Et encore une « chance pour la France ». Qui a ôté la vie à un septuagénaire.
Je n’ai pas les chiffres officiels, ni officieux. Mais il est certain que largement plus de la moitié des crimes et délits commis sur notre territoire sont le fait de personnes « issues de l’immigration » ou de clandestins.
On ne voit que ça dans les médias. Dans les journaux (où l’on évite soigneusement en général de citer les noms s’ils ne sont pas à consonance française…), sur le Net, sur nos écrans de télé.
Et heureusement qu’ils ne sont qu’une « minorité », comme disent leurs fervents défenseurs…
Mais où va t’on ?
FDF
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« Suicide-toi ! », a lancé une voix dans la salle lorsque le prévenu, Zouhir Bouchtita, 21 ans, a pris place dans le box pour y répondre d’homicide involontaire aggravé par deux circonstances : la conduite en état d’ivresse et le délit de fuite. Après l’accident survenu sur la place d’Oraison, le jeune conducteur et son passager qui avaient passé la nuit en discothèque, s’étaient en effet enfuis, en abandonnant la voiture. »
FORCE EST DE CONSTATER QU’ILS TUENT DES GENS ET QUE LEUR PREMIERE REACTION EST GENERALEMENT DE PRENDRE LA FUITE, QUAND CE N’EST PAS L’AVION POUR RENTRER AU BLED…
JC JC…
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Accident mortel : le chauffard d’Oraison a été incarcéré
Il sera jugé dans deux mois.
Ce que contesta avec une véhémence inattendue l’avocat du prévenu
Me Mohand Chibout.
Photo Eric Camoin
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Tous les accidents sont dramatiques et constituent pour les familles une tragédie dont beaucoup ne se relèvent jamais. Dans l’énumération morbide des 26 accidents qui se sont produits depuis le début de l’année pour un total de 28 tués, il en est, hélas, de plus pénibles que d’autres parce que, dans leur déroulement, ils conjuguent tout ce qu’il peut y avoir de haïssable chez un chauffard : l’alcool, peut-être aussi les stupéfiants, (les analyses le diront), la vitesse et l’inconscience pour soi-même et autrui. Un cocktail fatal qui a fait une victime dimanche au petit matin à Oraison : André Dast, un homme de 79 ans, fauché par une puissante voiture au volant de laquelle se trouvait un jeune homme de 21 ans. L’éthylomètre révélera plus tard un taux d’alcoolémie de 0,86 mg par litre d’air expiré, soit 1,72 g par litre de sang.
Tristesse et colère
Dans la salle d’audience du tribunal de Digne, hier en fin de matinée, la détresse de la famille était immense. Les filles de la victime, Jacqueline et Nicole, sa petite fille, Aurélie, plusieurs de ses petits fils étaient recroquevillés les uns contre les autres pour mieux affronter, entre tristesse et colère, la terrible réalité.
« Suicide-toi ! », a lancé une voix dans la salle lorsque le prévenu, Zouhir Bouchtita, 21 ans, a pris place dans le box pour y répondre d’homicide involontaire aggravé par deux circonstances : la conduite en état d’ivresse et le délit de fuite. Après l’accident survenu sur la place d’Oraison, le jeune conducteur et son passager qui avaient passé la nuit en discothèque, s’étaient en effet enfuis, en abandonnant la voiture.
Pour le procureur de la République, Pierre-Jean Gaury, il y a dans les faits suffisamment d’éléments pour justifier une comparution immédiate devant le tribunal correctionnel. Ce que contesta avec une véhémence inattendue l’avocat du prévenu Me Mohand Chibout, au prétexte « que l’ouverture d’une information aurait permis de mieux cerner la réalité » et « que cet empressement était le signe d’une absence de sérénité de la part du parquet. »
Incident d’audience
Des propos « déplacés » que le représentant du ministère public, outré, s’empressa de faire acter par le greffier. Le président Fabrice Lecras mit fin à la joute verbale en sollicitant de toutes les parties la dignité qui sied à la justice au moment de leur donner la parole pour leur intervention sur le fond . Le prévenu ayant sollicité un délai pour être jugé se posait, en effet, la question de son maintien ou non en détention
Pour le procureur Gaury, l’incarcération apparaît évidente afin d’empêcher le prévenu de se soustraire à ses responsabilités. Avis partagé par la partie civile pour qui « l’ordre public a été gravement et durablement troublé. » Me Chibout enfin, tout en assurant la famille de la victime de son empathie, plaida pour la remise en liberté de son client. « Je suis désolé. Je suis sincère, je suis vraiment désolé », déclara le prévenu avant que le tribunal se retire. Dix minutes plus tard le mandat de dépôt était prononcé et le procès fixé au 23 février.
Zaoui Bouchtita a été incarcéré à la maison d’arrêt de Digne.
François de BOUCHONY
Source: http://www.laprovence.com/