Francaisdefrance's Blog

19/03/2012

Et soudain, les Identitaires devinrent fascistes…

C’est la dernière lubie des « anti-fa »-bobos-gauchiottes qui décidément ne savent plus qui emmerder. Pour ces révolutionnaires des bacs à sable, les Identitaires seraient des fascistes… On devrait leur envoyer des skins pour leur expliquer comme il faut…

Et en outre, cette manifestation s’est passée à Toulouse. Vous savez, cette ville où l’on abat froidement des enfants de confession juive… Mais ça, ça ne doit pas les intéresser, les anti-fa…

FDF

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L’anti-fa par exellence…

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Les militants antifascistes mobilisent contre les identitaires…

300 manifestants ont affirmé leur colère à l'égard des Identitaires toulousains./Photo DDM, Frédéric Charmeux.
300 manifestants ont affirmé leur colère à l’égard des Identitaires toulousains./Photo DDM, Frédéric Charmeux.

La manifestation antifasciste a réuni plus de 300 personnes hier à Toulouse. Un cortège bruyant, très encadré, qui ne s’est autorisé aucun excès ou dégradation. Les associations de l’ultra-gauche, (CNT, No Pasara, Al, UAT, Libertat sud, etc) ont largement mobilisé hier après-midi à Toulouse. La manifestation visait à s’opposer à la création de « L’Oustal », un local associatif maison « de l’identité toulousaine », selon ses créateurs. « Une succursale du Bloc identitaire », affirment au contraire les organisateurs du rassemblement, très remontés contre cette « organisation » qu’ils jugent « puante, ouvertement raciste, xénophobe et homophobe ! »

Parti de la place Arnaud-Bernard, escorté par un service d’ordre important mais discret (policiers en civil), le cortège a progressé jusqu’au boulevard Armand-Duportal aux sons de slogans assez classiques : « Pas de fascistes dans nos quartiers », « Non au local des identitaires, « Toulouse restera toujours une ville antifasciste » « Toulouse mixité et populaire »…

Une fois arrivé sur les allées de Barcelone, où se trouve le local « L’Oustal », la tension est montée d’un cran. Pas à cause de l’imposant barrage mis en place par les CRS pour empêcher l’accès à l’adresse de toutes les colères. Mais très vite, les manifestants ont remarqué la présence de Matthieu Clique, qui filmait la manifestation depuis un balcon. Cet étudiant de 23 ans est le responsable du local des jeunesses identitaires. Sa présence, tous sourires, caméra à la main, a provoqué la colère de nombreux participants au rassemblement. Les gestes injurieux, les insultes, les provocations ont volé bas sous le regard stoïque des forces de l’ordre. Puis le cortège a repris sa route sans pouvoir emprunter la rue Lejeune, elle aussi barré, cette fois par un cordon de gendarmes mobiles.

Un dernier tour sur les allées de Barcelone, à l’angle du boulevard Leclerc pour raviver les slogans antifascistes et le cortège a repris la direction de Compas Caffarelli via la place Heracles dans le calme. Les manifestants ont même observé un silence total et respectueux lorsqu’ils ont croisé sur le chemin pompiers et équipe du SMUR 31 en train d’essayer de sauver un motard blessé dans un accident de la route.

La manifestation qui, c’est une première, avait fait l’objet d’une déclaration en préfecture et avait son propre service d’ordre, s’est ensuite disloquée sans incident. Il est probable que les rencontres entre les deux camps vont se poursuivre dans les prochaines semaines. Loin de regards et des services d’ordre et pas seulement pour échanger des idées…

Source: http://www.ladepeche.fr/

04/11/2011

L’armée française a installé les islamistes les plus violents au pouvoir en Lybie.

La logique voudrait que l’on renvoie chez eux tous les réfugiés politiques clandestins débarqués de Libye sur nos terres. La logique voudrait aussi que nous laissions la Libye se débrouiller avec cette nouvelle « démocratie ». Mais la logique voudra que nous continuions à nous mêler des affaires des autres; comme s’il n’y avait rien à améliorer en France…

FDF

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Le drapeau d’Al Qaeda flotte sur le Palais de justice de Benghazi !


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Voici la traduction d’un article d’un journaliste égyptien, Sherif Elhelwa, paru dans la version en anglais du site mondial d’information Vice. Ce n’est ni une blague ni un montage. Sherif Elhelwa a également mis en ligne une vidéo où l’on voit clairement que le drapeau d’Al Qaïda flotte au-dessus du palais de justice de Benghazi : 
« C’est ici, au palais de justice de Benghazi que s’est produite la première étincelle de la révolution libyenne. C’est le siège symbolique de la révolution, l’équivalent, pour la Libye post-Kadhafi, de la place Tharir du Caire pour l’Egypte. Et c’est ici que pendant les mois tumultueux de la guerre civile les forces rebelles hétéroclites ont établi leur gouvernement provisoire et leur centre médiatique primitif, mais déjà efficace, à partir duquel ils parlaient aux journalistes étrangers de leur « lutte pour la liberté».

Mais, selon de multiples témoins oculaires – dont moi – on peut voir maintenant le drapeau rebelle libyen et le drapeau d’Al Qaïda flottant ensemble au dessus du palais de justice de Benghazi. Selon un habitant de Benghazi, des islamistes conduisant des 4×4 flambant neufs et agitant le drapeau noir d’Al Qaïda parcourent les rues de la ville, la nuit, criant « Islamiya, Islamiya! Ni est, ni ouest ! », faisant référence à l’inquiétude qui s’était fait jour que le pays se divise entre les opposants à Kadhafi à l’est
du pays, et les éléments pro-Kadhafi à l’ouest.
Plus tôt cette semaine, je suis allé au palais de justice de Benghazi et j’ai eu confirmation des rumeurs : un drapeau d’Al Qaïda était clairement visible : il y était écrit en arabe qu’il n’ya pas de dieu en dehors d’Allah, avec une pleine lune en dessous. Quand j’ai voulu prendre des photos, un garde d’allure salafiste, portant une tenue de camouflage verte, s’est précipité sur moi et a exigé de savoir ce que je faisais. Ma réponse fut simple et directe : je prenais une photo du drapeau. Il me lança un regard  intimidant et me dit dans un sifflement : « Quiconque parle mal de ce drapeau, nous lui couperons la langue. Je vous recommande de ne pas publier cela. Vous vous exposez à des problèmes…»
Il me suivit à l’intérieur du palais de justice, mais heureusement mon chauffeur Khaled était à proximité et a intercédé en ma faveur. Selon Khaled, le garde était en colère et avait menacé de me faire du mal. Quand je pus de nouveau nouveau engager la conversation, il me dit :
« Ce drapeau est le vrai drapeau de l’islam », et il ne répondit pas quand je lui fis remarquer que,  historiquement, l’islam n’a jamais été représenté par un seul drapeau. Le garde m’affirma à plusieurs reprises qu’il n’y avait pas Al Qaïda en Libye, et que le drapeau qui flotte au-dessus du palais de justice est « noir foncé », alors que le drapeau d’Al Qaïda est « noir charbon »…

Pour beaucoup d’habitants, c’est une distinction qui ne fait aucune différence. Un homme s’est approché de moi et m’a amicalement averti: « Je vous recommande de partir maintenant ; [les combattants islamistes] pourraient vous remarquer. »
Mais rien de cela ne peut être surprenant. A Tripoli, Abdelhakim Belhaj, un combattant bien connu d’Al Qaïda, et fondateur du célèbre Groupe islamique combattant en Libye (GICL), dirige aujourd’hui le « conseil militaire » de Tripoli. Il y a quelques semaines, Belhaj a ordonné à ses combattants de prendre le contrôle de l’aéroport de Tripoli, qui était alors aux mains d’un groupe de combattants de Zintan, une brigade de Libyens berbères qui ont aidé à libérer la capitale des loyalistes de Kadhafi. Quelques jours plus tard, Belhaj a prononcé un discours en soulignant que son action avait la bénédiction du Conseil national de transition (CNT), qui l’avait nommé à la direction du commandement militaire de Tripoli.
Selon un Libyen qui veut rester anonyme, un groupe militaire spécial, au sein du CNT, appelle les combattants salafistes qui ont des compétences militaires à se joindre aux forces spéciales de la  rébellion. « Vous aurez des prestations spéciales si vous les rejoignez rejoignez, que vous mouriez au combat ou que vous retourniez chez vous », y compris des salaires mensuels. (Une source du CNT m’a dit que les combattants de Belhaj sont les seuls combattants rebelles qui reçoivent un salaire mensuel.)

Dans un récent discours, annonçant le début de la Libye post-Kadhafi, Moustafa Abdeljalil, le chef du CNT, a déclaré que le pays « est un Etat islamique, et que la charia est la source de toutes nos lois ». C’était de fait une déclaration étrange de la part d’un chef célébrant la libération de son pays, ce qui a conduit beaucoup à se demander: « Qui est-ce que Abdeljalil et le CNT cherchent à apaiser? »
Il n’est pas rare de découvrir des rebelles avec un bagage radical. Dans un entretien hors micro, un membre du CNT parlait nonchalamment de son passé, expliquant que le régime de Kadhafi l’avait mis sur liste noire et banni du pays pour ses liens avec le GICL. Il me parla de ses liens étroits avec le cheikh Omar Abdel-Rahman, l’infâme « religieux aveugle » emprisonné pour son implication dans l’attentat de 1993 au World Trade Center, qu’il avait aidé à traverser la frontière du Pakistan et de l’Afghanistan pendant la guerre des moujahdine contre l’Union soviétique. La guerre pour débarrasser le pays de la dictature de Kadhafi est peut-être terminée, mais la bataille pour le contrôle de la Libye post-révolutionnaire a seulement commencé. Et cela va surprendre quelques-uns que les radicaux, les jihadistes, les salafistes, et les vétérans du GICL tentent de combler le vide du pouvoir et remplacer la dictature par une autre. « 

Traduction : Yves Daoudal.

Source: http://www.islamisation.fr/

25/08/2011

Lybie: les rebelles ont réclamé une aide d’urgence de 5 milliards de dollars.

Ils réclament et c’est urgent!

Faut demander à Sarkö, les gars. Il va se faire un plaisir de vous les donner. Mais ne pas oublier que ça sortira de NOS poches, nous, les CONtribuables… On attend au moins des remerciements; ce serait sympa. Parce que nous, les Français, on se prend un plan de rigueur en pleine face depuis hier. Mais si c’est dans l’objectif d’une aide humanitaire, alors, ça change tout…

FDF

Aide « humanitaire »…

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La rébellion libyenne demande 5 milliards d’aide d’urgence !

La somme est à débloquer sur les avoirs gelés du pays, suivant la proposition américaine. Nicolas Sarkozy a annoncé que les «amis de la Libye» se réuniront à Paris le 1er septembre.

• Une aide d’urgence à débloquer sur les avoirs gelés de la Libye

De hauts responsables du Groupe du contact sur la Libye (États-Unis, France, Grande-Bretagne, Italie, Allemagne et Turquie) se sont réunis mercredi soir à Doha, à la demande du CNT, l’organe politique de la rébellion libyenne. A l’issue de cette réunion, les rebelles ont réclamé une aide d’urgence de 5 milliards de dollars. Le CNT avait initialement estimé ses besoins à 2,5 milliards de dollars. L’organe exécutif de la rébellion libyenne a demandé que cette somme soit débloquée sur les avoirs libyens gelés, comme le proposaient les Etats-Unis.

Le Conseil de sécurité de l’ONU s’est aussi réuni mercredi soir pour examiner la demande libyenne. Cette proposition a pour l’instant essuyé le refus de l’Afrique du Sud, qui souhaite que le Conseil de sécurité attende de savoir si l’Union africaine (UA) reconnaît ou non le CNT lors d’une réunion jeudi.

Ces avoirs ont été gelés le 26 février dernier par une résolution de l’ONU qui imposait des sanctions sévères à Mouammar Kadhafi et son entourage.

» L’après-guerre en Libye mobilise les Occidentaux

• Sarkozy reçoit le numéro 2 de la rébellion

Une conférence des «amis de la Libye» se tiendra le 1er septembre à Paris, a annoncé mercredi Nicolas Sarkozy. Le chef de l’État s’exprimait lors d’une conférence de presse suivant une rencontre avec Mahmoud Jibril, premier ministre du CNT.

«Nous avons décidé en plein accord avec David Cameron (premier ministre britannique, ndlr) de convoquer une grande conférence internationale pour aider la Libye libre de demain, pour bien montrer que nous passons à l’avenir», a déclaré Nicolas Sarkozy. Au-delà du seul groupe de contact, la réunion inclura la Chine, la Russie et l’Inde.

• Pas de forces spéciales françaises au sol

Nicolas Sarkozy a profité de la conférence de presse pour catégoriquement démentir les rumeurs faisant état d’un déploiement de militaires des forces spéciales françaises en Libye. «Nous avons des observateurs (…) mais il n’y a pas de forces spéciales», a insisté le chef de l’État sans donner plus de détails sur le statut de ces «observateurs». «Dans le cadre du mandat des Nations unies, nous ne déploierons pas de troupes au sol», a-t-il conclu. Des conseillers militaires français, dont le nombre a été évalué mercredi par l’état-major des armées à «quelques dizaines», se trouvent en revanche en Libye.

La France, a assuré Nicolas Sarkozy, est prête à poursuivre ses opérations militaires contre les forces militaires de Mouammar Kadhafi aussi longtemps que le CNT le jugera nécessaire. «À la minute où nos amis du CNT nous disent (…) ‘il n’y a plus de menace du camp Kafhafi contre le peuple libyen’, à cette minute-là, les opérations militaires de la coalition s’arrêtent», a-t-il déclaré.

• Journalistes : 2 Français blessés, 4 Italiens enlevés

À Tripoli, deux journalistes français ont été blessés par balles en marge des combats qui font rage depuis mardi autour du QG de Mouammar Kadhafi. Les deux reporters, désormais hors de danger, ont été soignés dans la capitale libyenne et devraient être rapatriés.

En outre, quatre journalistes italiens ont été enlevés mercredi matin près de Zawiyah, dans l’ouest du pays. Les reporters voyageaient en voiture vers Tripoli quand un groupe de combattants loyaux à Mouammar Kadhafi a arrêté leur véhicule et a tué leur chauffeur. Les quatre Italiens auraient alors été transférés dans une maison où l’un d’entre eux a été autorisé à appeler sa rédaction pour dire qu’ils se portaient bien.

Quant à la trentaine de journalistes étrangers qui étaient retenus depuis dimanche (voir les photos) à l’hôtel Rixos au centre de Tripoli, ils ont été relâchés mercredi après-midi. Empêchés de sortir depuis dimanche par les forces loyales à Mouammar Kadhafi, ils ont finalement pu se rendre à l’hôtel Corinthia, un autre établissement de la capitale libyenne.

• Combats nourris dans le quartier du QG de Kadhafi

Malgré la chute du QG de Kadhafi mardi, les combats se sont poursuivis mercredi à Tripoli. A midi, des affrontements nourris ont repris dans le quartier de Bab al-Aziziya. Une épaisse fumée s’élevait du secteur du complexe, où des tirs d’armes légères, de mitrailleuse lourde, de lance-roquettes et de mortiers ont été observés. Les violences se sont étendues au quartier voisin d’Abou Slim, l‘un des derniers fidèles au colonel, d’où les rebelles reculaient.

Des check-points ont été mis en place dans la capitale par la rébellion, qui a deux priorités : la prise d’Abou Slim et la sécurisation de la route d’accès à l’aéroport. L’aéroport de Tripoli a été, selon une journaliste de CNN, la cible de tirs abondants. Le commandant des rebelles en charge de ce secteur se demande si le colonel kadhafi est proche ou tenterait de fuir la capitale par cette route.

• Une récompense pour Kadhafi mort ou vif

Le mystère reste entier quant à la localisation du dirigeant libyen, dont les rebelles n’ont trouvé aucune trace dans son complexe de de Bab al-Aziziya. Les rebelles ont annoncé mercredi une récompense financière de 1,7 million de dollars (2 millions de dinars libyens) pour la tête du colonel, mort ou vif. Cette somme est proposée par des hommes d’affaires libyens et le Conseil national de transition (CNT) a indiqué soutenir cette initiative.

Le «Guide» a diffusé dans la nuit de mardi à mercredi deux messages audio. Le numéro deux du Conseil national de transition libyen, Mahmoud Jibril, a indiqué mercredi à Paris que la rébellion n’avait aucune «information confirmée» sur la localisation du colonel. «Ce serait une chose exemplaire que l’on puisse l’arrêter et le juger de façon équitable», a-t-il estimé. Quant à son éventuel jugement devant un tribunal libyen ou devant la justice internationale, c’est «une question que les juristes libyens vont devoir examiner et ils devront donner leur avis au CNT de façon à respecter les intérêts nationaux libyens», a-t-il poursuivi.

» La justice attend Kadhafi et sa famille


Des partisans des rebelles manifestent leur joie à Tripoli sur la place verte, rebaptisée place des martyrs.

• Des élections dans huit mois

Des élections législatives et présidentielle seront organisées en Libye dans huit mois, promet le CNT dans une interview au quotidien italien La Repubblica. «Nous voulons un gouvernement démocratique et une Constitution juste. Nous ne voulons plus être isolés du monde comme nous l’avons été jusqu’à maintenant».

• Un lourd bilan humain

La bataille de Tripoli a coûté cher en vies humaines : selon le CNT les combats ont fait au moins 400 morts et 2000 blessés dans la capitale libyenne. Près de 600 soldats pro-Kadhafi ont été capturés.

Source: http://www.lefigaro.fr/

16/06/2011

Bernard-Henri Lévy et la diplomatie, c’est pas trop ça…

Un nouveau messie nous est né. Mais apparemment, il a encore besoin de « formation »… On se demande pour qui il « travaille » BHL.

FDF

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Bernard-Henri Lévy a transmis à Benjamin Netanyahou un soi-disant message des rebelles libyens…

Reçu le 2 juin à Jérusalem par Benjamin Netanyahou, Bernard-Henri Lévy, – qui affirmait être porteur d’un « message verbal » du Conseil national de transition (CNT), organe politique de la rébellion libyenne -, avait indiqué au premier ministre israélien que le futur régime libyen aurait « le souci de la justice pour les Palestiniens et de la sécurité pour Israël » et qu’il entretiendrait des « relations normales » avec l’Etat hébreu.

Il a été fermement démenti deux jours plus tard par le président du CNT.

Après avoir rappelé que son organisation était membre de la Ligue arabe, Moustapha Abdeljalil a nié avoir chargé BHL de transmettre un message à Netanyahou et affirmé qu’il ne lui avait jamais fait part de son intention d’établir des relations avec Israël.

Source: http://tempsreel.nouvelobs.com/