Francaisdefrance's Blog

26/01/2012

Ils sont forts, ces Chinois…

Un suicide…. C’est celà, ouiiiiiiiiiiiiiii.

Et tout en douceur, tout en silence… Sans haine ni violences bruyantes. La loi du Talion version soft. L’efficacité dans toute sa splendeur, car je suis sûr que les momos n’auront pas envie de recommencer…

FDF

Image d’illustration, bien sûr…

.

.

Rome : Assassinat d’une famille chinoise, un des tueurs marocains retrouvé pendu

Rome : Assassinat d’une famille chinoise, un des tueurs marocains retrouvé pendu

Cela va faire dix jours qu’on sait que Zhou Zeng, un commerçant chinois de 31 ans, et Joy, sa fillette de 6 mois, n’ont pas été assassinés à Rome par des Italiens racistes, comme les gros médias l’avaient seriné à l’envi [ci-dessus copie d’un des deux plus importants journaux italiens “Les Italiens toujours plus racistes”], mais par deux immigrés maghrébins. Déjà bien connus des services de police, ils s’étaient spécialisés dans les vols avec violences aux dépens des immigrés chinois. La société multiethnique est une société d’amour…

Les forces de l’ordre ont lancé une vaste chasse aux tueurs. Faute de résultats jusqu’à aujourd’hui, malgré les moyens mis en œuvre, les enquêteurs en étaient venus à penser que les maghrébins avaient réussi à passer la frontière pour se réfugier à l’étranger, « peut-être en France, un pays, explique La Repubblica, où la communauté marocaine est fortement enracinée ».

Pourtant, un des deux assassins, Mohamed Nasiri, 30 ans, a été retrouvé dans une cabane de la campagne de Rome. L’endroit est fréquenté par des amateurs de « soft air » : ce sont eux qui ont découvert Mohamed Nasiri et ont prévenu les carabiniers. Son cadavre était pendu à un crochet.

Le parquet de Rome et les carabiniers sont certains qu’il s’agit d’un suicide. Mohamed Nasiri a été formellement identifié. Son téléphone portable était resté dans sa poche. Les enquêteurs espèrent que son examen pourra fournir des indications pour retrouver le second tueur, toujours en fuite.

[cc] Novopress.info, 2012, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d’origine

28/12/2011

L’Algérie rit jaune et goûte aux bienfaits de l’immigration…

Chacun son tour. L’Algérie voit enfin ce que c’est d’apprécier l’immigration et ses bienfaits. Ce pays accueille en son sein des étrangers, à son tour. Chez nous, nous avons principalement bon nombre de « jeunes » issus de l’immigration (algérienne, d’ailleurs) qui se sont fait connaître par des actes de haine remarquables.

En Algérie, les Chinois débarquent; sans haine ni violence. Mais ce n’est pas pour semer la m…. C’est purement économique. Et les Chinois sont loin d’être idiots.

J’ai bien peur que l’Algérie vive ses derniers jours, en tant que pays du Maghreb.Bientôt une province Chinoise???

Le problème est que nous allons ENCORE voir arriver des « invités » qui vont être obligés de quitter leur pays; par la force des choses. 

On ne vous dit pas merci, les Chinois. Mais d’un autre coté, ce que vous faites au pays de Boutéflika les fera probablement réfléchir…

FDF

.

Bijour! C’est nous, les Tinois !!!

.

L’Algérie rit jaune ! — Mais c’est parfait çà ! …
             

C’est ce qu’on appelle l’effet boomerang :

Immigration en Algérie -Tiens, quelle surprise !


A lire absolument, ça ne manque pas de sel !

Ça mériterait d’être expliqué à nos habitants issus de l’immigration ….

Vu dans des extraits de journaux ça tombe pile en plein débat sur l’identité nationale….. !

Marrant non ? et où sont les donneurs de leçons ????

Les arroseurs arrosés.

*Depuis plusieurs semaines, la presse  algérienne se fait l’écho de tensions entre la communauté chinoise  installée en Algérie et la population locale.

*Tensions qui ont donné lieu  cet été à de graves agressions à l’encontre de ces immigrés  asiatiques et dont la violence a même poussé les autorités chinoises à intervenir auprès de leurs homologues maghrébins pour leur demander de mettre fin à ces pugilats. …..

* Les Chinois ont abusé de la gentillesse des Algériens.

* On  les a accepté malgré leurs défauts, aujourd’hui ils nous agressent chez nous, a déclaré  Mounir à l’A.F.P. —

« Ils boivent de l’alcool  devant leurs boutiques au vu et au su des Algériens et s’exhibent   parfois en short dans le quartier.

Ce sont des comportements contraires à notre  religion et notre culture », a précisé   Abdellah, un autre habitant du  quartier.

Des critiques que Song explique par « un sentiment de concurrence et de jalousie ».

A Bab Ezzouar, à Alger, plus de 200 commerces appartiennent à des Chinois.

« Leurs produits sont vendus à des  prix très compétitifs,ils sont ouverts tous les jours,  donc ils gagnent  de l’argent, ce qui déplaît aux Algériens », observe-t-il.


Étonnant,  non ?

Ces mêmes Chinois sont implantés en France depuis des lustres mais n’ont que rarement attisé le ressentiment des Français,

contrairement à  d’autres communautés.

Mais que les Algériens se rassurent, leurs immigrés Chinois

*ne brûlent pas encore le drapeau national dans la rue.

*n’imposent pas leurs coutumes alimentaires dans les écoles,

*n’exigent pas la construction de temples,

*ne réclament pas d’horaires de piscine aménagés,

* ne contredisent pas l’enseignement des sciences,

*se satisfont de médecins masculins pour leurs épouses,

*ne profitent pas indûment des aides sociales. – etc.,

etc….

.

Merci à CH…

13/10/2011

Les Chinois en Algérie travaillent pour vivre… Les Algériens sont offusqués…

Ah c’est sûr qu’il y a de quoi les foutre en boule, les Algériens… Surtout ceux qui profitent des largesses de la France… L’exemple d’intégration des Chinois en Algérie va à l’encontre des principes fondamentaux de celles et ceux qui profitent sans vergogne des « bienfaits de l’immigration » en France.

FDF

.

Immigration en Algérie -Tiens, quelle surprise !
 

A lire absolument, ça ne manque pas de sel !


Ça mériterait d’être expliqué à nos habitants issus de l’immigration ….
 
Vu dans des extraits de journaux, ça tombe pile en plein débat sur l’identité nationale….. ! Marrant non ? et où sont les donneurs de leçons ?


Les arroseurs arrosés. 
*Depuis plusieurs semaines, la presse  algérienne se fait l’écho de tensions entre la communauté chinoise  installée en Algérie et la population locale.*Tensions qui ont donné lieu  cet été à de graves agressions à l’encontre de ces immigrés  asiatiques et dont la violence a même poussé les autorités chinoises à intervenir auprès de leurs homologues maghrébins pour leur demander de mettre fin à ces pugilats. …..

* Les Chinois ont abusé de la gentillesse des Algériens.
* On  les a accepté malgré leurs défauts, aujourd’hui ils nous agressent chez nous, a déclaré  Mounir à l’A.F.P.
« Ils boivent de l’alcool  devant leurs boutiques au vu et au su des Algériens et s’exhibent   parfois en short dans le quartier.
Ce sont des comportements contraires à notre  religion et notre culture », a précisé   Abdellah, un autre habitant du  quartier.
Des critiques que Song explique par « un sentiment de concurrence
et de jalousie ».
A Bab Ezzouar, à Alger, plus de 200 commerces appartiennent à des Chinois.
«  Leurs produits sont vendus à des  prix très compétitifs,
ils sont ouverts tous les jours,  donc ils gagnent  de l’argent,
ce qui déplaît aux Algériens ».

Étonnant,  non ? Ces mêmes Chinois sont implantés en France
depuis des lustres mais n’ont que rarement attisé le ressentiment
des Français,
 
contrairement à  d’autres communautés…

Mais que les Algériens se rassurent, leurs immigrés Chinois
*ne brûlent pas encore le drapeau national dans la rue,
*n’imposent pas leurs coutumes alimentaires dans les écoles,
*n’exigent pas la construction de temples,
*ne réclament pas d’horaires de piscine aménagés,
* ne contredisent pas l’enseignement des sciences,
*se satisfont de médecins masculins pour leurs épouses,
*ne profitent pas indûment des aides sociales. – etc., etc…. 


06/07/2011

Mali: « Ne faites pas les hypocrites, on sait que vous buvez ! ».

J’ai trouvé le truc contre la construction des mosquées: ouvrir un bar à proximité !!! Allez: « hallal tienne » !

FDF

.

Au Mali, des islamistes font la tournée des bars…

Pfffffffffffffffff. Encore de l’eau…

.

Bamako: dans une rue caillouteuse et mal éclairée traversée par des rigoles d’eaux usées, un discret lampion rouge annonce l’Hôtel Mandarin dans la nuit bamakoise. Un établissement presque caché, à l’image des quelque cent autres « bars chinois » de la capitale malienne où l’on vient boire de l’alcool ou louer une chambre avec sa copine, sa maîtresse ou une prostituée.

A l’intérieur la poignée d’habitués du soir sont assis dans une salle minuscule plongée dans la pénombre. On distingue à peine leurs visages et les sachets de gin qu’ils versent dans les verres de bières Une décoration chinoise pend au plafond à côté du ventilateur qui disperse les cendres des cigarettes jetées au sol. Du rap français couvre le son de la télévision placée derrière le comptoir. Une soirée comme une autre pour ces hommes à l’abri de l’opprobre qui menace les buveurs comme une pluie d’orage dans ce Mali laïc mais musulman à 90%.

Jusqu’au moment où une dizaine de personnes entrent silencieusement et se dirigent droit vers le comptoir sans saluer. Etrange groupe. Des hommes âgés en tenue religieuse, des hommes en uniforme militaire, d’autres en vêtements de ville, une ou deux femmes. Le gérant chinois sort de nulle part, inquiet, et leur présente ses autorisations. Ils repartent. Ce sont des représentants du Haut Conseil islamique (HCI), de la société civile, de la mairie, de l’Office du tourisme et de l’hôtellerie (Omatho) et des forces de sécurité.

Depuis le mois de mai, des délégations similaires effectuent des descentes inopinées dans les établissements hôteliers des six communes de la capitale à fin de contrôler leurs autorisations. Une tournée des bars sans lever le coude décidée au ministère de l’Administration territoriale après la crise de foi d’une communauté musulmane.

« On caresse les islamistes dans le sens du poil »

A l’origine de cette affaire : le Flamboyant. Un bar-hôtel ouvert en 1996 par un député malien dans un quartier de la commune V, au sud du fleuve Niger. Au début des années 2000, la communauté musulmane locale bâtit une mosquée sur un terrain proche. Dès lors les fidèles n’auront de cesse de se plaindre de la proximité de ce gênant voisin où l’on consomme alcool et femmes. Deux rapports de l’Omatho – qui délivre les agréments – ont conclu que la coexistence ne posait pas de problème.

« La mosquée est venue après l’hôtel et les deux édifices sont distants d’une centaine de mètres », indique Moussa Martin Tessougue, responsable du district de Bamako. Son jugement est délicat. Un décret de 2006 stipule bien qu’« aucun établissement de tourisme ne peut être établi à proximité des lieux de culte », mais aucune distance n’est précisée. « C’est à nous d’apprécier. »

Désavouée, cette communauté de quartier a pourtant obtenu du gouvernement l’organisation du recensement après avoir étendu sa lutte aux bars clandestins. « Le ministère de l’Administration territoriale n’a pas tenu le même langage de fermeté à leur égard que la mairie », rapporte un connaisseur du dossier qui regrette que l’on « caresse les islamistes dans le sens du poil » et que « l’intolérance religieuse s’affirme de plus en plus au Mali ».

« Les wahhabites veulent conquérir l’Etat »

Au-delà de ce combat légitime pour la fermeture des bars qui ne respectent pas la loi, un certain nombre de religieux rêvent tout haut de la disparition pure et simple des lieux de vente d’alcool. Imam d’une mosquée de la commune VI à la barbichette blanche et doux comme un agneau, Saloum Traoré n’en est pas moins vindicatif et sans nuance à l’égard de ceux qui boivent. « Ils ne respectent personne, abandonnent l’école et ne veulent pas travailler », assène-t-il. Il est « à 100% » avec les protestataires de la commune voisine.

De là à imaginer un raz-de-marée humain prohibitionniste, il y a un pas que Gilles Holder ne franchit pas. « On est plutôt sur un enjeu local », analyse le chercheur de l’Institut de recherche pour le développement de Bamako, » même si on constate un empiètement de plus en plus ponctuel du religieux sur les lieux publics ».

La question des bars est loin de faire l’unanimité entre les organisations religieuses musulmanes. « Il y a une compétition interne entre les sunnites réformés [wahhabites, ndlr] qui sont à la tête du HCI et les associations malékites qui prônent un islam modéré, moins arabisé », explique l’anthropologue.

« Ces derniers acceptent l’Etat tel qu’il est alors que les premiers veulent le conquérir. »

A la tête d’Ançar dine, qui n’est pas une conserverie de poissons mais un mouvement religieux populaire, Ousmane Madane Haïdara s’est prononcé contre la fermeture des bars en période de ramadan souhaitée par d’autres. Cette fronde anti-bars, bien que limitée, doit être mise en relation avec l’évolution de la consommation d’alcool au Mali.

Dans la rue, la pub pour la bière moque l’hypocrisie malienne

Dans la rue ou au cinéma les Bamakois n’échappent plus aux publicités pour les différentes marques de bières brassées par Les Brasseries du Mali (Bramali). Derrière des slogans plats tels que « Appréciée au Mali et partout dans le monde », les alcooliers semblent lancer aux Maliens :

« Ne faites pas les hypocrites, on sait que vous buvez ! »

Une publicité pour la bière Guinness, dans les rues de Bamako (Fabien Offner).

Bramali a organisé en juin la Fête de la musique et sponsorise à tout va jusqu’aux compétitions de pétanque. « L’organisation d’événements progresse d’année en année », rapporte un responsable de Bramali qui tient à son anonymat. « La production augmente aussi », dit-il du bout des lèvres sans donner de chiffres.

« C’est un sujet délicat. »

Néanmoins, le Mali n’est pas l’Occident. « Il existe au Mali des interdits qui ne sont pas interdits pas la loi », sourit le responsable.

« Vous ne verrez jamais une fille dénudée en train de boire une bière sur nos publicités, et la télévision publique s’interdit de diffuser des publicités pour de l’alcool. Il y a autocensure. »

Même les buveurs sont contre la libéralisation de l’alcool

Dans cette société où la consommation d’alcool reste taboue, les bars chinois sont tout indiqués pour aller s’envoyer quelques blondes à l’abri des regards. Ils sont le plus souvent gérés par des Chinois pour le compte de propriétaires maliens. Des ouvriers, des instituteurs, de jeunes diplômés. « Il n’y a pas de profil type, explique Françoise Bourdarias. Les réseaux commerçant maliens étant particulièrement bien installés et influents, ces migrants ont cherché d’autres marchés et ont misé sur ce secteur inexploité ».

Au Mandarin le passage éclair de la délégation a délié les langues. « Mêmes les gens de la mosquée viennent ici ! » s’insurge un militaire à la retraite, client régulier selon qui « tu ne trouveras pas une famille où il n’y a pas un buveur ». Son voisin M.Kanté ne dit à personne qu’il boit « pour l’honneur de ma famille ». « Si on sait que tu bois, tu ne seras plus écouté et aucun père ne te donnera la main de sa fille », explique le militaire.

Aucun d’eux ne souhaite la libéralisation de la consommation d’alcool. Buveurs, ils n’en sont pas moins croyants, pratiquants et attachés aux traditions. M.Kanté veut simplement avoir le droit de se cacher dans « des lieux propres et dignes ».

Photo : une publicité pour la bière Guinness, dans les rues de Bamako (Fabien Offner).

Source: http://www.rue89.com/

07/04/2011

Résistance…

Un peu d’humour dans ce monde de muzz… Contre l’islam, une nouvelle arme de destruction massive est née…

FDF

.

06/04/2011

L’Algérie rit jaune!

Vue imprenable sur Alger…

L’info n’est pas récente mais quel plaisir de voir l’arroseur arrosé… Ben les momos, faudra vous y faire. Vous allez connaître les bienfaits du « vivre ensemble ». Et encore, les chinois ne sont pas aussi emmerdeurs et arrogants que vous l’êtes chez nous… Un conseil: n’allez pas traîner dans leurs « quartiers »; ce serait du suicide. Eh oui…

FDF

.

C’est ce qu’on appelle l’effet boomerang…

Tiens, quelle surprise !!!

LA MEILLEURE

Ça mériterait d’être expliqué à nos habitants issus de l’immigration ….

Vu dans des extraits de journaux ça tombe pile en plein débat sur l’identité nationale…. !

Marrant non ?

et ils sont où les donneurs de leçons ????

Vous allez rire, elle est bien bonne ….!!!!!

Les arroseurs arrosés.

Depuis plusieurs semaines, la presse  algérienne se fait l’écho de tensions entre la communauté chinoise  installée en Algérie et la population locale.

Tensions qui ont donné lieu  cet été à de graves agressions à l’encontre de ces immigrés  asiatiques et dont la violence a même poussé les autorités chinoises à intervenir auprès de leurs homologues maghrébins pour leur demander de mettre fin à ces pugilats. …..

Les Chinois ont abusé de la gentillesse des Algériens !

On les a accepté malgré leurs défauts, aujourd’hui ils nous agressent chez nous, a déclaré Mounir à l’A.F.P.

« Ils boivent de l’alcool  devant leurs boutiques au vu et au su des Algériens et s’exhibent parfois en short dans le quartier.

Ce sont des comportements contraires à notre  religion et notre culture », a précisé Abdellah, un autre habitant du  quartier.

Des critiques que Song explique par « un sentiment de  concurrence et de jalousie ».

A Bab Ezzouar, à Alger, plus de 200 commerces appartiennent à des Chinois.

 » Leurs produits sont vendus à des  prix très compétitifs, ils sont ouverts tous les jours, donc ils gagnent  de l’argent, ce qui déplaît aux Algériens », observe-t-il.

Étonnant,  non ?

Ces mêmes chinois sont implantés en France depuis des lustres mais n’ont que rarement attisé le ressentiment des Français, contrairement à  d’autres communautés.

Mais que les Algériens se rassurent,
– leurs immigrés chinois ne brûlent pas encore le drapeau national dans la rue, n’imposent pas leurs coutumes alimentaires dans les écoles,

– n’exigent pas la construction de temples   – ne réclament pas d’horaires de piscine aménagés,

– ne contredisent pas l’enseignement des sciences,

– se satisfont de médecins masculins pour leurs épouses,

– ne profitent pas indûment des aides sociales.

– etc., etc….

19/12/2010

Algérie: les « arroseurs arrosés »…

Les chinois d’Algérie sont une communauté qui aspire à vivre en paix. Alors, quand on les cherche…

Ça mérite d’être expliqué à nos habitants issus de l’immigration… Et ils sont où les donneurs de leçons ? Quand les rôles s’inversent, ce n’est plus la même. Encore une fois, la « religion » de tolérance a parlé…Vous allez rire…

FDF

.

Depuis plusieurs semaines, la presse algérienne se fait l’écho de tensions entre la communauté chinoise installée en Algérie et la population locale. Tensions qui ont donné lieu cet été à de graves agressions à l’encontre de ces immigrés asiatiques et dont la violence a même poussé les autorités chinoises à intervenir auprès de leurs homologues maghrébins pour leur demander de mettre fin à ces pugilats. ..
« Les Chinois ont abusé de la gentillesse des Algériens. On les a accepté malgré leurs défauts, aujourd’hui ils nous agressent chez nous », a « pleuré » Mounir à l’ A.F.P.
« Ils boivent de l’alcool devant leurs boutiques au vu et au su des Algériens et s’exhibent parfois en short dans le quartier. Ce sont des comportements contraires à notre religion et notre culture », a précisé Abdellah, un autre habitant du quartier.
Des critiques que Song explique par « un sentiment de concurrence et de jalousie » A Bab Ezzouar, à Alger, plus de 200 commerces appartiennent à des Chinois. « Leurs produits sont vendus à des prix très compétitifs, ils sont ouverts tous les jours, donc ils gagnent de l’argent. Ce qui déplaît aux Algériens », observe-t-il. Etonnant, non ? Ces mêmes chinois sont implantés en France depuis des lustres mais n’ont que rarement attisé le ressentiment des Français, contrairement à d’autres communautés.
Mais que les Algériens se rassurent, leurs immigrés chinois ne brûlent pas encore le drapeau national dans la rue, n’imposent pas leurs coutumes alimentaires dans les écoles, n’exigent pas la construction de grands temples bouddhistes ou taoïstes, ne réclament pas d’horaires de piscine aménagés, ne contredisent pas l’enseignement des sciences, se satisfont de médecins masculins pour leurs épouses, ne profitent pas indûment des aides sociales etc…

03/12/2010

« Lèche abondamment mes fesses » (proverbe chinois)…

Des réflexions pillées chez Michel Garrotté… Pas mal du tout.
FDF
.
C’est encore une de ces histoires typiquement françaises. Je m’explique. Dans le monde économique de 2010, il est normal de faire du business, y compris du business avec des pays dont les régimes restent peu recommandables. Quiconque affirme le contraire, n’a jamais travaillé dans l’économie privée et n’a donc jamais vécu autrement qu’avec l’argent des autres, les autres étant les contribuables.
Cela dit, faire du business avec des pays dont les régimes restent peu recommandables, n’a jamais impliqué, que l’on lèche abondamment les fesses, de ces mêmes régimes. L’Allemagne fait du business avec l’Iran. Mais la CDU allemande, n’a pas pour autant, créé un think-tank, avec le parti de Mahmoud Ahmadinejad ou avec le Guide suprême de la République islamique d’Iran.
L’Italie fait du business avec la Libye. Mais le parti de Berlusconi, n’a pas pour autant, créé un think-tank, avec la Jamahiriya libyenne. Le Royaume Unis fait du business avec la Turquie. Mais le parti des Tories, n’a pas pour autant, créé un think-tank, avec le parti islamique d’Erdogan. Il en va, hélas, tout autrement de la France.
En effet, lorsqu’il était encore Secrétaire général de l’UMP, Xavier Bertrand, nous avait, on va dire, « surpris », en signant un mémorandum avec le Parti communiste chinois… Or, voici que Jean-François Copé est, en ce moment même, à Pékin, avec le sinophile sans états d’âme Jean-Pierre Raffarin, Sénateur devant l’Eternel, pour ceux qui l’auraient oublié.
Il se raconte, même, que ce sont les autorités de Pékin, qui ont demandé, à Jean-Pierre Raffarin, de prendre Jean-François Copé dans sa valise diplomatique. Car, oui, en effet, le Sire Raffarin, est un fan complaisant de l’Empire du Milieu et il l’a encore démontré, content de lui, tout récemment, au Grand Journal de Canal+ (ce qui n’empêche pas Raffarin de rester, en sa simple qualité de personne humaine, quelqu’un d’apaisant, de débonnaire et d’humoristique à ses heures). En réalité, pour tout vous dire, la lune de miel umpo-communiste est un véritable feu d’artifice.
En effet, Copé (un homme par ailleurs assez sympathique et plutôt avisé) rencontre deux des neuf membres du comité permanent du bureau politique du Parti communiste chinois, autrement dit, deux très hauts dignitaires de la machine à broyer totalitaire chinoise. Copé est reçu par le Vice-ministre Chen Fengxiang, Numéro Deux du Département international du Parti communiste, Vice-ministre Chen Fengxiang qui remet à Copé une Lettre de Félicitations pour sa désignation à la tête de l’UMP.
Lettre de Félicitations signée par le Numéro Un du Département international du Parti communiste. Copé-le-Pékinois-nouveau veut maintenant, tenez-vous bien, un accord, pour faire vivre, la relation avec les schnocks mandarins, par des rendez-vous réguliers, notamment au niveau des clubs et des think-tanks. Copé est invité à revenir en Chine totalitaire, avec une délégation UMP of course, en 2011 déjà. Il paraît, qu’en plus, ces échanges nourrissent la plate-forme de Sarkozy pour les présidentielles de 2012.
Trois questions méchantes me viennent à l’esprit :
1-    A ce jour, le Fonds souverain chinois a prêté et prête encore (à intérêt) combien de milliards de dollars à l’Etat français ?
2-    Les clubs et les think-tanks UMP/PCC financent-ils les premiers cercles de la droite française en vue de l’échéance de 2012 ? (Ne dit-on pas que « ces échanges nourrissent la plate-forme de Sarkozy pour les présidentielles de 2012 » ?).
3-    Des clubs et des think-tanks UMP/CNI, UMP/LDL, UMP/LPR et UMP/PCD (par exemple) sont-ils à l’ordre du jour ? Ou est-ce que seul le Parti communiste chinois fait l’objet de telles largesses (d’esprit) et avec que type de largesse compensatoires (financières ?) en retour ?
J’ai déjà écrit, à maintes reprises, que je me sens, intellectuellement, proche de l’aile droite de l’UMP. Mais là, avec le think-tank-la-lèche, j’avoue que ma langue a fourché, que j’ai un peu peur pour mes fesses et que je suis légèrement largué…
Michel Garroté http://monde-info.blogspot.com/

23/11/2010

L’emmerdeur emmerdé…

A lire absolument, ça ne manque pas de sel !!!

LA MEILLEURE !


Ça mériterait d’ être expliqué à nos habitants issus de l’ immigration …. Vu dans des extraits de journaux…



Et ils sont où les donneurs de leçons ??????

Vous allez rire, elle est bien bonne ….!!!!!
Les arroseurs arrosés …. Depuis plusieurs semaines, la presse algérienne se fait l’écho de tensions entre la communauté chinoise installée en Algérie et la population locale. Tensions qui ont donné lieu cet été à de graves agressions à l’encontre de ces immigrés asiatiques et dont la violence a même poussé les autorités chinoises à intervenir auprès de leurs homologues maghrébins pour leur demander de mettre fin à ces pugilats. …
« Les Chinois ont abusé de la gentillesse des Algériens »…

On les a accepté malgré leurs défauts, aujourd’hui ils nous agressent chez nous », a déclaré Mounir à l’ A..F.P.

« Ils boivent de l’alcool devant leurs boutiques au vu et au su des Algériens et s’exhibent parfois en short dans le quartier. Ce sont des comportements contraires à notre religion et notre culture », a précisé Abdellah, un autre habitant du quartier.
Des critiques que Song explique par « un sentiment de concurrence et de jalousie ».

A Bab Ezzouar, à Alger, plus de 200 commerces appartiennent à des Chinois. « Leurs produits sont vendus à des prix très compétitifs, ils sont ouverts tous les jours, donc ils gagnent de l’argent. Ce qui déplaît aux Algériens », observe-t-il. Étonnant, non ? Ces mêmes Chinois sont implantés en France depuis des lustres mais n’ont que rarement attisé le ressentiment des Français, contrairement à d’autres communautés.
Mais que les Algériens se rassurent, leurs immigrés Chinois ne brûlent pas encore le drapeau national dans la rue, n’imposent pas leurs coutumes alimentaires dans les écoles, n’exigent pas la construction de grands temples bouddhistes ou taoïstes, ne réclament pas d’horaires de piscine aménagés, ne contredisent pas l’enseignement des sciences, se satisfont de médecins masculins pour leurs épouses, ne profitent pas indûment des aides sociales etc…

Source : Luc Pécharman, à diffuser sans modération