Francaisdefrance's Blog

17/01/2012

Provocation à la discrimination raciale envers les roms: France Télévisions blanchie !

Wesh wesh! C’est pas nous, m’sieur !

.

Bonne nouvelle assortie d’un message clair: tout le monde le sait, il ne faut pas le dire. Roms et racaille ne sont pas incompatibles. Beaucoup de leurs victimes peuvent témoigner.

A quand une jurisprudence de telle sorte pour la relation entre racaille et « jeunes issus de l’immigration »? C’est pareil: tout le monde le sait (surtout ceux qui les côtoient de près) mais il est INTERDIT de le dire. On va se gêner, tiens!

Des témoignages seront faciles à trouver…

FDF

.

Le groupe avait été condamné en appel pour avoir fait l’amalgame entre les Roms et la délinquance dans l’émission « C dans l’air ».

France Télévisions, qui avait été condamnée en juillet 2010 par la cour d’appel de Paris pour provocation à la discrimination raciale envers les Roms, a été blanchie par la Cour de cassation, selon un arrêt consulté mercredi par l’AFP. France Télévisions était poursuivie pour l’émission C dans l’air diffusée en février 2005 sur France 5 et consacrée à la délinquance parmi les gens du voyage. Intitulée « Délinquance, la route des Roms« , l’émission était accusée par des associations de Roms, le Mrap, la Licra et la Ligue des droits de l’homme, d’avoir fait « l’amalgame entre les Roms et la délinquance« .

En mai 2009, le tribunal correctionnel de Paris leur avait donné raison et avait condamné l’ancien PDG de France Télévisions, Marc Tessier, à 5 000 euros d’amende et Yves-Marie Laulan, qui était intervenu dans l’émission en sa qualité d’expert des questions démographiques, à 3 000 euros d’amende. Les deux hommes avaient, en outre, été condamnés à verser des dommages et intérêts aux plaignants.

Liberté d’expression

Les juges avaient, en revanche, relaxé l’animateur Yves Calvi ainsi que le criminologue Xavier Raufer, invité sur le plateau de l’émission. Le 1er juillet 2010, la cour d’appel de Paris a confirmé cette condamnation. Mais France Télévisions s’est pourvue en cassation. Le 7 juin, la chambre criminelle de la Cour de cassation a annulé l’arrêt de la cour d’appel et blanchi définitivement Marc Tessier et Yves-Marie Laulan.

Dans son arrêt, la plus haute autorité judiciaire a estimé que les propos litigieux, « portant sur une question d’intérêt public relative aux difficultés d’intégration de la communauté rom, ne dépassaient pas les limites admissibles de la liberté d’expression » et que « le délit de provocation à la discrimination, à la haine ou à la violence raciale n’était constitué en aucun de ses éléments ».

Source: http://www.lepoint.fr/

Merci à JC JC…

13/11/2011

Nouvelle défaite pour SOS Racisme !

VOILA OU PASSE L’ARGENT DE NOS IMPÔTS.    A CAUSE DE L’ACHARNEMENT, UNE FOIS DE PLUS,  UNE FOIS ENCORE,  DE CETTE ASSOCIATION  QUI PERD SES PROCES DE PLUS EN PLUS SOUVENT

                

Ils vont bientôt mettre la clef sous la porte, ces sangsues de la France? Il faudrait pouvoir avant juste aller jeter un coup d’oeil sur leurs dossiers… Si ti vois s’qui vi dirrre…

FDF

.

Le 8 novembre dernier, après cinq années de coûteuses procédures, la Cour de Cassation a rejeté le pourvoi formé par l’association SOS racisme qui poursuivait Pierre Péan, auteur d’un livre intitulé « Noires fureurs, Blancs menteurs » et dans lequel il prend le contre-pied de l’histoire officielle concernant le génocide du Rwanda[1]. Pierre Péan ayant gagné ses procès en première instance et en appel, SOS Racisme subit donc une troisième grave défaite, ce qui devrait faire réfléchir ses généreux donateurs.

A travers ce procès emblématique, SOS Racisme a montré son vrai visage, celui d’une organisation militante dont l’acharnement contre Pierre Péan avait pour but de décourager ceux qui oseraient à l’avenir mettre en doute la thèse de Kigali concernant le génocide du Rwanda.

Or, l’histoire « officielle » de ce génocide a été totalement bouleversée à travers quatre jugements rendus par le TPIR (Tribunal pénal international sur le Rwanda) [2]. Expert assermenté dans trois de ces quatre procès, je suis bien placé pour décrypter la portée des jugements rendus et cela, au-delà du véritable « enfumage » auquel se sont livrés les média ayant une fois de plus agi en simples porte-voix du régime de Kigali et de la vision de l’histoire qu’il prétend imposer.

1) Le 28 novembre 2007, la Chambre d’Appel du TPIR a acquitté Ferdinand Nahimana, un des fondateurs de la Radio Télévision des Mille Collines (RTLM) de l’accusation « de commettre le génocide, d’incitation directe et publique à commettre le génocide, de persécution et d’extermination », considérant que la création de RTLM n’entrait en rien dans le plan génocidaire. Or, jusque là, la thèse officielle était que le génocide avait été programmé puisque les « extrémistes hutu » avaient fondé la RTLM pour le préparer.

2) Le 18 décembre 2008 le TPIR a déclaré le colonel Bagosora non coupable « d’entente en vue de commettre un génocide », faisant ainsi voler en éclats les bases mêmes de l’histoire officielle du génocide du Rwanda car le colonel Bagosora fut constamment présenté comme le « cerveau » de ce génocide.

3) Selon le régime de Kigali, le génocide fut planifié par l’Akazu (ou petite maison, ou petite hutte), cercle nébuleux et criminel constitué autour de la belle famille du Président Habyarimana et dont Protais Zigiranyirazo, frère d’Agathe Habyarimana, épouse du président, était le chef. Ce petit groupe aurait comploté et planifié l’extermination des Tutsi dans le but de préserver son pouvoir et son influence. Le procès de M. Zigiranyirazo était donc lui aussi emblématique puisqu’il était censé mettre en évidence le cœur même de la préparation du génocide.

Or, le 18 décembre 2008 en première instance le TPIR a écarté la thèse du complot ourdi par M. Zigiranyirazo et sa belle famille et l’a acquitté du principal chef d’accusation, à savoir d’avoir prémédité le génocide et d’avoir comploté en ce sens avec le colonel Bagosora et Agathe Kanziga épouse du président Habyarimana pour exterminer les Tutsi du Rwanda. Le mythe de l’Akazu s’envolait donc. Le 16 novembre 2009, en appel, M. Zigiranyirazo a été acquitté des dernières accusations pendantes et immédiatement libéré.

4) Dans l’affaire dite Militaires I étaient notamment jugés les anciens chefs d’état-major de l’armée et de la gendarmerie, les généraux Augustin Bizimungu et Augustin Ndindiliyimana. Le 19 mai 2011, ils ont été acquittés du chef principal qui était celui de l’entente en vue de commettre le génocide. Ainsi donc, pour le TPIR, la hiérarchie militaire n’a ni prémédité, ni programmé le génocide.

A travers ces quatre jugements[3], c’est donc l’histoire « officielle » du génocide du Rwanda qui est réduite à néant. En effet, si ce génocide ne fut ni prémédité, ni programmé, c’est donc qu’il fut « spontané ».

Or, l’évènement majeur et déclencheur qui provoqua la folie meurtrière fut l’assassinat du président Habyarimana dans la soirée du 6 avril 1994, puisque les massacres commencèrent dès la nouvelle de l’attentat connue, quand les partisans du président assassiné attribuèrent ce crime au FPR, donc à leurs yeux aux Tutsi et à leurs alliés hutu, les « Hutu modérés » des journalistes.

Ceux qui ont abattu l’avion du président Juvenal Habyarimana portent donc l’immense responsabilité d’avoir directement ou indirectement provoqué le drame du Rwanda. Or encore, selon le juge français Bruguière et le juge espagnol Merelles, le président Kagamé aurait ordonné cet attentat et ils donnent même les noms de ceux qui auraient tiré les deux missiles ayant abattu l’avion présidentiel.

Voilà ce qui dérange les « amis » de Kigali, dont SOS Racisme. D’autant plus que Théogène Rudasindwa, ancien directeur de cabinet de Paul Kagamé, exige d’être entendu par le TPIR et par un juge français afin, selon ses propres termes, de pouvoir « divulguer tous les détails sur l’attentat du 6 avril 1994 » dont il impute la responsabilité à l’actuel chef de l’Etat rwandais. L’heure de vérité approche donc, et inexorablement…

Bernard Lugan

Source: http://bernardlugan.blogspot.com/

http://fr.novopress.info/

04/08/2011

C’est décidément un poste à risque, patron du FMI…

Après DSK, viré pour ses ennuis judiciaires, « on » a cru bon de mettre Mme Lagarde au poste de directeur du FMI. Tout en sachant que cette dernière était déjà dans le collimateur de la justice. La Ripoublique des copains, ce n’est pas du pipo…
Quelle claque à la « France d’en bas »! Je pense qu’elle s’en souviendra en 2012…

FDF

.

Christine Lagarde bientôt fixée sur son sort judiciaire !

Une commission de la Cour de justice de la République a commencé jeudi une réunion à Paris où doit être tranchée la demande d’enquête pénale visant Christine Lagarde, ex-ministre de l’Economie et actuelle directrice générale du Fonds monétaire international.

La décision de la commission des requêtes, composée de sept hauts magistrats, est attendue en milieu de journée.

La commission doit statuer sur la requête du procureur général de la Cour de cassation Jean-Louis Nadal, qui a proposé le 10 mai une enquête pour « abus d’autorité » à propos de l’arbitrage rendu en faveur de l’homme d’affaires Bernard Tapie.

Une enquête durerait des années avec à la clé une possible mise en examen, des interrogatoires et des investigations potentiellement peu compatibles avec une fonction internationale. Christine Lagarde, portée à la tête du FMI en juillet, exclut toutefois de démissionner et nie toute malversation.

Le dossier porte sur la revente en 1993 de l’équipementier sportif Adidas <ADSGn.DE, contrôlé alors par Bernard Tapie, qui dit avoir été floué par le Crédit lyonnais, alors banque publique.

Le procureur reproche à Christine Lagarde le choix en 2007, contre l’avis des services du ministère, d’un arbitrage privé, préféré à la voie judiciaire alors même que l’Etat avait gagné en 2006 à la Cour de cassation, la plus haute juridiction du pays….

Suite et source: http://tinyurl.com/3evgkje

15/06/2011

Lettre à Martine Aubry au sujet de la condamnation définitive pour agressions sexuelles de Jacques Mahéas, maire et sénateur socialiste.

logo AVFT

Piqûre de rappel…

FDF

.

Martine Aubry
Première Secrétaire
Parti Socialiste
10 rue de Solférino
75007 Paris

Paris, le 8 mars 2010

Madame,

au sujet de la condamnation définitive pour agressions sexuelles de Jacques Mahéas, maire et sénateur socialisteLe 3 mars dernier, la Cour de Cassation a rejeté le pourvoi de Jacques Mahéas, maire socialiste de Neuilly-sur-Marne et sénateur. Sa condamnation par la Cour d’appel de Paris, le 1er juillet 2009, pour des agressions sexuelles commises sur Mme S., une employée municipale, est donc devenue définitive.

Le 28 janvier 2009, l’AVFT vous avait adressé, ainsi qu’aux responsables de tous les partis politiques, une lettre vous demandant quelle était la politique du Parti Socialiste en matière de prévention des violences sexuelles et de sanction de ceux qui les commettent, quand ils sont membres ou élus de votre parti. Cette lettre est restée sans réponse.

Nous avons également constaté qu’aucune sanction n’a été prise à l’encontre de Jacques Mahéas par le Parti Socialiste, après sa condamnation par le Tribunal correctionnel de Paris et la confirmation de cette condamnation par (…)

La suite sur http://www.avft.org/article_print.php?id_article=463 (archive pdf 1 page)

Ce 23 mai 2011, dix ans après les faits, Riposte Laïque constate que


(…)
Aucune réponse de Martine Aubry depuis plus d’un an que cette lettre lui a été envoyée.


au sujet de la condamnation définitive pour agressions sexuelles de Jacques Mahéas, maire et sénateur socialisteBenoit Hamon, porte-parole du parti socialiste [http://www.avft.org/article_print.php?id_article=535, archive pdf 3 pages], fut interpellé sur cette affaire à l’occasion d’un séminaire qui se déroulait le 6 avril 2011. Après avoir affirmé qu’il entendait parler pour la première fois de cette « affaire », qualifiée de « parfaitement abjecte », il a déclaré, en tant que « dépositaire » du Parti Socialiste, qu’il agirait pour que Maheas ne puisse pas se représenter au nom du PS pour les prochaines sénatoriales. Etant donné que celui-ci ne comptait de toutes façons pas se représenter, il a été demandé s’il était envisageable que le PS lui retire sa carte, ce à quoi Benoit Hamon a répondu par l’affirmative, se prononçant pour son exclusion et s’engageant à agir dans cet objectif. Interrogé sur le point de savoir si cette décision serait rendue publique, la réponse fût à nouveau affirmative.
(…)

Jacques Mahéas n’a toujours pas été exclu du Parti Socialiste mais il n’est jamais trop tard pour bien faire !
A l’occasion de la saga DSK, on va repasser une couche à Martine Aubry pour qu’elle VIRE Jacques Mahéas FISSA !

C’est très simple avec la méthode Amnesty International SITA : les deux articles imprimés, dans une enveloppe timbrée, envoyée par la poste (voir tinyurl.com/6r4fsu et tinyurl.com/592ezu )

Et c’est très efficace (voir tinyurl.com/c44rvr)

Action SITA : imprimer, adresser, poster : la nouvelle façon de voter
Démocratie Directe

Un timbre ordinaire “20 grammes” permet d’envoyer deux feuilles = 4 pages imprimées recto-verso.

Imprimer les deux articles AVFT.org ci-dessus l’un à la suite de l’autre, en recto-verso. 1 page + 3 pages = 4 pages : Ils rentrent donc sur deux feuilles.

Vous pouvez imprimer les articles soit directement depuis votre navigateur : Fichier [ > Mise en page | Aperçu avant impression ] > Imprimer…

soit imprimer leur archive pdf.

Mettre les deux feuilles dans une enveloppe, recopier l’adresse du destinataire qui figure sur le premier article, timbrer et poster.

En ces temps de course à la présidentielle à l’ombre de DSK (lui même à l’ombre !), Jacques Mahéas va gicler en moins de temps qu’il n’en faut pour faire un procès aux USA.

Voilà, ce n’est pas plus compliqué que ça de purger la France d’un élu « dangereux » socialiste.

Éventuellement, vous pouvez recenser vos actions au sitathon.blogspot.com afin d’inciter d’autres internautes à agir de même, et vous inscrire à la lettre d’information alertes-sita.blogspot.com pour être averti des prochaines actions.

01/06/2011

L’annulation rétroactive des procédures de garde à vue fait des policiers des guerriers sans armes !

Après ça, il ne faudra pas  nous dire que les chiffres de la délinquance baissent. Si, ceux de la « délinquance routière »; on sait pourquoi. La racaille de tous poils se frotte les mains. Les forces de l’ordre beaucoup moins. Et pour cause…

FDF

.

Les policiers dénoncent un «coup d’État judiciaire»

Les nouvelles dispositions sur la garde à vue risquent d’affaiblir les forces de l’ordre qui seront obligés à relâcher des coupables.

«Cette course entre la Cour de cassation et le Conseil constitutionnel est invraisemblable! Est-ce que le procès de Marie-Antoinette et la mort du roi seront aussi remis en cause au prétexte que Louis XVI n’avait pas d’avocat? Tout cela peut aller très loin», ironisait mardi un grand préfet, en apprenant la rétroactivité des nouvelles dispositions sur la garde à vue.

Autant le cabinet du ministre de l’Intérieur, Claude Guéant, avait tenté d’anticiper au mieux la première décision de la Cour de cassation imposant sans attendre la présence de l’avocat dès la première heure d’audition et le droit au silence, autant le second arrêt rendu mardi a pris de cours l’ensemble des forces de l’ordre. «Ce n’était pas attendu», confiait sobrement dans la soirée un proche collaborateur du ministre, alors qu’une réunion de crise se tenait Place Beauvau pour mesurer les conséquences d’un tel coup de tonnerre.

Nicolas Comte, le secrétaire général d’Unité-SGP-Police (principal syndicat de gradés et gardiens, plutôt proche de la gauche), l’assure: «On risque désormais de relâcher des coupables.» Il fait part de la «consternation», mais aussi de la «colère» de ses troupes. «Il est inconcevable que cela nous tombe dessus sans que personne n’ait rien vu venir. J’ai encore en mémoire un rendez-vous chez Michèle Alliot-Marie, où nous l’avions questionnée sur ce sujet, repartant avec des assurances qu’il n’y avait aucune inquiétude à avoir. Et regardez où nous en sommes!» Selon lui, «on a bradé l’intérêt de l’enquête». Ce responsable syndical estime qu’une partie du travail de ses collègues va être «réduit à néant», notamment, précise-t-il, «dans nombre d’affaires simples où un suspect avait passé des aveux circonstanciés hors la présence d’un avocat».

«Connaître l’impact»

«Il y a de quoi être écœuré, renchérit son homologue de Synergie-officiers, Patrice Ribeiro. L’annulation rétroactive des procédures aura un effet direct sur la sécurité de nos concitoyens, car ce sont des milliers de voyous qui vont être remis dehors sur de simples spéculations intellectuelles», affirme-t-il. «Ce que les magistrats ont validé durant des années en application de lois régulièrement votées, ils vont le rayer d’un trait de plume, sans avoir à rendre de comptes à personne et surtout pas aux victimes. C’est un coup d’État judiciaire!», s’exclamait-il mardi, dans le feu de la discussion.

La patronne du Syndicat des commissaires de la police nationale, Sylvie Feucher, partage cette analyse. «Policiers et gendarmes vont entrer dans une zone d’instabilité juridique totale, une véritable entreprise de déconstruction de leur travail», prédit-elle, assez alarmiste. Selon elle, l’argument consistant à dire que la nouvelle réforme de la garde à vue se passe mieux que prévu est un «leurre». «Ce qui compte , déclare-t-elle, c’est d’en connaître l’impact pour la sécurité des Français.» Au train où vont les réformes dans la justice, le policier redoute de devenir un «guerrier sans armes».

Source: Le Figaro commenté par JPPS.

15/04/2011

La Cour de Cassation a décidé une application immédiate de la réforme de la garde à vue.

Eh bien voilà une nouvelle qui va encore favoriser la délinquance et surtout le sentiment d’impunité jusqu’à la récidive chez nos racailles… Encore une mesure qui va en faveur de ceux (toujours les mêmes) qui font régner la terreur et l’insécurité sur notre territoire de France… N’allons pas nous offusquer si les chiffres de cette même délinquance montent, cette fois… Mais ce ne sont que des chiffres…

FDF

.

La réforme de la garde à vue appliquée dès ce week-end

L’application immédiate de la réforme de la garde à vue demandée par la Cour de cassation a été confirmée par les ministères de la Justice et de l’Intérieur. Un « gros bordel » en perspective, d’après le syndicat des avocats de France.

Les avocats vont devoir être présents dans les commissariats dès ce week-end. La Cour de Cassation a décidé une application immédiate de la réforme de la garde à vue.  

En réponse, le ministère de la Justice et le ministère de l’Intérieur ont demandé aux magistrats son application « sans délai ». « Des instructions précises sont immédiatement données aux magistrats du parquet pour que, sans attendre le 1er juin, les règles définies par la loi publiée ce matin (…) soient appliquées sans délai, afin de garantir d’emblée la conformité des mesures prises aux exigences européennes », explique la Chancellerie dans un communiqué.  

Concrètement, « ça veut dire que toutes les procédures dans lesquelles le droit au silence et le droit à l’avocat lors des interrogatoires ne seraient pas respectées tomberont sous le coup de la nullité », prévient Jean-Louis Borie, secrétaire national du Syndicat des Avocats de France (SAF).  

Ca va donner de multiples requêtes en nullité 

A peine la décision rendue publique, policiers et avocats craignent le pire. « L’application immédiate de la réforme va engendrer un ‘gros bordel’, réagit à chaud Didier Ligier, secrétaire général du SAF, joint par LEXPRESS.fr. Les commissariats et gendarmeries ne sont pas préparés à appliquer de telles mesures…

Suite et source: http://tinyurl.com/69tvx25