Francaisdefrance's Blog

17/02/2012

Lycéen poignardé à Bourges: le meurtrier présumé mis en examen.

Encore une agression au couteau près d’un établissement scolaire. Je pense que l’on ne sait plus quoi faire, là… Si: des fouilles, au hasard.

FDF

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Photo d’illustration.

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Le coupable présumé, âgé de 18 ans, est soupçonné d’homicide volontaire. C’est un adolescent plus jeune, accusé de complicité, qui lui aurait fourni l’arme du crime.

Bari David Ozkili, le meurtrier présumé du lycéen de 17 ans poignardé à Bourges mardi, a été mis en examen jeudi. Un autre adolescent, mineur, est quant à lui soupçonné de lui avoir fourni l’arme du crime et devra répondre de l’accusation de complicité d’homicide volontaire. Le parquet a requis leur placement en détention. Un juge des libertés et de la détention devait se prononcer dans le courant de l’après-midi.

L’altercation a eu lieu mardi, durant la pause déjeuner, sur un parking situé à une cinquantaine de mètres du lycée des trois protagonistes. Blessé au couteau, Redha Belakhdar, élève de terminale STG, est mort au bloc opératoire alors qu’il subissait une intervention chirurgicale. Une autopsie devait avoir lieu «dans les prochains jours», expliquait mardi le vice-procureur. La cause de la mort ne semble toutefois pas faire mystère.

Placé en garde à vue, Bari, 18 ans, a reconnu les faits et déclaré avoir jeté l’arme dans le canal du Berry. Il avouera rapidement l’avoir en fait confiée à Jérémy, un camarade âgé de 17 ans. Placé en garde à vue, ce dernier a avoué avoir fourni l’arme le matin du drame et révélé aux enquêteurs l’endroit où il avait ensuite caché le couteau. Son degré de complicité devra être établi par la justice.

Le mobile reste flou

Si les événements semblent clairs, le mobile du crime reste flou. Le procureur de la République de Bourges, Vincent Bonnefoy, reste «extrêmement prudent sur les motivations avancées». Les enquêteurs évoquaient dans un premier temps une histoire de trafic de vêtement. Un différend lié à la vente d’un bonnet que la victime, Redha, élève en terminale STG, n’a pas voulu payer l’estimant contrefait. Le montant du litige semble dérisoire: 20 euros. L’histoire «a été évoquée en garde à vue mais il n’est pas sûr que ce soit l’unique cause», estime le procureur.

À Aubigny-sur-Nère, la ville où vit le jeune Bari, c’est la stupéfaction, écrit le Berry républicain . Ses amis, ses proches ou anciens camarades, ne comprennent pas et parlent d’un «comportement inexplicable». Pour eux, Bari est un jeune «sans histoires, calme, bon camarade, sportif, un peu intello et brillant élève». Il poursuivait une «scolarité tout à fait normale» en terminale scientifique au lycée Marguerite-de-Navarre, précise le procureur. Seul écart connu, un vol à l’étalage commis dans une grande surface mi-janvier, rapporte le quotidien local. Il devait se rendre à la protection judiciaire de la jeunesse et se voir infliger «une mesure de réparation», explique Vincent Bonnefoy.

Environ 250 lycéens de Bourges ont participé jeudi à une marche blanche en hommage à leur camarade décédé et ont observé une minute de silence devant le palais de Justice.

Source: http://www.lefigaro.fr/

02/02/2012

Jaloux,Rachid Tétouani,exécute froidement son épouse, d’abord au couteau puis par strangulation !

Au couteau et « finie » par strangulation… Pauvre femme. Mais bon; il a « couru confesser son crime à la gendarmerie avec le bébé dans les bras »; un brave type, tout de même. Il risque la condamnation avec sursis; on parie?

A savoir: « La jeune femme âgée de 21 gisait à plat ventre sur son lit, la gorge tranchée. Trois ans plus tôt elle avait rencontré Tetouani, à Meknès au Maroc. Le jeune homme qui sortait d’une énième incarcération était venu se mettre au vert sur les conseils de son frère »

Des affaires comme ça, on ne peut s’empêcher d’en faire profiter celles et ceux qui vont payer les frais de justice; vous et moi, en fait…

On aime bien savoir où passe NOTRE argent.

FDF

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IL TUE SA FEMME  PARCE QU’IL  PENSAIT QU’ELLE LUI ÉTAIT INFIDÈLE   !!!!!!!    
Quoi de plus normal finalement !!!!!
UN NOUVEL EXEMPLE DE SAUVAGERIE  ET DES CONSÉQUENCES DES MARIAGES « ARRANGES EN VITESSE AU BLED » durant les vacances.
JC JC…

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Les faits remontent au matin du 29 mars 2009. Un homme rongé par une jalousie maladive finit par exécuter froidement sa compagne. Il comparait à partir de ce matin devant les juges.
À partir de ce lundi matin, les jurés de la cour d’assises de la Haute-Garonne devront tenter de comprendre comment un homme rongé par une jalousie maladive finit par exécuter froidement sa compagne. Les faits remontent au matin du 29 mars 2009. Ce jour-là Rachid Tétouani est allé chercher sa jeune épouse qui a trouvé refuge auprès d’une association de défense des femmes battues pour la ramener au T1 de Muret que le couple partage avec un bébé de trois mois.

Rachid Tetouani, est convaincu que la jeune femme qu’il a épousée sans vraiment la connaître à l’occasion d’une rapide visite à sa famille marocaine ne lui est pas fidèle.

Rongé par la jalousie il l’interroge sur une relation extraconjugale dont la réalité, dans son esprit fragilisé par la consommation habituelle de drogue, ne souffre pas le moindre doute. Hors de lui, il finit par se jeter sur la jeune femme et lui porte un premier coup de couteau à la gorge. Le médecin légiste constatera plus tard que la blessure n’était pas mortelle. Mais le drame est enclenché. Lâchant son couteau, c’est à main nue que Rachid Tetouani finit d’exécuter sa femme par strangulation. Ensuite, son bébé dans les bras, il court confesser son crime chez les gendarmes. Lundi et mardi, il sera défendu par Me Mickaël Malka et Me Karine Brienne. Les parties civiles seront représentées par Me Denis Boucharenc et Me Hélène Chayrigues.

Source: http://www.ladepeche.fr/

27/08/2011

L’égorgement est inscrit dans l’ADN de l’islam.

Encore une preuve en Italie… L’amour rend fou, dit on. L’islam aussi, c’est formel. Alors quand les deux ingrédients sont réunis…

FDF

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Italie – Un musulman tente d’égorger sa compagne

Égorgement d’animaux vivants et conscients (la barbarie de la viande halal), égorgement “festif” et rituel (l’horreur de l’Aïd el Kebir), égorgement d’hommes qui ont eu le malheur de croiser la route des fous d’Allah (une pensée pour Eugene Armstrong, Nick Berg et toutes les autres victimes de la barbarie islamique). Le caractère généralisé de l’égorgement dans le monde islamique n’est certainement pas sans laisser de traces dans le psychisme de nombre de musulmans, comme le fait divers présenté ci-dessous en témoigne.

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Scène surréaliste à Florence, où un homme a tenté d’égorger son ex-copine en pleine rue, la menaçant avec un couteau sous le nez des passants.

Moment de terreur en plein centre de Florence, mercredi matin. Vers 09 heures du matin, une violente dispute entre un homme et son ancienne copine a failli virer au drame. D’après la Repubblica, la scène s’est jouée en pleine rue, sous le regard atterré et incrédule des passants. L’homme, un ressortissant marocain, a plaqué au sol son ancienne compagne et lui a ensuite placé un couteau sous la gorge.

Les carabiniers, rapidement arrivés sur les lieux, ont éprouvé toutes les peines du monde à maîtriser l’individu qui leur a opposé une farouche résistance. Au bout d’une altercation musclée, il a finalement pu être maîtrisé, non sans avoir blessé légèrement au thorax et aux mains les représentants des forces de l’ordre.

Connu des services de police, l’amoureux-fou est accusé de tentative d’homicide et refus d’obtempérer. Il a été « privé de liberté ».

Source: http://prophetie-biblique.com/

09/08/2011

C’est pas moi, m’sieur !

Encore un délinquant que tout accuse mais qui nie l’évidence. On a l’habitude… Dans le cas présent et vu sa situation, il risque l’expulsion. Va t’il bénéficier lui aussi de la clémence de la justice? Affaire à suivre…

FDF

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Condamné pour violence, un père dénonce un complot familial…

« Je n’ai jamais utilisé de couteau, c’est un complot contre moi », se défend Mohamadi, 31 ans, jugé hier, en audience de comparution immédiate pour violences avec arme à l’encontre des proches de son ex-femme.

Le 16 juillet, cet homme se rend à Ramonville-Saint-Agne pour récupérer son enfant dans le cadre d’un droit de visite autorisé par la justice. Mais très vite, le rendez-vous tourne au pugilat. Son ex-épouse venue avec son frère et un ami lui demande s’il possède un siège pour bébé dans sa voiture. Le ton monte et la rencontre dégénère. Le jeune père sort un couteau et se bat avec les deux autres hommes devant des témoins. Les gendarmes interviennent et interpellent Mohamadi.

Hier, le prévenu qui comparaissait libre, a maintenu ses dénégations. « C’est un complot pour que je quitte le pays », a-t-il dit. Titulaire d’une carte de résidant qui arrive a expiration, le jeune homme était en attente de son renouvellement. Sauf écart de sa part. Dans la salle, les trois parties civiles, l’ex-femme, son frère et un ami, assistent à l’audience soutenues par leur avocat Me Frédéric David. La procureure Claudine Viaud a requis six mois de prison avec sursis à l’encontre du prévenu, jamais condamné auparavant.

Le tribunal correctionnel a finalement condamné Mohamadi à une peine de deux mois de prison avec sursis. Il doit également verser 200 € à chacune des parties civiles au titre des dommages et intérêts.

Source: http://www.ladepeche.fr/

28/06/2011

Chances pour la France: « Je vais te planter. Je n’ai rien à perdre. J’ai déjà fait dix ans de prison »…

Eh oui; encore ne « chance pour la France »… Vive la diversité! Vive les « jeunes Français issus de l’immigration »!  Encore un qu’il faudrait renvoyer au bled à grands coups de pompes dans le c..!

FDF

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Toulouse: armé d’un couteau, il détrousse les passants !

« Sur le plan juridique, c’est la cour d’assise qui devrait vous juger. Vous risqueriez jusqu’à 30 ans de prison ». Le réquisitoire du procureur de la République, Patrice Michel, raisonne avec virulence devant le tribunal correctionnel dans le cadre des comparutions immédiates. Issam Driouech, 31 ans, pull rayé, assume les faits qui lui sont reprochés.

Dans la nuit du 1er au 2 avril, à 2 heures du matin, accompagné d’un complice, il stoppe un jeune passant rue Caraman, dans le centre de Toulouse. Stéphane, 20 ans, vient de raccompagner un ami. Armés d’un couteau, les deux hommes lui réclament sa carte bleue et son code. L’étudiant s’exécute. Au distributeur, Issam Driouech l’intimide : « Je vais te planter. Je n’ai rien à perdre. J’ai déjà fait dix ans de prison ». En quatre retraits, les malfaiteurs prennent 420 euros. Ils décident alors de raccompagner la victime chez elle. Par chance, Place des Carmes, Stéphane croise un ami. Celui-ci réalise que quelque chose ne va pas. Les deux voleurs prennent la fuite. À l’audience, l’avocat de la victime, Me Pascale Benhamou, explique : « Mon client a aujourd’hui peur de sortir seul. »

De cette nuit-là, le prévenu ne se souvient de rien. Il affirme « avoir trop bu ». Pourtant quelques minutes plus tard, alors que les deux comparses marchent en zigzag dans la rue Saint Rome, Issam Driouech s’en prend à Maëva, 21 ans. Le couteau en main, il saisit la jeune fille, la plaque contre le mur. « Je vais te planter » crie-t-il. Cette fois-ci, il allie le geste à la parole. « Son ami l’a arrêté au dernier moment. J’ai vraiment cru qu’il irait au bout », témoigne Maëva, les mains tremblantes, soutenu par son avocat Me Emmanuel Tricoire. La jeune femme explique que le traumatisme est toujours là : « Je n’arrive plus à dormir. »

Issam Driouech a été identifié par les deux victimes la veille de son passage devant le tribunal. La raison du délai : l’homme était déjà en prison. Il avait été condamné à 4 ans d’emprisonnement ferme au mois de mai pour des faits similaires. Le ministère public requiert 7 à 10 ans. « C’est son extermination qu’on demande », s’indigne Me Séverine Bouchaïb en défense. Le délibéré tombe : 4 ans de prison ferme et des dommages et intérêts à verser. Pour Maëva « la peine n’est toujours pas suffisante ».

Source: http://www.ladepeche.fr/

07/06/2011

Cahors: il se ballade avec un cran d’arrêt et un fusil de chasse; tranquille, Mimile…

On peut pas avoir le nom du « Cadurcien » qui trouve un fusil de chasse sur une voie ferrée? Rien que pour rigoler…

FDF

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Cahors. Un fusil dans le sac et violence sur trois policiers

Il était environ minuit, dans la nuit de samedi à dimanche quand les policiers cadurciens ont été alertés qu’un homme transportant une arme dans un sac se trouvait dans le quartier de terre rouge à Cahors. Une patrouille interpellait rue Edouard-Herriot un Cadurcien de 31 ans, déjà connu des forces de l’ordre : il portait sur lui un couteau à cran d’arrêt et dans son sac un fusil de chasse démonté, non déclaré et qu’il a indiqué avoir trouvé sur la voie ferrée. Les policiers ont accepté de l’accompagner à son domicile pour qu’il laisse son chien à sa compagne. Mais dans le couloir de son immeuble, l’homme a projeté du gaz lacrymogène sur trois policiers avant d’entrer dans son domicile où les agents l’ont cueilli dimanche. Placé en garde à vue, il a été entendu avant d’être relâché avec en poche une convocation devant le tribunal correctionnel de Cahors, le 25 août prochain, pour violence sur agent dépositaire de la force publique et port d’arme prohibé.

Source:  http://www.ladepeche.fr/

27/05/2011

Castagne à Bastogne (Belgique): la mosquée fermée…

On n’a jamais vu quelqu’un brandir un couteau à la sortie d’une église, désolé. Le bourgmestre de cette ville a entièrement raison. Si de furieux adeptes de la « religion » d’amour, de paix et de tolérance ne peuvent réprimer leur soif innée de violence, et bien on ferme le lieu de culte et c’est tout. Et aux musulmans eux-même de régler le problème en interne…

FDF

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Bastogne: privés de leur mosquée, les fidèles prient à l’extérieur

Suite à des incidents, la mosquée de Bastogne est fermée depuis le 9 mai. Le bourgmestre a pris la mesure pour un mois. En attendant, les fidèles prient à l’extérieur, « même si la météo est peu clémente », explique l’un d’eux.

La commune de Bastogne a décidé de fermer la mosquée suite à une altercation survenue après la prière du soir. L’un des participants avait alors brandi un couteau : « On a peur qu’il y ait un meurtre !« , a témoigné Abdelkader Derfoufi, le vice-président de la mosquée, au micro de Christophe Clément pour RTL-TVI. « Ici, nous avons une personne qui a dépassé toutes les limites donc il faut punir la personne, et pas toute la communauté. On dit que (la mosquée) est une maison de Dieu, comme l’église. Dès lors, je n’accepterais pas non plus que l’on ferme les portes d’une église parce que quelqu’un a fait du mal aux autres« , a pour sa part estimé Mustapha Belfakiri, ancien président de la mosquée.

Privés d’endroit, ils prient à l’extérieur

Une pétition rassemblant plus de 200 signatures réclame la réouverture du lieu. En attendant, les fidèles se rassemblent sur une pelouse qui fait office de parking, pour prier : « La prière se passe ici à l’extérieur, explique Rachid Moumen, trésorier de la mosquée. Le vendredi, on a rassemblé 70 personnes qui ont prié à l’extérieur malgré le mauvais temps !« , a-t-il indiqué.

Le bourgmestre semble être embarrassé

« Nous, nous n’avons aucun problème avec eux. On ne peut pas émettre la moindre critique sur eux, ce sont des personnes très calmes. A part cette dispute-là, je n’ai jamais rien vu », a témoigné Mireille Lejeune, une riveraine. Apparemment embarrassé par cette affaire, le bourgmestre n’a pas souhaité réagir, a précisé le journaliste Christophe Clément. Une réunion de concertation est prévue vendredi.

Source: http://www.rtl.be/

13/02/2011

Nouveau drame généré par l’immigration extra-européenne…

Ce n’est pourtant pas Carnaval, déjà???

C’est l’habitude de ces abrutis. Même pour commettre des attentats-suicides, ils se déguisent avec des burqas. Alors…

FDF




Deux assassinats sauvages à Nanterre : un suspect à la djellaba…


Un homme de 39 ans et un adolescent de 17 ans ont été assassinés avant-hier soir à Nanterre (Hauts-de-Seine). Ce double meurtre s’est déroulé au cœur de la cité multiethnique Berthelot.

Les deux victimes rentraient d’un supermarché quand elles ont été poignardées devant leur porte. La mère du mineur a donné un signalement de l’agresseur aux policiers. Une heure après cet appel au secours, un homme a été interpellé à Colombes (Hauts-de-Seine), en possession d’un couteau, qui pourrait être l’arme du crime. Le suspect a été identifié grâce « à la djellaba et au blouson noir qu’il portait », relate Aujourd’hui en France d’hier…

Source: [http://fr.novopress.info]

26/08/2010

Les demoiselles de Carpentras…

J’adore la prose du journaleux… C’est un stagiaire ou quoi? En tout cas, il en prend, des gants. Ce ne sont plus des gants à ce niveau là; ce sont des moufles.

En outre, je me demande bien QUI peut user de violence au couteau… On n’a pas les noms, des fois?

FDF

26 août 2010

« Lundi soir, les policiers de Carpentras ont interpellé et placé en garde à vue quatre jeunes filles, originaires du quartier des Amandiers. Ces quatre demoiselles, originaires du même quartier et dont trois d’entre elles sont mineures, venaient de se crêper le chignon pour une histoire banale, comme le font beaucoup de leurs copines de leur âge.

La bagarre entre deux des jeunes filles qui a suivi a malheureusement bien mal tourné. Deux filles ont agrippé et maintenu l’une des protagonistes de l’échauffourée, pendant que la troisième lui assenait plusieurs coups de couteau, la blessant notamment au bras et à la main. Les quatre jeunes filles ont été arrêtées et placées en garde à vue. Une enquête est en cours pour déterminer les circonstances de la bagarre. »

Source: laprovence.com

12/08/2010

Une jeune buraliste tuée de huit coups de couteau !

Dormez tranquille, braves gens, « on » veille sur vous… Du moins, c’est ce qu' »on » vous dit…

FDF

Les enquêteurs ont passé le petit bureau de tabac au peigne fin pour relever le moindre indice susceptible de les mettre sur la piste du tueur./Photo

Les enquêteurs ont passé le petit bureau de tabac au peigne fin pour relever le moindre indice susceptible de les mettre sur la piste du tueur./Photo

Ce quartier populaire et étudiant du nord de Montpellier (Hérault) est encore sous le choc. Les clients viennent avec émotion déposer des gerbes de fleurs contre le rideau de fer du bureau de tabac des Tilleul, théâtre d’un terrible drame, mardi matin. Entre 9 heures et 9 h 40, une jeune femme de 21 ans a été sauvagement agressée au couteau. Elle est morte dans l’arrière-boutique, son corps frappé de huit coups de couteau. Étrangement, les enquêteurs ont retrouvé une étiquette adhésive sur sa bouche. « Aucune trace de lutte n’a été relevée dans la boutique ou dans la réserve. Le corps de la jeune femme ne présente aucune trace de lutte. L’agresseur s’est visiblement acharné sur elle » a expliqué Georges Gutierrez procureur-adjoint de Montpellier (Hérault).

Le tueur serait seulement reparti avec les billets du fond de caisse, fermée à l’arrivée des policiers. Autre élément intrigant, rien d’autre n’a été dérobé, ni même dérangé dans le commerce.

aucune piste précise

Ce jour-là, la jeune fille remplaçait exceptionnellement sa mère à la caisse. C’est un client qui a fait l’horrible découverte. Ne voyant personne dans le magasin il a passé la tête dans l’arrière-boutique : la victime y gisait allongée sur le dos, touchée par « huit coups portés par un objet tranchant », dont cinq pénétrants, au niveau du thorax.

Les policiers travaillent a priori sans piste précise pour l’instant.

Le petit centre commercial est pratiquement désert en ce moment, la plupart des commerçants sont en vacances.

« Nous travaillons sur toutes les hypothèses, y compris, l’acte d’un rôdeur, d’un psychopathe » a indiqué le procureur-adjoint sans exclure l’entourage de la jeune fille et en espérant que les prélèvements scientifiques réalisés sur place pendant toute la journée de mardi, puissent faire avancer les investigations.

Source: http://tinyurl.com/3xl6s8o