Francaisdefrance's Blog

23/02/2012

Cadeau: l’U.E. favorable à un « allègement de dette » en faveur du Maghreb !!!

Et en outre, on les paye. Et pas pour qu’ils restent chez eux… 

C’est encore au nom de la repentance ? Mais donnons leur NOTRE France, et on n’en cause plus. Remarquez qu’ils en occupent déjà une bonne partie. On devrait au contraire leur envoyer la facture énorme des exactions des « jeunes issus de l’immigration » sur NOTRE territoire. Car elle est plutôt salée, celle-là.

Françaises, Français, Européens de souche: n’avez vous pas l’impression que l’on se fout de vous ?

FDF

.

Et lui, Français dans SON pays, il n’a besoin de rien ?

.

C’EST  PLUS EN EUROPE QUE NOUS SOMMES   C’EST « L’EURO SECOURS  POPULAIRE »,  OU « L’EURO SECOURS CATHOLIQUE »  ou alors  « L’EURO AU SECOURS DE L’ISLAM et de la SAHRIA »

JC JC…

.

Les gouvernements européens ont ouvert la porte à une offre plus radicale d' »allègement de dette » en faveur des pays voisins d’Afrique du nord, tels que l’Egypte, ont indiqué mercredi soir à l’AFP des sources gouvernementales et de l’Union Européenne.

« Les Etats membres de l’Union Européenne vont examiner les possibilités d’utiliser l’allègement de la dette comme signal de changement » à l’égard des pays du sud de la Méditerranée, ont indiqué ces mêmes sources.

Elles ont souligné qu’il s’agissait là de conclusions auxquelles sont parvenus les dirigeants européens et qui seront soumises à un sommet qui se tiendra les 1er et 2 mars.

Source: http://www.leparisien.fr/

18/02/2012

Une belle photo…

J’ai déniché par hasard ce montage photo des plus intéressants. Il résume bien ce que nous subissons en ce moment: le racisme bien dirigé; celui qui fait se repentir. Celui qui nous fait honte; pardon: celui dont on nous force à avoir honte et à nous soumettre au « devoir de repentance » de la colonisation…

Il faut constater que depuis la fin de toutes les colonisations, les pays en question et qui s’en plaignent maintenant n’ont pas su profiter de ce que nous leur avons apporté. Ils sont pratiquement tous retournés, par la faute de leurs souverains-despotes, à une ère primaire et à une situation économique des plus lamentables. Et ils nous accusent d’en être à l’origine. C’est un peu vrai: les tyrans, c’est nous qui les avons mis en place; pour des raisons, dirons-nous, « économiques »…

Les despotes ont tous ou presque été des « amis de la France »… Reçus en grandes pompes à l’Elysée. Il y avait bien une raison…

Et les peuples de ces pays livrés à eux-même viennent nous demander asile. Mais on ne se laissera pas prendre à ce piège là; non non… Les tyrans viennent chercher de l’aide, chez nous. Leurs peuples n’en voient pas la couleur. Ils n’hésitent pas maintenant à se déplacer pour demander au moins l’asile politique; et en principe, ça fonctionne.

L’immigration, c’est nous qui l’avons provoquée; à nous de nous en défaire. Le peuple en subit les conséquence. Mais on le laisse râler; mauvais plan…

FDF

27/12/2011

Ils sont venus, ils sont tous là. Ils sont venus pousser leur cri de guerre. « Soulevez-vous contre la France ! »

Essayez de faire pareil, en France, chez nous, en appelant à un soulèvement des patriotes contre l’envahisseur islamiste; essayez de vous rebeller vous-même, vous les « sous-chiens » contre cette initiative, cet appel au racisme, cette provocation notoire de la part de ces excités de la domination islamiste de l’Occident. La première étape, pour vous, sera la garde à vue. Ensuite, suite à de nombreuses plaintes de SOS racisme et autres « inutilités » de la République, ce sera le tribunal. Et, en référé, vous devrez vous acquitter d’une forte amende que vous payerez, car vous, vous êtes « solvable ». Plus des dommages et intérêts aux « offusqués ». Et un peu de prison avec sursis afin de vous faire fermer votre g….

On a fait le tour. Scénario des plus banal et le plus souvent appliqué.

En revanche, ces misérables appellent à un soulèvement contre la France, et on applaudit… Cherchez l’erreur.

FDF

.

LA FRANCE EN GRAND DANGER  DE PRINTEMPS ARABE !


DÉCIDÉMENT  Houria BOUTELDJA   CHERCHE  A PASSER à NOUVEAU DEVANT LES JUGES

ET 
si Tariq Ramadan veut foutre la merde qu’il aille dans son pays.
Les Frères musulmans seront ravis  de l’avoir comme recrue.
Ces deux ODIEUX PERSONNAGES  sont l’exemple type de ce que nous pouvons
appeler  « LE VER EST DANS LE FRUIT »
ET PERSONNE NE PARLE DE CELA     –   RIEN DANS LES MEDIAS
JC JC….
  1. « Le colonisé, ou le dominé, [aujourd’hui, le musulman de France] ne peut s’affranchir de son oppresseur qu’en recourant à la violence ; son seul moyen d’action pour retrouver sa place dans le monde ainsi que sa dignité et son honneur. » (F. Fanon)

Nous sommes le 8 décembre 2011. Dans un cinéma de BAGNOLET en FRANCE.
Ils sont venus, ils sont tous là. Ils sont venus pousser leur cri de guerre. « Soulevez-vous contre la France ! »
Dans le plus grand mutisme des media français (ces bons à rien !), les islamistes, nourris, élevés et protégés en France,(Ramadan, Bouteldja) reçus sur tous les plateaux de télévision et dans les meilleures conditions ont appelé les habitants des quartiers sensibles à se soulever contre la France.
Si Tariq Ramadan veut foutre la merde qu’il aille dans son pays. Les Frères musulmans seront ravis  de l’avoir comme recrue.
La Houria Bouteldja, que la Justice française n’a pas envie de condamner pour les injures qu’elle vomit avec sa haine des Français, peut repartir en Algérie, ici elle pollue l’air qu’on respire et elle a assez profité de notre système.

MAIS. Car il y a un « mais ».

C’est de la colonisation que ces islamistes en costume cravate ou décolleté, font  leur cheval de bataille.
Ils font monter la pression chez les jeunes en rappelant la colonisation par la France de leurs pays d’origine et en les incitant à suivre la logique de JP Sartre dans sa préface de l’ouvrage de F. Fanon : « Abattre un européen, c’est faire d’une pierre deux coups : supprimer un oppresseur et un opprimé : restent  un homme mort et un homme libre ».
Est-ce que la France va continuer à les laisser faire leur guerre antifrançaise, chez nous sans broncher ?
La journaliste de la Mena écrit :
« La société française devrait-elle s’inquiéter de la tenue de ce genre de réunions ainsi que des propos qui y sont tenus ? Si elles n’ont que peu d’ampleur encore aujourd’hui au niveau national, elles représentent cependant une tendance ne semblant pas prête de se tarir. » 
Oui, la société française a intérêt de s’inquiéter sans plus tarder de cet islamisme revanchard qui risque de se transformer bientôt en une guerre déclarée. Comme la guerre d’Algérie.
C’est à nous de prendre les décisions.
N’attendez rien des Pouvoirs Publics. Eux, ils ont déjà choisi leur camp.



http://www.menapress.org/

Les tentatives d’activistes, visant à importer en France les révolutions islamistes du monde arabo-musulman, en faisant passer les populations des « quartiers » pour des opprimés, vont s’amplifiant. Par le dialogue et l’écoute, à la Ména, nous tentons de quantifier l’ampleur de ce mouvement, ainsi que de mesurer son impact dans l’Hexagone


C’est dans l’optique de cette quête d’informations, que je me suis rendue dans un petit cinéma de la ville de Bagnolet, il y a de cela quelques jours, pour assister à une assemblée publique intitulée « Printemps des Quartiers Populaires ».

Le terme « printemps », dans l’intitulé de ce meeting, pour qui suit l’actualité internationale, n’est pas très rassurant. Il évoque sans détour la volonté des organisateurs, qui se présentent comme « L’appel 2012 : Pour un Printemps des Quartiers Populaires » (publié dans un blog du journal Mediapart,  le 27 Octobre dernier), et de ses signataires, d’importer les révoltes du pourtour méditerranéen dans les « quartiers populaires » de France.

Dans des textes en forme de manifeste, ce nouveau courant affirme qu’existe, en France, un système brimant un peuple intérieur, démuni et pillé, physiquement et mentalement, comme sous les dictatures déchues ou en train de déchoir. Et que cette situation justifie l’appel à un Printemps des quartiers. Le tout avec une sévère connotation de violence, qui, à regarder de près les références choisies par ce mouvement, pourrait, par ailleurs, s’avérer « indispensable » à la réalisation des objectifs de cette révolte.
Vouée à la cause des défavorisés des banlieues pauvres, la réunion s’adresse en fait principalement aux populations musulmanes de France. La salle de Bagnolet est pleine de maghrébins de tous âges, certains vêtus à l’européenne, des femmes portant le voile (dans le public et parmi les intervenants), d’autres, au look de djeunes, et, enfin, les rangés, en costard de sortie de bureau. Quelques Noirs et quelques Blancs sont présents dans le cinéma, mais en nombre à peine symbolique.
Une dizaine d’orateurs et militants politiques, comme Houria Bouteldja, d’islamologues, à l’instar de Tariq Ramadan, et de journalistes, comme Alain Gresh, du Monde Diplomatique, se succèderont sur l’estrade.

J’avale de travers, lorsque le premier intervenant de la soirée affirme que le Printemps des quartiers s’inscrit « dans la dynamique des émeutes de 2005 », émeutes menées en majorité par des jeunes d’origine maghrébine, ayant commencé en banlieue parisienne et s’étant propagées à travers la France. L’état d’urgence avait été déclaré pendant trois semaines, et des milliers de véhicules privés avaient été incendiés, et des commerces mis à sac.

Chaque musulman reconnaîtra son propre combat
pour ses droits, contre tous les détracteurs de l’islam

Les orateurs n’auront plus de cesse, à tout bout de champ, de se réclamer de la cause palestinienne.

Songeant à ma rédaction dans le nord d’Israël, je m’enfonce dans mon siège et je prends des notes.
Le message principal de cette réunion consiste à en appeler aux musulmans de France afin qu’ils s’affirment, se prennent en charge, et disent « non » – comme l’ont fait les autres peuples ayant provoqué leur Printemps.
L’objectif officiel, dont parlent les intervenants, consiste à concentrer les voix du peuple des quartiers, par l’établissement d’un « contre-pouvoir », qui devrait leur permettre de « parler d’égal à égal avec l’ensemble des partis politiques », pour obtenir les mêmes droits que les « Français de souche », et faire cesser les inégalités.


A entendre les militants se relayant au micro, les musulmans de France seraient, en effet, considérés dans ce pays comme des sous-citoyens, victimes d’une ségrégation de tous les instants en faveur des Blancs.
A les en croire, les personnes issues de l’immigration évolueraient dans un système perfide, dans lequel le reste de la population se serait tacitement mobilisé pour les oppresser, principalement par le biais de l’appareil policier, au prétexte qu’ils seraient « dangereux ».

Tout au long des discours, les termes « nous » et « eux » seront employés à tours de bras, sans prendre la peine de préciser la qualité des personnes concernées ; je reste sur ma faim ; les discriminés : tous les musulmans de France ou seulement ceux des quartiers populaires ? Sont-ils les victimes du gouvernement, ou de l’ensemble des Blancs ?

Ce qui est présenté comme certain, dans la dialectique dont on nous abreuve, c’est qu’ « ils » maintiendraient une division volontaire entre les dominants et les dominés.
D’où la nécessité d’une révolte dirigée par les faibles contre les forts ; «une révolte de la colère qui est tout à fait légitime ». Les oppressés souhaitant « retrouver leur dignité » perdue dans les «injustices subies».
On nage en plein Fanon à la maison !

Référence faite à la théorie de Frantz Fanon conçue dans le contexte de la Guerre d’Algérie et de la décolonisation de l’Afrique. Le philosophe existentialiste soutient que le colonisé, ou le dominé, ne peut s’affranchir de son oppresseur qu’en recourant à la violence ; son seul moyen d’action pour retrouver sa place dans le monde ainsi que sa dignité et son honneur.

 

Toute la réunion tourne étrangement autour du dilemme colonial

Cette tentative, de la part de ces militants, d’importer la relation colonisé-colonisateur – opprimé-oppresseur – en France est originale. Elle entend surfer sur les ressentis enfouis dans la mémoire collective des immigrés.

Houria Bouteldja, l’auteur du néologisme souchiens ou sous-chiens, pour identifier les Blancs français, affirme : « nous n’avons pas les moyens d’être racistes ». L’oppressé ne peut, en effet, que se défendre, en réaction aux violentes discriminations qu’il subit ; s’il pille ou tue, c’est dû à… sa faiblesse. C’est du Fanon dans le texte 

L’un des dangers majeurs de l’application de la doctrine fanonienne, réside en ce que la violence commise par l’oppressé se trouve justifiée a priori ; elle ne possède, en outre, pas de limite, ni dans le temps, ni dans le degré de violence applicable, demeurant dépendante de la seule émotion de l’opprimé. Il va sévir jusqu’à ce qu’IL considère avoir recouvré son honneur.
Ne pas lui laisser exprimer sa rancœur participerait, de surplus, de la part de l’oppresseur, d’une outrance supplémentaire – l’opprimé possédant le droit immanent, même le devoir, de se battre pour son honneur perdu 

Toute la réunion tourne étrangement autour du dilemme colonial. Conçues originellement pour analyser le conflit en Algérie, les théories de Frantz Fanon avaient, pour la première fois, été remises au goût du jour dans le cadre du conflit israélo-palestinien, principalement par Marius Schattner et l’AFP
Ressortir ces conceptions du congélateur et les appliquer, en toute fausseté historique et scientifique, leur a permis de critiquer Israël et les Juifs sans avoir l’air d’antisémites – alors que c’est précisément ce qu’ils sont.

La lutte de résistance des Palestiniens
contre « l’oppression » est érigée en symbole

La démarche de ces néo-existentialistes a cependant créé un précédent en rendant la relation colonisés algériens-colonisateurs français réutilisable plusieurs fois à l’envi. La guigne pour l’AFP et ses « colons israéliens », qui n’avait pas imaginé qu’on pût reprendre l’idée pour stigmatiser, dans le même camp que les Israéliens, les sous-chiens français !

Les musulmans/islamistes/jeunes des quartiers/populations issues de l’immigration, etc., ont récupéré l’application schattnerienne afin de faire croire que cette relation colonisé-colonisateur existe également à l’intérieur de l’Hexagone. Les Français y incarnent les colonisateurs, et les populations issues de l’immigration, les opprimés. Fanon, de se retourner une deuxième fois dans sa tombe !

La « cause palestinienne » constitue d’ailleurs, par cette référence fanonienne, un point central dans les discours : « les oppressions des Palestiniens cristallisent toutes les injustices de par le monde », pourra-t-on entendre, aboutissant à une solidarité avec tous les Palestiniens – particulièrement avec le Hamas, créé par les Frères Musulmans égyptiens, partie prenante principale du Printemps du Caire
La lutte de résistance des Palestiniens contre « l’oppression » est érigée en symbole ; un symbole dans lequel chaque musulman reconnaîtra son propre combat pour ses droits, contre tous les détracteurs de l’islam.

Ces renvois s’avèrent inquiétants pour les Français, lorsque l’on connaît la somme de haine, les objectifs meurtriers et les armes utilisées par le Hamas à l’encontre du peuple hébreu. Il y a effectivement danger pour les Européens, de par le modèle choisi des « frères dignes et courageux du Hamas » par les colonisés de l’intérieur ?
Et l’audience, comme hypnotisée, ingurgite l’ensemble de ces paroles sans piper mot, applaudissant vivement chaque intervenant, notamment au sujet de la Palestine. Tous sont d’accord sur tout, gobant toutes les débilités et autres inepties, débitées sans compter, tels des agneaux écervelés.
A noter ce détail qui m’a vivement interpelée : il n’y a pas eu une seule minute impartie aux questions, à la fin des interventions des invités. Un fait plus qu’étrange dans le cadre d’une réunion politique !

« Il y a effectivement danger pour les Européens Français, de
par le modèle choisi des « frères dignes et courageux du Hamas »

Ces auditeurs ne ressentent-ils pas l’envie de réagir, de rebondir, d’exprimer une idée ? Les discours qu’on leur a infligés durant toute la soirée les somment pourtant d’adopter cette attitude : s’affirmer, réagir, intervenir ! On a assisté à un meeting dénonçant un système oppressif qui leur subtilise leur droit d’expression, et, dans le même souffle, les incitateurs à la révolte privent les « opprimés » de parole ?

De quoi nourrir de sérieux doutes quant à la sincérité de la démarche militante
La parole demeure la chasse gardée des frères militants ainsi que celle des intellectuels renommés invités, tel Alain Gresh, directeur adjoint du Monde diplomatique.

Comment saisir sans sourcilier la présence de ce journaliste sur la scène d’un meeting politique prônant l’importation des Printemps arabes sur le sol français, et encensant les révoltes au Moyen-Orient ? Lui qui, ajoutant au discours de ses confrères, affirmera que ces évènements s’inscrivent dans le sens de l’histoire.
Car, selon Alain Gresh, « le rapport de force Nord-Sud dans le monde est en train de basculer ».
Après des siècles d’exportation des valeurs européennes, Gresh souhaiterait-il voir les valeurs des Printemps arabes importées en Europe ? Considèrerait-il leurs leaders plus aptes à diriger le monde, et en l’occurrence la France, que ses responsables actuels ? Et les violences engendrées, bienvenues en Métropole ?

Mais là n’est pas l’objet central de mon étonnement ! Face à moi, adressant une éloge sans réserve aux Printemps, le même Alain Gresh, qui, pendant des années, s’est tenu aux côtés de la dictature des al Assad, celle-là même qui tire sur les 22 millions de Syriens, totalement privés de leurs libertés fondamentales, au char de guerre et au canon.

L’ex-rédacteur en chef du Monde diplomatique figurait en effet au poste de conseiller à l’IFEAD, l’Institut Français d’Etudes Arabes de Damas, dînant sans vergogne, des années durant, à la table des dictateurs, suscitant, à ce titre, la surprise des analystes de la Ména.

Et justifiant, plus qu’aucun autre confrère occidental, la répression et la politique exercées par les tyrans syriens. Comment, dans ces conditions, effectuer un retournement de veste aussi rapide et radical ?
N’y tenant pas, je lui pose la question qui me titille, en l’interpellant personnellement à la fin du meeting : « Au début », me répond-il, « nous avons soutenu les révolutions arabes [à l’instar du régime baasiste à Damas. Ndlr.], car nous pensions qu’il s’agissait d’une révolte contre Israël et les Etats-Unis et en faveur des Palestiniens ; or la question centrale est devenue la chute des régimes, Assad a eu l’opportunité de faire des réformes mais il ne l’a pas fait ».

Gresh aura mis du temps pour parvenir à cette observation : quelques décennies d’une étroite collaboration avec des assassins !
J’hallucine aussi devant sa justification. Quel est lien avec les Etats-Unis et Israël ? Leur position de « colonisateurs », peut-être ? A en croire ses livres et interviews, Israël représente l’Etat colonial pur, sa raison d’être résidant davantage dans l’apport de la civilisation européenne à des peuples barbares, que dans l’idée de la création d’un Etat juif.

La Palestine incarnerait ainsi, selon Gresh, le dernier conflit colonial de la planète, marquant l’achèvement de l’époque de la colonisation. Cela expliquerait la position centrale de l’Etat hébreu dans l’actualité.
C’est stupide ? Certes, mais ne nous formalisons tout de même pas trop de ces positions délirantes ; avec un individu d’une telle versatilité, on risque fort, dans quelques mois ou quelques années, de voir Alain Gresh manifester en faveur de la multiplication des implantations en Judée et Samarie !
Gresh, pour qui la rivalité proche-orientale – Israël + Occident + Etats-Unis, contre Palestiniens + monde arabe + islam + Sud – permet de « revisiter l’histoire coloniale »
Un malaise intérieur lié à la colonisation se décèle inévitablement dans ses opinions et dans sa manière passionnée de les exprimer – un trouble dû à ses doubles origines juive et égyptienne mélangées ?
Mon rédacteur en chef, qui suit depuis longtemps le quidam, est intimement persuadé qu’Alain Gresh souffre d’un authentique déchirement intérieur, mal géré, lié à ses origines (Sa mère est une Russe de confession juive. Son père naturel est Henri Curiel, 1914-1978, juif, militant communiste et internationaliste égyptien, assassiné à Paris, en 1978. Son père adoptif est un copte égyptien). Henri Curiel fut à l’origine de nombreuses tentatives d’instaurer un dialogue secret entre Israël et les dirigeants des Etats voisins.(1)

« La laïcité est le concept qui va vous mettre dehors ! »
« On s’en fiche de la laïcité ! »

D’où le désarroi de Gresh, ses positions délirantes, sa haine de soi et son extrémisme provocateur, selon Juffa. Qui me soumet la plaisanterie suivante : place Tahrir, s’il assistait à un affrontement entre l’armée et des manifestants islamistes, il ne saurait pas de quel côté intervenir. C’est un égaré, un confus, une vraie victime du conflit moyen-oriental et des vraies guerres de décolonisation.
Autre intellectuel présent au meeting, au discours potentiellement périlleux pour la pérennité du modèle de démocratie à la française : Tariq Ramadan. Il a constitué, sans aucun doute, le clou de la soirée : le phraseur le plus applaudi, qui a mené le petit cinéma au pic de son exaltation, les fumeurs ayant tous jeté leur cigarette sur le parvis, pour regagner leur siège et tendre leurs oreilles.
La mission de Tariq Ramadan consiste à dédramatiser l’islamisme et il nous a présenté, ce soir-là, un échantillon probant de son habileté à servir sa cause. Il balaie, entre autres, l’idée qu’islamisme et économie de marché participeraient de concepts incompatibles : « les islamistes n’ont aucun problème avec l’économie de marché ! ».
Le philosophe genevois n’innove cependant pas beaucoup avec cette annonce, le commerce des épices et de la soie ayant, depuis les tréfonds du Moyen-Age moyen-oriental, fonctionné selon les règles de l’offre et de la demande.
Et si l’islam est compatible avec le commerce, Ramadan, en quoi devrions-nous nous sentir rassurés ?
Reste que l’énoncé de cette idée sera immédiatement suivi par de bruyants applaudissements. C’est visiblement le genre de choses que la salle a envie d’entendre, la célébrité et le charisme du petit-fils du créateur des Frères Musulmans faisant le reste.
Ramadan mettra fortement à mal la notion de laïcité : il s’agit « du concept qui va vous mettre dehors ! » ; à l’entendre, les « laïcs » représenteraient les occidentalisés, par opposition au terme « islamistes », que les premiers assimileraient à des retardés. C’est ainsi la laïcité qui serait dangereuse ! Faudrait-il s’en débarrasser ? Il répond, péremptoire : « On s’en fiche de la laïcité ! ».
L’islamologue préfère recentrer la question sur la justice sociale et économique, qui, selon lui, constitue le « vrai débat ». Il laisse ainsi entendre, que si la société française actuelle ne peut apporter le soutien dont les populations musulmanes ont besoin, les islamistes, eux, le pourraient !
Jusqu’à son intervention, la composante islamiste était restée hors de la « discussion ». Il l’introduit en plein, mettant l’accent sur ce qu’elle pourrait apporter de positif, à savoir « de l’éthique dans la justice sociale ».
Il se gardera soigneusement de commenter les violences perpétrées dans les régimes islamiques, la dégradation de la condition des femmes depuis les Printemps.
L’islamisme, tout comme la Palestine, se voient idéalisés. Ces symboles incarnent des mythes – aux antipodes de la réalité ! – qui répondraient à des vides atteignant certaines populations françaises musulmanes défavorisées.
Au niveau matériel, l’islamisme représenterait la perspective d’une économie plus égalitaire, mettant au sol les dominateurs mercantiles, ainsi qu’indiquant la voie vers la fin de la misère.
Tariq Ramadan s’occupe également du domaine spirituel, se présentant comme un guide et garant des valeurs morales. Quant à la Palestine, cette contrée lointaine alimente un besoin de nationalisme chez les musulmans, qu’ils n’ont pas encore assouvi en France. Erigée au niveau du symbole, la Palestine constitue leur point d’orgue, leur point de ralliement, qui leur permet de se sentir plus forts.
La société française devrait-elle s’inquiéter de la tenue de ce genre de réunions ainsi que des propos qui y sont tenus ? Si elles n’ont que peu d’ampleur encore aujourd’hui au niveau national, elles représentent cependant une tendance ne semblant pas prête de se tarir. Sous l’influence de tout ce que j’ai entendu ces dernières semaines, j’allais orthographier « Tahrir »…

(1) Henri Curiel avait « restructuré » le réseau Jeanson des porteurs de valises pour le fln de Benbella.

Lire l’article des petits échos

source :  http://www.petitsechodoran.com/flash-info/la-france-en-grand-danger-de-printemps-arabe,a3005645.html

02/02/2011

La culpabilisation plein gaz…

Et ça, on l’a inventé ???
.
Savez-vous qu’il a été proposé (Rivarol du 28 janvier 2011) de transformer l’Hôtel de la Marine, magnifique palais historique situé Place de la Concorde à Paris, en « Musée de l’esclavage et de la colonisation »?
L’entreprise de culpabilisation de l’opinion publique française, soumise à toutes les manipulations, bat son plein. Un président de la République, qui  s’est livré à de dégradantes repentances, s’en est rendu complice. Demain, si nous laissons faire, Boutef (s’il est encore en place!) aura ses excuses officielles… et les compensations financières qu’il réclame pour le « génocide » commis en Algérie.
Le document joint révèle ce que fut l’esclavage auquel furent soumises, durant des siècles, les populations chrétiennes exposées aux razzias musulmanes. Faites-le circuler, il est urgent de réhabiliter notre mémoire, les esclavagistes barbaresques sont là, au coeur de la Cité.
.
BarbaresquesetesclavagedesBlancs

08/12/2010

La repentance de Bouteflika pour la colonisation de l’Europe…

Un joli PPS à faire ciculer…

FDF

.

Bouteflicademandepardon3

Merci à DB…

14/11/2010

Azouz Begag insulte la France !

Et va t’on laisser faire ça?

FDF

.

Lu sur: http://hikoum.wordpress.com/
Certains d’entre vous se souviennent peut-être de Monsieur Azouz Begag. Contrairement à ce que son nom pourrait penser (vive l’assimilation), il est né en France, à Lyon. Il est grassement payé par l’Etat français puisque chargé de recherche du CNRS à l’Université Paris-IV. Il a également été Ministre délégué de la République en charge de la promotion de l’égalité des chances. Il a occupé cette fonction, sous le gouvernement de Villepin de juin 2005 à avril 2007 et l’a quitté afin de prendre part à la campagne présidentielle de François Bayrou.

Maintenant que vous voyez qui est ce monsieur, il a, en décembre 2007 fait un entretient avec Kamel Zait, journaliste au journal algérien EL KHABAR. C’est, certes assez ancien, mais les propos qu’il a pu y tenir méritent que l’on revienne dessus. Il a égratigné à peu près tout le monde mais aussi -et c’est plus grave- la République Française, son histoire, ses symboles et ses Elus. Il a ainsi déclaré que « le système colonial français mérite mille excuses, au nom de l’Humanité et non un médiocre qualificatif comme injuste ». Pour Monsieur Begag, « on ne peut pas enseigner après coup aux enfants de France qu’il y avait quand même des aspects positifs ». Mais que serait l’Algérie sans la France ? Que seraient les grandes villes de ce pays sans la France ? Il suffit de constater que les réseaux d’eaux, y compris les réseaux d’eaux usées, les réseaux téléphoniques et toutes les grandes infrastructures ont été construites par les Français. On est loin de ce que disait Monsieur Begag dans cette interview où il déclarait également que « la colonisation en Algérie comme toutes les colonisations, a été un viol à main armé. De la culture, de la civilisation, des richesses économiques ».

Parlant du Président de la République, il a rapporté ses propos au journaliste algérien disant « Il a dit à la télévision que la France n’était pas le pays de l’excision des filles, de la polygamie et des moutons qu’on égorge dans la baignoire » estimant que Nicolas Sarkozy a, par ces propos, « ciblé les Africains et les musulmans pour en faire sa chair à canon électoral ». Peut-on douter que la France n’est pas et ne sera jamais le pays de l’excision, de la polygamie et des moutons que l’on égorge dans la baignoire ? L’immigration ne doit pas être l’excuse d’une dilution de la culture française par un apport de cultures étrangères. La culture, les coutumes de ce pays ne sont pas le fruit de l’immigration de ces 40 dernières années et ne doit pas commencer à le devenir sous prétexte que le nombre d’arrivants est de plus en plus important.

Plus récemment, dans une interview accordée à ce même journal en octobre dernier, il a déclaré que « Le meilleur moyen de servir les intérêts de l’Algérie est de former et soutenir une nouvelle génération d’hommes politiques issus de l’immigration algérienne en France, afin de les propulser à l’Assemblée nationale où ils pourront voter des lois favorables à l’Algérie »

Comme si cela ne suffisait pas, Monsieur Begag est également un chantre de la diversité, vous savez, celle qui consiste à mettre des maghrébins, de préférence d’origine Algérienne, partout où cela est possible, même si cela doit se faire contre un « Français de souche ». Et bien il a déclaré qu’« Il faut traverser le périphérique, aller chez les indigènes là-bas, les descendants de Vercingétorix.(…) Il faut casser les portes, et si elles ne veulent pas s’ouvrir, il faut y aller aux forceps. Partout où la diversité n’existe pas, ça doit être une invasion de criquets, dans les concours de la fonction publique, dans la police Nationale. Partout de manière à ce qu’on ne puisse pas revenir en arrière. »

Qu’un ancien Ministre de la République demande ainsi la collaboration -comme à l’époque de Vichy- pour un pays étranger mais CONTRE les intérêts de la population autochtone est tout simplement un scandale. L’Etat de Vichy l’avait fait sous la pression des vainqueurs, les soldats de la Wehrmacht battant le pavé dans toutes les villes de France, à présent il n’en est rien et une telle collaboration avec un Etat étranger est inacceptable !!

Comment se permet-t-il, en outre, de forcer la population française à la diversité au profit des étrangers ? Ces derniers, dans le pays d’origine, font-ils une place préférentielle aux Français? Non, l’Algérie, le Maroc, la Tunisie pour ne citer qu’eux, ont adopté la préférence nationale. Elle consiste -et c’est tout à fait normal- à faire passer les citoyens en priorité absolue sur tout autre individu quelle que soit la nationalité de ce dernier. Le citoyen est, dans son pays, prioritaire pour l’obtention de l’ensemble des aides, financières, logement, santé ou bien encore les aides dans le domaine social.

Oui, Monsieur Begag, nous sommes comme vous le dites avec dédain « les indigènes », oui Monsieur Begag, nous sommes « les descendants de Vercingétorix » et si vous nous insultez ainsi, n’oubliez pas que nous sommes aussi le peuple qui a accueilli vos parents, le peuple qui a fait de vous un Français, au moins de papier.

Profitez encore de cet état de grâce dans lequel vous pouvez vivre, un jour viendra où les descendants de Vercingétorix vous chasseront. Vous avez insulté notre peuple, notre Nation et ceci est impardonnable. Vous êtes un traître et nous saurons nous en souvenir le jour venu.

PIERRE-LOUIS HIKOUM

07/11/2010

Algérie colonisée… Les pauvres.

Ce n’est pas de notre faute s’ils n’ont pas su exploiter l’héritage colonial que nous leur avons laissé après nous avoir foutu dehors comme des chiens et assassiné nos civil(e)s et militaires… Et maintenant, leur descendance sous-merdique sème la violence et la barbarie en France où ils se croient chez eux… Grosse erreur d’appréciation. Ils ne vont pas tarder à s’en rendre compte; ça a déjà commencé, d’ailleurs, mais les médias n’abordent pas le sujet.

FDF

.

Lire: Algerie_colonisee_AApps

03/11/2010

Jeunesse afro maghrébine: il vous reste une chance…

Un dernier bisou et…… cassez-vous !

Un excellent billet que je m’empresse de relayer… Lisez les commentaire… La « jeunesse afro-maghrébine est en position plus qu’instable… C’est elle qui a choisi cette situation… C’est elle qui va en assurer les conséquences. Et la riposte a déjà commencé… Mais les médias n’osent pas le dire…

FDF

.

A la jeunesse afro maghrébine:

Jeunesse afro maghrébine, vous gâchez vos chances et êtes en train de détruire, comme des enfants gâtés, grincheux et mal élevés, ce que nos parents ont bâtis et que vos parents sont venus chercher et ont aidés à développer.

Vous êtes en train de scier la branche de l’arbre que nous avons planté  et élevé et sur laquelle vous vous êtes assis. Mais une fois la branche coupée, car vous la scierez bien évidemment, devinez ce qui va arriver ?

Nous mettrons un pansement sur le moignon afin d’éviter l’infection et nous veillerons bien attentivement à ce que vous ne puissiez plus jamais remonter sur NOTRE arbre.

Ensuite, d’autres branches pousseront et l’arbre se développera, grandira pour faire toujours plus de place à ceux qui voudront participer à son développement et qu’il puisse produire toujours plus de fruits.

Et puis, nous planterons d’autres arbres car nous avons quelque chose que vous n’avez pas dans les pays de vos ascendants : de l’eau, plusieurs sortes d’eau, et je vous laisse devinez laquelle est aujourd’hui la plus précieuse pour nous !

Mais plus jamais nous ne vous inviterons à partager les fruits de nos efforts.

Nous avons tout compris en voyant dans quel état les vôtres, dont vous portez haut les drapeaux, tout en brûlant le notre, entretiennent les pays africains et maghrébins dont vous êtes originaires.

Nous avons compris que si, individuellement, vous êtes capables de socialisation, et de modernité, collectivement vous vous comportez comme des barbares destructeurs, paranoïaques et schizophrènes, enfermés dans votre religion de haine avec laquelle vous espérer bien nous envahir et nous détruire sans réfléchir une seconde que vous vous détruirez en même temps.

Il vous reste une chance pourtant.

Je suis d’accord avec vous pour reconnaître qu’il existe dans notre pays des inégalités financières, sociales, culturelles, cultuelles qui sont source de conflit. Mais nous avons appris à les gérer, ce que vous ne savez et ne voulez pas faire, car certains vous ont inculqué au sein de vos mosquées et dans vos quartiers perdus, que seul l’islam et le djihad  étaient éducatifs, socialisants et source de bien être pour tous.

Nous sommes un vieux pays, de culture judéo-chrétienne, il le restera !  Vous êtes originaires de pays jeunes et bouillonnants comme votre jeunesse à qui des idiots utiles ont dit que la transgression de nos règles, nos codes sociaux était socialisante, que la France c’était comme les mobylettes, qu’il fallait du mélange pour la faire marcher.

Ces imbéciles se sont et vous ont trompés, çà ne marche pas ainsi.

Il vous reste une chance, disais je, de comprendre et de vous insérer dans un monde qui, si vous ne le faites pas, vous broiera inexorablement, vous et vos imams fanatiques.

Cette chance, c’est de partir ! Il n’y a plus de place pour vous chez nous. Je répète, nous sommes un vieux pays qui n’a pas fini de vieillir car nous vivons de plus en plus longtemps.

Trouver un emploi chez nous est une gageure. Les grands chantiers du monde s’ouvrent ailleurs ; aller au Maroc, en Algérie, en Afrique noire, il y a tant à faire. Tout est ouvert aux esprits pionniers. Nous y avions laissé une structure saine, économique, administrative, des biens, meubles et immeubles.  Qu’est ce que vos frères sur place en ont fait ? Pourquoi les Chinois viennent  prendre la relève ? Vos frères sont ils  incapables de s’auto gouverner ? Ce n’est pas aux chinois de venir labourer, saisir les bras de la charrue et le manche de la cognée, mais aux indigènes de le faire et, vous pouvez les y aider.

Contrairement à eux, vous avez eu accès à l’Éducation, une formation, et une assistance sociale qui a permis a nombre d’entre vous de vivre.

Il faut malheureusement  constater que beaucoup trop abusent du système, demandant toujours plus sans arrêt. Il est au bord de l’explosion.

Le gâteau est devenu trop petit mes amis et vous ne faites pas grand-chose pour l’agrandir !

Souvenez vous et, si vos parents ne vous l’ont pas raconté, demandez aux anciens Pieds Noirs. Vos frères  leur ont  tout prit et puis ils ont dit : « La valise où le cercueil » et pourtant comme vous aujourd’hui, ils étaient chez eux, et ils auraient bien aimé rester.

Alors si vous voulez jouer en France une hypothétique deuxième mi temps de la « guerre d’Algérie », ou prendre une revanche sur la « colonisation », méfiez vous, vous pourriez quitter la France dans de plus mauvaises conditions que celles que j’ai l’intelligence de vous proposer et que vous n’aurez pas la stupidité de refuser.

Vos frères vous attendent, bon voyage mes jeunes amis !

Source: http://tinyurl.com/3ywxryl

14/10/2010

Colonisation: les premières photos de la planète Mars…

Allez. Un peu de changement thématique ne peut que faire du bien à mes lecteurs… Mais je suis sûr que, comme de temps à autre, certains vont encore s’offusquer… Toujours les mêmes, d’ailleurs… (C’est un PPS…)


FDF

Lire: Mars_Images_af

27/08/2010

On ferme le banc. La messe est dite…

40 ANS APRES LE HAMAS EST DANS LES RUES DE PARIS !
.

Vidéo: Marche contre la république raciste et colonisatrice


Merci pour l’info à JLB…