Francaisdefrance's Blog

17/03/2012

Maroc: obligée d’épouser son violeur, elle met fin à ses jours…

Il y a des raisonnements que je ne comprends pas. Ce qui suit en fait partie. Dans certains pays du Maghreb, un violeur, pour échapper aux poursuites, doit épouser sa victime… Et parfois, ça vire au drame. Lire l’article ci-dessous.

Bienvenue dans le monde des tarés. Fiers de vous, les momos ?

FDF

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Une jeune fille tient une photo d'Amina lors d'une manifestation à Larache.
Une jeune fille tient une photo d’Amina lors d’une manifestation à Larache. Crédits photo : ABDELHAK SENNA/AFP

Amina Al Filali,16 ans, a été obligée par la loi à épouser celui qui l’avait violée. La jeune fille s’est suicidée en absorbant de la mort aux rats, déclenchant une réflexion dans le pays sur la protection des femmes.

Elle s’appelait Amina Al Falali, elle avait 16 ans. Le samedi 9 mars, elle s’est tuée près de Tanger avec de la mort aux rats. La raison de son geste bouleverse le Maroc : violée à 15 ans, elle avait été contrainte d’épouser son agresseur. Cet arrangement est prévu par la loi marocaine et permet à son violeur d’échapper à la prison. Le drame a provoqué une vaste mobilisation sur la blogosphère et dans les médias. Une pétition pour l’abrogation de «l’article de loi criminel» et intitulé «Nous sommes tous Amina Al Filali» a été mis en ligne sur Facebook. «Au delà de l’aspect législatif, c’est une affaire de mœurs, de perception de la femme-objet qui perdure, du manque d’éducation à proprement parler et d’éducation sexuelle notamment», estime le quotidien francophone L’Economiste.

 

Quelque 300 personnes ont organisé jeudi un sit-in, à l’appel de la Ligue démocratique pour les droits de la femme, devant le tribunal de Larache où le jugement entérinant le mariage de l’adolescente avait été prononcé. Un autre sit-in est prévu samedi devant le siège du parlement à Rabat.

L’émotion dans le pays a forcé les politiques à s’exprimer sur la législation de protection des femmes. Fait rare: le gouvernement a largement consacré sa réunion hebdomadaire à l’examen de ce drame. «Cette fille a été violée deux fois, la dernière quand elle a été mariée», a déclaré le porte-parole du gouvernement Mustapha El Khelfi. «Il faut étudier d’une manière approfondie cette situation avec la possibilité d’aggraver les peines dans le cadre d’une réforme de l’article du code pénal. Nous ne pouvons pas ignorer ce drame», a-t-il ajouté.

«Un débat pour réformer cette loi»

La seule femme ministre du gouvernement islamiste, Bassima Hakkaoui, responsable du portefeuille de la solidarité, de la femme et de famille a reconnu un «vrai problème» et préconisé un «débat pour réformer cette loi», sur la chaîne de télévision publique 2M. «C’est un cri de la société», a lancé une ex ministre, Nouzha Skalli, qui occupait le même poste dans le gouvernement précédent. Les deux femmes s’exprimaient sur la chaîne publique qui, fait rare, y consacrait jeudi la quasi totalité de son journal de la mi-journée. «La loi considère la mineure violée comme une criminelle bien qu’elle soit victime de la violence», a dit Nouzha Skalli, regrettant «l’absence de protection en faveur des mineurs». «Il faut réformer le code pénal afin de l’adapter à la nouvelle constitution qui interdit la violence contre les femmes et assure l’égalité des sexes», a-t-elle ajouté. Dans la loi marocaine, le viol est considéré comme un délit, et est punit au maximum de 5 ans de prison. le violeur a la possibilité de choisir entre l’emprisonnement ou le mariage avec sa victime.

Dans de nombreuses familles où le poids de la tradition et de la religion est très fort, la perte de la virginité hors du mariage est considéré un déshonneur pour la famille. Souvent, des arrangements sont trouvés, avec la contribution de la justice, pour que les filles violées épousent leur agresseur. Le Maroc n’est pas le seul pays du Maghreb dans cette situation. En Tunisie et en Algérie également, si la victime épouse son violeur, celui-ci échappe aux poursuites.

Source: http://www.lefigaro.fr/

02/02/2012

Alors là, accrochez vous !!!

J’ai reçu ceci de la part d’on ne sait qui… « TU VAS PAYER« . Ami ou ennemi? En tout cas, c’est une source inépuisable d’informations; dans un sens, comme dans l’autre. Merci à toi, « TU VAS PAYER« . Je diffuse large. On ne va tout de même pas mourir idiots.

Remarquez au passage que le texte envoyé est une copie d’à peu près n’importe quoi, (officiel, tout de même; pillé sur le site du ministère de l’intérieur…) avec quelques rares passages qui pourraient éventuellement nous intéresser… Niveau de crédibilité: en dessous de 1.

Ah oui; j’oubliais; la source:

More information about TU VAS PAYER

IP: 65.49.14.56, 65.49.14.56
Email: JUSTICIER.2012@INTERIEUR0.GOUV
URL:
Whois: http://whois.arin.net/rest/ip/65.49.14.56
Il faut toujours citer la source…

FDF

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TU VAS PAYER commented on Ils sont venus, ils sont tous là. Ils sont venus pousser leur cri de guerre. « Soulevez-vous contre la France ! »

La loi pénale

Les articles de codes ou de lois reproduits ci-dessous sont des extraits particulièrement significatifs du droit français, mais ne constituent évidemment pas l’intégralité des textes applicables sur Internet.
Seuls font foi les textes publiés au journal officiel.
Pour plus d’informations sur le droit en vigueur, reportez-vous au site http://www.legifrance.gouv.fr.
Lorsque vous souhaitez signaler un contenu vous correspondre à l’une des rubriques mentionnées ci-dessous, vous pouvez vous adresser aux autorités publiques compétentes.

[HAUT DE PAGE]

A quelles infractions s’applique la loi française ?
•Les infractions commises ou réputées commises sur le territoire de la République

Article 113-2 du code pénal
La loi pénale française est applicable aux infractions commises sur le territoire de la République.
L’infraction est réputée commise sur le territoire de la République dès lors qu’un de ses faits constitutifs a eu lieu sur ce territoire.
Article 113-3 du code pénal
La loi pénale française est applicable aux infractions commises à bord des navires battant un pavillon français, ou à l’encontre de tels navires, en quelque lieu qu’ils se trouvent. Elle est seule applicable aux infractions commises à bord des navires de la marine nationale, ou à l’encontre de tels navires, en quelque lieu qu’ils se trouvent.
Article 113-4 du code pénal
La loi pénale française est applicable aux infractions commises à bord des aéronefs immatriculés en France, ou à l’encontre de tels aéronefs, en quelque lieu qu’ils se trouvent. Elle est seule applicable aux infractions commises à bord des aéronefs militaires français, ou à l’encontre de tels aéronefs, en quelque lieu qu’ils se trouvent.
Article 113-5 du code pénal
La loi pénale française est applicable à quiconque s’est rendu coupable sur le territoire de la République, comme complice, d’un crime ou d’un délit commis à l’étranger si le crime ou le délit est puni à la fois par la loi française et par la loi étrangère et s’il a été constaté par une décision définitive de la juridiction étrangère.

•Les infractions commises hors du territoire de la République

Article 113-6 du code pénal
La loi pénale française est applicable à tout crime commis par un Français hors du territoire de la République.
Elle est applicable aux délits commis par des Français hors du territoire de la République si les faits sont punis par la législation du pays où ils ont été commis.
Il est fait application du présent article lors même que le prévenu aurait acquis la nationalité française postérieurement au fait qui lui est imputé.
Article 113-7 du code pénal
La loi pénale française est applicable à tout crime, ainsi qu’à tout délit puni d’emprisonnement, commis par un Français ou par un étranger hors du territoire de la République lorsque la victime est de nationalité française au moment de l’infraction.
Article 113-8 du code pénal
Dans les cas prévus aux articles 113-6 et 113-7, la poursuite des délits ne peut être exercée qu’à la requête du ministère public. Elle doit être précédée d’une plainte de la victime ou de ses ayants droit ou d’une dénonciation officielle par l’autorité du pays où le fait a été commis.
Voir également l’Article 227-27-1 du code pénal

•Les peines

•- Peines criminelles

Article 131-1 du code pénal
Les peines criminelles encourues par les personnes physiques sont :
1. La réclusion criminelle ou la détention criminelle à perpétuité ;
2. La réclusion criminelle ou la détention criminelle de trente ans au plus ;
3. La réclusion criminelle ou la détention criminelle de vingt ans au plus ;
4. La réclusion criminelle ou la détention criminelle de quinze ans au plus.
La durée de la réclusion criminelle ou de la détention criminelle à temps est de dix ans au moins.
Article 131-2 du code pénal
Les peines de réclusion criminelle ou de détention criminelle ne sont pas exclusives d’une peine d’amende et d’une ou de plusieurs des peines complémentaires prévues à l’article 131-10.

•- Peines correctionnelles
Article 131-3 du code pénal
(Loi nº 2004-204 du 9 mars 2004 art. 44 I Journal Officiel du 10 mars 2004 en vigueur le 1er octobre 2004)
Les peines correctionnelles encourues par les personnes physiques sont :
1. L’emprisonnement ;
2. L’amende ;
3. Le jour-amende ;
4. Le stage de citoyenneté ;
5. Le travail d’intérêt général ;
6. Les peines privatives ou restrictives de droits prévues à l’article 131-6 ;
7. Les peines complémentaires prévues à l’article 131-10.

Article 131-4 du code pénal
(Loi nº 2003-239 du 18 mars 2003 art. 48 Journal Officiel du 19 mars 2003)
L’échelle des peines d’emprisonnement est la suivante :
1. Dix ans au plus ;
2. Sept ans au plus ;
3. Cinq ans au plus ;
4. Trois ans au plus ;
5. Deux ans au plus ;
6. Un an au plus ;
7. Six mois au plus ;
8. Deux mois au plus.

•- Peines d’amendes

Article 131-13 du code pénal
(Ordonnance nº 2000-916 du 19 septembre 2000 art. 3 Journal Officiel du 22 septembre 2000 en vigueur le 1er janvier 2002)
(Loi nº 2003-495 du 12 juin 2003 art. 4 I Journal Officiel du 13 juin 2003)
Le montant de l’amende est le suivant :
1. 38 euros au plus pour les contraventions de la 1re classe ;
2. 150 euros au plus pour les contraventions de la 2e classe ;
3. 450 euros au plus pour les contraventions de la 3e classe ;
4. 750 euros au plus pour les contraventions de la 4e classe ;
5. 1 500 euros au plus pour les contraventions de la 5e classe, montant qui peut être porté à 3 000 euros en cas de récidive lorsque le règlement le prévoit, hors les cas où la loi prévoit que la récidive de la contravention constitue un délit.

La protection des mineurs, au-delà de la lutte contre la pornographie enfantine
•Corruption d’un mineur

Article 227-22 du code pénal
(Loi n° 98-468 du 17 juin 1998 art. 13, art. 16 Journal Officiel du 18 juin 1998)
(Ordonnance nº 2000-916 du 19 septembre 2000 art. 3 Journal Officiel du 22 septembre 2000 en vigueur le 1er janvier 2002)
(Loi nº 2004-204 du 9 mars 2004 art. 6 VII Journal Officiel du 10 mars 2004)
Le fait de favoriser ou de tenter de favoriser la corruption d’un mineur est puni de cinq ans d’emprisonnement et de 75 000 euros d’amende. Ces peines sont portées à sept ans d’emprisonnement et 100 000 euros d’amende lorsque le mineur est âgé de moins de quinze ans ou lorsque le mineur a été mis en contact avec l’auteur des faits grâce à l’utilisation, pour la diffusion de messages à destination d’un public non déterminé, d’un réseau de télécommunications ou que les faits sont commis à l’intérieur d’un établissement scolaire ou éducatif ou, à l’occasion des entrées ou des sorties des élèves, aux abords d’un tel établissement.
Les mêmes peines sont notamment applicables au fait, commis par un majeur, d’organiser des réunions comportant des exhibitions ou des relations sexuelles auxquelles un mineur assiste ou participe.
Les peines sont portées à dix ans d’emprisonnement et 1 000 000 Euros d’amende lorsque les faits ont été commis en bande organisée.

•Recel : possession de pornographie enfantine

Article 321-1
(Ordonnance nº 2000-916 du 19 septembre 2000 art. 3 Journal Officiel du 22 septembre 2000 en vigueur le 1er janvier 2002)
Le recel est le fait de dissimuler, de détenir ou de transmettre une chose, ou de faire office d’intermédiaire afin de la transmettre, en sachant que cette chose provient d’un crime ou d’un délit.
Constitue également un recel le fait, en connaissance de cause, de bénéficier, par tout moyen, du produit d’un crime ou d’un délit.
Le recel est puni de cinq ans et de 375 000 euros d’amende.
Lien utile: jugement correctionnel du Tribunal de grande instance du Mans, du 16 février 1998.

Article 321-2
(Ordonnance nº 2000-916 du 19 septembre 2000 art. 3 Journal Officiel du 22 septembre 2000 en vigueur le 1er janvier 2002)
Le recel est puni de dix ans d’emprisonnement et de 750 000 euros d’amende :
1. Lorsqu’il est commis de façon habituelle ou en utilisant les facilités que procure l’exercice d’une activité professionnelle ;
2. Lorsqu’il est commis en bande organisée.

Article 321-5
Le recel est assimilé, au regard de la récidive, à l’infraction dont provient le bien recelé.

•Message à caractère violent, pornographique ou portant gravement atteinte à la dignité humaine susceptible d’être vu ou perçu par un mineur

Article 227-24 du code pénal
(Ordonnance nº 2000-916 du 19 septembre 2000 art. 3 Journal Officiel du 22 septembre 2000 en vigueur le 1er janvier 2002)
Le fait soit de fabriquer, de transporter, de diffuser par quelque moyen que ce soit et quel qu’en soit le support un message à caractère violent ou pornographique ou de nature à porter gravement atteinte à la dignité humaine, soit de faire commerce d’un tel message, est puni de trois ans d’emprisonnement et de 75 000 euros d’amende lorsque ce message est susceptible d’être vu ou perçu par un mineur.
Lorsque les infractions prévues au présent article sont soumises par la voie de la presse écrite ou audiovisuelle, les dispositions particulières des lois qui régissent ces matières sont applicables en ce qui concerne la détermination des personnes responsables.

•Les autres articles du code pénal traitant de la mise en péril des mineurs

Article 227-25
(Loi n° 98-468 du 17 juin 1998 art. 18 Journal Officiel du 18 juin 1998)
(Ordonnance nº 2000-916 du 19 septembre 2000 art. 3 Journal Officiel du 22 septembre 2000 en vigueur le 1er janvier 2002)
Le fait, par un majeur, d’exercer sans violence, contrainte, menace ni surprise une atteinte sexuelle sur la personne d’un mineur de quinze ans est puni de cinq ans d’emprisonnement et de 75 000 euros d’amende.

Article 227-26
(Loi n° 94-89 du 1 février 1994 art. 15 Journal Officiel du 2 février 1994)
(Loi n° 95-116 du 4 février 1995 art. 121 Journal Officiel du 5 février 1995)
(Loi n° 98-468 du 17 juin 1998 art. 13, art. 19 Journal Officiel du 18 juin 1998)
(Ordonnance nº 2000-916 du 19 septembre 2000 art. 3 Journal Officiel du 22 septembre 2000 en vigueur le 1er janvier 2002)
(Loi nº 2002-305 du 4 mars 2002 art. 13 Journal Officiel du 5 mars 2002)
L’infraction définie à l’article 227-25 est punie de dix ans d’emprisonnement et de 150 000 euros d’amende :
1. Lorsqu’elle est commise par un ascendant légitime, naturel ou adoptif ou par toute autre personne ayant autorité sur la victime ;
2. Lorsqu’elle est commise par une personne qui abuse de l’autorité que lui confèrent ses fonctions ;
3. Lorsqu’elle est commise par plusieurs personnes agissant en qualité d’auteur ou de complice;
4. Lorsque le mineur a été mis en contact avec l’auteur des faits grâce à l’utilisation, pour la diffusion de messages à destination d’un public non déterminé, d’un réseau de télécommunications.

Article 227-27
(Ordonnance nº 2000-916 du 19 septembre 2000 art. 3 Journal Officiel du 22 septembre 2000 en vigueur le 1er janvier 2002)
Les atteintes sexuelles sans violence, contrainte, menace ni surprise sur un mineur âgé de plus de quinze ans et non émancipé par le mariage sont punies de deux ans d’emprisonnement et de 30 000 euros d’amende :
1. Lorsqu’elles sont commises par un ascendant légitime, naturel ou adoptif ou par toute autre personne ayant autorité sur la victime ;
2. Lorsqu’elles sont commises par une personne qui abuse de l’autorité que lui confèrent ses fonctions.

Article 227-27-1
(inséré par la Loi n° 98-468 du 17 juin 1998 art. 19 Journal Officiel du 18 juin 1998)
Dans le cas où les infractions prévues par les articles 227-22, 227-23 ou 227-25 à 227-27 sont commises à l’étranger par un Français ou par une personne résidant habituellement sur le territoire français, la loi française est applicable par dérogation au deuxième alinéa de l’article 113-6 et les dispositions de la seconde phrase de l’article 113-8 ne sont pas applicables.

Article 227-28
Lorsque les délits prévus aux articles 227-18 à 227-21 et 227-23 sont commis par la voie de la presse écrite ou audiovisuelle, les dispositions particulières des lois qui régissent ces matières sont applicables en ce qui concerne la détermination des personnes responsables.

Article 227-28-1
(inséré par Loi n° 98-468 du 17 juin 1998 art. 20 Journal Officiel du 18 juin 1998)
(Loi nº 2002-305 du 4 mars 2002 art. 13 Journal Officiel du 5 mars 2002)
Les personnes morales peuvent être déclarées responsables pénalement, dans les conditions prévues par l’article 121-2, des infractions prévues par les articles 227-18 à 227-26.
Les peines encourues par les personnes morales sont :
1. L’amende, suivant les modalités prévues par l’article 131-38 ;
2. Les peines mentionnées aux 2°, 3°, 4°, 5°, 7°, 8° et 9° de l’article 131-39.
L’interdiction mentionnée au 2° de l’article 131-39 porte sur l’activité dans l’exercice ou à l’occasion de l’exercice de laquelle l’infraction a été commise.

[HAUT DE PAGE]

La protection contre les discriminations, au-delà de la lutte contre l’incitation à la haine raciale

Un dossier sur la lutte contre les discriminations est également disponible sur le site du Ministère de l’Emploi, du Travail et de la Cohésion Sociale, tandis que le Ministère de la justice vous propose une étude de l’évolution des lois anti-racistes.
•De la Provocation aux crimes et délits, par la voie de la presse ou par tout autre moyen de publication.

Article 23 de la loi du 29 juillet 1881
(Modifié par Loi n°2004-575 du 21 juin 2004 art. 2 II, JORF 22 juin 2004).
Seront punis comme complices d’une action qualifiée crime ou délit ceux qui, soit par des discours, cris ou menaces proférés dans des lieux ou réunions publics, soit par des écrits, imprimés, dessins, gravures, peintures, emblèmes, images ou tout autre support de l’écrit, de la parole ou de l’image vendus ou distribués, mis en vente ou exposés dans des lieux ou réunions publics, soit par des placards ou des affiches exposés au regard du public, soit par tout moyen de communication au public par voie électronique, auront directement provoqué l’auteur ou les auteurs à commettre ladite action, si la provocation a été suivie d’effet.
Cette disposition sera également applicable lorsque la provocation n’aura été suivie que d’une tentative de crime prévue par l’article 2 du code pénal.

Article 24 de la loi du 29 juillet 1881
(Modifié par Ordonnance 2000-916 2000-09-19 art. 3 JORF 22 septembre 2000 en vigueur le 1er janvier 2002)
(Modifié par Loi n°2004-1486 du 30 décembre 2004 art. 20, art. 22, JORF 31 décembre 2004)
Seront punis de cinq ans d’emprisonnement et de 45.000 euros d’amende ceux qui, par l’un des moyens énoncés à l’article précédent, auront directement provoqué, dans le cas où cette provocation n’aurait pas été suivie d’effet, à commettre l’une des infractions suivantes :
1. Les atteintes volontaires à la vie, les atteintes volontaires à l’intégrité de la personne et les agressions sexuelles, définies par le livre II du code pénal ;
2. Les vols, les extorsions et les destructions, dégradations et détériorations volontaires dangereuses pour les personnes, définis par le livre III du code pénal.
Ceux qui, par les mêmes moyens, auront directement provoqué à l’un des crimes et délits portant atteinte aux intérêts fondamentaux de la nation prévus par le titre Ier du livre IV du code pénal, seront punis des mêmes peines. (…)
Seront punis des peines prévues par l’alinéa 1er ceux qui, par les mêmes moyens, auront provoqué directement aux actes de terrorisme prévus par le titre II du livre IV du code pénal, ou qui en auront fait l’apologie.
Tous cris ou chants séditieux proférés dans les lieux ou réunions publics seront punis de l’amende prévue pour les contraventions de la 5° classe. (…)
Seront punis des peines prévues à l’alinéa précédent* ceux qui, par ces mêmes moyens, auront provoqué à la haine ou à la violence à l’égard d’une personne ou d’un groupe de personnes à raison de leur sexe, de leur orientation sexuelle ou de leur handicap ou auront provoqué, à l’égard des mêmes personnes, aux discriminations prévues par les articles 225-2 et 432-7 du code pénal.
En cas de condamnation pour l’un des faits prévus par les deux alinéas** précédents, le tribunal pourra en outre ordonner :
1° Sauf lorsque la responsabilité de l’auteur de l’infraction est retenue sur le fondement de l’article 42 et du premier alinéa de l’article 43 de la présente loi ou des trois premiers alinéas de l’article 93-3 de la loi n° 82-652 du 29 juillet 1982 sur la communication audiovisuelle, la privation des droits énumérés aux 2° et 3° de l’article 131-26 du code pénal pour une durée de cinq ans au plus ;
2° L’affichage ou la diffusion de la décision prononcée dans les conditions prévues par l’article 131-35 du code pénal.
* un an d’emprisonnement et 45000 euros d’amende ou l’une de ces deux peines seulement.
** seul le second de ces alinéas, autrement dit l’alinéa 9 de l’article 24, et reproduit ci-dessus. L’alinéa 8, relatif à l’incitation à la haine raciale, est accessible ici.

Article 24 bis de la loi du 29 juillet 1881
Seront punis des peines prévues par le sixième alinéa de l’article 24 ceux qui auront contesté, par un des moyens énoncés à l’article 23, l’existence d’un ou plusieurs crimes contre l’humanité tels qu’ils sont définis par l’article 6 du statut du tribunal militaire international annexé à l’accord de Londres du 8 août 1945 et qui ont été commis soit par les membres d’une organisation déclarée criminelle en application de l’article 9 dudit statut, soit par une personne reconnue coupable de tels crimes par une juridiction française ou internationale.
Le tribunal pourra en outre ordonner :
1. L’affichage ou la diffusion de la décision prononcée dans les conditions prévues par l’article 131-35 du code pénal.

•Du port ou de l’exhibition d’uniformes, insignes ou emblèmes rappelant ceux d’organisations ou de personnes responsables de crimes contre l’humanité.

Article R645-1 du code pénal (partie réglementaire)
Est puni de l’amende prévue pour les contraventions de la 5e classe le fait, sauf pour les besoins d’un film, d’un spectacle ou d’une exposition comportant une évocation historique, de porter ou d’exhiber en public un uniforme, un insigne ou un emblème rappelant les uniformes, les insignes ou les emblèmes qui ont été portés ou exhibés soit par les membres d’une organisation déclarée criminelle en application de l’article 9 du statut du tribunal militaire international annexé à l’accord de Londres du 8 août 1945, soit par une personne reconnue coupable par une juridiction française ou internationale d’un ou plusieurs crimes contre l’humanité prévus par les articles 211-1 à 212-3 ou mentionnés par la loi n° 64-1326 du 26 décembre 1964.
Les personnes coupables de la contravention prévue au présent article encourent également les peines complémentaires suivantes :
1. L’interdiction de détenir ou de porter, pour une durée de trois ans au plus, une arme soumise à autorisation ;
2. La confiscation d’une ou de plusieurs armes dont le condamné est propriétaire ou dont il a la libre disposition;
3. La confiscation de la chose qui a servi ou était destinée à commettre l’infraction ou de la chose qui en est le produit ;
4. Le travail d’intérêt général pour une durée de vingt à cent vingt heures.
Les personnes morales peuvent être déclarées responsables pénalement, dans les conditions prévues par l’article 121-2, de l’infraction définie au présent article.
Les peines encourues par les personnes morales sont :
1. L’amende, suivant les modalités prévues par l’article 131-41 ;
2. La confiscation de la chose qui a servi ou était destinée à commettre l’infraction ou de la chose qui en est le produit.
La récidive de la contravention prévue au présent article est réprimée conformément aux articles 132-11 et 132-15.

•de la Diffamation et de l’Injure

Article 32 de la loi du 29 juillet 1881 (Modifié par Ordonnance 2000-916 2000-09-19 art. 3, JORF 22 septembre 2000 en vigueur le 1er janvier 2002).
(Modifié par Loi n°2004-1486 du 30 décembre 2004 art. 21, art. 22, JORF 31 décembre 2004).
La diffamation commise envers les particuliers par l’un des moyens énoncés en l’article 23 sera punie d’une amende de 12000 euros.
La diffamation commise par les mêmes moyens envers une personne ou un groupe de personnes à raison de leur origine ou de leur appartenance ou de leur non-appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée sera punie d’un an d’emprisonnement et de 45000 euros d’amende ou de l’une de ces deux peines seulement.
Sera punie des peines prévues à l’alinéa précédent la diffamation commise par les mêmes moyens envers une personne ou un groupe de personnes à raison de leur sexe, de leur orientation sexuelle ou de leur handicap.
En cas de condamnation pour l’un des faits prévus par les deux alinéas précédents, le tribunal pourra en outre ordonner :
1. L’affichage ou la diffusion de la décision prononcée dans les conditions prévues par l’article 131-35 du code pénal.

Article 33 de la loi du 29 juillet 1881
(Modifié par Ordonnance 2000-916 2000-09-19 art. 3, JORF 22 septembre 2000 en vigueur le 1er janvier 2002).
(Modifié par Loi n°2004-1486 du 30 décembre 2004 art. 21, art. 22, JORF 31 décembre 2004).
L’injure commise par les mêmes moyens envers les corps ou les personnes désignés par les articles 30 et 31 de la présente loi sera punie d’une amende de 12.000 euros.
L’injure commise de la même manière envers les particuliers, lorsqu’elle n’aura pas été précédée de provocations, sera punie d’une amende de 12.000 euros.
Sera punie de six mois d’emprisonnement et de 22.500 euros d’amende l’injure commise, dans les conditions prévues à l’alinéa précédent, envers une personne ou un groupe de personnes à raison de leur origine ou de leur appartenance ou de leur non-appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée.
Sera punie des peines prévues à l’alinéa précédent l’injure commise dans les mêmes conditions envers une personne ou un groupe de personnes à raison de leur sexe, de leur orientation sexuelle ou de leur handicap.
En cas de condamnation pour l’un des faits prévus par les deux alinéas précédents, le tribunal pourra en outre ordonner :
1. L’affichage ou la diffusion de la décision prononcée dans les conditions prévues par l’article 131-35 du code pénal.

•De la diffamation et de l’injure non publiques présentant un caractère raciste ou discriminatoire

Article R624-3 du code pénal (partie réglementaire)
La diffamation non publique commise envers une personne ou un groupe de personnes à raison de leur origine ou de leur appartenance ou de leur non-appartenance, vraie ou supposée, à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée est punie de l’amende prévue pour les contraventions de la 4e classe.

Article R624-4 du code pénal (partie réglementaire)
L’injure non publique commise envers une personne ou un groupe de personnes à raison de leur origine ou de leur appartenance ou de leur non-appartenance, vraie ou supposée, à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée est punie de l’amende prévue pour les contraventions de la 4e classe.
Article R624-5 du code pénal (partie réglementaire)
Les personnes coupables des infractions définies aux articles R. 624-3 et R. 624-4 encourent, outre les peines d’amende prévues par ces articles, les peines complémentaires suivantes. :
1. L’interdiction de détenir ou de porter, pour une durée de trois ans au plus, une arme soumise à autorisation ;
2. La confiscation d’une ou de plusieurs armes dont le condamné est propriétaire ou dont il a la libre disposition;
3. La confiscation de la chose qui a servi ou était destinée à commettre l’infraction ou de la chose qui en est le produit.

•Des discriminations

Article 225-1 du code pénal
(Loi nº 2001-1066 du 16 novembre 2001 art. 1er Journal Officiel du 17 novembre 2001)
(Loi nº 2002-303 du 4 mars 2002 art. 4 Journal Officiel du 5 mars 2002)
Constitue une discrimination toute distinction opérée entre les personnes physiques à raison de leur origine, de leur sexe, de leur situation de famille, de leur apparence physique, de leur patronyme, de leur état de santé, de leur handicap,de leurs caractéristiques génétiques, de leurs moeurs, de leur orientation sexuelle, de leur âge, de leurs opinions politiques, de leurs activités syndicales, de leur appartenance ou de leur non-appartenance, vraie ou supposée, à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée.
Constitue également une discrimination toute distinction opérée entre les personnes morales à raison de l’origine, du sexe, de la situation de famille, de l’apparence physique, du patronyme, de l’état de santé, du handicap, des caractéristiques génétiques, des moeurs, de l’orientation sexuelle, de l’âge, des opinions politiques, des activités syndicales, de l’appartenance ou de la non-appartenance, vraie ou supposée, à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée des membres ou de certains membres de ces personnes morales.

Article 225-2 du code pénal
(Loi nº 2001-1066 du 16 novembre 2001 art. 1er Journal Officiel du 17 novembre 2001)
(Ordonnance nº 2000-916 du 19 septembre 2000 art. 3 Journal Officiel du 22 septembre 2000 en vigueur le 1er janvier 2002)
(Loi nº 2004-204 du 9 mars 2004 art. 41 I Journal Officiel du 10 mars 2004)
La discrimination définie à l’article 225-1, commise à l’égard d’une personne physique ou morale, est punie de trois ans d’emprisonnement et de 45 000 Euros d’amende lorsqu’elle consiste :
1. A refuser la fourniture d’un bien ou d’un service ;
2. A entraver l’exercice normal d’une activité économique quelconque ;
3. A refuser d’embaucher, à sanctionner ou à licencier une personne ;
4. A subordonner la fourniture d’un bien ou d’un service à une condition fondée sur l’un des éléments visés à l’article 225-1 ;
5. A subordonner une offre d’emploi, une demande de stage ou une période de formation en entreprise à une condition fondée sur l’un des éléments visés à l’article 225-1.
6. A refuser d’accepter une personne à l’un des stages visés par le 2º de l’article L. 412-8 du code de la sécurité sociale.
Lorsque le refus discriminatoire prévu au 1º est commis dans un lieu accueillant du public ou aux fins d’en interdire l’accès, les peines sont portées à cinq ans d’emprisonnement et à 75 000 Euros d’amende.

De la provocation non publique à la discrimination, à la haine ou à la violence raciale

Article R625-7 du code pénal (partie réglementaire)
La provocation non publique à la discrimination, à la haine ou à la violence à l’égard d’une personne ou d’un groupe de personnes à raison de leur origine ou de leur appartenance ou de leur non-appartenance, vraie ou supposée, à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée est punie de l’amende prévue pour les contraventions de la 5e classe.
Les personnes coupables de la contravention prévue au présent article encourent également les peines complémentaires suivantes :
1. L’interdiction de détenir ou de porter, pour une durée de trois ans au plus, une arme soumise à autorisation ;
2. La confiscation d’une ou de plusieurs armes dont le condamné est propriétaire ou dont il a la libre disposition;
3. La confiscation de la chose qui a servi ou était destinée à commettre l’infraction ou de la chose qui en est le produit ;
4. Le travail d’intérêt général pour une durée de vingt à cent vingt heures.
Les personnes morales peuvent être déclarées responsables pénalement, dans les conditions prévues par l’article 121-2, de l’infraction définie au présent article.
Les peines encourues par les personnes morales sont :
1. L’amende, suivant les modalités prévues par l’article 131-41 ;
2. La confiscation de la chose qui a servi ou était destinée à commettre l’infraction ou de la chose qui en est le produit.
La récidive de la contravention prévue au présent article est réprimée conformément aux articles 132-11 et 132-15.

[HAUT DE PAGE]

Les abus de service : manquement aux « Conditions Générales d’Utilisation’ (CGU)
Un manquement aux « Conditions Générales d’Utilisation » (CGU) est la méconnaissance, par vous-même ou un tiers, des conditions imposées par un prestataire dans le cadre de l’utilisation de ses services. Chacun des membres de l’AFA possède ses propres CGU, que vous pouvez consulter sur chacun de leurs sites.
Pour signaler un tel manquement à un prestataire de services, utilisez son adresse dédiée aux abus. Vous trouverez les adresses spécifiques des membres de l’AFA dans notre rubrique d’information sur le SPAM.

Toute personne commettant un manquement aux conditions contractuelles, désigné également sous les termes d’ « abus de service », prend le risque de voir son compte suspendu, voire résilié, par son prestataire de services.
Cette possibilité a été confirmée par les juges :
– TGI Paris, référé, 15 janvier 2002
– Tribunal de commerce de Paris, 8° ch., 5 mai 2004

Selon la jurisprudence, les usages font également partie de ces conditions contractuelles en vertu de l’article 1135 du code civil, selon lequel « les conventions obligent non seulement à ce qui y est exprimé, mais encore à toutes les suites que l’équité, l’usage ou la loi donnent à l’obligation d’après sa nature » : TGI Rochefort sur Mer, 28 février 2001.
A chaque type d’abus correspond un seuil spécifique à partir duquel la suspension ou la résiliation est encourue.
La suspension ou la résiliation peut être décidée également sur la base d’autres règles prévues au contrat ou sur la base des principes définis par la nétiquette.
Les abus graves sont également susceptibles d’être transmis au Procureur de la République.
A titre d’information, le tableau ci-dessous reproduit des exemples d’abus de service.

RUBRIQUE TYPE DEFINITION
SPAMMING ENVOI DE MESSAGES NON SOLLICITES Envoyer un courrier électronique non sollicité dans une boite aux lettres ou dans un forum de discussion
INTRUSION
TENTATIVE D’INTRUSION
ATTAQUE TROYEN / TROJAN Prendre le contrôle à distance d’une machine par un tiers
PORTSCANNING Passer en revue un maximum de port d’une machine distante pour détecter une brèche et s’introduire en vue d’une attaque
TELNET / FTP / HTTP Obtenir un accès non autorisé sur une machine distante
ASPIRATION D’INFORMATION S’introduire dans un système afin d’aspirer tout le contenu d’un site ou d’une boite aux lettres
FLOODING Saturer un micro-ordinateur par l’envoi d’un flux continu d’informations
NUKE Planter un micro-ordinateur à distance (fréquent depuis IRC)
VIRUS Transmettre un virus
DENIAL OF SERVICE Cas d’entrave au bon fonctionnement des serveurs

Juillet/Novembre 2002
La responsabilité délictuelle
Au-delà de l’application de la loi pénale et des termes de votre contrat, n’oubliez pas que tout comportement fautif, qui entraîne un préjudice pour un tiers, peut être sanctionné sur le fondement du code civil.

Article 1382 du code civil :
Tout fait quelconque de l’homme, qui cause à autrui un dommage, oblige celui par la faute duquel il est arrivé, à le réparer.

Article 1383 du code civil :
Chacun est responsable du dommage qu’il a causé non seulement par son fait, mais encore par sa négligence ou par son imprudence.

Article 1384 du code civil :
(Loi du 7 novembre 1922 Journal Officiel du 9 novembre 1922)
(Loi du 5 avril 1937 Journal Officiel du 6 avril 1937 rectificatif JORF 12 mai 1937)
(Loi nº 70-459 du 4 juin 1970 Journal Officiel du 5 juin 1970 en vigueur le 1er janvier 1971)
(Loi nº 2002-305 du 4 mars 2002 art. 8 V Journal Officiel du 5 mars 2002)
On est responsable non seulement du dommage que l’on cause par son propre fait, mais encore de celui qui est causé par le fait des personnes dont on doit répondre, ou des choses que l’on a sous sa garde.
Toutefois, celui qui détient, à un titre quelconque, tout ou partie de l’immeuble ou des biens mobiliers dans lesquels un incendie a pris naissance ne sera responsable, vis-à-vis des tiers, des dommages causés par cet incendie que s’il est prouvé qu’il doit être attribué à sa faute ou à la faute des personnes dont il est responsable.
Cette disposition ne s’applique pas aux rapports entre propriétaires et locataires, qui demeurent régis par les articles 1733 et 1734 du code civil.
Le père et la mère, en tant qu’ils exercent l’autorité parentale, sont solidairement responsables du dommage causé par leurs enfants mineurs habitant avec eux.
Les maîtres et les commettants, du dommage causé par leurs domestiques et préposés dans les fonctions auxquelles ils les ont employés ;
Les instituteurs et les artisans, du dommage causé par leurs élèves et apprentis pendant le temps qu’ils sont sous leur surveillance.
La responsabilité ci-dessus a lieu, à moins que les père et mère et les artisans ne prouvent qu’ils n’ont pu empêcher le fait qui donne lieu à cette responsabilité.
En ce qui concerne les instituteurs, les fautes, imprudences ou négligences invoquées contre eux comme ayant causé le fait dommageable, devront être prouvées, conformément au droit commun, par le demandeur, à l’instance.« 

13/10/2011

Le forcené de Forsane Alizza récidive !

Malgré l’acte courageux de Sos Francophobie qui l’a envoyé devant les tribunaux, le cinglé de Forsane Alliza continue de cracher sur la France. Qui va donc lui faire cesser ses agissements de haine? Il doit pas s’en tirer si facilement… On va s’y atteler…

FDF

.



« Si nous nous réjouissons de voir les activistes de Forsane Alizza condamnés -ou susceptibles de l’être puisque le procureur a effectivement requis une condamnation dans la deuxième affaire- deux fois en quelques jours, nous nous étonnons du deux poids deux mesures de la justice en France.

Vous hurlez des propos antisémites, vous êtes condamné à payer entre 1000 et deux mille  euros d’amende et encourez  entre zéro et deux mois de prison avec sursis.

Vous brûlez chez vous le coran, livre vous appartenant, et en mettez la vidéo sur Internet comme l’a fait Caliméro, vous risquez, vous aussi, mille euros d’amende et deux mois de prison avec sursis !

Vous demandez à une femme voilée d’enlever son voile dans les parties communes du gîte que vous louez, comme Fanny Truchelut, vous êtes condamné à 2 mois de prison avec sursis et 4000 euros de dommages et intérêts aux parties civiles ( 4 mois avec sursis et 8500 euros de dommages et intérêts aux parties civiles requis en première instance)…

Décidément il y a quelque chose de pourri au royaume de France !

Quand on paye plus cher une demande courtoise de respecter la neutralité d’un lieu de villégiature ou le droit de brûler un livre ayant servi d’endoctrinement aux terroristes du 11 septembre 2001 que des incitations à faire disparaître juifs ou Israël, plus personne ne peut plus se sentir à l’abri, et la liberté d’expression est en grand danger.

Quant à la mobilisation en faveur de Mohamed Achamlane, qui a conduit nombre de musulmans venus de la France entière à faire résonner devant le tribunal des « Allah Akbar », leur cri de guerre, elle dit bien de quel côté est le droit et de quel côté est l’obscurantisme.

Quant au refus des prévenus de retirer leurs keffiehs ou turbans, ce qui les a obligés à demeurer en-dehors du tribunal pour leur propre procès, il dit clairement que ces gens-là  se torchent le derrière avec le code civil comme avec le code pénal, avec les lois et la République et ne jurent que par la charia.

Qui sera assez courageux pour remettre en vigueur l’ostracisme utilisé par les anciens Grecs et condamner à quitter un pays qui ne leur convient pas ceux qui, Français ou pas, refusent de respecter les lois et veulent imposer celles d’un assassin pédophile qui vivait il y a 1400 ans ?

En attendant, félicitons l’association juive et SOS francophobie qui ont porté plainte et ont été très actifs en retraçant, au procès, les antécédents de Mohamed Achamlane, rapportés régulièrement par Riposte laïque. »

Christine Tasin

Résistance républicaine

12/09/2011

Communiqué de SOS Francophobie.

Je soutiens SOS Francophobie à 200% !!! Faites de même!

FDF

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SOS Francophobie

BP 27

Place Jean Moulin

84420 PIOLENC

 

 

Chers concitoyens, chers compatriotes,

 

Sos Francophobie  vous informe qu’une action a été menée contre le forcené, fou d’un  » Dieu » vociférant sa haine de notre pays dans lequel il vit, jouant au « football »  avec notre code pénal, et proclamant la charia…

 

L’Association a porté plainte auprès du procureur de Limoges où c’est passé cet évènement !

 

Ce monsieur étant adepte de la tristement célèbre association » Forsane Alizza », phalange islamiste prônant la charia, le djihad (la guerre sainte), ce groupuscule (affichant sans  retenue aucune, sa haine de l’Occident, des « mécréants », des femmes, de nos amies de confession juive, bref, aversion de tout), comparaîtra au tribunal de Limoges le 27 septembre 2011 à 11h30.

Lui sont reprochés les faits suivants, « Provocations à la Violence, et à la Haine Raciales  » !  

 

Pour mémoire, les faits se sont produits en place publique à Limoges, le vendredi 17 septembre 2010, la scène fut filmée, et mise en ligne sur ‘daylimotion et youtube’ qui fut censurée très rapidement !!!

Sos Francophobie l’ayant récupérée, vous pourrez visionner cette vidéo sur notre site:

http://www.sos-francophobie.fr/

 

Nous souhaitons votre présence à Limoges le 27 septembre 2011 au tribunal (T.G.I), ou tout du moins votre soutien; nous vous rappelons également que notre association a besoin de membres et d’argent pour fonctionner, et qu’il est nécessaire pour nous tous de préserver nos valeurs, notre laïcité et notre liberté ! Merci de  nous envoyer vos dons, ou votre demande d’affiliation à l’adresse ci-dessus.

Ceci, nous regarde tous et toutes, peu importe notre couleur, notre obédience religieuse, seule compte le mieux vivre ensemble…

 

Merci à toutes et à tous,

L’équipe de SOS FRANCOPHOBIE

30/08/2011

Enfin! Le xénophobe islamo-facho de Limoges devant les tribunaux le 27 septembre 2011 à 11h30 !

Rendez-vous le 27 septembre 2011 à 11h30 au tribunal de Limoges pour assister à la victoire de SOS Francophobie sur l’islam de la haine. N’hésitez pas à venir voir une véritable action de résistance et de patriotisme.

FDF

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Effectivement, souvenez-vous de cet « islamo-facho », qui  sévira à Limoges le vendredi 17 septembre 2010, devant une bonne centaine de personnes dans ce même esprit de haine du pays qui les accueillent et où ils vivent. Là ou dans les pays arabes, ce « fou de Dieu » aurait été tué sur place, si tant est qu’il ne fût pas musulman, sans que jamais personne n’intervienne, nous laisse penser à un comportement de Dhimmi-attitude de la part de nos « bien-pensant »…

Rappelez-vous de ce personnage; Ce vociférateur aliéné à son idole, hurlant sa haine et son mépris du pays dans lequel il vit, son dégoût absolu pour les Français et pour le monde occidental. Son aversion de nos amis de confession juive !  Bref ! Son aversion de tout… Il est à noter que cette manifestation n’a semble-t-il pas fait l’objet d’une quelconque demande d’autorisation à la Préfecture, vu qu’aucun uniforme n’est visible sur la vidéo, que ce soit autour des manifestants ou pour leur intimer de cesser leurs appels à la haine et à la xénophobie, les deux étant punis par la Loi.

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La vidéo du scandale: http://youtu.be/3YlJGLl9VAA

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Cet énergumène qui ne manquera pas de jouer au « football » avec notre code pénal.  De quoi pour « SOS FRANCOPHOBIE » de dire stop, ne pas accepter, de refuser de tels comportements et de porter plainte contre X. Plainte déposée envers cet islamo-facho,  le 22 septembre 2010 !

Bingo ! Le procureur de la République de Limoges, a donné suite à notre plainte, et ce fou furieux, sera jugé au Tribunal de Grande Instance de Limoges, le 27 septembre 2011 à 11h30 !

 

Etrange encore, les médias se taisent, cachent encore et toujours, n’écoutant que leurs idées nauséabondes, anti-française de bien-pensance, dominés par leur dogme politique, cette secte idéologique et malfaisante qui fait d’eux, des pantins maintenus par quelques ficelles !!!

Enfin, nous tenons à mettre en avant tout particulièrement, un procureur courageux, qui fais son travail de façon impartiale, estimant que dès lors ou il y a fautes graves, un jugement doit s’en suivre…Et qui que soit les auteurs présumés desdits délits.

Aussi,  nous « SOS FRANCOPHOBIE » , tenons à remercier ce procureur « courageux », sachant que cette affaire reste bien « gênante et une superbe patate chaude » – nos bien-pensants – nos politiquement corrects, nos bobos et tous nos Dhimmis peut être, alors se rendrons t’ils à l’évidence que dans le système de notre pays existe des gens courageux, des gens qui méritent que nous leur tirions nos chapeaux, pour leur qualité d’intégrité absolue !

Bien évidemment, comme toutes ces vidéos « sensibles », ou sont mises en avant des actes GRAVISSIMES de francophobies, ou autres comportements discriminatoires envers nous français, juifs, femmes, etc. celles-ci disparaissent comme par hasard du jour au lendemain… mais c’est compté sans « SOS FRANCOPHOBIE »(Celle-ci reste cependant visible en cherchant bien sur internet, il semblerait que cette dernière, soit encore d’actualité sur Dalymotion).

Effectivement, nous récupérons au maximum de ces vidéos « dérangeantes », ces interdits ! Toutefois, bizarrement lorsque la racaille vomit sa haine francophobe, alors les vidéos restent un temps indéfinis.

Prenons l’exemple, d' »Houria Bouteldja », vomissant sa haine de notre pays et de notre peuple, nous traitant de « sous-chien », écrivant un chiffon qu’elle intitulera « je nike la France » ! Ces deux faits pour lesquels elle sera condamnée d’ailleurs ! Les exemples sont légions, je citerai encore certains rappeurs « dégueulant sur le pays qui les reçois, ou bien qui les a vu naître et pourtant cela ne les empêche pas d’inciter leurs coreligionnaires à la haine du français, du blanc, du non-musulman » ! Qu’ils fassent cela en Arabie, en Égypte, en Afghanistan, au Pakistan ou au Maghreb, en étant d’une autre confession, pour ne désigner que ces quelques lieux, pour eux ce serait tabassages et mise à mort sans autre forme de procès.

Donc amis, nous serons le 27 septembre 2011 à 11h30 à Limoges, pour ce procès qui est déjà une victoire en soit, car un procureur reconnait la dangerosité de tels comportements, que sont l’incitation à la haine raciale, passant outre toutes frilosités « bien-pensante » ! Force doit rester à la loi.

Bien évidemment, nous vous tiendrons informés des résultats et du déroulement de l’affaire, comptez sur nous…

Nous « SOS FRANCOPHOBIE », sommes la première association à mettre devant leurs responsabilités « un de ces fous dangereux », membres de l’association xénophobe et dangereuse, ‘forsane alizza’ ! Un petit surf sur leur site et vous aurez compris qui sont ces gens redoutablements nuisibles, prosélytes d’un islam radical dur et sans concession, ou nous nous faisons traiter « de mécréants » ! Eh oui ! Leur particularité connue, l’aversion, la haine… non retenue, non cachées de tout ce qui n’est pas arabo-musulman ! Mais voila, chose incroyable,  nos gentils gouvernements laissent « vivre » de façon non pas démocratique, mais démagogique, ce genre « d’industrie », « d’entité » de la terreur !

UNE SEULE QUESTION NOUS TRAVAILLE, NOUS ENERVE MÊME !

Pourquoi les « grands donneurs de leçon, les sauveurs de l’humanité, les rois de la non-discrimination, les grands intellectuels de toutes ces  supers assoces de l’antiracisme », font t’elles les « canards » ? Pourquoi n’ont-elles rien fait ? Le racisme et l’incitation à la haine raciale, ne sont t’ils pas pour tous pareil ? Ne sommes nous pas tous égaux ? Est-ce comme cela que ces associations se font l’idée de l’antiracisme ? Chacun jugera une fois de plus !

Preuve encore une fois, étayant notre argutie, que ces entités ne sont là que pour foutre la merde, exacerber la haine du français, du « mécréant »…et former l’intellect du terrorisme, voir plus ???

Le mrap, Sos racisme, la Licra, le Cran, la Halde, l’Agrif bref ! Toujours les mêmes entités morbides francophobes, liées de façon inhérentes, véritables archétypes terroriste, sont la honte de notre pays et du genre humain. Le seul raciste, le seul qui déteste ne peut être que blanc, français, impie et tout cela dans son propre pays. Trouvez l’erreur ?

 

Mais être français, c’est tant et tant de qualités, d’Amour et de Respect de notre pays… et de ces concitoyens.

Je vous rappelle l’étymologie du mot racisme :

  • Idéologie basée sur une supériorité supposée de certaines races, toujours prônée par ceux qui estiment appartenir aux races estimées « supérieures » ! (exactement ce que vomit cet énergumène… nul ne peu le nier !)

  • Doctrine qui en résulte.

  • Attitude d’hostilité systématique envers certaines catégories (racisme antivieux).

Selon la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789 !

Art. 1er. –

Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits. Les distinctions sociales ne peuvent être fondées que sur l’utilité commune.

Art. 3. –

Le principe de toute Souveraineté réside essentiellement dans la Nation. Nul corps, nul individu ne peut exercer d’autorité qui n’en émane expressément.

Art. 4. –

La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui : ainsi, l’exercice des droits naturels de chaque homme n’a de bornes que celles qui assurent aux autres Membres de la Société la jouissance de ces mêmes droits. Ces bornes ne peuvent être déterminées que par la Loi.

Art. 8. –

La Loi ne doit établir que des peines strictement et évidemment nécessaires, et nul ne peut être puni qu’en vertu d’une Loi établie et promulguée antérieurement au délit, et légalement appliquée.

Art. 10. –

Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l’ordre public établi par la Loi.

Art. 11. –

La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi.

 Source: SOS Francophobie

24/08/2011

« Nous, adorateurs d’Allah, n’avons que faire des lois de la République. La seule loi que nous devons respecter est celle de notre Dieu ! »

Le message est clair. Pour celles et ceux qui n’en s’étaient pas encore rendu compte, parmi les musulmans existe un bonne poignée de fanatiques qui font de plus en plus d’émules. Le danger vient de là. L’intégrisme prend les devants: ça se voit chaque jour. Mais chez nous, on ne peux pas encore faire de différence. Rien ne nous le montre. Un musulman reste un musulman.

Alors, amis musulmans, si vous voulez que l’on stoppe la « stigmatisation » à votre encontre, je pense qu’il y a un sérieux coup de ménage faire chez vous. Nettoyez vos « écuries d’Augias » et montrez nous que votre religion mérite bien son qualificatif « amour, paix et tolérance »; c’est loin d’être le cas… Virez vos radicaux et prouvez nous votre désir d’intégration; en respectant NOS lois, pour commencer.

FDF

Peut on faire confiance à des peuples qui nous montrent ça ???

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En brûlant le Code pénal, les fanatiques musulmans montrent leur conception de la loi !

Le 6 août dernier, une centaine de musulmans se sont rassemblés devant la gare d’Aulnay-sous-Bois pour protester contre la loi interdisant le port du voile en milieu scolaire, puis ont mis le feu à un exemplaire du Code pénal.

Autant dire que la loi du 15 mars 2004 prohibant les signes religieux à l’école n’a toujours pas été acceptée par les inconditionnels d’Allah, pas plus que ne le sont nos lois pénales, dont le seul tort est de n’être qu’humaines. Pour les absolutistes de Dieu, en effet, une loi n’est acceptable que si elle est divine, c’est-à-dire si elle émane du «Seigneur des mondes».

Le message est donc clair : nous, adorateurs d’Allah, n’avons que faire des lois de la République. La seule loi que nous devons respecter est celle de notre Dieu !

Telle est la raison fondamentale de la non-intégration des musulmans en terre non islamique. Occulter cette évidence, c’est valoriser l’image d’un islam soluble dans nos démocraties, c’est-à-dire d’un islam dont les résistances à l’Occidentalisation ne s’éclairent que par le marasme économique et ses inévitables injustices, notamment en matière d’emploi. Par contre, la mettre en lumière, c’est affronter la réalité cultuelle et culturelle de l’islam, et se rendre compte que la France vit désormais avec des hommes et des femmes qui, quels que soient les pics économiques de notre pays, refuseront toujours ses lois, parce qu’elles sont impies ! Dans cette perspective, l’«islam de France» révèle sa vraie nature, qui n’a rien à voir avec la France. Quant au «métissage culturel» – qui en est le corollaire – il s’effondre de lui-même, car ce que l’on peut des races (qui se mélangent sans problème), on ne le peut qu’exceptionnellement des idées (qui posent toujours problème).

En effet, chaque culture pense détenir le sens du monde. L’Occident, comme l’Islam, est persuadé d’avoir le «label civilisation». Or, il y a «des» civilisations : elles n’ont pas la «me» culture ; le choc islamique que nous subissons depuis plus de trente ans vient de là ! Si nous avons pu intégrer les immigrés espagnols, italiens et polonais, c’est parce qu’ils étaient chrétiens, comme nous ! Comment donc s’étonner des difficultés que nous rencontrons avec les musulmans, dont le calendrier axiologique est toujours celui de l’hégire ?

De Gaulle accusait ceux qui prônaient l’intégration des musulmans d’Algérie d’avoir «une cervelle de colibri» ! «Essayez d’intégrer de l’huile et du vinaigre – disait-il de façon imagée. Agitez la bouteille. Au bout d’un moment, ils se sépareront de nouveau». Et de poursuivre : «Vous croyez que le corps français peut absorber dix millions de musulmans, qui demain seront vingt millions et après-demain quarante ?» (Alain Peyrefitte, C’était de Gaulle, tome I, Ed. De Fallois-Fayard).

Si le «métissage sexuel» est une heureuse évidence, le «métissage culturel» est loin d’en être une, et c’est l’évidence même ! C’est cette même évidence qui explique l’autodafé de notre Code pénal !

Maurice Vidal 

http://ripostelaique.com/

13/06/2011

Démocratie à la française…

« Faut pas dire ci, faut pas dire ça »; que de vérités, que l’on peut constater tous les jours. Et on laisse faire; en bons « franchouillards » que nous sommes…

FDF

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La NON-démocratie française : comment les libertés sont muselées ?

« Vous n’avez pas le droit de dire ça », voilà une formule qu’on entend bien souvent sur les médias. « On ne peut que soutenir cette demande », voilà ce qui motive bien des votes dans les assemblées politiques. Mais alors que reste-t-il alors de la liberté de débat et de la liberté de décisions ? Polémia fait le point.

« Vous n’avez pas le droit de dire cela »

« Vous n’avez pas le droit de dire cela » : à la radio et à la télévision, c’est la phrase clé des défenseurs du politiquement correct : Domenach, Aphatie et autres Joffrin en usent et en abusent. Et gare à ceux qui s’écartent de l’oukase !

Frédéric Taddeï a tenté d’ouvrir les horizons intellectuels de son émission Ce soir ou jamais : France 3 a décidé de diviser son temps d’antenne par quatre. Eric Zemmour a osé déclarer « La plupart des trafiquants de drogue sont noirs ou arabes » : France 2 l’a viré de l’émission On n’est pas couché dont il était la vedette. Et selon l’Express Robert Ménard serait chassé de RTL à la rentrée. Il est vrai que l’ancien président de Reporters sans frontières s’était mis en tête de défendre la liberté d’expression non seulement en Chine et en Iran mais aussi en France : quelle idée ! Dans les médias la machine à épurer fonctionne à plein régime.

Les sanctions pleuvent sur les dissidents

Les politiques n’y échappent pas. Christian Vanneste, qui combat l’homosexualisme militant, a été diabolisé bien qu’il ait gagné en Cassation les procès qui lui étaient faits.

Chantal Brunel, député UMP de Seine-et-Marne, paie au prix fort sa déclaration où elle suggérait de remettre dans des bateaux les clandestins de Lampedusa : son mari vient d’être mis en cause pour abus de biens sociaux à propos des élections législatives de 2002. Peut-être des irrégularités ont-elles été commises, mais pourquoi les poursuivre maintenant et seulement maintenant, alors que les faits supposés remontent à 2002 et la dénonciation à 2004 ? Et pourquoi seulement celles-là ?

De même on vient de s’aviser que la situation administrative de Luc Ferry serait irrégulière. Voici le fait générateur de cette découverte : Luc Ferry a brisé l’omerta en évoquant un ancien ministre qui aurait été « poissé » à Marrakech avec des mineurs. Immédiatement, le Canard enchainé a joué son rôle de garde-chiourme du Système !

En France, le volume du Code pénal a doublé en trente ans : cela n’a guère contribué à rétablir la sécurité publique mais cela aide à « tenir » les gens. Quiconque sort des clous du politiquement correct s’expose à une mise en cause médiatico–judiciaire. A contrario, et jusqu’à son accident new-yorkais, DSK a bénéficié d’une immunité médiatico-judiciaire sans faille malgré ses frasques sexuelles et le financement scabreux de ses campagnes politiques par Euro-RSCG.

« On ne peut que soutenir cette demande » : cette phrase-valise sert souvent dans les assemblées parlementaires ou les conseils locaux pour justifier l’attribution de subventions. Il suffit que l’association demanderesse soit politiquement correcte pour obtenir sans examen sérieux l’argent qu’elle réclame : associations immigrationistes, lobby antiraciste, mouvements culturels en rupture avec les traditions, mouvance homosexualiste se financent ainsi sur le dos des contribuables. Sur ces sujets-là, il n’y a pas de débat possible dans les assemblées sauf sur des amendements… d’augmentation des crédits proposés. Ceux des élus, qui au fond d’eux-mêmes, au PS ou à l’UMP, sont défavorables à certaines subventions, se taisent ou se terrent. Pour ne pas risquer d’être diabolisés.

Résultat : les élus votent des subventions à des associations qui paient des avocats qui les poursuivent pour limiter la liberté de parole des politiques ; et lorsque l’Etat défend devant un tribunal l’expulsion d’un étranger clandestin, il n’a pas d’argent pour se payer un avocat ; mais il en a donné à l’association qui paye… l’avocat du clandestin.

La démocratie suppose la libre et équitable confrontation des idées et des volontés. En France, ces conditions ne sont pas remplies. La démocratie y est un leurre, la NON-démocratie est la règle.


vu sur http://www.polemia.com/article.php?id=3864

27/05/2011

Pas trop tôt: Le Procureur de Limoges a engagé des poursuites contre le forcené de Forsane Alizza !

En réponse à une lettre que je lui avais envoyée au nom de Résistance républicaine en octobre pour protester contre le discours(1) de Mohamed Achamlane, l’homme de Forsane Alizza qui piétine le code pénal parce qu’il ne s’y trouve pas d’article concernant les musulmans, le Procureur m’informe qu’il a engagé des poursuites contre ce dernier du chef de provocation à la discrimination, la haine ou la violence et que l’affaire sera jugée au Tribunal correctionnel de Limoges le 9 juin 2011 à 8h30.
J’ai bien entendu remercié le procureur et lui ai rappelé que, malheureusement nous ne pourrions être présents à l’audience puisque nous n’avons pas les cinq années d’existence qui nous permettraient de nous porter partie civile.

Il était temps que la justice s’intéresse de près aux discours haineux, discriminatoires et anti-Français de certains musulmans. On se rappellera que Forsane Alizza avait carrément menacé l’espace Charenton(2) de dégradations si nos assises sur l’islamisation y avaient lieu, on se rappellera que le même Mohamed Achamlane avait tenu un discours plein de haine et de violence(3) dans le 93 après l’interpellation d’islamistes à la manifestation interdite contre la mise en application de la loi sur le port du niqab…

Il est temps que la justice mette un coup d’arrêt à ces pratiques inacceptables et à cette défense inconditionnelle du communautarisme musulman et de la charia, s’accompagnant de haine de la France. Du moins ose-t-on l’espérer, on en saura un peu plus le 9 juin.

Christine Tasin

Présidente de Résistance républicaine

http://www.resistancerepublicaine.eu/

Souvenez-vous: http://youtu.be/X_hxO7kjF5E

FDF

14/02/2011

Délinquance: au moins 30 000 personnes condamnées à l’emprisonnement restent en liberté…

Justice à la française. De quoi se convertir en délinquant. En outre, en ces temps qui courent, tout le monde est un délinquant: toi, le « sous-chien » qui a oublié de mettre ta ceinture au volant, tu es un criminel. Toi aussi, le citoyen français qui a traité de « sale bougnoule » (et « on » t’a entendu…) un « jeune défavorisé issu de l’immigration » qui est passé sciemment au volant de sa BM flambant neuve à un feu rouge à 100 kmh et que tu as su éviter car tu as pensé à tes mômes assis à l’arrière de ta voiture. Toi, le terroriste qui t’es fait flasher à 56 kmh et que l’on menace de tous les maux si tu ne payes pas ton PV dans les 15 jours (mais tu payeras, tu es solvable, toi; tu payes des impôts)…

Comme dit un pote à moi: « 

Quand je dis souvent qu’il faudrait ré-ouvrir Cayenne.
La pelle et la pioche et un coup de gourdin dans la gueule quand ça se rebiffe. »

Pauvre France.

FDF

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Des milliers de peines de prison non exécutées !

Exemple: en Loire-Atlantique, plus de 1 600 personnes attendent l’exécution de leur peine.

Le ministre de la Justice doit rendre, aujourd’hui, les conclusions de l’inspection ordonnée dans le cadre de l’affaire Laëtitia. Elle dira si se sont effectivement produits les « dysfonctionnements » dont le président de la République a accusé les magistrats nantais.

En matière de « dysfonctionnement », il y en a un que personne ne conteste : celui des peines non exécutées. Lors de son intervention télévisée, jeudi, Nicolas Sarkozy a reconnu, a minima, que 30 000 personnes, condamnées à de la prison ferme, n’ont pas purgé leurs peines. D’autres sources, et un rapport de 2009, donnent un nombre trois fois plus important…

Manque de places dans les prisons.

Selon une source judiciaire, le nombre des peines à exécuter s’élevait, à la fin 2010, à 1 500 à Aix-en-Provence ; 1 700 à Marseille ; 2 000 à Bordeaux et 1 600 à Nantes. « Des gens qui, dans 98 % des cas, doivent purger moins de deux ans de prison, précise cette source. Sachant que, pour être condamné à six mois ferme, il faut déjà en avoir fait beaucoup… Pourquoi ces jugements ne sont-ils pas mis à exécution ? Faute de place dans les prisons, par exemple. » À Nantes, la maison d’arrêt d’une capacité de 300 places compte déjà plus de 400 détenus.

Les juges d’applications (trois à Nantes pour quatre postes) manquent aussi de ressources pour mettre en place les aménagements de peine prévus par la loi pénitentiaire de 2009, qui pourraient permettre aux condamnés à moins de deux ans d’effectuer leur peine en dehors des prisons bondées.

Une priorité pour le ministre.

Lorsque des « fiches de recherche » sont émises, les forces de l’ordre ( police et gendarmerie ) ne disposent pas de services dédiés pour rechercher les personnes visées. Dans ces conditions, il ne reste plus qu’à espérer un faux pas du condamné : un feu rouge grillé, un flagrant délit. « Aux audiences de comparution immédiate, on juge souvent des gens qui ont commis un délit alors qu’ils faisaient l’objet d’une fiche de recherche pour une peine à exécuter », se désole un magistrat.

Comment expliquer à une victime que son agresseur, condamné à deux ans de prison, reste en liberté ? Pour le condamné aussi, les conséquences peuvent être lourdes : « Dites aujourd’hui à un homme, condamné en 2006, qu’il doit exécuter ses six mois de prison, illustre un magistrat. Il vous répondra que, depuis, il s’est marié, qu’il a des enfants et un boulot… »

« Cette situation n’est pas acceptable, elle fait perdre son sens et sa crédibilité à la décision de justice, tant pour les condamnés que pour les victimes », reconnaît le garde des Sceaux, Michel Mercier, qui promet d’en faire une priorité. Des moyens devraient être attribués pour « ramener le stock à des niveaux raisonnables », selon la formule d’une note interne. Ce qui finira par se heurter aux murs des prisons, déjà pleines.

Source: http://www.ouest-france.fr/

19/12/2010

Exigeons le respect de la réciprocité dans les rapports avec les musulmans.

Le problème est que les musulmans n’accepteront jamais ce deal… C’est interdit par le « prophète ».

FDF

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« J’ai signalé dans un précédent billet un article dans lequel  les Kabyles demandent à la France qu’elle exige de l’Algérie le respect du principe de la réciprocité avant d’autoriser la construction de la Mosquée de Marseille. Ceci est extrêmement important si on veut se faire respecter. Je vous livre ici mes réflexion à ce sujet.

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L’article kabyle indiqué signale que l’Algérie viole la liberté religieuse sur son territoire, en arrêtant notamment des Kabyles convertis au christianisme pour avoir mangé pendant le mois de Ramadan, et en fermant leur lieu de culte. Un extrait de cet article interpelle l’Occident et de ce fait mérite d’être cité:

Si dans les sociétés occidentales, le multiculturalisme, les diversités religieuses et ethniques sont considérés comme des atouts pour renforcer la cohésion sociale et des facteurs positifs pour le bon vivre ensemble, force est de constater qu’en Kabylie le rejet et l’exclusion de l’autre pour des motifs religieux est une règle que veulent imposer non seulement les terroristes et autre salafistes, mais aussi l’État algérien par ses tribunaux d’inquisition.

La communauté kabyle de Marseille regrette l’absence de réciprocité entre la France et l’Algérie dans le domaine de la religion. L’instauration de cette réciprocité entrainerait l’Algérie à revoir l’article 144 bis 2 de son code pénal avant de financer le projet de la grande mosquée de Marseille.

Cet article du code pénal n’est qu’un outil juridique dressé par les tenants de l’islamisme au sein du pouvoir Algérien, dans le seul but d’entraver la liberté de culte consacrée par la constitution.

Les Kabyles, habitués à défendre les valeurs républicaines et la laïcité aussi bien dans leur pays d’origine que dans leur pays d’accueil, souhaitent que la construction de cette mosquée soit conditionnée par des engagements concrets de l’état Algérien à respecter et à ne plus violer la liberté de culte qui est une valeur ancestrale en Kabylie.

Il est de notre droit et même de notre devoir de défendre le principe de la réciprocité, afin que les minorités religieuses juives, chrétiennes, bouddhistes ou athées vivant en Kabylie, aient les mêmes considérations et les mêmes droits que nous ici en Europe, ce qui est la condition sine qua non pour construire une société de tolérance et du bon vivre ensemble.

Dans un autre article, j’ai signalé que le gouvernement norvégien a lié la construction d’une importante mosquée financée par l’Arabie saoudite au respect du principe de la réciprocité dans ce dernier pays, rappelant qu‘il serait « paradoxal et contre nature d’accepter le financement venant d’un pays qui n’accepte pas la liberté religieuse ».

Nous ne pouvons que nous réjouir de cette nouvelle tendance qui exige des pays musulmans le respect de la liberté religieuse des non-musulmans sur leur territoire en contre-partie du respect de la liberté religieuse des musulmans en Occident. En arabe on dit: « Le mur bas, tout le monde le saute » (الحيط الواطي، كل الناس تنط عليه ). Les musulmans ne respectent que ceux qui se font respecter et se respectent eux-mêmes.

Je souhaite ici que le principe de la réciprocité soit étendu à d’autres domaines, comme la liberté religieuse et le mariage. Ainsi j’estime que les pays occidentaux doivent refuser le permis de séjour, l’asile politique et la naturalisation aux personnes qui n’acceptent pas:

– la liberté religieuse dans les deux sens: le droit de se convertir à l’islam comme le droit de quitter l’islam.

– le mariage d’une musulmane avec un non-musulman (voir mon article).

En effet, celui qui vient dans un pays, doit respecter ses principes constitutionnels, dont celui de la liberté religieuse et le droit au mariage sans empêchement religieux. Sinon il doit partir.

Sur le plan du mariage, lorsqu’un musulman se présente devant l’état civil pour épouser une non-musulmane, l’état civil doit refuser de célébrer son mariage s’il n’accepte pas que sa soeur ou sa fille épouse un non-musulman. Mais c’est surtout aux familles et aux femmes non-musulmanes d’exiger le respect de ce principe de la part du futur mari musulman. »

Pillé chez: http://blogdesamialdeeb.blog.tdg.ch

02/12/2010

Double peine: le lobbying de la droite populaire…

La droite populaire veut renforcer la «double peine»

Saluant l’adoption par les Suisses de l’expulsion automatique des criminels étrangers, le collectif emmené par le député Lionnel Luca pense à proposer un amendement en ce sens à l’Assemblée.

Les réactions n’ont pas tardé suite à la validation par les Suisses, dimanche, de l’initiative de la droite populiste sur l’expulsion des criminels étrangers, communément appelée «double peine». Première à dégainer, dimanche, Marine Le Pen a salué une «grande victoire du peuple suisse contre les élites». Bruno Gollnisch, l’autre leader du Front national, a quant à lui estimé qu’il s’agissait là d’une «mesure de bon sens». Des termes en partie repris lundi par les députés UMP membres du collectif de la «droite populaire» : «C’est une vraie leçon de bon sens de nos amis suisses administrée à leurs voisins européens confrontés aux mêmes problèmes de délinquance», ont-ils déclaré dans un communiqué.

L’aile droite du parti majoritaire appelle la France à «changer sa législation à ce sujet, si elle veut protéger plus efficacement ses ressortissants et les étrangers qu’elle souhaite accueillir. L’application de ce principe aura également une vertu pédagogique et dissuasive à l’égard de ceux qui seraient tentés de confondre hospitalité et laxisme», soulignent-ils. Contacté par Lefigaro.fr, Lionnel Luca, député fondateur du collectif, ne fait guère de mystère sur ses intentions : «Nous présenterons un amendement pour rétablir l’expulsion automatique des délinquants étrangers dès que l’occasion se présentera, assure-t-il. L’examen de la loi Loppsi 2, le 14 décembre, aurait pu s’y prêter, mais ça me paraît un peu tôt pour trouver une majorité».

Pour rassembler les députés de la majorité autour de ce projet, rien ne vaut un feu vert du gouvernement. A la faveur du remaniement, Thierry Mariani, l’autre membre fondateur du collectif, dispose désormais d’un maroquin – les Transports. «C’est une très bonne chose. Il pourra faire entendre sa position sur le sujet si un tour de table a lieu», assure Lionnel Luca, tout en se satisfaisant de l’action de Brice Hortefeux à la tête d’un ministère qui rassemble désormais Intérieur et Immigration.

Reste que l’opération de lobbying de la droite populaire s’annonce délicate. Car c’est Nicolas Sarkozy lui-même qui a réformé en 2003 le système déjà existant de la «double peine», consacrant certaines catégories d’étrangers comme «protégées» de l’expulsion : les personnes étrangères nées ou entrées en France avant l’âge de 13 ans, les conjoints de Français ou de résidents, les parents d’enfants français et les étrangers résidant en France depuis plus de vingt ans. Le ministre de l’Intérieur de l’époque avait aussi réduit le champ d’application des mesures d’interdiciton du territoire aux auteurs d’actes terroristes ou d’atteintes aux intérêts fondamentaux de l’Etat.

L’électorat frontiste en ligne de mire

«Le contexte était différent et il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis, tranche Lionnel Luca. Aujourd’hui, il faut retourner à un texte plus coercitif». Les députés de la droite populaire réclament ainsi l’automaticité de l’expulsion pour les étrangers auteurs de crimes avec préméditation ou de viols. Ils réfléchissent aussi à autoriser le dispositif pour des faits de polygamie ou de fraude fiscale. «Certains étrangers commettent des fautes graves sur notre territoire et se moquent éperdument du pays dans lequel ils se trouvent», lâche le député des Alpes-Maritimes, qui voit aussi dans le projet un «bon moyen de libérer des places dans les prisons». Et quand on lui fait remarquer que l’automaticité de l’expulsion peut se révéler contraire aux textes européens – traités de libre-circulation et Convention européenne des droits de l’homme -, Lionnel Luca n’hésite pas qualifier ces institutions de «fossoyeurs de la paix civile».

Une rhétorique qui peut choquer, y compris à droite. Dans Libération, mardi, le député UMP Etienne Pinte a appelé au respect des conventions internationales en la matière. «Un pays ne peut pas faire n’importe quoi», a fait valoir le parlementaire des Yvelines, qui s’était déjà opposé au texte sur la déchéance de nationalité. Prudent, le porte-parole de l’UMP Dominique Paillé précise que le parti majoritaire n’a pas été informé pour le moment du projet. «C’est le programme du Front national !», s’insurge de son côté Sandrine Mazetier, secrétaire nationale du PS chargée de l’immigration. «Ce projet confirme la dérive de ces parlementaires qui semblent intoxiqués par l’extrême-droite populiste européenne», explique-t-elle au Figaro.fr. La députée socialiste fait remarquer que la procédure de la «double peine» existe déjà dans le code pénal, et que son application est laissée à la libre appréciation du magistrat, sans caractère d’automaticité.

Des critiques que Lionnel Luca balaye d’un revers de la main, tout en assumant la visée électoraliste de la proposition : «Ceux qui ont voté à droite en 2007 attendent une politique de droite. C’est ce que nous leur donnons. Sinon, on peut aussi faire le lit de la gauche en laissant le FN progresser. En 2012, l’UMP sera alors condamnée à être l’alliée d’un gouvernement de gauche».

Source: http://www.lefigaro.fr/politique/

09/11/2010

Toujours rien du maboule de Limoges?

Il faut nous rassurer; nous donner de BONNES nouvelles. Un connard a insulté notre République à Limoges; souvenez-vous: http://www.youtube.com/watch?v=OJviivbNJTw

Il est passé où, ce con? On l’ a viré de chez nous, j’espère…

FDF

30/10/2010

Le « délit de polygamie ». Pourquoi pas ?

Voila au moins une loi qui ferait re-bomber le torse à notre République… Je soutiens ce projet de loi.

FDF

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Dans son projet de loi, Chantal Brunel assimile la polygamie à une violence faite aux femmes.

La figure de Lies Hebbadj va revenir hanter l’hémicycle de l’Assemblée nationale, dont le bureau devrait examiner, la semaine prochaine, une proposition de loi de la députée UMP de Seine-et-Marne, Chantal Brunel, visant à créer un délit de polygamie.

En 2006, la commission nationale consultative des droits de l’homme avançait la fourchette de 16 000 à 20 000 familles polygames en France. Avec des « conséquences dramatiques » pour les foyers concernés, accuse la députée dans son exposé des motifs: « multiplicité d’enfants dans de minuscules superficies, contraints d’attendre dans la rue leur tour pour le repas et privés d’éducation; des femmes meurtries; des allocations obtenues de manière frauduleuse… »

Le code civil trop « lacunaire » sur la polygamie

Or, Chantal Brunel juge « lacunaire » l’arsenal législatif français actuel sur le sujet. Selon elle, le délit de contracter plusieurs unions civiles est rarement constaté. S’il elle ne vise pas tous les hommes menant une double vie, l’élue souhaite avant tout définir la polygamie en introduisant les notions de contraintes et de continuité.

D’où l’idée d’ajouter au Code pénal l’article suivant: « Le fait, par menace, violence ou contrainte, abus d’autorité ou abus de faiblesse, d’imposer à plusieurs personnes de même sexe une union de fait, caractérisée par une vie commune présentant un caractère de continuité et de stabilité, est puni d’un an d’emprisonnement et de 75000 euros d’amende. »

« La polygamie est un vrai sujet, qui rejoint celui des violences faites aux femmes », assure Chantal Brunel, qui travaille sur ces sujets depuis 2002. Sa proposition de loi propose donc d’étendre aux femmes victimes de polygamie le dispositif de protection existant dans le code civil pour les victimes de violences conjugales.

En matière de prestations familiales, le texte prend des accents plus marqués à droite. Une femme ayant la responsabilité d’un enfant et vivant avec un conjoint polygame ne pourrait plus percevoir ces aides sociales que par l’intermédiaire d’un tuteur désigné par un juge des enfants.

De même, la députée tape dur sur les ministres du culte. « Aucun imam autoproclamé ne doit pouvoir célébrer de mariage religieux sans avoir vérifié l’existence d’un mariage civil », explique-t-elle à LEXPRESS.fr.

Voilà qui risque de relancer la polémique sur la stigmatisation de l’islam, à peine votée la loi sur la burqa. « Mais la polygamie est un phénomène bien plus important que le voile intégral », juge Chantal Brunel, qui se défend de tout sentiment anti-musulman.

La députée a demandé à rencontrer le ministre de l’Intérieur pour parler de son texte. Engagé dans un bras de fer médiatique avec Lies Hebbadj, Brice Hortefeux lui prêtera assurément une oreille attentive…

Source: http://tinyurl.com/2w43y8j

18/10/2010

Provocation: et l’illuminé de Limoges, pas de nouvelles ?

 

 

18 oct 2010

Toujours aucune action de justice à l’encontre de cet illuminé? Mais qu’est-ce qu’on attend? Un français de souche qui aurait fait le dixième de cette provocation serait déjà en prison avec toutes les associations bobos-gauchos anti-françaises et anti-républicaines sur le dos!

La résistance est en route. Il faut dire aussi que, dans le cas cité, si personne ne résiste, on est foutus… Charles, le signataire de ce billet, n’y va pas de main morte. Il a bien raison. Le débile mental dont les agissements y sont relatés n’a pas fait dans la dentelle non plus. La loi du Talion… Et il y va de notre identité nationale, en outre.

Allez, je vous redonne la vidéo du scandale, pour mémoire:

http://www.youtube.com/watch?v=OJviivbNJTw

FDF

 

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« Limoges vendredi 17 septembre 2010 entre 17 et 18h, un spectacle

de rue ce joue devant un auditoire d’une cinquantaine de guignols,

aussi inculte et idiot, que l’abruti dégénéré qui en fait n’as entre les

oreilles non pas un cerveau, mais juste un peu de liquide acéphalien

périmé, et qui de prend pour un redresseur de torts de nos valeurs,

« the king » of muslim !

En plus d’être propagandiste, fondamentaliste, raciste, francophobe,

antisémite, xénophobe, crachant sur nos valeurs républicaines, ce

clown barbu, en plus grotesque et totalement inculte, il le démontre

suffisamment, est le sujet, la marionnette à l’organisation

panislamiste des « frères musulmans  » , par le biais d’une autre sous

organisation (Sirrat Alizza) dont les ficelles sont tirées par le pourri

Hani Ramadan, frère de l’ordure Tariq Ramadan, le roi de l’embrouille

dans le double dialogue, l’hypnotiseur fondamentaliste, bref ! Un

fumier de plus chez les barbus, sauf qu’il est intelligent et instruit, là

est le véritable danger. Tariq Ramadan, vous savez le pimpim au

double langage, dont le grand-père accoucha de cette organisation

panislamiste reconnue comme telle (politico religieuse) en 1928 en

Égypte ! Idéologie fondamentaliste ne désirant qu’une seule et unique

chose, c’est la réunion de tous les états islamiques – Papy avait déjà

dans sa tronche de coloniser le monde par un islam « politique », ce

que font les petits fils du vieux radicaliste, les frangins Ramadan, et

de façon plus pernicieuse, plus vil, plus insidieuse, en clair de la façon

la plus vicelarde qu’il soit le fameux théologien autoproclamé, le mec

qui à toutes les qualités, mêmes celle que l’on ne connait pas, ce type

nous arrive certainement de Jupiter ou de la galaxie du petit core-an,

j’ai nommé : Tariq Ramadan !

Vous avez là le premier végétal, exemple du parfait cheval de Troie

radicalisé musulman. Cette espèce de dézingué du poix chiche qui se

donne en spectacle, se prenant pour le messie, ou Mahomet, en est à

un tel niveau d’inepties en tout genre, que s’il n’était pas

dangereux, il en serait drôle.

Ce naze inculte qui nous traite de « fumiers », de

« créatures », qui prétend avoir étudié « vite fait  » notre code

pénal français de quand même 3000 pages (alors que pour nos

magistrats il faut plusieurs années…), qui selon lui ne défendent pas

les musulmans ! Mais ce gugusse est gravement atteint du syndrome

de la connerie irréversible, puissance 12 (j’suis de bonne humeur

aujourd’hui !)

Je me gausse tant cet abruti en tient une couche épaisse… Le con

peut aller dans l’Himalaya en pleins hivers, il ne craint pas grandchose

tant il y en a épais ! N’as t’il jamais apprit, (pléonasme, car bien

évidemment que non, ce dégénéré du bulbe n’as rien apprit…), ou

tout simplement ouï dire comme ça, un jour en passant, « par

hasard », ou il serrait la louche à Mahomet, que le code pénal

n’avais jamais eu pour vocation de défendre un dogme

religieux comme l’islam et tout ces clowns, ou toute autres

formes de véritables religions et leurs ouailles, mais que celui-ci

n’est en fait que la codification du droit pénale Français ! (Merci

Napoléon Bonaparte) ! Lequel code pénal permettras aux

magistrats dont il sera le référent, de permettre

« d’administrer une peine relative et proportionnelle à un

délit, un crime, que sais-je encore » ! Par exemple, tu crames

notre drapeau, tu craches sur nos valeurs, tu lattes notre code pénal

avec tes sales pieds qui schlinguent le porc, j’te lourde direct de mon

pays, sans passer par la case « vous toucher 100 dirhams ! »

Putain si tous les cons volaient, ce mou du bulbe, cette tête de

poulpe, cette jambe de grive (oui musclée si vous voulez !) serait chef

d’escadrille…

Le pire dans tout ça, c’est qu’il trouve un auditoire aussi con,

aussi naze et tout aussi inculte que lui… Ce que hurle ce trou de

fondement mal récuré, porte un nom, incitation à la haine raciale,

par la voie propagandiste d’un connard confirmé par ces pères, une

espèce de taré congénital qui parle même de machiavel, mais c’est t’il

seulement qui était Machiavel ? Comprend-il seulement l’expression

qu’il emploie en utilisant Machiavel ? Et ben moi personnellement je

vais l’aider, car je suis un gentil qui aime tout le monde ! Alors tête de

poulpe, Machiavel il arrive de Jupiters ou il était 1er ministre – ah ! Ça

t’en bouche un coin ça non ? Quel sombre imbécile ce « sonneur du

jihad » ! Bref… Un gros étron a éliminé comme ses coreligionnaires,

de la surface de toutes les galaxies !

Islam religion de paix, d’amour et ma main dans ta figure tu la veux

du con, islam pensée dogmatique, haineuse, guerrière,

dépravé, secte à l’idéologie xénophobe, démagogique,

voulant faire de leur confession la notre, celle du monde

entier, a des fins politiques également. Équation :

Islam X politique = Domination du monde et de Mars…

En aparté, l’islam religion de grandeur de pensée, d’amour, de paix,

de tolérance, dont les apostats sont tués, ou dans le meilleur

des cas emprisonnés. Religion ou les convertit au

christianisme deviennent des bêtes à abattre.

Mais ne sommes-nous pas là dans un cadre de discrimination ? N’y at-

il pas violation des droits de l’homme ? Et lorsque

« Boutefliracaille », fait mettre en taule de jeunes apostats,

pour 6 à 8 piges et des millions d’euros à casquer, sous

prétexte qu’ils on eux cramés le coran, dans leurs pays…

Alors là j’en reste le cul par terre… Ceci dit, le mrap et consorts en

parlent t’ils seulement sur leurs sites respectifs ?

Alors soudainement je suis assailli (non, non, juste par une

question…) Celle-ci vient se vautrer inlassablement dans mon

cerveau (oui n’en déplaise à certain, j’en ai un et en état de

fonctionnement !) Pourquoi aucune réaction d’Amnistie

international ou tout autres association humaniste digne de

ce nom, quant à la violation au respect fondamental des

droits de l’homme, pour les faits avérés qui se sont déroulés

au grand royaume très démocratique de boutefliracaille ?!

Article 18 de la Déclaration universelle des droits de l’homme

TOUTE PERSONNE A DROIT A LA LIBERTE DE PENSEE, DE CONSCIENCE ET

DE RELIGION; CE DROIT IMPLIQUE LA LIBERTE DE CHANGER DE RELIGION

OU DE CONVICTION AINSI QUE LA LIBERTE DE MANIFESTER SA RELIGION

OU SA CONVICTION, SEULE OU EN COMMUN, TANT EN PUBLIC QU’EN PRIVE,

PAR L’ENSEIGNEMENT, LES PRATIQUES, LE CULTE ET L’ACCOMPLISSEMENT

DES RITES. (Oui sauf chez les musulmans, pour reprendre

l’expression de l’apprenti propagandiste inculte avec du poil

sous le menton…) Fin de l’aparté !

En ce qui concerne notre refoulé de ce que vous-voulez et de ces

merveilleux propos, d’une si grande richesse d’ailleurs ; je traduis ;

« comment devenir un E…..E de xénophobe, irrespectueux des

valeurs les plus fondamentales du pays dans lequel tu viens bouffer

les allocs des faces de craies pour la plupart sioniste, (un spécial petit

salut au copain Liès, à qui je décerne la mention spéciale du plus

grand sodomiseur de l’état français !)

Pourquoi dans ce cas bien précis ou à Limoges un demeuré

prône le radicalisme et l’incitation à la haine raciale, aucune

intervention des sectes francophobes et radicales, telles que

le MRAP, Sos Racisme et que sais-je encore… Sans oublier la

HALDE, organisme d’état tout juste bon à engraisser une

grosse xxxxxx ! Ces phalanges de la haine de notre pays et

de tout ce qui est blancs et non-musulman, ces gangs

berceaux du terrorisme intellectuel de nos pôvre d’jeunes !

Alors toutes les grandes barges, avant de nous la faire à l’envers,

avant de “tenter” de nous donner des leçons, apprenez donc ces

quelques articles, juste ceux ci-dessous !

Déduisez en ce qu’il vous est nécessaire d’en déduire, si tant

est que votre esprit si engoncé par l’égoïsme dhimmi et

collabo bien pensant, ou politiquement correct, vous autorise

à vous écarter un peut plus d’une gauche bobo et vous offre

alors le droit de pensez par vous-même et non plus au travers

de la parole de vos gourous. Bien braves gens si j’ose dire,

ouvrez vos oeillères, car à force d’être toujours sur le même

plan d’horizon, alors un jour vous ne saurez plus différencier

le ciel de la terre ! Les plans se chevauchent à un moment

donné !

DÉCLARATION DES DROITS DE L’HOMME ET DU CITOYEN DE

1789

Article X

Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses,

pourvu que leur manifestation ne trouble pas l’ordre public

établi par la Loi.

Article XI

La libre communication des pensées et des opinions est un

des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut

donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de

l’abus de cette liberté, dans les cas déterminés par la Loi.

ARTICLE 18 DE LA DÉCLARATION UNIVERSELLE DES DROITS

DE L’HOMME

Celle-ci j’adore vraiment et dire que le coyote hurlant dans son

mégaphone nous l’a sortie, mais quel grave con, à ce niveau-là de

connerie, le mec faut le trépaner…

TOUTE PERSONNE A DROIT A LA LIBERTE DE PENSEE, DE CONSCIENCE ET

DE RELIGION ; CE DROIT IMPLIQUE LA LIBERTE DE CHANGER DE RELIGION

OU DE CONVICTION AINSI QUE LA LIBERTE DE MANIFESTER SA RELIGION

OU SA CONVICTION, SEULE OU EN COMMUN, TANT EN PUBLIC QU’EN PRIVE,

PAR L’ENSEIGNEMENT, LES PRATIQUES, LE CULTE ET L’ACCOMPLISSEMENT

DES RITES.

Aujourd’hui dans mon pays qu’est la France, je désire la paix,

mais si tu viens me chercher garçon, dis-toi une chose simple, chaque

individu est différents, chaque individu à un passé différent, tous ne

s’agenouillent pas et ne baissent pas les yeux comme la

majorité de mes concitoyens que tu terrorises et crois moi,

que je ne te louperai pas, tout fondamentaliste islamiste et

autres frères de lumière de mes deux que tu es !

Car en fait oui, aujourd’hui je ne peux plus te sacquer, pas toi

l’étranger non, mais toi le musulman, car au fond de toi

sommeil toujours un fondamentaliste confirmé, dont le coeur

n’est empli que de haine guerrière et de tueries sans pitié,

contre qui n’épouse pas ton idéologie de merde.

Les seuls musulmans tranquilles qui aspirent à une véritable

spiritualité, vous les chassez, vous mettez des fatwas sur eux, car ils

ne répondent pas à votre désidérata de xénophobie et autre racisme à

la con, ils ne correspondent pas à votre “folie extrême du pouvoir”,

car en vérité, votre pseudo religion, n’est en fait qu’un grand écran de

fumée nauséabond, qui n’a pour seul et unique but d’imposer un

pouvoir coranique, totalitaire… D’imposer votre pouvoir tout

simplement ! N’appelle t’on pas cela dictature, comme votre pote le

grand Hitler?

Il ya eu dans l’histoire des gens tels que vous, Hitler, à qui vos

ancêtres serraient âprement la paluche, Fidèle Castro et j’en

passe, ne souriez pas les bobos et les autres drôles, rappelezvous

donc l’histoire, qu’à fait votre ami Staline ?

Les cinglés du Hamas, ne défilent t’ils pas la main levée ?! –

No comment ! Ah oui ! Il est vrai, vous haïssez les sionistes, les

infidèles, les martiens, sauf s’ils sont musulmans et les jupitériens,

pareillement sauf s’ils sont musulmans !

Musulmans et islamistes ne se dissocient pas, vous êtes

rétrograde, décadent et vomissez sur les droits les plus

élémentaires de l’homme ! Je vous laisse dans votre jus de

haine xénophobe et totalitaire – Cependant les narcisses,

vous y êtes bien dans notre pays que vous haïssez tant !

Mais vous avez pour vous les mathématiques…

Braves gens dormez bien sur vos deux oreilles, faites de doux

rêves et surtout pas de Nazilacauchemars, continuer de

feindre ce qui ce passe et un jour… »

Charles

03/10/2010

Limoges: et une petite couche sur l’intégriste musulman provocateur…

Rappel… En passant, remarquez que l’on n’ a pas de nouvelles des suites à cette affaire d’incitation à la haine et au djihad…

FDF

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Manifestation islamique à Limoges Avec l’Etendard noir du Djihad, et le drapeau de la « Guerre Sainte  » totale contre l’Occident.
L’organisateur appelant les Musulmans à se révolter et lutter contre la société, les français, la démocratie et la laïcité, et à brûler le Code Pénal.

« A Limoges, nous avons vu, ce vendredi, le spectacle à peine croyable, en plein centre-ville, entre 17 et 18 heures, d’un homme, mégaphone à la main, qui lance des appels à la guerre civile, au djihad, cite Christine Tasin, affirme qu’il y a entre 10 et 15 millions de musulmans en France, les incite à se révolter contre les Français, qualifiés de « fumiers », attribue le 11 septembre aux Juifs, qualifie la loi contre le voile intégral de raciste, affirme ne pas reconnaître notre code pénal, incite les musulmans à le brûler, etc. Un discours, suivi par plusieurs dizaines de disciples, qui ne pouvait qu’effrayer les paisibles habitants de cette ville. Comme si cela ne suffisait pas, ils ont dû, en plus, subir une manifestation, avec des slogans réclamant le droit de porter le hijab et la burqa ! Autres extraits: “Oui, nous sommes anti-sémites, et nous en sommes fiers” ! “On est entre 10 et 15 millions en France” ! « Nous en avons ras-le-bol de vous et de vos discours hypocrites et politisés »! Vous ne souhaitez pas que l’on prenne la parole ? Et bien on se passera de vos « autorisations »… Et très bientôt vous serez mis à la porte, inchaalah ça vient de ce passer un samedi 17 septembre 2010 en plein centre de Limoge ! Tout ça en toute impunité !!! Les flics impuissants La justice autiste Les médias muets ! (sauf le journal local de Limoges puis les sites et forums républicains) Fabius – Aubry – Royal – Besançennot – Gayssot, Halde, LCR, LDH, Sos-Racisme, Licra, Crif… PS, PC, Verts, etc.aux abonnés absents !!
Imagi non s qu’une telle déclaration ait été faite par un franchouillard ?
La vidéo de la manif a déjà été censuré, re-censurée, apparaît, disparaît, n’est plus en ligne, est rejetée; et pour cause !! On se demande bien qui est derrière cette censure… On a bien une petite idée, mais De la haine contre l’Occident ainsi manifestée publiquement et de surcroît sur notre sol, on n’avait jamais vu ça. C’est fait…. http://www.lepost.fr/article/2010/09/19/2227322_manifestation-de-l-islam-radical-a-limoges.html http://www.islamisation.fr/archive/2010/09/19/les-barbus-manifestent-a-limoges.html Pour la vidéo, si elle disparait encore des liens ci-avant, elle est encore visible là: http://www.youtube.com/v/3YlJGLl9VAA?fs=1&hl=en_US

Une manifestation de musulmans « révoltés » a eu lieu dans le centre-ville de Limoges, vendredi soir, entre 17 et 18 heures (source : Le Populaire, journal local de Limoges). La population a été effrayée par cette manifestation, remplie de haine. « C’était quelque chose de très violent », témoigne une commerçante souhaitant garder l’a non ymat. « Comprenez-moi, je n’ai pas envie qu’ils me pètent la vitrine, je préfère ne pas donner mon nom, ni que mon magasin soit cité. J’en frémis encore. » « Les policiers eux-mêmes ne sortent pas de leur voiture et laissent baissée leur fenêtre », témoignait un autre commerçant.   C’est l’organisation islamiste Sirât Alizza, proche de Hani Ramadan (défenseur de la lapidation), qui a organisé la manifestation. Le 11 septembre dernier, cette organisation avait appelé à la guerre contre les islamophobes, en réaction au projet du pasteur Terry Jones de brûler un Coran ; sur son site, on pouvait lire : « Comment est ce possible que l’on puisse déchirer le saint coran en public sans que des têtes roulent par terre ?! (…) On demande à ALLAH soubhanahou wata3ala ,maître des mondes ,de leur infliger toutes sortes de maladies dont le cancer du colon ! Qu’ils ne puissent même plus se soulager au toilettes ,que leur existence soit humiliée et que toutes leurs familles se convertissent à l’islam. Mes frères cet appel est concret , contactez nous au plus vite afin de préparer la riposte inchaalah ta3ala ! « .   Le harangueur à Limoges a nié la version officielle du 11-Septembre. Puis, il a encouragé à brûler le Code Pénal, celui-ci ne faisant pas référence aux musulmans. Selon lui, il faut modifier le Code Pénal, afin qu’il défende les musulmans. Des passants lui ont alors répondu au cri de « Allah akbar ! ».   Le journaliste du Populaire écrit : « Notre photographe leur a demandé s’il pouvait prendre une photo de la manifestation, comme c’est le cas chaque fois qu’un événement se produit à Limoges « Va-t-en avec ton appareil. Si non on te casse la gueule. » »   2e partie : à partir de la 7e minute, un journaliste de France 3 tente d’engager le dialogue avec le harangueur de foule… Il va s’en mordre les doigts… S’ensuit une marche très agitée dans les rues de Limoges, durant laquelle une femme âgée osant s’opposer aux manifestants se fait conspuer par la foule. Comment jusqu’à quand vas-ton laisser faire ça…? http://www.agoravox.tv/actualites/societe/article/des-musulmans-se-revoltent-a-27708 Ps: le lien est assez long à s’ouvrir ainsi que  que la vidéo, une fois que c’est ouvert on est sidéré Nos médias en parleront-ils? ce serait étonnant…

28/09/2010

Prédicateur haineux musulman et intégriste de Limoges: ça bouge enfin…

Mais DANGER! Il est à craindre que tout ce qui bouge sur le sujet risque une condamnation pour incitation à la haine, non? Des blogs et sites et même des médias commencent enfin à relayer cette attaque contre notre République. Il était temps et pourvu que ça dure… Ce geste de haine ne doit pas rester impuni. Même ce con de Cortex y met son grain de sel et approuve les geste écoeurant de ce fou d’Allah en terre de France. On ne s’attendait pas à autre de chose de sa part, de toutes façons……

Au fait, je l’attends toujours, ce chimpanzé…

FDF

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A Limoges, l’islam dur descend dans la rue et c’est pas triste…

Le 17 septembre dernier, les commerçants de Limoges, médusés, assistaient à un spectacle étonnant : une bande d’islamistes excités organisaient une manifestation sur la place du marché. Qui sont-ils? Enquête.

A Limoges, l'Islam dur descend dans la rue et c'est pas triste
C’est une vidéo étonnante. On y voit quatre barbus, dont un particulièrement excité, vêtu d’un costume traditionnel (longue kamis et chachia sur la tête) qui hurle dans le micro d’un mégaphone. Face à eux, une petite trentaine de personnes écoute religieusement, comme si c’était un prêche. Ces images seraient banales si elles avaient été filmées aux Etats-Unis, par exemple, où les harangues des prêcheurs les jours de marché font partie du folklore, où tous les groupes, même les plus extrémistes, profitent de la totale liberté que leur garantit le premier amendement pour raconter en public à peu près tout et n’importe quoi — surtout n’importe quoi.
Le problème, c’est que cette vidéo a été tournée à Limoges, un vendredi après-midi (le 17 septembre dernier), sur la place du Marché. Et que le discours qu’y tient l’excité de service aurait plus lieu d’être à Finsbury Park, le quartier islamique de Londres, que dans le centre-ville de la préfecture de la Haute-Vienne.
L’objet du rassemblement ? Protester contre ceux qui, aux Etats-Unis, ont appelé à brûler le Coran, en réaction à l’installation d’une mosquée non loin du site de Ground zero. Mais rapidement, cette légitime protestation laisse place à des propos nettement plus offensifs dans une ambiance de ville morte : la place du Marché est déserte, hormis les quelques manifestants. Les commerçants, apprendra-t-on plus tard, sont restés terrés dans leurs boutiques. De même que les policiers sont restés dans leur voiture. Laissant le champ libre au prédicateur hystérique qui alterne les diatribes en arabe et en français pour mieux dénoncer les ennemis de l’islam.
Ennemi numéro 1 : Dalil Boubaker, le recteur de la Grande mosquée de Paris et ancien président du Conseil français du culte musulman (CFCM). Le harangueur l’appelle « David » Boubaker, et l’accuse d’avoir « une interprétation biaisée de la religion pure ». Ennemis numéro 2 : les « golgoths », également appelés « eux » ou « ils » ou encore « Robert », et dont on comprend rapidement qu’il s’agit des non musulmans. « Vous avez déjà vu des femmes portant le niqab arrêtées pour un délit ? Non ! Alors il fallait qu’ils fassent une loi ! ».
Quelques minutes plus tard, c’est l’apothéose. Le prêcheur brandit le code pénal en hurlant: « j’ai pas trouvé une ligne qui protège les musulmans là dedans. En France, être islamophobe c’est un droit. Ce livre ne nous défend pas. Donc ce livre nous ne le respectons pas. Vous comprenez mes frères ? ». Puis il balance le Code Pénal par terre, et lui flanque un grand coup de pied en ajoutant : « C’est ce livre qui doit être brûlé tant qu’il n’a pas été modifié ».

Voilà qui a le mérite d’être clair. Mais pour ceux qui n’auraient pas encore compris, le fou d’Allah explique qu’il faut « organiser la résistance ». Et invite la petite foule — une centaine de personne, quand même — qui s’est massée autour de lui à  défiler dans les rues commerçantes du centre-ville en criant « Sarkozy casse-toi l’Islam n’est pas à toi », ou encore « Boubaker casse-toi » et enfin « Fadela Amara Casse-toi » (Ennemi numéro 3 : Ni putes ni soumises). Peu après, on découvre l’identité de l’ennemi numéro 4 : les journalistes « sionards ». Pour finir, le prêcheur se lance dans une longue harangue en arabe, qu’il ne prend pas la peine de traduire et on comprend pourquoi : c’est un appel à la guerre sainte (« Allah, aide-moi à devenir un combattant », etc.)


Qui sont ces types ? Ils font partie d’un mouvement, Sirat Alizza (« la voie de la fierté »), récemment rebaptisé Forsane Alizza (« les cavaliers de la fierté »), qui essaime un peu partout en France. Son leader se fait appeler Cortex — le prêcheur excité, c’est lui. Voici comment il présente son groupe: « On a plusieurs antennes partout en France : Nantes, Lyon, Montpellier, Strasbourg. Notre but, c’est faire de la contre propagande puisqu’il y a beaucoup de sites qui prolifèrent comme le bloc identitaire, fdesouche (…) on a des amis journalistes — des journalistes honnêtes — qui viennent nous donner un coup de main » (source : Radio France Maghreb, 20 septembre 2010).A la mairie de Limoges, si on explique ne pas connaître ces individus, et s’inquiéter de leur présence dans les rues de la ville un vendredi après-midi, on ne tombe pas des nues pour autant : c’est la deuxième fois que ce groupe fait parler de lui à Limoges. La première, c’était en juin dernier : une poignée de barbus et de jeunes femmes voilées avait investi le Mac Donald’s du centre commercial Cora pour appeler au boycott des fast foods de la chaîne, accusée d’être un « fournisseur de dollars à Israël ». « Savez-vous comment s’appelle le PDG de Mac Donald’s ? » demandent les membres de Sirat Alizza dans leur vidéo. Réponse : « Jack M. Greenberg ». Ce qui suffit apparemment à faire de Mac Do un « partenaire corporatif majeur du Fonds juif uni et de la fédération juive ».

Il n’y a pas qu’à Limoges que Sirat/forsane Alizza intervient. Le groupe a, ces derniers mois, multiplié les actions. Ainsi, lors de la manifestation du 5 juin dernier à Paris pour protester contre l’assaut meurtrier de l’armée israélienne sur la «flottille de la paix» qui était en route pour Gaza, les membres de Sirat Alizza avaient pris la tête du cortège et brandi une banderole portant des inscriptions religieuses (« Il n’y a de dieu que dieu et Mohamed est son prophète », écrit en arabe), ce qui avait déclenché la colère de Jean-Luc Mélenchon et son départ de la manif.

Certains membres du collectif sont devenus des spécialistes du harcèlement des « ennemis » de l’islam : caméra au poing, ils interviennent dans les réunions publiques, ou dans la rue, pour « confronter », comme ils disent, certaines personnalités qu’ils jugent « islamophobes ». Ainsi de Mohamed Sifaoui, Sihem Habchi (Ni putes ni soumises), Fadela Amara, Bertrand Delanoë, Malek Chebel, Eric Zemmour. Ils ont aussi leurs chouchous : Dieudonné, bien sûr. Mais aussi Thierry Ardisson, qui a même accepté de leur accorder un entretien à l’issue duquel ils lui ont conseillé chaudement d’inviter dans son émission « quelqu’un qui s’exprime avec sagesse » : Hani Ramadan, frère de Tariq et prédicateur islamiste connu pour ses prises de position en faveur de la lapidation des femmes adultères…

Et pour ceux qui n’auraient toujours pas compris qui sont les membres de Forsane Alizza, voici un extrait d’une intervention de Cortex dans une émission de Radio France Maghreb, le 20 septembre dernier : « Parlons-en, du 11 septembre : les familles des victimes sont les premières à dénoncer ces accusations. On a dit que c’était des musulmans qui étaient à l’origine de ces attentats, mais personne n’y croit. Absolument personne. Il y a des scientifiques qui se sont penchés sur la question, il y a eu des preuves qui ont été mises à jour. Mais force est de constater que les journalistes s’obstinent à faire de la propagande et à diffuser des mensonges sur un support qui est la télévision et que l’on paie. Ça nous coûte très cher pour qu’on soit discriminés et insultés. Le 11 septembre c’est pas les musulmans.
La paranoïa, c’est un système qui a été mis en place par les gouvernements pour instaurer une psychologie soupçonneuse. Quand on voit un voisin qui porte la barbe ou le niqab ou le voile on voit en lui un terroriste potentiel. Cette situation elle a été imposée par les gouvernement, qui profitent de ça.
Dans deux ans ça va être les élections présidentielles. Je suis sûr, on est sûrs et certains, et je suis pas tout seul, on est des milliers de musulmans à penser ça, et des millions à travers le monde, on est sûrs et certains qu’il va y avoir, et ça commence déjà, des éventuels attentats qui pourraient survenir. On n’est pas dupes
».

Des musulmans en plein délire, complètement isolés ? Malheureusement, non. Leurs idées rencontrent de plus en plus d’écho, notamment chez les jeunes. Et pas seulement dans les milieux défavorisés. En témoigne la réaction de l’animateur de Radio France Maghreb aux propos hallucinés de Cortex : s’il décide de couper son intervention au motif qu’il dépasse les bornes, quelques instants plus tard, hors antenne (mais Cortex, très élégant, a tout enregistré et balancé sur son site ), il lui assurera : « Je le pense aussi ce que vous dites, je le pense clairement ».

28/08/2010

Déchéance de nationalité : l’élephant va accoucher d’une souris…

L’Etat va montrer les dents; émoussées. Il ne faudra pas s’attendre à des miracles… Il ne faut pas froisser certaines « susceptibilités »… Si ti vois c’ke vi dir…
FDF

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Déchéance de nationalité : les propositions d’amendements

28/08/2010

Crédit photo : Sébastien SORIANO, Richard VIALERON / Le Figaro

Photos : Sébastien SORIANO, Richard VIALERON / Le Figaro

Le Figaro s’est procuré les propositions d’amendements sur les modification des conditions de déchéance de la nationalité émanant des ministères de l’Immigration, de l’Intérieur et de la Justice. L’Élysée doit arbitrer dans les prochains jours.

C’est la guerre des ministères autour de la déchéance de nationalité. Éminemment symbolique, polémique aussi, le thème lancé par Brice Hortefeux, lors de son bras de fer avec le polygame présumé de Nantes Lies Hebbadj, aiguise les luttes d’influence.

Officiellement, la modification des conditions de déchéance est entre les mains du ministre de l’Immigration, de l’Intégration et de l’Identité nationale, Éric Besson. Mais le ministre de l’Intérieur tente de s’approprier le thème. Tandis que la Justice entend également garder la main sur un sujet qui touche au code civil.

«Esprit du discours de Grenoble»

L’Élysée doit maintenant trancher entre trois propositions: Éric Besson propose d’ajouter l’alinéa suivant à l’article 25 du Code civil qui prévoit les conditions de déchéance de nationalité: «Celui qui a été condamné à 8 (ou 10 ans, c’est encore en discussion) en France ou à l’étranger pour un acte qualifié de crime par la loi française et commis en particulier contre une personne dépositaire de l’autorité publique». Car, explique un conseiller,«les cas de déchéance doivent être réservés aux atteintes à l’autorité de l’État, à l’intégrité de la Nation». Et d’insister: «Nous sommes restés dans l’esprit du discours de Grenoble du président Sarkozy qui ne mentionnait pas les cas de polygamie mais bien les atteintes contre les policiers ou toute personne dépositaire de l’autorité de l’État».

Proposition de la Justice plus juridique.

Le ministère de la Justice a également rédigé une proposition dans le même esprit mais plus concise et juridique: à l’article 25, il est ajouté un cinquièmement et un sixièmement ainsi rédigé: «S’il a été condamné pour un acte qualifié de crime prévu et réprimé par le 4e des articles suivant 221-4 et 222- 8 du code pénal». Ces deux articles prévoient que «le meurtre est puni de la réclusion criminelle à perpétuité lorsqu’il est commis «sur un magistrat, un juré, un avocat, un officier public ou ministériel, un militaire de la gendarmerie nationale, un fonctionnaire de la police nationale, des douanes, de l’administration pénitentiaire ou toute autre personne dépositaire de l’autorité publique, un sapeur-pompier professionnel ou volontaire, un gardien assermenté d’immeubles ou de groupes d’immeubles ou un agent exerçant pour le compte d’un bailleur des fonctions de gardiennage ou de surveillance des immeubles à usage d’habitation (…) dans l’exercice ou du fait de ses fonctions, lorsque la qualité de la victime est apparente ou connue de l’auteur». La déchéance pourrait aussi concerner les auteurs de «violences ayant entraîné la mort sans intention de la donner» d’une personne dépositiaire de l’autorité publique.

«Délit de polygamie de fait»

Le ministère de l’Intérieur tient lui à faire de la polygamie un motif de déchéance. Brice Hortefeux l’a maintes fois répété cet été. Le ministère mêle polygamie de fait et fraudes aux prestations sociales. Elle serait alors punie de cinq ans de prison et ouvrirait la possibilité d’une déchéance de nationalité pour les Français récemment naturalisés qui s’y adonneraient. Le ministre propose de créer un «délit de polygamie de fait, escroquerie, abus de faiblesse». «Le fait pour une personne engagée dans les liens du mariage, de tirer profit ou de partager le produit, de manière habituelle, de prestations sociales indûment perçues, à la suite de déclarations inexactes ou incomplètes par un tiers avec lequel il a contracté une union de fait, caractérisée par une vie commune présentant un caractère de stabilité et de continuité est puni de cinq ans d’emprisonnement et de 75.000 euros d’amende».

Jugé instable juridiquement par les autres ministères, la proposition a, semble-t-il, peu de chance d’aboutir. «Si l’on criminalise la fraude aux allocations familiales, qu’en sera-t-il de la fraude fiscale…les prisons vont se remplir», ironisent certains conseillers. Car le Conseil constitutionnel réserve la déchéance de nationalité, «au cas les plus graves». Autrement, il considère que tous les Français, naturalisés ou pas, doivent être égaux devant la loi. L’Élysée devrait arbitrer dans les prochains jours.

Source: http://tinyurl.com/3yagktn