Francaisdefrance's Blog

24/02/2012

Encore une « chance pour la France » à la barre d’une cour d’assises…

On ne voit que ça, pratiquement… Ahhhhhhhh, ces bienfaits de l’immigration ont du mal à se faire réellement sentir…

FDF

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Déjà condamné à 10 ans, il prend 8 mois de prison supplémentaires

Lors d’une récente session de la cour d’assises de Tarn-et-Garonne Abdelkader Y. avait été condamné à une peine d’emprisonnement de dix années pour des faits de viol commis au mois d’avril 2009. Mais quelques mois seulement après ce verdict, l’homme est revenu à la barre du TGI de Montauban. Pour des violences commises à Valence-d’Agen sur son ancienne compagne entre 2004 et 2008. À la lecture du dossier, il apparaissait que ces violences étaient devenues assez répétitives. Circonstances aggravantes comme devait le souligner le président Alain Birgy « c’est une personne majeure placée sous curatelle donc particulièrement vulnérable qui a eu à souffrir de ces comportements violents » Des comportements que le prévenu tentera de minimiser dans un premier temps en relevant : « C’est vrai que nous avons eu des heurts tous les deux. Nous nous sommes bousculés à plusieurs reprises mais je ne l’ai jamais frappée. » Mais les éléments du dossier avancent exactement le contraire.

« Elle sortait avec des gens peu recommandables »

Après avoir mis au pied des faits qui lui étaient reprochés, Abdelkader Y. admettait quelque peu contrit : « En fait, ce n’étaient pas des coups violents, pas des coups de poing mais des gifles sûrement. C’est vrai que je suis assez sanguin. Un rapport de la police municipale fait notamment état « d’une jeune femme qui a été hospitalisée à plusieurs reprises, qui a eu le nez cassé, qui porte des marques de brûlures de cigarettes et qui a eu les cheveux coupés à l’aide d’un couteau. » Pour tout cela, le prévenu fournissait une explication unique : « Elle sortait souvent avec des gens peu recommandables. » Il semblerait que l’alcool ait également joué un rôle très important dans ces disputes à répétition. Les gendarmes lors d’une intervention au domicile de la jeune femme avaient mesuré un taux d’imprégnation alcoolique de 6 gr (coma éthylique) pour cette dernière et de 3 gr pour le concubin. Poussé dans ses retranchements, Abdelkader Y. lâchait tête basse : « Je l’ai frappée quelques fois en quatre ans, peut-être une dizaine de fois mais pas plus. » Après l’intervention de son avocat Me Laurent Mascaras qui avançait : « Quand on est passé par la case assises, tout devient relatif » et qui évoquait aussi « une vie difficile, une vie errante où il s’est complètement perdu » Abdelkader Y. était condamné à 8 mois de prison et à 100 € d’amende. Les intérêts des parties civiles seront évoqués à la barre le 25 mai.


Il avait appelé sa victime 200 fois

Bernard Lambert qui tenait le siège du ministère public a dénoncé dans son réquisitoires «des faits graves qui ont duré pendant quatre ans, des violences qui ont été attestées par des personnes extérieures au couple». Le vice-procureur de la République entrait plus encore dans les détails en stipulant: « Quand le prévenu était placé sous le contrôle du régime judiciaire avec interdiction de rentrer en contact direct avec sa victime, il l’a appelée pas moins de 200 fois afin de la harceler».

Et de réclamer à l’encontre d’Abdelkader Y. une peine d’emprisonnement de 8 mois assortie d’une d’amende d’un montant de 300 €.

Source: http://www.ladepeche.fr/
Merci à Henri…