Francaisdefrance's Blog

10/01/2012

Bravo au maire de Marignane !!!

Un simple vidéo d’un discours du maire de Marignane que l’on aimerait entendre aussi de la part de beaucoup de ses collègues de France.

FDF

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Ici: http://tinyurl.com/76dlkej

Merci à Henri…

Source: http://lechevalierfrancois.over-blog.com/

18/07/2011

Soldats morts au combat à l’Etranger: « on » a trouvé une solution…

Mais pas celle que beaucoup espèrent: le retour de nos soldats; vivants…

Mieux vaut tard que jamais. Mais il a fallu plus de soixante soldats Français tués pour se rende enfin compte que c’est pour la France qu’ils sont tombés. C’est dément.

Le peuple en avait certainement marre de voir Sarkö « pleurer » à chaque fois devant les dépouilles des hommes qu’il avait envoyés au combat (surtout en pleine campagne présidentielle; ça la fout moche). Le président lui-même en avait peut-être aussi marre de remettre des décorations à titre posthume. Le « problème » est réglé.

J’ai honte d’être Français, parfois…

FDF

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Un monument pour les soldats français morts à l’extérieur…



L’ancien chef d’état-major Bernard Thorette travaille à la construction d’un monument dédié à la mémoire de ces disparus. En attendant, Nicolas Sarkozy rendra hommage mardi aux Invalides aux militaires morts en Afghanistan.

Le 30 octobre 2010, les familles de soldats morts en Afghanistan défilent dans Paris, de Denfert Rocheraut au Champ de Mars. Au pied du mur pour la paix, elles déposent des gerbes de fleurs et allument des bougies.

Ces familles pourront bientôt se recueillir autour d’un monument dédié à la mémoire de leur disparus. Le monument dédié à tous les soldats morts en opérations extérieures. Dans le jargon, ils sont appelés «la nouvelle génération du feu». La première «génération du feu» désigne les soldats de la guerre 14-18.

«La nation doit reconnaître le sacrifice de ses soldats»

Il existe déjà à Pau un monument en l’honneur des soldats morts dans l’attentat de Drakkar en 1983 au Liban et à Verdun un monument aux morts tombés durant la guerre de Bosnie (1992-1995).

«Ce n’est pas suffisant. La nation doit reconnaître le sacrifice de ses soldats, explique Bernard Thorette, ancien chef d’état-major de l’armée de terre chargé par la Défense de réfléchir au projet. Le citoyen, le passant doivent se rendre compte que des soldats meurent pour son pays.»

Portant sur la période post-1962, ce mémorial honorera les soldats (environ 600) morts au Tchad, Liban, Bosnie, Afghanistan, etc. À chaque nouveau décès sur un front extérieur, le nom sera ajouté. Les associations des familles de soldats lui ont «toutes» fait part de leur enthousiasme, assure le chargé de mission.

«Je trouverai le financement»

C’est Elrik Irastorza, l’actuel chef d’état-major de l’armée de terre qui en a eu l’idée. Il en a fait part à Gérard Longuet, le ministre de la Défense. Le 6 avril , celui-ci charge Bernard Thorette d’une mission de réflexion, en lui précisant de ne pas se soucier du financement. “Je le trouverai”, lui assure Gérard Longuet.

Pour rédiger les listes de noms qui figureront sur le monument, l’ancien chef d’état major travaille en partenariat avec le ministère de la Défense, la Direction de la mémoire et du patrimoine et l’état-major des armées. Certains conflits font débat. «Nous nous demandons encore si la guerre de Corée doit en faire partie», explique Bernard Thorette.

Un monument unique au monde…

Suite et source: http://tinyurl.com/6ay6cx6

09/12/2010

Geert Wilders: en 2008, déjà, il nous prévenait.

Discours de Geert Wilders au Parlement Danois. Vidéo.

FDF

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Lire: http://www.youtube.com/watch?v=LrLmd8n7Qfg

29/11/2010

Boumédiène le visionnaire…

Nous sommes en 2010. Vous allez comprendre bien des choses rien qu’avec ce dessin. Passez faire un tour à la Caisse d’Allocs du coin. Et regardez bien qui y attend son tour…

FDF

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25/11/2010

Un bon dessin vaut mieux qu’un long discours…

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Retraites…

Voir: Mieux_vaut_un_bon_dessin__MZ

05/10/2010

Geert Wilders à Berlin: la traduction de son discours.

Vous l’attendiez tous; la voici.

FDF

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Geert Wilders à Berlin : « L’islam est le communisme contemporain ».

Wilders avait été invité à prendre la parole par le député allemand René Stadkewitz, ce qui a valu à ce dernier d’être expulsé de son parti.


« Les dirigeants européens ont décidé que la civilisation occidentale devait disparaître, et l’islamisation est la voie qui y mène. L’Europe cherche à faire payer à ses enfants le prix des horreurs attribuables aux générations précédentes. Geert Wilders rassemble les forces qui s’opposent à cette vision suicidaire de l’avenir et qui luttent pour la préservation de la démocratie et de la liberté.

Berlinwilders1______________________________

Cher Amis, je suis heureux d’être aujourd’hui à Berlin. Comme vous le savez, cette invitation de mon ami René Stadtkewitz, lui a coûté son statut de membre de la CDU de Berlin. Cependant, René ne s’est pas laissé intimider. Il n’a pas trahi ses convictions. Son éviction fut pour René l’occasion de fonder son propre parti politique. René, je te remercie pour cette invitation et te souhaite le succès que tu mérites avec ton nouveau parti.

Mes amis, comme vous le savez peut-être, ces dernières semaines furent pour moi épuisantes. En début de semaine nous avons pu former avec succès un gouvernement minoritaire avec les libéraux et les chrétiens démocrates, soutenus par mon parti. Cela est un événement historique pour les Pays Bas. Je suis fier d’avoir pu y contribuer. En ce moment même, dans le cadre d’une conférence, les chrétiens démocrates doivent décider leur entrée dans cette coalition.

S’ils le font, nous serons en mesure de reconstruire notre pays, de garder notre identité nationale et d’offrir à nos enfants un futur meilleur. Malgré mon agenda chargé, c’était pour moi une obligation de venir à Berlin, car, l’Allemagne aussi a besoin de défendre son identité allemande et de résister à l’islamisation de l’Allemagne.

La Chancelière Angela Merkel déclare que l’islamisation de l’Allemagne est inévitable. Elle appelle les citoyens à s’adapter aux changements provoqués par l’immigration. Elle souhaite que vous vous adaptiez à cette situation.

Le Président de la CDU déclare – je cite : « Les mosquées deviendront plus qu’avant une partie du paysage de nos villes. » fin de la citation. Mes amis, nous ne devons pas accepter l’inacceptable, sans essayer de tourner cette page. Il est notre devoir de politique, de préserver notre nation pour nos enfants.

J’espère que le mouvement de René sera autant couronné de succès que mon propre parti Partij voor de Vrijheid, comme celui de Oskar Freysinger, la Schweizerische Volkspartei en Suisse, ou celui de Pia Kjaersgaards, le Dansk Folkeparti au Danemark et autres mouvements du genre. Ma très chère amie, Pia, déclarait récemment à l’invitation de la Sverigedemokraterna : « Je ne suis pas venue, afin de me mêler de la politique intérieure suédoise. Cela est l’affaire des Suédois. Non, je suis venue car, malgré des différences certaines, le débat Suédois me fait penser au débat que nous avons déjà mené depuis 15 ans au Danemark. Et, je suis venue en Suède, car cela concerne aussi le Danemark. Nous ne pouvons pas rester assis là, les bras tombants et être des témoins muets du développement politique de la Suède. »

Ceci est valable pour moi en tant que Néerlandais concernant l’Allemagne. Je suis ici, parce que l’Allemagne est pour les Pays Bas et le reste du monde de grande importance parce que, sans un partenaire allemand fort, le « International Freedom Alliance » « Alliance Internationale pour la Liberté » ne pourra jamais être portée sur les fonds baptismaux. Mes chers amis, demain est le jour de l’unification allemande. Demain, depuis exactement vingt ans, votre grande nation se réunifiait, suite à la faillite de l’idéologie communiste. Le jour de la réunification de l’Allemagne est un jour important pour toute l’Europe.

L’Allemagne est la plus grande démocratie d’Europe. L’Allemagne est le moteur économique de l’Europe. La prospérité et le progrès de l’Allemagne sont nécessaires pour nous tous car, la prospérité et le progrès de l’Allemagne est une condition pour la prospérité et le progrès de l’Europe. Cependant, si je suis aujourd’hui devant vous, c’est pour vous mettre en garde d’un danger de séparation. L’identité nationale de l’Allemagne, sa démocratie, sa prospérité économique sont menacées par l’idéologie politique de l’islam.

En 1848, Karl Marx inaugurait son manifeste avec cette phrase désormais célèbre : « Un fantôme entoure Europe, le fantôme du communisme. » De nos jours, c’est un autre fantôme qui entoure l’Europe. C’est le fantôme de l’islam. Ce danger est également politique. L’islam n’est pas seulement une religion, comme beaucoup le pensent : l’islam est avant tout et surtout une idéologie politique.

Cette constatation n’est pas nouvelle. Je voudrais citer à partir de ce bestseller et la série télévisée de la BBC ; The Triumph of the West, (Le Triomphe de l’Occident) ce qu’écrivait le très réputé historien d’Oxford, J.M. Roberts en 1985 :

« Alors que nous parlons sans précaution de l’islam, comme d’une ‘religion’, ce mot véhicule beaucoup de significations intermédiaires, en particulier dans l’histoire de l’Europe de l’ouest. Le musulman est d’abord et avant tout le membre d’une communauté, le disciple d’un chemin bien précis. Le partisan d’un système de droit bien précis et qui revendique une opinion théologique bien précise. » Fin de la citation.

Le professeur Flamand, Urbain Vermeulen, qui fut le président du European Union of Arabists and Islamicists, souligne également que « l’islam est d’abord un système juridique, une loi » avant d’être une religion. Fin de la citation.

L’historien politique Américain, Mark Alexander écrit, je cite : « L’erreur majeure est de considérer l’islam comme une autre des grandes religions mondiales. Ce n’est pas ainsi que nous devons réfléchir. L’islam est politique, sinon, il n’est rien. Cependant, bien évidemment qu’il est politique avec une dimension spirituelle …, qui rien n’arrêtera, jusqu’à ce que l’occident disparaisse, jusqu’à ce que l’occident soit réellement, totalement islamisé. » fin de citation.

Cela ne sont pas uniquement des déclarations des adversaires de l’islam. Des intellectuels musulmans disent aussi la même chose. Pour ceux qui ont lu le coran, la sira et les hadithes, il n’y a aucun doute sur la nature de l’islam. Abdul Ala Maududi, un influent penseur pakistanais du 20ème siècle a écrit, je le cite tout en soulignant que ce ne sont pas mes mots, mais ceux d’un savant influent islamique : « L’islam n’est pas seulement une conviction religieuse, ‘mais’ une idéologie révolutionnaire et le Jihad se rapporte à ce combat révolutionnaire, partout, autour de cette terre, à détruire tous les Etats et gouvernements qui s’opposeront à l’idéologie et au programme de l’islam. » fin de citation.

Ali Sina, un apostat Iranien, qui vit au Canada, mentionne qu’il y a une règle d’or au cœur de chaque religion – que nous devons traiter les autres, comme nous aimerions qu’ils nous traitent. En islam, cette règle ne vaut que pour les frères de croyance, pas pour les infidèles.

Ali Sina déclare – je cite – « Les raisons pour lesquelles je suis contre l’islam, ne sont pas parce que c’est une religion, mais parce que c’est une idéologie politique impérialiste, que c’est une domination déguisée en religion. Parce que l’islam ne suit pas la règle d’or, il attire des individus violents. » fin de citation.

Une étude sans aucune passion sur le début de l’histoire de l’islam montre de façon incontestable que c’était le but de Mohammed, de conquérir son propre peuple, les Arabes, de les unifier sous sa domination pour ensuite conquérir le monde et le dominer.

Cela était l’idée à l’origine, qui était ostensiblement politique et qui fut soutenue par le pouvoir militaire. « Je fus convaincu de combattre tous les hommes, jusqu’à ce qu’ils déclarent : ‘Il n’y a pas de Dieu hors d’Allah’ lançait Mohammed dans son dernier discours. Il réalisa cela en total accord avec la loi coranique dans la sourate : 8 :39 : « Combattez les jusqu’à ce qu’il n’y ait plus d’incroyants et jusqu’à ce que tous croient en Allah. »

Selon la mythologie, Mohammed fondait l’islam à la Mecque, après que l’ange Gabriel en l’an 610 lui apparut pour la première fois. Les douze premières années, l’islam, plutôt religieux que politique, ne fut pas un grand succès. En 622, Mohammed se dirigea avec son petit groupe de 150 partisans pour Yatrib, une oasis majoritairement juive. C’est là qu’il fit ériger la première mosquée de l’histoire, prit le pouvoir politique, intitula Yatrib du nom de Medine, ce qui signifie « la ville du prophète » et débuta sa carrière en tant que maître militaire et politique qui conquit toute l’Arabie. Ce qui, par cette migration, marqua le calendrier islamique de hidschra, et transforma l’islam en mouvement politique. A la mort de Mohammed, l’islam se transforma concrètement, se basant sur ses paroles en charia, un système législatif qui légitime une domination répressive basée sur le divin, y compris les règles du Jihad et pour le contrôle absolu des fidèles et infidèles. La charia est la loi de l’Arabie Saoudite, de l’Iran et d’autres Etats musulmans. Elle est aussi d’une importance centrale pour ‘Organization of the Islamic Conference’, qui stipule dans l’article 24 de sa ‘déclaration des droits de l’homme’ au Caire, qu’en islam ‘tous les droits et les libertés sont soumis à la charia islamique’. L’OIC n’est pas une institution religieuse, mais une représentation politique.

C’est la force électorale la plus importante au sein des Nations Unis qui rédige des rapports sur la soi-disant ‘islamophobie’ des pays occidentaux et nous reproche de porter atteinte aux droits de l’homme. Afin d’exprimer cela en langage biblique : Ils cherchent l’éclat de verre dans notre œil et ignorent la poutre dans le leur.

Avant de continuer et afin d’éviter tout malentendu, je voudrais souligner que je parle de l’islam et non des musulmans. Je fais toujours une différence entre les hommes et l’idéologie, entre musulmans et l’islam. Il existe un grand nombre de musulmans modérés, cependant l’idéologie de l’islam n’est pas modérée et possède des ambitions globales. Ses intentions sont d’imposer au monde la loi islamique, la charia. Cela doit être obtenu par le Jihad.

La bonne nouvelle est que des millions de musulmans dans le monde, parmi eux, un grand nombre en Allemagne et dans les Pays-Bas, ne suivent pas la charia, encore moins le Jihad. La mauvaise nouvelle est que, ceux qui passeront à l’acte, sont prêt à utiliser tous les moyens afin d’atteindre leur but idéologique et révolutionnaire. En 1954, l’historien anglo-britannique, le professeur Bernard Lewis écrivit dans son essai : Communisme et islam, sur, je cite « le totalitarisme dans la tradition politique islamique », fin de citation. Le professeur Lewis continur, je cite : « que la répartition du monde dans la maison islam et la maison de la guerre, montrent des parallèles avec la vision du monde communiste. Le fanatisme agressif du croyant est du même ressort. » fin de citation. Mark Alexander lui, estime que, la nature de l’islam se différencie très peu des visions idéologiques totalitaires du national socialisme et du communisme. Il énumère les caractéristiques suivantes sur ces trois idéologies :

  • Premièrement : Ils procèdent à l’épuration politique, afin de nettoyer la société de ce qu’ils estiment non désirable.

  • Deuxièmement : Ils ne tolèrent qu’un seul parti politique. Là, où l’islam tolère d’autres partis, il exige cependant que tous les partis soient islamiques.

  • Troisièmement : ils obligent le peuple de se diriger vers le chemin qu’ils imposent.

  • Quatrièmement : ils gomment les différences libérales entre le domaine du privé et du public.

  • Cinquièmement : Ils transforment le système éducatif en un appareil d’endoctrinement général.

  • Sixièmement : Ils établissent les règles pour l’art, la littérature, les sciences et la religion.

  • Septièmement : ils oppriment les êtres, auxquels est assigné un statut de seconde classe.

  • Huitièmement : ils créent une sorte d’état émotionnel prèt du fanatisme ou l’ajustement s’identifie par le combat et la dominance.

  • Neuvièmement : Ils se comportent de manière provocatrice face à leurs adversaires et méprisent de leur côté, toutes concessions alors qu’ils considèrent comme une faiblesse la complaisance de leurs rivaux.

  • Dixièmement : Ils considèrent la politique comme l’expression du pouvoir.

  • Et enfin, ils sont antisémites.

Il existe un autre parallèle remarquable, mais celui-là n’est pas une caractéristique de ces trois idéologies politiques, mais une caractéristique de l’occident. C’est apparemment, l’incapacité de l’occident à reconnaître le danger. La condition à comprendre le danger politique est l’empressement de voir la réalité, même si cette dernière est désagréable. Hélas, il semblerait que les politiques modernes aient perdu cet empressement.

Notre incompétence nous mène à nier les faits logiques et historiques, malgré notre expérience. Qu’est ce qui ne va pas chez l’homme occidental, moderne, que nous répétions toujours et toujours les mêmes erreurs ? Il n’y a pas meilleur endroit afin de réfléchir à cette question, qu’ici à Berlin, l’ancienne capitale du Reich du mal, d’une Allemagne nazi et, cette même ville qui ensuite fut prisonnière durant 40 ans de cette soi-disant ‘democratie’ de la République ‘Démocratique’ Allemande. Lorsque les citoyens de l’Europe de l’Est se détournèrent en 1989 du communisme, ils furent inspirés par des dissidents comme Alexandre Soljenitsine, Vaclav Havel, Vladimir Bukowski et d’autres, qui leur disaient que les hommes ont des droits, mais aussi des devoirs de vivre ‘dans la vérité’. La liberté exige une veille constante. Cela vaut aussi pour la vérité. Seulement, Soljenitsine ajoutait que ‘la vérité est rarement agréable ; elle est presque sans exception amère’.

Regardons ensemble cette amère vérité. Nous avons perdu notre capacité à reconnaître le danger et à comprendre la vérité, car nous ne savons plus évaluer la liberté. Les politiques de pratiquement tous les partis établis promeuvent l’islamisation. Ils applaudissent chaque nouvelle école islamique, banque islamique et chaque nouvelle cour islamique. Ils considèrent que l’islam vaut notre culture. Islam ou liberté . Cela ne leur signifie rien. Mais cela signifie beaucoup pour nous. L’estabishment en son intégralité, les élites, les universités, les églises, les syndicats, les médias, les politiques, mettent en jeu nos libertés si chèrement acquises. Ils évoquent l’égalité, mais curieusement, refusent de voir qu’en islam, les femmes ont moins de droits que les hommes et que les incroyants ont également moins de droits que les partisans de l’islam.

Allons nous répéter les événements tragiques de la République de Weimar ? Allons nous nous soumettre à l’islam, car notre dévotion à la liberté est morte ? Non, cela ne se passera pas ainsi. Nous ne sommes pas comme Madame Merkel. Nous n’acceptons pas que l’islamisation soit devenu un fait établi. Nous devons préserver la liberté. Même si nous l’avons déjà partiellement perdue, nous devons la retrouver dans le cadre des élections démocratiques. C’est la raison pour laquelle nous avons besoin de nouveaux partis qui défendent ce que signifie la liberté. Afin de soutenir ces partis, j’ai tenu à créer l’International Freedom Alliance. (Alliance Internationale de la Liberté).

Comme vous le savez, je suis poursuivi aux Pays-Bas. Lundi, je dois me présenter devant le tribunal et durant tout le mois qui va suivre, je devrais le consacrer à cette procédure. Cette procédure fut instruite contre moi, parce que j’ai exprimé mon avis sur l’islam et parce que j’ai tenu des conférences, écris des chroniques et montré mon film Fitna sur ce sujet. Je vis sous protection policière constante, car des extrémistes islamistes veulent m’assassiner. Et, c’est moi que l’on instruit devant les tribunaux, dont l’establishment néerlandais se compose pour la plus grande partie de non musulmans. C’est ceux là même qui veulent me contraindre au silence.

Je suis traîné devant les tribunaux, car mon pays ne peut plus exercer son droit exclusif à la liberté. Hélas, nous ne disposons pas, comme aux Etats Unis d’un droit à la liberté de parole, inscrit dans la constitution, qui garantie aux hommes la liberté d’expression et rend ainsi possible avec leurs paroles, d’initier ouvertement des débats. Contrairement aux Etats Unis, les Etats nationaux et de plus en plus l’Union Européenne, nous prescrivent, à nous citoyens, même aux politiques démocratiquement élus, comment, je dois penser et ce que je peux dire. Ce qu’il nous est désormais interdit de dire est que notre culture, en comparaison d’autres cultures est supérieure. De telles déclarations sont désormais considérées comme discriminantes, même haineuses…

A travers les écoles, les médias, nous sommes quotidiennement endoctrinés par le message que toutes les cultures se valent et que si une culture est pire que les autres, c’est la nôtre. Un torrent de sentiments de culpabilité et de honte concernant notre identité, à laquelle nous tenons, se déverse sur nous. On nous recommande de bien vouloir respecter tout le monde, sauf nous-même. Cela est le message de la gauche et de l’establishment du politiquement correct. Ils veulent éveiller en nous, le sentiment de honte envers notre propre identité, afin que nous nous écartions de toute action de la défendre. Cette obsession destructrice de nos élites politiques et culturelles, envahies par le sentiment occidental de culpabilité, obstrue la vérité sur les vues que l’islam a sur nous. Le coran qualifie les non-croyants de kouffar, ce qui signifie littéralement « ceux qui refusent » ou les « ingrats ». En conséquence, les incroyants sont « coupables ».

L’islam enseigne que nous sommes tous nés croyants. L’islam enseigne que, si nous ne sommes pas des croyants aujourd’hui, cela est de notre faute ou la faute de nos ancêtres. Ce qui signifie que nous sommes considérés comme kafir « coupables », car nous-même ou nos ancêtres sommes des apostats. Et que, selon l’avis de certain, nous méritons d’être soumis. Nos intellectuels d’aujourd’hui sont totalement aveugles face aux dangers de l’islam. Le dissident soviétique, Vladimir Bukovsky déclarait que l’occident a omit lors de la chute du communisme, de dénoncer ceux qui jouaient le jeu des communistes en prêchant pour la détente politique, pour la réduction des tensions internationales et pour une coexistence pacifique. Il souligne que la guerre froide – je cite – « était une guerre que nous n’avons jamais gagnée. Nous n’avons même pas lutté. La plupart du temps, l’occident s’adonnait à la politique de l’apaisement face au bloc soviétique et, les pacifistes ne gagnent jamais les guerres. » fin de citation.

L’islam est le communisme contemporain. Cependant, en raison de notre incapacité d’avoir su solder le communisme, nous démontrons notre impuissance à maîtriser, tant nous sommes prisonniers de la vieille banalité communiste de la dissimulation et de la tromperie verbale, qui jadis envahissaient les nations de l’est et viennent désormais nous envahir tous. Comme ils se posaient déjà en aveugles face au communisme, de même, cette même gauche, par sa défaillance passée, ferme les yeux devant l’islam. Ils servent aujourd’hui les mêmes arguments qu’hier, de la détente, des meilleures relations, de l’apaisement. Ils prétendent, que notre ennemi est aussi amoureux de la paix que nous, que, si nous faisions un pas vers lui, il fera de même, qu’il ne demande que du respect et que, si nous le respectons, il nous respectera aussi. Nous entendons les énièmes répétitions de ce vieux moralisme égalitariste. Ils s’évertuent à déclarer que « l’impérialisme » occidental est aussi destructeur que l’impérialisme soviétique. Aujourd’hui, ils lancent que « l’impérialisme » occidental est aussi mauvais que le terrorisme islamiste.

Dans mon discours prêt de Ground Zero, le 11 septembre dernier à New York, je soulignais qu’il fallait désormais arrêter ce petit jeu de la culpabilisation de l’occident, de l’Amérique, que les prêcheurs islamistes jouent avec nous. Nous mêmes, nous devons arrêter de jouer ce jeu. A ceux là, j’adresse le même message. C’est une offense de nous raconter que nous sommes coupables et que nous méritons ce qui nous arrive. Nous méritons encore moins de devenir des étrangers dans nos propres pays. Nous ne devons pas accepter ces offenses. Parce que premièrement, la civilisation occidentale est la plus libre et la plus florissante de la terre. C’est bien pour cela qu’autant d’immigrants veulent venir chez nous.

Deuxièmement, nous ne connaissons pas de culpabilité collective. Des individus libres sont des acteurs moraux libres, qui sont exclusivement responsables de leurs faits et gestes. Je suis très heureux d’être ce jour à Berlin afin de lancer ce message, qui est particulièrement important en Allemagne. Ce qui pu se passer dans le passé dans votre pays, pour cela la génération actuelle n’est pas coupable. Ce qui pu encore se passer dans le passé, ce n’est pas une excuse pour punir les Allemands d’aujourd’hui. Cependant, vous n’avez aucune excuse de vous retirer du combat pour votre propre identité. Il est de votre responsabilité d’éviter les erreurs du passé. Il est également de votre responsabilité d’être aux côtés de ceux qui sont menacés par l’islam. Comme l’Etat d’Israël et de ses citoyens juifs.

La République de Weimar rejetait le combat pour la liberté et fut écrasée par une idéologie totalitaire avec des conséquences catastrophiques pour l’Allemagne, le reste de l’Europe et le monde. Ne laissez pas passer l’occasion de combattre pour votre liberté. Je suis très heureux d’être parmi vous aujourd’hui, car il semble, que, 20 ans après la réunification, cette nouvelle génération ne ressent plus de sentiment de culpabilité d’être allemand. L’actuel débat qui fait rage sur le livre récemment publié de Thilo Sarrazin est un signe que l’Allemagne s’apaise avec elle même. Je n’ai pas encore lu le livre du Dr. Sarrazin, mais je constate que, pendant que les élites du politiquement correct s’insurgent contre ses thèses et intervinrent en faveur de sa démission de dirigeant de la Bundesbank, la grande majorité des Allemands approuvent et estiment que le Dr. Sarrazin a mis l’accent sur un sujet urgent et brûlant. « L’Allemagne capitule » alerte Sarrazin et appelle les Allemands à contrecarrer ce process. L’énorme succès du livre prouve qu’un grand nombre d’Allemands sont du même avis.

Les Allemands ne veulent pas voir leur pays disparaître, malgré l’endoctrinement politique qu’on leur fait subir. L’Allemagne n’a plus honte de retrouver sa fierté nationale. En ces temps difficiles, qui menacent nos identités nationales, nous devons nous défaire de ce sentiment de culpabilité, nous ne devons plus nous sentir coupable d’être ce que nous sommes. Nous ne sommes pas « kafir » nous ne sommes pas coupables. Comme les autres peuples aussi, les Allemands ont le droit de rester ce qu’ils sont. Les Allemands ne doivent pas devenir Français, ni Hollandais, ni Américains, ni Turcs. Ils doivent rester Allemands.

Lorsque le Premier Ministre Erdogan visitait l’Allemagne en 2008, ce dernier recommandait fermement aux Turcs qui vivent en Allemagne de rester Turcs. Il déclarait mot pour mot : « l’assimilation est un crime contre l’humanité ». Erdogan aurait pu avoir raison, s’il s’était adressé aux Turcs en Turquie. Seulement voilà, l’Allemagne est le pays des Allemands. En conséquence, les Allemands ont le droit de demander que ceux qui viennent sur leur territoire afin d’y vivre, s’adaptent aux usages du pays. Ils ont le droit – non – ils ont le devoir envers leurs enfants d’exiger que les nouveaux arrivants respectent l’identité Allemande et son droit à la garder.

Nous devons réaliser que l’islam se propage de deux manières. Comme ce n’est pas une religion, la conversion n’est qu’un phénomène marginal. Historiquement, l’islam se propageait soit par la force militaire ou par l’arme de l’hirjra, l’immigration. Mohammed conquit Medine par l’immigration. Hirjra signifie ce que nous observons aujourd’hui. L’islamisation de l’Europe avance continuellement. Cependant, l’occident n’a pas de stratégie pour gérer l’idéologie islamiste, étant donné que nos élites déclarent que nous devons nous adapter, au lieu du contraire. Dans ces circonstances, nous pouvons nous inspirer de l’Amérique, la nation la plus libre du monde. Les Américains sont fiers de leur nation, de leurs acquits, de leur drapeau.

Nous devons également être fiers de notre nation. Les Etats Unis furent depuis toujours une terre d’immigration. Le Président Theodore Roosevelt avait une vision claire des devoirs des immigrants. Voici ce qu’il déclarait à ce sujet, je cite : « Nous devons exiger que l’immigrant, qui arrive avec de bonnes intentions, devienne Américain et s’assimile. Il doit être traité comme tous les autres en totale égalité. Cela est valable uniquement si le sujet devient un Américain et rien qu’un Américain. Il ne peut exister deux appartenances. Nous avons de l’espace que pour une seule loyauté et cela est la loyauté au peuple Américains. » fin de citation. Ce n’est pas mon devoir de définir ce qu’est l’identité nationale allemande. Cela est de votre responsabilité. Seulement, ce que je sais est que la culture allemande, ainsi que celle de ses voisins et donc, de mon pays, prend ses racines dans les fondements humanistes du judéo-christianisme.

Chaque politique responsable a l’obligation de garder ces valeurs face aux idéologies qui les menacent. Une Allemagne couverte de mosquées et envahie de femmes voilées n’est plus l’Allemagne de Goethe, Schiller, Heine, Bach et Mendelssohns. Ce serait pour nous tous une grand perte. Il est de la plus haute importance que vous, en tant que nation, soigniez et gardiez ces racines. Autrement, il ne vous sera plus possible de garder votre identité. Vous disparaîtriez en tant que peuple. Vous perdriez votre liberté. Et, avec vous, toute l’Europe perdrait sa liberté. Mes amis, lorsque Ronald Reagan visitait Berlin encore séparé, il y a 23 ans, non loin d’ici, près de la porte de Brandenburg, ce dernier déclarait au Secrétaire Général Soviétique : « Monsieur Gorbachev, détruisez ce mur ! » Monsieur Reagan n’était pas un pacifiste, mais un homme qui disait la vérité et qui aimait la liberté. Nous aussi, nous devons aujourd’hui détruire un mur. Ce n’est pas un mur de béton, mais un mur du mensonge, sur la vraie nature de l’islam.

La International Freedom Alliance (Alliance Internationale pour la Liberté) a l’intention de coordonner tous les efforts nécessaires. Parce que nous disons la vérité, les électeurs de mon parti Partij voor de Vrijheid et d’autres partis comme le Dansk Fokeparti, la Schweizerische Volkspartei, nous a permis de nous positionner pour influencer le processus décisionnaire de la politique. A partir de l’opposition ou avec le soutien d’un gouvernement minoritaire, comme nous souhaitons le mettre en œuvre aux Pays Bas. Le Président Reagan a démontré qu’en disant la vérité, on peut changer le cours de l’histoire. Il a montré qu’il n’y a jamais de raison de désespérer. Jamais ! Réalisez naturellement votre devoir. N’ayez pas peur. Dites la vérité. Ensemble nous pouvons préserver la liberté et, mes amis, nous allons la garder notre liberté.

Merci »

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Traduction, 3 octobre 2010 par Sylvia Bourdon

Vu sur: http://www.postedeveille.ca/2010/10/geert-wilders-%C3%A0-berlin-lislam-est-le-communisme-contemporain.html#more

24/08/2010

La société française s’islamise peu à peu… Chiche.

Et vous croyez franchement qu’on va se laisser faire? Erreur, grosse erreur…

FDF

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24 août 2010

Islam: C´est notre devoir de musulmans de nous fondre dans la société française.

Que faut-il en penser? Dois-t’on faire confiance? Ce discours est-il crédible alors que chaque jour, la pression sur la société française se fait plus forte? restaurants d’entreprises halal, prières dans les rues, distributeurs halal, revendication abusives de constructions massives de mosquées, exigeance diverses comme heures de piscines pour les femmes, aménagements diverses pour le ramadan, utilisation de salles de mairies pour des prières ou de locaux publics pour des écoles coraniques, etc.

La société française s’islamise peu à peu. Alors ce discours…

Le 4 septembre à 18 heures Place de la Bourse à Paris aura lieu une manifestation apolitique de défense de la laïcité et contre la charia contraire à nos principes républicains. Rejoignez-nous et adhérez à Résistance Républicaine.

Gérard Brazon

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L´imam français : « C´est notre devoir de musulmans de nous fondre dans la société française »
Ci-dessous des extraits d´une interview de l´imam français
Hassen Chalghoumi, diffusée sur la BBC en arabe le 17 juillet 2010 :

Voir les extraits vidéo en arabe sous-titrés en anglais sur MEMRI TV : http://www.memritv.org/clip/en/2572.htm

Hassen Chalghoumi : Nous savons très bien que, selon les savants de l´islam, les femmes ne sont pas tenues par la loi islamique de se couvrir le visage, et il n´existe aucune obligation de se couvrir le visage lors du pèlerinage à La Mecque. Le message véhiculé est que l´islam est une religion très mauvaise, qui traite les femmes très durement.
Interviewer : Selon quel point de vue, le point de vue français ?
Hassen Chalghoumi : Oui, le point de vue des 60 millions de personnes vivant dans ce pays.

Interviewer : Vous avez une fois dit que plus de 60 millions de Français sont remplis de dégoût ou d´effroi quand ils aperçoivent une musulmane revêtue du niqab dans la rue. Souhaitez-vous que la minorité se dissolve dans la majorité, ou souhaitez-vous une société multiculturelle ?

Hassen Chalghoumi : Je veux une société multiculturelle. N´oubliez pas qu´après le 11 septembre – ces événements terroristes perpétrés au nom de l´islam dont les musulmans et leurs imams ont aussi été victimes –, les sociétés occidentales se sont mises à redouter la propagation de l´islam.
C´est pourquoi, en tant que musulmans, il est de notre devoir de nous fondre dans la société française. Nous atteindrons cet objectif en mettant en évidence nos valeurs, et non le niqab. Pendant 15 décennies, l´islam ne s´est pas réduit à un morceau de tissu sur le visage d´une femme.
[…]
Si les femmes musulmanes doivent porter le niqab en France ? Quelle est la priorité : le niqab ou la scolarisation des enfants ?
[…]
Certains mouvements et groupes obligent les femmes à porter le niqab. Il s´agit d´un phénomène bien connu. Je ne tiens pas à donner le nom de ces mouvements. La plupart de ces femmes sont converties à l´islam. Pourquoi les habille-t-on de cette manière ? Pourquoi ne leur enseigne-t-on pas les valeurs de l´islam ? […]

Source: http://tinyurl.com/25ugsh4

20/08/2010

Le ramadan nous rappelle que l’islam a toujours fait partie de l’Amérique…

20 août 2010

Allocution du président Obama pour l’Iftar

La Maison Blanche Bureau du Secrétaire de presse Le 13 août 2010

ALLOCUTION DU PRÉSIDENT AU DÎNER D’IFTAR

Salle à manger d’État 20h37, heure de Washington

LE PRÉSIDENT : Bonsoir à tous et à toutes. Bienvenue. Veuillez vous asseoir. Soyez les bienvenus à la Maison Blanche. À vous, aux Américains musulmans de notre pays et à vous, les plus d’un milliard de Musulmans du monde entier, qu’il me soit permis de vous exprimer mes meilleurs voeux à l’occasion de ce mois sacré. Ramadan Karim.

Je souhaite la bienvenue aux membres du corps diplomatique, aux membres de mon administration et aux membres du Congrès, y compris Rush Holt, John Conyers et André Carson, qui est l’un des deux Américains musulmans siégeant au Congrès, l’autre étant Keith Ellison. Soyez tous les bienvenus.

Ici, à la Maison Blanche, il existe une tradition d’organiser des dîners de l’Iftar depuis plusieurs années, tout comme nous organisons des fêtes de Noël, des Séders et des célébrations de la Diwali. Ces événements célèbrent le rôle que joue la foi dans la vie des Américains. Ils nous rappellent cette vérité fondamentale, à savoir, que nous sommes tous des enfants de Dieu, et que, de nos convictions, nous tirons tous notre force et le sens de notre vie.

Ces événements constituent également une affirmation de notre identité en tant qu’Américains. Les fondateurs de notre nation avaient compris que le meilleur moyen d’honorer le rôle que joue la foi dans la vie de notre peuple était de protéger la liberté de pratiquer la religion. Dans le Statut de l’État de Virginie établissant la liberté de religion, Thomas Jefferson a écrit – et je le cite – « tous les hommes seront libres de faire profession de leurs opinions en matière de religion et, par voie d’argumentation, de les défendre ». Le Premier amendement de notre Constitution a établi la liberté de religion en tant que loi nationale. Et ce droit a été maintenu depuis lors sans discontinuité.

De fait, durant toute notre histoire, la religion a prospéré à l’intérieur de nos frontières précisément parce que les Américains ont joui du droit de pratiquer leur religion à leur guise – ainsi que du droit de ne croire en aucune religion du tout. Et la sagacité de nos pères fondateurs perdure par le fait que l’Amérique demeure un pays profondément religieux – un pays où la possibilité dont jouissent des individus de religions différentes de coexister de manière pacifique et dans le respect mutuel contraste nettement avec les conflits religieux qui persistent de par le monde.

Cela ne veut pas dire que la religion soit dépourvue de controverses. Récemment, l’attention s’est focalisée sur la construction de mosquées dans certaines communautés – notamment à New York. Nous devons tous reconnaître et respecter les sensibilités au sujet des projets de construction dans le quartier sud de Manhattan. Les attentats du onze septembre ont constitué un événement profondément traumatisant pour notre pays. La douleur et les souffrances de ceux qui ont perdu des proches relèvent de l’inimaginable. C’est pourquoi je comprends les émotions soulevées par cette question. Il s’agit bien, en effet, d’une terre sacrée.

Mais je tiens à m’exprimer très clairement. En tant que citoyen et en tant que président, je suis convaincu que les Musulmans ont le même droit de pratiquer leur religion que tout autre habitant de ce pays. (Applaudissements) Et que ceci comprend le droit de construire un lieu de culte et un centre communautaire sur un terrain privée du sud de Manhattan, conformément aux lois et ordonnances locales. Nous sommes en Amérique. Et notre engagement envers la liberté de religion doit être inébranlable. Le principe selon lequel les personnes de toutes les religions sont les bienvenues dans ce pays et qu’elles ne seront pas traités différemment par leur gouvernement est essentiel à notre identité. Nous ne pouvons pas revenir sur les ordres des pères fondateurs.

Nous ne devons jamais oublier ceux que nous avons perdus si tragiquement le onze septembre et nous devons honorer à tout jamais ceux qui ont dirigé la réponse aux attentats – des pompiers qui ont pris les escaliers remplis de fumée à nos soldats qui sont déployés en Afghanistan aujourd’hui. N’oublions pas non plus contre qui nous luttons et ce pour quoi nous luttons. Nos ennemis ne respectent aucune liberté de religion. La cause d’Al-Qaida n’est pas l’Islam – il s’agit d’une déformation grossière de l’Islam. Ce ne sont pas des chefs spirituels – ce sont des terroristes qui assassinent des hommes, des femmes et des enfants innocents. En réalité, Al-Qaida a tué plus de Musulmans que de personnes de toute autre religion – y compris les Musulmans innocents qui ont été tués le onze septembre.

Tels sont ceux contre lesquels nous combattons. Et la raison pour laquelle nous gagnerons ce combat n’est pas simplement due à la force de nos armes – elle est due à la force de nos valeurs. La démocratie que nous pratiquons. Les libertés que nous vénérons. Les lois que nous respectons sans tenir compte de la race, de la religion, de la richesse ou de la position sociale. Notre capacité de faire preuve non seulement de tolérance, mais surtout de respect à l’égard de ceux qui sont différents de nous – et cette façon de vivre, cette croyance qui est la quintessence de l’Amérique, contraste nettement avec le nihilisme de ceux qui nous ont attaqués ce matin de septembre et qui continuent de nous vouloir du mal.

Dans mon discours d’investiture, j’ai dit que notre héritage disparate constituait une force, et non une faiblesse. Nous formons une nation de Chrétiens et de Musulmans, de Juifs et d’Hindous — et de non-croyants. Nous sommes façonnés par toutes les langues et cultures, issues des quatre coins de la terre. Cette diversité peut donner lieu à des débats difficiles. Ce n’est pas un fait nouveau. Dans le passé, nous avons été témoins de controverses concernant la construction de synagogues ou d’églises catholiques. Mais, encore et toujours, le peuple américain a démontré qu’il était à même de surmonter ces problèmes, de rester fidèle à ses valeurs fondamentales, et d’en ressortir encore plus fort. Il doit en être – et il en sera – de même aujourd’hui.

Ce soir, nous nous rappelons que le Ramadan est une célébration d’une religion connue pour sa grande diversité. Le Ramadan nous rappelle aussi que l’Islam a toujours fait partie de l’Amérique. Le premier ambassadeur musulman aux États-Unis, de Tunisie en l’occurrence, a été accueilli par le Président Jefferson, qui organisa un dîner au coucher du soleil pour son hôte, parce que c’était le Ramadan – faisant de cet événement le premier Iftar dont on sait qu’il a été célébré à la Maison Blanche, il y a de cela plus de 200 ans. (Applaudissements)

Tout comme tant d’autres immigrants, des générations de Musulmans sont venues ici pour se construire un avenir. Ils sont devenus des agriculteurs et des commerçants, ils ont travaillé dans les manufactures et les usines. Ils ont aidé à construire les chemins de fer. Ils ont aidé à construire l’Amérique. Ils ont fondé le premier centre islamique à New York dans les années 1890. Ils ont construit la première mosquée de l’Amérique dans la Prairie du Dakota du Nord. Et il semble que la plus vieille mosquée d’Amérique encore utilisée de nos jours se trouve à Cedar Rapids, dans l’Iowa.

Aujourd’hui, notre pays se trouve fortifié par des millions d’Américains musulmans. Ils connaissent la réussite dans toutes les professions. Les communautés musulmanes des États-Unis – lesquelles comprennent des mosquées dans tous les cinquante États – oeuvrent aussi au service de leurs concitoyens. Des Américains musulmans protègent nos communautés en tant que policiers, pompiers et secouristes. Le clergé musulman de notre pays a pris la parole pour dénoncer la terreur et l’extrémisme, réaffirmant que l’Islam enseigne qu’il faut sauver la vie humaine, et non la dérober. Des Américains musulmans servent notre pays avec honneur au sein des forces armées. Dans le cadre de l’Iftar prévu au Pentagone la semaine prochaine, hommage sera rendu à trois soldats qui ont perdu la vie en Irak et qui reposent désormais parmi les héros du Cimetière national d’Arlington.

Ces Américains musulmans sont morts pour la sécurité dont nous dépendons et pour les libertés que nous vénérons. Ils appartiennent à cette lignée ininterrompue d’Américains qui remonte jusqu’à l’époque de notre fondation : des Américains de toutes les religions qui ont servi dans les forces armées et se sont sacrifiés pour porter la promesse de l’Amérique à de nouvelles générations et pour garantir que ce que l’Amérique a d’exceptionnel soit protégé – notre engagement à rester fidèle à nos valeurs fondamentales et notre capacité à perfectionner lentement mais sûrement notre union.

Car, en fin de compte, nous demeurons « une nation, unie sous l’autorité de Dieu, indivisible ». Et nous ne pourrons réaliser « la liberté et la justice pour tous » que si nous vivons selon cette règle qui est au coeur de toutes les grandes religions, y compris l’Islam, à savoir— Agis envers les autres comme tu voudrais qu’ils agissent envers toi.

Je vous remercie de votre présence. Je vous souhaite un Ramadan béni. Et sur ce, je vous invite à manger. (Applaudissements)

20h47, heure de Washington

Source : http://www.whitehouse.gov/sites/default/files/rss_viewer/Iftar_FRENCH.PDF

Source (vidéo):

12/08/2010

Le mollah Obama adresse ses bons voeux de ramadan aux musulmans !

Ils l’ont voulu, ils l’ont eu. Il faut faire avec… Et dire que c’est l’idole de Sarkö Ier; ça fait peur…

FDF

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12 août 2010

Déclaration du Président des États-Unis Barak Obama à l’occasion du ramadan.

« Au nom du peuple des États-Unis, Michelle et moi souhaitons adresser nos meilleurs vœux aux musulmans d’Amérique et du monde entier. Ramadan Karim.

Le ramadan est une période durant laquelle les musulmans à travers le monde méditent sur la sagesse et les conseils qu’ils trouvent dans la foi, ainsi que sur la responsabilité que les êtres humains ont les uns envers les autres et envers Dieu. C’est une période durant laquelle les familles se réunissent, les amis organisent des iftars et des repas sont pris en commun. Mais c’est aussi une période de dévotion et de réflexion intenses, durant laquelle les musulmans jeûnent pendant la journée et prient pendant la nuit ; et durant laquelle ils apportent leur soutien à autrui pour faire progresser les possibilités et la prospérité de tous, partout dans le monde. Car nous devons tous garder en mémoire que le monde que nous souhaitons construire, ainsi que les changements que nous voulons opérer, doit prendre racine dans notre propre cœur et au sein de notre propre communauté.

Ces rituels nous rappellent les principes que nous avons tous en partage et le rôle de l’islam dans la promotion de la justice, du progrès, de la tolérance et de la dignité de tous les êtres humains. Le ramadan célèbre une foi connue pour sa grande diversité et son égalité raciale. Ici aux États-Unis, il nous rappelle que l’islam a toujours fait partie de l’Amérique et que les musulmans américains ont apporté des contributions extraordinaires à notre pays. Aujourd’hui, je tiens donc à adresser mes meilleurs vœux au milliard et demi de musulmans du monde entier, ainsi qu’à vos familles et amis, au moment où vous saluez le début du ramadan.

Je me réjouis à la perspective d’organiser cette semaine un iftar (http://fr.wikipedia.org/wiki/Iftar) à la Maison-Blanche pour célébrer le ramadan et vous souhaite un mois riche en bénédictions.

Que la paix de Dieu soit avec vous. »


(Diffusé par le Bureau des programmes d’information internationale du département d’Etat. Site Internet : http://www.america.gov/fr/)

SOURCE : www.america.gov