Francaisdefrance's Blog

09/02/2012

Ils sont magnifiques, nos gouvernants… Encore une bourde de Morano !

La Ripoublique des copains…

Il n’est pas obligatoire de maîtriser la pratique d’un téléphone portable pour être ministre, mais ça aide…

FDF

.

Nouvelle bourde de Morano : elle critique Fillon dans un SMS et le lui envoie par erreur !

La fausse note de Nadine Morano
« Merde! Encore une…

.

A force, on va croire qu’elle le fait exprès. Après les critiques sur le physique d’Eva Joly, le piéton fauché par son escorte, ou encore ses nombreux coups de gueule sur Twitter, Nadine Morano fait une nouvelle fois parler d’elle avec une bourde via, ce coup-ci, son téléphone portable.

A l’issue d’une réunion avec plusieurs ministres, elle aurait selon Le Canard Enchaîné voulu envoyer un SMS à son ami Christian Estrosi, ex-ministre de l’Industrie. « Attention Christian, Fillon te chie dans les bottes », tel serait le contenu du message, sous-entendant que le Premier ministre ne porte pas dans son cœur l’actuel maire de Nice et lui mettrait également des bâtons dans les roues. Sauf qu’au moment d’envoyer son texto, Nadine Morano l’aurait adressé à… François Fillon ! Une gaffe que n’a pas vraiment appréciée le destinataire : « Tu pourrais parler avec un peu plus de respect du chef du gouvernement », lui aurait immédiatement rétorqué François Fillon.

Des soucis à se maitriser ?

Mais la ministre de l’Apprentissage et de la Formation professionnelle ne s’est pas laissée démonter par son erreur : « Non, je le pense. Je t’ai trouvé très dur », aurait-elle répondu au Premier ministre dont le dernier texto trahit une interrogation générale dans la classe politique et l’opinion publique : « Nadine Morano aurait-elle quelques soucis à maîtriser son téléphone (ou sa « pensée ») ? »

Nadine Morano a démenti sur son compte Twitter, pointant du doigt une invention médiatique et appelant « à ne pas se laisser berner par des fausses infos qui font le beurre du Canard. Vendre du papier c’est d’abord leur job ».

La riposte des internautes

Dans tous les cas, les nombreuses bévues de l’un des soutiens les plus engagés de Nicolas Sarkozy ont poussé les internautes à lancer un boycott du compte de Nadine Morano sur Twitter. L’opération « unfollowMorano » a été mise en place sur le réseau social pour pousser les Twittos à se désabonner de son compte.

Par ailleurs, un site compilant les vidéos les plus drôles de la ministre, Megamorano, a été créé sur le net. Il s’est depuis transformé en Megapolitique car finalement, Nadine Morano n’est peut-être pas la seule à créer le buzz au sein de la classe politique.

Source: http://www.ladepeche.fr/

09/01/2012

Noël à retardement? L’armement des polices municipales revient sur le devant de la scène.

C’est une blague? Depuis le temps que le peuple réclame plus de sécurité dans les villes… L’aurait on enfin entendu? Il est vrai que sans armes, en face d’une « kala », on a très peu de chances de survivre. 

Bon; ce n’est pas encore fait. Une « promesse », ça peut tenir quatre mois, au moins…

FDF

Photo d’illustration

.

.

L’armement des polices municipales pourrait s’étendre

À l’UMP, les initiatives se succèdent pour réclamer une généralisation du port d’arme pour les «municipaux».

 Alors qu’à gauche, le secrétaire national du PS chargé de la sécurité, Jean-Jacques Urvoas, propose, à titre personnel, de désarmer les municipaux, la majorité pousse les feux pour confier à ces agents, au nombre de 18 000 en France, des pouvoirs renforcés qui les rapprocheraient de la police nationale. À ce jour, les municipaux armés sont déjà au nombre de 7 000, soit environ 40 % de l’effectif.

Le 7 décembre, plusieurs députés UMP, dont des membres de la Droite populaire, ont déposé une proposition de loi pour généraliser la dotation en armes de poing. Elle n’a certes pas été inscrite à l’ordre du jour de la commission des lois, mais elle vient relayer une première tentative dans les rangs de la majorité. En juin dernier, en effet, Bruno Beschizza, le secrétaire national de l’UMP chargé de l’emploi des forces de sécurité, avait déjà émis publiquement le souhait que l’armement des polices municipales devienne la règle. Avant que l’Association des maires de France ne vienne contrecarrer ce projet, en objectant que toutes les villes n’avaient pas les mêmes besoins ni les mêmes budgets.

Faut-il aller jusqu’à imposer l’armement pour tous les policiers? De nombreux responsables au ministère de l’Intérieur considèrent que les grandes agglomérations sont davantage concernées que les petites par la question des armes. La Place Beauvau a les yeux rivés sur Marseille notamment, où les récentes bouffées de violence imposent une mobilisation tous azimuts des forces de sécurité.

Dans la Cité phocéenne, le député UMP Renaud Muselier milite désormais ouvertement pour l’armement des municipaux. La ville va recruter 100 agents de plus pour étendre, dans un premier temps, les plages horaires des patrouilles. Et son maire Jean-Claude Gaudin, qui a toujours refusé d’armer ses agents, ne se déclare plus hostile au principe de l’armement. «Il évolue, comme sur la vidéoprotection qui va prendre un tour concret, avec l’implantation de 1 000 caméras d’ici à la fin 2013», se félicite un haut fonctionnaire à la préfecture des Bouches-du-Rhône. M. Gaudin ira-t-il jusqu’au bout?

Concertation avec les élus

En tout état de cause, la réforme des polices municipales reste un sujet délicat. Le Conseil constitutionnel avait désavoué le gouvernement en censurant, le 10 mars dernier, deux dispositions de la loi d’orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure (Loppsi), censées renforcer les pouvoirs des policiers municipaux. Les Sages semblaient critiquer une forme de désengagement de l’État sur certaines missions de sécurité.

La concertation avec les élus est donc plus que jamais nécessaire. Dès cet été, Claude Guéant a ainsi mis en place une commission consultative des polices municipales, dont l’ancien ministre UMP Christian Estrosi a été élu président. L’hôte de Beauvau a, par ailleurs, publié mercredi dernier un décret relatif aux conventions que scellent les communes avec les préfets pour mieux coordonner le travail des municipaux avec celui de la police d’État.

Christian Estrosi y voit «une première étape dans le renforcement de l’action des polices municipales». Le maire de Nice, qui a fait de sa ville une vitrine de la police municipale armée, appuyée par une vidéosurveillance dernier cri, travaillant main dans la main avec les «nationaux», assure que le décret sur la coordination des polices en France «instaure un diagnostic local de sécurité qui permettra, en fonction des particularités de la commune, de déterminer plus précisément la nature et les lieux d’intervention de la police municipale et de la police nationale, et ainsi, de renforcer les modalités opérationnelles d’une collaboration efficace».

La question des armes sera étudiée au sein de cette commission, dans un groupe spécialement composé pour en débattre, parallèlement aux questions de statut. Mais la puissante Association des maires de France se montrera vigilante.

Source: http://www.lefigaro.fr/

12/09/2011

Journées d’été de Marine Le Pen: la provocation de l’UMP.

Si le Front National n’effrayait pas l’UMP, ces derniers n’auraient pas fait une « contre-manifestation » à proximité du lieu où Marine Le Pen avait rassemblé ses troupes ce week-end. Je trouve ça « petit »… Pas de quoi être fier, monsieur Estrosi, vraiment pas… C’est « digne » d’une action cégétiste…

FDF

.

« Dimanche, l’UMP tenait un contre-meeting à 800 mètres des universités d’été du FN.

Christian Estrosi n’est pas peu fier de son contre-meeting. Dimanche, le maire de Nice organisait dans sa ville la rentrée la fédération UMP des Alpes-Maritimes, avec comme objectif affiché de concurrencer les «  Journées d’été de Marine Le Pen » qui se sont déroulées, au même moment, dans la même ville.

« Ne laissons pas le FN tromper les Français »

« Comme Marine Le Pen à choisi Nice pour faire sa rentrée politique, chacun pourra mesurer de quel côté se situera la mobilisation », avait ainsi promis Christian Estrosi qui attendait 3.000 personnes au rassemblement de sa fédération. Finalement, 1.500 militants auront fait le déplacement pour écouter les ministres de l’Ecologie et du Travail, Nathalie Kosciusco-Morizet et Xavier Bertrand et le patron de l’UMP Jean-François Copé.

Il faut « se méfier de ceux qui se drapent dans les étendards bleu blanc rouge mais qui ont toujours choisi la politique du pire », a d’abord mis en garde Jean-François Copé. Ils voient « dans chaque tourment un argument de plus pour vendre de l’angoisse et dénoncer des boucs émissaires ». En 2012, « ne laissons pas le FN tromper les Français et faire gagner la gauche comme en 1997 », a-t-il insisté, alors que 800 mètres plus loin, Marine Le Pen et son père tenaient leurs université d’été au palais des congrès.

Le FN parade

« S’ils sont là, c’est parce qu’ils ont peur de nous », a ironisé, de son côté, Marine Le Pen, estimant que l’initiative de Christian Estrosi démontre l’état de « panique » d’une majorité, qui redoute que le FN ne barre l’accès du second tour de la présidentielle à Nicolas Sarkozy.

« Estrosi, par cette manoeuvre, tente de siphonner nos sympathisants, c’est mesquin », a déclaré Bruno Ligonie, secrétaire départemental adjoint du FN, rappelant que son parti a obtenu 49% des voix aux cantonales de mars dernier, menaçant directement les amis de Christian Estrosi dans la perspective des prochaines législatives. »

Source: http://www.europe1.fr/

29/08/2011

Nice: il n’y aura pas une seconde mosquée dans le quartier de la rue de Suisse !!!

Et hop! Une nouvelle victoire contre l’islamisation de notre France. Qui s’en plaindra? Mis à part les muzz et leurs « lèche-babouches »…

FDF

.

Victoire identitaire : il n’y aura pas une seconde mosquée dans le quartier de la rue de Suisse

Victoire identitaire !

L’activisme militant de Nissa Rebela a conduit à une victoire importante face à Christian Estrosi et sa politique de collaboration avec l’UOIF, face à l’islamisation de Nice et la ghettoïsation de son centre-ville

Communiqué de Nissa Rebela du 26 août 2011

Le 6 juillet, lors d’une conférence de presse devant l’ensemble des médias locaux et en compagnie de Jacques Peyrat, les identitaires étaient les premiers à dénoncer le projet de rachat du restaurant La Petite Biche sur la place Saëtone par des réseaux islamiques proches des Frères Musulmans.

Nous demandions alors expressément l’intervention de la municipalité pour préempter ces locaux de 250 m², dont la transformation en mosquée aurait été un nouveau coup dur porté au quartier Notre-Dame, en passe de devenir un véritable quartier halal en plein cœur de notre cité. Préempter, et pour y faire des équipements d’intérêt général et certainement pas pour louer la salle aux musulmans comme la mairie souhaite le faire rue de Suisse !

Il aura fallu près de deux mois de lutte acharnée pour que la mairie (les premiers rendez-vous demandés par le propriétaire actuel du restaurant s’étant avérés sans résultats) se décide enfin à agir. Hier, la préemption définitive du restaurant La Petite Biche a été notifiée à son propriétaire par un courrier d’huissier. Un grand soulagement pour cet homme qui refusait de voir une affaire familiale devenir une grande mosquée, et pour tous les riverains qui ne supportent plus le triste sort de leur quartier. Les 250 m² du restaurant devraient être affectés à des services municipaux dans les mois qui viennent.

Nous avons révélé ces faits dans les médias ; il y a dix jours nous avons demandé à nos sympathisants et plus largement à tous les Niçois refusant l’islamisation de leur ville de faire pression sur la municipalité en téléphonant et écrivant (d’après des sources internes à la mairie, plusieurs centaines d’appels auraient été reçus en quelques jours à peine) ; et on peut aussi penser que l’action menée par quelques courageux rebelles ayant décidé de changer de manière symbolique le nom des rues d’Italie, d’Angleterre et de Suisse pour provoquer une réaction, n’est pas pour rien dans l’évolution de la situation.

Sans conteste, il s’agit d’une victoire importante face à Christian Estrosi et sa politique de collaboration avec l’UOIF, d’une victoire importante face à l’islamisation de notre cité et la ghettoïsation de notre centre-ville. Une victoire identitaire, et plus que tout une victoire pour le peuple historique de Nice.

Mais, ici comme ailleurs, le combat n’est pas terminé. Nous devons désormais obtenir que les musulmans squattant depuis ONZE ans la mosquée de la rue de Suisse (sans bail, sans verser de loyers) soient expulsés conformément à la décision de justice ayant été rendue. Et ce bâtiment, à travers son achat déjà réalisé par la mairie, doit être mis au service de la rénovation de ce quartier et non de sa communautarisation.

En faisant cesser les prières de rue avec l’apéro porchetta-rosé en mars dernier, en imposant aujourd’hui à la mairie la préemption du restaurant place Saëtone, nous avons montré que nous pouvions peser sur les événements en nous battant. Aidez-nous, rejoignez-nous !

NISSA REBELA

Source: http://www.bloc-identitaire.com/

09/07/2011

Le terrifiant bilan de l’une des promesses phare du candidat Sarkozy de 2007…

« Une République irréprochable« , promettait Sarközy.

A moins d’un an des présidentielles en France, le bilan Sarközien est vite épluché. Ce qui suit devrait faire réfléchir le peuple de France… Et lui permettre de ne pas pas se laisser prendre au piège une nouvelle fois…Mais ce n’est pas une raison pour voter socialo-momo. Vous devinez ce qui reste?

FDF

.

Les 36 scandales de la République irréprochable…

À la lecture de cette liste on constate d’une part que les condamnations judiciaires restent relativement rares (les ministres qui n’ont pas été condamnés restent donc officiellement innocents des faits évoqués par la presse) ; par ailleurs, on note que les rares condamnations ? inscrites au casier judiciaire – n’empêchent pas ceux qui en ont fait l’objet d’accéder à des postes de pouvoir.

Diké

Lu Kabylie.net

A l’heure où l’homme est à nouveau candidat et use de tous les artifices pour sa survie à l’Elysée, voici une liste, qui s’allongera encore d’ici le 6 mai 2012, de ces affaires qui polluent la Sarkofrance depuis plus de 4 ans.

Certaines affaires ne datent pas d’hier (cf. 23, 24 et 27), mais leurs auteurs ont été promus sous Nicolas Sarkozy pour des raisons de politique interne à l’UMP.

Depuis 2007, les médias nous informent régulièrement d’affaires ou de possibles scandales impliquant des ministres des gouvernements Fillon, sous la présidence de Nicolas Sarkozy. Bien sûr, la plupart de ces informations n’ont pas été suivies de condamnations judiciaires et pourraient faire l’objet d’attaques en diffamation si nous n’étions pas prudents quant aux termes employés pour les rappeler.

Cependant, à moins d’un an de la prochaine élection présidentielle, il importe de garder à l’esprit tous ces scandales de la « République irréprochable » prônée par Nicolas Sarkozy, qu’ils soient avérés ou simplement dénoncés par les médias.

1. En pleine révolution tunisienne, Michèle Alliot-Marie propose le 11 janvier 2011 à l’Assemblée nationale que « le savoir-faire de nos forces de sécurité, qui est reconnu dans le monde entier, permette de régler des situations sécuritaires de ce type ». La livraison de grenades lacrymogènes aurait finalement été annulée par la ministre le 18 janvier 2011, soit quatre jours après la fuite de Ben Ali.

2. Mais Le Canard enchaîné révèle aussi que Michèle Alliot-Marie a passé ses vacances de fin d’année en Tunisie, alors que les Tunisiens avaient déjà commencé leur révolution. Michèle Alliot-Marie, son compagnon Patrick Ollier, et ses parents auraient effectué deux trajets dans le jet privé d’ Aziz Miled, un homme d’affaires qui aurait été proche de la famille Ben Ali-Trabelsi. Il aurait même été question d’une transaction immobilière en Tunisie. Mediapart a ajouté que Michèle Alliot-Marie se serait également entretenue au téléphone avec « le président en fuite » pendant ses vacances. Elle a finalement démissionné.

3. L’affaire Visionex concerne une société qui aurait proposé à des cafetiers l’achat de bornes internet qui, selon l’accusation, seraient en fait des machines à sous permettant des paris clandestins. Une enquête pour infraction à la législation sur les jeux de hasard a été ouverte. Mais le 6 octobre dernier, Le Canard enchaîné a révélé que lors d’une perquisition effectuée chez David Sénat (mis en examen le 1er octobre 2010) les policiers de la brigade de répression du banditisme auraient trouvé une lettre écrite en juillet 2008 par Michèle Alliot-Marie, annotée par Rachida Dati, alors ministre de la Justice, pour demander de « clôturer les investigations dans le cadre de la commission rogatoire, car la bonne foi a été prouvée ». Or, l’enquête impliquait le fils de l’ancien garde des Sceaux Albin Chalandon, Fabien Chalandon, mis en examen le 20 mai 2010. Rachida Dati a dit qu’il s’agissait d’une déclaration mensongère et qu’elle envisageait de porter plainte.

4. D’après Le Canard Enchaîné, deux frères de Fadela Amara auraient occupé son logement de fonction de 120 m² (trois pièces, un bureau, deux salles de bains et un cuisinier à disposition) à Paris pendant plusieurs semaines, un hébergement de ses proches aux frais de la République.

5 . Le Canard enchaîné a révélé que Christian Blanc a fait acheter sur le budget de son secrétariat d’État pour 12.000 € de cigares en dix mois. Il aurait remboursé 3.500 euros correspondant, selon ses dires, à sa « consommation personnelle », avant de rembourser la totalité de la dépense…

6. Le Canard enchaîné a révélé en juin 2010 que Jeannette Bougrab avait fait doubler son indemnité de présidente de la HALDE (de 6.900 à 14.000 euros mensuels). Après qu’elle ait déposé plainte pour diffamation, le tribunal correctionnel de Paris l’a déboutée soulignant que l’enquête du Canard enchaîné était sérieuse et que les chiffres déclarés étaient « tout sauf fantaisistes ».

7. La mission sur la mondialisation confiée à Christine Boutin par l’Élysée. L’ex-ministre était rémunérée 9.500 euros par mois pour cette mission (dont certains professionnels jugeaient qu’elle ne présentait qu’un intérêt mesuré), auxquels elle a ensuite renoncé, et qu’elle cumulait avec sa retraite mensuelle de députée et de conseillère générale.

8. Nous connaissons les positions de Christine Boutin sur l’homosexualité, dans son livre Le Mariage des homosexuels (paru en 1998), Christine Boutin pose la question : « où placera-t-on la frontière, pour un enfant adopté, entre l’homosexualité et la pédophilie ? ». Mais n’oublions pas l’opposition de Luc Châtel à la diffusion du court-métrage d’animation « Le Baiser de la lune » dans les écoles, destiné à la prévention contre l’homophobie, et la manière dont Valérie Pécresse aurait poussé Roger Karoutchi à faire son « coming-out » lors de l’investiture UMP pour les élections régionales en Ile-de-France, en sous-entendant qu’un chef de région était d’abord un chef de famille, ce que M. Karoutchi ne pouvait pas être… Enfin, notons que l’actuel ministre de la Défense et des anciens combattants, Gérard Longuet, aurait fait un rapprochement entre homosexualité et pédophilie, en juillet 2008, au Sénat. Il ne souvient pas avoir tenu ces propos.

9. Marc Robert, procureur de la République de Riom depuis 2000, a été muté (en 2009) car il aurait critiqué la réforme de la carte judiciaire conduite par Rachida Dati, un procédé appelé « promotion-sanction ». Or, le 30 décembre 2010 le Conseil d ?État a annulé le décret de mutation de Marc Robert (qui avait déjà été muté à Paris) au motif qu’elle était irrégulière. Il est à nouveau Procureur de la République de Riom depuis le 30 mars 2011.

10. Le Canard enchaîné a révélé que Christian Estrosi aurait annulé les réservations d’un vol régulier d’Air France qui aurait dû le conduire , lui et une délégation d’élus et de journalistes, à Washington. Il aurait fait louer à la place un Falcon 900 car les horaires du vol d’Air France ne lui auraient pas permis d’assister à un cocktail organisé à l’Élysée. Le Canard enchaîné a indiqué que ce changement de programme a coûté la somme de 138.000 euros à l’État. Christian Estrosi a présenté ses excuses.

11. Le Canard enchaîné a également révélé que Christian Estrosi aurait occupé deux logements de fonction : un appartement à Bercy et un un hôtel particulier parisien de 2.900 m² (avec cuisinier) appartenant à la République, et que sa fille aurait occupé. Il a invité la presse à se rendre dans ce logement, pour s’expliquer sur cette information…

12. Le Canard enchaîné a pointé du doigt l’économe Pénélope Fillon qui aurait utilisé un jet privé pour se rendre à Roscoff (Manche) où avait lieu le baptême d’un navire de la flottille des Britanny Ferries qui fait le lien entre la France et l’Angleterre. Coût du vol : 10.000 euros. Elle n’aurait pas voulu prendre le TGV, dont le coût n’aurait été que de 130 euros aller-retour.

13. Fin septembre 2008, François Fillon et sa famille étaient sur le trajet retour d’un « week-end privé » dans la Sarthe quand un avion de tourisme aurait frôlé l’avion du Premier ministre. Problème : les coûteux avions de la République doivent être utilisés dans un cadre strictement professionnel… Le Premier ministre semble avoir pour habitude de se rendre dans son château de la Sarthe en Falcon, alors que cette résidence est à 1h20 de Paris en TGV.

14. Le Canard enchaîné a révélé que le Premier ministre et sa famille auraient séjourné à titre privé, lors des fêtes de fin d’année 2010, en Égypte dans des hôtels luxueux d’Assouan. Ils auraient été invités par Hosni Moubarak, président déchu suite à la révolution égyptienne.

15. Lors de ses vacances italiennes (en Toscane), François Fillon aurait obtenu le prêt d’une Ferrari bleue pour la journée, et ce gratuitement, auprès du patron de la marque (Charlie Hebdo).

16. Une femme qui se trouvait à moto sur la rocade de Rennes, le 19 mai 2009, a été doublée par un 4×4 avec quatre jeunes à bord, dont le conducteur était le fils de François Fillon, Edouard Fillon. Ceux-ci se sont amusés « à la coller », suffisamment pour que la moto soit rayée à l’arrière, puis ont pris la fuite. Elle a indiqué : « J’ai vraiment eu la trouille de ma vie, Il y avait deux jeunes hommes à l’avant. Ils m’ont collée. Moi, je roulais en appui contre la voiture. Un moment, ils ont ralenti. J’ai accéléré. Ils sont restés derrière moi quelques instants avant de me dépasser à nouveau. Là, j’ai eu droit à diverses insultes. » (JDD) Le lendemain, elle a déposé plainte au commissariat de Rennes avec le numéro d’immatriculation du véhicule qu’elle avait relevé. Le fils de François Fillon mis en cause n’a fait l’objet que d’un rappel à la loi, le 16 septembre, par un délégué du procureur.

17. Le 28 février 2011, le site internet Lesinrocks.com révèle que Henri Guaino, conseiller spécial de Nicolas Sarkozy, a passé les fêtes de fin d’année en Libye.

18. Brice Hortefeux est condamné le 4 juin 2010 par le tribunal correctionnel de Paris à 750 euros d’amende pour injure non publique envers un groupe de personnes à raison de leur origine, à 2.000 euros de dommages-intérêts à payer au MRAP, et à la publication d’un communiqué de presse compte tenu de « l’effet délétère sur le lien social d’un tel propos, quand il est tenu par un responsable de si haut niveau ». La phrase incriminée, visant un jeune homme d’origine maghrébine, était la suivante : « Quand y’en a un, ça va. C’est quand il y en a beaucoup qu’il y a des problèmes. ».

19. Brice Hortefeux a également été condamné le 17 décembre 2010 par le tribunal de grande instance de Paris pour atteinte à la présomption d’innocence de David Sénat, ancien conseiller de Michèle Alliot-Marie, devant lui verser un euro de dommages-intérêts. Il avait laissé entendre que David Sénat était à l’origine de fuites au journal Le Monde dans l’affaire Woerth-Bettencourt. Il a fait appel des deux condamnations.

20. Alain Joyandet a fait louer un jet privé pour 116.500 € afin de se rendre en Martinique, où il devait participer à une conférence internationale.

21. Le Canard enchaîné a par ailleurs révélé que le même Alain Joyandet aurait bénéficié d’un permis de construire illégal pour l’agrandissement de sa villa dans le Var. Le ministre a ensuite renoncé à ce permis de construire…

22. Le Canard enchaîné, en 1995, a révélé un document interne de la Ville de Paris, signé de la main d’Alain Juppé, donnant ordre à ses services de diminuer le loyer de son fils Laurent Juppé qui habitait un appartement de 189 m² appartenant à la Ville de Paris (rue Jacob, dans le 6ème arrondissement, commune la plus chère de France). Des travaux, pour un montant de plusieurs millions de francs, effectués aux frais des contribuables, y ont par ailleurs été effectués. Une plainte pour « prise illégale d’intérêts » a été déposée par l’Association des contribuables parisiens créée ad hoc par Arnaud Montebourg. Une information judiciaire a été ouverte par le procureur de la République de Paris, Bruno Cotte, qui a considéré que le délit de « prise illégale d’intérêts » était établi. Il a annoncé cependant son intention de classer le dossier si Alain Juppé quittait cet appartement. Le procureur général près la cour d’appel de Paris, Jean-François Burgelin, a publié alors un communiqué, approuvé par le ministère de la Justice, affirmant que l’infraction n’était pas constituée et qu’elle était de toute façon prescrite. Cependant, la décision de classement a imposé à Alain Juppé de déménager. Le 28 août 1995, le Garde des Sceaux, Jacques Toubon, a ordonné à Bruno Cotte de quitter le parquet de Paris (Blog de Laurent Remise)…

23. Dans l’affaire des emplois fictifs de la mairie de Paris, Alain Juppé a été le 1er décembre 2004 condamné à quatorze mois de prison avec sursis et un an d’inéligibilité par la cour d’appel de Paris. Il avait été d’abord condamné par le tribunal correctionnel de Nanterre, le 30 janvier 2004, à dix-huit mois de prison avec sursis et dix ans d’inéligibilité.

24. Scandale sur fond de Françafrique et de conflits d’intérêts. En 2009, Pierre Péan, dans son livreLe Monde selon K a révélé que Bernard Kouchner avait eu des activités de conseil auprès des autorités du Gabon (république où l’alternance politique est inexistante) et de la République du Congo (où les élections sont marquées par nombre d’irrégularités) dans le cadre de la réforme du secteur de la santé de ces deux pays. Bernard Kouchner serait aussi intervenu dans le recouvrement de factures pour deux sociétés de conseil, Africa Steps et Imeda, alors même qu’il était ministre des Affaires étrangères de Nicolas Sarkozy.

25. Le 10 mai 2011, le procureur général de la Cour de cassation, Jean-Louis Nadal, a demandé une enquête pour « abus d’autorité » contre Christine Lagarde dans l’affaire de l’arbitrage privé ayant débouché sur l’attribution de plusieurs centaines de millions d’euros à Bernard Tapie en 2008. Mais le procureur ferait une erreur factuelle en affirmant que Christine Lagarde aurait décidé d’un arbitrage en mai 2007, puisqu’elle était à l’époque ministre de l’Agriculture et non des Finances, poste qu’elle occupera à partir du 19 juin 2007. Ce serait Jean-Louis Borloo, ministre de l’Economie, des finances et de l’emploi du 18 mai au 19 juin 2007 qui devrait donc être visé. Nous précisons que Jean-Louis Borloo a été l’avocat de Bernard Tapie mais qu’il serait aussi un ami très proche. Une enquête préliminaire sur d’éventuels « abus de pouvoirs sociaux » dans l’affaire Lagarde-Tapie vient d’être ouverte. Elle vise les décisions prises par des hauts fonctionnaires (Jean-François Rocchi et Bernard Scemana), qui auraient dissimulé des éléments de la procédure d’arbitrage et ajouté dans le projet d’arbitrage la notion de préjudice moral (chiffrée à 45 millions d’euros pour les époux Tapie). La Cour de justice de la République a mis en délibéré au 8 juillet sa décision sur une éventuelle ouverture d ?enquête contre Christine Lagarde.

26. Très récemment, Mme Lagarde a déclaré sa candidature à la direction du Fonds Monétaire International (FMI), pour succéder à Dominique Strauss-Kahn, inculpé par la justice américaine. Obtenir ce poste nécessite de mener une campagne d’auto-publicité dans le monde entier. Or, comme l’ont pointé de nombreux journaux, non seulement Christine Lagarde consacre du temps (théoriquement dédié à son poste de ministre de l’Économie) mais aussi de l’argent public à cette cause. Le 16 juin 2011, l’Expansion avançait le chiffre de 150.000 euros pour le coût en argent public de cette campagne pour un poste pourtant privé. Mme Lagarde, qui touchera 35.000 euros par mois si elle devient directrice générale du FMI, continue de percevoir pendant sa campagne son salaire de ministre : plus de 20.000 euros par mois.

27. Gérard Longuet est connu pour différentes affaires judiciaires pour lesquelles il n’a jamais été condamné. Ainsi, il a été mis en examen en 1995 dans l’enquête sur le financement occulte du Parti républicain mais il a bénéficié d’un non-lieu le 8 mars 2010, en partie grâce à la loi d’amnistie de 1990 sur les financements politiques. Dans une affaire concernant la construction de sa villa de Saint-Tropez où il est accusé de « recel d’abus de crédit », le ministre est relaxé en première instance, puis par la cour d’appel de Paris en 1998. Il a également été mis en garde à vue en mai 2001, pour recel de corruption dans l’affaire des marchés publics d’Île-de-France mais il est relaxé en 2005.

28. En 2010, Gérard Longuet s’oppose à la nomination de Malek Boutih à la tête de la HALDE car il considère qu’« il vaut mieux que ce soit le corps français traditionnel qui se sente responsable de l’accueil de tous nos compatriotes », excluant ainsi M. Boutih d’un « corps français traditionnel » supposé.

29. Le quotidien La République du centre a révélé qu’Olivier Marleix, conseiller technique du président de la République et fils de l’ancien ministre Alain Marleix, circulait à bord d’une voiture du parc automobile de l’Élysée lorsqu’il a été arrêté par les gendarmes pour avoir circulé à 119 km/h au lieu des 70 autorisés. Il aurait fait valoir ses relations auprès des militaires et leur aurait comprendre qu’il serait « préférable de classer l’incident ». M. Marleix a démenti ; il a affirmé que le gendarme l’ayant reconnu en tant que Maire d’Anet, aurait spontanément renoncé à le verbaliser.

30. Le site Rue89 nous a informé qu’une employée de 36 ans du Printemps de Nancy aurait été licenciée suite à une altercation avec Nadine Morano. Dans un communiqué, Nadine Morano a réfuté être à l’origine de ce licenciement, qui aurait relevé selon elle de la seule appréciation de l’employeur… Mme Morano avait fait venir le directeur du magasin pour l’informer du comportement de cette employée… ce qui aurait entraîné son licenciement.

31. Patrick Ollier, compagnon de Michèle Alliot-Marie, ancien président de l’Assemblée nationale, ministre des relations avec le Parlement depuis le 14 novembre 2010 est aussi un ami de Mouammar Khadafi, et est à la tête du groupe d’amitié France-Libye à l’Assemblée nationale.

32. Le 22 juin 2011, Georges Tron est mis en examen pour « viols et agressions sexuelles en réunion » sur deux employées de sa Mairie de Draveil. Il est placé sous contrôle judiciaire.

33. La presse a en outre relayé les doutes des élus d’opposition de la ville de Draveil concernant la provenance des fonds qui auraient financé l’installation d’un cabinet de réflexologie de Georges Tron attenant à la mairie.

34. L’épouse d’Éric Woerth, ministre du Budget, aurait, selon les dires de Patrice de Maistre enregistrés par un majordome de Liliane Bettencourt, été engagée pour faire plaisir au ministre, au sein de la société Clymène chargée de gérer le patrimoine de la milliardaire héritière de L’Oréal. Florence Woerth a démissionné le 25 juin 2010 après des accusations de conflits d’intérêt concernant son mari. Le site internet de l’Express a de plus révélé qu’Éric Woerth avait remis la Légion d’honneur à Patrice de Maistre.

35. Éric Woerth a également été critiqué pour le cumul de ses fonctions ministérielles avec celle de trésorier de l’UMP. Or, selon l’ex-comptable de Liliane Bettencourt, Claie Thibout, 150.000 euros d’argent liquide, dépassant le plafond légal de 7.500 euros, auraient été remis à Éric Woerth par l’intermédiaire de Patrice de Maistre pour financer la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy en 2007. Le ministre a annoncé sa démission du poste de trésorier de l’UMP le 13 juillet 2010.

La presse s’est aussi étonnée du fait que bien que la 2e fortune de France ait admis elle-même avoir fraudé le fisc (elle a dit avoir remis de l’ordre dans ses comptes depuis), les services fiscaux, de leur côté, n’ont jamais posé aucune question à Mme Bettencourt sur le sujet…

36. Le Canard enchaîné et Marianne ont révélé qu’Éric Woerth avait autorisé, en mars 2010, la vente de gré à gré d’une parcelle de la forêt domaniale de Compiègne à un prix largement inférieur à celui du marché, à l’association privée Société des courses de Compiègne. Saisi par le procureur général de la Cour de cassation, Jean-Louis Nadal, la Commission des requêtes de la Cour de justice de la République a donné le 13 janvier 2011 un avis favorable à l’ouverture d’une enquête pour « prise illégale d’intérêts ».

À la lecture de cette liste on constate d’une part que les condamnations judiciaires restent relativement rares (les ministres qui n’ont pas été condamnés restent donc officiellement innocents des faits évoqués par la presse) ; par ailleurs, on note que les rares condamnations ? inscrites au casier judiciaire – n’empêchent pas ceux qui en ont fait l’objet d’accéder à des postes de pouvoir. »

Cet article, signé Diké, est un terrifiant bilan de l’une des promesses phare du candidat Sarkozy de 2007…

Diké

17/06/2011

Nice: Estrosi en immersion et autres aventures…

Visionnez ces trois vidéos; vous vous ferez une opinion après.

Bonne lecture.

FDF

.

Ici: http://echodupays.kazeo.com/CAP-SUR-2012/A-EL-NISSA-LE-MAIRE-FAIT-LA-NOUBA,a2250725.html

16/06/2011

Guéant veut envoyer un « signal fort » aux policiers municipaux…

Ce n’est d’un signal, qu’ils ont besoin. C’est de moyens efficaces pour éradiquer cette délinquance qui n’a plus peur de rien, même de tuer. Alors, avant que le peuple qui en a ras le bol ne prenne lui-même les choses en mains…

FDF

.

Guéant va renforcer l’arsenal des polices municipales

Le ministre de l’Intérieur entend adresser un signal fort aux 20.000 municipaux qui organisent jeudi à Nice leurs premières Rencontres nationales.

Le député maire UMP de Nice, Christian Estrosi, offrira jeudi dans sa ville une tribune de choix au ministre de l’Intérieur qui doit présider les premières Rencontres nationales de la police municipale. Des dizaines d’élus de tous bords, accompagnés de leurs chefs de police locaux, assisteront à cet événement, mais aussi la plus haute hiérarchie de la police nationale et de la gendarmerie. Claude Guéant devrait y dévoiler une batterie de mesures en faveur des 20.000 policiers municipaux qui constituent, à ses yeux, le troisième pilier de la sécurité publique. Une force de plus en plus exposée, comme en témoigne le sort tragique d’Aurélie Fouquet, 26 ans, abattue à la kalachnikov, le 20 mai 2010, par des malfaiteurs à Villiers-sur-Marne (Val-de-Marne).

«Tout sera mis sur la table, depuis la formation de ces agents jusqu’à leur relation de travail avec les forces de sécurité nationale», prévient-on dans l’entourage du ministre. Même la question de la généralisation de l’armement des polices municipales devrait être évoquée. Elle figure, en tout cas, expressément dans les revendications du Syndicat national des policiers municipaux. Dans un courrier adressé au président de l’Association des maires de France (AMF), cette organisation réclame «que la dotation individuelle en matière de gilet pare-balles soit obligatoire» et «que l’armement en 4e catégorie (armes de poing) des agents soit la règle». À ce jour, il n’est autorisé qu’à titre dérogatoire.

L’AMF a déjà émis en coulisses des réserves sur la généralisation de l’armement. Tel qu’il ressort des premières discussions avec les responsables de la sécurité à Beauvau et à l’UMP, ce projet obligerait, il est vrai, les élus à se justifier auprès du préfet s’ils devaient demeurer réfractaires à tout armement létal pour leur police. Une responsabilité parfois lourde à assumer publiquement dans certaines villes où la délinquance fait rage. Et ce n’est pas une question d’étiquette politique. À Évry, par exemple, le socialiste Manuel Valls a déjà fait armer sa police depuis longtemps, tandis qu’à Marseille, l’UMP Jean-Claude Gaudin s’y refuse malgré une nette dégradation du climat sécuritaire dans la Cité phocéenne.

Cette question sensible de l’armement «ne sera qu’une question parmi d’autres», s’empresse-t-on de dire au cabinet de Claude Guéant. Car le ministre de l’Intérieur entend avant tout répondre, selon ses conseillers, à une sorte de malaise qui s’est fait jour au sein des polices municipales. Comme s’il était devenu urgent de panser les plaies, après une récente décision du Conseil constitutionnel qui a singulièrement réduit le champ d’intervention de ces agents communaux.

Création d’un canal radio commun

Le 10 mars dernier, en effet, les Sages ont censuré deux dispositions de la loi d’orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure (Loppsi), l’une autorisant les municipaux à faire des contrôles d’identité en dehors de toute infraction, l’autre conférant aux directeurs des polices municipales des pouvoirs judiciaires identiques à ceux des gardiens de la paix.

Jusqu’où l’État peut-il aller pour parfaire l’intégration des polices municipales dans la chaîne de sécurité nationale? Jeudi, des avancées sociales et statutaires seront promises à ces agents. Un signe fort de reconnaissance, d’autant plus attendu que la police d’État, en perte d’effectifs, a besoin des municipaux pour la seconder.

Curieusement, il est un point que la police nationale se refuse encore à aborder: la création d’un canal radio commun à toutes les forces de police, pour une meilleure coordination. En mai dernier, Aurélie Fouquet, bien qu’armée, ne savait pas qu’elle allait croiser la route de braqueurs enragés qui venaient de tirer sur les nationaux. Elle pensait se rendre sur les lieux d’un simple accident de la circulation.

Source: http://www.lefigaro.fr/

14/06/2011

Estrosi traité d’islamophobe et de raciste par les musulmans de sa ville…

Et c’est reparti ! Et pourtant: http://fr.novopress.info/66516/fete-de-l%E2%80%99aid-dominique-estrosi-renouvelle-son-soutien-a-la-grande-mosquee/


Les momos de Nice « heurtés » à leur tour. Christian Estrosi sera t’il poursuivi en justice par les sangsues qui pompent la France (Halde, SOS Racisme, MRAP, etc…) ? Attendons pour voir.

FDF

.

Les musulmans de Nice très remontés contre Christian Estrosi

Extrait du communiqué de l’association Al Baraka du 11 juin 2011 :

« Ainsi Monsieur ESTROSI Maire de Nice a décidé d’exercer son droit de préemption dans le seul but d’empêcher l’association musulmane AL BARAKA, d’acquérir les locaux de la salle de prière qu’elle occupe depuis 11 ans. Alors que nous avons signé le compromis de vente avec le propriétaire des lieux il y a deux mois et nous avons rassemblé la somme globale de 161 000 euros pour finaliser l’achat de notre salle de prière.

Ainsi l’histoire se répète avec acharnement, de préemption en préemption, pour empêcher la communauté musulmane d’acquérir sa salle de prière au centre de Nice. (…)L’acte de préemption du Maire de Nice est un acte ISLAMOPHOBE et RACISTE que nous condamnons avec force et que nous allons combattre tant au niveau juridique par la voie d’un recours pour excès de pouvoir devant la juridiction administrative tant qu’au niveau de l’opinion publique.(…)Cette volonté affichée du Maire de Nice d’expulser les musulmans de leur salle de prière met en émoi les fidèles, elle est de nature à porter atteinte à la paix sociale et à l’ordre public. » lire le communiqué intégral

Note: la préemption, loin d’être islamophobe, consisterait selon nos informations à installer un centre culturel musulman lié à la Mairie, un relent colonial et paternaliste que ne supporterait pas l’association Al-Baraka.

Source: http://www.islamisation.fr/

07/03/2011

Le feuilleton sans fin de la « future » mosquée de Nice…

Les contradictions de Christian Estrosi au sujet de cette nouvelle verrue prévue dans le paysage niçois ne fait qu’en rajouter dans la triste façon de conduire la politique française… Et après, on s’étonne que Marine Le Pen rallie à juste titre la confiance du peuple de France usé par ces pratiques indignes d’une République digne de ce nom.

FDF

Grande Mosquée à Nice... feuilleton sans fin !

Commentaire de Nice-Premium :

Lieu du culte pour les uns, symbole d’islamisation pour les autres… le problème de la « grande » mosquée restera sur le tapis malgré la décision de Christian Estrosi de revenir sur son « engagement » vis-à-vis de la communauté musulmane qui parle de « promesses électorales sans lendemain ».

Nice Premium, fidèle à son indépendance et à son esprit participatif, présente sans commentaire les raisons des uns et des autres qui, bien sûr, s’opposent en tout et pour tout. Le fait de ne pas avoir de parti pris ne nous empêche pas d’exprimer, en toute honnêteté intellectuelle, notre avis sur cet argument si sensible : et si on arrêtait ce tropisme compulsif qui fait qu’on aborde ce problème par le prisme d’un sondage pré-électoral ? Et comme heureusement on vit dans une démocratie…on est souvent dans ce cas d’espéce ! Il n’y a donc pas d’autre méthode d’exercer le pouvoir que celle d’opposer les uns aux autres et appliquer toujours le « divide et impera » ? Il n’y a pas manière d’arrêter ce jeu dangereux qui risque de n’avoir que des perdants ?

Comme disent si bien les américains avec une « idiomatic expression » bien calée : « si on met la merde dans le ventilateur on ne sait jamais que va être taché ».


Mosquée : ESTROSI revient sur sa parole

Christian Estrosi vient de prendre la décision de ne pas faciliter la création d’une grande mosquée. Les différentes promesses de Christian Estrosi sur un grand lieu de culte n’étaient en fait que de simples promesses électorales sans lendemain. C’est désormais une profonde déception et une profonde amertume qui prédominent. Par ces déclarations, Christian Estrosi vient d’avouer que pour lui, les musulmans de Nice ne seront jamais considérés comme des niçois à part entière. Le maire n’en est pas à une contradiction près. Il annonce tous les jours qu’il souhaite interdire les prières dans la rue, mais en même temps il refuse de faciliter l’édification d’un grand lieu de culte qui était la seule garantie de faire disparaître ces prières. C’est une immense responsabilité car c’est le retour à l’islam des garages et des caves dont l’immense majorité des musulmans ne veut pas. Depuis toujours, les niçoises et les niçois de confession musulmane espéraient être un jour, regardés, considérés comme les autres. Faire partie d’une même entité, Nissa la Bella. Aujourd’hui, encore plus que sous le règne de Peyrat, Christian Estrosi, vient de fermer les portes de la concorde, les portes du vivre ensemble.

Abderrazak FETNAN Conseiller Municipal (PS-Changer d’Ere)


Estrosi recule sur la grande mosquée : une victoire identitaire !

La campagne sur les prières musulmanes bloquant la rue de Suisse lancée depuis le 10 février par Nissa Rebela vient d’offrir aux identitaires une véritable victoire. En relançant le débat, fort ennuyeux pour la municipalité, de l’islamisation de notre ville et de la construction d’une nouvelle grande mosquée (réclamée par les représentants musulmans, notamment à travers l’outil politico-médiatique que sont les occupations de la voie publique par des prières) Nissa Rebela vient de gagner une bataille importante pour l’avenir de notre cité. L’article paru ce jour dans le quotidien gratuit 20 Minutes et intitulé « Nice n’aura pas de grande mosquée » symbolise pleinement cette victoire. Tout d’abord les identitaires ont fait éclater au grand jour la réalité de ces prières musulmanes bloquant la rue de Suisse. Une fois l’information lancée sur internet (avec une vidéo consultée par plus de 12 000 personnes), les médias comme les politiques ne pouvaient plus fermer les yeux. La pression mise dès lors sur ce sujet (et que nous ne comptons pas relâcher, en témoigne notre opération de vendredi prochain) a permis de faire cesser pour le moment cette occupation des rues à travers un accord entre la mairie et l’association gérant la salle de prière rue de Suisse. Pour la seconde fois ce vendredi, des bus ont acheminé les musulmans de la rue de Suisse à la mosquée de la Madeleine (où il y a manifestement de la place !). Aujourd’hui c’est même un proche de M. Estrosi pour les affaires de sécurité, Robert Bojanovich, qui est venu s’assurer sur place (nous y étions aussi) que les musulmans respectaient leur part du « deal ». Mais nous savons que cet accord – de manière tout à fait cynique et scandaleuse – ne porte que sur la période pré-électorale, et il est hors de question que nous laissions une situation que l’on peut manifestement régler se réinstaller avec le retour de ces prières de rue après les élections cantonales. En relançant la question de la « grande mosquée », Nissa Rebela a fait éclater dans les médias (avec une photo plus qu’éloquente aujourd’hui dans l’article de 20 Minutes) une autre vérité masquée et que nous dénonçons depuis novembre 2009 : une grande mosquée existe déjà à Nice ! Il s’agit de la mosquée Ar-Rahma de l’Ariane, pouvant accueillir 800 personnes

Dès lors, on comprend bien que ce que réclament les institutions musulmanes ce n’est pas simplement une mosquée qui soit grande par sa superficie, mais bien une mosquée qui soit grande par sa symbolique. Lieu imposant, central, qu’on imagine bien entendu aussi visible que possible, donc certainement doté d’un minaret et venant marquer de manière définitive l’implantation de l’islam dans notre ville. Enfin, grâce à une pression constante, s’appuyant – et Christian Estrosi le sait bien – sur un véritable soutien populaire sur cette question, contre la construction d’une nouvelle grande mosquée, Nissa Rebela a fait reculer Christian Estrosi. Lui qui avait affirmé à de nombreuses reprises depuis 2006 (et nous avions déjà, à l’époque, manifesté devant le Conseil Général) son soutien à la construction d’une grande mosquée, botte aujourd’hui en touche et cette solution ne semble plus trouver grâce à ses yeux.

C’est une vraie et belle victoire aujourd’hui, mais nous avons été trop habitués, depuis des années, à voir Christian Estrosi faire et défaire ses promesses au gré des contingences électorales pour que nous ne restions pas méfiants sur la suite des événements.

Nissa Rebela

03/03/2011

« Apéro porchetta-rosé » de Nice: illégal selon la préfecture !

Va t’on bientôt pouvoir manger ce qu’on veut bientôt chez nous ??? On nous arrose de halal et dès qu’on parle de bonne bouffe bien française, nous voilà « hors loi »…  Y’a pas un gros problème ???

FDF

.

Le groupuscule d’extrême droite Nissa Rebela, avait décidé d’organiser, vendredi, à 19 heures, à Nice, un « apéro porchetta-rosé », dans une rue du quartier de la Gare.

Lors de cet appel les membres du groupuscule avaient dénoncé, photos à l’appui, les prières musulmanes qui se déroulent, en plein air, dans cette rue.

Par pure provocation, Nissa Rebela avait fixé le rendez-vous de cet « apéro porchetta-rosé » devant une salle de prière.

Ce mercredi, la préfecture des Alpes-Maritimes a jugé cette manifestation illégale, tout en expliquant : « Les organisateurs ont déposé une demande tardive de manifestation » hors du délai de trois jours prévu par la loi.

Et si les organisateurs décident de maintenir cet apéro, ils s’exposent à des « sanctions pénales », soit six mois d’emprisonnement et 7.500 euros d’amende, indique Le Figaro.

Christian Estrosi, maire de Nice, a condamné cette manifestation « organisée dans le contexte des élections cantonales ».

« Je condamne avec la plus grande fermeté ce type de provocation, hélas coutumière, de ce mouvement extrémiste plusieurs fois condamné et avec lequel certains candidats n’ont pas hésité à s’unir dans la perspective des prochaines élections » a déclaré l’ancien ministre.

Des élus socialistes de la région avaient vivement protesté, mardi, contre la tenue de cet « apéro » à la thématique xénophobe.

Malgré l’illégalité de cette manifestation, les identitaires de Nissa Rebela demandent à leurs sympathisants de se rendre, vendredi, rue de la gare à Nice, rapporte Le Figaro.

Rappel :

Nissa Rebela a défrayé la chronique en 2005 en organisant des distributions, pour les plus démunis, de soupe au cochon qui excluaient de fait les personnes de confession musulmane et juive.

Une formation d’extrême-droite (FDF: horreur, malheur!) qui présente 15 candidats aux prochaines élections cantonales.

Source: http://tinyurl.com/4t9dnpd


27/02/2011

Mosquée de Nice: Estrosi fait marche arrière !!!

Et encore une victoire sur l’islamisation et sur la soumission de nos élus !

FDF

.


Estrosi recule sur la grande mosquée : une victoire identitaire !

Les islamo-vigilants et les estro-vigilants sont invités à venir fêter cette victoire lors de l’apéro-porchetta le vendredi 4 mars à 18h30

La campagne sur les prières musulmanes bloquant la rue de Suisse lancée depuis le 10 février par Nissa Rebela vient d’offrir aux identitaires une véritable victoire. En relançant le débat, fort ennuyeux pour la municipalité, de l’islamisation de notre ville et de la construction d’une nouvelle grande mosquée (réclamée par les représentants musulmans, notamment à travers l’outil politico-médiatique que sont les occupations de la voie publique par des prières) Nissa Rebela vient de gagner une bataille importante pour l’avenir de notre cité.

L’article paru ce jour dans le quotidien gratuit 20 Minutes et intitulé « Nice n’aura pas de grande mosquée » symbolise pleinement cette victoire.

Tout d’abord les identitaires ont fait éclater au grand jour la réalité de ces prières musulmanes bloquant la rue de Suisse. Une fois l’information lancée sur internet (avec une vidéo consultée par plus de 12 000 personnes), les médias comme les politiques ne pouvaient plus fermer les yeux. La pression mise dès lors sur ce sujet (et que nous ne comptons pas relâcher, en témoigne notre opération de vendredi prochain) a permis de faire cesser pour le moment cette occupation des rues à travers un accord entre la mairie et l’association gérant la salle de prière rue de Suisse. Pour la seconde fois ce vendredi, des bus ont acheminé les musulmans de la rue de Suisse à la mosquée de la Madeleine (où il y a manifestement de la place !). Aujourd’hui c’est même un proche de M. Estrosi pour les affaires de sécurité, Robert Bojanovich, qui est venu s’assurer sur place (nous y étions aussi) que les musulmans respectaient leur part du « deal ». Mais nous savons que cet accord – de manière tout à fait cynique et scandaleuse – ne porte que sur la période pré-électorale, et il est hors de question que nous laissions une situation que l’on peut manifestement régler se réinstaller avec l retour de ces prières de rue après les élections cantonales.

En relançant la question de la « grande mosquée », Nissa Rebela a fait éclater dans les médias (avec une photo plus qu’éloquente aujourd’hui dans l’article de 20 Minutes) une autre vérité masquée et que nous dénonçons depuis novembre 2009 : une grande mosquée existe déjà à Nice ! Il s’agit de la mosquée Ar-Rahma de l’Ariane, pouvant accueillir 800 fidèles. Dès lors, on comprend bien que ce que réclament les institutions musulmanes ce n’est pas simplement une mosquée qui soit grande par sa superficie, mais bien une mosquée qui soit grande par sa symbolique. Lieu imposant, central, qu’on imagine bien entendu aussi visible que possible, donc certainement doté d’un minaret et venant marquer de manière définitive l’implantation de l’islam dans notre ville.

Enfin, grâce à une pression constante, s’appuyant – et Christian Estrosi le sait bien – sur un véritable soutien populaire sur cette question, contre la construction d’une nouvelle grande mosquée, Nissa Rebela a fait reculer Christian Estrosi. Lui qui avait affirmé à de nombreuses reprises depuis 2006 (et nous avions déjà, à l’époque, manifesté devant le Conseil Général) son soutien à la construction d’une grande mosquée, botte aujourd’hui en touche et cette solution ne semble plus trouver grâce à ses yeux.

C’est une vraie et belle victoire aujourd’hui, mais nous avons été trop habitués, depuis des années, à voir Christian Estrosi faire et défaire ses promesses au gré des contingences électorales pour que nous ne restions pas méfiants sur la suite des événements. Nous invitons en tous cas tous les islamo-vigilants et estro-vigilants à venir fêter avec nous cette victoire lors de l’apéro-porchetta (auquel il faudra ajouter  quelques coupes de champagne !) que nous organisons le vendredi 4 mars à 18h30 rue de Suisse.

Source: http://www.bloc-identitaire.com/

21/01/2011

Coup de brosse à reluire ou dhimmitude?

C’est bien beau d’annoncer ça ainsi. Encore un coup de pub électorale. Celui qui lit ce titre et est un tant soit peu patriote va applaudir. Mais s’il lit la suite, il verra que Christian Estrosi approuve purement et simplement la construction de nouvelles mosquées; dirigées par des non-intégristes, bien sûr, les fanatiques d’Allah n’ont plus la cote . On ne change pas une équipe qui rampe…

FDF

.

  • Christian Estrosi : «Prier dans la rue doit être interdit»!

    Invité du Talk, le député-maire UMP de Nice estime qu’il serait normal de «favoriser l’émergence de lieux de culte pour que chacun puisse prier son dieu dans la dignité», à condition «qu’ils soient animés par des religieux qui ne prônent pas l’intégrisme», sous le contrôle du ministère de l’Intérieur.

  • Source: http://www.lefigaro.fr/