Francaisdefrance's Blog

06/03/2012

Les banlieues: le problème absent dans la campagne électorale… Et pourtant.

Oui; et pourtant… Que de problèmes partent de là… On préfère ignorer ce qui s’y passe? Mais tout le monde le sait. Mais c’est un sujet « hypersensible » qui ferait ressurgir la relation entre la racaille, la délinquance et l’islamisation… Donc, on évite. Quel courage…

FDF

.


Que c’est étrange : le problème des banlieues pourtant significatif est le grand absent de la campagne des présidentielle 2012.

Tout se passe comme si les candidats ou présumés tels avaient la crainte de parler du brasier, de peur qu’il ne s’allume tout seul. Parler des banlieues c’est, à l’évidence, évoquer seulement celles qui ont des problèmes et non les plus paisibles.

Huit millions de personnes vivent dans cinq cent villes ou quartiers échappant à l’autorité de l’État. Cela signifie que, dans le pire des cas, la police ne peut jamais y pénétrer sauf avec des effectifs considérables, médecins et pompiers idem, pharmacies fermées, boutiques en déshérence. Évidemment ce terrifiant tableau varie selon les lieux et dans chaque lieu selon les moments ou les périodes. Il y a la banlieue dont les trafiquants sont les propriétaires et qui se gère totalement comme un territoire indépendant, en passant, au besoin, des « traités » pour le partage de zones avec d’autres territoires ; à côté peuvent exister des quartiers simplement tristounets…. .

Vivre dans la paix, n’importe où, reste l’un des services majeurs que les habitants d’un pays doivent exiger et obtenir de l’État; or dans ces banlieues les habitants vivent baignés dans une sorte de guerre larvée, ceci hormis le groupe des trafiquants qui se réjouissent du désordre et prolifèrent avec lui. Comme existent d’autres zones de non-droit telles que les lignes de RER des environs de Paris ; la vie de milliers de personnes y est gâchée par l’impossibilité de monter tranquillement dans un train bien ! Mais attardons nous dans le sujet des banlieues.

L’HISTORIQUE
L’histoire est compliquée et très ancienne. En 2005, les banlieues s’étaient enflammées ; quelques années avant, la place de la Bastille avait été détruite par une armée de mille malandrins parfaitement entraînés et dirigés.

Tous les gouvernements, qu’ils soient de la vraie gauche ou de la fausse droite, ont allumé ou attisé le feu, comme des pyromanes, tout en jouant les pompiers avec de l’argent dilapidé sans contrôle. L’appel lancé jusqu’au fond de l’Afrique pour attirer toute la misère du monde fut puissant et n’est pas près de s’éteindre. La folie du logement social en croissance permanente et jamais suffisante y aide. Le manque d’argent d’un État toujours impécunieux interdit toute solution comme, par exemple, l’accroissement de la présence policière. La calamité grandit et s’enroule sur elle-même : en témoigne l’échec des politiques de la ville successives qui engloutissent en pure perte de l’argent qui n’existe pas et aggrave à son tour le manque dramatique de moyens financiers. Le prétexte de l’anti-racisme empêche de tenir des statistiques et de prendre ainsi les solutions adéquates. Concernant l’immigration, les politiques se sont enfermés dans le politiquement correct qu’ils ont eux-mêmes créée.

Malgré cette omerta officielle, la police commence timidement à avouer que l’islamisation rapide de la société aggrave les problèmes en créant des territoires ne cherchant pas à s’intégrer ; elle se garde, au nom du politiquement correct, de dire que le refus des traditions chrétiennes historiques de la France, toujours valables même si tout le monde n’en n’a pas conscience, forme un obstacle insurmontable. S’y ajoute le problème des bandes qui, au nombre de 300 recensées par la police, manipulent des armes de guerre : elles sont comme des armées étrangères campant au milieu du territoire national, images lointaines des grandes compagnies ravageant naguère le territoire !

Dans ces banlieues, le chômage, déjà dramatique ailleurs, est pratiquement doublé. Bien sûr la drogue règne ; A quoi peut rêver un jeune désœuvré et inadapté à l’école, qui gagne facilement sa vie à faire le guet ? Tout simplement à devenir lui-même dealer et à rouler à son tour dans des voitures de luxe. Droit de vote ? Pourquoi l’exercer dès lors qu’une sorte de zone d’exclusion existe. Le résultat est que le nombre de non inscrits sur les listes électorales est le double de ce qu’il est ailleurs et qu’il y a davantage d’abstentions dans ces territoires.

QUE FAIRE ?
Certes, l’urgence absolue serait de résoudre les grands problèmes de la société française comme le chômage, la paupérisation, l’illettrisme, le désordre de la justice. Ces problèmes bouchent l’horizon ; ils expliquent le quasi silence de la campagne présidentielle sur le sujet, personne ne sachant vraiment comment faire et les candidats principaux craignant à juste titre de se trouver confrontés à leurs propres turpitudes.

En espérant cette urgence en forme de rêve qu’y aurait-il à imaginer ?

La situation, compte tenu de l’historique, n’est pas facile à appréhender car elle est extrêmement variable. Le trait dominant est la véritable « sécession » de ces territoires, d’où la nécessité d’une « reconquista ». Ce terme est justifié car à des siècles de distance il y a des ressemblances significatives.

Faire des opérations « coups de poing » ? Les dirigeants de la police sont sceptiques. Une opération de ce type ne déstabilise la fourmilière que pendant une demi-journée et les dealers reviennent à nouveau. Ne pas oublier également que, quand la police fait son travail, la justice ne suit pas ; en France, chaque année 90 000 décisions de justice ne sont pas exécutées !

Frapper les dealers au portefeuille ? Ce serait la voie royale ; les moyens et les renseignements existent selon les syndicats de policiers eux-mêmes : ces dealers iraient tout simplement exercer leurs activités dans d’autres pays. Il est surprenant que, sauf quelques timides tentatives, cette méthode n’ait pas eu lieu à grande échelle et cela conduit à imaginer d’étranges complicités éventuelles !

Quelle que soit la stratégie imaginée, il y aurait une règle absolue : pas de « coups de poing », mais reconquête morceau par morceau ; un territoire reconquis ne devant plus jamais être abandonné.

MICHEL DE PONCINS.

Source: Tocqueville Magazine

22/02/2012

Camera cachée en Seine St Denis, Sarkozy vous a berné, Hollande reste aveugle…

Un reportage stupéfiant (pas fait exprès, là…) qui ne laisse aucune équivoque sur les bienfaits de l’immigration. Vous l’avez déjà certainement vu mais il est bon de se souvenir de quoi nous somme entourés; surtout en ces périodes pré-électorales…

FDF

Photo d’illustration…

.

.

20/01/2012

Le rugby, c’est trop français…

Mourad Boudjellal critique le rugby mais il y joue. Pourtant, il n’a pas besoin de ça pour gagner sa vie…

Drôle de gaillard.

FDF

.

Boudjellal : «Un sport réactionnaire»

Depuis plus d’une semaine, la polémique entre Mourad Boudjellal et la Ligue de rugby ne cesse d’enfler.

Tout est parti des mots du président du RCT après la défaite à Clermont, la fameuse «sodomie arbitrale». Pour cet écart de langage, il a été convoqué devant la commission de discipline de la LNR, le 25 janvier.

Dans L’Equipe de lundi, Boudjellal explique ce qui se cache derrière ses provocations à répétition.

«J’ai un problème avec le monde du rugby : quand j’emploie les mots «sodomie arbitrale», on dit que je porte atteinte à l’intérêt supérieur du rugby français, explique-t-il. Le rugby est un sport réactionnaire qui doit évoluer.

Et Pierre-Yves Revol montre ses limites culturelles quand il pense que cette phrase va contre l’intérêt supérieur du rugby français. J’ai été plus choqué il y a quelques années, à la Nuit du rugby, par une blague totalement homophobe de Fabien Pelous qui faisait rigoler tout le monde sauf moi et quelques-uns…»

«Il ne faut pas s’étonner que ce sport ne joue pas son rôle sociétal, il se cantonne dans ses vieilles valeurs…, ajoute-t-il encore.

Va parler dans les cités, aux jeunes beurs, aux blacks : pour eux, le rugby est un sport de bourges.

Ici, à Toulon, on y arrive doucement grâce au RCT, on va dans les cités. Avant, les gamins portaient le maillot de l’OM. Je veux que ce sport intelligent sorte du rugby franchouillard.

Je regrette la répartie du milieu de la BD. Ce n’est pas parce qu’on est choqué en raison d’une culture vieille France qu’on doit penser détenir la vérité.

Je n’ai pas de souci avec Pierre-Yves Revol. Je ne dis pas que ma culture est supérieure à la sienne, elle est différente.»

Malgré ses différends, le président du RCT n’entend pas se retirer du rugby professionnel et vendre son club. Tout du moins pas encore : «Non, je ne veux pas faire de plus-value. Ce que je veux, c’est gagner. Et m’en aller. Mais pour gagner, il faut que les règles soient équitables. Il y a deux ans, on a peut-être perdu un titre de champion de France. Je l’ai en travers.

La même année, le Racing a sûrement perdu une demi-finale et peut-être un titre. A Clermont, il y a huit jours, on a peut-être manqué l’occasion d’être deuxièmes et d’éviter les barrages.

Ce n’est pas de la parano, mais une réalité.» Et, conscient qu’il pourrait être radié par la Ligue, Boudjellal prend les choses avec philosophie : «Je laisse les choses se faire. Si on me vire , je partirai.»

Source: JPSS via l’équipe.fr

12/01/2012

Provocation venue des banlieues…

Souhaitons que cette vidéo impressionnante apportera un plus à nos forces de l’ordre affiliées à la lutte contre la délinquance…

FDF

.

http://www.gamaniak.com/video-6325-comment-voler-voiture.html

Merci à Babette….

07/12/2011

La course à l’armement est ouverte dans les cités…

Saloperies de racailles !

Mais envoyez la Légion !!!

FDF

.

Jusqu’où ira-t-on?  « Ce matériel provient d’anciens arsenaux d’Europe balkanique où il abondait. La marchandise circule très vite aujourd’hui et nos frontières sont poreuses.Pour contrer cette prolifération il faudrait de l’enquête longue, des moyens humains et financiers que l’on nous ôte. Il existait autrefois chez nous un Office central de contrôle des armes. On l’a dissous et parallèlement on diminue les effectifs de policiers, de gendarmes, de douaniers.               
Qui sont ces nouveaux voyous ?
« De très jeunes gens, souvent, qui ne mesurent pas la dangerosité de ces armes de guerre.« 

Les frontières sont poreuses, la marchandise circule vite  »

Yannick Danio est le délégué national du syndicat Unité Police/SGP/FO. –
La course à l’armement est ouverte dans les cités, un rapport de la Police le confirme. Jusqu’où ira-t-on ?
« C’est toute la question. Le rapport que vous évoquez est éloquent et inquiétant. Il corrobore le témoignage quotidien des brigades anticriminalité qui, à l’occasion de fouilles de véhicules par exemple, saisissent des gilets militaires pare-éclats et des armes automatiques militaires. Ce matériel provient d’anciens arsenaux d’Europe balkanique où il abondait. La marchandise circule très vite aujourd’hui et nos frontières sont poreuses. Pour contrer cette prolifération il faudrait de l’enquête longue, des moyens humains et financiers que l’on nous ôte. Il existait autrefois chez nous un Office central de contrôle des armes. On l’a dissous et parallèlement on diminue les effectifs de policiers, de gendarmes, de douaniers. Bilan, lorsque l’on se retrouve en première ligne, cela vire à la tragédie »
Qui sont ces nouveaux voyous ?
« De très jeunes gens, souvent, qui ne mesurent pas la dangerosité de ces armes de guerre. Ils les utilisent au maximum tout de suite, sans discernement ni dosage, au point de se tuer entre eux. Un peu à la manière des jeux vidéo. Sauf que, lorsque vous êtes touché, vous ne vous relevez pas. Ce type de matériel impose un apprentissage. Eux s’en passent. Lorsqu’ils tirent, c’est en rafale et à hauteur des zones vitales ou des pare-brise des véhicules. En entraînement police nous apprenons tout le contraire, c’est peut-être le problème d’ailleurs. »

C’est-à-dire ?
« Nous tirons au coup par coup et dans le tronc, jamais dans la tête. Confrontés à ce type de violences certains de nos collègues étrangers, les Américains notamment, pratiquent la riposte graduée et à proportion. Première balle dans le tronc, deuxième plus haut. Nous ne sommes plus au même niveau. »
Quoi faire ? Rehausser vos équipements d’un cran ?
« La question peut se poser. Dans l’immédiat, il serait bienvenu de nous équiper de gilets efficaces. Ceux dont nous disposons favorisent l’éclatement des projectiles et aggravent les blessures après impact. »
Propos recueillis
par Denis Daumin
Source:  http://www.lanouvellerepublique.fr/

16/08/2011

Pourquoi tant de haine ? Pourquoi ?

Pourquoi lui plutôt qu’un autre? Discrimination? Racisme? Rien de tout ça; lui, il s’est fait « piquer ». Mais pas d’inquiétude: le trafic continue avec les « cousins »…

FDF

.

Photo d’illustration.

Un « Toulousain » de 28 ans, amateur de belles berlines, a été condamné à 2 ans de prison après la découverte de 1,4 kilos de cannabis dans sa voiture, aux Pradettes.

Quelle est l’ampleur des différents trafics de drogue dans les cités toulousaines ? Difficile de le savoir mais les multiplications, ces derniers mois, des saisies de résine de cannabis montrent bien que le marché est très actif. La drogue ne fait pas que remonter depuis le Maroc. Elle circule aussi de cités en cités, faisant prospérer une économie souterraine difficilement quantifiable. Police et gendarmerie luttent au quotidien et lors de contrôles, ils arrivent parfois à déstabiliser des échanges ou une organisation.

Déjà condamné

Dernièrement, au volant de sa rapide Audi RS, un conducteur de 28 ans est interpellé par les policiers de la compagnie de sécurisation et d’intervention, non loin des Pradettes, à Toulouse. Dans l’habitacle, les fonctionnaires découvrent un sac contenant 1, 4 kilos de résine de cannabis. Vendredi, ce père de famille, Abdelhakim Derqaoui, s’est expliqué devant le tribunal correctionnel sur la présence de cette marchandise. Déjà condamné en 2009 pour trafic de produits stupéfiants, le prévenu livre une version lapidaire. « Je devais la transporter du quartier d’Empalot à la Reynerie. » Rien de plus. Un simple convoyeur, étranger à toute organisation en somme. Sauf que le profil de cet homme qui travaille dans la sécurité ne colle pas. Habitué à rouler en voiture de luxe, il ne lésine pas à louer pour 2000€ la journée des BMW ou des Porsche Cayenne. Il y a trois ans, la justice l’avait condamné pour des convois de drogue répétés entre le Maroc et Toulouse. Des voyages au cours desquels, le cannabis remontait par 30 kilos. Il avait bénéficié d’une liberté conditionnelle. Lors de l’audience, le procureur requiert une lourde peine de 4 ans de prison. L’avocat du prévenu, Me Parra Bruguière se jette dans la bataille. « Il a été rattrapé par son passé. Mais aujourd’hui, cet homme essaie de s’en sortir. Il a retrouvé une activité professionnelle. » Derqaoui a été finalement condamné à 2 ans de prison.

Source: http://www.ladepeche.fr/

20/07/2011

Communiqué de Presse de Stéphane RAVIER, Conseiller régional de PACA.

Pillé à Gérard Brazon, avant qu’il ne tombe sous les balles de la coalition islamo-socialiste… Mais non, j’rigole, Gérard…
FDF

.


Parce que cet article est en plein dans la réalité, le vécu des citoyens français, dans la peur que vivent en permanence des français de souche ou non dans les cités de France, dans le 93, le 33, le 83 ou Marseille. La peur qui s’installe et à laquelle personne ne répond hormis par des discours lénifiant et droits-de-l’hommiste si ce n’est celui du vivre ensemble alors même que les tyrans des cités se payent sur la bête.
Gérard Brazon
*******************************
Braquage d’un restaurant à Marseille. Les salauds ne sont pas seulement ceux que l’on croit !
« On croyait avoir tout vu, tout entendu à Marseille. Des boulangers et des pompistes assassinés pour une poignée d’euros, des vieilles dames jetées à terre pour un collier en or, des trains attaqués comme au Far West, des touristes dévalisés en pleine rue, des joueurs de foot braqués à domicile les uns après les autres…
Mais à  Marseille, depuis quelques années, le pire est toujours à venir. Et l’on a beau savoir que, face à une police aux effectifs rachitiques, la délinquance ordinaire est désormais sans foi ni loi, ni scrupule, ni conscience, on est toujours stupéfait lorsqu’un cran supplémentaire est franchi dans la barbarie.
Cette fois, c’est à l’Estaque, le village des panisses, des chichis frégis et des scènes d’amour de Plus Belle La Vie que les salauds ont frappé.
« Les salauds »: c’est le mot qui vient à l’esprit, lorsqu’on imagine la terreur de ce gamin de 8 ans, pris en otage, pistolet pointé dans le dos. Un petit garçon qui, quelques minutes plus tôt, savourait encore l’insouciance de l’enfance, en finissant son dessert, au Cabanon de l’Estaque (…)
Ce qui est sûr c’est que désormais à Marseille, aller dîner au resto le samedi soir, comme
porter un bijou en or, ou téléphoner dans la rue, n’est pas sans danger. Et l’on n’ose imaginer quelle prochaine ignominie nous réserve la chronique des faits divers. »
Le texte ci-dessus je vous le confesse n’est pas de Stéphane RAVIER, ni de Marine LE PEN. Avouons que les termes utilisés pour dénoncer la dernière ignominie commise par des salauds qui franchissent un cran supplémentaire dans la barbarie dans une ville aux effectifs de police rachitiques et  le pire est toujours à venirpouvaient laisser à penser qu’il s’agissait bien d’un communiqué d’un représentant du Front National.
Il n’en est rien, ce communiqué de presse n’en est pas un ; il s’agit en réalité de l’extrait d’un article de presse trouvé dans le quotidien  la Provence du jour et qui relate le braquage d’un restaurant dans le quartier de l’Estaque à Marseille. 

La journaliste on le voit, « se lâche » comme on dit aujourd’hui. Elle ne se contente plus en effet de rapporter de façon laconique un énième fait divers car celui-là, elle l’a pris en pleine figure ! Elle est touchée, blessée, horrifiée. Dès lors, ce n’est plus, ou plus seulement la journaliste qui écrit, c’est assurément la femme, peut-être la mère.
Les mots sont durs, directs, percutants, et terriblement nouveaux sous la plume d’une journaliste du très politiquement correct quotidien de l’UMPS.
A cette femme, à cette mère, et à cette journaliste, je veux dire, je veux rappeler, que les « salauds » ne sont pas, pas seulement, ces deux pourritures qui ont commis cette acte odieux.Les vrais salauds, les premiers, sont ceux et celles qui pendant des années ont nié, et continuent de nier la réalité de l’insécurité-barbarie « pour ne pas faire le jeu du Front National »
Les salauds, ce sont celles et ceux qui, du haut du fronton de leur Mairie, du sommet de leur baronnie départementale ou régionale, du haut de leur hémicycle prétendument républicain, ont clamé et clament encore, que l’insécurité n’est qu’un sentiment, qu’un fonds de commerce électoral,  et que le vrai problème se situerait ailleurs.
Alors, à cette journaliste, à cette femme, ainsi qu’à toutes les femmes de Marseille et de France, je lance un appel au réveil des consciences précédent l’action salvatrice. Le temps est venu de permettre à une femme d’agir pour que nos enfants ne risquent plus leur vie en  sortant de l’école, en traversant la rue, ou en accompagnant leurs parents au restaurant.
Il est encore possible de s’arracher à cette spirale de l’ultra-violence, à cette « barbarie » en portant Marine LE PEN à l’Elysée pour qu’enfin la peur change de camp et que la tolérance zéro foudroie tous les salauds, qu’ils soient à capuche ou à cocarde !
Stéphane Ravier
Source: http://puteaux-libre.over-blog.com/

11/06/2011

La dure vie des « jeunes » de banlieue…

La Société ne leur a pas donné leur chance. Ils sont rejetés. C’est pour ça qu’ils ont la haine de la France et des Français qui sont mieux nantis qu’eux. On peut les comprendre. Leur discours tient la route. On les a entassés dans des cages à lapin. Il faut comprendre leur révolte. J’ai honte d’être Français…
FDF

.

Témoignage poignant: banlieue__

20/04/2011

Le coran autorise de violer sa femme… Belle « religion »…

Et concernant les « tournantes », dans les « cités défavorisées », il n’en parle pas, le coran?

FDF

.

En vertu d’un verset célèbre du coran :

« Vos femmes sont pour vous un champ de labour : allez à votre champ, comme vous le voudrez ». (coran 2:223)

Si elles désobéissent, l’homme a le droit de la frapper en toute légitimité.

sourate 4:34. Les hommes ont autorité sur les femmes, en raison des faveurs qu’Allah accorde à ceux-là sur celles-ci, et aussi à cause des dépenses qu’ils font de leurs bien. Les femmes vertueuses sont obéissantes (à leurs maris), et protègent ce qui doit être protégé, pendant l’absence de leurs époux, avec la protection d’Allah. Et quant à celles dont vous craignez la désobéissance, exhortez-les, éloignez-vous d’elles dans leurs lits et frappez-les. Si elles arrivent à vous obéir, alors ne cherchez plus de voie contre elles, car Allah est certes, Haut et Grand !

C’est ainsi que dans les rues d’Alger les hommes frappent leur femme sans que la police interviennent ; De manière générale, « violer sa femme » ou « frapper sa femme » est une tradition islamique bien intégré dans les pays musulmans, cela n’est pas puni par la charia

Selon la charia [loi islamique], frapper sa femme n’est pas un péché [car ordre d’Allah], en revanche ne pas la frapper en est un.

La vie du prophete crédite ces versets

Muslim (4:2127) – Mahomet frappa sa femme Aïcha, dans la poitrine un soir où elle avait quitté la maison sans sa permission. Aïcha raconte, « Il me frappa à la poitrine ce qui me causa une grande douleur ». texte complet ici :
http://www.usc.edu/schools/college/crcc … 4.smt.htmlBukhari (72:715) – Une femme vint voir Mahomet et le supplia d’ordonner à son mari d’arrêter de la battre. Sa peau était tellement meurtrie sous l’impact des coups qu’elle était décrite comme étant plus verte que le voile vert qu’elle portait. Mahomet ne réprima pas le mari, mais ordonna à la femme de retourner voir son mari et de se soumettre à ses désirs sexuels.
.

27/01/2011

La dhimmie du jour est…

Fabienne Keller !

Et pourtant, avec un joli minois comme le sien, qui l’aurait cru? Mais les faits sont là… Elle joue la carte de la repentance (besoin de « voix issues de l’immigration » pour les prochaines échéances électorales?). En outre, nul besoin de manuels d’histoire de l’Afrique et du Maghreb pour se souvenir qu’ils sont là, les « pauvres » immigrés. Ce sont eux qui peuplent majoritairement nos prisons et remplissent quotidiennement les colonnes « faits divers » de nos médias…

Madame Keller: avez vous eu connaissance des atrocités immondes commises par les Algériens envers les soldats Français, puis envers les Français restés là-bas, durant et après la guerre d’Algérie? Là aussi, il y aurait matière a faire vibrer la corde de la repentance…

FDF

.


Fabienne Keller veut un manuel d’histoire franco-africain au collège


Selon Aujourd’hui en France/Le Parisien de ce jour, la sénatrice UMP du Bas-Rhin, Fabienne Keller (photo), veut « créer un manuel d’histoire franco-africain » à destination des collégiens français. Pour l’ancienne maire de Strasbourg, il s’agira de mettre l’accent en banlieue sur le « travail de mémoire » et la « relation à la double culture » en faveur des adolescents d’Afrique noire et du Nord. Cette initiative devrait permettre donc de renforcer les « signes identitaires » que perçoit quand même la politicienne aujourd’hui, à travers « des drapeaux ou de tee-shirts aux couleurs de l’Algérie et du Mali », écrit Vincent Mongaillard, le journaliste qui avait dénoncé à la préfecture de Paris, la soupe de Solidarité des Français de la gare Montparnasse à Paris.

Ce manuel idéologique risquerait d’aligner les poncifs tiers-mondistes : culpabilisation de l’homme blanc européen à travers la stigmatisation de son passé colonial, afin de légitimer l’immigration de masse. Ou encore, pillage des ressources des pays africains, tirailleurs sénégalais chair à canon des Français, immigrés ayant reconstruit la France… Une propagande qui sera disséquée par l’historien Daniel Lefeuvre, dans le cadre d’une conférence présentée au Cercle Sainte-Geneviève, lundi prochain à 20 h, intitulée : « Pour en finir avec la repentance coloniale ». On ne sait toujours pas si Fabienne Keller y participera…

Source: Novopress.info, 2011

05/01/2011

Pour faciliter l’approche des maths dans les banlieues…

Excellent, ce PPS. Aucune raison que vous n’en profitiez pas…

FDF

.

 

Les math modernes peuvent encore évoluer …

… La preuve : (et pas par neuf ! Enfin si: millimètres…)

Lire: Mathsdesbanlieues

03/01/2011

Saint Sylvestre: 500 interpellations et 117 véhicules incendiés …

Allez; cette année, on multiplie par combien, pour avoir les chiffres exacts? Un nombre à deux chiffres, au moins… Ben oui: 2011 est l’année des augmentations; et pas des salaires… Ca commence fort. Dans chaque « cité » et dans chaque banlieue, des exactions de barbarie gratuites ont eu lieu. Et on compte combien de cités et de banlieues en France?

FDF

.

 

Brice Hortefeux avait pourtant annoncé qu’aucun bilan des véhicules incendiés ne serait communiqué.

http://www.lepost.fr/article/2011/01/01/2356472_500-interpellations-la-nuit-de-la-saint-sylvestre-et-le-nombre-de-voiture-brulees.html

16/12/2010

La « politique de la ville »…

Faut arrêter de nous prendre QUE pour des cons…

FDF

.

« Il faut partir d’ici le plus vite possible ! » hurlent les commerçants des banlieues.

Fini de rire…

Non seulement ils occupent nos rues mais ils nous chassent de chez nous. On ne va tout de même pas se laisser faire, si? Alors que la résistance s’amplifie! Réveillez-vous !

FDF

.




Banlieues de l’immigration : l’exil forcé des commerçants continue…


Exercer normalement une activité commerciale dans l’une des zones de non-droit que sont devenus les banlieues de l’immigration est désormais devenu impossible.

Ainsi, à Thiais (Val-de-Marne), après les départs de la boucherie, du pressing, de l’auto-école, du magasin Franprix, c’est au tour des  boulangers, victimes d’un braquage à main armée, de chercher à quitter le quartier des Grands-Champs. « Il faut partir d’ici le plus vite possible ! » est désormais le cri de ces artisans lassés de vivre dans la peur et la violence.

Cela fait huit ans que la famille Chariot tient la boulangerie du quartier des Grands-Champs dont elle a pu observer la progressive dégradation.

Aujourd’hui, seule la boulangerie et la pharmacie voisine survivent malgré un chiffre d’affaires en baisse, au milieu des stores baissés et des grues de chantier dans ce quartier de 2000 habitants.

Les derniers commerçants n’ont pas d’autre but que de quitter ce cauchemar. Mais à quel prix ? Car dans un tel contexte les repreneurs ne se bousculent pas ou proposent des prix dérisoires.
Une vie de travail et un patrimoine se voient ainsi sacrifié sur l’autel de l’impunité des bandes ethniques.


Source: Novopress.info

02/12/2010

Délinquance: comment éradiquer la plupart des viols…

Tout simple, mais encore fallait il y penser. Nos femmes sont formidables…

FDF

.

Sans commentaires. Je vous re-détaille les chiffres de la population carcérale?

15/11/2010

Agressions de médecins: l’impensable ne l’est plus.

LA SOLUTION: les laisser crever dans leur coin. On ne touche pas au corps médical. Mais ça, les sous-merdes ne l’ont pas compris. C’est comme leur attitude envers la Police et les pompiers. Impardonnable! On pourrait armer les médecins? C’est interdit? Ah bon. C’est interdit de les agresser, aussi… Bon courage à vous, médecins. Vous avez prêté serment? Faites votre travail. On se charge d’en faire connaître les désagrément issus de toujours la même catégorie de « personnes »…

FDF

.

Agressions : malaise chez les médecins.

Après la séquestration d’une de leurs consœurs lors d’une intervention d’urgence, les médecins tirent la sonnette d’alarme. Le Conseil de l’Ordre départemental convoque, jeudi à Toulouse, une réunion de crise avec l’ensemble de la profession et les autorités locales compétentes.

De plus en plus victimes d’incivilités, de provocations, de vandalisme ou d’agressions, les médecins sont en état de choc. Envoyée en urgence chez une personne souffrant de troubles psychologiques, une praticienne a été dernièrement séquestrée pendant plusieurs heures. L’incident s’est produit dans l’appartement d’un patient qui avait appelé le 15 à Toulouse. À cela s’ajoutent des difficultés à exercer dans des quartiers difficiles. Lors de visites à domicile, des médecins sont obligés d’avoir recours à l’escorte des familles pour soigner les malades où à rebrousser chemin. Certains ne veulent plus se rendre dans des zones où ils ne sont plus en sécurité.

Le Conseil de l’Ordre se mobilise

« Cela fait un moment que les signalements d’agressions de médecins sont de plus en plus fréquents », constate le Dr Thévenot, président du Conseil départemental de l’Ordre des médecins. « J’ai demandé à chacun d’indiquer les difficultés qu’ils rencontrent en visite et en cabinet. Les réactions arrivent et marquent une évolution vers la sortie du mutisme. Bien souvent les médecins ne racontaient pas les problèmes qu’ils rencontraient, notamment, en visite où il n’y a aucun cadre sécurisé. Notre consœur qui a été séquestrée par un malade psychiatrique est choquée. Elle ne veut plus faire de garde. Les médecins ne veulent pas se lever en pleine nuit pour se faire agresser. Nous ne souhaitons pas montrer du doigt un endroit plus qu’un autre car notre consœur a eu ces problèmes dans un quartier qui n’est pas réputé pour sa violence. Nous souhaitons que les gens puissent être soignés partout. La féminisation de la profession nous pousse aussi à chercher des solutions pour que nos collègues femmes ne soient pas en situation de risque avec moins de ressources physiques pour se défendre. Faut-il envoyer des ambulances et conduire les malades dans des centres médicalisés ? Une réunion sur les problèmes d’insécurité des médecins a eu lieu en juin dernier à la préfecture et elle n’a débouché sur rien malgré les plaintes répétées ».

Le Dr Thévenot réunira donc, jeudi, ses collègues en invitant les représentants locaux de la police, de la mairie et de la préfecture à se joindre à eux.


Les syndicats veulent des moyens

« Personnellement, je ne me rendrai pas à la réunion de jeudi », indique le Dr Pozzobon, secrétaire départemental du syndicat de médecins MGFrance. « Nous avons déjà eu une réunion à la préfecture et personne ne veut mettre la main à la poche pour régler le problème. Nous demandons, soit de fournir un véhicule et un accompagnant au médecin pour les visites de nuit, soit le transfert du patient dans une maison médicale. Je vais envoyer un courrier au Dr Thévenot pour lui indiquer que je soutiens sa démarche et qu’il a raison d’insister même si je n’y crois pas. J’espère bien sûr me tromper ».


« Notre vigilance est accrue »

SOS Médecins qui intervient principalement en zone franche urbaine avoue être en « état de vigilance accrue et permanente ». Pour son président, le Dr Chaugne, le dilemme correspond à la volonté de « pouvoir soigner tout le monde, dans tous les quartiers, sans prise de risque pour les médecins ». « Dès qu’un collègue a un sentiment d’insécurité, il est en légitimité de partir, en ayant prévenu le patient et organisé sa prise en charge par les services publics. Bien souvent, nous pouvons intervenir grâce à l’aide des familles. Mais les problèmes rencontrés n’ont pas lieu que dans des zones sensibles. La nuit, la vigilance concerne tous les endroits. Nous sommes en alerte davantage par rapport aux circonstances qu’aux quartiers d’interventions. Ce qui est important aussi c’est que la structure qui envoie un médecin en intervention soit vigilante. Dès que nous ne parvenons plus à joindre un collègue, nous lançons un dispositif. Le meilleur service que l’on puisse nous rendre est la bonne indication des rues et des bâtiments afin de ne pas avoir à chercher. Le fait que les lieux soient bien éclairés est important aussi ».

Source: http://www.ladepeche.fr

23/10/2010

Lettre ouverte aux « P’tites Racailles des cités » qui font peur à la France !

Ca, c’est envoyé! Et bien « tourné ». Le malheur est que ce genre de prose, la racaille crache dessus… Et sur la France; c’est devenu une habitude. Dommage; c’était une « main tendue ». Qui sera inéluctablement amputée…

FDF

.

« Tu te diras sûrement qu’une virée sur le bitume pour manifester contre la réforme des retraites est une aubaine toi, « P’tite Racaille » de la cité. C’est enfin là que tu vas pouvoir mettre un bon souk teinté de casse, d’agressions, la capuche sur la tête et le visage emmitouflé dans une écharpe bien large. De l’avis général, tu ne peux te comporter que de la sorte car tu n’as « pas de cerveau, pas de savoirs, pas de connaissances, pas de conscience politique et encore moins de désir d’avenir ou de solidarité pour tes aînés et tes compatriotes ». Ce qui t’intéresse, c’est le bordel et rien d’autre. C’est évident ! C’est ce que disent de toi tous les citoyens qui t’observent derrière leur TV ou qui manifestent dans la rue. Tu fais peur ! Ca te fait plaisir ?

Tu as raison, c’est exactement ce qu’attendent de toi les guetteurs de l’extrême droite soutenus par un bataillon de militant UMP qui se frottent les mains en cachette. Ils vont pouvoir affirmer sans mentir qu’ils ne vivent pas dans un sentiment d’insécurité mais dans une terreur réelle.

Si ton entrée dans le mouvement de protestation est motivée par un désir de partager avec d’autres ta crainte de l’avenir que promet la réforme des retraites, si tu veux manifester ta souffrance actuelle et celle des jeunes de banlieue relégués au second plan de la citoyenneté, alors, oui, tu as toute la légitimité et un intérêt à être dans la rue.

Il y a des combats qui doivent rassembler toute la jeunesse qui est unie par deux points communs : son âge et l’avenir qu’elle incarne. Toi qui te caches derrière ta cagoule, bas les masques et fais entendre ta voix. En France, dans ce pays qui est le Notre, elle vaut la mienne et celle de tout un chacun.

Alors s’il te plait, ne tue pas, par des écarts contre productifs, le combat de tes parents, grands parents et toute une génération, de ma génération qui mouille la chemise et monte au front régulièrement pour gagner la République du respect partout et pour tous ! Et nous sommes encore là, présents, en hommage à nos parents, pour nos enfants, pour que la France, notre pays, accepte, assume, s’honore de ces nouveaux visages qui font la France et se regroupent sous un même drapeau, la même Nation avec dans la poche aussi, la même pièce d’identité.

Ce n’est pas acceptable de te voir l’artisan de ta propre exclusion même si en face, je sais trop combien il faut être fort, puissant dans la sagesse pour essuyer humiliations et autres injustices vécues quotidiennement.

Saisis-toi des mots, de la plume et d’organisations intelligentes pour exiger que reculent les inégalités, les injustices, la ségrégation territoriale, le mal logement, le chômage et la discrimination.

Pour se remplir les poches, il faut d’abord se remplir la tête ; ce n’est pas toujours vrai, je te l’accorde mais Savoir permet d’échanger, d’argumenter, de proposer, de négocier et aussi de se faire respecter. Savoir t’aidera à transmettre, à produire des idées, dire des opinions et faire partager ce que tu as envie de partager.

Si tu profites de la mobilisation pour régler tes comptes, tu prends le risque de faire encore une fois reculer tout le travail de nombreux citoyens, militants, femmes et hommes politiques pour que la situation dans les banlieues prenne une tournure plus digne dans notre société. Parce que oui, il existe dans la classe politique, dans les institutions, dans les associations, dans les médias des femmes et des hommes qui te respectent, qui te reconnaissent la qualité de citoyen à part entière et qui se battent pour que là où ils sont, leur voix, leur protestation profitent à de meilleures conditions de vie pour toi.

Je n’ai pas envie que l’on m’apporte chaque fois les preuves de tes actes en m’expliquant que tu n’es qu’une racaille, un barbare qu’il faut renvoyer dans le pays d’origine des parents ou encore enfermer dans des prisons.

Je crois en toi car quand je te parle en face à face ou avec tes copains, tu sais écouter, tu sais entendre et ton visage montre à chaque fois le décalage entre ton désir d’avenir et ton l’impuissance d’y parvenir seul.

Le système Français, c’est aussi Toi, Nous, Les Citoyens, Moi et tous ceux qui vivent dans ce pays. Il ne peut pas évoluer, progresser, s’améliorer si nous n’utilisons pas ensemble, collectivement les mêmes méthodes : la démocratie, la liberté d’expression, le respect des règles etc.…

Alors, en ces temps où tous les Français s’interrogent sur leur avenir, rejettent des réformes injustes, subissent le chômage, il n’y a aucune raison pour que toi, jeunes Français des cités, un peu démunis des clés que d’autres possèdent en grand nombre, tu ne sois pas de ces marches fréquentes qui rythment notre vie.

Tu y as toute ta place.

Mais maintenant regarde les répercussions que peut avoir un comportement comme le tien : des policiers, chargés de la protection des habitants, qui se retrouvent mêlés à des bavures impardonnables dans un Etat de Droit, qui battent des journalistes et tirent sur des lycéens ! La violence entraine la violence. Peut être est-ce là ton ambition ? Mais je te le dis, nous serions plus forts tous ensemble, unis dans une même ambition de faire bouger les lignes, de remettre les cités dans la voie du progrès et de la culture.

Je compte sur toi ! »

.

Pillé sur Le Post: http://tinyurl.com/23qs5z7

19/10/2010

« L’Etat se prépare à une guerre dans les cités » Fiction?

Je pense que c’est un livre à garder sous le coude… La guerre civile se prépare tous les jours dans les cités, dans les banlieues. La violence monte, nous en avons la preuve tous les jours. La « peur du gendarme » n’existe plus. J’évoque souvent, dans mes billets, la riposte avec l’aide de l’armée. Cela n’est plus du domaine de la fiction… Je pense que ce sera la solution et le seul moyen de répondre aux ravages du laxisme pratiqué jusqu’alors face à ces exactions essentiellement dues à des « chances pour la France »… Les associations qui les soutiennent sous le couvert du racisme vont devoir réfléchir, pour une fois…

FDF

.

Comment l’Etat se prépare à une guerre dans les banlieues..

Par David Servenay
 

Des pompiers éteignent une voiture en flammes, à Clichy-sous-Bois en novembre 2005 (Franck Prével/Reuters)

Dans « Opération banlieues », Hacène Belmessous évoque les risques d’une intervention militaire dans les cités. Entretien.

Depuis les émeutes de novembre 2005, l’Etat réfléchit sérieusement à faire intervenir l’armée dans les banlieues. Nicolas Sarkozy est pour, de nombreux officiers, notamment des gendarmes, sont contre. Ils le disent dans « Opération banlieues », un livre brûlot et très convaincant, signé du chercheur Hacène Belmessous. Un constat inquiétant, mais pas inéluctable. Interview et bonnes feuilles.

Rue89 : Quel est le point de départ de votre enquête ?

Hacène Belmessous : J’ai commencé par la politique de la ville, en me demandant : qu’est-ce qu’on vise à travers ces opérations de rénovation urbaine ? Pourquoi faut-il l’intervention d’un policier qui estime qu’il faut détruire telle barre et pas telle autre ? Pourquoi ces démolitions en masse ?

Avec le plan Borloo et la création de l’ANRU (Agence nationale pour la rénovation urbaine), on dresse le constat de la fin de la politique de la ville initiée en 1975, qui ne marche pas. L’idée, c’était donc de comprendre ce qui se passe à travers la rénovation urbaine.

Avez-vous eu des difficultés à faire parler les acteurs de ces opérations ?

En fait, c’était compliqué de faire parler les « civils », plus que les militaires, les gendarmes ou les policiers. Les gens sentent que ce qui se joue, ce n’est pas une opération de rénovation urbaine, mais une mainmise policière. Je n’imaginais pas que derrière le discours du « renouveau » (cf. la campagne de Sarkozy et le plan « Espoir banlieues »), la police joue un rôle si important dans le conditionnement du territoire.

Pourquoi les militaires expriment-ils aussi ouvertement leur désaccord à l’idée d’intervenir en cas d’émeutes dans les cités ?

Ils sentent que quelque chose est en train de leur échapper. Quelque chose qui va à l’encontre de leur républicanisme. Par exemple, certains médias ont pointé en 2008 le glissement vers le concept de « sécurité nationale » dans le Livre blanc de la Défense. Ce texte marque une rupture par rapport au passé, avec des dispositions inquiétantes :

  • le contrat « 10 000 hommes » qui prévoit la mise à disposition de 10 000 soldats en cas de crise interne : pour faire quoi ?
  • la création du conseil de défense et de sécurité nationale, sous l’autorité du président de la République.

Aujourd’hui, si on envoie la troupe en Afghanistan, il y a un débat parlementaire. Il ne se passe rien si on envoie la troupe dans les banlieues.

Si c’est le cas, que se passera-t-il ?

L’armée se surajoute, en soutien, pour faire non pas du maintien de l’ordre, mais de la pacification.

Vous employez ce terme à dessein…

Lisez ce que dit le commissaire divisionnaire Christian Hirsoil, directeur départemental adjoint de la Sécurité publique de Seine-et-Marne (voir les bonnes feuilles page suivante). Il parle de commandos qui s’engagent « en profondeur » dans le quartier pour faire de l’observation. On peut aussi poser une section d’assaut en haut d’un immeuble pour contrôler l’espace.

Il existe un rapport de la société Eurocrise, réalisé à la demande de la DAS (dDlégation pour les affaires stratégiques), qui passe en revue ces possibilités. Cela montre qu’ils y ont réfléchi. Mon livre dit que l’Etat se prépare à une guerre dans les cités, pas qu’il va la faire.

Dans les années 90, on était dans du maintien de l’ordre, aujourd’hui c’est de la pacification. A Grenoble, l’été dernier, c’est une opération de pacification. Il y a un basculement. Quand l’armée doit-elle intervenir ? Le passage à l’acte a besoin d’un facteur déclenchant. Quel est-il ? La mort de policiers pendant des émeutes.

Comment expliquez-vous que les policiers et gendarmes parlent si librement ?

Le ministère de l’Intérieur m’a donné toutes les autorisations que je demandais. La seule question à laquelle je n’ai pas eu de réponse est : des responsables de Tsahal, spécialisés dans la guérilla urbaine, sont-ils venus à Paris après les émeutes de 2005 pour enrichir la réflexion des Français ?

On dirait qu’il y a un vrai consensus autour de cet enjeu dans la classe politique, à droite comme à gauche ?

Parfaitement. C’est d’ailleurs dramatique. Quel est le faux dilemme ? Ou vous êtes pour cette politique sécuritaire ou vous êtes pour la guerre civile, qui renvoie à l’angélisme sécuritaire de la gauche. Mais en 2002, Valls et Dray abondent dans le sens de Sarkozy.

La vision de Nicolas Sarkozy est une vision néolibérale du territoire : on casse le collectif au profit du projet individuel. Vous prenez le parti du bon camp : c’est diabolique et cynique, car les gens n’ont aucun choix. Enfin, la gauche du gouvernement a décidé de faire l’impasse sur ces quartiers.

Pourquoi ?

Cela tient à l’échec de 2002, à l’échec d’une certaine gestion municipale de la gauche. Ils ont abandonné le combat politique au profit de la logique sécuritaire. Cette gauche a un électorat dont le seuil de tolérance a fortement baissé.

Il y a aussi l’évolution de la guerre des idées. Dans les années 90, on parlait de « lepénisation » des esprits. Aujourd’hui, le dogme du différentialisme l’a emporté. La banlieue est un « brasier qui sert le pouvoir » m’a dit quelqu’un qui travaille dans l’antiterrorisme. Alors que ces territoires ne revendiquent que l’égalité. C’est le symptôme d’une France en guerre contre elle-même.

Vous ne craignez pas de faire de la prophétie autoréalisatrice en disant cela ?

Non, je ne fais que décrire un climat et des dysfonctionnements. On l’oublie, mais là où il y a de la médiation sociale, il y a des résultats : moins de délinquance, etc.

Vous souhaitez ouvrir un débat avec ce livre ?

Mon vœu, c’est que la politique menée dans ces quartiers soit discutée dans son ensemble, sur le plan urbain comme sur le plan de la sécurité. Sarkozy pense que la France crève de ses banlieues, moi je pense qu’elle crève de sa dépolitisation.

Ne craignez-vous pas que vos témoins, notamment les militaires et les gendarmes, risquent un effet boomerang pour les propos qu’ils tiennent ?

Ce qui honorifie une parole publique, c’est une parole qui se découvre. Par principe, je protège ceux qui doivent être protégés. Si on est dans une démocratie de l’autocensure, c’est que mon diagnostic est en-dessous de la réalité.

Photo : des pompiers éteignent une voiture en flammes, à Clichy-sous-Bois en novembre 2005 (Franck Prével/Reuters)

1Le scénario de l’inacceptable

Cette fois-ci, les va-t-en-guerre de la « France d’après », le slogan électoral du candidat Nicolas Sarkozy, ont été entendus. Ce soir, l’Etat va envoyer l’armée au cœur de ce « 9.3 » séditieux. Le décès survenu hier de trois policiers de la BAC de la circonscription, victimes d’un guet-apens dans le quartier des Saussaies, un grand ensemble situé à la jonction du Val-d’Oise et de la Seine-Saint-Denis, est à l’origine de cette décision, solennellement annoncée par le chef de l’Etat.

Deux jours plus tôt, quatre jeunes d’un quartier limitrophe sont morts après un échange de coups de feu avec les forces de l’ordre, provoquant un déchaînement de violences quasi ininterrompu à l’origine de l’agression des policiers.

L’armée dans les banlieues

Le pouvoir n’a pas hésité. Pour lui, l’heure n’est plus à la politique. La mort des trois policiers a été interprétée comme un rejet de l’ordre public et une déclaration de guerre. Nicolas Sarkozy se doute que ses prédécesseurs n’auraient pas adoré, mais il ne porte pas le même projet de civilisation. Cette intervention de l’armée, il l’a décidée tôt ce matin, en comité secret, lors d’une réunion du Conseil de défense et de sécurité nationale qu’il a présidée à l’Élysée. Où tout cela va-t-il aboutir ? […]

Il est 20 heures. Nicolas Sarkozy repasse à la télévision. Aux journalistes de TF1, France 2 et M6, il explique que c’est l’impuissance à résister à la menace du désordre des banlieues qui a failli mener à la dissolution de la société française, puis il critique ceux de ses prédécesseurs, « partisans de la repentance et de la culture de l’excuse », qui ont ouvert la « voie à un abandon en la croyance des valeurs de la communauté nationale ».

« Cette forme de société a vécu », promet-il. Son intervention tout juste terminée, les premières images de ce nouvel ordre moral gagnent les écrans. Nom de l’intervention : « Opération banlieues ».

Fin de la fiction. À l’heure où j’écris ces lignes (l’été 2010), le « scénario de l’inacceptable » que je viens de décrire relève encore de l’imaginaire. Mais pas de l’invraisemblable : il s’appuie en effet sur des entretiens que j’ai conduits dans le cadre de cette enquête, mais aussi sur des documents parfois confidentiels, des articles parus dans des revues spécialisées et des déclarations politiques faites lors des émeutes de l’automne 2005 – simplement « actualisées » pour tenir compte des prémisses dramatiques de ce scénario imaginaire.

2

Le nouvel outil du président

Pour borner sa domination, il a organisé son pouvoir à la faveur d’un nouvel outil : le Conseil de défense et de sécurité nationale, résultat de la fusion de deux instances, le Conseil de défense et le Conseil de sécurité intérieure.

« Avant que le Livre blanc ne soit validé », explique Patricia Adam, « avant même qu’il ne soit discuté à l’Assemblée nationale puisqu’on n’a discuté de ces questions qu’en mai 2009, déjà en janvier 2008 Nicolas Sarkozy avait mis en place cette nouvelle organisation qu’il préside, bien évidemment. »

Ce Pentagone à la française qui fait l’« éloge de la cohérence américaine » a un atout décisif à ses yeux : « Avec cette doctrine et son organisation », dénonce la députée socialiste, « rien n’empêche aujourd’hui le Président, en cas de crise, de faire intervenir l’armée dans les banlieues, ce qui était impossible précédemment. Or, le Parlement n’a aucun moyen de lui demander des comptes, de demander par exemple l’arrêt de l’intervention des forces militaires. »

Dans son article 5, la loi de programmation militaire affirme que « la stratégie de sécurité nationale a pour objet d’identifier l’ensemble des menaces et des risques susceptibles d’affecter la vie de la nation, notamment en ce qui concerne la protection de la population, l’intégrité du territoire et la permanence des institutions de la République, et de déterminer les réponses que les pouvoirs publics doivent y apporter », précisant plus loin que « l’ensemble des politiques publiques concourt à la sécurité nationale ».

Dans cette représentation, la logique de sécurité, notion éminemment subjective puisqu’elle résulte d’une appréciation individuelle, prime sur celle de défense, bien plus objective puisqu’elle concerne un collectif à défendre face à une menace extérieure très clairement identifiée.

Finalement, en interpénétrant deux logiques différentes, c’est-à-dire en englobant les menaces de toute nature sous un intitulé volontairement flou, le « risque terroriste », la feuille de route sécuritaire sarkozyste rompt avec le contrat social qui est au fondement de la Ve République.

« La dualité police/gendarmerie était une garantie pour la République », souligne le député socialiste Jean-Claude Viollet, spécialiste des questions de défense, qui insiste sur l’un des effets de cette évolution.

« C’était une garantie pour les libertés, pour l’indépendance de la justice qui pouvait librement choisir de confier une enquête à l’une ou l’autre. En outre, la gendarmerie a toujours eu des missions différentes de celles de la police. Elle a une mission de sécurité au quotidien, une mission de défense et de renseignement sur l’ensemble du territoire. Aujourd’hui, ces choses sont mélangées. Il y a donc de ce point de vue une difficulté majeure. N’avoir plus qu’une force de sécurité, qui plus est entre les mains du président, c’est une menace pour la République. Je le dis très tranquillement. »

Sans surprise, les effets de cette dérive sécuritaire produisent un écho particulier dans les banlieues populaires. Un extrait déjà cité d’un discours de Nicolas Sarkozy prononcé au Parlement lors des émeutes de l’automne 2005 mérite d’être rappelé :

« Entre le monde de la violence et les valeurs de la République, l’heure de vérité a sonné. L’enjeu est considérable, car si ce n’est pas l’ordre de la République qui règne dans ces quartiers, ce sera celui des bandes ou des extrémistes, et nous n’en voulons pas ! »

Ce réquisitoire n’était pas destiné aux parlementaires. Il avait valeur de profession de foi. Déjà, il annonçait ce que serait la démocratie française cédant à son autorité : un territoire en guerre contre ces banlieues, ce que m’a confirmé le colonel Michel Goya dans un témoignage précieux :

« J’étais un des conseillers du chef d’état-major des armées pour le nouveau Livre blanc. On voyait bien que le pôle d’attraction, le cœur du débat, c’était l’Intérieur. On était dans l’obsession du terrorisme et, du coup, on a concentré tous les moyens de sécurité au sens large sur cette menace. Les banlieues faisaient partie de ces présupposés, ce qui est idiot. »

3

Le spectre de la bataille d’Alger

Ainsi réinterprétée, faut-il en conclure que la bataille d’Alger énoncerait en termes de doctrine une conduite de la guerre urbaine en harmonie avec la perspective d’une intervention dans les banlieues françaises ?

Une nouvelle fois, une observation du colonel Durieux se révèle utile, qui m’a confié en novembre 2009 que des restrictions morales se levaient au sein des armées depuis le milieu des années 2000 :

« Aujourd’hui, le choc post algérois s’est estompé. La plupart des officiers en service n’étaient pas nés au moment du putsch d’Alger. Simultanément, il n’y a plus la pression de la dissuasion nucléaire. Je pense que les officiers ont plus envie d’agir sur la société. Ils sont plus libérés. Il y a un vrai débat pour savoir à quoi sert une armée. »

Le même m’a expliqué sans détour :

« Il y a un débat assez fort sur une intervention dans le cas d’une crise nationale dans les banlieues. J’ai des camarades, des amis qui soutiennent qu’un jour ou l’autre ce sera inéluctable. »

En 2010, ce dernier stade est toujours contesté, voire non admis. Moralement d’une part, car une grande partie de l’armée refuse l’idée même d’intervenir contre des citoyens français ; politiquement d’autre part, car l’utilisation d’une stratégie belliciste pour accomplir une besogne de police déplaît fortement : « Ce n’est pas le rôle des militaires que de régler un problème social ou d’y apporter une solution politique », affirme le colonel Bernard.

« C’est pourquoi le fait d’en être arrivé en 2005 à un couvre-feu est le signe d’un échec. Premièrement, parce que c’est une restriction des libertés ; deuxièmement, parce que vous donnez des pouvoirs exorbitants à la force qui l’impose. J’avais été surpris par ce couvre-feu, comme citoyen et comme militaire. Est-ce que c’était la seule voie possible pour pacifier ? On ne peut pas défendre l’idée que la stabilisation dans tel ou tel pays ne doit pas être uniquement répressive, c’est-à-dire militaire, et faire abstraction en France du volet politique au sens large du terme.

Si la réponse qui a permis de faire baisser le degré d’insécurité, c’est faire de l’urgence… Pour moi, la réponse n’est pas seulement sécuritaire. Il faut s’intéresser aux germes de la violence. »

Ce malaise républicain qui sourd dans l’armée depuis la dérive sécuritaire des « années Sarkozy », s’exprime également, en termes parfois plus vifs, dans les rangs de la gendarmerie nationale.

4

« Est-ce que le métier de l’armée de terre, c’est de faire du contrôle de foule ?

A la remise en question par les gendarmes des fins visées par les responsables politiques en banlieue et du poids relatif de l’autre composante opérationnelle de la sécurité intérieure, s’est ajoutée une autre mise en garde, plus inattendue, exprimée dans les moments informels de mon séjour à Saint-Astier en janvier 2010, ces temps de conversation -pendant les repas, l’apéritif ou le café de 10 heures, les quarts d’heure d’attente entre deux manœuvres, etc- où l’“ enquêté ” s’exprime un peu plus librement.

Comme nous discutions la militarisation de la police, les échanges dérivèrent assez vite sur l’émergence d’un nouveau protagoniste dans la “ gestion ” des banlieues : l’armée de terre. La seule évocation de celle-ci irritait nos interlocuteurs. “ On a mis quasiment un siècle et demi pour en sortir en juillet 1921 [date de création de la gendarmerie mobile]”, a tenu à me rappeler le lieutenant-colonel Mézières.

“Dans une démocratie, ce n’est pas à l’armée d’assurer la fonction de maintien de l’ordre, quels que soient les paramètres spécifiques à notre époque. Rien ne justifie ce retour de l’armée comme acteur sur le territoire national, même si certains brandissent la menace que la France est au bord de l’explosion.”

Un écho direct de ce que m’affirmait à Paris, un mois plus tôt, le colonel Lejeune, à la Direction générale de la gendarmerie nationale :

“ Il n’est pas question d’envoyer la troupe face au peuple de France. Pour faire du maintien de l’ordre, on envoie aujourd’hui des policiers professionnels, qu’ils soient gendarmes ou CRS, et c’est largement suffisant. ”

A leurs yeux, ce qui ne va pas, c’est l’intrusion militaire dans leur champ de compétence, qui rompt avec le partage des légitimités, comme me l’a explicité sur un mode ironique le colonel Quenelle, commandant du centre de Saint-Astier :

“ L’armée de terre dit qu’elle ne peut pas déployer un bataillon supplémentaire en Afghanistan, de quoi vient-elle se mêler en voulant aller dans les banlieues ? Ce n’est pas son métier. Moi, il m’a fallu vingt bonnes années pour commencer à comprendre ce qu’est le maintien de l’ordre.

J’imagine mal un fantassin à qui on va dire : ‘Ben tiens, on va te faire une petite formation avec un bouclier et puis un casque et tu vas descendre dans les banlieues résoudre les problèmes’. ”

Mise au point ou avertissement ? Plutôt l’expression d’une opposition à ce que les gendarmes voient comme un futur où l’armée pourrait se projeter.

5

Tous les moyens sont prêts

La volonté d’en finir avec ces quartiers se traduit sur le terrain par un investissement disproportionné des postures sécuritaires.

Comment ne pas arriver à cette conclusion lorsqu’on écoute le commissaire divisionnaire Christian Hirsoil, directeur départemental adjoint de la Sécurité publique de Seine-et-Marne, décrire l’action policière dans ces cités ? Il explique :

“ Quand on intervient pour maintenir l’ordre public, en cas d’échauffourées ou de guet-apens par exemple, on peut employer un passage hélico qui dispose d’un zoom énorme pour voir ce qui se passe : est-ce qu’ils ont mis des bouteilles sur les toits des immeubles ? Est-ce que les trappes d’accès sont pétées ? Etc.

Au petit matin, vers 8 heures, on va faire un tour dans les étages pour vérifier s’ils ont commencé à rassembler des choses, si des caddies remplis de pierres ont été planqués dans les caves.

Mais d’autres techniques peuvent être utilisées. On pourrait ainsi employer des unités de surveillance très spécialisées de l’armée pour monter pendant plusieurs jours des surveillances physiques enterrées. Ces gens-là sont formés pour pénétrer un dispositif ennemi en profondeur.

On peut aussi s’immerger dans le quartier en se faisant passer pendant un mois ou deux pour un ouvrier spécialisé d’une régie de quartier. ”

« Opération banlieue » de Hcène Belmessous(la découverte).

 

.

Pillé chez http://ndpherault.hautetfort.com/

13/10/2010

Les « tournantes ». Un phénomène international…

http://www.racismeantiblanc.bizland.com/viols_racistes/index.htm

Alors là, on m’a transmis une source pratiquement inépuisable sur le sujet. Comme c’est une pratique abjecte, spécialité de nos sous merdes des « cités », et qui me fait vomir, je vous laisse le soin de parcourir le lien ci-dessus… J’espère une chose: que cette visite renforce votre sentiment de dégoût sur ce qui vit dans la fonge des caves de nos banlieues… A savoir que les victimes de ces tournantes sont en général blondes aux yeux bleus; les violeurs, pas du tout… Un pt’tit dessin?


FDF

A lire:

06/09/2010

Une « sous-merde » m’a laissé des commentaires…

Et encore une fois, vous allez en profiter, il n’y a pas de raison…Vous pourrez constater que la guerre, « ils » l’ont déjà déclarée; et ouvertement. Bon, c’est pas nouveau, la presse en parle mais « amenuise », bien sûr. Il ne faut pas d’émeutes supplémentaires. (Encore une preuve, s’il en fallait, que les racistes, ce sont bien eux.) Mais ici, c’est du concret, du vrai, du « live »…

Il y a le mail , l’IP, etc… Enfin, vous savez quoi faire. Moi, c’est déjà fait. Je sais; c’est une « petite frappe » mais bon. C’est néanmoins un nuisible. Alors: pas de quartiers! Et comme le dit leur charia: « pas de prisonniers »…

Alors à ce genre de pourriture, je lance un message:

FDF

Commentaires en question:

Auteur : zeritarery (IP : 90.41.71.238 , AGrenoble-156-1-64-238.w90-41.abo.wanadoo.fr)
E-mail   : azdine@zeritarery.com
Adresse :
Whois    : http://ws.arin.net/cgi-bin/whois.pl?queryinput=90.41.71.238
Commentaire :
va dans la cité tu seras accueilli
Auteur : zeritareri (IP : 90.41.71.238 , AGrenoble-156-1-64-238.w90-41.abo.wanadoo.fr)
Adresse :
Commentaire :
français de france, ton pays il est deja foutu, tu peux perorer et faire les gros yeux, c’est pareil ! A BAS LES FACHOS !!!
Auteur : zeritareri (IP : 90.41.71.238 , AGrenoble-156-1-64-238.w90-41.abo.wanadoo.fr)
Adresse :
Commentaire :
A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES
FACHOS
!!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS L
ES
FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!
A BAS
LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!A BAS LES FACHOS !!!
Il doit avoir mal au bout des doigts, le bicot, là…. Mais ça ne l’empêche pas de continuer:
Auteur : zeritareri (IP : 90.41.71.238 , AGrenoble-156-1-64-238.w90-41.abo.wanadoo.fr)
Adresse :
Commentaire :
c’est koi vot complexe a vous les fachos ? pb avec les femmes ?
Pauvre con…
FDF

Page suivante »