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Irréfutable. Cette vidéo dure un moment mais vaut le coup d’être vue.
Bonne lecture.
FDF
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Irréfutable. Cette vidéo dure un moment mais vaut le coup d’être vue.
Bonne lecture.
FDF
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Invasion islamique: la preuve par les chiffres. N’ayez pas peur; ce ne sont que des prévisions. On peut encore enrayer ce fléau. Pour nous, pour nos enfants, pour nos petits enfants, nous devons résister et même riposter.
On ne va pas se soumettre à une idéologie rétrograde en retard de sept siècles, non ? Et des plus violentes qui soit?
FDF
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« … Avec l’émigration [musulmane en Europe], et la réticence [des Européens] à se marier et avoir des enfants… une centaine de personnes n’engendreront que quatre-vingts [descendants], et dix ans (sic) plus tard, ces quatre-vingts seront remplacés par une soixantaine, et ces soixante seront plus tard remplacés par quarante, et ces quarante ne deviendront plus que dix une décennie plus tard, et vingt ans (sic) plus tard, pas un seul d’entre eux ne restera !
L’Europe en a pris conscience. Dans quelque temps, l’Europe va devenir un État islamique unique, qui ne connaîtra plus rien d’autre que « Il n’y a pas d’autre dieu qu’Allah et Mohammed est son messager ». C’est comme ça, qu’ils le veuillent ou non. C’est la décision d’Allah. L’islam arrive… »
(1) Sheikh Abû Al-Hasan An-Nadwî Al-Hasanî . Voir : http://www.islamophile.org/spip/Sheikh-Abu-Al-Hasan-An-Nadwi-Al.html
Le pire, c’est que ce sheik dit la vérité. Il n’exagère que sur la durée d’une génération : 25 ans et non 10… Cela dit, l’Occidental disparaîtra, c’est inéluctable.
Il devient de plus en plus clair que nos gouvernements savent et s’adaptent à cette nouvelle démographie, à cette nouvelle donne. Tout est fait pour que la disparition d’ « Homo occidentalis » se passe sans douleur et sans méfiance : l’enseignement est raboté, élémentarisé, orienté. La police est muselée, désarmée, culpabilisée et s’amenuise de plus en plus. La suppression de la gendarmerie au motif grotesque de l’affaire Dutroux, les graves discriminations – dite positives – à l’égard des migrants musulmans, la ségrégation sexuelle dans certaines écoles, piscines, etc. Tout cela démontre qu’il y a connaissance de la menace et adaptation forcée à l’envahisseur qui, progressivement, remplacera l’Homo occidentalis en voie de disparition…
Voyez le « Printemps arabe » qui tourne en « Hiver islamique », orienté et alimenté par l’Américain Obama, avec la complicité servile du Français Sarkozy…
Ce que je pense personnellement, c’est que mettre volontairement les forces de police en état d’impuissance permettra aux gouvernements occidentaux de justifier l’engagement de « miliciens de quartiers » à partir des jeunes issus de ces mêmes quartiers : cela sera le début des « polices islamiques » et le début de la mise en place des lois de la charia… Et on nous servira cela comme un renforcement de la sécurité, adapté aux « quartiers sensibles » ! Voyez les vigiles dans les hypermarchés, surtout en France : beaucoup sont issus des banlieues dites « sensibles ».
Cette situation est voulue et organisée délibérément. Nos gouvernements nous trahissent, nous condamnent à disparaître. L’avenir, c’est l’islam. Que nous le voulions ou non. Et cela, simplement à cause de notre démographie catastrophique.
C’est inéluctable, SAUF si tout ces excès, ces brimades et pressions n’engendrent une révolution qui dégénérerait en bain de sang… Un massacre qui decimerait l’occidental de souche, par ailleurs complètement désarmé par des lois orientées dans ce seul sens, et qui obligerait les États à reconsidérer la situation. Car si nous sommes terrassés ou brutalement éliminés par l’envahisseur, il n’y aura plus d’élite et le chaos règnera sur la planète…
Ce scénario est ce que les gouvernements du monde occidental redoutent le plus : cela sonnerait la fin brutale et prématurée de notre civilisation, la fin de nos États et le remplacement de nos gouvernants – Ministres et Présidents – par des barbus sanguinaires, qui plus est, seront élus démocratiquement par l’envahisseur dominant auquel nos États auront fait le lit …
Dans ce schéma apocalyptique, il n’y a aucune alternative à la révolution. Seule celle-ci pourrait sauver notre civilisation.
« Les civilisations ne meurent pas, elles se suicident » (1) Nous sommes les responsables de ce suicide.
Merci à PM…
Je ne suis pas un admirateur de Xavier Lemoine mais force est de constater que son approche sur l’évolution quotidienne due à l’immigration et dont nous subissons les conséquences est loin d’être fausse…
FDF
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Maire de Montfermeil depuis dix ans, Xavier Lemoine constate, sur le terrain, la progression de l’islam en Seine-Saint-Denis. Et insiste sur les risques d’un communautarisme exacerbé. Rencontre avec un élu de convictions, attaché à « une certaine idée » de l’homme et de la France.
« Naviguer est une activité qui ne convient pas aux imposteurs », disait Éric Tabarly. Xavier Lemoine a navigué pendant dix ans avant de poser son sac à Montfermeil. Dix années dans la marine marchande, le temps de connaître tous les bateaux (paquebots, cargos, bananiers, porte-conteneurs.) et d’achever un tour du monde et sa première vie à l’âge où tant d’hommes commencent à peine la leur. « J’avais 16 ans quand j’ai embarqué, précise-t-il, après une adolescence rebelle, parfois violente, et une scolarité chaotique : je refusais d’apprendre le « comment » tant qu’on ne m’avait pas expliqué le « pourquoi ». J’ai fréquenté l’école aussi longtemps que je n’ai pu m’en échapper. »
Sa chance fut de rencontrer sur le Mermoz, paquebot à destination des Antilles, un lieutenant qui avait commencé à naviguer avant guerre, à 14 ans, sur les bancs de Terre-Neuve. « Il m’a fait étudier chaque soir ce qu’il me fallait apprendre pour préparer ensuite le concours d’officier. » Une demi-heure de maths et de physique, une demi-heure de navigation.
Comment faire le point au sextant, mais aussi comment calculer sa position grâce à la trigonométrie sphérique. « C’est ce lieutenant qui m’a sauvé. »
De la mer de Barents jusqu’au cap de Bonne-Espérance, de Pointe-à-Pitre jusqu’à Manille, Xavier Lemoine a sillonné tous les océans pendant ces dix années, sauf le Pacifique. « J’ai fait toutes sortes de lignes. Je suis amoureux de l’Afrique et fasciné par les Indes. » À Dakar, il troque des cartons de bananes contre des caisses de vodka avec les marins d’étranges chalutiers russes. (« Tout le folklore soviétique de l’époque ! ») Il apprend à faire du patin à glace en Côte d’Ivoire. (« Il y avait une superbe patinoire à Abidjan. ») Il mène dans les ports la vie des marins sans attaches.
« Nous faisions relâche assez longtemps pour que je puisse visiter les villes où nous accostions : une semaine à Yokohama, quinze jours à Bangkok, un mois et demi au Cap. J’ai quitté la marine parce que les étapes étaient de plus en plus courtes. Nous devenions des chauffeurs de taxi. » Sur le pont, Xavier Lemoine n’a pas cultivé seulement son goût du voyage.
« On a le temps de méditer sur le pont d’un bateau »
C’est en mer que cet enfant de famille nombreuse, grandi dans l’Ouest parisien, a recouvré la foi et découvert son mode d’emploi politique : la doctrine sociale de l’Église, qui continue de guider son action. « J’ai lu les grandes encycliques, en commençant par celle de Jean- Paul II sur le sens du travail, Laborem exercens. J’étais allé l’écouter à Paris, en juin 1980. Je me suis dit : « Tiens ! celui-là a des choses à dire. » J’ai retrouvé dans ces textes le « pourquoi » qui m’a toujours passionné. Et puis, on a le temps de méditer sur le pont d’un bateau, pendant les heures de quart ! »
L’homme politique qu’il est désormais en est persuadé : « On ne pourra pas résoudre la crise sans conduire une réflexion globale sur l’homme et sur les institutions sociales : l’économie a besoin de stabilité et de morale et l’on ne peut pas être vertueux en économie si l’on s’affirme libertaire par ailleurs. Tout se tient. La crise de l’école, par exemple, est aussi la conséquence de la désagrégation des liens familiaux. »
Adhérent de l’UMP depuis 2005, Xavier Lemoine sera l’un des porte-parole de Christine Boutin en 2012. Il dit apprécier « la cohérence intellectuelle » de la présidente du PCD. « Beaucoup de concessions ont été faites à des revendications catégorielles au cours de ce quinquennat. Je pense au travail dominical comme à la théorie du genre. Christine s’efforce de promouvoir une culture de vie. J’ai la certitude qu’elle ne cédera ni sur l’euthanasie ni sur le mariage homosexuel », résume-t-il.
À Montfermeil, parmi les volumes rangés dans la bibliothèque de son bureau, il y a Mémoire et Identité de Jean-Paul II, Fier d’être français de Max Gallo, mais aussi plusieurs études sur l’islam et, bien sûr, Banlieue de la République, l’enquête sur la communauté d’agglomération de Clichy-Montfermeil conduite par le politologue Gilles Kepel (lire notre encadré page 34). « Un travail intéressant, même si je n’en partage pas toutes les conclusions : il a le mérite de souligner que la « référence à l’islam » tend à s’imposer dans nos banlieues. »
Comment l’ancien marin est-il arrivé dans cette commune de Seine-Saint-Denis, où Victor Hugo situe plusieurs scènes des Misérables (c’est dans le bois de Montfermeil que Jean Valjean rencontre Cosette) ? « J’ai repris mes études en 1987, à l’Ircom, une école de communication qui fonde son enseignement sur la doctrine sociale de l’Église, à Angers. C’est ensuite que j’ai rencontré Pierre Bernard, mon prédécesseur, grâce à l’un des animateurs d’Ichtus, une association de formation et d’action chrétiennes. Je me suis occupé de la communication de la mairie, puis du développement économique de la ville, avant de devenir le directeur de cabinet de Pierre Bernard », que Lemoine ne cite jamais sans préciser qu’il lui doit « tout ».
Cela fait dix ans qu’il est à la barre de Montfermeil. La commune compte 27 000 habitants. Elle est distante de 15 kilomètres de Paris, de Roissy et de Marne-la-Vallée, « l’un des triangles les plus riches de France, dit-il pour en souligner les atouts : Marne-la-Vallée accueille des universités et des centres de formation, Roissy un pôle de développement où 6 000 emplois sont créés chaque année ». Mais Montfermeil, juchée sur un plateau, n’a pas profité de cette situation favorable. « Il est impératif de désenclaver la ville », souligne Xavier Lemoine. Il est prévu l’arrivée d’un tramway et, plus tard, d’un métro automatique.
La ville a souffert des maux que connaissent beaucoup de communes en Seine-Saint-Denis : édification de grands ensembles dans les années 1960, dégradation rapide de ces quartiers, paupérisation de leurs habitants après le départ des classes moyennes, délinquance. C’est l’histoire de la cité des Bosquets, qui regroupa jusqu’au tiers des habitants de Montfermeil sur 3 % de son territoire. Une copropriété où l’on n’avait guère envie d’entrer tant elle était délabrée.
Tout a changé grâce aux crédits débloqués par l’État : Montfermeil et Clichy-sous-Bois (d’où sont parties les émeutes de novembre 2005) ont fait l’objet du plus grand projet de rénovation urbaine de la décennie. Depuis la fin de l’année 2004, 600 millions d’euros ont été investis dans cette agglomération pour restructurer les quartiers dits sensibles.
L’engagement de l’État et des collectivités locales « s’est traduit par une transformation complète du paysage, que nous avons pu observer en voyant disparaître des tours et des barres taguées aux ascenseurs cassés, et surgir des résidences d’aspect agréable et bien tenues », résume Gilles Kepel dans son enquête. Les travaux seront achevés en 2013.
Cela suffira-t-il à résoudre les problèmes qu’ont affrontés Clichy-sous-Bois et Montfermeil ? Les habitants sont pour la plupart satisfaits de cette évolution « mais ils demeurent préoccupés par la perspective d’une nouvelle dégradation des logements, si l’éducation des enfants reste déficiente, si le chômage de masse persiste, si les politiques publiques ne se réorientent pas du béton vers l’humain », estime Gilles Kepel.
« Il est faux de croire que rien n’a été fait sur l’humain, corrige le maire de Montfermeil, également vice-président du Conseil national des villes. La République n’a pas abandonné les banlieues : 12 milliards d’euros ont été engagés par l’État dans le cadre de la rénovation urbaine depuis 2004. Mais nous avons fait fausse route en érigeant le droit à la différence en absolu. Le problème est d’ordre culturel. Plus de quarante nationalités cohabitent à Montfermeil. Certaines personnes, qui sont là depuis dix, quinze ou vingt ans, ne parlent toujours pas français. Comment pourraient-elles suivre la scolarité de leurs enfants ? Nous avons commis l’erreur d’abandonner la politique d’assimilation, traditionnellement pratiquée par la France à l’égard des étrangers, au moment même où s’affirmait un islam politique, minoritaire mais déterminé. De sorte que des communautés à la démographie dynamique s’organisent en autarcie autour de règles et de valeurs qui ne sont pas les nôtres. »
Localement, le maire de Montfermeil a multiplié les dispositifs destinés à favoriser « la maîtrise de notre langue, la connaissance de notre histoire et le respect de notre culture ». Au niveau national, il insiste auprès du gouvernement sur les dangers d’un communautarisme exacerbé : « En banlieue, les écoles coraniques font le plein. » Le 17 novembre, Claude Guéant, en déplacement à Montfermeil, a salué « le remarquable travail » accompli par Xavier Lemoine dans sa commune. La France est en droit d’attendre des migrants qu’ils accomplissent un effort d’intégration, a souligné le ministre de l’Intérieur. « Les étrangers admis en France doivent adopter nos règles de vie. Ils doivent apprendre notre langue et respecter les valeurs, la culture, l’histoire » du pays qui les accueille.
Quelles suites le gouvernement donnera-t-il à ce discours ? Une chose est sûre : Xavier Lemoine occupe en banlieue le poste de vigie – et le marin qu’il demeure ne l’abandonnera pas.
Source: http://www.valeursactuelles.com/
Et le pourquoi du comment est d’une simplicité déroutante; mais dangereuse…
« La France a un taux de fécondité qui remonte » a dit récemment un haut politique. Rien de plus normal: il est indexé sur l’augmentation de l’immigration et l’ aspirateur à fric que sont toutes les allocations dédiées aux « nouveaux Français ». Et c’est sans compter sur les principes fondamentaux de l’islam qui fabrique en Europe de « futurs combattants » à grands coups de …………………. vous m’avez compris…
FDF
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Je ne voudrais pas vous faire peur, mais…
Les chiffres le prouvent… Il va falloir réagir. Mais le monde Occidental est plus « réfléchi »: on ne va pas faire des enfants pour en faire des malheureux. L’avenir est sombre. Les musulmans, persuadés qu’ils vont dominer le monde, s’en foutent royalement. L’invasion par un excès de démographie est leur but; entre autres…
FDF
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L’islam est depuis peu, la première religion du monde en termes de nombre d’adhérents. Dans un contexte qui l’a vu se renforcer en Europe, Christopher Caldwell, journaliste américain, doute que le Vieux continent reste le même, avec une population qui change.
Avec 1,3 milliards de fidèles à travers le monde, les Musulmans sont la communauté religieuse la plus importante du monde. L’Islam devance de peu le catholicisme, qui lui, rassemble 1,1 milliards de croyants. Sur les ondes de la radio française RTL, Fréderic Lenoir, directeur de la rédaction du magazine « Le Monde des Religions », a toutefois précisé qu’il fallait prendre en compte les différents courants du christianisme, représenté par 2 milliards de fidèles à travers le monde. « (…) Sinon, on a le sentiment que le catholicisme représente tous les Chrétiens, ce qui n’est pas vrai du tout (…) Si on tient compte des différentes confessions, la première religion mondiale c’est le christianisme. Mais si on divise les protestants les orthodoxes et les catholiques, on peut effectivement dire à ce moment-là, que l’islam est la première religion mondiale.
Le taux de natalité comme catalyseur
Pour Frédéric Lenoir ce changement de tendance dans le classement des religions du monde, est essentiellement dû à la démographie. Il explique qu’une légère proportion de Musulmans est issue de la conversion. « Mais l’essentiel de la progression de l’islam au cours des dernières décennies, vient essentiellement du taux de natalité, qui est très élevé, alors que la relative stagnation du catholicisme vient du fait qu’il est essentiellement implanté dans des pays où le taux de natalité est beaucoup plus faible. »
Quid de l’islam en Europe ?
Si l’islam est aujourd’hui le principal courant religieux du monde c’est qu’au cours des dernières années, on l’a vu s’implanter et se renforcer en Europe, à la faveur du phénomène de l’immigration. Comme pour corroborer l’analyse de Frédéric Lenoir, Le Figaro révèle qu’en Autriche, « l’indicateur conjoncturel de fécondité des catholiques, est de 1,32 enfant par femme. Il est de 1,21 enfant chez les protestantes et de 0,86 chez les femmes sans religion. Cet indicateur est de 2,34 chez les musulmanes. »
Le quotidien français précise même que certains démographes estiment que « d’ici le milieu du siècle, l’Islam pourrait être la religion majoritaire chez les Autrichiens de moins de 15 ans ». De plus à Bruxelles, capitale de la Belgique (et accessoirement de l’Union européenne), 56% des enfants nés en 2006 étaient Musulmans. Quel sera la réaction de l’Europe quand on sait que l’émergence de l’Islam au cours des dernières décennies a été accompagnée de celle d’un fort sentiment anti-musulman, et que dans plusieurs pays, l’immigration est de plus en plus perçue comme un problème ?
Le journaliste américain Christopher Caldwell s’est penché sur la question. Son livre : « Reflections on the Revolution in Europe : Immigration, Islam and the West », vient de paraitre en français sous le titre « Une révolution sous nos yeux. Comment l’islam va transformer la France et l’Europe ».
L’auteur observe, dans Le Figaro, que « Le débat européen sur l’immigration tourne autour de la distinction entre l’assimilation et l’intégration (…) ». Il s’interroge : « l’islam est une culture religieuse qui veut structurer la société. Est-ce compatible avec la tradition européenne ? ». Pour Christopher Caldwell, « Il est sûr que l’Europe sortira changée de sa confrontation avec l’islam. Il est bien moins sûr que ce dernier se révèle assimilable. L’Europe se retrouve à devoir disputer à lIslam l’allégeance de ses nouveaux arrivants. Pour l’heure, l’islam est en meilleure position pour l’emporter.»
L’auteur américain estime à cet effet, que l’Islam est « le plus grave défi posé à l’Europe », car selon lui, « Quand une culture peu sûre d’elle, malléable et relativiste (l’Europe, ndlr), rencontre une culture ancrée, confiante et renforcée par des doctrines communes (l’Islam, ndlr), c’est généralement la première qui change pour s’adapter à la seconde. » Une telle analyse ne devrait pas manquer de donner des idées aux différents mouvements d’extrême droite en Europe.
Source: http://www.yabiladi.com/
Et c’est tout à fait logique au vu ne serait-ce que d’une phrase de Boumédiene:
Je suis tellement heureux quand je vois une Française de souche « pouponner » son unique bébé…
Et tellement inquiet quand je tombe sur une voilée entourée autour de laquelle s’agglutine sa nombreuse nichée…
Il faut limiter les naissances ou nous devront fuir notre propre pays. Mais pour aller où ?
FDF
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Houari Boumédiène, président algérien, 1974
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Une petite vidéo bien sympa…
FDF
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Voir: http://www.dailymotion.com/video/xf0nj1_immigration-islamique-sous-titre-fr_news
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A vos neurones…
FDF
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En 1988 la population française était de 56.000.000 d’habitants. Les musulmans en France étaient 2.000.000 soit 3,6% de la population.
En 2009 la population française est de 67.000.000 d’habitants. Les musulmans en France sont 8.000.000 soit 11,94% de la population ! (chiffre officiel, mais en réalité plus important que cela) En prenant seulement ces chiffres et en suivant la même croissance, puisque tous les 20 ans la population musulmane est multipliée par 3,5
I l est probable qu’en 2030 la population française sera de 70.000.000 d’habitants. Et que les musulmans en France seront 28.000.000 soit 40 % de la population française. Donc, dans 20 ans seulement, près d’un habitant sur deux serait musulman. Etonnant, non, pour un pays qui n’avait aucune tradition musulmane en 1930 ?
Curieux silences sur la réalité démographique… On se demande bien pourquoi. Oh; c’est très simple: la colonisation de la France est en route.Et, par le fait, sa décadence. Nous serons très bientôt un pays « émergeant »… Laissons nos décideurs continuer à pratiquer la préférence non-nationale.
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Le samedi matin, France-Info diffuse une émission destinée à sensibiliser les enfants sur tel ou tel aspect de la société. Samedi 22 janvier, c’était « La démographie expliquée aux enfants ».Un certain Gilles Allais a d’abord indiqué que la France venait de dépasser les 65 millions d’habitants, avec une augmentation annuelle de 300 000 à 400 000 individus. Il a alors précisé que cette augmentation était due à la natalité et à l’allongement de la durée de vie. Rien, absolument rien, sur le poids de l’immigration dans l’augmentation de la population. Pourtant, Éric Besson, alors en charge de cette question, a souvent répété en 2010 que 170 000 étrangers étaient entrés sur notre territoire, en 2009.Quelles raisons peuvent amener ce « démographe » à cacher une pareille vérité ? Il n’est pas le seul. On n’entend pas beaucoup les parlementaires sur ce sujet. Pourtant, ils devraient se lever comme un seul homme, pour dire que l’immigration est aujourd’hui une catastrophe et qu’il faut absolument y mettre fin. Seuls, les partis de la droite patriotique essaient de sensibiliser l’opinion à ce danger. Mais quand l’un de leurs leaders ose parler, qui d’invasion, qui de colonisation, ce qui n’est pas vraiment faux, toute la classe politique lui tombe dessus à bras raccourcis. L’immigration coûte, chaque année, des dizaines de milliards d’euros aux contribuables. On parle de 38 milliards. Curieusement, aucun homme politique ne vient infirmer publiquement ce chiffre.Prenons la crise du logement : elle ne vient que de l’afflux des étrangers. Sinon, la France serait dotée, depuis longtemps, d’un parc de logements suffisant. La concurrence qui en découlerait bénéficierait aux acquéreurs, comme aux locataires et des milliers d’hectares de terres agricoles auraient été sauvegardés.Quand il s’agit de faire du tapage pour faire baisser tel parti dans les sondages, tout est bon. En revanche, quand des chiffres révèlent l’étendue du désastre, c’est le silence radio. Peut-être, parce que cette manne qui sort de nos poches n’est pas perdue pour tout le monde…Comme l’émission est destinée aux enfants, un jeune interlocuteur posait à Gilles Allais des questions – toutes préparées d’avance, évidemment. Je rapporte les échanges, en substance. L’enfant lui a demandé combien on serait en France, dans 50 ans. Réponse : « Entre 75 et 100 millions ». Question suivante : « Pourra-t-on nourrir tout ce monde ? » Réponse : « Bien sûr ! La France dispose d’un espace suffisant, pour accueillir et nourrir cette population ». Faux, archi-faux. Sans l’utilisation annuelle de huit millions de tonnes d’engrais artificiels (importés) et les soixante mille tonnes de produits phytosanitaires (importés), nos récoltes seraient immédiatement divisées par trois, voire quatre, parce que nos terres sont appauvries par 50 ans de surexploitation. D’autre part, nous importons 70 à 80 % de l’alimentation pour le bétail. Voilà à quoi tient notre puissance agricole. Nos exportations de produits agricoles sont aussi artificielles que nos cultures et nos élevages. C’est un château de cartes qui peut s’effondrer à tout moment.Nous ne sommes ni en Tunisie, ni en Égypte. Cependant, refuser de reconnaître la gravité des problèmes et refuser d’appliquer les remèdes évidents qui s’imposent, relève bien d’une sorte de dictature, celle de la lâcheté, qui aura à terme les mêmes conséquences qu’une dictature aveugle et brutale, quand le peuple n’en pourra plus.Source: http://www.les4verites.com/ |
Belle analyse… Je vous laisse le soin, comme moi, d’apprécier…
FDF
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Le 19 janvier 2011, le très sérieux Figaro publie en première page, illustrée par 9 adorables nourrissons blancs, que :
Nous voilà rassurés et la France se porte bien sur le plan démographique, à ceci près que :
Sinon, comment expliquer que, selon Michelle Tribalat, Directeur de Recherches à l’INED, en 2005 37 % des Jeunes de moins de 20 ans en Ile-de-France sont d’origine étrangère, 18,1 % pour la France métropolitaine ? (2) Sont-ils tombés du ciel ou nés dans des choux ?
En fait, tout se passe comme si l’INSEE (et l’INED), avec la complicité bienveillante du gouvernement et de la presse, avaient honte de faire connaître à l’opinion publique la part croissante des communautés d’origine immigrée dans la fécondité, la natalité et la population dans son ensemble, alors qu’au regard de l’idéologie politiquement correcte ils devraient en être… fiers.
A cet égard, on reste confondu que les associations dites communautaristes, (LICRA, MRAP, Ligue des Droits de l’Homme, SOS Racisme), d’ordinaire si promptes à stigmatiser le moindre signe raciste, aussi imperceptible qu’il soit, restent muettes devant ce qu’il faut bien considérer comme une manifestation éclatante de racisme.
Yves-Marie Laulan
Institut de géopolitique des populations
Source: http://www.polemia.com/
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En matière démographique, les Russes sont moins naïfs que les Européens de l’Ouest déniant les catastrophiques réalités, endoctrinés par la nouvelle religion droit-de l’hommiste ! Les Occidentaux ont raillé la Russie qui doit faire face au déclin de sa population, mais s’ils ont effectivement bien vu la paille dans l’œil de la Russie, ils ont oublié la poutre de l’immigration extra-européenne qui était dans le leur ! Certes les Russes vont connaitre encore des moments très difficiles, mais suite aux mesures prises par les présidents Poutine et Medvedev, ils font face et vont s’en sortir progressivement, sans compromettre leur avenir et leur identité, alors que les élites dirigeantes de l’Europe de l’Ouest commettent un crime, une trahison inadmissible ,celui de porter atteinte à la patrie charnelle des peuples européens, en acceptant des masses d’immigrés (l’immigration continue derrière les rideaux de fumée médiatiques avec le Président Sarkozy, soit 250 000 personnes par an et une agglomération comme Lille tous les 3 ans) dont beaucoup sont pratiquement inassimilables, principalement en provenance de l’Afrique.
Europe de l’ouest à l’image de la Bosnie, du Kossovo, du Liban, de l’Afrique de l’ouest
Aujourd’hui, les perspectives réelles de l’Europe de l’Ouest, c’est à terme une inéluctable guerre civile comme en ont connu le Liban, la Bosnie, le Kosovo, la Géorgie, les pays africains, Ceylan.., si des mesures favorisant la natalité des populations de souche européenne ne sont pas prises immédiatement. A contrario l’avenir appartient toujours à la Russie, au-delà de difficultés structurelles, suite en particulier, à la catastrophique décennie de 1990 à 2000 avec une natalité en chute libre et une perte de population de 800 000 individus par an, pendant l’ère de Boris Eltsine. Le déclin démographique, le mal être, la baisse de la natalité de la Russie avait commencé en fait, dans les années 80, dès les premiers signes de l’essoufflement et de l’implosion à venir de l’URSS. En 2007, au moment même où Poutine exposait son projet de stabilisation démographique, la Russie ne comptait déjà plus que 142 millions d’habitants, alors que la population était encore de 150 millions en 1992. Un rapport présenté en Russie en 2007 et largement diffusé par l’agence Novosti illustrait de manière criante l’érosion inéluctable : chaque heure, la Russie perd cent habitants ; toutes les vingt et une secondes, on enregistre une naissance, mais une mort se produit toutes les quinze secondes(1).
Russie : une opinion publique hostile à l’immigration
En Russie, l’opinion publique est hostile à l’immigration. Contrairement aux affabulations de l’Occident, même si le « péril jaune » passe pour très réel à terme, plus particulièrement en Sibérie et en Extrême Orient, il y a à ce jour en Russie , un maximum de 400 000 Chinois, selon Zhanna Zayonchkouskaya, Chef de laboratoire de migration des populations de l’Institut National de prévision économique de l’Académie des Sciences de Russie, et non pas plusieurs millions comme cela a pu être annoncé. Les Russes ont veillé au grain et ont pris des mesures très sévères pour éviter une possible migration de masse.
Le rapatriement des Russes hors frontières
La seule immigration qui a été favorisée est le rapatriement de Russes établis dans les anciennes républiques soviétiques (Kirghizstan, Kazakhstan, Pays baltes, Turkménistan.). Des villes comme Vladivostok, Irkoutsk, Khabarovsk, Irkoutsk, Krasnoïarsk et même Blagovetchensk, à la frontière chinoise, sont des villes européennes avec seulement quelques commerçants ou immigrés chinois en nombre très limité. Une invasion aurait pu avoir lieu en Extrême Orient dans les années 1990, tant la situation s’était dégradée. Il est à remarquer que les migrants chinois de l’époque ont profité du laxisme et de l’anarchie ambiante pour filer à l’ouest de la Russie. Être clandestin n’est pas aisé aujourd’hui en Extrême Orient et en Sibérie : la frontière est relativement imperméable; le risque est grand ; les hôtels sont sous contrôle étroit ; le chaos qui suivit l’éclatement de l’URSS est déjà loin.
Quelques millions d’immigrés en provenance du Caucase
Quant aux immigrés en Russie de l’Ouest en provenance du Caucase (Géorgie, Arménie, Azerbaïdjan) ou de l’Asie centrale (Tadjikistan), ils sont quelques millions, dont beaucoup de clandestins, mais ne représentent aucun danger ou aucune menace réelle à ce jour sur le territoire russe tant par leur nombre, que par leur implantation contrôlée d’une façon très étroite par la police et les autorités. La population russe autochtone les perçoit souvent d’une façon très défavorable avec des sentiments nationalistes, comme a pu le montrer l’émeute villageoise pendant plusieurs jours à Kondopoga en Carélie, en septembre 2006, à l’égard de communautés caucasiennes, principalement tchéchènes.
Natalité à relever et politique nataliste
La Russie a réagi à la crise démographique selon le bon sens, en pensant courageusement et d’instinct natalité à relever. Dès 2003, suite à la proposition du député conservateur Alexandre Tchouev, le Parlement a supprimé la pratique de l’IVG pour raisons sociales ; l’avortement n’est autorisé qu’en cas de viol, si la mère est déchue de ses droits parentaux, ou si le père est handicapé. En mai 2006, le Président Poutine a confirmé la mise en place d’une politique nataliste. Cette politique permet aux mères de bénéficier d’une « prime de maternité » importante (1 250 000 roubles, soit 17 350 euros (en 2006) pour la naissance d’un second enfant et 1 300 000 roubles (18 825 euros pour le troisième). Depuis février 2006, des « certificats de naissance » ont été introduits dans les maternités : remplis lors de la naissance d’un enfant, ils permettent à la mère de toucher sa « prime de maternité » et à la sage-femme de bénéficier d’une « prime d’assistance » de 10 000 roubles (294 euros) pour chaque enfant né dans son service.
La Russie a dû aussi faire face à un véritable drame humanitaire en matière de logement avec l’absence d’espace physique pour l’enfant qui conduisait à l’enfant unique. La construction, en plein essor, devrait contribuer au redressement de la natalité. Le logement, l’éducation, l’agriculture et la santé constituent les quatre « projets nationaux » des perspectives 2020 pour la Russie. Aux États-Unis, le « baby boom » avait été la conséquence d’une migration de masse des centres-villes vers les banlieues, « vers la terre ».
La remontée de l’espérance de vie
L’espérance de vie, selon Boris Revitch du Centre de démographie russe, était de 59 ans pendant les années 1990 à la naissance, soit vingt ans de moins qu’en Europe occidentale. Elle est aujourd’hui en 2011, supérieure à 69 ans. Les fléaux que la Russie devait affronter au début des années 2000 en matière démographique étaient en ordre de grandeur les suivants : l’alcoolisme (34 500 morts par an), le tabagisme (500 000 morts par an), les maladies cardio-vasculaires (1,3 millions de morts par an),le cancer (300 000 morts par an), le sida, les accidents de la route (39 000 morts par an ), les meurtres (36 000 par an), les suicides (46 000 par an), la déficience du système de santé qui faisait la fierté de l’URSS et qui est devenue une catastrophe sanitaire. La mortalité infantile, 11 pour 1000, est deux fois plus élevée que dans l’UE. Au delà de la nouvelle législation en place, des progrès doivent encore être faits pour la diminution du nombre d’avortements qui a diminué de 25% entre 2003 et 2008, mais on recensait tout de même encore 1,234 millions d’avortements en 2008,pour 1,714million de naissances de la même année ! Par ailleurs la Russie doit faire face à un effet d’hystérésis, suite à la structure de sa population et à toutes ces années catastrophiques, ce qui a généré un rétrécissement de la strate de population en âge de procréer.
Retour aux valeurs traditionnelles et sortie de l’habitude de l’enfant unique
Le retour aux valeurs traditionnelles, à la religion orthodoxe devrait aussi contribuer à sortir de l’habitude de l’enfant unique .Tout progrès réel repose en fait sur une révolution des mentalités favorisant la famille nombreuse. Il semble que la situation à ce sujet soit moins désespérée en Russie qu’en Allemagne. Le président Medvedev a proposé en 2010, en plus des mesures Poutine ci-dessus mentionnées, une réduction d’impôts de trois mille roubles (72 euros) par mois et par enfant à partir du troisième enfant. Pour les autres familles avec enfants, il s’est déclaré également favorable à une réduction des impôts, sans pour autant donner de chiffres. Un exemple anecdotique, mais hautement symbolique de l’attitude politique russe envers les familles et les naissances, est la campagne officielle « Donnez naissance à un patriote pour la fête de l’Indépendance de la Russie », dans la région d’Ulyanovsk située à environ 850km à l’est de Moscou, campagne dotée de prix, dont le premier est une voiture !
En 2005, la population avait décru de 760 000 habitants, ce qui était le record absolu. En 2006, la baisse ne fut que de 520 000 habitants, puis 280 000 habitants en 2007, 116 000 habitants en 2008. La bonne nouvelle, c’est qu’en 2009 avec 1,76 millions de naissances, 1,95 millions de décès, 100 000 émigrants, et 330 000 naturalisations, la population russe a augmenté pour la première fois depuis 15 ans de 50 000 habitants. Le taux de fécondité de 1,9 enfants par femme en 1990, tombé à 1,1 enfant par femme en 2000, est remonté à 1,56 enfants par femme en 2009, soit un taux similaire à celui de l’Union européenne qui était de 1,57enfants par femme en 2008.
Vers le retour à l’équilibre ?
Trois prévisions démographiques majeures ont été envisagées pour la démographie en Russie en 2010. Selon une prévision estimée mauvaise du ministère de la santé russe, la population devrait continuer à baisser pour atteindre 139.630.000 habitants en 2016 et 128 000 000 d’habitants en 2030.Le taux d’immigration resterait faible autour de 200 000 personnes par an pour les 20 prochaines années.
Selon une prévision estimée moyenne du même ministère, la population russe devrait légèrement augmenter jusqu’en 2016 pour atteindre 142 160 000 habitants, puis recommencer à légèrement baisser, de 200 000 ou 300 000 habitants dès 2020 pour atteindre 139 372 000 habitants en 2030. Le taux d’immigration serait contenu à une moyenne de 350 000 nouveaux entrants/an, ce qui est à peu près la moyenne de 2009, année durant laquelle 334 500 étrangers et apatrides ont reçu la nationalité russe. Une partie étant d’origine russe ou ukrainienne.
Selon une prévision haute toujours du même ministère de la santé, la population devrait augmenter à près de 144 000 000 d’habitants en 2016 et continuer à augmenter jusqu’à 148 000 000 en 2030. Le taux d’immigration serait plus élevé dans cette variante, soutenant la hausse de la population et avoisinerait les 475 000 nouveaux entrants/an. D’ici 20 ans, on arriverait à une « immigration » équivalente à 8% de la population du pays. Celle-ci serait principalement du Caucase et de la CEI, donc de populations post-soviétiques, russophones, dont des communautés sont déjà présentes en Russie et pas foncièrement déstabilisantes.
La Russie à l’écart des erreurs occidentales ?
En conclusion, la hausse de la natalité est le résultat de la politique volontaire de Vladimir Poutine, de Dimitri Medvedev et de leurs gouvernements. La baisse de la natalité dans les pays occidentaux, elle, est le résultat de la politique volontaire de l’oligarchie mondialiste au pouvoir qui ne tient pas compte des causes qu’elle a créées : déchristianisation, corruption des mœurs, libéralisation de la contraception, de l’avortement, de l’homosexualité, féminisme et travail des femmes, destruction des petits agriculteurs, regroupement des populations dans les métropoles, diminution des allocations familiales – qui ne sont plus réservées aux citoyens français de souche, mais bien au contraire de plus en plus aux populations immigrées, ce qui est le comble de la bêtise et du suicide programmé – bref, ce qu’on appelle « la Culture de mort ». Déjà Emmanuel Le Roy Ladurie, membre de l’Institut, remarquait que la France reste un pays où le pourcentage des avortements (220 000 par an) égale le taux de mortalité des bébés âgés de moins d’un an au temps de Louis XIV. Peut-on vraiment parler de progrès dans ces conditions ?» L’oligarchie mondialiste considère que l’unique remède contre la dénatalité est l’immigration. L’objectif est de fabriquer à l’échelle planétaire, une population d’apatrides et de déracinés opposés les uns aux autres dans une guerre civile mondiale, les peuples devenant des minorités dans leurs propres patries. (2)
Voici un PPs guère amusant. Mais oh combien réaliste. Du moins si on ne réagit pas immédiatement…
FDF
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Dire qu’en plus, ils ont droit aux allocations familiales pour s’être reproduits… On les paye pour nous envahir. Regardez la vidéo qui suit. Edifiant. Si c’est ça notre futur…
FDF
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Citation de Boumediene ancien président algérien » Un jour, des millions d’hommes quitteront l’hémisphère sud pour aller dans l’hémisphère nord. Et ils n’iront pas là-bas en tant qu’amis. Parce qu’ils iront là-bas pour le conquérir. Et ils le conquerront en le peuplant avec leurs fils. C’est le ventre de nos femmes qui nous donnera la victoire. »
Parcourez cet excellent PPS où tout est dit, je pense. J’ose espérer qu’il en fera réfléchir et agir plus d’un…
FDF
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Ici: Le monde change
En
2009 la population française est de 62.000.000 d’habitants
Ce qui veut dire que dans 20 ans plus d’un habitant sur quatre serait musulman !
FDF
Inquiétant…
FDF
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Voir d’abord cette excellente vidéo : http://www.youtube.com/watch?v=jIzRwcg6Q2o
En 1968 la population française était de 49.700.000 habitants. Les musulmans en France étaient 610.000 soit 1,23% de la population. En 1988, la population française était de 56.000.000 d’habitants. Les musulmans en France étaient 2.000.000 soit 3,6% de la population. En 2009 la population française est de 62.000.000 d’habitants
Les musulmans en France sont 6.000.000 soit 9,7% de la population. En suivant la même croissance, puisque tous les 20 ans la population musulmane est multipliée par 3, il est probable qu’en 2030 la population française sera de 68.000.000 d’habitants. Les musulmans en France seront alors 18.000.000 soit 26,5 % Ce qui veut dire que dans 20 ans plus d’un habitant sur quatre serait musulman ! Etonnant pour un pays qui n’avait aucune tradition musulmane en 1930. Alors, à quoi ressemblera la France dans 20 ans puisque l’Islam est une religion conquérante qui refuse toute cohabitation avec d’autre religion ? Des églises seront elles incendiées comme on peut le voir dans certaines parties du monde ? Verrons-nous apparaître des formations politiques de type HAMAS ou HEZBOLLAH s’implanter en France ? La laïcité de l’Etat sera-t-elle remise en question ? L’égalité des droits homme-femme existeront-ils toujours, puisque c’est déjà remis en cause dans les banlieues ? La viande Hallal (+ casher) sera-t-elle obligatoire, avec toutes les souffrances que cela représente pour les animaux, puisqu’ils sont égorgés vivants ? Une chose est certaine c’est que la France de 2030 ne ressemblera pas à la France de 2010. Je vous laisse à votre méditation…
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Houari Boumedienne président algérien, discours à l’ONU en 1974.
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http://www.youtube.com/watch?v=Hzus85ToHLg&feature=player_embedded