Le gentil « jeune issu de l’immigration » Achref Chérif avait menacé de mort Christine Tasin. Bien mal lui en a pris. Souhaitons que cette affaire soit suivie d’autres bonnes nouvelles de ce genre…
FDF
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Le gentil « jeune issu de l’immigration » Achref Chérif avait menacé de mort Christine Tasin. Bien mal lui en a pris. Souhaitons que cette affaire soit suivie d’autres bonnes nouvelles de ce genre…
FDF
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Heureusement que le blasphème n’est pas « encore » interdit par la loi, en France. Mais les *« heurtés » ne veulent pas en rester là…
FDF
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La citation est nulle car le procureur n’a visé que l’article 24 de la loi de 1881 dans sa globalité, et non l’alinéa précis qui réprime la haine raciale, a précisé la présidente du tribunal. L’homme était poursuivi pour incitation à la haine raciale.
Agé de 30 ans, cet habitant de Bischheim, une ville de l’agglomération strasbourgeoise, avait posté début octobre une vidéo sur internet dans laquelle il brûlait une édition du Coran puis urinait sur les cendres « au nom de la liberté« .
« Du pur blasphème et non de la provocation à la haine raciale »
L’identité et les coordonnées de l’homme, qui apparaissait à visage découvert au début de la vidéo et se faisait connaître sous le pseudonyme de Caliméro, étaient diffusées dans un message d’introduction.
« Je peux comprendre que des associations musulmanes aient eu le sentiment d’avoir été heurtées dans leur conscience », a déclaré Me Bettcher. « Mais pour moi c’est du pur blasphème et non de la provocation à la haine raciale. Et le blasphème est encore possible dans notre république laïque », a-t-il ajouté. « Il y a eu une surenchère dans la provocation avec d’autres internautes. C’est potache, même si on a vu des comiques plus drôles », a encore estimé Me Bettcher.
Dans ce film amateur de mauvaise qualité qui dure près d’une heure, l’homme, arborant un masque de diable, découpait d’abord une page du livre saint musulman pour en faire un avion qu’il lançait sur deux verres censés représenter les tours jumelles du World Trade Center. Puis il enflammait cette page du Coran à l’aide d’alcool à brûler, avant de mettre le livre entier au feu dans un saladier et d’éteindre les flammes en urinant dessus.
Surtout, ne rigolez pas trop fort. Il y en a qui pourraient se vexer…
FDF
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Planche extraite de “Mohamed’s Believe it or else” (voir plus bas).
Les dessins sont basés sur les récits de la vie de Mahomet, tels que relatés dans le coran et dans la tradition islamique (les sources et les citations sont données en fin de planche). Nous avons traduit les seuls dessins.
• La même planche en grand format : ici
• La même planche en anglais : ici
• La même planche en anglais grand format : ici
Les lecteurs les plus pointus sont invités à nous fournir les liens et les sources “officielles” en français des textes que cette BD illustre (références en anglais à la fin de la planche).
La planche est extraite de cet ouvrage :
Nous signalons qu’une version française complète de cette BD existe sur internet. Réalisée par un (très mauvais) amateur, elle est épouvantablement traduite et graphiquement hideuse. Nous l’avons. Nous la déconseillons résolument. Et nous ne donnerons pas le lien.
Complément :
Nous rappelons que toute représentation humaine sous toutes ses formes, par le dessin ou la caricature, est interdite par les théologiens les plus traditionalistes de l’islam sunnite. Al-Azhar, la plus haute autorité sunnite dans le monde, maintient l’interdiction formelle de toute représentation de Mahomet.
Bivouac-ID est donc heureux de vous proposer cette planche de BD humoristique blasphématoire, et représentant très précisément Mahomet sous les traits d’un psychotique profond dont les hallucinations et le délire mystique lui vaudraient aujourd’hui un sévère traitement neuroleptique et/ou une série d’électrochocs.
Sur la soi-disant “interdiction de représentation” de Mahomet, les lecteurs les plus curieux consulteront avec profit ce remarquable site.
source : bivouac-id.com
Encore pillé chez Gérard Brazon…
FDF
A la suite des différents articles parus à ce sujet sur Riposte-Laïque comme sur mon blog Puteaux-Libre, Jean Patrick Grunberg nous donne son avis sur Drzz.fr. Le moins que l’on puisse dire est qu’il conforme à nos pensées. A celles de tous les Français d’ailleurs un tant soi peu réalistes et conscients que l’islamisation rampante gagne du terrain dans notre pays y compris à l’un des niveaux le plus haut: L’Assemblée Nationale par l’intermédiaire du Président Bernard Accoyer!
Gérard Brazon
Paris, 30 septembre 2000.
Les présidents français, américain et russe dinent au restaurant de l’hôtel de Crillon, place de la Concorde à Paris. Le restaurant est bien entendu sous haute surveillance.
Jouant à cache cache avec la sécurité, une diseuse de bonne aventure se glisse jusqu’à leur table, et leur tend, à chacun, un livre.
“Ouvrez et lisez : ces livres vous montreront l’avenir. Vous verrez à quoi ressemblera votre pays dans dix ans”.
Le Président américain ouvre son livre et découvre que les États Unis sont enfin amis et alliés des Russes, que le dollar a été adopté par l’Europe comme monnaie officielle, que le cinéma hollywoodien a été reconnu par les élites de gauche comme le vecteur principal de la culture contemporaine, et que les restaurants Mc Donald sont entrés au guide Michelin. Tout heureux de ces bonnes nouvelles, il encourage le Président russe à regarder son livre.
Le Président russe se met à lire tout haut : la Russie a réglé tous ses problèmes économiques, elle s’est mise à produire des armes que le monde entier s’arrache, l’opposition travaille main dans la main avec le gouvernement en place, et la mafia a été anéantie.
Le Président français, tout excité, ouvre à son tour son livre, et s’exclame : “ mais… je ne comprends rien ! Qu’est ce qui est écrit ? ”
Le Président russe regarde le livre et lui dit : “ moi non plus je ne comprends rien, c’est tout écrit en arabe ”.
Cette blague, beaucoup d’entre vous la connaissent. Je vous la raconte principalement pour nous souvenir qu’elle a un peu plus de dix ans. Et que le 30 septembre 2010, elle a cessé d’être une blague.
Car le 30 septembre 2010, l’Assemblée Nationale, en la personne de son président Bernard Accoyer, s’est conformée aux lois de la Sharia. La Sharia, c’est la loi de l’islam que les Frères Musulmans, profondément infiltrés en France, représentés par Tarik Ramadan, se sont donnés pour mission de mettre en application partout où il y a des musulmans. Sans se presser, un pas à la fois.
La première loi à appliquer : l’interdiction de critiquer la religion musulmane. En terre d’islam, on ne rigole pas avec la religion de Mahomet. La critiquer est une faute majeure, très sévèrement punie pour un non musulman, une faute sanctionnée par la peine de mort pour un musulman. Elle fut, pour la première fois, appliquée contre Salman Rushdie, lequel a été condamné à mort. Cette loi d’interdiction de critiquer l’islam vient d’être appliquée par Bernard Accoyer, président de l’Assemblée Nationale.
La seconde : l’autorité religieuse et l’autorité politique ne font qu’un, il n’y a pas de séparation entre l’État et la religion, laquellerythme le fonctionnement de la société. Chaque fois qu’une contradiction survient entre la loi de l’islam et celle de la République, c’est la loi de l’islam qui l’emporte. Il en va ainsi de la polygamie, du port du voile, de l’interdiction de faire pipi sur un coran. La liste, vous en serez les témoins et les victimes, est destinée à s’allonger progressivement, un pas à la fois. Cette loi de confusion du politique et du religieux vient aussi d’être appliquée par Bernard Accoyer.
La troisième : selon les docteurs de la loi islamique, la démocratie et la liberté d’expression sont les errements d’un Occident décadent, car nul être humain n’est en droit de discuter la parole divine, exprimée dans le coran, et qui règle tous les aspects de la vie des hommes. Seule l’obéissance et la soumission aux textes « sacrés » est acceptable, et toute discussion est blasphème. Là encore, Bernard Accoyer, président de l’Assemblée Nationale, a jugé qu’il fallait supprimer la liberté de débat sur le thème de l’Islam.
Mais qu’est ce que ce Bernard Accoyer a fait de si grave, puisqu’on n’en a pas entendu parler à la télé ?
Il s’est tout simplement opposé à la tenue d’un débat sur l’islamisme, qui avait été organisé par les démocrates républicains (etnon pas, par d’affreux racistes) du parti politique « La Droite Libre », affilié à l’UMP, un débat qui devait se tenir à l’Assemblée Nationale le 30 septembre 2010.
Il a annulé ce débat démocratique à la demande de l’autorité responsable du culte musulman.
Et les raisons que le Président de l’Assemblée Nationale a jugé suffisantes pour annuler la réunion laissent perplexe. (1)
Car le CFCM* affirme, pour légitimer sa demande, qu’il s’agit “ d’un débat organisé par des personnalités connues pour leurs prises de position outrancières et caricaturales contre l’islam ”. On pourrait se demander comment un parti politique dont les cadres ont des positions outrancières sur l’islam, a pu recevoir l’agrément de l’UMP. On pourrait se le demander, mais ce serait passer à coté du vrai sujet, à savoir qu’en France, depuis ce 30 septembre 2010, sont exclus du droit à la liberté d’expression, ceux qui affichent des positions » outrancières et caricaturales sur l’islam « . On en n’est plus à la censure des discours de haine des xénophobes de l’extrême droite. Non. On est passé à la vitesse supérieure. Il suffit maintenant d’être » outrancier et caricatural » pour être censuré. Prochaine étape : la lapidation ?
Les bobos « anti-racistes », avec leur rengaine sur les » bienfaits de la diversité culturelle », savent très bien que les Français, s’ils s’exprimaient par référendum, refuseraient qu’on adapte notre culture judéo-chrétienne à celle des musulmans. Ils réclameraient exactement l’inverse.
Seulement voilà, c’est eux, les bobos « anti-racistes » qui tirent les ficelles. Et ils savent mieux que les gens ce qui est bien pour eux, les bobos « anti-racistes ». Ce qui surprend, c’est que l’Assemblée Nationale, symbole de la démocratie, supposée représenter le peuple, majoritairement à droite, s’y mette aussi. Comment s’est elle laissée gangrenée par ces dogmes musulmans antidémocratiques et destructeurs de la race blanche, et par les thèses post-colonialistes de la gauche, mystère et boule de gomme. Et dire qu’il a suffit d’un simple coup de téléphone du CFCM, pour que l’Assemblée Nationale se mette au garde à vous et interdise ce débat sur l’islam ! Posons nous la question : combien d’organisations ont le pouvoir, sur un coup de fil, de dicter sa conduite à l’Assemblée Nationale ?
Et bien entendu, vous n’avez pas entendu hurler les défenseurs des droits de l’homme. Ceux là, s’il n’y a pas écrit « Gaza » ou »palestiniens » sur une dépêche AFP, ils ne la lisent même pas.
J’ai questionné quelques amis français au sujet de ce débat et de son interdiction. La plupart n’étaient même pas au courant : merci la presse. Et les autres s’en moquaient. C’est si loin de leurs préoccupations journalières. Si loin de la crise économique avec laquelle ils se débattent au quotidien. On en viendrait presque à se demander si la crise n’est pas le nouvel opium du peuple. Comme en Russie : quand le peuple est affamé, il est trop préoccupé pour se révolter. Même chose quand il rame.
Regardez autour de vous, chers amis français : en apparence, rien n’a changé. Doucement, à votre insu, sans que rien ou presque ne vienne modifier votre mode de vie, vos habitudes et vos repères, l’islam s’est renforcé au point d’être capable de cet exploit : faire interdire un débat à l’Assemblée Nationale de la République islamique de France.
Jean-Patrick Grumberg
(1) http://www.lecfcm.fr/?p=2197
* Conseil Français du Culte Musulman
Source: http://tinyurl.com/2fp94b7
Résistance républicaine remarque l’agitation médiatique créée autour d’un fait divers : un homme a incendié le Coran, et a uriné dessus. Ce fait a circulé sur facebook. Le délégué général de la Grande Mosquée de Strasbourg, Abelaziz Choukri, annonce qu’il va déposer plainte pour « racisme ». Le maire de Strasbourg, Roland Ries, considérant que les actes de racisme se multiplient dans la région, lance, de manière médiatique, un appel à un Front républicain contre le racisme, entouré du professeur Nisand et de Faruk Günaltay.
Résistance Républicaine, bien que perplexe quant aux raisons de l’action de cet homme, ne s’étonne pas de la démarche d’Abelaziz Choukri, qui amalgame à du racisme un acte hostile à une religion. Ce dignitaire religieux ne fait que relayer, sur notre territoire, la démarche de l’Organisation de la Conférence Islamiste (OCI) qui, forte de 57 pays, au sein de l’Onu, fait pression sur les Etats pour réintroduire le délit de blasphème. La France, où règne une grande liberté d’expression sur le fait religieux, est particulièrement visée par cette campagne, comme on l’a vu lors de l’affaire des caricatures, où, en 2007, les dessinateurs de Charlie Hebdo avaient été traînés devant les tribunaux, et finalement acquittés.
Il est plus surprenant qu’un élu de la République reprenne cette campagne, et l’instrumentalise. Le maire de Strasbourg devrait savoir que l’islam n’est pas une race, mais une idéologie politico-religieuse. C’est galvauder le nécessaire combat anti-raciste que de l’amalgamer à une critique, certes sous forme provocatrice, d’un livre religieux dont certains passages appellent, par ailleurs, ouvertement à la haine et à la violence contre les athées, les homosexuels, les juifs et les femmes. Résistance Républicaine s’est d’ailleurs étonné que le maire de Strasbourg décore le président du CFCM, Mohammed Moussaoui, de l’ordre du mérite de la Ville, alors que l’action essentielle de cet homme, jusqu’à ce jour, consiste à faire progresser l’islam, et à faire reculer la laïcité et la liberté d’expression dans notre pays, comme l’a montré sa demande d’annulation d’un débat organisé par la Droite Libre, le 30 septembre, au Parlement.
Résistance républicaine s’étonne que l’auteur de la provocation ait été longuement entendu par la police, quand un imam intégriste a pu tenir des propos appelant à la guerre civile à Limoges, sans aucun problème avec les forces de l’ordre. Elle remarque le décalage entre l’absence de réaction des dignitaires religieux musulmans quand des supporters de football algériens brûlent le drapeau français, à Toulouse, et le remplacent par le drapeau algérien, devant des policiers passifs, et ce fait divers.
Résistance Républicaine avait appelé, à Strasbourg, à célébrer, le 4 septembre, le 140e anniversaire de la IIIe République. A cette occasion, nous avons été confrontés à la violence verbale et aux intimidations physiques de nombre de jeunes de culture arabo-musulmane, sans que cela n’émeuve outre-mesure MM. Choukri et Ries.
Résistance Républicaine appelle à lutter contre les racismes et tous les appels à la haine, et fait remarquer, contrairement au discours politiquement correct des organisations dites anti-racistes, que les mots « sales blancs », « sales cefrans » et « sales juifs » sont de plus en plus souvent entendus, sans oublier les paroles de certaines chansons de rappeurs, et ne suscitent pas l’ampleur de la réaction qu’un simple fait divers mettant en cause le coran provoque d’une manière démesurée.
Résistance Républicaine ne peut donc que s’interroger sur le sens de ce « deux poids deux mesures ».
Et pourtant, notre code pénal n’est pas affilié à une République religieuse, à ce que je sache ? Et pourtant… La préférence non-nationale fait encore ses misérables preuves. Un muzz est outré et c’est toute la Nation qui se trouve sous l’épée d’un régime autoritaire. Mais où est la France? Notre France.
Je suis certain que si un muzz avait fait pire (brûler une bible en public, par exemple) « ON » n’aurait pas médiatisé à l’extrême comme dans ce cas et provoqué une mini-révolution. N’ai-je pas raison?
Et puis, le type en question n’a fait qu’uriner sur le coran. Il aurait pu vomir dessus; comme en rêvent beaucoup de « résistants »… A une certaine époque, la résistance était punie sévèrement. C’était à l’époque où l’on redoutait d’entendre des bruits de bottes dans nos rues envahies. Aujourd’hui, on tremble à l’idée d’entendre le bruit des babouches…
FDF
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Ce week end, un fait divers a eu lieu, comme il s’en déroule tant, sauf que celui-ci est un peu particulier :
Je résume brièvement : un homme, pour une raison indéterminée, se décide à arracher des pages du coran, le gribouiller, pour finir par le brûler et uriner dessus. Un internaute, outré, connaissant la personne, va le dénoncer et donner son numéro de téléphone. Ce qui va permettre au délégué général de la grande mosquée de Strasbourg de contacter l’homme en question, et, évidemment, de porter plainte.
Analysons ce fait totalement banal. Banal parce que idiot : il existe des centaines de milliers, que dis-je, des millions de vidéos où des personnes effectuent des actes stupides, s’auto-brûler leur arrière train, vouloir casser un cd avec sa tête, frimer avec son vélo avant de tomber face devant, mixer un ipod, etc, etc.
Car, oui, j’estime que cet acte est idiot, je ne vois pas bien l’intérêt de brûler un livre, quel qu’il soit, cela ne fait avancer en rien le débat, autant expliquer pourquoi nous ne sommes pas d’accord avec le livre, en démontant, si il le faut, page après page, ses théories ; mais il est vrai que cela prend du temps et du travail. Ceci dit, au final, nous aurions quelque chose de bien plus constructif.
Mais dans ce cas précis, l’homme a été interpellé, ce qui est très grave, pour plusieurs raisons.
En premier lieu, revenons en arrière. Souvenez vous, en juin 2008. Un tollé médiatique s’était soulevé suite à une dénonciation d’un sans papier (http://www.lemonde.fr/societe/article/2008/06/27/une-assistante-sociale-denonce-un-senegalais-sans-papiers-a-la-police_1063658_3224.html ), ou des questions de secret professionnels, de citoyennetés, puis, forcément, des « heures sombres de la France », de la gestapo, ont été mis en avant, parce que, pour les bien pensants de la première heure, la personne n’avait aucun devoir de dénoncer cette personne.
Dans le cas précis, nous revoici face à une dénonciation, découlant d’une personne simplement outrée. A cette personne, je lui conseille de fermer à jamais son navigateur internet, parce que des vidéos outrantes, et ce, dans tout les domaines, il en existe des millions.
Sauf que la, personne n’a dit un seul mot sur cette dénonciation grotesque, tout les esprits étant tournés vers l’acte en lui-même, et non son dénonciateur.
En second lieu, l’acte du délégué général de la grande mosquée : comment peut-il se permettre d’appeler cet homme ? Je crains que ce n’est que du vent pour tenter de nous faire croire l’ouverture d’esprit de la personne : s’il l’appelle, c’est qu’il veut régler cette histoire de manière cordiale ? Que nenni, il portera quand même plainte. Alors, quelle était l’utilité de se permettre de l’appeler ? Encore une fois, ils se permettent de prendre la place de la justice et donnent des leçons….
« J’étais surpris par sa réaction. Pour lui, cela semblait tout à fait normal. Il semble être dans la provocation sans se rendre compte de la gravité de ses actes. »
Mais, monsieur, cet acte est en effet tout à fait normal. Stupide, oui, certainement. Mais aucunement condamnable, et je vais vous expliquer pourquoi.
Contrairement à ce que prétend le procureur de la république Gilles Delorme, brûler un coran n’est pas une « incitation ou provocation à la haine raciale ».
En premier lieu, rappelons que l’islam n’est pas une race : il y’a des musulmans en France, en Russie, en Algérie, etc. Comment peut-on encore parler de haine raciale dans ce cas ? Cet argument est quasiment toujours utilisé, nous nous devons de le remettre à sa place : le mensonge.
De plus, comment, en brulant un livre, peut-on parler de haine raciale ? En brûlant un livre, cela démontre notre mépris pour sa thèse, sa prose, ses idées. En aucun cas, on ne brûle les personnes qui y adhèrent. Par contre, brûler le drapeau français ou américain, ou se torcher avec, c’est non seulement brûler toutes les valeurs du pays, mais aussi toutes les personnes qui ont adherés à ce pays. Et pourtant, à ma connaissance, à part l’affaire du concours fnac, jamais personne n’a été condamné pour cela, alors même qu’une loi existe en ce sens.
Seulement, pour les musulmans, le coran a un caractère sacré, et c’est pourquoi, au niveau de l’Onu mais aussi en France, ils tentent de remettre au goût du jour le délit de blasphème. Blasphème, qui, en passant, « comme le rappelle l’Encyclopédie catholique, le blasphème ne concerne que le domaine de la religion » (http://fr.wikipedia.org/wiki/Blasph%C3%A8me ), ce qui signifie, que le terme même de blasphème n’a aucune valeur dans une république laïque, parce que la religion est une affaire privée..
Pour les musulmans, porter atteinte au coran est plus grave qu’attenter à une vie non musulman. Il existe des milliers de preuves qui vont en ce sens : lors de chaque massacre perpétrés par des islamiques le revendiquant, pas une seule structure musulmane n’a jamais condamné quoi que ce soit, pas une seule, jamais..
Par contre, dès qu’on parle en mal du coran, pour quelque raison que ce soit, même si on ne fait que de le menacer sans en faire acte (cf l’histoire du pasteur qui voulait le brûler), là, nous retrouvons des millions de musulmans, de par le monde, qui débarquent dans les rues pour protester, le visage haineux, contre l’Occident en général, menaçant de mort toute entorse à leurs règles.
Cette histoire prouve, une fois de plus, que pour les musulmans, la vie d’un homme ne vaut strictement rien par rapport au coran. La loi des hommes, et ils le disent de plus en plus ouvertement, ne vaut rien face à celle du Dieu. Mais cela signifie, au final, que la vie des hommes ne vaut rien. Et leurs actions, protestations, leurs paroles, tout va en ce sens. Au sens contraire aux droits les plus fondamentaux qui ont été mis en place après des siècles d’Histoire, alors même que la leur s’est arrêté au VIIè siècle…
Le problème, c’est que, petit à petit, le poison de leur pensée s’insère dans notre propre mode de pensée, à force d’en parler partout, et déjà, nous voyons des procureurs de la république avoir des pensées et des paroles allant dans ce sens : « incitation ou provocation à la haine raciale ».
Seulement, ce discours sera rapidement remplacé par le délit de blasphème, alors même que ces notions n’ont rien en commun. C’est le nivellement par le bas de la pensée, le retour de la pensée des mœurs qui fait tant de mal dans les pays musulmans, qui osent porter le nom de « police », alors même que leur but, ce n’est pas le maintien de l’ordre public (la définition du mot), mais bien le maintien de l’ordre religieux…
Source: http://www.ripostelaique.com/Strasbourg-va-t-on-reintroduire-le.html