Francaisdefrance's Blog

27/02/2012

Menaces de mort de la part de Forsane Alizza: on attend QUOI pour les « atomiser » ???

Les « cavaliers de la fierté »…

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Spécialement dédié à Sos Francophobie..

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Nous, les sites « Résistants » et patriotes vivons sans cesse avec une épée de Damoclès au dessus de la tête: il ne faut pas dire ci, il ne faut pas dire ça, ça risque de heurter les muzz, risque d’incitation à la haine (crime des plus horribles), etc… Chez Forsane Alizza, on appelle au meurtre des juifs et des chrétiens, sans vergogne.

SOS Racisme et les autres défenseurs de la veuve et de l’orphelin (étranger ou issu de l’immigration) ont un oeil sur tous les sites et blogs qu’ils qualifient de « fascistes » (ils ne connaissent même pas le sens du mot « fasciste »)… Je dis « un oeil » mais c’est plutôt par dénonciations qu’ils agissent et s’en mettent plein les poches…

Dans le cas présent, le site de Forsane Alizza (cavaliers de la fierté…) devait être bientôt fermé, selon notre Claude Guéant national.

Mais à ce jour, la bave haineuse de ces intégristes musulmans continue à se répandre… Nous souhaiterions des explications; somme toute légitimes. Et que l’on nous réponde pas que la procédure est longue et astreignante; nous ne sommes pas complètement idiots.

FDF

Tiens, quand on aura perquisitionné leur boutique (en ligne), vous me mettrez un KEFFIEH ORIGINALE DIMENSION 120×120 cm de côté; c’est pour « offrir »…

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« Bien qu’interdit ce groupe  de musulmans haineux,  est toujours actif et annonce clairement la couleur: « Nous tuerons tous les Juifs et Chrétiens… »

(Copie d’écran du chat sur leur site internet …):

Pour plus de preuves que ces indésirables « vivent » encore: http://www.forsane-alizza.com/

Mais qu’attend le Président Sarközy pour signer le décret  de dissolution et fermer tous leurs sites??? Ils ne voteront pas pour lui, c’est certain.

Merci à JC JC…

06/11/2011

On y arrive enfin…

A mon avis, ça va se bousculer à l’embauche… Depuis le temps que les citoyens le réclamaient, cet appel. Mais attention! Si on veut du bon boulot, il va falloir laisser carte blanche à ces nouveaux citoyens respectueux de l’ordre et ne pas incorporer « n’importe qui » dans les rangs.

Bon ça risque de friter grave mais les résultats seront là. Et puis, 97 euros non imposables…

Une chose m’inquiète, pourtant: en cas de débordements (car là, il y en aura, depuis le temps que ça les démange, les Français), Guéant va certainement jouer les « c’est pas moi, m’sieur ! »

Petite remarque en passant: il y en a qui n’ont pas attendu cette proposition. Depuis fort longtemps, ils avaient la solution; et depuis un certain temps, elle était en rodage…

Seconde remarque: les forces de police n’ont pas à s’inquiéter. Ce n’est pas une police de substitution; c’est un sérieux coup de main à un corps de métier qui a trop les pieds et poings liés…

On signe où ?

FDF

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Sécurité : Guéant propose aux citoyens de faire la police !

Un récent décret permet à tout un chacun de rejoindre la réserve de la police, jusqu’ici exclusivement constituée de policiers retraités. Pour le moins risqué.

La publication du décret issu de la Loppsi 2, jeudi 27 octobre, était passée presque inaperçue, jusqu’à ce que le ministre de l’Intérieur Claude Guéant propose, lundi 31 octobre à Saint-Ouen, en Seine-Saint-Denis, l’ouverture de la réserve de la police à tout citoyen souhaitant « servir son pays« . Une mesure parmi d’autres (renfort de CRS, mise en place d’un référent policier, numéro vert pour les habitants) visant, selon le ministre, à renforcer la sécurité et à lutter contre la présence de dealers dans le quartier Zola-Arago. Et qui, aussi surprenante soit-elle, intervient à point nommé, quatre jours seulement après la diffusion, dans le JT de « France 2 », d’un reportage sur le trafic dans le quartier.

Des habitants qui « recevront une formation, un uniforme »

S’ils saluent la présence renforcée de la police depuis vendredi dernier, les habitants du quartier Zola-Arago n’avaient pas attendu le ministre pour se mobiliser. Depuis plusieurs mois, à l’initiative d’une association de locataires, ils redoublent d’énergie (marches, repas de quartiers, rencontres avec le responsable de l’office HLM, le préfet,…) pour faire entendre leur ras-le-bol. Le ministre a saisi la balle au bond, arguant que pour « entretenir (cette) formidable mobilisation citoyenne », la police aura désormais recours à des « habitants volontaires qui recevront une formation, un uniforme et seront indemnisés lors de leurs vacations. » Une proposition qui n’est pas sans rappeler le dispositif voisins vigilants cher au ministre, mais qui suscite indignation, inquiétude, et pose de nombreuses questions : pourquoi, comment, quelle formation, quelles missions, quel encadrement et surtout, quels risques encourus pour les volontaires ?

« Policier n’est pas un métier d’intérimaire »

Si le décret est consultable, l’arrêté précisant ses modalités d’application n’a pas encore été publié. Mais la proposition suscite d’ores et déjà de vives réactions, dont l’incompréhension et l’inquiétude de certains policiers. « Etre policier n’est pas un métier d’intérimaire, ça ne s’improvise pas », tempête le secrétaire général du syndicat SGP Unité police FO Nicolas Comte, qui explique au « Nouvel Observateur » avoir en juin dernier « voté contre » cette proposition qu’il ne voit « pas comme une bonne chose. » Ses craintes sont multiples : « quel sera le profil des volontaires ? Ne seront-ils pas des recalés de la profession d’adjoint de sécurité ou alors essentiellement motivés par l’argent ? » Et le policier d’ajouter « qu’on ne règle pas des problèmes de trafic de drogue avec des réservistes citoyens », avant de rappeler une fois de plus les problèmes d’effectifs rencontrés au quotidien par les policiers.

La différence avec les policiers ? Quelques détails vestimentaires

Le syndicat Alliance police a quant à lui voté en faveur du décret « à trois conditions sinéquanones » qu’explique jeudi 3 novembre au « Nouvel Observateur » son secrétaire général Denis Jacob : « les réservistes qui ne sont pas policiers ne doivent pas être armés, porter un signe distinctif permettant de ne pas les confondre avec les policiers (signe distinctif sur la casquette, chemise de couleur différente, mention ‘réserviste’), et doivent se cantonner aux tâches indues (accueil,…) et aucun cas ne faire du maintien de l’ordre. » Si le syndicat a été entendu sur ces trois points, il est bien difficile d’imaginer que toute confusion sera évitée du fait de ces détails vestimentaires. Comment réagiront ces citoyens volontaires quand ils seront confrontés à une difficulté, quelle qu’elle soit, sur la voie publique ?

Peut prétendre à être « réserviste citoyen » toute personne qui a entre 18 et 65 ans et a la nationalité française. « Un extrait de casier judiciaire, un certificat individuel de participation à la journée d’appel à la défense ou un justificatif du service militaire et un certificat médical » sont également demandés selon Denis Jacob, ajoutant que « tout titre ou diplôme doit être mentionné ». Le préfet examine les dossiers des candidats qui seront ensuite, ou non, convoqués pour un entretien visant « à tester leurs compétences et motivation à exercer leur mission de réserviste ».

La mission de réserviste, rémunérée selon un forfait journalier de 97 euros « non imposable », n’est pas un emploi à plein temps. Si les policiers retraités, qui jusqu’ici composaient exclusivement la réserve de la police, peuvent l’exercer jusqu’à 150 jours par an (210 s’ils partent en mission à l’étranger), les citoyens volontaires ne pourront pas excéder 90 jours de mission chaque année. « Ils ne feront ni police secours ni maintien de l’ordre » répète le secrétaire général d’Alliance police, rappelant leurs missions « d’accueil et de jalonnement » lors « d’événements spéciaux », lors du « Tour de France » par exemple, ou « le 14 juillet, quand les abords des Champs Elysées sont jalonnés d’un policier à chaque mètre ». Interrogé plus précisément sur les missions « d’accueil », Denis Jacob répond que les volontaires pourront, par exemple, « renseigner les gens dans la rue, être en contact avec la population, rassurer… » Autant de missions qui ne s’improvisent pas, loin de là.

Et les 6.000 policiers retraités disponibles ?

La courte formation prévue pour ces citoyens volontaires n’a rien de rassurant non plus. S’ils doivent bénéficier « d’une formation continue » en fonction de « leurs domaines d’intervention », leur formation générale ne durera pas plus de 15 jours, explique aussi le policier. Au programme : « la découverte de l’organisation de la police et son administration, les différentes missions, les règles déontologiques et le savoir-faire professionnel de base. » Suffisant, selon le ministère, pour que le volontaire endosse l’uniforme et exerce la mission. Mais il sera « toujours accompagné d’au moins un policier réserviste », nous dit-on. Cette proposition vient-elle d’un manque de policiers réservistes ? Non, répond le secrétaire général d’Alliance police, qui assure que, sur « les 10.000 policiers volontaires, seuls 4.000, environ, sont actifs ». Pourquoi, dans ce cas, ne pas faire prioritairement appel à ces policiers ? Denis Jacob s’interroge également, avant de suggérer « une volonté d’ouverture de la police. »

« On n’entre pas dans cette combine »

A Saint-Ouen, les membres de l’association de locataires ont été « extrêmement choqués » par le fait que le ministre leur « propose de faire la police », rapporte son président Abdellah Fraygui au « Nouvel Observateur ». Dénonçant des méthodes de « délation et de collaboration rappelant des heures sombres de l’histoire », leur verdict est sans appel : « à chacun ses responsabilités. On n’entre pas dans cette combine. »

Contacté par « Le Nouvel Observateur », le ministère de l’Intérieur n’était pas disponible jeudi soir pour répondre à nos questions.

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Source:  Le Nouvel Observateur

17/08/2011

Emeutes: à armes égales…

Je crois qu’il y en a qui commencent à serrer les fesses… Mais il est vrai que face à des bandes ethniques armées de « kalas », nos autorités ripostaient comme ils pouvaient… On passe « à armes égales »; ça va changer la donne.  De plus, ça commençait à se voir et se savoir que le peuple était prêt à faire justice lui-même (comme en Grande-Bretagne).

Si vis pacem, para bellum (« Si tu veux la paix, prépare la guerre » )

Oumma.com prévient ses ouailles. La peur change de camp; il est bientôt temps.

FDF

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Un nouveau décret autorise la police française à tirer à balles réelles sur les manifestants !

« Il est des décrets qui passent en douce alors que le soleil d’été darde ses premiers rayons timides, et qui profitent que l’Hexagone se mette au vert pour transpercer le ciel de leur visée répressive.

Juillet a sonné la récré scolaire, mais aussi le glas d’une certaine idée de la France, à travers une loi, adoptée le 1er juillet, qui autorise dorénavant la police à tirer à balles réelles sur les manifestants.

Tandis que le pays n’est plus qu’une longue transhumance, le législateur siégeant encore sous la coupole a durci le ton en votant un décret modifiant le régime juridique lié à la dispersion des attroupements, dont l’entrée en vigueur est immédiate : le « Décret n° 2011-794 du 30 juin 2011 relatif à l’emploi de la force pour le maintien de l’ ordre public », qui définit les moyens militaires spécifiques de la gendarmerie nationale susceptibles d’ être utilisés au maintien de l’ordre.

Bizarrement, le fait de savoir que mettre en joue et faire feu sur la population ne sera que l’ultime recours de forces de l’ordre confrontées à de graves troubles à l’ordre public, ne procure aucun apaisement d’aucune sorte…

Même enrobé de garde-fous qui stipulent que l’emploi de la force sera subordonné à une autorisation du Premier ministre ou du préfet de zone de défense et de sécurité, et que cet ordre devra être transmis par tout moyen permettant d’en assurer la matérialité et la traçabilité, on ne retiendra de ce texte de loi que le durcissement sécuritaire qu’il augure.

Elargissant la liste des autorités habilitées à user de la force pour le maintien de l’ ordre public aux commandants de groupement et de compagnie de gendarmerie départementale, ce décret estival détaille également les catégories d’armes utilisées, à travers une correspondant à la gravité des situations énoncées par l’ article 431-3 du code pénal.

La patrie des droits de l’Homme jetterait-elle aux oubliettes de l’histoire certaines de ses valeurs cardinales ? »

Source: http://oumma.com/

28/06/2011

SOS Education: merci à vous !

De bonnes nouvelles de SOS Education.

FDF

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Cher ami,

Vous avez signé et soutenu la pétition lancée par SOS Éducation, pour que le ministre de l’Éducation signe le décret sur les sanctions à l’école.

Je vous remercie infiniment de votre action. Vraiment. Un grand MERCI, pour tous les enfants, les professeurs et les professionnels de l’Éducation nationale.

Car votre action a été efficace ! Non seulement vous avez été plus de 60 000 à signer. Mais surtout, grâce à vous, le ministre Luc Chatel a pris ses responsabilités en signant le décret qui était resté sur son bureau pendant un an. Il vient de l’annoncer hier, sur toutes les chaînes et les radios. ENFIN !

Vous rendez-vous compte ? Pour la première fois depuis 25 ans, un texte vient renforcer l’autorité des professeurs et des chefs d’établissement. C’est du jamais vu ! Alors, encore MERCI ! C’est vraiment salutaire.

46 % des parents ont peur de laisser leurs enfants à l’école. Il était de la plus haute importance que l’institution apporte une réponse concrète au problème de la violence. En rendant la sanction automatique.

Certains diront que ce n’est qu’un petit pas. Et, c’est vrai, les textes ne sont pas parfaits. Mais ils vont dans le bon sens !

Vous pouvez aujourd’hui transformer l’essai. Il est nécessaire sur le terrain que l’action disciplinaire en cas de violence physique ou verbale soit bien rendue automatique. Les textes le permettent maintenant.

  • C’est donc aux chefs d’établissement, en premier lieu, de donner toute la place à la responsabilité de chacun ;
  • Aux professeurs d’appliquer l’action disciplinaire ;
  • Et aux parents d’y participer. Ce décret permet, en effet, aux parents de s’impliquer dans la discipline, là où le dialogue était figé. Ils sont avertis immédiatement et peuvent accompagner leur enfant dans sa prise de responsabilité. Les mesures d’intérêt collectif permettent à l’élève de réparer sa faute en dehors de l’école : là encore la responsabilité des parents est accrue. C’est une chance à saisir pour casser l’opposition stérile entre les parents et les professeurs.

Ensemble, nous pouvons aller plus loin. Pour qu’il soit vraiment efficace, le décret peut encore être renforcé. SOS Éducation demande que les élèves hautement perturbateurs, sanctionnés par une exclusion définitive, deviennent acteurs de leur réintégration. Encouragez maintenant le ministre à aller au bout de sa démarche : cliquez ici.

Actuellement, quand un élève est exclu par l’équipe d’un établissement, l’administration le place automatiquement dans un autre établissement. L’élève n’a rien à faire. Et il le sait.

Ce mécanisme vide l’exclusion de son sens :

  • D’abord parce que cela atténue la sanction, puisqu’il est toujours pris en charge ;
  • Ensuite parce que cela déconsidère l’élève, qui n’est plus qu’un problème qu’on déplace, dont on se débarrasse. Déjà qu’il ne trouvait pas sa place dans le premier établissement, on ne l’aide pas en le parachutant dans un autre, sans le solliciter.

Il faut permettre à l’élève de manifester son désir de continuer sa scolarité. C’est pourquoi SOS Éducation milite pour que tout élève exclu soit obligé de demander sa réintégration lui-même.

Demandez au ministre d’aller jusqu’au bout de sa démarche: cliquez ici.

Un grand merci.

Cordialement,

Éric Galland
Responsable des relations parents-professeurs
SOS Éducation

P.S. Il aura fallu la mort de Carla pour que le décret soit signé… N’attendons pas que la situation s’aggrave. Vous avez prouvé qu’en réagissant, vous pouvez changer les choses.

Transmettez ce message à vos amis et à vos proches et donnez-leur le lien :

http://soseducation.com/decret/

Merci !

24/06/2011

Au collège: « Fils de pute » « Redis ça, j’te tue » « Nique ta mère, j’vais t’planter! »…


Ces paroles font partie du quotidien des « collèges
sans difficultés particulières »
. Des insultes parfois

qualifiées de « bon enfant », langage d’élèves qui ne
savent pas ce qu’ils disent ?!

Et qui ne savent pas non plus ce qu’ils font.

Cette semaine, Carla, une jeune collégienne est morte sous les coups
d’un autre adolescent. Pour le ministre de l’Éducation, c’était une « bagarre
qui a mal tourné »
. Ces propos sont d’autant plus choquants que l’agresseur

fait de la boxe. Comme si elle avait eu une chance…

Les faits se sont déroulés ce lundi ; l’année dernière, c’était Hakim,
l’année d’avant, on a déjà oublié son nom… Quand la violence devient
telle que Carla et les autres se font massacrer devant leur collège,
nous sommes dans l’obligation de réagir et non plus de laisser faire.

Les parents accusent les professeurs,
les professeurs accusent les parents,
le ministre accuse la société : « Ce n’est pas l’école qui est
violente. L’école est le reflet de la société »
a-t-il courageusement

lancé sur Europe 1, mardi 21 juin.

Mais les jeunes eux subissent la pression des parents, la dépression des
professeurs, le mutisme de l’encadrement et la violence croissante…
qui peut devenir mortelle.

Quand l’adulte démissionne, tout le monde trinque.

Cette démission a été accentuée par des lois, qui ne permettent pas
aux professeurs de prendre les moyens de se faire respecter.
Les établissements se protègent en étouffant les problèmes. Et les parents
découvrent au détour d’une tragédie qu’ils ont jeté leur enfant dans
une arène.

Résultat : 46% des parents ont peur d’envoyer leurs enfants à l’école.

Pourtant il est possible de changer les choses. Car la solution, on la
connaît et depuis longtemps !

Vous pouvez provoquer un effet boule de neige en faisant circuler ce
message le plus possible. C’est MAINTENANT qu’il faut agir. Après il
sera trop tard : les vacances arrivent et si vous ne faites rien, le grand
couvercle de l’oubli sera remis en place sur la cocotte-minute.

Depuis près d’un an, le ministre de l’Éducation Luc Chatel doit signer
un décret qui lui permettrait de remettre un peu de discipline et de respect
dans le système.

Il ne fait rien, barré par les syndicats, les fédérations de parents
qui trouvent toujours une virgule à déplacer dans un texte qui n’est
pas parfait mais qui serait le premier texte depuis 25 ans qui irait
dans le bon sens : plus de discipline et de respect dans nos établissements !

Au cours des vingt-cinq dernières années, on a fait sauter toutes les barrières :
•    le zéro de conduite a été interdit
•    les lignes aussi
•    les sanctions sont mises avec « sursis » donc ni faites ni à faire !
•    il est interdit au professeur de baisser la note d’un devoir en raison du comportement
•    les sanctions sont effacées des dossiers de l’élève au bout d’un an
•    les sanctions collectives sont interdites
•    etc.

Et les élèves sont laissés à eux-mêmes ; et à leur violence.

Vous avez été plus de 50 000 à signer la pétition qui lui demande de signer ce décret.

Nous avons déjà présenté une première partie du livre des signatures
au ministère.
Qui a essayé de modérer nos ardeurs en nous flattant : « maintenant que
vous faites partie du paysage éducatif français… vous pouvez vous
calmer »
!

Mais la rentrée 2011 s’annonce comme les précédentes : climat scolaire
détérioré qui va parfois jusqu’à la haine : haine entre élèves,
haine à l’égard des professeurs.

Depuis un an déjà, notre site www.soseducation.com invite les citoyens
à appeler leur député pour en finir avec la violence à l’école. 144 députés
ont signé les 8 mesures contre la violence à l’école proposées
par SOS Éducation et en ont parlé au ministre. S’ils les ont signées,
c’est grâce à vous.

Vous dérangez. Les politiques sont obligés de
vous entendre, même s’ils résistent encore. Il faut intensifier notre
pression pour qu’ils cèdent
.

50 000 signatures pour pousser Luc Chatel à signer, c’est bien. Mais
il faut que nous soyons au moins 100 000 voire 200 000 à signer cette
pétition !

Luc Chatel a annoncé sur Europe 1, mardi 21 juin, le lendemain de la
mort de Carla, que « le dispositif de sanctions à l’école sera
également revu à la rentrée »
.

Pourquoi à la rentrée et pas tout de suite ? 

Doit-on le croire sur parole, alors que ce décret n’est toujours pas signé ?
Ce décret est sur son bureau depuis UN AN !

C’est pour ça que je vous écris aujourd’hui : je vous demande de
transmettre ce message à tous vos proches : cliquez maintenant sur le
bouton « transférer » de votre logiciel de courrier électronique et
envoyez-le à tout votre carnet d’adresses.

Vous seul pouvez les convaincre de l’urgence. Si chacun de nous agit à
son niveau, nous pouvons forcer les politiques à changer les lois.

Ils sont d’autant plus « à l’écoute » que les élections
présidentielles approchent. C’est vraiment très important pour vos
enfants, pour vos petits-enfants, pour nos

enfants

peits enfants

et pour la société entière. Car la
société se construit dans nos écoles.

Vous êtes maintenant devant un choix :
Soit vous fermez les yeux en jouant la vie de votre enfant aux dés, en
le laissant à l’école sans rien faire et vous acceptez que
la loi de la jungle s’y installe en espérant qu’elle ne s’étendra pas
plus encore…

Soit vous réagissez, à votre niveau, pour que vos amis, et les amis de
vos amis, se lèvent avec vous pour former un grand mouvement de
citoyens. Le décret que le ministre doit signer n’est qu’un premier

pas. Plus nous serons nombreux à demander « Plus de discipline et plus de
respect dans nos écoles », plus les politiques seront obligés de changer les lois.

Vous trouverez aussi des bannières dans ce mail. Elles sont à vous.
Utilisez-les pour diffuser le message ! Enregistrez l’image et utilisez le lien
vers la pétition : http://www.soseducation.com/9mois/petition.php

Je compte sur vous !
Merci.

Cordialement,
Éric Galland
Responsable des relations parents-professeurs
SOS Éducation

P.S. : L’été est déjà commencé. Beaucoup de gens vont partir en
vacances et « tourner la page » pour mieux oublier la réalité. Je
souhaite qu’ils partent  l’esprit tranquille.
La signature de ce décret constitue un symbole fort, à l’approche des
élections. En le demandant, ce n’est pas seulement son application
pour laquelle vous vous battez, mais c’est un avertissement que vous
envoyez à nos politiques : sauvez l’école de la République avant qu’il
ne soit trop tard !

S’il-vous-plaît : transmettez ce message !

J’ai signé.

FDF

11/06/2011

Non non non, Monsieur Guéant! Vous n’entrerez pas au FN…

C’est bien, ça part d’un bon sentiment, mais ça sent un peu le moisi, toutes ces nouvelles affaires traitées par l’UMP; on se croirait en 2007, quand Sarkö Ier s’est fait élire avec les idées du Front National. Souhaitons que le peuple verra les choses autrement en 2012 et ne se laissera plus prendre au piège. Sinon, c’est reparti pour cinq ans de « sarkonneries »…

FDF

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Claude Guéant refuse la nationalité française à un Algérien pour «défaut d’assimilation»!

Cette décision pourrait faire jurisprudence…

Claude Guéant, le ministre de l’Intérieur, a refusé la nationalité française à un Algérien marié à une Française car il ne respectait pas l’égalité homme-femme. L’affaire a été révélée par Europe 1 jeudi et Le Figaro de ce vendredi avance que le ministre cherche à dessiner un nouveau code de la nationalité.

C’est la première fois que la nationalité française est refusée pour ce motif. Le code civil précise que quatre années de mariage avec un ressortissant français sont nécessaires pour acquérir la nationalité française. Le gouvernement peut empêcher cette acquisition en opposant notamment le motif de défaut d’assimilation ou pour polygamie. Mais, note Le Figaro, l’homme «n’a pas commis de faits graves et ne bat pas sa femme. Il n’est pas non plus bigame ou polygame. Son épouse ne porte pas le voile intégral et il ne la contraint pas à le faire».

Jurisprudence

Mais l’enquête de proximité menée par la préfecture a montré que cet homme vivant en Alsace a une «conception dégradante» de la place de la femme dans la société. Il l’empêcherait notamment de sortir seule, de prendre la parole sans son autorisation ou encore de travailler.

«C’est bien le principe d’égalité entre les hommes et les femmes qui est en jeu dans cette affaire», explique un conseiller de Claude Guéant au Figaro. Se fondant sur ces faits, Claude Guéant a donc signé un décret pour refuser la nationalité à cet homme pour «défaut d’assimilation». Un décret pourrait faire jurisprudence désormais. Tout candidat à la naturalisation doit le savoir: l’égalité homme-femme est un critère pour l’obtention de la nationalité.

Source: http://www.20minutes.fr/

08/03/2011

Souriez: vous êtes fliqués !!!

Je le savais (par mon blog fréquemment « visité par des « autorités »); mais à ce point là… C’est grave. La liberté d’expression, d’information, les libertés personnelles, on s’assoit dessus en France… Je pensais que ce genre de pratiques infâmes était réservé à certaines contrées plus ou moins despotiques. Et le fameux décret, personne n’en n’a entendu parler, bien entendu… Bienvenue au club très fermé des pays démocratiques…

FDF

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Source: http://tinyurl.com/5vrebp3

26/12/2010

Détention d’armes: un décret contre de nouvelles « affaire Gallinier »…

Pas fou, le Marcel… Et réaction des plus logiques. Pourquoi désarmerait-on des gens inoffensifs comme lui quand on sait que la « kala » est devenue monnaie courante chez la racaille de tous poils. Et face à l’insécurité grandissante que nous connaissons, si un voyou vous agresse ou tente de vous cambrioler et se trouve nez à nez avec le canon ne serait-ce que d’un pistolet à grenaille non chargé, ça doit tout de même faire réfléchir. Afin de ne pas finir comme Papy Gallinier, interdire la vente de munitions serait mieux accepté par les détenteurs d’armes. Cette nouvelle loi servira tout simplement à se retrouver en situation de danger face à un éventuel agresseur. On désarme les gens dangereux; pas les gens soucieux de se défendre en vue de rester en vie le plus longtemps possible…

Une question: qui désarme les délinquants bardés d’armes de guerre??? Certainement pas une loi ni un décret…

FDF

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Marcel Guth, honorable retraité ne comprend pas pourquoi il devrait rendre son arme : «  Je ne suis pas un voyou », plaide-t-il./Photo DDM, J.D
Marcel Guth, honorable retraité ne comprend pas pourquoi il devrait rendre son arme : « Je ne suis pas un voyou », plaide-t-il./Photo DDM, J.D

Un nouveau texte de loi sur la détention d’arme est en préparation. Certains détenteurs obligés d’abandonner la leur ne comprennent pas les nouvelles contraintes. Comme Marcel Guth et son Mauser 50 Magnum calibre 9 à grenanailles.

Marcel Guth, alsacien d’origine et Tarn-et-Garonnais d’adoption ne comprend pas. Aujourd’hui âgé de 78 ans, ce retraité a toujours possédé une arme. Mais depuis trois ans maintenant, les services de la préfecture lui demandent de s’en séparer. Dura lex, sed lex… L’article 31 du décret 95-589 du 6 mai 1995 modifié en conseil d’État le 17 décembre 2008 (qui a supprimé l’assouplissement dont pouvait bénéficier certains retraités comme les policiers) est clair : « Seules les personnes physiques âgées de 21 ans, exposées à des risques sérieux pour leur sécurité du fait de la nature ou du lieu d’exercice de leur activité professionnelle peuvent être autorisées au titre de la défense, à acquérir une arme du paragraphe 1 de la 4e catégorie et à la détenir sur le lieu d’exercice de cette activité ».

16 abandons en deux mois

Les services de M.Nebout, chef du bureau sécurité à la préfecture ont lancé une centaine de courriers ces derniers mois comme celui reçu par notre retraité. « On souhaite assainir la situation, explique Yves Nebout, nous avons déjà eu 16 abandons d’armes en deux mois ». Manque toujours l’arme de Marcel Guth, un Mauser magnum calibre 9 à grenaille. Une arme de 4e catégorie donc. Marcel Guth ne rentre pas dans les clous du décret 95-589. Il en est franchement contrarié d’où sa réticence à obtempérer aux injonctions de l’État : « J’ai fait la guerre d’Algérie. je ne suis pas un voyou. Mais avec mon épouse, nous vivons dans un lieu isolé. On a longtemps eu des gens du voyage à proximité et je me suis déjà fait agresser verbalement. C’est sûr que je n’aurai jamais tiré. Je suis un Germain, moi, pas un Latin ». Chez lui, les systèmes d’alarme offrent un premier rempart contre les intrusions. L’arme ? « Elle est rassurante ».

Finalement légaliste, Marcel Guth va donc capituler et rendre son arme. «Mais je crois que je vais aussi rendre mes médailles de pompiers », s’emporte notre retraité.

Mais Marcel Guth et tous les autres possesseurs d’armes interdites peuvent encore acquérir librement des armes de 5e et 7e catégorie. Certaines sont simplement soumises à déclaration.


Les armes classifiées:

Les armes sont classifiées en fonction de leur dangerosité, de leur calibre et des munitions.

1ère catégorie : armes de guerre et munitions;

2e cat : matériels de guerre;

3e cat : matériels de protection;

4e cat : armes de défense et leurs munitions.

5e cat : armes de chasse et leurs munitions.

6e cat : armes blanches;

7e cat : armes de tir de foire ou de salon et leurs munitions;

8e cat : armes historiques et de collection.

Source: http://www.ladepeche.fr

13/12/2010

C’est juste pour la retraite? Un nouveau président (en sursis) pour la Halde…

Et on continue dans le domaine du « n’importe quoi »… Une présidence éphémère à la Halde; très éphémère…

FDF

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Journal Officiel : « Par décret du Président de la République en date du 10 décembre 2010, M. Eric Molinié est nommé président du collège de la Haute Autorité de lutte contre les discriminations et pour l’égalité. » Sans doute pour quelques semaines, puisque la Halde doit être intégré au « Défenseur des droits » au début de l’année prochaine.

Eric Molinié avait été nommé par Sarkozy au collège de la Halde en avril dernier. Il en était vice-président depuis le 6 septembre et assurait l’intérim de la présidence depuis la nomination de Jeannette Bougrab au gouvernement.

Eric Molinié est directeur adjoint au développement durable dans le groupe EDF, conseiller du président d’EDF sur les questions du handicap et vice-président de l’Association des paralysés de France.

Il est myopathe et on le présente d’abord comme ancien président de l’Association française contre les myopathies (AFM). Il l’a été entre 2001 et 2003.

L’AFP rappelle qu’un rapport de la Cour des comptes a éreinté la gestion de l’ancien président de la Halde Louis Schweitzer, dénonçant notamment les dépenses de communication de 6,2 millions d’euros et le loyer annuel de 1.831.952 euros versé pour le siège de 2.304 m2 du 11 rue Saint-Georges (IXe), soit 795 euros le m2 contre 308 dans la rue voisine.

En ce qui concerne la communication, l’AFM fait pas mal non plus, puisqu’elle représente 2,2% de ses dépenses (donc 2,2 millions d’euros sur 100 millions récoltés), et que ses « frais de gestion et de collecte » sont de 18%, soit 18 millions d’euros pour une collecte de 100 millions.

Quant à l’immobilier, il est interdit d’en parler : l’AFM fait un procès à Pierre Bergé qui s’y était risqué (de façon semble-t-il hasardeuse).

Source: http://yvesdaoudal.hautetfort.com/