Francaisdefrance's Blog

01/02/2012

Excellente nouvelle! Houria Bouteldja : le parquet fait appel !

Là, je vais en déboucher une, de bouteille de champ. Si vous en aviez la possibilité géographique, je vous inviterais. Tant pis; quelques flûtes à votre santé! Mais il est un peu tôt. Je vais attendre midi…

Celle qui « nique la France » voit la France lui retourner le compliment.

La « Zouria Bouteldja » va repasser en cour d’appel. Il est vrai que sa relaxe était une gifle à tous les vrais Français. Et c’est nous les racistes… Preuve que non.

Et pourvu que cette affaire fasse jurisprudence. Ca rabattrait le caquet à bien des adeptes du racisme anti-blancs.

FDF (soulagé)…

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L’AGRIF nous apprend cette bonne nouvelle :

Le parquet de Toulouse n’accepte pas non plus la relaxe d’Houria Bouteldja et fait appel .

Suite à l’appel interjeté par l’Agrif à l’encontre du jugement vraiment surprenant rendu le 25 janvier 2012 par le Tribunal correctionnel de Toulouse, le procureur de la République a décidé de reconnaître et d’accompagner notre démarche très légitime en exerçant son droit de recours devant la Cour d’Appel.

Il considère en effet que le jugement du tribunal présidé par monsieur Guillaume Roussel est d’abord entaché de graves irrégularités de forme notamment en ce qu’il s’appuie sur les déclarations de témoins recueillies en dépit des règles les plus impératives du code de procédure pénale.

Il observe ensuite que le jugement n’a pas du tout pris en compte les termes de la plainte de l’Agrif selon laquelle la communauté évidemment identifiée, désignée et injuriée est bien celle des « blancs » ; « ces blancs », qu’ « il faut rééduquer », qu’ « il faut bien nommer », et qu’Houria nomme en effet : « moi, je les appelle des sous-chiens ».

Est-il vraiment croyable que l’on n’ait pas saisi le réciproque renforcement injurieux de ces propos additionnant :

–         le dédain menaçant : « ces blancs »  qu’ « il faut rééduquer ».

–         le mépris pour ces moins que rien : « ces blancs, il faut bien les nommer ».

–         le racisme dégoulinant : « moi, je les appelle des sous-chiens ».

Qui, sérieusement, pourrait prétendre ne pas voir là l’expression d’une venimeuse haine raciste ?

L’Agrif attend désormais avec confiance de la Cour d’Appel de Toulouse la juste condamnation d’Houria Bouteldja.

Source: http://yvesdaoudal.hautetfort.com/

Merci à JC JC…

16/01/2012

Islamisme. Crime d’honneur : des tueurs à gage recrutés à Neufchâteau !

Des malades; de véritables malades… Cela se confirme tous les jours…

FDF

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ILS ONT VRAIMENT LA HAINE TENACE  CE BARBARES ATTARDéS de la religion d’amour.

LISEZ LE  LONG SCENARIO  MONTé PAR Fathi Elmohor -65ans CET INDIVIDU   HAINEUX    ET ARRIERé QUI SE RETROUVE  EN PRISON POUR 16 ANS   et encore ce n’est pas assez –  LEUR HAINE SE MANIFESTE  AUSSI ENVERS  UN MAROCAIN, en l’occurrence.
Cette histoire, incroyable,  ressemble à un mauvais roman.

JC JC…

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Fathi Saleh Elmohor, âgé aujourd’hui de 65 ans, ne voulait pas entendre parler du jeune Marocain dont sa fille de 17 ans était tombée amoureuse. C’était en 2006. Quand le sexagénaire a appris que cette relation se poursuivait malgré le veto qu’il avait opposé à ce projet de mariage, ce digne représentant de la délégation palestinienne à Bruxelles, dont il est l’un des responsables, a entamé à partir de 2007 une campagne de harcèlements et de menaces proférées envers le prétendant et même envers sa propre progéniture.

Le fils de Fathi El Mohor, un Tubizien de 32 ans, a participé activement à cette campagne qui a duré deux ans, et un beau matin, il a même mis le cap sur Schaerbeek, rien que pour assaillir le « paria » à la sortie de son domicile et le passer à tabac. Les coups furent tels que le jeune homme encourut une commotion cérébrale.

Le jour de ses 18 ans, la belle et tendre a décidé de quitter le toit familial pour se mettre en ménage avec son fiancé.

C’en était trop pour le patriarche. Les menaces de mort ont redoublé. Mais ce n’était encore qu’un demi-mal. À partir de 2009, Fathi El Mohor a commencé à nourrir des projets criminels. Le couple avait en effet fixé la date du mariage au 24 juin 2009. Pour le principal prévenu de ce dossier, cette union serait un déshonneur pour toute la famille. Il est prêt aux pires extrémités.

Un tireur de Neufchâteau

Aussi, Elmohor fait appel à celui qu’il considère comme l’homme de la situation, Mahmoud El Mahr, un Palestinien né en 1944 et installé depuis longtemps à Bertrix. Sa dernière adresse connue était rue d’Orgeo. Rapidement, la décision est prise en conseil restreint : le gamin marocain sera exécuté avec un pistolet de gros calibre, un 7,65 mm semi-automatique. Ne reste qu’à trouver le tireur !

Et El Mahr va recruter à son tour Anas Almaedh, 29 ans aujourd’hui, qui tient ses quartiers chaussée d’Arlon, à Neufchâteau. Une semaine plus tard, le pacte assassin est scellé. Les repérages sont organisés et le 18 juin 2009, le père Elmohor vient lui-même chercher ses « officiers » à Bertrix. Vers minuit, il les conduit sur les lieux du crime à proximité du domicile de la victime, à Schaerbeek.

Quand le futur marié arrive chez lui, Almaedh et El Mahr sortent du véhicule et se placent devant l’entrée de l’immeuble. Le Bertrigeois distrait la victime en lui parlant et Almaedh ouvre le feu à quatre reprises. Le fiancé s’effondre et les trois tueurs fuient… La victime, grièvement blessée, est atteinte de quatre projectiles.

Hospitalisé dans un état critique, le futur marié avait survécu à ses graves blessures.

L’ancien directeur-adjoint de la délégation palestinienne à Bruxelles, Fathi Elmohor, a été condamné mercredi à 16 ans de prison par la cour d’appel de Bruxelles.

Source: http://www.lavenir.net/

25/10/2011

Il en a qui urinent sur le coran. Il y en a bien qui haïssent en public NOTRE Code Civil…

On va dire que cet Alsacien a voulu circonscrire l’incendie… Humour et loi du Talion.

Souvenez-vous: http://www.dailymotion.com/video/xevkbs_forsane-alizza-musulmans-revoltes-l_news

Et SOS Francophobie de traîner le fou de Limoges devant les tribunaux…

FDF

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Il brûle un coran et urine dessus : relaxe confirmée en appel


Cet habitant de Bischheim (Bas-Rhin) avait été déjà relaxé en mai dernier. Le parquet avait fait appel.




Le président de la Ligue internationale contre le racisme et l’antisémitisme (Licra) du Bas-Rhin avait dénoncé un jugement « lamentable ».En mai dernier, le tribunal correctionnel de Strasbourg avait relaxé un homme de 30 ans poursuivi pour provocation à la discrimination. Au mois d’octobre 2010, cet habitant de Bischheim (Bas-Rhin) avait brûlé et uriné sur le Coran. « Brûler un livre chez soi, je ne pense pas que ce soit interdit »Il a comparu en appel fin septembre à la demande du parquet de Strasbourg. Le ministère public a à nouveau requis 3 mois de prison avec sursis et 1.000 euros d’amende. La cour a rendu son jugement mardi et a confirmé la relaxe rapporte Le Point. Il encourait jusqu’à un an d’emprisonnement et 45.000 euros d’amende. « Si la mise en scène décrite (…) revêt un caractère volontairement outrancier et délibérément provocateur (…) il n’en demeure pas moins que les éléments de la procédure ne permettent pas de démontrer avec certitude que l’intention (du prévenu) était de susciter un sentiment d’hostilité ou de rejet de nature à provoquer la discrimination, la haine ou la violence à l’égard des musulmans », a écrit la cour d’appel dans son arrêt. L’avocat du prévenu a salué une décision « sans surprise » selon Le Point.Après avoir fait un avion à l’aide de pages du coran, ce gérant salarié d’une entreprise informatique l’avait projeté sur des verres représentant les tours du World Trade Center. Il avait ensuite brûlé le livre, puis uriné dessus pour éteindre le feu, « pour rire » dit-il. Il avait ensuite diffusé son geste sur Internet dans une « émission » diffusée par webcam, raconte RTL. « Je faisais des émissions où je me moquais de tout (…). Brûler un livre chez soi, je ne pense pas que ce soit interdit« , avait-il dit. « On a le droit de critiquer les religions, que ce soit drôle ou pas »Son avocat avait lui plaidé la relaxe, déclarant que son client avait stigmatisé les intégristes musulmans et non pas les musulmans dans leur ensemble. « Depuis 1789 le blasphème n’existe plus. (…) On a le droit de critiquer les religions, que ce soit drôle ou pas, ce n’est pas une provocation à la discrimination », avait-il souligné.« Nous sommes dans un pays qui interdit ce genre de fait. Il faut dire qu’on a dépassé la limite de l’admissible », avait répondu l’avocat de la Grande Mosquée de Strasbourg, partie civile aux côtés de la Licra. « Aux Etats-Unis on peut le faire, car la liberté d’expression est un absolu. En France non, la liberté d’expression est enserrée dans des règles », avait-il ajouté. Des « actes terroristes auxquels la communauté musulmane ne peut être assimilée »

Le prévenu avait expliqué avoir agi en réponse à un défi lancé par un internaute, après que le pasteur américain Terry Jones eut menacé de brûler un exemplaire du Coran. Une menace mise à éxecution.

« Il incite à la haine à l’égard des musulmans, car tout le monde sait que le World Trade Center a été attaqué par des extrémistes musulmans (…). Et en urinant sur le Coran (…), c’est une incitation à la haine des musulmans contre les non-musulmans », avait estimé le parquet.

« La vidéo n’excède pas les limites de la liberté d’expression« , avait considèré le tribunal correctionnel, précisant que le prévenu avait stigmatisé des « actes terroristes auxquels la communauté musulmane ne peut être assimilée ».

Source: Le Post

20/07/2011

Montauban: le couple franco-tunisien persiste…

Franchement, il n’y a rien d’étonnant à cela. Aller à l’encontre de nos lois, c’est la spécialité de toute personne en situation irrégulière qui se respecte. La stigmatisation, aussi. Mais bravo à Mme le Maire pour faire valoir les devoirs de notre République! Bon courage à vous, Madame Barèges… La France est un pays de liberté; vous êtes bien placée pour le savoir.


Sylvie Barèges: un maire qui joue son rôle…

Affaire à suivre…

FDF

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Montauban. Mariage franco-tunisien : le couple persiste et signe contre la décision du maire !

Brigitte Barèges a salué sans réserve, vendredi, la décision de la cour d’appel qui venait d ‘infirmer sa condamnation pour « voie de faits » dans l’affaire qui l’oppose au couple franco-tunisien. Mais ce dernier n’a pas dit son dernier mot. Le couple met à nouveau en demeure la députée maire de Montauban de les marier.

Têtue Brigitte Barèges ? Sans aucun doute après avoir méprisé une décision de justice qui l’enjoignait de marier « sous astreinte avant le 10 juillet » un couple franco tunisien qu’elle refusait précisément de marier. Soupçons de mariage blanc, doutes sur le passé judiciaire du futur marié, doutes sur l’état psychologique de la future mariée… Autant d’éléments qui conduisaient la maire de Montauban à maintenir sa position en persistant dans son refus. Une posture avant tout politique s’abritant derrière des considérations que ni le parquet, ni le juge des référés n’ont pourtant jugées suffisamment étayées pour abonder en son sens. Et lorsque vendredi les juges d’appel ont infirmé la décision de première instance ce fut en raison d’une erreur de saisine. Mais certainement pas en considérations d’éléments de fond de ce dossier. Bien au contraire. Les juges d’appel ont jugé « recevable » l’action des demandeurs.

Me Groc promet la cassation

C’est d’ailleurs pour cela qu’hier, Sylvie Boutard et Younes M’Hamdi sont revenus à la charge. C’est ce que l’avocat du couple franco-tunisien Me Olivier Groc, a certifié hier à « Associated Press », assurant avoir déposé ce jour une mise en demeure à la mairie pour qu’elle fixe dans les plus brefs délais une autre date pour le mariage. « En cas de refus, je saisirai à nouveau le juge des référés sur le fondement du trouble manifestement illicite en mettant cette fois en cause la responsabilité de l’État et en faisant intervenir l’agent judiciaire du trésor ». C’est précisément ce point et ce défaut de mise en cause du représentant de l’État qui avait conduit vendredi les juges d’appel à infirmer la décision de première instance. Ces juges avaient souligné que « l’État devait être appelé en la cause ce qui n’a pas été fait en première instance »… Un problème de pure forme que les demandeurs ont bien l’intention de corriger cette fois-ci avec l’espoir cette fois-là de faire condamner Mme Barèges. Hier, Me Groc a également confié à l’agence de presse son intention si nécessaire de se pourvoir en cassation. Têtue Mme Barèges ? Ses adversaires le sont aussi. (FDF: le problème est qu’ils sont dans l’illégalité…).

Source: http://www.ladepeche.fr/

18/12/2010

Peines « aggravées » pour le gang des barbares…

La cour d’appel, ça passe ou ça casse… Dans ce cas, il eut été une injustice de taille que « ça passe », pour ces ordures…

FDF

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Gang des barbares: peines aggravées en appel pour 7 des 17 accusésCroquis d’audience représentant les « appâts » et certains des geôliers d’Ilan Halimi dans le box des accusés au palais de Justice de Créteil, le 25 octobre 2010, avant l’ouverture du procès en appel du « Gang des barbares » devant la Cour d’assises des mineurs. 

AFP / BENOIT PEYRUCQ

Les autres peines sont les mêmes que celles prononcées en première instance.

La cour d’assises des mineurs du Val-de-Marne, qui jugeait en appel une partie du gang des barbares, a aggravé vendredi les peines de 7 des 17 accusés qui comparaissaient notamment pour avoir enlevé et séquestré Ilan Halimi, jeune juif tué en 2006 par le seul Youssouf Fofana.

Les autres peines sont équivalentes à celles prononcées en première instance en 2009 à Paris.

Au total, la cour a prononcé des peines allant de 8 mois de prison à 18 ans de réclusion, ainsi qu’un acquittement, réservant les condamnations les plus lourdes à un des ravisseurs d’Ilan Halimi, Jean-Christophe Soumbou, et à un de ses geôliers, Samir Aït-Abdelmalek.

Enlevé début 2006 et retenu pendant trois semaines à Bagneux (Hauts-de-Seine), menotté et le visage recouvert d’adhésif, Ilan Halimi, 23 ans, a été tué par Youssouf Fofana, condamné à la perpétuité en 2009 pour ce crime antisémite et qui avait renoncé à faire appel.

Source: http://www.lexpress.fr/

26/10/2010

Racaille contre policiers à Clichy: la lutte judiciaire continue…

Les sous-merdes ne croient quand-même pas qu’ils vont gagner aussi facilement le procès qui serait celui de l’autorité républicaine et de la lutte contre la délinquance, non?
FDF
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Cinq ans après le drame qui avait déclenché trois semaines d’émeutes, le parquet de Bobigny a fait appel de la décision des juges de renvoyer devant le tribunal deux policiers, mis en cause dans la mort par électrocution de deux adolescents, en 2005.

Seront-ils jugés ? Près de cinq ans après les faits, le sort de deux policiers mis en cause dans la mort par électrocution de deux adolescents à Clichy-sous-Bois vient de connaître un nouveau revirement. Alors que les juges ont demandé vendredi le renvoi des fonctionnaires devant le tribunal correctionnel pour «non-assistance à personne en danger», le parquet de Bobigny a fait appel lundi de cette décision.

La décision des juges d’instruction sera donc revue par la chambre de l’instruction de la cour d’appel de Paris. La procédure pourrait prendre plusieurs mois.

Ce qu’en pense l’avocat des familles des victimes:

Plus d’infos en vidéo sur itélé.fr

Bouna Traoré et Zyed Benna avaient été électrocutés en octobre 2005 après être entrés dans un transformateur EDF pour échapper à la police. Un troisième jeune, Muhittin Altun, 22 ans aujourd’hui, les accompagnait. Grièvement blessé, il a survécu. L’affaire avait déclenché trois semaines d’émeutes dans les banlieues françaises.

Les juges ont retenu «des charges sérieuses et concordantes»

Les policiers mis en cause sont une policière stagiaire qui était ce soir-là au poste de commandement, et un policier qui était sur place. Le 8 septembre, le parquet avait requis un non-lieu en leur faveur, considérant qu’il n’existait pas de « charges suffisantes » pour les renvoyer devant un tribunal.

Pourtant, dans son rapport remis en 2009, l’Inspection générale des services (IGS, la police des polices), a établi que le policier lancé à la poursuite des deux adolescents les a vus franchir un grillage en direction du site EDF situé non loin. Peu après, le policier a déclaré sur sa radio : «Deux individus sont localisés, ils sont en train d’enjamber pour aller sur le site EDF.» Puis : «S’ils rentrent sur le site EDF, je ne donne pas cher de leur peau.» Or, les recherches ont cessé peu après.

Postée au standard de Livry-Gargan, l’autre policière est pour sa part soupçonnée de n’avoir pas réagi aux messages d’alerte transmis par son collègue. Devant les enquêteurs, elle a simplement ex¬pliqué : «Le site EDF n’est pas dans ma circonscription. Je n’ai pas eu le sentiment qu’il y avait du danger.»

Dans une longue ordonnance motivée rendue vendredi, les juges avaient estimé qu’il y avait «des charges sérieuses et concordantes nécessitant leur examen par le tribunal correctionnel». Ils ont estimé que les policiers n’avaient pris aucune disposition pour mettre les adolescents à l’abri du danger alors qu’ils se trouvaient dans le transformateur. La nouvelle avait été accueillie avec satisfaction par les familles des victimes.

Source: http://tinyurl.com/28ybbf9