’est grave…


FDF

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Merci à Denis Bloud…

26/10/2010

Tiens, c’est nouveau: l’école peine à intégrer les enfants d’immigrés…

  • Intégration; intégration. Encore faudrait il qu’ils aient envie de s’intégrer…
  • Je dirais régression, plutôt. Ce n’est pas nouveau: l’immigration n’a jamais contribué à revaloriser une nation. C’est tout le contraire qui se passe en France; comme dans tous les pays civilisés… On se demande pourquoi notre patrie dégringole... La volonté d’intégration voulue par certains de nos politiques s’est soldée par un échec retentissant. Nous sommes en train de le payer aujourd’hui. Et on ne peut plus faire marche arrière; quoi que…

  • FDF
    Les élèves issus de l'immigration représentent 57% des mineurs en Seine-Saint-Denis, 41% à Paris, ou encore 40% dans le Val-de-Marne et le Val d'Oise.
    Les élèves issus de l’immigration représentent 57% des mineurs en Seine-Saint-Denis, 41% à Paris, ou encore 40% dans le Val-de-Marne et le Val d’Oise. Crédits photo : STEPHANE DE SAKUTIN/AFP
  • Le Haut conseil à l’intégration estime, dans un rapport qu’il va remettre au premier ministre, que l’école peine à intégrer les enfants d’immigrés.

     

    L’école peine désormais à intégrer les enfants d’immigrés, affirme le Haut Conseil à l’intégration (HCI) dans un document de travail que Le Figaro présente ici et qui sera remis au gouvernement en novembre. Durant plusieurs mois, le HCI a rencontré des professionnels de l’Education nationale et s’inquiète de voir l’«espace scolaire fortement exposé aux tensions ethno-culturelles. (…) Elle est aujourd’hui le lieu de revendications nouvelles qui ressortent de l’expression du communautarisme, d’une identité religieuse, voire, au rejet de la culture et des valeurs de la République française».

    L’intégration par l’école «ne va plus de soi». Car les élèves d’origine étrangère se trouvent concentrés. Alors qu’ils représentent 20% de la jeunesse française, ils constituent 57% des mineurs en Seine-Saint-Denis, 41 % à Paris, 40% dans le Val-de-Marne et le Val d’Oise.

    «Cette surreprésentation dépasse les 60% dans vingt communes, pour l’essentiel en Ile-de-France. En 2005, en Seine-Saint-Denis, un jeune sur cinq est d’origine maghrébine et plus d’ un sur six est originaire d’Afrique subsaharienne. Cette concentration de jeunes issus de l’immigration est encore plus forte à l’échelon communal, et dans certaines villes comme Clichy-sous-Bois, Aubervilliers ou La Courneuve, les trois quart de la jeunesse est d’origine étrangère».

    Les cours d’histoire chahutés

    Les effets démographiques de l’immigration ne se font pas sentir qu’en région parisienne. C’est aussi le cas de l’ouest de la France dans des villes comme Angers ou Blois. Dans cette dernière, un tiers des jeunes est aujourd’hui d’origine immigrée, contre un sur vingt en 1968. Plus de 80% d’entre eux sont d’origine maghrébine, subsaharienne et turque. «Aussi, certains établissements scolaires accueillent une majorité d’élèves d’origine immigrée».

    Dans ces classes, les revendications identitaires sont fortes. Certains se disent «100% musulmans». Les cours d’histoire sont parfois chahutés lorsque l’on parle du Moyen Orient, de la Shoah ou de religion. Les sciences naturelles sont également contestées au profit d’une vision religieuse de la création. Cet «effet ghetto» nuit clairement à l’apprentissage. Les élèves d’origine étrangère pâtissent également de la précarité économique qui touche souvent leurs familles et du manque de diplômes de leurs parents, note le rapport. Les aides à la scolarité se sont multipliées : elles sont souvent utiles, mais mal coordonnées, selon le HCI, qui préconise l’entrée en maternelle obligatoire, afin d’équilibrer les chances scolaires. Aujourd’hui, certains enfants arrivent en primaire avec seulement 400 mots de vocabulaire, contre 1500 pour les enfants de cadres…

Source: http://tinyurl.com/29pmr4x

06/10/2010

Aider les écoles catholiques à intégrer les musulmans…

Autant leur offrir nos écoles catholiques pour les transformer en écoles coraniques et favoriser ainsi l’islamisation de notre France… Nos enseignants sont largement incités à ne pas froisser leurs élèves muzz… Les élèves musulmans et leurs parents vont bientôt INTERDIRE (c’est déjà fait, dans certaines écoles) le crucifix dans les salles de classe. Honteux !!!

FDF

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Le nombre d’élèves de confession musulmane est en hausse dans ces établissements privés, où ils se retrouvent même parfois en majorité. L’enseignement catholique distribue à ses enseignants un manuel de «bonne conduite».

Dans un lycée catholique, un groupe d’élèves de Terminale refuse d’aller à la piscine pendant le Ramadan sous prétexte qu’ils risquent d’avaler de l’eau. Invoquant une raison d’ordre médical, leurs parents réclament une dispense d’activités sportives. Malaise du côté du corps enseignant : ces activités donnent lieu à une évaluation qui compte pour l’obtention du baccalauréat. Autre lieu, autre scène : une école primaire catholique accueille plus de 200 élèves. Parmi eux, environ 70% sont de confession musulmane. Or, le chef d’établissement décide d’installer une crèche dans le hall pendant l’Avent. Un parent musulman exige alors le retrait de celle-ci, «un musulman ne pouvant pas entendre que Jésus est Fils de Dieu.»

Les écoles catholiques ne savent pas toujours quelle attitude adopter face à l’islam. Et ce d’autant qu’elles y sont de plus en plus confrontées avec un nombre d’élèves musulmans en hausse ces dernières années. Ils sont même devenus majoritaires dans certaines écoles, notamment à Villeurbanne (Rhône), Marseille ou Mantes-la-Jolie (Yvelines). Un phénomène récent sur lequel a décidé de se pencher le Secrétariat général de l’enseignement catholique (SGEC) en partenariat avec le Service pour les relations avec l’islam (SRI) de la Conférence des évêques. Pendant deux ans, des chefs d’établissements et des experts ont ainsi planché sur cette question. Résultat : un dossier intitulé «Musulmans en école catholique» et chargé d’apporter des conseils pratiques et des outils théoriques aux enseignants. La direction de l’enseignement catholique le diffuse depuis la rentrée auprès de ses équipes éducatives.

«Rester ouvert sans se renier»

Quelles raisons poussent aujourd’hui certains parents musulmans à se tourner vers les écoles catholiques ? La loi, déjà. Elle les y autorise depuis 1959, au motif qu’aucun établissement catholique sous contrat ne peut refuser un élève à cause de sa religion. «Ils pensent aussi que dans ce type d’établissement, au moins, on parlera de Dieu aux jeunes. D’autres y voit également une formation de bon niveau pour leurs enfants», explique Pierre Robitaille, l’animateur du groupe de travail sur les «Musulmans en école catholique» pour la SGEC. Parmi les cinquante premiers lycées du Palmarès Figaro 2010 figurent en effet 80% d’établissements privés, alors même que ceux-ci ne représentent que 20% de l’effectif général. Sans compter que le privé est un bon moyen de contourner la loi de 2004 sur les signes religieux à l’école puisque celle-ci ne s’applique qu’au public.

Dans le dossier, seize fiches pratiques sont donc mises à disposition des enseignants pour leur permettre de mieux appréhender la religion musulmane et d’en comprendre les mécanismes : «Vocabulaire islamique élémentaire», «Fêtes et évènements en Islam», «Place traditionnelle de la femme en société musulmane» ou encore «Le voile islamique». En plus, le rapport aborde quatorze cas concrets déjà rencontrés dans des écoles et y apporte des «pistes de réflexion et d’action». Car le défi de l’enseignement catholique ici est bien de parvenir à rester ouvert à tous sans pour autant se renier. «La foi doit s’exprimer, mais on ne cherche pas pour autant à faire du prosélytisme, prévient Pierre Robitaille. Attention toutefois, si l’ouverture aux autres compte, les enseignants doivent aussi être prudents afin d’éviter que certaines situations ne deviennent ingérables». En témoigne ce geste d’une directrice qui a proposé à des lycéens musulmans une salle pour prier, afin qu’ils évitent de se faire mouiller par la pluie dans la cour de l’école. Ils l’ont transformée en salle de prière et y invitent parfois des personnes extérieures à l’établissement pour prier avec eux. Depuis, la directrice ne parvient plus à utiliser cette pièce pour d’autres activités.

«L’idée est que les élèves d’autres confessions religieuses pratiquent plutôt leur religion à l’extérieur de l’école, avec des exceptions pour les internats. Dans ces derniers, on peut mettre des salles polyvalentes à la disposition des jeunes, mais elles ne doivent pas se transformer en salle dédiée à la prière, souligne l’animateur du groupe de travail sur «Les Musulmans à l’école». Nous avons une mission d’Eglise. Nous ne sommes pas un self des religions !»

source : lefigaro.fr

22/05/2009

Enseignante poignardée – Une collègue témoigne.

Filed under: Uncategorized — francaisdefrance @ 17:47
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