Francaisdefrance's Blog

26/12/2011

Islamisation par la violence: ça se confirme… Des églises explosent au Nigéria.

Quelle bande de bâtards! Et ce sont nous qui sommes intolérants et « racistes »; pour deux ou trois tags sur les murs d’enceinte d’une mosquée, ce qui est immédiatement devenu un crime, un attentat, sur lequel nos politiques-dhimmis se fondent en excuses, nous font tomber dans la repentance, etc…

Il faut montrer du doigt ces fausses compassions purement électoralistes et regarder les choses en face. Benoit XVI s’est dit profondément blessé par ce qui s’est passé a Niger. Il y a de quoi. C’est inadmissible que nos fêtes de Noël aient été entachées par ces actes barbares christianophobes !!!

Je pense que ces actes innommables sont la goutte qui fait déborder le vase. Il ne faudra pas s’étonner que la loi du Talion vienne vite s’appliquer. Les islamistes veulent nous imposer la charia? On va répliquer. Il ne faudra pas venir se plaindre si des mosquées en subissent les conséquences. Et les musulmans ne pourront que s’en prendre à leurs frères islamistes intégristes et christianaphobes issus de la même « religion » d’amour, de paix et de tolérance…

2012 sera l’année de la résistance… Et pas celle du pardon… C’est terminé, tout ça. On a assez donné. Relevons la tête !!!

Le temps des croisades est revenu. Mais nous les ferons sur NOS TERRES. Ca représente déjà un sacré boulot…

NB: le nombre de victimes est provisoire à l’heure où a été publiée l’info… Il y aurait au moins 40 morts à cette heure.

FDF

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Dimanche matin, alors que des personnes se trouvaient à l'intérieur de l'église Ste Theresa de Madalla pour Noel, une déflagration a fait une quinzaine de morts, selon un chiffre provisoire.

Un attentat présumé a fait au moins quinze morts dimanche de Noël près d’une église catholique non loin de la capitale du Nigeria, selon un secouriste, quelques jours après une vague d’attaques meurtrières dans le nord-est revendiquées par la secte islamiste Boko Haram.

Peu après, à Jos, ville du centre du Nigeria et épicentre de violences récurrentes, des habitants ont dit avoir entendu une explosion près d’une église également, au moment d’une cérémonie de Noel;

On ne possèdait pas plus d’informations dans l’immédiat mais, il y a deux semaines, des tracts menaçant d’attentats des églises et d’autres lieux avaient été découverts dans la ville où se cotoient chrétiens et musulmans.

Près d’Abuja, la capitale, l’origine de l’explosion n’avait pas été précisée mais le porte-parole de l’agence nationale des services de secours (Nema), Yushau Shuaib, a dit à l’AFP « soupçonner une bombe ».

Dimanche matin, alors que des personnes se trouvaient à l’intérieur de l’église Ste Theresa de Madalla pour Noel, une déflagration a fait une quinzaine de morts, selon un chiffre provisoire.

« Nous avons dans ces trois véhicules (ambulances) 15 cadavres », a dit à l’AFP un secouriste. Il craignait que le bilan ne s’alourdisse car les opérations de dégagement de corps se poursuivaient.

M. Shuaib a de son côté confirmé dix morts et a précisé que contrairement à ce qu’il avait affirmé plus tôt, l’explosion s’était produite à l’extérieur de l’église, sur une route, et non à l’intérieur.

Le chaos régnait autour du bâtiment. Des jeunes en colère ont allumé des feux et menacé d’attaquer un commissariat de police des environs. Les policiers ont tiré en l’air pour les disperser et fermé un grand axe routier.

Aucune revendication n’a été rendue publique dans l’immédiat mais le Nigeria est régulièrement secoué par des attaques et des attentats, souvent attribués à la secte islamiste Boko Haram.

Ce mouvement, qui dit vouloir imposer un Etat islamique, a revendiqué l’attentat suicide d’août 2011 contre le siège des Nations unies à Abuja, qui avait fait 24 morts.

Il s’était également attribué la responsabilité d’une vague d’attaques sanglantes le 24 décembre 2010, veille de Noel, qui avaient visé plusieurs églises et, avec les représailles qui avaient suivi, avaient fait des dizaines de morts à Jos.

Jeudi et vendredi derniers, une série d’attaques dans trois villes du nord-est, où Boko Haram est particulièrement active, ont donné lieu à des affrontements avec les forces de l’ordre. Ces violences pourraient avoir fait jusqu’à 100 morts, selon une source policière et un responsable d’ONG.

L’armée a affirmé avoir tué 59 membres de la secte rien qu’à Damaturu.

Damaturu et Potiskum, dans l’Etat de Yobe, et Maiduguri, capitale de l’Etat voisin de Borno, avaient été secouées par des explosions et des tirs jeudi, suivis de combats avec policiers et soldats.

Les violences se sont poursuivies vendredi à Damaturu. Samedi, le calme semblait revenu dans la région.

Un homme s’exprimant régulièrement au nom de Boko Haram, Abul Qaqa, a déclaré vendredi à l’AFP que ces attaques avaient été menées « pour venger la mort de nos frères tués par les forces de sécurité en 2009« .

Il faisait référence à une insurrection de la secte en 2009, brutalement réprimée par les autorités, avec des centaines de morts.

Le porte-parole a assuré que Boko Haram continuerait de commettre des violences jusqu’à la création d’un Etat islamique au Nigeria.

Ce pays pétrolier, le plus peuplé d’Afrique (160 millions d’habitants), compte environ autant de musulmans, plus nombreux dans le nord, que de chrétiens, majoritaires dans le sud.

Les actions menées par Boko Haram ont évolué, devenant plus sophistiquées et mortelles depuis des mois.

Des observateurs craignent que des membres de la secte aient développé des liens avec la branche maghrébine d’Al-Qaïda.

Source: http://www.lepoint.fr/

19/12/2011

Les Templiers…

J’aime cette « musique ». Ca pourrait être l’hymne partisan 2011 spécialement dédié aux « envahisseurs »…

FDF

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C’est par ici:                http://youtu.be/SxsA3J_3kEA

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Nous sommes tous des Templiers…

28/11/2011

Réhabilitons l’Occident et ses valeurs, dont nous n’avons pas à rougir. Halte à la repentance maladive!

Et ci après un excellent papier patriote qui sent bon la résistance… Ca donne fortement envie de repartir en croisades.

Personnellement, j’y suis prêt.

FDF

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01/08/2011

Un livre pour l’été: Quand l’islam était aux portes des Pyrénées…

« Je » vous ai déniché un peu de lecture pour ce mois d’août…

FDF

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De Gaston IV le croisé à la croisade des Albigeois (XIème-XIIIème siècle)

un livre pour l'été

Quand l'Islam était aux portes des Pyrénées - De Gaston IV le croisé à la croisade des Albigeois (XIème-XIIIème siècles) - couverture - édition de pocheQuand l'Islam était aux portes des Pyrénées - De Gaston IV le croisé à la croisade des Albigeois (XIème-XIIIème siècles) - dos

Par Pierre Tucoo-Chala

Version de Poche

Paru le 13/05/2000 (1ère édition juin 1994)

Editeur J & D, 18 rue de Folin, 64200 Biarritz

ISBN 2-84127-158-7

EAN 9782841271580

203 pages (11cm x 17cm x 1,6cm / 210 g)

Prix public : 11,43 €

   Ce livre raconte un grand moment de l’histoire des Pyrénées et de la France méridionale. Il commence au XIe siècle avec le grand effort de l’Occident pour se dégager de l’emprise de l’Islam, effort symbolisé par la figure du vicomte de Béarn, Gaston le Croisé, qui entra dans Jérusalem puis dans Saragosse. Sa vie a un parfum d’épopée comme celle de son contemporain, le Cid Campeador. L’histoire s’achève au XIIIe siècle dans le sang versé lors de la bataille de Muret, point culminant de la terrible crise que fut la Croisade des Albigeois.
Le couple Béarn-Aragon est au cœur de cette histoire qui est aussi celle des chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle, laboratoire d’échanges artistiques, littéraires, juridiques, économiques. L’achèvement de la Reconquista du bassin de l’Ebre permit à l’Aragon uni à la Catalogne de mettre en place un Etat à cheval sur les deux versants des Pyrénées.
Ce livre replace également dans son contexte historique cette chaîne extraordinaire de châteaux, de murailles, de cathédrales, d’églises rurales qui, dans des sites splendides, sont autant de lieux gardant la mémoire de ces temps tumultueux où l’Islam était aux portes des Pyrénées. Ces Pyrénées qui, loin de les séparer, unissaient les populations vivant sur ses deux versants.

   Pierre Tucoo-Chala est agrégé de l’Université et Docteur ès lettres.

Eminent médiéviste, il enseigna à la Faculté des Lettres de Bordeaux, puis contribua à la création de l’Université de Pau et des Pays de l’Adour, dont il est professeur émérite.

Existe aussi en version normale (24 x 15,6 x 2,8cm) :
Quand l'Islam était aux portes des Pyrénées - De Gaston IV le croisé à la croisade des Albigeois (XIème-XIIIème siècles) - couverture - Cliquer pour agrandirQuand l'Islam était aux portes des Pyrénées - De Gaston IV le croisé à la croisade des Albigeois (XIème-XIIIème siècles) - dos - Cliquer pour agrandir
Cette édition est disponible, neuve, chez l’éditeur ATLANTICA-Séguier.
Pour acheter d’occasion, voir les liens vers les libraires et bouquinistes en fin d’article.

Sommaire

(En gris clair sont indiqué les pages qui ne figurent pas dans l’édition de poche)

Préface
Bibliographie

Islam ibérique, Pyrénées et Aquitaine vers la fin du Xl° siècle

– Les grandes aires de civilisation

– Al-Andalus

– Aragon chrétien et musulman

– La formation de la vicomte de Béarn

– Les premiers chocs

– L’œuvre de Sanche-Ramirez d’Aragon

– La prise de Huesca par Pierre l » d’Aragon


Gaston de Béarn, un croisé exemplaire

– La prédication de la Première Croisade

– De Morlàas à Constantinople

– Le Proche-Orient vers la fin du XI° siècle

– Les forces en présence de Constantinople à Antioche

– La prise de Jérusalem à la bataille d’Ascalon et au retour de Gaston le Croisé

Gaston le Croisé et Alphonse le Batailleur à l’assaut de Saragosse

– Gaston le Croisé en Béarn

– La fin du règne de Pierre l » d’Aragon

– Les débuts d’Alphonse le Batailleur

– Premières interventions de Gaston de Béarn en Aragon

– Siège et prise de Saragosse

– La convention de capitulation

Le temps des chevauchées : victoires, défaites et morts

– La prise de Tudèle

– La bataille de Cutanda et ses conséquences

– Les chevaliers de Monréal et de Belchit

– La chevauchée andalouse

– La mort de Gaston le Croisé

– Fraga et la mort d’Alphonse le Batailleur

– Eglise militante, église triomphante

Béarn et Aquitaine entre les Couronnes de France, d’Angleterre, d’Aragon au temps de l’Espagne Almohade

– La succession du Batailleur

– La maison de Barcelone

– L’achèvement de la reconquête dans le bassin de l’Ebre

– L’hommage des Béarnais à l’Aragon : Canftanc

– Les premiers conflits autour de Toulouse

– L’hommage de Huesca

– Une grande famille catalane : les Moncade

Droit et société au temps des Fors de Béarn

– Chronologie des Fors de Béarn

– La noblesse en Béarn

– La paysannerie libre en Béarn

– Violences et procédure

– Les chemins vicomtaux et le droit

Les chemins de Saint-Jacques et l’intégration des Pyrénées-Occidentales dans l’Europe

– Les itinéraires dans Adour-Pyrénées

– Sainte-Christine du Somport

– Un réseau d’accueil en Béarn

– Notre-Dame de Roncevaux

– Chapitres de chanoines et confréries

– Marchands et colons

– Les débuts de l’art roman dans les Pyrénées-Occidentales : chronologie

– Un relais en Béarn : Lacommande d’Aubertin

– Influences stylistiques complexes : de la cathédrale de Lescar à celle d’Oloron

– Archéologie et géologie

Le temps de la Croisade contre les Almohades et les Albigeois (1196-1229)

– Pierre II d’Aragon en lutte sur deux fronts : Las Navas de Tolosa

– Triomphe et mort de Pierre II : Muret

– La politique de Guillaume-Raymond de Moncade

– L’assaut contre les Baléares et la mort de Guillaume II de Moncade

– Vers une nouvelle Europe

– Bibliographie Dans le véritable océan de livres suscité par l’hérésie Cathare et la croisade des Albigeois, il suffit renvoyer au travail de Michel Roquebert, L’épopée cathare, Toulouse, Privat, 4 volumes publiés de 1970 à 1989. Sur les rapports entre les Chrétiens et les musulmans qui eux aussi ont fait l’objet de multiples ouvrages, la meilleure synthèse à la portée des non-spécialistes est celle de Joseph Pérez dans l’Histoire, n°137 « Chrétiens, Juifs et Musulmans en Espagne, le mythe de la tolérance religieuse, VIIIe-XVe siècles »

Légende, littérature et histoire

– Le destin posthume de Gaston le Croisé

– Le souvenir des Moncade

– L’oliphant de Gaston de Béarn

– La vocation ibérique du Béarn

Tableaux généalogiques simplifiés

Table des illustrations en couleur hors-texte

Table des cartes et plans

Table des illustrations et documents dans le texte

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Quand l’Islam était aux portes des Pyrénées
Quand l'Islam était aux portes des Pyrénées - De Gaston IV le croisé à la croisade des Albigeois (XIème-XIIIème siècles) - couvertureQuand l'Islam était aux portes des Pyrénées - De Gaston IV le croisé à la croisade des Albigeois (XIème-XIIIème siècles) - couverture - édition de poche
dans les librairies et chez les bouquinistes :

Les deux éditions sont disponibles aussi à la boutique médiévale quand vous visitez le château de Mauvezin (Hautes-Pyrénées)

Extraits…


Préface


En 1096, un obscur chevalier pyrénéen, Gaston, vicomte de Béarn, chevauchait vers Jérusalem d’où il revint chargé de gloire avec le surnom de le Croisé, pendant que Pierre Ier d’Aragon transférait sa capitale de Jaca à Huesca dont la prise marquait la sortie de ce royaume chrétien de son petit réduit pyrénéen. Ainsi commençait la reconquête sur l’Islam de toute la vallée de l’Ebre de Tudèle à Tarragone. En 1229, un autre vicomte de Béarn trouvait la mort en débarquant dans l’île de Majorque dont l’occupation paracheva la victoire de la Couronne d’Aragon née, en 1134, grâce à l’union du royaume d’Aragon et de la principauté de Barcelone devenue la Catalogue.

Mais peu avant, entre 1212 et 1214, le sort de l’Occident, et plus particulièrement du monde pyrénéen et de la France méridionale, avait basculé pour des siècles. En 1212, à la bataille de las Navas de Tolosa, celui de l’Islam ibérique avait été scellé, sa défaite impliquant son élimination à terme. En 1213, à Muret, Simon de Montfort avait mis fin au grand projet d’un État multiforme, à cheval sur les Pyrénées, sous la houlette de la monarchie aragonaise. En 1214, les victoires des troupes de Louis de France et de Philippe Auguste à La Roche aux Moines et à Bouvines, annonçaient que les Capétiens seraient les grands bénéficiaires de cette redistribution des cartes au pied des Pyrénées.

En effet, la politique définie par Gaston le Croisé avait conduit le Béarn ainsi que la Bigorre à basculer de l’espace gascon dans l’espace ibérique. L’achèvement de la conquête des pays de l’Èbre donnait à la Couronne d’Aragon une puissance telle qu’elle avait conçu un nouveau grand dessein : absorber les pays du piémont pyrénéen nord, de ce Béarn et de cette Bigorre dont ils avaient le contrôle jusqu’à leurs possessions du Roussillon et de la Cerdagne. Trop souvent ce moment décisif dans l’histoire de la formation de la nation française est abordé de façon fragmentaire, dans des chapitres distincts : ici, la Reconquista, là, la Croisade des Albigeois alors qu’il faut rétablir leur continuité dans le cadre géographique des deux versants des Pyrénées.


C’est en quelque sorte l’objet de ce livre, dans une perspective historique définie dès 1951 par Charles Higounet dans un article intitulé « Un grand chapitre de l’histoire du XIIe siècle. La rivalité des maisons de Toulouse et de Barcelone pour la prépondérance méridionale ». Il écrivait ceci : « Entre les lignes de force que dessinent sur la carte de l’Europe les grands courants d’événements politiques du XIIe siècle… l’histoire générale a fait de l’aire définie à ses extrémités par la Gascogne toulousaine et les Alpes provençales, une sorte de zone morte… Les progrès des Capétiens et la résistance à l’hégémonie anglaise d’un côté et la reconquête ibérique de l’autre sont devenus des grands chapitres de l’histoire de France et de l’histoire d’Espagne, parce qu’en réussissant ils se sont inscrits dans les cadres, aujourd’hui atteints, de l’unité française et de l’unité espagnole. Au XIIe siècle, unité française et unité espagnole, n’avaient aucun sens. Toulouse tournait le dos à la « France » ; Barcelone participait à peine à la Reconquête. Face à face, les deux maisons rivales, la seconde surtout, ont visé à constituer, de la Garonne à l’Ebre et à la Provence, un « Etat » pyrénéen et méditerranéen. Cet État était alors, semble-t-il, une « possibilité » pas plus absurde qu’une autre. »

En cette fin du XXe siècle, où la constitution d’une Europe occidentale redonnant aux Pyrénées la mission d’unir — comme au Moyen Age — et non de séparer deux espaces géographiques, où la monarchie espagnole a donné naissance aux régions autonomes d’Aragon et de Catalogue, pendant que la régionalisation française faisait naître une Aquitaine et un Midi-Pyrénées, il n’est probablement pas inutile de revenir sur ce chapitre par trop méconnu.

Entre la fin du XIe siècle et le début du XIIIe siècle, cette histoire méridionale à cheval sur les deux versants des Pyrénées, s’inscrit dans un contexte plus général qui est celui de l’essor de l’Occident, avec la constitution d’un nouveau type d’organisation sociale basé sur des liens personnels, des serments d’hommages, l’octroi de fiefs, bref ce qu’il est convenu d’appeler la société féodale qui se développe dans une ambiance commune, chrétienne, définie tant par la lutte contre l’Islam que par l’apogée d’ordres monastiques internationaux comme Cluny et Citeaux. Cette évolution n ‘empêchait pas, de surcroît, la consolidation de « monarchies féodales » dont le royaume de France est le meilleur exemple. C’est alors que se façonne la figure légendaire du chevalier, animé par un esprit chevaleresque. Un personnage comme Gaston de Béarn, le Croisé, peut en apparaître comme le type achevé au moment même où s’élaboraient les gestes épiques de Roland et du Cid.

Tenter de reconstituer cette histoire pour la mettre à la portée de lecteurs qui ignorent tout de ce passé est tâche délicate. Sans parler de la recherche des documents d’archives et des chroniques, bien plus abondantes sur le versant ibérique que sur le versant français, nous avons bénéficié des travaux de nos prédécesseurs auxquels nous tenons à rendre dès maintenant hommage, avant de signaler leur contribution dans des orientations bibliographiques à la fin de chaque chapitre.

Merci à LCPEA…

08/07/2011

Ce n’est pas une blague…

On m’a fait parvenir le lien suivant qui vous fait pénétrer au plus profond de la pensée islamiste. Les anglophones apprécieront; les autres pourront facilement comprendre rien qu’avec le visuel. Religion d’amour, de paix et de tolérance… Amis Anglais: résistez !!! Montrez nous l’exemple !


English friends: resist! Show we the example!

FDF

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Mettez vos ceintures et allez ici: http://www.muslimsagainstcrusades.com/

08/04/2011

Une manifestation d’islamistes radicaux est prévue samedi 9 avril à Paris !!!

De l’incitation à la haine pure et dure… Et on va laisser faire ça? Le préfet va donner son accord?

Si cette manifestation a lieu comme prévu, il n’est pas à exclure la présence de « La Résistance »; vous savez, celle qui était « gentille » avec ses « apéros-saucissons-pinard ». Et que l’on a interdits…

Ceci-dit, si « La Résistance » est là, cela m’étonnerait que ça se passe dans le calme, cette fois. Faut abuser des bonnes choses. Défendons NOTRE République! Si on laisse passer ce nouvel affront, nous sommes fichus! Si nos dirigeants ne bougent pas, ce sont eux qui vont avoir du souci à se faire…

Notre gouvernement mène trois guerres de front en même temps. Nos forces militaires sont sur le terrain.

La quatrième pourrait bien démarrer chez nous, en France. Et où sera notre armée, pour sauver la Patrie?

En guise d’apéro:

Comptez combien de fois ce con dit « inch Allah »…

Faites donner la Légion !

FDF

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Une manifestation d’islamistes radicaux est prévue le 9 avril à Paris, à 13 h 30 place de la Nation. L’appel est relayé par Forzanne Alizza, après avoir été lancé par un organisme nommé Jamaat Tafheed, que nous ne connaissons pas précisément mais dont le style est bien gratiné. Il est prévu que la manifestation reçoive des renforts venus de Londres.


Voici ce qu’on peut lire sur le site de Jamaat Tafheed : «  Ce que nous voyons avec l’interdiction du niqab c’est simplement une continuation de guerre contre l’Islam. Le sang de la haine circule toujours dans les veines du croisade. Même après que ces mécréants interdiront le niqab dans les jours à venir, ils ne seront pas satisfait et voudraient que les musulmans deviennent comme eux. Allah (swt) dit  » Ni les Juifs, ni les Chrétiens ne seront jamais satisfaits de toi, jusqu’à ce que tu suives leur religion… »

Le site prône la Charia pour la France. En cela, il décalque le slogan Sharia 4 UK, celui du provocateur islamiste Anjem Choudary, qui, sur une vidéo en arabe et anglais, éructe longuement contre les croisades et contre Sarkozy,  prône la charia une fois de plus, défend les beautés de la burka, et la conseille à Carla Bruni-Sarkozy. Les plus patients cliqueront sur le site pour écouter cette vidéo.

A l’heure où les pouvoirs publics ont interdit l’apéro saucisson-pinard, on espère qu’ils trouveront quelque énergie pour empêcher cette manifestation, et que les organisations dites de droits de l’homme rédigeront quelques phrases pour la condamner.

Source: http://tinyurl.com/3lmb5oc

14/11/2010

CARTOMATON: Croisades & djihad…

1. Les Croisades.

On appelle croisades des guerres religieuses entreprises par les peuples chrétiens, pour se défendre contre des envahisseurs qui en voulaient à leur foi.
L’histoire de France en compte huit, parmi lesquelles il y a surtout celles auxquelles les Français ont pris part, mais, au regard de l’Église, il y en a davantage.

2. Croisade d’Héraclius.

Au commencement du VIIe siècle les Perses païens ayant envahi une bonne partie de l’Orient chrétien, s’étaient emparés de Jérusalem et de la Syrie, pillant et brûlant les églises, massacrant les chrétiens ou les emmenant en esclavage et surtout emportant la relique de la vraie Croix.
Héraclius, qui était alors empereur de Constantinople, entreprit contre la Perse une guerre qui fut longue et difficile. Elle dura sept ans et conduisit enfin les armées chrétiennes jusqu’à Ctésiphon (sur le Tigre), qui était alors la capitale de la Perse. Chosroès, le terrible ravageur de l’Orient chrétien fut vaincu et tué dans cette guerre, et la Croix fut rapportée en triomphe à Constantinople, d’où Héraclius la reporta à Jérusalem, redevenue chrétienne. Le pieux et vaillant empereur la porta lui-même pieds nus dans la Ville sainte (629), et en souvenir de cet heureux événement, l’Église fait chaque année la fête de l’Exaltation de la Croix, au 14 septembre.

3. La lutte contre les musulmans d’Espagne.

On peut compter comme une autre croisade fort longue, mais couronnée du plus grand succès, la lutte ininterrompue que les musulmans, ayant envahi l’Espagne, durent subir, depuis la bataille de Poitiers, 732, jusqu’à la prise de Grenade, en 1492. La bataille de Poitiers, remportée par Charles-Martel, arrêta les bandes fanatiques qui avaient franchi les Pyrénées et s’étaient installées dans le sud de la France.
La prise de Grenade acheva la délivrance de l’Espagne, qui avait lutté pied à pied pendant 706 ans pour faire reculer l’ennemi de la foi chrétienne.

carte des croisades - cliquer pour agrandir
Carte pour les principales Croisades.

4. Croisades dirigées par les papes.

Elles commencent à la fin du XIe siècle avec la prédication du pape Urbain II à Clermont. Les papes, en effet, avaient compris le péril de la chrétienté, menacée de l’invasion turque. Les Turcs, sortis de l’Asie centrale, avaient déjà conquis Jérusalem, en 1078, et envahi l’empire chrétien d’Orient, qui ne pouvait plus leur résister. Il fallait leur opposer des forces puissantes et aller les combattre chez eux, au lieu d’attendre leur arrivée en Europe.
Les chevaliers assemblés à Clermont s’écrièrent avec enthousiasme : Dieu le veut ! et prirent la croix sur leurs habits, ce qui leur a fait donner le nom de Croisés (1096).

5. Prise de Jérusalem.

L’immense armée chrétienne se concentra à Constantinople, et après de longues luttes où elle perdit une bonne partie de ses troupes, en Asie Mineure, elle descendit vers Antioche, dont elle fit le siège, et enfin vers Jérusalem, qui tomba entre ses mains en 1099.
Un royaume chrétien fut fondé en Syrie avec les territoires conquis. Mais il fut constamment en lutte avec les princes musulmans voisins, spécialement ceux d’Egypte. Aussi plusieurs autres croisades durent venir à son secours, tout le long des deux siècles suivants.
Celle de 1189 comptait trois rois à sa tête, dont Philippe-Auguste. Elle aboutit à la prise de Saint-Jean-d’Acre, après un siège de deux ans, l’un des plus fameux de l’histoire. Il y périt 120.000 chrétiens et près de 200.000 musulmans.
Les croisades suivantes, d’effectifs bien moindres, n’arrivèrent qu’a retarder la chute du petit royaume, qui finit en 1282.

6. Dernières croisades.

Les croisades de saint Louis en Egypte et en Tunisie n’eurent aucun résultat bien important.
Celle de Sigismond de Hongrie et du duc de Bourgogne contre les Turcs, qui envahissaient l’Europe orientale, aboutit, en 1396, au désastre de Nicopolis (en Bulgarie).
Celle de Jean Hunyade, en 1456, sauva Belgrade assiégée par Mahomet II, qui venait de prendre Constantinople et rêvait la conquête de l’Europe entière. La fête de la Transfiguration rappelle cet événement, ainsi que la sonnerie des cloches à midi (pour l’Angélus).
Celle de Pie V, groupant les forces navales de l’Espagne et de la République de Venise, réussit, en 1571, par la grande victoire de Lépante, à abattre définitivement la puissance turque, qui, depuis n’a plus fait que décliner sur mer et bientôt après sur terre.
Cette victoire, obtenue surtout par les prières de l’Église, est, rappelée chaque année par la fête de Notre-Dame du Rosaire instituée pour remercier la Sainte Vierge de la protection dont elle entoura la flotte chrétienne, bien inférieure en nombre.

7. Importance des Croisades.

On n’aurait pas.une idée juste des Croisades si on les considérait comme un détail dans la vie de l’Europe chrétienne du Moyen Age.
Ce sont les autres guerres qui, en comparaison, ont un caractère local et passager. La Croisade fut la ligue presque perpétuelle et presque universelle des peuples chrétiens, tant que les progrès de l’islamisme ne furent pas arrêtés.
Il ne faut pas oublier qu’en plus des croisades énumérées ci-dessus, il y eut un passage continuel de croisés, allant se joindre à ceux qui restaient en Orient. Il faut y ajouter le recrutement ininterrompu des Ordres militaires, notamment de celui de Malte, qui dura jusqu’au XVIIIe siècle.

8. L’Ordre de Malte.

Chevalier de Malte - cliquer pour agrandirLe plus célèbre des Ordres militaires fut celui de Malte, appelé d’abord de Saint-Jean, puis de Rhodes. Il avait pour but de défendre la Terre Sainte et vécut dans une croisade continuelle. Il aida à la prise de Saint-Jean-d’Acre en 1191, lutta à Rhodes en 1480 et 1522, contre toutes les forces turques, et enfin résista à Malte en 1565 à tous les assauts de l’Empire Ottoman, ce qui n’aida pas peu à la grande victoire de Lépante, six ans plus tard.

9. Grandeur de l’effort des Croisades.

On peut estimer à plus de 1.500.000 hommes les troupes que la chrétienté a jetées successivement en Orient contre les armées musulmanes, et à de nombreux milliards les dépenses qui s’ensuivirent. Il ne fallut rien moins, pour ralentir et finalement épuiser le flot envahisseur, qui arriva plusieurs fois jusqu’à Vienne au centre de l’Europe.
Nous avons tous des aïeux parmi les croisés qui sont allés combattre pour la foi chrétienne, sur les terres infidèles, et qui ont versé leur sang pour que nous restions chrétiens.

10. Résultats des Croisades.

Les Croisades, au dire de quelques historiens, n’ont pas réussi. Il est vrai qu’après une existence relativement courte le petit royaume chrétien de Jérusalem a fini par succomber et disparaître. Les Turcs ont même pu, dans la suite, conquérir l’Europe orientale. Mais pourtant, au total, l’Espagne s’est débarrassée des musulmans ; l’Autriche, puis la Hongrie, et plus tard les pays des Balkans y sont parvenus à leur tour. Depuis 1830, où eut lieu la prise d’Alger, les puissances chrétiennes ont pris pied sur la rive méridionale de la Méditerranée, restée musulmane depuis douze siècles. Ce sont les croisades qui ont obtenu ce résultat, en affaiblissant à la longue l’islamisme, qui, finalement épuisé, a lâché toutes ses conquêtes. L’héroïsme des croisés a donc obtenu un résultat bien satisfaisant, quoique lent à venir.

(Précis d’histoire sainte, leçon 48, Emmanuel VITTE, MCMXXXIII)

11. Djihad.

Auto-produire la carte postale ci-dessous
et l’envoyer aux Djihadistes potentiels
pour les dissuader.

Chevalier croisé - DjihaD - Je te Vois et je Vais Lever Contre Toi Une Satanée Croisade.

TÉLÉCHARGER la carte postale (à l’envers) – .jpg 156 Ko)
.png – 290 Ko

Qui sont les destinataires ?

N’importe quelle association
ayant en projet de construire
ayant démarré le chantier d’
gérant
une ambassade islamique, une mosquerne, une kommandantur mahométane, bref : une mosquée.
Pour montrer que la résistance est implantée localement, choisir une destination proche du lieu d’expédition.

Embarras du choix ? Visez les têtes de l’hydre : le Conseil Français du Culte Mahométan et les diplomates des trois des plus importantes mosquées de France (celles qui certifient le halal) :

mosquee-de-paris.orgmosquee-lyon.orgmosquee-evry.fr.

Le jour où ils auront un site internet qui ne sera pas du travail de Chariabe, vous pourrez écrire au diplomate officiel local du CFCM, c’est à dire le diplomate du CRCM, Conseil Régional du Culte Mahométan, de votre région (signaler en commentaire quand la page des CRCM sera complète).

Tableau à cadre doré : livre sur les croisades, deux cartes anti-djihad et une épée médiévale posée en travers, le tout sur fond de ciel nuageux

28/10/2010

Renaissance de l’antisémitisme catholique ?

Les Juifs ne doivent pas se tromper d’ennemis, au présent. En effet, alors que l’islam officiel et une écrasante majorité du milliard et demi de musulmans s’adonnent à la haine antijuive, des Juifs pervers et antinationaux, s’acharnent, pour des raisons diamétralement opposées développées ci-dessous, à raviver la crainte d’un monde catholique profondément et définitivement antijuif. Or, au sein même de l’église catholique, des manipulations politiciennes attisent volontairement des séquelles antijuives réelles, mais résiduelles. C’est le cas de la quatorzième Congrégation générale des Pères synodaux de l’Eglise catholique, au Vatican, le 22/10/2010.

L’importance du synode en question laisse croire qu’il engage, non seulement la position politique officielle de l’église catholique, mais aussi celle de tous les individus catholiques. Pour avoir une idée de ce que pense une très grande partie des catholiques, sans doute même la majorité, le mieux c’est de lire ce qu’écrivent ceux qui s’expriment sur la question qui nous préoccupe, sans souci du « politiquement correct ». Michel GARROTE est l’un de ces plus brillants représentants des catholiques francophones. Les propos et l’attitude de Michel GARROTE et de ses coreligionnaires catholiques qu’il cite, résument-ils toute la réalité catholique ? Certes non. Mais ils illustrent un courant puissant que veulent occulter les Juifs pervers et antinationaux, autant que les pires antijuifs : – Face aux ennemis communs musulmans, il y a un rapprochement entre les catholiques et les Juifs.

Quant aux présents louvoiements de l’église catholique officielle avec le pire antisémitisme de ses siècles obscurs, on peut légitimement prétendre qu’il est entretenu, au moins en partie, par l’attitude des Juifs pervers et antinationaux. Qui sont donc ces Juifs pervers et antinationaux qui ont besoin d’un monde catholique antijuif ?

Sans surprise, nous retrouvons ces Juifs dénoncés depuis plus de dix ans. Commençons par le plus simple. Il s’agit de la lie putride de « gauche ». Pour ces dégénérés juifs, l’islam et les musulmans ne sont pas antijuifs parce que contrairement aux chrétiens d’Europe, ils n’ont pas fait la Shoah. Selon ces tarés juifs, les musulmans du monde entier n’auraient qu’un insignifiant et légitime conflit territorial avec les Israéliens, pas avec les Juifs. Par contre, ignorant volontairement le bouleversement décisif du Concile Vatican 2 et les importantes réformes induites, pour ces juifs débiles de gauche, le catholicisme est toujours, ou presque, celui de l’Inquisition et des croisades. Nous constatons un syncrétisme total entre la lie de gauche juive et la gauche antijuive occidentale. Cette pourriture est horripilée par la souveraineté nationale juive sur la terre d’Israël. La réalité c’est qu’au-delà du prétexte antinational, cette gauche juive refuse viscéralement et férocement ce que cette souveraineté manifeste de manière éclatante : – la réalité puissante de la promesse divine renouvelée plus de cent fois d’Abraham à Moïse. En entretenant la méfiance entre Juifs et catholiques, la lie de gauche juive espère priver d’alliés nombreux, le camp national juif qui défend cette réalité nationale. Mais ces Juifs de gauche allergiques à la réalité du message divin, ne sont pas seuls.

Parmi les juifs dits orthodoxes, il existe un courant minoritaire, pour lequel la souveraineté nationale juive sur la terre d’Israël est une chose embarrassante. Même s’ils n’y sont pas hostiles, pour ces orthodoxes, la souveraineté nationale juive passe après les choses prétendues importantes, comme l’observance méticuleuse des rites et comportements individuels. De plus, aux yeux de ces « orthodoxes », la souveraineté nationale juive tolère des comportements « non cachères ». Donc, ils ne la considèrent pas comme importante pour les Juifs aujourd’hui. Submergés par leur interprétation mystique du judaïsme, ces Juifs négligent trop la contingence présente. Inconsciemment, ils transgressent pourtant l’interdit de la Torah le plus rempli de bon sens, celui de ne pas attendre de miracle pour résoudre un problème matériel. En l’occurrence, celui de se défendre contre les ennemis féroces autour du pays. Comment cela ? Parce que ces orthodoxes hésitent à détruire les musulmans ennemis alentour dont ils préfèrent de beaucoup les mœurs brutales et sanguinaires, au profit des Juifs « laïcs », aux mœurs jugées impures et immorales. Parce que le christianisme est devenu tolérant, ces « orthodoxes » assimilent à tort, les laïcs aux chrétiens, en général et aux catholiques en particulier. L’un de ces orthodoxes tarés commit l’acte répugnant d’écrire à un ramassis d’ulémas antijuifs d’un pays ennemi voisin, pour l’assurer de son débile soutien, contre les propos très mesurés de Benoît XVI à Ratisbonne. Il a été plusieurs fois imité par l’un de ses homologues en France. Parmi ces orthodoxes, des abrutis, souvent incultes, ressassent que les Juifs sont proches d’Ismaël parce qu’il est le demi frère d’Isaac. Les mêmes maudissent le nom d’Edom, représentant l’Occident, pourtant descendant d’Esaü, frère jumeau de Jacob / Israël. A cause de leurs limites intellectuelles, ces juifs orthodoxes confondent les conflits et leurs conséquences réelles.

Alors qu’il existe des opinions rabbiniques passées et présentes, variées, voire antagonistes, mais claires, sur tous les problèmes existentiels, comme précisément celui du renouveau national juif, les opinions rabbiniques sur les relations des Juifs et du judaïsme avec les autres religions, sont certes toujours variées, mais beaucoup moins connues par les non spécialistes. Bien entendu, cette discrétion découle immédiatement du nombre faible de Juifs parmi les non Juifs. Alors que les Juifs sont obligés de vivre parmi eux, ils ne peuvent pas traiter tous les autres de mécréants, au sens propre de « mauvais croyants ». Bien sûr, tout le monde, y compris non juif, connaît la tolérance imposée aux Juifs par la Torah à l’égard des individus non Juifs. On connaît aussi, l’ordre de la Torah aux Juifs de ne pas pratiquer des rites non juifs. Mais les commentaires rabbiniques sur les autres religions sont donc discrets. Hormis quelques courant marginaux, il n’existe pas d’écoles, ou de doctrines juives sur la question. Les relations sont gérées de manière pragmatique.

On peut y ajouter une raison venant directement de la Tradition. En effet, les « nations » resteront les nations, avec leurs spécificités, même quand elles auront demandé à Israël d’intercéder pour la Bénédiction Divine. La Nation Israël officiant alors dans son rôle double de Cohen, le prêtre qui fait monter le korbane vers Hachem, et de prophète qui fait descendre la parole Divine vers la terre. Selon certains commentaires rabbiniques, les rites deviendront alors caducs.

Une explication plus simple est bien connue : – Le christianisme tombe dans l’excès de tolérance, « midat ha hessed » avec le principe de « tendre l’autre joue quand on te gifle », alors que l’islam tombe dans l’excès d’intolérance « midat ha din », avec l’interdiction absolue de la moindre interprétation du sens littéral. On comprend donc aisément pourquoi les bigots juifs préfèrent l’islam au christianisme. Ce n’est qu’une question d’inclination personnelle.

Dans l’absolu, il n’y aura jamais de convergence entre d’une part le christianisme en général et le catholicisme en particulier, et d’autre pat le judaïsme. Pas plus qu’avec l’islam. Il existera toujours une rivalité entre les religions.

Dans la réalité, cette rivalité est aujourd’hui plus paisible entre le christianisme et le judaïsme, même si au sein du christianisme, le catholicisme est plus retors. Alors qu’aujourd’hui, la rivalité avec l’islam a pris, à l’initiative de ce dernier, un mode beaucoup plus violent et sanglant.

En bons idiots qu’ils sont, les « orthodoxes » juifs idiots appliquent un principe qui n’est plus du tout en adéquation avec la situation présente. Ce principe consiste à prier quand les Juifs sont physiquement en danger, exemple de Pourim, et à prendre les armes, quand on veut empêcher les Juifs de pratiquer la Torah, exemple de Hanoucah. Sauf que ces deux exemples sont tirés de situations où les Juifs avaient perdu leur souveraineté nationale. Exil de Babylone pour Pourim et occupation grecque pour Hanoucah. Du temps des premiers rois d’Israël, les Hébreux détruisaient sans états d’âme tous les ennemis qui osaient les attaquer.

On peut comparer la renaissance d’Israël, à la période de la conquête de Josué. Nous devons détruire nos ennemis d’aujourd’hui, les musulmans qui occupent Israël et ceux qui veulent le détruire. Le conflit théologique avec l’église catholique, c’est une tâche intellectuelle non urgente. Par contre, nous devons combattre les catholiques qui aideraient nos ennemis musulmans.

Charles DALGER

17/10/2010

S’il y a d’évidents et de forts avantages à vivre en France, y en a-t-il encore à être français ?

Et encore du Gérard Brazon! Intarissable, l’homme au chapeau…

FDF

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Dissertations sur les clandestins (« sans papiers ») et autres…

Je vous donne un texte sympatique qui résume une vérité édulcorée qui devrait ne pas plaire à notre bien pensance qui considère que la France est riche (avec ses 1500 milliards de dettes) et qu’elle peut donc recevoir toute la misère du monde sinon… sachez-le, vous êtes un égoïste franchouillard voire pire!


Du Site Causeur.

Avoir ses papiers en règle ici, à moins d’être très riche, c’est s’exposer à payer ses impôts comme un imbécile et le ticket modérateur comme un larbin. C’est s’exposer à devoir défendre sans cesse, par esprit imbécilement patriote et filial, l’histoire de France, sa culture, ses cathédrales, sa révolution, son Panthéon, son régime de liberté. C’est souffrir jour après jour du poids insoutenable de la mémoire de l’esclavage, de la colonisation, de la collaboration, des croisades et autres fariboles notoirement commises par les Français de toutes les époques. Perdre fortuitement ses papiers, se faire rayer de l’état-civil, c’est au contraire gagner le juste statut d’apatride. Devenir clandestin, c’est le début de la vraie vie. La seule chose que vous perdez provisoirement, c’est le droit de vote. Mais rassurez-vous : vous pouvez compter sur le travail des associations ad hoc qui vous l’obtiendront bientôt. Comme vous résidez de façon immémoriale sur le territoire, vous serez parmi les premiers à pouvoir voter en tant qu’étranger. Juste retour des choses. Pour le reste, quelle différence entre vous et un autochtone ? Vous êtes un être humain comme les autres, et ce n’est pas un morceau de papier qui vous manque qui pourra vous faire traiter comme un moins que rien.

Le statut d’apatride ou de clandestin vous confère des droits inaliénables : l’aide médicale d’Etat, par exemple, vous délivre définitivement de tout souci pour les soins médicaux. La France qui a bien à se faire pardonner vis-à-vis de vous vous offre tout, jusqu’à la chirurgie plastique si vous estimez devoir en bénéficier absolument. Et pensez ! Fini l’impôt sur le revenu, fini le loyer hors de prix : on se doit de vous reloger décemment, c’est votre droit opposable, et ne doutez pas qu’on mettra le paquet. Evidemment, le plus intéressant pour vous est de travailler au noir : pas de charges sociales, pas de revenu déclaré, à vous les allocs. Si vous êtes une femme, n’hésitez pas à ne pas vous marier ou à faire disparaître avec le reste de votre état-civil votre acte marital. Déclarez vivre seule avec quelques enfants, par mesure de justice élémentaire vous toucherez l’API, qui n’est pas d’un montant négligeable. Pour trouver du travail, rien de plus simple : vous êtes assez doué et irremplaçable pour venir pourvoir un poste en manque de personnel qualifié. Votre patron sera sans doute décoré in fine pour avoir pris le risque de faire travailler un clandestin qu’autrement l’inique système aurait réduit à la mendicité.

Par Gérard Brazon

Source: http://tinyurl.com/27fe6ch