Francaisdefrance's Blog

03/03/2012

Corans brûlés: 9 morts dans un attentat mais pas d’émeutes en Afghanistan…

Photo d’illustration.

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Des musulmans brûleraient la Bible que l’on n’en ferait pas autant état… Oui, mais le Christianisme n’est pas une idéologie…

Les soldats Américains ont tapé là où ça fait mal… C’est la seule alternative avec ces sauvages. Et puis, les attentats de riposte, ils ont l’habitude…

FDF

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SAUVAGERIE ET BARBARIE MUSULMANES  :  QUELQUES    CORANS  BRULéS     
entrainent  des manifestations dans tous les pays et   bien plus  que ces  9 MORTS là,
d’aujourd’hui.  POUR EUX   LA VIE HUMAINE   A MOINS DE VALEUR  QUE LE LIVRE DE LA HAINE.

QU’EN EST IL DES CHRÉTIENS PERSÉCUTÉS ET MASSACRéS PAR LES MUSULMANS  DANS LE MONDE ET  TOUS CES HUMAIS  QUI PÉRISSENT  SOUS LES MACHETTES ET LE FEU,  LES INCENDIES  DES MUSULMANS,  QU’EN EST IL DES ÉGLISES VANDALISEES  ET BRULEES ????

SOIT  BIEN PLUS DE 150 MILLIONS  de ces chrétiens qu’ils pourchassent, brulent, massacrent !!!!!

JC JC…

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Les talibans ont tué neuf Afghans dans un attentat suicide visant une base de l’Otan en représailles à l’incinération de Corans par des militaires américains il y a une semaine, lundi ayant été la première journée sans émeute en Afghanistan depuis que le scandale a éclaté.

Peu après l’aube, un kamikaze a fait exploser une voiture piégée devant l’entrée principale de l’aéroport de Jalalabad (est), qui abrite l’une des base militaires aériennes les plus importantes de la force internationale de l’Otan (Isaf). « Six civils sont morts, ainsi que deux gardes et un soldat de l’armée afghane », a déclaré à l’AFP Abdullah Azem Stanikzaï, le chef de la police de la province de Nangarhar, dont Jalalabad est la capitale.

Les talibans ont immédiatement revendiqué cette attaque, perpétrée en « réponse à l’incinération du Coran » dans la base américaine de Bagram (nord) il y a une semaine.
L’attentat n’a pas fait de victimes parmi les soldats étrangers de la base de Jalalabad, dirigée par l’armée américaine, selon l’Isaf. « Les bâtiments de l’Isaf n’ont pas été touchés par l’explosion », a déclaré un porte-parole de la force.

L’aéroport de Jalalabad, protégé par un impressionnant dispositif de sécurité des forces américaines, est régulièrement attaqué par les insurgés. L’attaque menée lundi est la quatrième depuis juin 2010.

L’attentat a assombri une journée durant laquelle, pour la première fois depuis que les Corans ont été brûlés à Bagram, aucune émeute antiaméricaine n’a été observée dans le pays, au lendemain d’un appel au calme du président Hamid Karzaï, qui a par ailleurs une nouvelle fois « fermement condamné » l’incinération des exemplaires du livre sacré des Musulmans.

Les Etats-Unis ont assuré lundi qu’ils entendaient maintenir leur stratégie militaire fixée en Afghanistan.

Le secrétaire à la Défense Leon Panetta et le plus haut gradé de l’armée américaine, le général Martin Dempsey, « pensent tous deux que les fondements de notre stratégie demeurent solides » en Afghanistan, a expliqué George Little, porte-parole du Pentagone.
Au Caire, le grand imam d’Al-Azhar, la plus haute institution de l’islam sunnite, a vivement dénoncé l’incinération « barbare ». « Al-Azhar n’accepte pas qu’on badine avec les exemplaires du Coran », a lancé Ahmed al-Tayyeb dans un communiqué.
« Il s’agit d’une transgression qu’aucun musulman n’acceptera. C’est une agression contre les choses sacrées du patrimoine humain », a-t-il ajouté, en demandant à la « force militaire (auteure de) l’agression là-bas de partir maintenant de la terre afghane ».
Trente personnes, dont deux soldats de l’Otan, sont mortes et au moins 200 autres ont été blessées dans les manifestations de ces six derniers jours dans des émeutes, attaque ou attentats antiaméricains.
Dimanche, sept soldats américains des forces spéciales avaient ainsi été blessés quand des manifestants avaient jeté une grenade sur un base de l’Otan de la province de Kunduz (nord), où la veille 5 personnes avaient péri et 66 avaient été blessées, dont 11 policiers, dans l’attaque d’un camp de l’ONU.

La mission de l’ONU en Afghanistan (Unama) a annoncé lundi l’évacuation temporaire du personnel de ce camp, le temps que des « mesures supplémentaires » soient mises en oeuvre pour la sécurité de ses bureaux.

La « relocalisation temporaire » du personnel « se fera en Afghanistan » a indiqué le service de presse de l’Unama dans un communiqué, précisant que le bureau continuerait à oeuvrer dans la zone « pour les gens qui en ont le plus besoin ».

Lundi, l’Isaf a annoncé avoir diligenté une enquête après que des « traces d’eau de Javel » eurent été découvertes dans le café et dans des fruits distribués dans une base de l’Isaf de la province de Nangarhar (est), a expliqué le sergent chef Nicholas Conner.
« Il n’y a pas eu de blessé, pas de victime. L’enquête se poursuit », a déclaré le militaire à l’AFP.

Les rebelles, qui mènent une guérilla depuis dix ans contre les troupes gouvernementales et de l’Otan, ces dernières les ayant chassés du pouvoir fin 2001, ont affirmé lundi qu’un « cuisinier afghan » avait empoisonné de la nourriture de l’Otan.

Source: http://actu.orange.fr/

25/12/2011

Je m’appelle Mouloud…

Et je souhaite un bon Noël 1472 (2050) à tous les Français !

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Excellent ! A diffuser.

Mais triste vision de notre avenir si personne ne réagit assez vite.

FDF

Bonjour !

Je m’appelle Mouloud et je souhaite à tous les Français une bonne année 1472  !!! (2050 pour les mécréants).

Vous l’avez deviné, je suis musulman, comme 70% des Français, le reste ce sont des Infidèles, principalement des athées et quelques chrétiens parmi le lot. Pour ces dhimmis, disons que c’est plutôt l’exode en ce moment, ils sont quelques centaines de milliers à quitter le pays à chaque année.

Je viens tout juste d’avoir 23 ans, et je suis heureux dans mon pays, la France.  Il y a quelques années, lors des Présidentielles, j’ai voté pour le PIF (Parti Islamique Français) qui a été élu, Inch Allah !!! La France est donc devenue la première République Islamique en Europe, et certainement pas la dernière !!!

Je n’ai pas connu la France d’il y a 50 ou 60 ans, mais mon grand-père m’en a pas mal parlé. Il faut bien admettre que nous, les musulmans, rêvions d’envahir ce pays depuis des siècles. On avait bien failli réussir en 732 après J.C., mais un certain Charles Martel nous avait mis les bâtons dans les roues à Poitiers.

Puis, ça a été des siècles d’attente et de frustration. Les Français étaient tout simplement trop forts. Vers le début des années 1960, ils s’étaient même constitué un arsenal nucléaire : de quoi rayer de la carte l’humanité toute entière. Une attaque directe contre ce pays était donc impensable et impossible.

Toutefois, malgré leur écrasante supériorité militaire et technique sur les musulmans, les Français avaient de graves faiblesses que nous avons su merveilleusement exploiter, grâce à l’aide d’Allah.

La première de ces faiblesses était que toute leur économie dépendait du pétrole. Les Français avaient soif de ce liquide comme des types qui auraient passé une semaine dans le Sahara sans la moindre goutte d’eau. Pour étancher leur soif de pétrole, ils étaient prêts à toutes les concessions. Or, les principales réserves de pétrole se trouvaient à cette époque dans les pays du Moyen-Orient.

Ils nous ont donc laissé construire des casernes, pardon, des Mosquées, dans tout leur pays. Je puis vous assurer qu’aucun village, si reculé et si isolé soit-il, ne fut épargné. Ce fut leur première erreur.

Leur seconde faiblesse était leur faible taux de natalité. Les Français n’avaient même pas un indice de fécondité suffisant pour assurer le renouvellement de leur peuple. Plutôt que de mettre en œuvre des moyens pour relancer la natalité, les politiciens de l’époque ont préféré ouvrir en grand les vannes de l’immigration, pendant des décennies et des décennies. Et qui immigrait majoritairement dans leur beau pays ??? Des musulmans bien évidemment.

Pire encore, ils avaient légalisé l’avortement. Il y en avait environ 200 000 à chaque année. Pas besoin d’être un grand mathématicien Arabe pour calculer le nombre de mécréants en moins que ça représente après 40 ans.

Bref, l’avortement a été du véritable pain béni pour les musulmans.

Leur troisième faiblesse, c’est que les Français étaient tellement obnubilés par la supériorité de leur race et de leur culture qu’ils s’étaient imaginé que le monde entier partageait leur point de vue. Les Blancs, il faut bien l’avouer, dominaient le Monde depuis 2500 ans : il y avait eu les Grecs, puis les Romains, les Portugais, les Espagnols, les Anglais, les Français, les Allemands, les Américains, et j’en passe.

Mais ils étaient bien naïfs pour croire que nous, les Musulmans, allions larguer par-dessus bord notre Religion,  notre Foi, nos coutumes et nos traditions pour intégrer leur société amorale, dépravée et matérialiste en échange d’une bagnole, de quelques barils de diesel et d’une poignée d’Euros – la monnaie de l’époque.

Les Français avaient en effet balancé leur religion – en l’occurrence le christianisme – depuis un siècle pour adopter une constitution laïque.

La France était donc  « officiellement »  un pays laïc. Ce pays comportait à l’époque, parmi les Français de souche,  des traîtres et des collaborateurs d’une ignominie et d’une veulerie inconcevable. Le genre d’individus qui auraient été immédiatement saignés comme des porcs, lapidés comme des chiens dans n’importe quel pays musulman.

Ces traîtres avaient instauré en France, officieusement, une véritable Religion d’État. C’était la Religion des Droits de l’homme, de l’Antiracisme et de la Liberté d’Expression.

Je vous vois venir avec vos gros sabots… vous vous dites, la France, ça devait être le Paradis Terrestre, le Jardin d’Eden.

Sur le papier, tout cela semblait en effet merveilleux, sauf qu’il y avait un hic…  un très gros hic…

Je vais vous expliquer, vous allez tout comprendre.

On pouvait par exemple, et c’était approuvé par tous les « intellectuels » et par la Presse, vomir sur le christianisme, mettre des excréments et de l’urine sur la croix de Jésus. Le public bobo applaudissait à tout rompre et en redemandait encore. On appelait ça de la « Créativité Artistique ». Ce genre de blasphème était protégé par la Liberté d’Expression.

Par contre, le petit artiste raté en manque d’inspiration qui se serait avisé de pondre une version analogue avec l’islam – disons le Shit Coran ou le Piss Mahomet – aurait été immédiatement traîné devant les tribunaux et aurait dû répondre d’accusations graves d’incitation à la haine raciale. Il aurait eu sur le dos SOS Racisme, la LICRA, MRAP, LHD, HALDE, et une bonne trentaine d’autres associations antiracistes. Tout cela bien entendu sans tenir compte la fatwa qu’on aurait mis sur sa tête.

Maintenant, imaginons l’individu qui avait tué un Juif. Il s’agissait donc d’un meurtre. Mais le caractère aggravant antisémite de l’assassinat faisait que l’acte atteignait le 9 sur l’échelle de Richter. Cela n’arrivait donc que très très rarement, car la tête brûlée qui commettait un tel délit prenait facilement la perpétuité.

Il arrivait aussi, très rarement également, qu’un Noir ou un Arabe soit assassiné par un Blanc. Encore une fois, ce type de meurtre était fortement aggravé en raison de son caractère raciste, mais un peu moins cependant que le cas antisémite. Disons 7 à 8 sur l’échelle de Richter.  Une fois encore, l’auteur pouvait s’attendre à écoper d’une très lourde peine.

Finalement, il y avait l’autre cas de figure, celui qui arrivait presque quotidiennement en France, c’en était d’ailleurs devenu aussi banal que les histoires de chats écrasés.

Un groupe de Noirs, ou d’Arabes, ou un mélange des deux, massacrait un jeune Blanc.

Les sismographes de l’époque n’étaient pas assez précis pour mesurer, sur l’échelle de Richter, l’intensité de ce type d’agression.

Ça commençait presque toujours par un prétexte futile : on demandait au Blanc une cigarette, ou son portable pour passer un coup de fil urgent.

Si le Blanc avait le malheur de refuser, on lui exposait la gueule, on lui niquait sa race. Le céfranc finissait souvent par décéder après avoir passé quelques jours dans le coma.

Généralement, les auteurs – dans la mesure où les keufs réussissaient à les arrêter – comparaissaient libres devant les tribunaux sous l’accusation de « violences en réunion ayant entraîné la mort sans intention de la donner ».

Parfois aussi, le juge bobo – comme ils disaient dans le temps – estimait qu’il s’agissait simplement d’un « jeu entre gamins qui avait mal tourné ».

La justice de l’époque était à chaque fois totalement incapable, à cause des témoignages contradictoires des divers accusés et de l’absence de témoins directs, de déterminer qui avait fait quoi exactement.

En général, la Cour relâchait immédiatement un certain nombre d’inculpés, faute de preuves, et les autres écopaient de peines légères avec sursis. Bref, personne ne mettait jamais les pieds en taule. Il faut vous rappeler qu’à cette époque, en France, les peines d’emprisonnement de moins de deux ans n’aboutissaient pas forcément à une incarcération.

Bon, voilà, c’est assez pour aujourd’hui, je poursuivrai une autre fois, maintenant faut que j’aille fêter la nouvelle année !

Inch Allah !!!

Jean Leclerc alias Mouloud

Source: http://ripostelaique.com/

08/11/2011

Algérie : des centaines de milliers de conversions au christianisme chaque année!

Et dire que l’on ne nous informe que de l’inverse… On comprend mieux maintenant les ravages soudain de la christianophobie qui touche les pays où l’islam croit régner en maître.

Tout n’est pas perdu.

FDF

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 Voir: http://youtu.be/9E2pJghSLsI

09/10/2011

Le ramadan rend fou…

Encore une preuve… Et dire que ça revient tous les ans. Pauvre gosse, victime d’une idéologie de plus en plus nauséabonde…

Si tu ne supportes plus le ramadan, mon pote, convertis toi au christianisme. Pas assez violent? Désolé; retourne au bled. Tu y seras plus à l’aise et tes enfants ainsi que ta femme ne s’en porteront que mieux.

FDF

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Il était « énérvé » car c’était la fin du ramadan

Vallauris (06): Aïssa fouette son enfant, dix mois avec sursis…


Le 21 août dernier, la police intervient au domicile d’une famille de Vallauris. Père de deux enfants, le prévenu, qui comparaissait libre, n’aurait pas supporté que son fils ramasse des fleurs en plastique, ignorant les ordres dictés par ce dernier.

« Vous lui avez alors jeté, à bout portant, trois boîtiers de DVD », déclare Michel Redon, président du tribunal.

Le début d’un déchaînement de violence. Alors que l’enfant se réfugie dans l’une des pièces de la maison, Aïssa. K, enlève sa ceinture et fouette le jeune enfant, à treize reprises. La mère qui tente de s’interposer, s’est vue frappée à son tour avant d’essayer de s’échapper de l’appartement pour prévenir un voisin.

J’en voulais à mon fils d’avoir voulu étouffer son petit frère, deux jours auparavant. Et puis c’était la fin du ramadan, j’étais à bout », poursuit le prévenu.

« Même en imposant des ecchymoses de dix centimètres à votre fils, vous semblez ne pas vous rendre compte de la gravité des faits », fait remarquer le procureur. Ce que met en évidence l’expertise psychiatrique effectuée. « Le médecin évoque une violence banalisée dans votre esprit », ajoute le président.

Six jours d’Interruption Temporaire de Travail (ITT) ont été nécessaires au garçonnet, compte tenu des blessures. Des blessures humiliantes pour lesquelles, le tribunal statuera sur les dommages et intérêts, le 5 décembre prochain.

Treize coups de ceinture infligés à son enfant de cinq ans ont valu à ce père de famille violent, une condamnation de dix mois avec sursis et d’une mise à l’épreuve d’une durée de deux ans, par le tribunal correctionnel de Grasse.

28/09/2011

Grande Bretagne: utiliser les termes « avant ou après JC » est proscrit par la BBC…

(Encore un petit clin d’oeil de FDF, en passant. Je serai bientôt de retour. En attendant, je ne pouvais décemment pas laisser passer ça…).

Les bases du christianisme à nouveau attaquées… En Occident, la référérence de datation de NOTRE religion doit rester la naissance du Christ. A ce que je sache, nous sommes encore chez nous. Mais, à la BBC, on met genou à terre devant l’islam… Mauvais plan…

 

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La BBC ne veut plus utiliser les références avant/après JC !

La BBC ne veut plus utiliser les références avant/après Jésus-Christ pour ne pas heurter les non-chrétiens. Elle recommande à ses journalistes et animateurs d’utiliser les termes « ère commune » (common era) et « avant l’ère commune » (before common era). La radio-télé publique a été accusée « de politiquement correct absurde », lit-on dimanche dans le Daily Mail.

De plus en plus de programmes comme le populaire « University Challenge » utilisent désormais ces nouvelles appellations. « Comme la BBC s’est engagée à être impartiale, il est approprié d’utiliser des termes qui n’offensent pas les non-chrétiens », explique la BBC. « Je trouve que c’est une attaque des bases chrétiennes de notre culture, langage et histoire. Ces changements ne sont pas nécessaires pour que la BBC atteigne ses objectifs. Que vous utilisiez le terme ‘ère commune’ ou ‘après JC’, la référence reste la naissance du Christ« , a souligné Michael Nazir-Ali, ancien évêque de Rochester. (MUA)

Source: Belga

05/09/2011

1936. Un texte prémonitoire d’ André Malraux…

Encore un visionnaire. Mais déjà, à l’époque, le monde fermait les yeux… Comme c’est toujours le cas, ça fait peur pour les décennies à venir.

FDF

André Malraux, ministre.

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Voici un texte d’André Malraux, texte qui annonçait déjà la conquête de l’islam.

André Malraux, le 3 juin 1956

 

 » La nature d’une civilisation, c’est ce qui s’agrège autour d’une religion. Notre civilisation est incapable de construire un temple ou un tombeau. Elle sera contrainte de trouver sa valeur fondamentale, ou elle se décomposera. C’est le grand phénomène de notre époque que la violence de la poussée islamique. Sous-estimée par la plupart de nos contemporains, cette montée de l’islam est analogiquement comparable aux débuts du communisme du temps de Lénine. Les conséquences de ce phénomène sont encore imprévisibles. A l’origine de la révolution marxiste, on croyait pouvoir endiguer le courant par des solutions partielles. Ni le christianisme, ni les organisations patronales ou ouvrières n’ont trouvé la réponse. De même aujourd’hui, le monde occidental ne semble guère préparé à affronter le problème de l’islam. En théorie, la solution paraît d’ailleurs extrêmement difficile… Peut-être serait-elle possible en pratique si, pour nous borner à l’aspect français de la question, celle-ci était pensée et appliquée par un véritable homme d’Etat. Les données actuelles du problème portent à croire que des formes variées de dictature musulmane vont s’établir successivement à travers le monde arabe. Quand je dis  » musulmane « , je pense moins aux structures religieuses qu’aux structures temporelles découlant de la doctrine de Mahomet. Dès maintenant, le sultan du Maroc est dépassé et Bourguiba ne conservera le pouvoir qu’en devenant une sorte de dictateur. Peut-être des solutions partielles auraient-elles suffi à endiguer le courant de l’islam, si elles avaient été appliquées à temps. Actuellement, il est trop tard! Les « misérables » ont d’ailleurs peu à perdre. Ils préféreront conserver leur misère à l’intérieur d’une communauté musulmane. Leur sort sans doute restera inchangé. Nous avons d’eux une conception trop occidentale. Aux bienfaits que nous prétendons pouvoir leur apporter, ils préféreront l’avenir de leur race. L’Afrique noire ne restera pas longtemps insensible à ce processus. Tout ce que nous pouvons faire, c’est prendre conscience de la gravité du phénomène et tenter d’en retarder l’évolution…

18/07/2011

Un candidat républicain « islamophobe » à la présidentielle aux USA !

Enfin! En voilà un qui a tout compris, et qui devrait ramasser des voix… Mettre fin au terrorisme c’est mettre un terme à tout ce qui peut le véhiculer; comme les mosquées, par exemple, où l’on enseigne de drôles de choses parfois… Pourquoi croyez vous que les musulmans interdisent aux « infidèles » d’assister aux « prières » ? Chez nous, en Occident, les églises et temples sont ouverts à tout le monde…

FDF

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Herman Cain

WASHINGTON

Les villes américaines devraient pouvoir interdire les mosquées, a estimé dimanche un candidat républicain à la primaire pour la présidentielle de 2012, Herman Cain, pour qui l’islam n’est pas une «religion traditionnelle».

«L’islam est à la fois une religion et un ensemble de lois – la sharia. C’est la différence avec nos religions traditionnelles, dont le seul dessein est religieux», a expliqué Herman Cain sur la chaîne conservatrice Fox News.

Interrogé sur la possibilité pour les villes d’interdire les mosquées, le candidat ultra-conservateur a répondu: «Oui, elles ont le droit de le faire».

Mais Herman Cain a persisté à qualifier sa position de «non discriminante».

Le candidat, très populaire dans la mouvance du «tea party», évoque souvent la question de l’islam depuis sa candidature à la nomination républicaine pour 2012, qu’une dizaine de candidats se dispute.

Il se situait en cinquième position à 6% des intentions de vote pour la primaire républicaine dans le dernier sondage Quinnipiac réalisé début juillet.

Herman Cain a déjà déclaré cette année que «beaucoup de musulmans ne sont pas totalement fidèles à ce pays, ni à cette Constitution. Beaucoup essaient d’imposer la sharia aux gens de ce pays».

«Non», il ne nommerait pas de juges musulmans ni n’embaucherait de musulmans pour travailler dans son administration, avait-il également dit à un blogueur de Think Progress en mars (http://youtu.be/aDXCwd65R5o).

L’homme d’affaires noir de 65 ans, ancien patron de la chaîne de pizzas Godfather, a affirmé dimanche que sa position sur les musulmans n’était pas en contradiction avec la lutte des noirs pour l’égalité qui a marqué les années 1960.

«Dans ma carrière, je n’ai jamais discriminé personne pour sa religion, son sexe ou son origine ou quoi que ce soit», a-t-il juré.

«Je dis seulement que je me dois d’avertir les Américains car des terroristes essaient de nous tuer. Je préfère donc être prudent plutôt que négligent».

Source: http://fr.canoe.ca/

12/07/2011

Message de Civitas…

Ceci, je me fais un plaisir de relayer…
FDF
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Appel aux catholiques de France :
il faut nous préparer à une mobilisation sans précédent contre une nouvelle provocation christianophobe
Ce message ne s’adresse pas à ceux qui ne sont que catholiques par convention, par habitude, par esprit mondain qui ne dit pas son nom. Ceux-là resteront insensibles à cet appel, trouveront mille prétextes pour ne pas y répondre. Non, ce n’est pas aux tièdes que ces lignes sont destinées. Elles sont réservées aux hommes et femmes dont l’âme brûle du désir de servir Dieu et qui ont la ferme volonté d’agir afin que la France reste fidèle à sa mission de fille aînée de l’Eglise. C’est vers vous que je me tourne avec confiance parce que je ne doute pas de votre générosité et de votre sens du devoir. Ces mots, plutôt que de les écrire, j’aimerais vous les dire en vous regardant droit dans les yeux, pour tenter de vous persuader plus encore de l’importance de ce qui suit.
Un nouvel acte de christianophobie se prépare, un scandaleux spectacle blasphématoire qui se déroulera à Paris l’hiver prochain dans le cadre d’un prestigieux festival bénéficiant de subventions du Ministère de la Culture et de nombreux mécènes parmi lesquels la Fondation Pierre Bergé ou encore la société anonyme Baron Philippe de Rothschild. Le contenu de ce spectacle vise ce qui est sacré et cherche à salir avec vulgarité et obscénité le christianisme.
L’Institut Civitas s’engage à consacrer toute son énergie à mener une vaste campagne visant à obtenir la déprogrammation de ce blasphème. Dès la rentrée de septembre, Civitas lancera la mobilisation. C’est du Christ qu’il s’agit. Celui qui est Notre Père. Qui laisserait sans réagir son père se faire insulter, humilier ? Pas vous, n’est-ce pas ? Non, cela nous est, à vous et moi, insupportable.
Mais puisque la Providence nous permet de disposer de quelques semaines pour préparer cette mobilisation, ce serait une grave négligence de ne pas mettre ce temps à profit. C’est pourquoi Civitas a choisi de consacrer, du 29 au 31 juillet prochains, sa session d’été à la christianophobie et à la façon d’y répondre. Ce sera l’occasion d’établir minutieusement notre plan d’action selon un calendrier qui nécessitera le maintien d’une réelle mobilisation durant vraisemblablement plusieurs mois. Ce n’est donc pas une mince affaire. Cela signifie que cela va demander un investissement sans précédent de chacun de nous pour défendre l’honneur du Christ.
Il s’agit de nous préparer à occuper différents terrains. Oui, il va nous falloir occuper le terrain des réseaux internet (blogs, sites, forums de discussion) et des réseaux sociaux (facebook, twitter,…). Il va nous falloir occuper l’espace médiatique. Il va nous falloir faire pression sur certains acteurs culturels, politiques et économiques. Et il va nous falloir pour cela occuper également la rue.
Comprenez que, pour ce faire, nous aurons besoin de toutes les bonnes volontés. Avez-vous le moindre don en informatique, graphisme, communication ? Nous avons besoin de vous ! N’avez-vous aucun de ces dons mais un tout petit peu de disponibilité et une réelle envie d’apporter votre aide, si insignifiante vous semble-t-elle ? Nous avons besoin de vous ! 
Voilà pourquoi je vous prie avec insistance de déjà répondre présents à cette session d’été de Civitas à Châteauroux. Chaque compétence, chaque talent, chaque idée, chaque contact peut et doit être mis au service de cette campagne de dimension nationale. Durant trois jours, nous allons y travailler. Dès cette fin juillet, quantité de rôles devront être répartis. Chacun de vous peut contribuer à ce qui doit être un succès.
Sainte Jeanne d’Arc, dont nous fêterons en 2012 le six-centième anniversaire de la naissance, nous l’a enseigné : les hommes bataillent et Dieu donne la victoire. Catholiques de France, prenez dès à présent votre part de cette noble bataille qui s’annonce !
Je vous fixe rendez-vous le vendredi 29 juillet à 14h à Châteauroux pour la première étape. Pendant que les tièdes baigneront dans leur insouciance, vous serez de celles et ceux qui se porteront volontaires pour faire honneur à Notre-Seigneur.
Alain Escada,
secrétaire général de l’Institut Civitas

Session Civitas « Face à la christianophobie, refaire la Chrétienté»

Conférences, tables rondes, travaux pratiques

Avec notamment des interventions de MM. les Abbés de Cacqueray, Beauvais et Toulza ainsi que de MM. Charles Perrot, Miguel de Peyrecave, François Legrier, Jean-Louis Robin, Xavier Pierson, Francis Bergeron et Alain Escada.

Quand ? Du vendredi 29 juillet (14h) au dimanche 31 juillet (17h)

Où ? Ecole St-Michel à Niherne (Châteauroux)

Prix : 60 euros (tarif étudiant : 50 euros) incluant repas et possibilité de logement en dortoirs (prévoir un duvet) ou sous tente (amenée par vos soins).

Possibilité de s’adresser à notre secrétariat pour recevoir des informations concernant hôtels et gîtes dans les environs.

Venez en famille : garderie organisée pour les enfants.

« Action parrainage » : par un don, vous pouvez permettre à un étudiant en difficulté financière de participer à cette session.

 

secretariat@civitas-institut.com – 01.34.11.16.94

Institut Civitas – 17 rue des Chasseurs – 95100 Argenteuil

 

 

 

Nouvelle vidéo « Face à la christianophobie, refaire la Chrétienté » :
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–  Adhésion à Civitas : normale : 10 € – militante : 30 € – de soutien : 50 € / Adhésion à France Jeunesse Civitas : normale : 5 € – militante : 15 €

–  S’abonner à la revue Civitas : 25 €

abonnement en ligne : www.civitas-institut.com (colonne de droite)

achat en ligne des différents numéros de la revue : http://www.civitas-institut.com/content/blogcategory/40/56/ 

–  Faire un don à Civitas. Vous êtes assujetti à l’impôt sur revenu ? La loi vous accorde une réduction de 66% du montant de votre don (article 200 du CGI). Pour un don de 1.000 euros, la réduction d’impôt est de 660 euros et votre contribution personnelle n’est que de 340 euros. Votre don est donc multiplié par trois !
Les dons consentis par les entreprises font l’objet d’une réduction de 60% (article 238 bis du CGI). Nos seuls moyens financiers proviennent de votre générosité.

dons en ligne : www.civitas-institut.com (colonne de gauche)

Pour les adhésions, abonnements et dons, vous pouvez également envoyer vos chèques

à  Civitas – 17 rue des Chasseurs à 95100 Argenteuil

– Pour organiser une réunion d’information au cours de laquelle un responsable de Civitas présentera l’Institut Civitas, ses objectifs et ses méthodes, contactez notre secrétariat.

08/06/2011

Christianophobie: l’Algérie bien « placée »…

Etre Algérien-musulman en France, c’est la panacée. Etre chrétien en Algérie, c’est subir la chasse aux sorcières…Où est donc passée cette fameuse tolérance???

FDF

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Algérie : 1 chrétien + 1 CD = 5 ans de prison !

C’est encore au nom de l’inique ordonnance 06-03 prise en 2006 par le gouvernement algérien pour réglementer les cultes non musulman, qu’un chrétien algérien vient d’être condamné à la peine maximum. Le tribunal pénal du district de Djamel  (Wilaya de Béjaïa) avait à entendre d’une affaire où le prévenu, Siaghi Krimo, accusé d’avoir transmis à un de ses voisins un CD sur le christianisme, tombait sous le coup de l’article 144 du code pénal algérien qui punit quiconque « dénigre les dogmes ou les préceptes de l’islam » par tout moyens ou supports connus ou à découvrir… Le soi-disant voisin n’était même pas présent à l’audience et les preuves inexistantes. Cela n’empêcha pas le procureur de requérir une peine de deux ans d’emprisonnement et une amende de 50 000 dinars (490 €) – sachant que le salaire mensuel minimum en Algérie est de 15 000 dinars. Le président du tribunal ne suivit pas le procureur, et condamna Siaghi Krimo au maximum de la peine prévue par le code : cinq ans de prison et une amende de 200 000 dinars (1 900 €) ! Comme on le sait, la chasse aux chrétiens protestants est ouverte dans cette Wilaya qui vient de se singulariser en fermant administrativement sept temples voici quelques jours. La liberté de croyance et de culte des quelque 100 000 chrétiens que compterait l’Algérie est en très grand péril.

Source: http://www.christianophobie.fr/

22/05/2011

Irak: un chrétien décapité et mutilé par des islamistes…

Il avait été enlevé. Et ces ordures n’avaient pas eu la rançon demandée. Ca fait peur quand on sait le nombre d’otages de l’islam dans le monde…

FDF

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Les chrétiens d’Irak épouvantés suite à la décapitation d’un des leurs à Kirkouk

L’assassinat d’un chrétien dans la ville nord-irakienne de Kirkouk a déclenché l’épouvante parmi les fidèles du pays. Ce simple travailleur a été retrouvé décapité et mutilé le 16 mai dernier, car sa famille, sans ressources, n’avait pas réussi à trouver les 70.000 euros de rançon exigés. En Irak, la violence contre les chrétiens est toujours à l’ordre du jour. Il ressort des informations fournies par l’Église catholique que depuis 2004, il y a eu dans le pays toute une série d’attentats contre des églises, sept assassinats de prêtres, ainsi que plusieurs enlèvements d’évêques.

Lors d’un entretien avec l’œuvre internationale catholique de bienfaisance « Aide à l’Église en Détresse », l’archevêque chaldéen catholique de Kirkouk, Mgr Louis Sako, a déclaré qu’il admirait que la foi de ses paroisses soit en permanence vigoureuse, malgré tant de violence. « Au cours de toutes ces années, je n’ai jamais entendu parler de la conversion du moindre chrétien à l’Islam, malgré les multiples menaces », a affirmé Mgr. Sako. En revanche, des musulmans viennent régulièrement dans son église pour se faire baptiser. « Mais je n’ai pas le droit de les baptiser. Il n’y a pas de liberté de culte ! »

L’archevêque chaldéen catholique d’Erbil, Mgr Bashar Warda, estime que la décapitation du jeune chrétien à Kirkouk visait à intimider les chrétiens. « Désormais, chacun paiera immédiatement la rançon. » Il suppose que des islamistes se cachent derrière ce crime, et a appelé les ecclésiastiques musulmans d’Irak à faire comprendre à leurs fidèles qu’un tel meurtre est un crime contre l’humanité et contre la foi. « Il est inconcevable que dans certaines mosquées, la haine contre les fidèles d’autres religions continue d’être prêchée », insiste-t-il.

L’archevêque syro-catholique de Mossoul, Yohanna Petros Mouche, a en revanche déclaré à « l’Aide à l’Église en Détresse » ne pas croire que des motifs strictement religieux résident derrière la violence dans le pays. Pour les bandes criminelles, il est plutôt question d’argent. Mgr Mouche a toutefois accordé que les bandits pouvaient être instrumentalisés par des courants politiques radicaux. « Certains disent même que les criminels sont payés par les partis », a-t-il ajouté.

Doutes quant à la possibilité d’un dialogue avec l’islam

Une délégation de « l’Aide à l’Église en Détresse » se trouve actuellement en Irak, pour s’informer de la situation de l’Église dans le pays. Au cours de l’entretien avec l’œuvre de bienfaisance, tous les chrétiens irakiens interrogés ont exprimé des doutes quant à la possibilité que le dialogue inter-religieux avec les musulmans porte des fruits. Un prêtre, qui pour des raisons de sécurité ne souhaite pas être nommé, a déclaré après le meurtre : « Les musulmans nous parlent constamment de cohabitation paisible. Mais quelque chose comme ce meurtre arrive, et aucun ecclésiastique musulman ne le condamne. Que devons-nous en penser ? » Un autre prêtre a ajouté : « Il n’y a pas de dialogue inter-religieux. Quand nous voulons parler avec des chefs musulmans, ils viennent, prêchent et repartent. Mais ils ne nous écoutent pas. »

« Nous ne pouvons être sûrs des musulmans que si nous leur montrons que c’est nous qui avons le contrôle », a dit le maire d’une agglomération chrétienne à « l’Aide à l’Église en Détresse ». Les chrétiens de son village, situé près du fief terroriste nord-irakien de Mossoul, se protègent par des murs de béton, des barrières routières et des gardes armées contre les terroristes et les criminels. « Les bandes armées sont un grave problème à Mossoul et aux environs », déclare le maire. « Nous supposons qu’il y a en Irak des courants politiques qui paient ces criminels pour qu’ils fassent la chasse aux chrétiens. » Il estime, comme Mgr. Warda, que certaines mosquées iraquiennes ne prêchent que l’intolérance. « Si j’abandonnais le christianisme, personne ne me poursuivrait pour me couper la tête. C’est la différence avec l’Islam. »

Source: http://www.radinrue.com/

20/04/2011

Islamisation de la France: qui l’aurait cru, il y a quelques décennies,

Lu dans la presse : Neutralité laïque ou racines chrétiennes ?

 


Fallait-il, ou pas, organiser au sein de l’UMP, à l’instigation de Nicolas Sarkozy, un débat sur la laïcité et la place de l’islam ? A priori, la question n’aurait pas dû se poser : pourquoi un parti politique, quel qu’il soit, s’interdirait-il de débattre d’un quelconque sujet de société ?

Si la querelle a été si vive, c’est précisément parce qu’il ne s’agissait pas d’un sujet quelconque : derrière la laïcité, ce dont il s’agissait de débattre, c’était de l’islam et de sa place dans la société française. Or l’implantation de la religion musulmane en France métropolitaine est une conséquence de l’immigration de peuplement et du regroupement familial légalisé en 1976 par Valéry Giscard d’Estaing et son premier ministre JacquesChirac. Auparavant existait, certes, la Grande mosquée à Paris, depuis 1920 ; mais n’importe quel Parisien aurait haussé les épaules si on lui avait alors prédit que trente-six ans plus tard, la capitale compterait pas moins de 75 mosquées, pour s’en tenir à celles que recense le Guide des mosquées de France (1). Et cependant, des musulmans transforment encore certaines rues parisiennes en mosquées à ciel ouvert !

Deux articles, publiés sur le site ou dans le magazine Valeurs Actuelles, reviennent sur ce débat tronqué en développant une réflexion intéressante sur ce que le journaliste Eric Zemmour appelle « l’autre versant du débat sur l’islam », à savoir les racines chrétiennes de la France, qu’il n’aurait pas été inutile de mettre en avant pour éviter l’accusation d’« islamophobie », qui sont venues aussi bien de la gauche que de la droite, observe le journaliste, où François Fillon, Alain Juppé, Rama Yade, Jean-Louis Borloo ou encore le conseiller à la « diversité » de Nicolas Sarkozy, Abderrahmane Dahmane, ont dénoncé les risques de « dérapage »d’un débat qu’ils jugeaient « inutile ».

A l’exception du chef de l’Etat, qui a osé rappeler que « les racines de la France sont essentiellement chrétiennes » (au Latran, le 20 décembre 2007) et célébrer « l’apport de la chrétienté à notre civilisation » (au Puy-en-Velay, le 3 mars 2011), la droite semble réticente à aborder ce thème, alors que « chez les croyants comme chez les incroyants, chaque jour plus nombreux sont ceux qui s’irritent du déni de mémoire dont est victime le christianisme en France comme en Europe », observe encore Laurent Dandrieu. Cette réticence est d’autant plus surprenante que « l’apport décisif du christianisme à la civilisation européenne relève de l’évidence historique », constate le journaliste, qui souligne que le christianisme est « la matrice de laquelle sont nées les grandes valeurs dont se réclame la République, à commencer par la laïcité, mais aussi l’égalité, la démocratie, les droits de l’homme (…) Toute la question est de savoir, s’il ne s’agit pas, comme le disait Chesterton, de valeurs chrétiennes « devenues folles »pour avoir été coupées de leur source originelle. »

Or, « la meilleure preuve de l’ambiguïté de ces références aux racines chrétiennes qui n’irriguent plus vraiment la pensée, écrit Laurent Dandrieu, est la difficulté de la laïcité française à trouver sa juste distance par rapport à l’islam. »

Le christianisme exclu du débat public ?

Ainsi Nicolas Sarkozy lui-même, partisan d’une une laïcité « positive » ou « ouverte », « ne cesse de parler de l’apport « des religions »à la vie publique, laissant entendre que toutes les religions seraient équivalentes à cet égard », poursuit Laurent Dandrieu. « Ce concept “des religions” empêche de penser l’islam dans sa spécificité. Alors qu’en 1990, le RPR et l’UDF concluaient à une « incompatibilité entre l’islam et nos lois« (…), aujourd’hui la classe politique dans sa quasi-totalité préfère conclure comme Nicolas Sarkozy le faisait dans son livre [La République, les Religions, l’Espérance, publié en 2004, ndlr] qu’ »il est évident que l’islam est conciliable avec la République » (Laurent Wauquiez). »

« Mais cette cécité volontaire conduit à mettre sur le même plan un christianisme qui a inventé la laïcité et un islam pour qui la séparation du temporel et du spirituel est au moins problématique », commente le journaliste. Et le débat risque vite « de réactiver, malgré les discours théoriques sur les racines chrétiennes et la « culture majoritaire », un laïcisme pur et dur qui aboutirait à exclure toute expression religieuse, y compris chrétienne, de l’espace public. »

On le voit bien « quand Marine Le Pen, au congrès de Tours, déclare : « Aucun culte ne doit empiéter sur la sphère publique ; la foi doit rester une affaire strictement privée » ; ou quand Claude Guéant souhaite que ni les usagers ni les agents du service public ne portent de « signes religieux », comment la laïcité-neutralité empêcherait-elle que de telles règles soient opposables également aux chrétiens ? »

« Pis : comment les catholiques n’auraient-ils pas le sentiment d’une duperie quand on leur parle, comme récemment le secrétaire d’État au Logement Benoist Apparu, d’utiliser ou d’assouplir la loi de 1905 pour permettre aux musulmans de disposer de mosquées, alors que cette même loi fut conçue et utilisée pour restreindre l’influence de l’Église ? (…) Les catholiques pourraient voir une forme de double langage dans la coexistence d’un discours sur les racines chrétiennes parallèlement à des actes qui, eux, viseraient uni que ment à permettre à l’islam d’effectuer son « rattrapage »sur la religion chrétienne, suivant l’expression utilisée par Nicolas Sarkozy dans son livre de 2004, qui préconisait une forme de discrimination positive en faveur du financement de l’islam. »

Laurent Dandrieu rappelle que, dans une tribune contre le financement public des mosquées publiée dans Valeurs actuelles en 2007, Paul-Marie Coûteaux réclamait quant à lui une « préférence religieuse »pour le catholicisme : « Au regard de ce qui a fait la France et les Français, il n’y a pas égalité des religions. Conséquemment, il ne saurait y avoir d’égalité de devoirs de l’État envers les cultes. » »

La laïcité, religion d’Etat

Le deuxième article publié par Valeurs Actuelles est signé par Chantal Delsol et s’intitule « L’hypocrisie de la laïcité ».

« Le débat est surréaliste pour savoir si nous devons affirmer ou infirmer nos racines chrétiennes. Comme si cela n’était pas tout simplement de l’Histoire, pour commencer ! » On peut, certes, refuser d’en parler. « On peut tenter de les noyer (ainsi un ancien président avait prétendu que l’Europe était aussi musulmane que chrétienne). Mais on ne peut empêcher que nous en soyons pétris. Or mieux vaut être conscients de ce dont nous sommes pétris : cela nous rend plus intelligents et plus prêts à affronter l’avenir. »

Au contraire, la laïcité à la française, constate Chantal Delsol, « participe d’un espoir de déracinement général, visant à faire des individus des citoyens à l’état pur, nourris exclusivement d’universel. Il faut que les enfants des provinces cessent de parler le patois et il faut aussi taire l’appartenance religieuse. Comme si nous pouvions n’appartenir qu’à la République, une et indivisible ; comme si nous n’avions pas (et en premier lieu !) des origines familiales, un lieu de naissance, une province sur terre et peut-être une autre au ciel. Il faut être idéologue comme un Français pour défendre un rêve si loufoque, qu’aucun peuple ne nous envie, même si naturellement nous souhaiterions l’exporter partout. »

« Pour être de vrais citoyens, il nous faut nous débarrasser de nos appartenances particulières ou faire comme si elles n’existaient pas ». Cette volonté de déraciner en « arrachant les signes visibles d’appartenance » est en effet une triste exception française : il ne faut pas s’étonner, poursuit Chantal Delsol, « que la France ait été le seul pays à refuser radicalement la mention des racines chrétiennes dans la Constitution européenne ». Nos voisins européens distinguent le spirituel du temporel sans vouloir à toute force étouffer le premier au profit du second…

Suite et source: http://tinyurl.com/3hfgrfl

18/04/2011

Retour sur la lâcheté des Occidentaux qui accordent plus d’importance à la profanation d’un livre qu’à la destruction de vies humaines…

Il est vrai que nous sommes en droit de nous poser des questions…

FDF

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Qu’est-ce qui est plus grave : détruire un coran ou tuer plusieurs chrétiens ?

Raymond Ibrahim revient sur l’hypocrisie du monde musulman et la lâcheté des Occidentaux qui accordent plus d’importance à la profanation d’un livre qu’à la destruction de vies humaines.

Muslim protesting
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L’autodafé du coran par le pasteur Terry Jones de Floride a suscité une réaction hystérique dans le monde musulman.

En Afghanistan seulement, une vingtaine de personnes, y compris des employés de l’ONU, ont été tuées et décapitées aux cris de «Allahu Akbar ! » Des leaders occidentaux à travers le monde, y compris Obama et des membres du Congrès, ont condamné sans équivoque les actions de Jones (sans prendre la peine de souligner que la liberté d’expression est une liberté américaine prisée). Plusieurs personnes tiennent même Jones pour directement responsable des morts en Afghanistan. Bill O’Reilley a dit qu’il avait « du sang sur les mains ».  

Jetons maintenant un coup d’oeil sur ce que beaucoup de musulmans ont fait subir à beaucoup d’êtres humains chrétiens dans le monde islamique, dans l’indifférence des médias et sans condamnation de l’Occident, pendant que les leaders occidentaux se précipitaient pour exprimer l’horreur que leur inspire ce qu’un Américain a fait à un livre :

Afghanistan: Un musulman converti au christianisme a été arrêté et il est en attente d’exécution, conformément aux prescriptions de la charia sur l’apostasie.

Arabie Saoudite: Un chrétien érythréen a été arrêté pour avoir partagé sa foi avec des musulmans, et il fait face à la peine de mort ; d’autres missionnaires continuent de croupir dans les prisons saoudiennes.

Bangladesh: Un chrétien a été arrêté pour avoir distribué des bibles à proximité de musulmans. Depuis mercredi, des milliers d’émeutiers musulmans manifestent, et des dizaines de personnes ont été blessées : ils ne protestent pas contre Jones, mais contre les droits des femmes.  

Égypte: Une foule de musulmans a brûlé une autre église copte et des dizaines de maisons de chrétiens : quand les chrétiens ont protesté, l’armée a ouvert le feu aux cris d’«Allahu Akbar», tuant neuf d’entre eux. Une autre foule a coupé l’oreille d’un chrétien « en application de la charia ».

Éthiopie: Des musulmans ont incendié près de 70 églises, tuant au moins un chrétien, et jusqu’à 10.000 chrétiens ont été déplacés. Ceux qui vivent dans les régions à majorité musulmane ont été avertis qu’ils avaient le choix entre se convertir à l’islam, abandonner leur maison, ou mourir.  

Malaisie: Les autorités ont saisi et profané des milliers de bibles.

Pakistan: Deux chrétiens ont été abattus en sortant de l’église; un chrétien condamné à la prison à vie pour « blasphème » est mort dans sa cellule, et on soupçonne qu’il a été assassiné.

Somalie et Soudan: Récemment, des jeunes chrétiennes, dont une mère de quatre enfants, ont été enlevées, violées puis tuées pour avoir embrassé le christianisme.

Il convient de garder à l’esprit qu’aucune de ces atrocités n’a été commise en réaction à l’autodafé du coran par Jones : c’est tout simplement la routine dans le monde musulman. En outre, la liste ci-dessus n’est qu’un échantillonnage rapide et superficiel des dernières souffrances infligées aux chrétiens sous l’islam. Si l’on tenait compte des persécutions infligées au cours des derniers mois, on pourrait aussi parler de l’attaque djihadiste contre une église de Bagdad où 52 chrétiens ont été tués ; de l’attaque contre une église copte la nuit de la Saint Sylvestre qui a fait 21 morts ; des émeutiers musulmans qui ont détruit plusieurs églises en Indonésie, au Nigeria et aux Philippines ; des rafles, en Iran, de 70 chrétiens qui priaient dans leur maison ; et du refus du Koweït – un pays qui doit son existence au sacrifice de soldats américains – de permettre la construstion d’une église.

Il y a aussi les innombrables atrocités qui ne sont jamais rapportées – les histoires de détresse silencieuse et persistante que seules les victimes et les chrétiens locaux connaissent.

On aurait pu penser que tous ces faits auraient mérité la même attention des médias qu’un coran brûlé, et une condamnation de l’Occident. Et cela d’autant plus que seul Jones est responsable de ses actes, alors que plusieurs de ces atrocités – l’arrestation et l’exécution de missionnaires chrétiens et d’apostats de l’islam, la destruction d’églises ou le fait de les rendre illégales, la confiscation et la profanation non pas d’une, mais de milliers de bibles –  sont commises par des autorités et des gouvernements musulmans censés être des « amis et alliés » des États-Unis.  

Tel est le monde surréaliste et de plus en plus irrationnel dans lequel nous vivons :  les musulmans enragés et les Occidentaux soumis sont obsédés par la destruction d’un livre, tout en ignorant la destruction de nombreuses vies humaines ; un droit garanti et acquis de haute lutte – la liberté d’expression – est méprisé par ceux-là même qui sont censés le protéger, et des comportements meurtriers et barbares – en un mot, diaboliques – sont pieusement ignorés.

Source: http://www.postedeveille.ca/

21/03/2011

Bonheurs et joies d’une femme musulmane…

Portez une attention particulière au texte en rouge à la fin. Ca ne concerne pas que les USA et le Canada…
FDF

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Temps troubles.
Cela a été écrit par une femme née en Égypte en tant que musulmane.

«Dans la foi musulmane, un homme musulman peut épouser une enfant aussi jeune que 7 ans et consommer ce mariage à 9 ans.

On donne la dot à la famille en échange de la femme (qui devient son esclave) pour l’achat de son intimité et il peut l’utiliser comme un jouet.

Pour prouver un viol, la femme doit avoir quatre témoins masculins. Souvent après qu’une femme a été violée, la famille a le droit de l’exécuter (une mise à mort d’honneur) pour rétablir l’honneur de la famille.

Les maris peuvent battre leurs femmes à volonté et l’homme n’a pas à dire pourquoi il les a battues.

On permet au mari d’avoir 4 femmes et une femme provisoire pendant une heure (la prostituée) à sa discrétion.
La loi musulmane (la Shariah) contrôle le privé aussi bien que la vie publique de la femme.
Dans le monde Occidental, les hommes musulmans commencent à exiger de la Loi Shariah le non-divorce de la femme et le contrôle complet d’elle.
C’est étonnant et alarmant combien de nos soeurs et filles dans des universités américaines et canadiennes épousent maintenant des hommes musulmans et se soumettent elles et leurs enfants à la loi Shariah ne soupçonnant pas ce qui se passe vraiment. Déchirure de l’occident en deux. L’auteur et conférencière Nonie Darwish dit que le but des Islamistes radicaux est d’imposer la loi Shariah au monde, scindant  la loi Occidentale et la liberté en deux.

Nonie Darwish a récemment écrit (conçu) le livre Cruel and Usual PunishmentThe Terrifying Global Implications of Islamic Law.
Darwish est née au Caire et a passé son enfance en Égypte et Gaza avant l’immigration aux E-U en 1978, quand elle avait huit ans.

Son père est mort en menant des attaques secrètes sur Israël. Il était un officier militaire égyptien de haut rang placé avec sa famille à Gaza.  Quand il est mort, on l’a considéré comme un martyr pour le jihad. Son statut posthume a gagné Nonie et sa famille à une position élevée dans la société musulmane.

Mais Darwish a développé un esprit sceptique dès son jeune âge.
Elle a mis en doute sa propre culture musulmane et son éducation.
Elle s’est convertie au christianisme après l’audition d’un pasteur chrétien à la télévision.

Dans son dernier livre, Darwish nous met en garde contre la loi sharia et comment elle est manifestée dans les pays Islamiques.

Pour l’Occident, elle dit que des Islamistes radicaux travaillent pour imposer la sharia au monde.
Si cela arrive, la civilisation occidentale sera détruite.
Les habitants de l’ouest supposent généralement que toutes les religions encouragent un respect pour la dignité de chaque individu.
La loi islamique (Sharia) enseigne que les non-musulmans devraient être subjugués ou tués dans ce monde.

La paix et la prospérité pour leurs enfants ne sont pas aussi importantes que le fait que la loi Islamique doit régner partout dans le Moyen-Orient et finalement dans le monde.

Tandis que les habitants de l’Occident ont tendance à penser que toutes les religions encouragent une certaine forme de règle d’or, la Sharia enseigne deux systèmes d’éthique : un pour les Musulmans et un autre pour les non-musulmans.
Construite sur les pratiques tribales du septième siècle, la Sharia encourage le côté de l’humanité qui veut prendre et subjuguer les autres.

Tandis que les habitants de l’Ouest ont tendance à penser à une forme de religion développant une compréhension personnelle de leur relation avec Dieu, la Sharia préconise d’exécuter les gens qui les critiquent.

Il est dur d’imaginer cela de nos jours, des savants islamiques reconnaissent que ceux qui critiquent l’Islam devraient être exécutés.

Tristement, tandis que la conversation d’une réforme islamique est commune et même assumée par plusieurs à l’Ouest, on fait taire de tels murmures dans le Moyen-Orient par l’intimidation.

Tandis que les habitants de l’Occident s’habituent à une augmentation de la tolérance religieuse avec le temps, Darwish explique comment des pétro-dollars sont utilisés pour cultiver une forme extrêmement intolérante de l’Islam politique en Égypte et ailleurs.»

Dans vingt ans, il y aura assez d’électeurs Musulmans aux États-Unis et au Canada pour élire le Président ou le Premier ministre par eux! Le repos assuré ils feront ainsi… Vous pouvez regarder comment ils ont pris plusieurs villes aux USA et au Canada, Dearborn au Michigan, Brampton en Ontario  et il y en a d’autres…

Je pense que chacun aux États-Unis et au Canada doit lire ceci, mais avec l’ACLU (l’Union pour la défense des libertés civiles), il n’y a aucune chance que ce soit largement rendu public, à moins que chacun d’entre nous ne le fasse suivre!  C’est trop mauvais que plusieurs soient désillusionnés de la vie et du christianisme pour accepter des Musulmans comme paisibles. Certains peut être pas, mais ils ont une armée qui est encline à se débarrasser d’eux au nom du sang et de l’Islam. Tandis que les E-U et le Canada se débarrassent du christianisme de tous les sites publics et effacent Dieu des vies de leurs enfants, les Musulmans planifient un grand  jihad sur les E-U et le Canada.

Ceci est votre chance de faire une différence. Transmettez-le à votre liste de courrier électronique, au moins ceux-là le sauront.

04/01/2011

Début 2011, le bilan islamique est pire que début 2010 !

Lu sur: http://monde-info.blogspot.com/

FDF

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Ci-dessous, je ne prétends nullement révéler, ce que j’aurais aperçu, dans une boule de cristal, que d’ailleurs, je ne possède pas. Je ne prétends pas non plus, faire des previsions trop personnelles ; et c’est, du reste, la raison pour laquelle, je cite deux auteurs, dans mes propres prévisions ci-après.
Concernant l’islam et le christianisme, j’ai donné, ce 3 janvier 2011, un aperçu très concret, dans Début 2011 le bilan islamique est pire que début 2010 et par conséquent, je n’y reviendrai pas ici en détail. J’écrirai simplement que la persécution des Chrétiens, en terre dite d’islam – entre le 20 décembre 2010 et le 3 janvier 2011 – a clairement démontré, que l’attitude complaisante des pays libres, envers les pays musulmans, est une erreur criminelle ; erreur que nous continuerons de payer extrêmement cher, en 2011. Les récentes persécutions ont par ailleurs démontré – une fois de plus – qu’il n’y a pas de pays musulman modéré, le plus modéré d’entre eux, l’Egypte, ayant fait la preuve de sa haine des Chrétiens et de sa haine d’Israël (Israël qui – selon l’Egypte – manipulerait les Chrétiens égyptiens, comme de bien entendu…).
Concernant la France, je note, avec un certain désarroi, primo, que le pouvoir en place continue de mener une politique étatiste en matière économique ; et une politique capitularde en matière d’islamisme français. Secundo, je note, également avec un certain désarroi, que les mouvements situés à droite de l’UMP, notamment le Front National, s’ils voient juste sur certains thèmes, demeurent, hélas, ancrés dans un ensemble de thèses conspirationistes anachroniques et surréalistes, notamment sur les Juifs et sur les Chrétiens, ce qui réduit à néant, toute alternative politique de nature patriotique et capitaliste, dans une société libre et laïque de culture judéo-chrétienne. Tertio, je note, toujours avec un certain désarroi, que la liberté de pensée n’existe plus en France.

A ce propos, Ivan Rioufol, sur lefigaro.fr, écrit notamment (extrait) : « Je ne prends guère de risque à prédire, ce 3 janvier, qu’il va être difficile, en 2011, de faire taire les réalités. Oh ! Je ne doute pas que tout sera encore tenté par la pensée conforme pour occulter, falsifier, bidonner, sous-estimer les faits les plus dérangeants. De ce point de vue, Brice Hortefeux, ministre de l’Intérieur, a été mal inspiré de vouloir taire le nombre de voitures incendiées la semaine dernière, car il entre dans un engrenage qui ne peut qu’alimenter la suspicion de l’opinion, devenue maîtresse de l’internet et des blogs, sur une occultation de certains faits, voire sur une désinformation officialisée. Je sais aussi que ceux qui enfreindront la loi du silence, et j’en serai, seront évidemment diabolisés par les faiseurs de morale, qui sont pléthore à gauche. La lepénisation des esprits, tarte à la crème qui va être servie tout au long de cette année par les censeurs paniqués, est d’abord chez ceux qui insultent et menacent en guise d’arguments »….


26/12/2010

«Voyez, s’écrient les poltrons, nous n’avons aucun problème de cohabitation avec l’islam!» !

Les poltrons-dhimmis: ce genre de connards m’écoeurent… Mais c’est un avis tout à fait personnel. Vous me suivez? Des types comme Oskar, il nous en faut plein!!! C’est comme des « Geert Wilders ».

FDF

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Eh oui, les poltrons «Voyez, s’écrient les poltrons, nous n’avons aucun problème de cohabitation avec l’islam!» Bien sûr: il leur suffit de s’incliner d’avance! Ces apôtres du respect de la différence s’emploient à renier leur propre identité pour ne pas « choquer » celle de l’autre.

Le : 23 Décembre 2010

Oskar Freysinger, éveilleur des peuples européens

En organisant et en gagnant le référendum suisse contre les minarets Oskar Freysinger a gagné une bataille symbolique contre l’islamisation des nations européennes. De père tyrolien et de mère valaisanne, ce tribun suisse vient du cœur alpin de l’Europe. Un cœur alpin qui rayonne sur l’ensemble de l’Europe. Oskar Freysinger était présent aux Assises contre l’islamisation qui ont eu lieu à Paris le 18 décembre 2010 à l’initiative du Bloc identitaire et de Riposte laïque. Polémia communique à ses lecteurs le discours prononcé par Oskar Freysinger, un discours qui va bien au-delà de son titre : « De l’utilisation de l’islam à des fins politiques ».
Polémia

« De l’utilisation de l’islam à des fins politiques »

Le propre de la communauté islamique, appelée oumma, est qu’elle n’a pas de géographie. Elle doit appliquer sa loi partout où elle vit et où elle a la possibilité de le faire. Or cela commence tranquillement par ronger nos sensibilités et nos lois à la base, au quotidien : on cède sur l’égorgement rituel des animaux, on ne s’indigne même plus lorsqu’une gamine de banlieue est brûlée vive par ses frères et cousins parce qu’elle a couché avec un infidèle, on aligne le menu de nos cantines scolaires sur les prescriptions rituelles d’une doctrine importée. Face aux coutumes de l’islam, on s’aligne avant même qu’elles aient commencé à vraiment poser problème.

«Voyez, s’écrient les poltrons, nous n’avons aucun problème de cohabitation avec l’islam!» Bien sûr: il leur suffit de s’incliner d’avance! Ces apôtres du respect de la différence s’emploient à renier leur propre identité pour ne pas « choquer » celle de l’autre.

La dhimmitude préventive

Ce phénomène de mimétisme est connu des populations chrétiennes qui, historiquement, ont eu à vivre sous la loi islamique. La règle de survie était de faire comme la population dominante et de raser les murs. On appelait cela la dhimmitude. Or, dans certains endroits d’Europe nous vivons désormais en situation de dhimmitude inversée. Ici, c’est la majorité qui rase les murs.

En Grande-Bretagne, dans les quartiers islamisés, les femmes anglaises passent un foulard lorsqu’elles sortent de chez elles pour ne pas avoir d’ennuis. Quand, à Lyon, des jeunes musulmans tabassent férocement, dans un bistrot et en plein jour, un des leurs pour avoir simplement bu un café pendant le ramadan, c’est tout un quartier qui, faute de soutien de ses autorités, rasera désormais les murs. C’est bien la spécificité de l’attitude européenne face à l’islam : une soumission préalable à la contrainte. Une dhimmitude préventive.

Le vide occidental

Evidemment, il ne coûte rien de plier le dos lorsqu’on n’a pas d’échine. Cette attitude me semble imputable au moins autant à la faillite de notre propre système éducatif et moral qu’à la pression d’une communauté étrangère. Par ailleurs, des milliers d’Européens et Européennes se convertissent à l’islam. Quel est donc le vide qu’ils cherchent à combler par ce geste? Ne sont-ils pas victimes, eux, d’une autre idéologie, qui est celle de l’économisme et de la consommation effrénée, sans aucun système de valeurs à défendre?

Ce vide occidental rend en tous les cas une partie des musulmans plus fanatiques, plus extrêmes qu’ils ne le sont avant leur déracinement. Cependant, malgré les errements de notre civilisation, je refuse de croire que l’Islam est la solution pour nous en sortir. Chasser le diable par Belzébuth n’est jamais une bonne idée.

Je précise encore ici que la plupart des Etats musulmans non fondamentalistes sont tenus par des gouvernements autoritaires qui maintiennent les fanatiques sous coupe réglée. Nulle part ils ne bénéficient des largesses dont ils abusent sous nos latitudes.

L’islam : l’URSS plus dieu

Cela ne les empêche pas d’étendre leur influence également dans leurs pays d’origine. Ils la construisent par le biais du social. Chez les Palestiniens, le Hamas fanatique gagne inexorablement du terrain sur le Fatah, laïc mais corrompu. Car son totalitarisme est collectiviste. Dans ce système, tous sont assurés d’une prise en charge. Cette intégration sociale du modèle islamique est une réponse à notre atomisation. C’est un socialisme perfectionné. L’URSS plus Dieu!

D’ailleurs, si l’on compare les deux systèmes, l’opposition entre le modèle totalitaire soviétique et le modèle islamique n’est qu’apparente. Il n’y avait pas de laïcisme en URSS : on divinisait les dirigeants et les maîtres à penser, de Marx à Staline, et l’on posait le «grand soir» comme un événement eschatologique, comme la fin des temps de l’Evangile. En Islam aussi, le royaume qu’on bâtit est purement de ce monde. On n’a aucun contact avec Allah, tout est immanent, y compris le paradis qui n’est qu’une version «cinq étoiles» de la vie sur terre.

Le socialisme réel est donc moins matériel et l’islamisme moins spirituel qu’ils ne semblent. Les deux sont des systèmes dogmatiques et collectivistes, allergiques à la liberté individuelle.

Le vide de la modernité

Le communisme ayant fait long feu, c’est sans hésitation et sans être encombré par le moindre doute que l’Islam occupe le vide de la modernité de son trop plein de dogmes et de règles en justifiant religieusement sa prise de possession matérielle, psychologique et territoriale du monde immanent. Son système de croyance passe nécessairement par une prise de pouvoir sur tous les secteurs de la vie et sur tout le territoire disponible, et non seulement sur les consciences.

Alors que nous ne pensons qu’à nos retraites, nos vacances et nos assurances, le monde musulman produit des armées de combattants, hommes et femmes, prêts à sacrifier leur vie en tant que bombes humaines ou dans la guerre.

Car, dans l’Islam, il faut rendre à Dieu ce qui est à César. C’est le propre de la théocratie.

Lorsque les islamistes parlent d’une réalité «autre» que celle de notre système, il ne s’agit pas d’une transcendance, mais simplement d’un système immanent et concurrent à celui que nous nous sommes construit.

Le royaume d’Allah est de ce monde

Loin de moi de minimiser et ignorer les errements du christianisme : La double morale, Torquemada et l’inquisition, les dérives d’un pouvoir qui fut longtemps théocratique sont des faits indéniables. Mais tous ces phénomènes furent des trahisons de la parole du Christ et des évangiles, alors que dans l’islam, la guerre sainte, les coups de fouet, les mains coupées et autres sévices corporels sont des applications tout ce qu’il y a de plus fidèle du programme proposé par le dogme. La quête du pouvoir — le triomphe d’Allah, c’est-à-dire l’islamisation planétaire — est une fin en soi. Le royaume d’Allah est de ce monde-ci, il ne se situe pas dans l’au-delà.

Le christianisme, lui, n’est au départ qu’une parole libératrice. La civilisation fondée sur un message aussi personnel et aussi dynamique porte dans ses gènes la capacité de se transformer. Notre civilisation a évolué plus loin et plus rapidement que toutes les autres. Elle s’est remise en question à la Renaissance, au Siècle des Lumières, à l’ère des révolutions. Le carcan religieux a fini par éclater, totalement, pour le meilleur et pour le pire. D’une société théocratique et collectiviste, nous sommes passés à une société libérale et individualiste, l’une aussi nihiliste que l’autre.

Notre vide intérieur

Car tout dogme religieux, dès qu’il instrumentalise l’humain au service d’un concept décrété comme absolu, devient nihiliste. Dans un tel système, l’individu et sa vie sont à disposition de l’ensemble. Ils n’ont de valeur qu’en tant que pièce utile au collectif. Ils ne sont qu’une «brique dans le mur» selon l’image des Pink Floyd. C’est le modèle même des sociétés totalitaires, de la mafia au socialisme réel. Celui qui ne suit pas les règles du clan est éliminé. Il n’a aucune valeur propre. On greffe un sens externe à sa vie. Or le sens de la vie est dans l’homme, pas autour de lui.

En ce sens, l’avancée de l’islam n’est que le révélateur de notre vide intérieur. Si nous avions une vie spirituelle propre, équilibrée, une profondeur — une âme ! — l’islam n’exercerait aucune emprise. Ni comme séduction ni comme intimidation. Une âme critique et libre ne tiendrait pas une minute sous ce ritualisme et cette contrainte. Lorsqu’on porte l’impératif de la liberté au fond de soi, on peut affronter toute l’armée perse à trois cents hommes, comme Léonidas !

Or, dans notre société matérialiste, l’élévation n’a plus le droit d’être. Nous vivons le diktat de l’horizontalité, de la «socialisation», du carpe diem, du copinage et du bavardage généralisés. Nous ne construisons plus de temples dans l’invisible et emprisonnons l’imaginaire dans des jeux vidéo. Le monde est devenu désespérément plat. A force d’éliminer toute barrière, tout obstacle, nous avons détruit les perspectives, « effacé l’horizon », comme écrit Nietzsche.

Or, l’être humain a toujours besoin de progresser vers quelque chose. La réduction du monde à sa matérialité nous immobilise, nous démobilise. Tout notre dynamisme, notre appétit de vivre, est fondé sur la quête éternelle et le dépassement de soi. Si je suis Dieu moi-même, vers quoi puis-je encore aller?

C’est dans cette interrogation que la déprime de la modernité prend racine et que l’angoisse s’installe.

L’islam alternative au supermarché ?

Or, il n’y a aucune réponse spirituelle à ce désespoir à attendre de la part d’Eglises devenues des assistantes sociales. Leurs messes virent à la kermesse bien-pensante où le corps et le sang du Christ sont remplacés par des cakes au citron et du nescafé. Il est dès lors normal que les âmes inquiètes finissent par mépriser, et même haïr leur univers fadasse et qu’ils s’en détournent. C’est ainsi qu’on observe une alliance de fait entre certains mouvements altermondialistes ou anticapitalistes et l’islam. Ils perçoivent ce dernier comme leur allié, leur compagnon d’infortune, dans leur rejet du monde tel que nous l’avons fait. Nous nous trouvons sommés de choisir, de fait, entre le supermarché honni et une «alternative» dont l’islam est une composante de poids. Je ne m’explique pas autrement la fascination quasi-christique exercée par un Tariq Ramadan sur la gauche altermondialiste.

Les uns et les autres ont en commun leur internationalisme : la nation de l’islam, comme la troupe des déracinés projetée par la gauche, transcende les partages ethniques et les cultures. Le collectivisme est leur étendard, aiguillonné par une peur bleue devant la liberté humaine. Pour les uns comme pour les autres, l’individu n’a plus rien de sacré. Aucune zone de son être n’est protégée des intrusions du collectif.

L’islamophilie de la gauche

En somme, l’islamophilie apparemment si paradoxale d’une certaine gauche trahit sa nostalgie autoritaire ! Cette gauche a vu que l’être humain livré à sa propre loi ne tenait pas la route et maintenant elle se cherche un cadre, un nouvel axe. Elle ne peut évidemment pas le trouver dans le système qu’elle a renié et en grande partie détruit.

Du coup, la voilà prête à renier tous ses combats post-soixante-huitards: féminisme, égalitarisme, mouvement gay, tout passe à la trappe. Face au modèle de société islamique, son système de valeurs s’évapore.

C’est alors que deviennent acceptables, sous le drapeau de l’islam et sous prétexte d’ouverture à l’autre, des valeurs que cette gauche aurait vomies venant de la religion chrétienne. Au nom du multiculturalisme, elle épouse désormais la plus dictatoriale des monocultures. Ayant adopté jusqu’à la caricature les comportements de la bourgeoisie qu’elle combattait, que lui reste-t-il d’autre pour soigner son dégoût ? L’islam est pour elle une sorte de reconquête de la pureté et de la simplicité.

La destruction des couches populaires facilite les affaires

Mais les tenants de la bourgeoisie prétendument bien-pensante ne sont pas meilleurs. Je décèle dans leur complaisance avec l’idéologie islamiste un calcul impitoyable, une véritable stratégie sociale. L’islamisation des quartiers populaires, en France ou en Grande-Bretagne, a détruit toute une couche populaire dotée de conscience sociale et, du coup, rebelle et revendicatrice.

Ça facilite les affaires, car le sentiment identitaire, la cohésion de classe, le sens civique sont pour le capitalisme autant d’obstacles à la libre circulation des capitaux. L’humain dont il rêve est le même que celui du communisme : un tube digestif à pattes, docile et interchangeable. Cependant, si le système a délibérément utilisé le mouvement démographique et culturel islamique pour mieux contrôler la population, il s’est gravement fourvoyé. On ne peut contrôler que celui qui a quelque chose à perdre. Pas celui qui est prêt à se faire sauter au milieu de la foule des consommateurs béats.

Le fanatisme islamique facilité par les Anglo-saxons

Nous en arrivons ici au nœud du problème: comment a-t-on créé cette armée inépuisable de kamikazes? Quand je dis «on», je ne pense pas qu’aux milieux islamiques, mais au contexte global. Vers le milieu du XXe siècle, le phénomène du fanatisme religieux était relégué aux oubliettes de l’histoire. Avec l’extinction de l’Empire ottoman et l’avènement des Jeunes Turcs, francs-maçons et nationalistes, il ne subsistait plus de foyer significatif de fanatisme au sein du monde musulman. Avec le recul, on a le sentiment que la résurrection de ce fanatisme a été favorisée par la politique même des Occidentaux, en particulier l’appui constant accordé par les Anglo-Saxons aux courants les plus rétrogrades de l’islam. L’alliance pétrolière américaine avec la dynastie des Séoud, durant la IIe Guerre mondiale, la création de la bombe à retardement pakistanaise par l’Empire britannique pour contrôler l’Inde libérée, puis la fabrication d’une internationale islamiste contre l’URSS en Afghanistan, transférée par la suite en Bosnie et au Kosovo sous le nez (ou l’égide?) de l’OTAN, tout cela sont des étapes capitales sans lesquelles le spectre du terrorisme islamique n’existerait probablement pas. Sans parler de cet abcès de fixation qu’est l’Etat d’Israël, dont l’existence justifie, aux yeux du monde musulman, tous les moyens utilisés contre la «croisade» judéo-chrétienne dont cet Etat serait la tête de pont.

L’islam coupable sur ses terres historiques et innocent en Europe ?

D’un côté, nous avons donc une élite occidentale qui s’emploie à confronter les musulmans en soutenant les israéliens et en menant de cruelles guerres de conquête dans le Moyen-Orient pétrolier tout en entretenant le spectre d’un terrorisme islamique largement imaginaire. D’un autre côté, nous avons un autre visage de cette même élite qui, soudain, la bouche en cœur, abreuve sa propre population en propos angéliques sur l’accueil de l’autre et la tolérance. En somme, dans la rhétorique occidentale, l’islam est «coupable» dans ses terres historiques — là où le fanatisme est entretenu par la stratégie même des Américains —, et «innocent» lorsqu’il débarque sur le sol européen. Or, la contradiction n’est qu’apparente : le terrorisme extérieur à l’Occident sert de prétexte aux interventions armées de l’oncle Sam. Longue vie à Ben Laden, donc, afin que l’Afghanistan puisse continuer à être le premier producteur d’opium du monde et que le pétrole continue à couler à flots sous le contrôle de la très chaste Amérique et son très médiatique président. L’image d’un ennemi que l’on a soi-même nourri sur son sein est ma foi très utile pour légitimer la politique conquérante de l’empire étatsunien.

Les fous de dieu servent à légitimer les dérives sécuritaires

Quant aux fous de Dieu sévissant sur le sol européen, ils sont eux aussi très utiles, mais dans une toute autre fonction : Ils servent à légitimer les dérives sécuritaires de systèmes politiques prétendument libéraux qui motivent la restriction progressive des droits démocratiques et l’établissement d’un contrôle étatique toujours plus appuyé par le besoin de lutter contre une minorité de fous de Dieu menaçant de prendre en otage la « majorité bien intégrée » des musulmans. C’est d’une hypocrisie totale, car la fameuse majorité intégrée est en vérité une société parallèle établie en ghettos. Or, ces ghettos sont justement le terreau nécessaire aux illuminés que le système utilise pour faire peur aux braves bourgeois. Ceux-ci, effrayés, acceptent sans rechigner que leur liberté fonde un peu plus tous les jours puisqu’on leur offre la sécurité en retour. Tout ça n’est cependant possible qu’à deux conditions : une immigration massive de musulmans et une courbe de natalité très supérieure à la moyenne dans les ghettos islamiques.

Dans l’optique du but final qu’est celui du jihad, c’est-à-dire l’islamisation de la terre entière, l’islam fait ce qu’il doit faire et le fait bien. Ceux qu’il faudrait envoyer dans le désert sont les apprentis-sorciers qui croient pouvoir utiliser cette religion pour assouvir leur faim de pouvoir.

L’occultation du problème par l’élite bien pensante

Par leur faute, l’Europe est désormais habitée par la peur. Le problème de l’islam y prend une tout autre dimension. A travers l’immigration de masse, c’est devenu un paramètre sociologique, une affaire intérieure. Et ce, en une seule génération! On est frappé par l’opiniâtreté avec laquelle l’élite bien-pensante de ce continent s’est employée à occulter ce problème.

Tout son discours sur la tolérance et l’ouverture n’est qu’un masque de la peur, dans la mesure où il jure cruellement avec l’attitude et la psychologie observables de ceux qui le tiennent, et qui ne manifestent au plan personnel ni la générosité, ni le désintéressement, ni le système de valeurs nécessaire pour une véritable ouverture à autrui. Ils n’ont même pas ce pré-requis élémentaire qu’est un léger sens de l’humour.

Ceux qui s’opposent sont diabolisés par les faiseurs d’opinion

Ceux qui malgré tout essaient d’affirmer une position de refus ou de prudence vis-à-vis de l’islamisation de notre société sont diabolisés non par les musulmans, mais par leurs propres faiseurs d’opinion: médias, politiques, autorités religieuses. Cela donne aux fanatiques musulmans une carte blanche morale pour l’élimination physique des récalcitrants les plus durs. Ainsi, les assassinats de Pim Fortuyn ou de Theo Van Gogh n’ont pas soulevé trop d’interrogations au sein de l’élite européenne sur la pertinence de la doctrine en vigueur, qui fait de Londres et d’Amsterdam des havres pour les islamistes durs que les régimes musulmans modérés répriment.

D’Enoch Powell à Thilo Sarazin

En 1968, lorsqu’une figure de tout premier plan de la politique britannique comme Enoch Powell, le chef de file des Tories, dut quitter la vie publique à cause de ses pronostics personnels sur la submersion démographique de son pays ce furent ses propres concitoyens qui, par son lynchage, ouvrirent la voie aux prédicateurs islamistes durs qui ont fait de la Grande-Bretagne leur havre. Et l’Allemagne est en train d’émettre le même signal de capitulation par la chasse aux sorcières dont elle accable le banquier Thilo Sarrazin.

Et lorsqu’on voit apparaître des femmes rebelles comme Ayan Hirsi Ali ou Wafa Sultan, elles représentent plutôt un embarras pour leurs sociétés d’accueil. Encore une fois: l’islam, en Europe, c’est désormais un facteur sociologique, mais aussi un important pilier de la finance, et même un contingent électoral protégé par le dogme multi-culturaliste.

Cette religion du multiculturalisme, qui n’existe que dans les brochures des organisations internationales, n’a d’autre terrain d’application systématique que l’Europe. Il n’y a qu’en Europe qu’on veuille croire que «tout le monde est gentil si on est gentil avec lui». Dans le reste du monde, la complaisance est simplement signe de faiblesse.

Nous vivons donc dans une schizophrénie totale et permanente. Nous acceptons de la part de l’ »Autre» des excès dont on ne tolérerait pas le dixième s’ils étaient le fait de nos prêtres ou de nos politiques.

L’Europe, zone tampon aux stratégies équivoques des Américains

En somme, dans notre poltronnerie tous azimuts, nous servons de zone tampon aux stratégies équivoques des Américains : nos autorités répercutent et accentuent la flatterie superficielle des présidents américains à l’égard de l’islam — ainsi le discours du Caire de Barack Obama —, mais elles contribuent au «conflit des civilisations» fomenté par cette même puissance en lui fournissant des troupes supplétives pour l’Afghanistan ou l’Irak.

Pour se racheter de leur participation à une stratégie globale qui est une provocation face au monde musulman, les pays européens font preuve d’un laxisme irresponsable face à l’islamisation démographique, sociologique et psychologique du continent européen. Le système tout entier a posé son cul sur le couvercle de la marmite pour ne laisser filtrer aucune opposition. Gare au jour où elle explosera. »

Oskar Freysinger
Assises de l’Islamisation
18/12/2010

Il s’agit là de la première partie du discours d’Oskar Freysinger. Dans une seconde partie ,l’orateur s’interroge sur les leçons du modèle suisse qui repose :

  • – sur la proportionnelle y compris au sein du gouvernement (le Conseil d’État) ;
  • – sur le fédéralisme et le localisme : chaque canton (l’équivalent en taille ou population des départements français) disposant de larges pouvoirs locaux (police, éducation notamment) ;
  • – sur le referendum d’initiative populaire qui permet librement au peuple de s’exprimer sur les sujets qu’il choisit.

Discours prononcé par Oskar Freysinger ,
le 18 décembre 2010, à Paris,
lors des Assises de l’islamisation.

Les intertitres sont de Polémia.

Oskar Freysinger

02/12/2010

Malgré les succès enregistrés jusqu’à présent, la position de l’islam radical demeure fragile…

L’islam radical et la normalité

L’islam radical en Occident est en quête de la normalité, mais il ne s’agit pas pour lui de s’inscrire comme élément additionnel à l’identité culturelle de l’Occident. Si c’était là son but il n’aurait pas cultivé à ce point les barrières et les particularismes. Aussi paradoxale qu’elle puisse paraître, c’est une normalité de rejet que l’islam radical recherche. En d’autres termes, il poursuit l’objectif de légitimer en Occident sa position de rejet des valeurs de la civilisation occidentale.Les questions que se posent les occidentaux quant à la compatibilité de l’islam avec leur civilisation n’effleurent même pas l’esprit des musulmans radicaux souvent décrits comme « modérés ». Ces derniers revendiquent l’originalité absolue de leur croyance et affirment l’incompatibilité de l’islam avec les valeurs de leur société d’accueil au nom de la supériorité morale de l’islam. Selon eux, l’Occident corrompu n’a aucun mérite de les accueillir ; d’ailleurs s’il n’était pas convaincu de la supériorité de l’islam les auraient-ils accueillis ? La gratitude est donc exclue de leur discours.

La psycho-pathologie de l’islam radical comprend donc des éléments structurants lui permettant de s’établir, de fonctionner et de se perpétuer dans l’environnement où elle évolue. Un de ces éléments est l’absence totale de sentiment de culpabilité à l’égard de l’Occident même dans le cas d’actes violents. Quand les imams des quartiers sensibles en France interviennent à la demande des autorités auprès des « jeunes » des banlieues pour que cessent les violences et le désordre, ils s’abstiennent soigneusement de leur faire la morale et se contentent de jouer le rôle « d’intermédiaires ». Ils ne se privent même pas de dénoncer au passage la police responsable, selon eux, de « provocations ». Les actes terroristes ne sont jamais dénoncés, c’est à peine si les fondamentalistes s’en dissocient, non sur le plan moral mais uniquement à cause de leur effet délétère sur l’image de l’islam en Occident.

L’absence de sentiments de culpabilité à l’égard des incroyants s’accompagne de mépris à leur égard. Le tout repose sur des assises religieuses, comme en témoignent les versets du coran ayant trait aux relations avec les infidèles (Tuez les idolâtres où vous les trouverez) et les « gens du livre » (juifs et chrétiens) jugés inférieurs aux musulmans et contraints de payer la rançon (la jizia) en s’humiliant. De plus, l’envie découlant de l’infériorité des pays musulmans sur les plans économique et social nourrit leur ressentiment et leur agressivité.

Autre élément structurant de la psycho-pathologie est la contestation. Elle consiste entre autres à récupérer à son profit l’activisme de la gauche. L’opposition à l’Occident se déguise avec les thèmes anticapitalistes, anticolonialistes, antimondialistes, antisionistes et antiaméricains. Ce faisant, les islamistes se positionnent comme « alliés naturels » de la gauche tout en obtenant en contrepartie sa neutralité sur les chapitres de la laïcité, de la liberté d’expression et des droits des femmes. Ce marché de dupe (pour la gauche) permet à l’islam de se donner à très bon compte une « assise morale » sans la moindre concession à la société d’accueil.

La manipulation est une autre composante de la psychopathologie. Elle consiste à exiger dans un premier temps des privilèges au nom du respect de la différence et de l’exception religieuse. En les octroyant, la société d’accueil croit donner des preuves de son ouverture et de sa volonté d’intégration. Mais ces privilèges servent plutôt à consacrer le clivage entre les musulmans radicaux et la société d’accueil. Les tensions qui en découlent sont alors dénoncées comme autant de signes d’islamophobie et d’intolérance permettant aux islamistes de se positionner comme victimes et  justifiant ainsi la revendication de privilèges supplémentaires. La manipulation peut dans certains cas prendre la forme du chantage ou de la menace comme dans l’affaire des caricatures danoises ; le gouvernement qui ne se plie pas à la volonté des chefs religieux radicaux risque alors d’en payer le prix.

Cette normalité de rejet est indispensable à l’islam radical dont la survie en milieu occidental dépend de sa capacité à dénaturer graduellement la société d’accueil. Les psycho-pathologies collectives ont besoin d’un espace qui leur est propre, espace physique si possible mais surtout espace psychologique. Toute idée d’échange ou de compénétration avec l’hôte doit être repoussée, les activités extérieurs à cet espace (activités politiques et sociales) n’ont pour but que de le protéger contre toute intrusion (idées, échanges, mode de vie). Tout en se donnant l’image de participer à la vie de la cité, l’islam radical s’exclut de celle-ci.

Plus une pathologie est sérieuse plus elle fait preuve d’habileté dans sa stratégie de survie. Dans la poursuite de cette normalité de rejet, l’islamisme ne se prive pas d’établir des alliances. La diversité des courants sociaux et idéologiques lui permet de soutirer de la plupart l’appui dont il a besoin en faisant valoir les « points communs » qu’il « partage » avec eux. C’est ainsi qu’il a réussi à trouver des appuis non négligeables au sein de l’Église catholique tout en poursuivant contre le christianisme ses diatribes virulentes.

Malgré les succès enregistrés jusqu’à présent, la position de l’islam radical demeure fragile. Les seules avenues qui s’offrent à lui dans le long terme sont le maintien du statut quo ou la montée constante en puissance,  cependant elles dépendent largement de l’absence de réaction majeure des sociétés occidentales. Une stratégie qui repose principalement sur l’acceptation de l’adversaire de se laisser envahir pave invariablement le chemin au conflit, attendu qu’elle ne tient pas compte des changements d’attitude et de politique qu’elle pourrait susciter.

Pour un observateur neutre et attentif, les risques de conflits augmentent avec le temps, il est important de tout mettre en œuvre pour les prévenir. Une prise de conscience de ces risques est le premier pas vers l’établissement de plans d’action à moyen et long terme visant à assurer l’avenir de la société occidentale et la survie de ses valeurs.

Lu sur: http://www.postedeveille.ca

07/11/2010

Immense statue du Christ en Pologne: une grande baffe à Momo !

Et les muzz de hurler au scandale, de se sentir agressés, provoqués, etc… On parie?

FDF

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La construction de la plus haute statue du Christ au monde achevée en Pologne

Construction de la statue du Christ la plus haute du monde, le 6 novembre 2010 à Swiebodzin en PologneConstruction de la statue du Christ la plus haute du monde, le 6 novembre 2010 à Swiebodzin en Pologne Janek Skarzynski AFP 

Elle est plus élevée que le Christ de Rio de Janeiro…

Les ouvriers ont achevé samedi après-midi à Swiebodzin dans l’ouest de la Pologne la construction de la plus haute statue du Christ au monde, plus élevée que le Christ de Rio de Janeiro, a constaté un journaliste de l’AFP sur place.

La statue mesure au total 36 mètres, contre 33 mètres pour celle de Rio de Janeiro. Elle repose sur une butte de terre haute de 16 mètres.

Enorme grue

Comme le Christ de la Concordia en Bolivie et le Christ du Rio de Janeiro, la statue de Swiebodzin, ville de 40.000 habitants, est toute blanche, la seule différence, le Christ y porte une couronne dorée, haute de trois mètres.

Les derniers éléments de la statue, la tête et les bras ont été installés à l’aide d’une énorme grue spécialement dépêchée sur place. Une première tentative, la semaine dernière, s’était soldée par un échec faute de grue suffisamment puissante.

Le poids total de la construction est estimé à 440 tonnes.

Dons privés

«C’est l’oeuvre de ma vie. (…) Il sera le plus grand catéchiste. L’Europe a besoin de catéchistes comme le Christ», a déclaré à l’AFP Sylwester Zawadzki, curé de la paroisse de la Miséricorde divine à Swiebodzin, à l’origine de ce projet lancé il y a cinq ans.

La statue a été construite grâce à des dons privés collectés en Pologne et à l’étranger, selon le prêtre.

Source: http://tinyurl.com/244hpzf

06/11/2010

Conversion au christianisme en Algérie… Pas peur, le type.

Une petite vidéo qui montre une conversion au christianisme en Algérie. Vu le climat hostile à tout ce qui n’est pas musulman qui règne là-bas, cet homme commet un sacré acte de bravoure… Chapeau bas!

Ca nous change de ça:


FDF

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Lire: http://www.youtube.com/watch?v=ZfJ70UVVQzw

02/11/2010

Dalil Boubakeur menteur, falsificateur, dissimulateur, takieur !

Lu sur Bivouac-Id:

Qui a menti ? Le dieu des musulmans ou Dalil Boubakeur ?

Le recteur de la Grande mosquée de Paris, Dalil Boubakeur, a condamné aujourd’hui lundi 1er novembre 2010 un massacre de fidèles chrétiens en Irak, soulignant dans un communiqué que :

“L’islam n’est nullement l’ennemi du christianisme”.

On trouve cependant dans le livre sacré des musulmans, considéré comme la parole directe de leur dieu, des phrases qui ne laissent aucune ambiguité. Exemples :

[9:30] Les Chrétiens disent: «Le Christ est fils de Dieu». Telle est leur parole provenant de leurs bouches. Ils imitent le dire des mécréants avant eux. Qu’Allah les anéantisse!

[2:191] Et tuez-les, où que vous les rencontriez; et chassez-les d’où ils vous ont chassés : l’association est plus grave que le meurtre.

[9:5] Après que les mois sacrés expirent, tuez les associateurs où que vous les trouviez. Capturez-les, assiégez-les et guettez-les dans toute embuscade.

[33:61] Ce sont des maudits. Où qu’on les trouve, ils seront pris et tués impitoyablement.

Qui a menti : Boubakeur  ? Ou son dieu ?

Mais Allah ne peut se tromper donc c’est Dalil Boubakeur qui ment comme un arracheur de dents alors montrons-lui que l’on est pas dupe en lui envoyant cet article.

Monsieur Boubakeur, les mensonges de la takia ça ne prend plus.

 

Action SITA : imprimer, poster - La nouvelle façon de voter

http://directdemocratie.wordpress.com

On applique la bonne vieille méthode SITA inspirée par Amnesty International: envoi d’un courrier, dans une enveloppe timbrée, par la poste ( http://tinyurl.com/6r4fsu et http://tinyurl.com/592ezu)

Quoi mettre dans l’enveloppe?

1) L’article au format PDF: http://ripostesita.files.wordpress.com/2010/11/boubakeur-menteur.pdf

2)En finition : des textes  imprimés sur l’islam en appliquant les consignes suivantes :

Un timbre au tarif de base “20 grammes” permet d’envoyer deux feuilles soit 4 pages en tout. Vous pouvez donc compléter votre courrier en imprimant sur les pages encore disponibles des informations  afin de permettre a vos interlocuteurs une meilleure compréhension de l’islam. Au choix à cette page des argumentaires et tracts au format PDF: http://tinyurl.com/ksudr9

A qui envoyer les courriers?

Au Recteur de la mosquée de Paris Dalil Boubakeur dont l’adresse postale se trouve à cette page:

http://www.portail-religion.com/mosquees/grande-mosquee-de-paris-france-paris-75005.html

ATTENTION: pas d’insultes ni de menaces  dans un courrier SITA. Ceux qui se laisseraient aller à de telles pratiques le feraient sous leur entière responsabilité.

Votre courrier SITA est prêt, il vous reste à le timbrer et à le poster . Si vous le souhaitez  vous pourrez  aussi suivre les  consignes facultatives suivantes.

–Pour prolonger et compléter cette action SITA par courrier postal on peut aussi mener une action par courriels dont la technique est exposée à cette page  http://sitasecure.wordpress.com/2009/06/01/action-par-courriels/

Invitation au sitathon

Eventuellement, vous pouvez recenser vos actions au Sitathon, http://sitathon.blogspot.com afin d’inciter d’autres internautes à agir ainsi et vous inscrire à la lettre d’information alertes-sita.blogspot.com pour être averti des prochaines actions.

–Information sur SITA

Pour des informations plus détaillées  sur les actions  SITA, vous pouvez consulter le kit SITA à la page: http://planete-sita.bravehost.com/kitsita.html

Vous avez une enveloppe, un timbre alors vous avez le……………… P O U V O I R ………de dire son fait à toute personne publique. C’est la nouvelle façon de voter;c’est efficace:tinyurl.com/C44RVR

05/10/2010

Sabatina James, autrichienne d’origine pakistanaise mariée de force, publie son témoignage…

Elle a sa fatwa… Avouez que ce serait dommage qu’ils la coincent…

FDF

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«La religion musulmane opprime les femmes»

Menacée de mort par sa famille, Sabatina James a déménagé seize fois en neuf ans.

Menacée de mort par sa famille, Sabatina James a déménagé seize fois en neuf ans. A. ROUGIER / 20 MINUTES

On s’attend à voir une femme au regard inquiet, marquée par les brimades subies au Pakistan et les menaces de mort qui la poursuivent jusque chez elle, en Allemagne, où elle s’est réfugiée en 2004 après avoir fui sa famille. Mais c’est une superbe jeune femme au pas assuré qui entre dans la pièce. Le «cauchemar» des policiers qui assurent sa sécurité s’appelle Sabatina James – un faux nom –, a de longs cheveux bruns qui tombent sur les épaules, des yeux de biche, du gloss sur les lèvres, et porte un corsage décolleté sur pantalon moulant. Sabatina James est en France pour la sortie jeudi de son livre-témoignage, Mourir pour vivre à nouveau (éd. Le Cherche Midi, 16 euros).

Promise à un « cousin » au Pakistan.

Elle y raconte sa vie d’avant, celle d’une Pakistanaise née dans une famille de mollah, une «bonne musulmane» dont la vie a basculé lorsque sa famille s’est installée en Autriche à ses 10 ans. Elle s’occidentalise à vue d’œil. Ses parents laissent faire – c’est encore une enfant.

Devenue femme, c’est le boomerang: ses tee-shirts, ses amis, ses aspirations, tout est injure aux yeux de ses parents, qui lui rappellent qu’elle est promise depuis des années à un cousin au Pakistan et qu’elle a intérêt à filer droit. Révolte, insultes, tabassages répétés, Sabatina encaisse tout, mais refuse ce mariage. Ses parents rusent en lui assurant que si elle revient avec eux au Pakistan, elle fera ce qu’elle veut.

Elle tombe dans le piège et les suit. Elle finira fiancée à son cousin, puis jetée dans une école coranique pour la remettre dans le droit chemin. Devenue soumise et effacée, elle a la permission de revenir en Autriche. Elle y rencontre Christian, un ami chrétien qui va l’amener à se convertir. «J’ai compris que la violence qui m’entourait n’était pas liée à ma culture, mais à ce qui est écrit dans le coran: ‘‘Il faut battre sa femme si elle n’obéit pas », dit un verset. Le christianisme m’a aidée à devenir libre», explique-t-elle.

Mais «au Pakistan, les gens qui renoncent au Coran sont tués». Menacée de mort par sa famille, elle déménage seize fois en neuf ans. Elle n’a plus entendu parler d’elle depuis dix ans, mais vit toujours recluse. Car depuis la sortie de son livre, un best-seller en Autriche, ceux qui ne supportent pas de l’entendre dire que «l’islam opprime les femmes» et que «cette religion doit se réformer» ont juré de la tuer.

Source: http://tinyurl.com/37mwxzv

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