Francaisdefrance's Blog

09/02/2012

Leçon de français…

Avec tous les commentaires pratiquement incompréhensibles que je reçois qui émanent des « bienfaits de l’immigration », j’ai pensé (ça m’arrive…) que rien ne vaut un bon poème pour parfaire leur connaissance de notre langue. En fait, je participe à ma façon à l’intégration de ces pauvres « jeunes » qui ont du mal car ils se sentent rejetés. Merci qui?

FDF

.

Que c’est beau, dommage que l’auteur doive se dissimuler
pour ne pas être traité de raciste ou pire.

Évocation douce-amère
Mais pourquoi le taire
Le couscous nous savons le faire
aussi bien que ta mouquère

Tu l’as voulue l’indépendance,
Tu réclames même la repentance
Alors que fais-tu en France
Baladant ton arrogance?

Avec toute ta famille,
Tes femmes et tes filles,
Que les voiles entortillent
Notre économie tu bousilles

Tes fistons cambriolent,
D’autres plus marioles
sont dans la fumerolle
et roulent en belles bagnoles.

Tu ne connais pas le travail,
Pour toi c’est l’épouvantail,
A sa vue, tu bailles,
Et même tu défailles…

Tu es couvert par la Secu,
Tu as en plus la CMU,
Et tu restes à l’affût
Tu rêves en plus d’être élu…

En plus tu promets l’Islam,
A genoux sur le macadam,
Tu fêtes le ramadan.
Et des fatwa tu brames.

Alors petit maghrébin
Avec sous le bras tes bambins
Et tout ton saint-frusquin

Va retrouver ton président faquin.

La France n’est pas biculturelle
Vous êtes notre érésipèle
Plus même, nos écrouelles

.

QUAND REVIENDRA-T-IL CHARLES MARTEL?
Ronsard ne nous avait il pas prévenus ?

.

France de ton malheur tu es cause en partie,
Je t’en ai, par mes vers, mille fois avertie.
Tu es marâtre aux tiens, et mère aux étrangers
Qui se moquent de toi quand tu es en danger,
Car la plus grande part des étrangers obtiennent
Les biens, qui à tes fils, justement appartiennent.

Pierre de Ronsard (1524 -1585)
Et ces vers datent bien du XVIème siècle !

Merci à Francinette…

16/12/2011

Shariah4denmark in action!

Charia…

.

Il est vrai qu’avec tous les « témoignages » que l’on fait à leur intention, les islamistes n’ont pas l’air de comprendre le message et continuent à faire la sourde oreille. Ils s’accrochent à leurs principes primaires de conquête par la violence. J’ai bien peur que l’on finisse pas mettre de côté la phrase biblique chrétienne: « tendre l’autre joue » (Ne pas se défendre contre une attaque ou une humiliation pour se montrer le plus fort.)… Nous allons y être obligés.

FDF

.

ILS SONT PARTOUT    EN 732  CHARLES MARTEL LES AVAIT ARRETES  A POITIERS (ou à moitié –  je ne sais plus)  mais désormais ils sont  dans les pays d’EUROPE du Nord  –  AUSSI –   bientôt,  si ce n’est déjà le cas, ils seront  aussi au Pôle Nord –

MA QUESTION : pourquoi s’accrochent-ils  dans des pays qu’ils détestent  ou se trouvent des populations qu’ils détestent ??????  nous ne voulons ni de leur sharia ni de leur islam  ni de leur prophète pédophile –  NOTRE COUR EUROPEENNE ayant,  déjà depuis longtemps, dit, par arrêts (2) que leur sharia est incompatible avec notre démocratie, nous allons devoir les inviter à quitter nos terres.

JC JC

.

REVEILLONS-NOUS   AVANT QU’IL NE SOIT TROP TARD   !!!!!!

Voir:

http://youtu.be/sNzn3bCvkRI

.

Pas besoin de traduction: regardez…

25/11/2011

L’école continue à « s’ouvrir à la vie »: la prière musulmane IMPOSEE aux élèves de 5e !

On n’attend pas que nos enfants aient grandi: on les endoctrine tant qu’ils sont malléables et corvéables… Quelle honte. Enfin, la honte est pour ceux qui laissent faire ça. Et nous les premiers.

Si on continue de ne pas s’insurger, nos petites têtes blondes vont tôt ou tard apprendre le maniement des ceintures d’explosifs…

FDF

.

Selon que vous serez puissant ou misérable, apprenions-nous en classe de 6ème ou de 5ème, avec ce bon Monsieur Jean de La Fontaine…

En 2011, le fabuliste, critique acerbe des défauts et des tares de la société de son temps, pourrait écrire : selon que vous serez musulman ou tous les autres, les jugements des cours de justices, les avis professionnels des adhérents et des Présidents des syndicats de magistratures, des médias leurs courtisans, et aussi ceux des ministres devenus des exécutants, vous feront pour les mêmes faits ou pour des faits approchant, « blanc ou noir », coupable ou excusable et donc… innocent ou coupable.

On se souviendra du scandale et de la honte des sanctions décidées à l’encontre d’une enseignante d’Histoire d’un établissement secondaire de Nancy.

Catherine Ventura Pederzoli avait en effet eut l’outrecuidance partisane, l’inconvenance sectaire, « l’autocentrage communautariste », de prononcer quatorze fois le mot « shoah », pendant un cours d’Histoire auquel assistaient deux braves pandores d’inspecteurs de l’éducation nationale*1

Nos deux inspecteurs ne purent retenir leur indignation légitime…

Pareille instrumentalisation, scandaleusement partisane, de l’enseignement de l’Histoire ne pouvait continuer plus longtemps. Pensez, employer un mot hébreu *1 dans une classe de France… Rendez-vous compte, utiliser un hébraïsme, un mot choisi par les Juifs eux-mêmes pour désigner un phénomène les concernant, pour qualifier une action d’ État encore inconnue jusqu’alors dans l’histoire humaine, à savoir : quatre années de traque quotidienne d’une population toute entière, les pauvres comme les riches, les riches autant que les pauvres, les femmes et les enfants autant que les hommes, les vieillards et les moribonds autant que les jeunes et les biens portant, puis deux de ces quatre années pendant lesquelles on choisira de privilégier, sur les trains de munitions et de troupes fraiches, les convois destinés à remplir la chambre à gaz d’Auschwitz.

Les témoignages écrits laissés et retrouvés, des ghettos « transférés » et « transportés », disent : ces moribonds exécutés dans leur lit de mort, ces paralytiques jetés d’une fenêtre avec leur fauteuil, ces gamins faméliques tués d’une balle dans la tête, sans autre forme de procès, parce qu’ils avaient ramené, ces « rats », un peu de provisions, depuis la ville polonaise contiguë, pour que leur famille affamée tienne encore quelques jours.

Quatre années d’enfermement sans vivre, quatre années de souffrances multiples, de fusillades, quatre années d’arrestations et de déportations- pour finir enfermés entre des miradors et des barbelés électrifiés, mis en esclavage, « nourri » de soupe claire ou d’épluchures de patates, pour travailler quelques temps pis qu’un forçat et mourir d’épuisement, ou pour être directement envoyés à la chambre à gaz.

Rien de très spécifique donc, rien qu’un « génocide » comme un autre, pensaient nos deux braves bougres d’inspecteurs, étouffant d’impatience devant l’inconvenance partiale de l’enseignante.

Ils ne le lui firent pas dire deux fois. On connaît la suite

Depuis, de l’eau a coulé, sous le pont de l’édifice scolaire vermoulu, qui prend eau de partout et menace de s’effondrer.

L’école poursuit néanmoins à « s’ouvrir sur la vie ».

Apprendre l’arithmétique, faire les quatre opérations de base, pfu !! Quelle importance ? Les enfants n’ont-ils pas tous une calculette, pourquoi leur embarrasser l’esprit avec les tables de multiplication ?

Apprendre l’histoire du pays ? Quel intérêt, puisque le pays est destiné à être dissout, coûte que coûte, dans cette extraordinaire « Europe » de l’euro et de la bureaucratie bruxelloise qui sait tout sur tout et décide de tout pour tout. Essayons donc d’inventer une « Histoire » globale.

Venez au fait, va-t-on me dire. Où voulez vous en venir ?

Où je veux en venir ? S’il est devenu sectaire, « communautariste » même, d’employer un mot hébreu, Shoah, pour désigner la mise à mort planifiée et industrialisée de toute une population, les Juifs de tous les pays, par toute la machinerie étatique d’une nation, l’Allemagne, et par l’association à cette besogne de mise à mort des structures policières et économiques des États conquis et soumis par celle-ci, -extermination à laquelle se sont volontairement associés le Mufti Husseini et ses acolytes-, il n’est pas du tout sectaire, il n’est pas du tout communautariste… « D’imprégner » les enfants scolarisés, aux senteurs et aux émotions spirituelles de l’islam. C’est recommandé, même. C’est l’ouverture, bien comprise, sur la « diversité » et sur « l’interculturalité ».

C’est ainsi que les élèves de classe de 5ème du collège Saint-Pierre des Essarts de la Roche sur Yon ont été emmenés visiter une mosquée.

C’est ainsi aussi qu’après un échange avec un monsieur Ali Ben Saada, aumônier près d’une maison d’arrêt, on les a fait se mettre en position de prière, sur les tapis prévus à cet effet…

On se demandera peut-être : comment aurait réagi les élèves et les parents d’élèves musulmans si on les avait emmenés dans une église ou une synagogue et qu’on leur ait demandé de s’y mettre en position de prière chrétienne ou juive, après ou avant avoir échangé avec le Pasteur, le Rabbin ou le Curé?

On connaît tous la réponse : Quelques véhicules et des poubelles de la Roche-sur-Yon auraient spontanément pris feu… des imams saoudiens, tunisiens, égyptiens, auraient prononcé des discours belliqueux. Ces hommes de religion de paix auraient dénoncé l’entreprise « américano-sioniste », visant à lutter contre l’islam, en cherchant hypocritement, par la ruse, à provoquer « l’apostasie », à favoriser la conversion de jeunes musulmans à une autre religion que la « vraie ».

Que va-t-il se passer ?

L’administration centrale du ministère, l’inspection générale, les « syndicats » d’enseignants, que vont-il faire ? Que vont dire, les uns et les autres ?

Vont-ils crier au scandale, vont-ils s émouvoir de la grossière violation de la liberté de conscience, celle de jeunes collégiens vendéens ? Vont-ils dénoncer la démolition, consciente ou inconsciente, de la laïcité qui est un des moyens pour la garantir ?

A l’inverse, FSU et tutti quanti, administration centrale, ministère, médias, vont-ils trouver tout à fait convenable une honteuse besogne d’endoctrinement religieux ?

Vont-ils même en féliciter les auteurs, comme étant d’audacieux précurseurs de la nouvelle laïcité parfumée à l’interculturalité, favorisant « la diversité » et le nouveau « vivre ensemble »?

Comme je le disais plus haut, on pourrait parler d’information concernant  le phénomène religieux, on pourrait parler de parcours scolaire neutre et non d’endoctrinement, si… si les mêmes élèves étaient emmenés, dans les mêmes conditions, dans une église, un temple, une synagogue, à une réunion de l’union des athées ou visiter le grand-orient ou un autre ordre franc-maçon, etc.

Nous connaissons tous la réponse de tous ceux que nous évoquions : vous n’y pensez pas ! Il ne s’agit pas de donner des informations neutres et pluralistes, il s’agit seulement du « vivre ensemble » et de « l’interculturel ». Il ne s’agit que de connaître, pour les jeunes chrétiens et/ou athées, ce qui fait foi, et loi absolue s’imposant à la conscience de leurs condisciples ou voisins musulmans. Il ne s’agit que de se mettre en situation, pour mieux comprendre et admettre de laisser l’espace revendiqué par leurs émotions et croyances…

Par contre, inviter les jeunes voisins et les condisciples musulmans a s’informer et à se mettre eux aussi en situation de comprendre ce qui amène l’émotion religieuse chrétienne, bouddhiste, juive, ou la conviction irréligieuse, ah ça, vous n’y pensez pas ! Ce serait les offenser. Ce serait aussi les « stigmatiser », les discriminer, puisque leur culture, qu’il faudrait « religieusement » respecter, -sans quoi on serait raciste-, ne les autorise pas à s’intéresser à des données non-religieuses ou religieuses autres.

Ce serait de l’impérialisme culturel. Ce serait du pur et simple et ignoble… néocolonialisme !!

En d’autres termes et pour résumer : Selon que vous serez imam ou autre chose, curé, rabbin, frère trois points, vous serez déclarés : innocent ou coupable, vous aurez ou vous n’aurez pas le droit « d’imprégner » les enfants scolarisés de vos croyances ou de vos convictions.

Quand même, mes concitoyens et concitoyennes, vous ne trouvez pas que cela commence à faire beaucoup, trop même ?

1789 avait répondu à la problématique de Jean de La Fontaine. Faudra-t-il nous aussi attendre quatre vingt ans, avant de briser le système oppressif que certains mettent en œuvre aujourd’hui pour liquider l’héritage de nos anciens ?

Alain Rubin

*1 en 2011, on devrait plutôt parler de « l’inéducation antinationale ».

En effet, pour ne pas offenser les croyances religieuses et autres des enfants de populations accueillies dans notre pays, le pouvoir scolaire, soutenu en cela par des « syndicalistes » de cette profession, débarrasse l’enseignement du « superflu » faisant perdurer d’éventuelles causes de gêne : Le français est devenu comme une survivance. On peut le parler et l’écrire comme on veut, ce serait sans importance.

On peut donc cesser de se comprendre ; et la République « une et indivisible » doit devenir un souvenir d’une époque révolue destinée à l’oubli.

L’ Histoire doit cesser d’être l’enseignement d’une chronologie précise d’événements politiques, de phénomènes sociaux et de découvertes scientifiques et d’innovation technologiques datées, pour devenir un fourre-tout idéologique, une mélasse « transverse ».  On ne devrait plus savoir qui étaient les deux hommes qui ont calculé la vitesse de la lumière, où, quand et comment, parce que l’on devrait ânonner que l’Europe et le monde doivent leurs connaissances et leur technologie à « Al Andalûs »  et à la religion mahométane.

Pour ne pas choquer, Charles Martel n’a plus jamais arrêté les Arabes à Poitiers. Après ce non-événement de 732, il n’y a plus eu deux siècles de guerres locales et de dévastations, dans les régions méridionales du pays, guerres résultant des actions de brigandages, pillardes et esclavagistes, des débris des armées djihadistes. On ne saura donc plus, on ne devra plus savoir, et c’est un ordre, -ouverture à la diversité oblige-, pourquoi il existe en France un massif des maures.

On parlera de l’esclavage, mais seulement pour fustiger le colonialisme européen qui y mit fin.

On parlera d’empires africains, mais on ne dira pas qu’ils furent impactés et profondément remaniés par la conquête arabo-musulmane de l’Afrique.

On ne devra surtout pas dire aux élèves, qui pourraient en être choqués : que ces empires africains deviendront des organisations « étatiques » de courtiers, à base essentiellement clanique, des organisations de courtiers militaro-esclavagistes vendant de la chair humaine noire aux razzieurs arabes, puis aux négociants européens. On ne devra surtout pas dire que le Soudan de Khartoum  reste, en 2011, une vaste plaque tournante négrière et l’héritier de cette terrible époque.

Beaucoup d’autres choses devront désormais disparaître des livres et des cours d’Histoire, et surtout ne pas s’y inviter…

Si l’on avait dû suivre le raisonnement tortueux de nos deux pandores déguisés en inspecteurs contrôlant le contenu et les méthodes de l’enseignement : en donnant un cours d’Histoire abordant les deux révolutions russes, il aurait fallu prohiber le mot soviet pour le remplacer par conseil.

Comme le mot hébreu shoah, le mot russe, soviet, est passé dans toutes les langues. Pratiquement toutes les langues connaissent et disent « soviet », lorsqu’elles veulent parler d’une forme particulière de représentation élue et révocable, d’abord organisation d’ouvriers, puis de paysans et de soldats ; elles distinguent, à juste titre, cette représentation d’autres qui s’en approchent mais présentent des différences et n’ont pas exactement le même contenu ni les mêmes effets sur la société. Le mot République lui-même…

Source: http://ripostelaique.com/

14/11/2011

Hommage au couscous.

Petit poème à la mode de « A.K. »…
FDF

.

Seul résultat positif, pour nous, de cent quatre-vingts années de « dialogue des civilisations », ici et là-bas:  Le couscous!

Evocation douce-amère

Mais pourquoi le taire

Le couscous nous savons le faire

aussi bien que ta mouquère

Tu l’as voulue l’indépendance,

Tu réclames même la repentance

Alors que fais-tu en France

Baladant ton arrogance?

Avec toute ta famille,

Tes femmes et tes filles,

Que les voiles entortillent

Notre économie tu bousilles

Tes fistons cambriolent,

D’autres plus marioles

sont dans la fumerolle

et roulent en belles bagnoles.

Tu ne connais pas le travail,

Pour toi c’est l’épouvantail,

A sa vue, tu bailles,

Et même tu défailles…

Tu es couvert par la Secu,

Tu as en plus la CMU,

Et tu restes à l’affut

Tu rêves en plus d’être élu…

En plus tu promeus l’Islam,

A genoux sur le macadam,

Tu fêtes le ramdam.

Et des fatwa tu brames.

Alors petit maghrébin

Avec sous le bras tes bambins

Et  tout ton saint-frusquin

Va retrouver ton président faquin.

La France n’est pas biculturelle

Vous êtes notre érésipèle

Plus même, nos écrouelles

IL REVIENDRA CHARLES MARTEL

25/10/2011

Nous avons un anniversaire à fêter, ce mardi…

25 octobre 732 : Charles Martel arrête les bourricots Maures à Poitiers !

.

S’il est un anniversaire à ne pas oublier, c’est bien celui-ci ! Prendre une telle raclée le premier jour du ramadan cette année là, ça a du avoir du mal de passer…
A tous les « Charles Martel » contemporains: faites circuler !
FDF

Charles Martel à la bataille de Poitiers, composition fantaisiste de Charles Steuben (XIXe siècle)

Moins d’un siècle après la mort de Mahomet, ses guerriers avaient atteint l’Espagne et le Languedoc actuel (cette province s’appelle alors Septimanie, d’après ses sept villes principales).

À la tête de ses troupes, composées d’Arabes ainsi que de Berbères fraîchement convertis à l’islam, Abd el-Rahmann pille Bordeaux et projette de remonter jusqu’au riche sanctuaire de Saint-Martin de Tours. Il a l’intention de s’en approprier les richesses avant de s’en retourner au sud des Pyrénées.

Le duc Eudes appelle à son secours les Francs qui vivent au nord de la Loire. Leur chef accourt. Celui-ci, du nom de Charles Martel, est issu d’une puissante famille franque d’Austrasie (l’Est de la France). Il exerce les fonctions de maire du palais (ou «majordome») à la cour du roi mérovingien, un lointain descendant de Clovis. Quelques années plus tôt, il a refait l’unité des Francs en battant ses rivaux de Neustrie à Néry.

Eudes craint avec raison que Charles Martel ne tourne désormais ses ambitions vers le Sud de la Loire. Il accepte malgré tout de rapprocher leurs deux armées pour faire face à la menace musulmane.

Devant l’avancée des armées de Charles Martel et Eudes, Abd el-Rahmann arrête sa progression. C’est à Moussais, sur la commune de Vouneuil-sur-Vienne, entre Poitiers et Tours, que se font face les ennemis. Pendant six jours, les cavaliers musulmans et les fantassins chrétiens s’observent et se livrent à quelques escarmouches.

Le 25 octobre 732, qui est aussi le premier jour du mois de Ramadan, les musulmans se décident à engager la bataille. Mais leur cavalerie légère et désordonnée se heurte au rempart humain que forment les guerriers francs, disciplinés et bardés de fer. Abd el-Rahmann meurt au combat et la nuit suivante, découragés, ses hommes plient bagage et se retirent.

Plus tard, les chroniqueurs français se sont fait un devoir d’exalter le souvenir de la bataille de Poitiers pour mettre en valeur Charles Martel, père de Pépin le Bref et grand-père de Charlemagne.

Source : herodote.net/histoire/evenement.php?jour=7321025

09/06/2011

L’Histoire se répète… Toujours.

9 juin 721, Bataille de Toulouse ou… Bataille de Poitiers ?!

page 632 de l'article de 1924 du Bulletin de la Société des antiquaires de l'Ouest (pages 632 à 642) exhumé des archives numériques Gallica de la Bibliothèque Nationale de France, gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k65720z/f151L’article reproduit ci-après date du troisième trimestre de 1924. A l’époque, la grande mosquée de Paris n’existait pas encore (elle ne fut inaugurée qu’en 1926).

Il provient du Bulletin de la Société des antiquaires de l’Ouest (Tome sixième, 3ème série, années 1922 à 1924, pages 632 à 642) et a été exhumé des archives numériques Gallica de la Bibliothèque Nationale de France, gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k65720z/f151.

On sera frappé à sa lecture des nombreux parallèles avec la situation actuelle, comme, par exemple, l’arrivée des musulmans en Espagne via Ceuta (déjà !).

Mais le coeur de cet exposé consiste en la démonstration, reproduction de textes historiques à l’appui, que la description de la bataille de Poitiers emprunte de nombreux éléments à une autre bataille, moins connue mais toute aussi décisive, sinon plus, qui eut lieu onze ans plus tôt : la bataille de Toulouse du 9 juin 721, où le prince Eudes d’Aquitaine écrasa les musulmans devant Toulouse.

La durée de l’invasion Musulmane en Aquitaine fut de 40 ans après que les sarrasins furent venus, dixit les chroniqueurs de l’époque, « atout leur fames et leur enfans comme se il deussent tous jours mès habiter en France » (« avec femmes et enfants, comme pour s’installer définitivement en France »), aidés en cela par ce même prince Eudes, dans le but d’affaiblir son adversaire d’alors, Charles Martel.

Puis Eudes retourna sa veste, s’allia à Charles et chassa finalement les musulmans, car leurs bandes « plus ou moins nombreuses, allaient ravager l’Aquitaine ou la Bourgogne et revenaient chargées de butin » (cela évoque sans doute vaguement quelque chose à notre version contemporaine des « guerriers Francs » : gendarmes, policiers, juges, gardiens de prison…).

Heureusement, les musulmans, subitement occupés à des guerres intestines outre-méditerranée (le printemps arabe de leur époque…) perdirent de vue l’invasion de l’Europe. Ils la perdirent d’autant plus de vue que les guerriers Aquitains et Francs avaient douché leurs ardeurs guerrières par les victoires successives de Toulouse puis de Poitiers.

En ce début de XXIème siècle, les (ir)responsables du PS & Cie qui favorisent l’immigration musulmane pour en récolter le vote et affaiblir leurs adversaires UMP & Cie ne font rien de moins qu’exactement la même chose qu’Eudes vis à vis de Charles Martel.

Si l’on en croit les leçons de l’histoire qui n’est plus enseignée (pour soigneusement éviter que les français se disent qu’il est finalement toujours possible de refaire ce qui a déjà été fait…), PS & Cie devraient donc, au bout de 40 ans environ, retourner leur veste comme Eudes et s’allier à l’UMP & Cie pour contribuer à chasser les musulmans, qui à leur tour devraient (…)
La suite sur : http://9juin721.wordpress.com/bataille-de-poitiers/

26/05/2011

Oskar Freysinger « En France, vous avez besoin d’un nouveau Charles Martel »…

Il me plait bien, Oskar… Il ne va pas tarder à devenir une relation, je pense… Hé ho! Pas au sens primaire! Une relation de résistance, je précise. Je vous invite à visiter son blog: http://www.ofreysinger.ch/

FDF

.

Vidéo: http://www.youtube.com/watch?v=HkSnbhUIhuY

12/11/2010

Mosquée de Poitiers : le minaret prévu est-il trop haut ?

Un beau paysage français en perspective… Il leur faudrait aussi un abattoir en plein air… Ils seraient pleinement satisfaits, les muzz. En outre, c’est à Poitiers que ça se passe… J’ai honte pour ceux qui ont laissé faire ça… Charles Martel doit faire des beaux sauts dans sa tombe, le pauvre.

FDF

.

Article sur la mosquée de Poitiers

Les travaux de construction de la mosquée de Poitiers ont débuté en août. Le futur lieu de culte sera doté d’un minaret de 22 mètres. Une hauteur qui dérange certains.

La Nouvelle République – dimanche 26 octobre 2008
http://www.lanouvellerepublique.fr/dossiers/journal/pdf/20081026/16586512_JD_86N.pdf

 

 

Contexte:
> Le 3 octobre 2003, Jacques Santrot, alors maire de Poitiers, signait le permis de construire de la future mosquée.
> Situé entre la voie ferrée et la rue de la Vincenderie, le chantier a débuté en août dernier. Le gros oeuvre est prévu pour durer huit mois.
> L’édifice, prévu pour accueillir 800 fidèles, comportera un minaret de 22 mètres.

Fin 2009 au mieux, les musulmans de Poitiers auront à leur disposition une mosquée. Une mosquée a part entière et non plus une simple salle de prière aménagée comme cela était le cas depuis le milieu des années quatre-vingt. La salle en question située dans l’ancienne maison du jardinier du jardin des Plantes, rue Guillaume-le-Troubadour, était devenue au fil des ans autant inadaptée qu’indécente. Coincée entre la voie ferrée et la rue de la Vincenderie, la future mosquée qui pourra accueillir quelque 800 fidèles sera dotée d’un minaret. Une tour de 22 m qui s’élèvera dans le ciel poitevin. L’édification de ce premier minaret dans le ciel d’un Poitou très chrétien ne semble pas soulever de polémique. Officiellement et à l’unisson, les personnalités locales se félicitent que les musulmans, à l’égal des fidèles des autres confessions, puissent bénéficier d’un lieu de culte digne de ce nom. Une apparence. Car, sous couvert d’anonymat, le sujet est jugé « explosif » par certains. « Le minaret à cette hauteur, c’est de la provocation », glisse un autre interlocuteur.

L’imam de Poitiers Boubaker El Hadj Amor ne considère « pas opportun d’évoquer le sujet dans la presse. » Ce très influent membre de l’Union des organisations islamistes de France (UOIF) lâche: « II ne faut pas exciter les quelques extrémistes locaux. »

mosquée de Poitiers - chantier - La hauteur de la grue, jusque sous la cabine de pilotage, préfigure celle du futur minaret dans le paysage poitevin.
La hauteur de la grue, jusque sous la cabine de pilotage,
préfigure celle du futur minaret dans le paysage poitevin.

Pourtant, malgré des inscriptions injurieuses bombées non loin de la future mosquée, le Poitou n’est en rien comparable à la Vendée que Philippe de Villiers a tenté de mobiliser contre l’érection d’un minaret dans son fief de La Roche-sur-Yon. Ni à tel ou tel canton helvétique dans lequel les initiatives populaires contre les minarets sont monnaie courante. Boubaker El Hadj Amor reconnaît d’ailleurs : « La France est en contact avec le mode musulman depuis bien longtemps. Même les extrémistes ne contestent plus qu’il y a désormais une communauté musulmane française. Le seul combat à mener est celui pour la banalisation de l’islam en France. »

Laïc militant, l’ancien maire PS de Poitiers Jacques Santrot qui a signé le permis de construire en 2003 estime que « le minaret en lui-même n’est pas choquant. » Avant de rajouter : « La seule chose qu’il ne faut pas, c’est qu’il y ait un haut-parleur ! » L’actuel maire PS de Poitiers Alain Claeys ne s’exprimera pas avant d’avoir tenu une réunion de travail avec l’imam. Pour parler de la hauteur du minaret ? « Pour faire le point sur l’ensemble du dossier. »

Abderrazak Halloumi, élu PS, militant associatif spécialiste d’histoire des religions

Abderrazak Halloumi, élu Parti Socialiste, militant associatif spécialiste d'histoire des religions“ Pourquoi pas un style européen sans minaret ? ”

> Pas de fondamentalisme sur la forme,
« Il ne faut pas être fondamentaliste sur la forme du minaret. Le minaret distingue l’édifice et permet au muezzin d’appeler à la prière. A Poitiers, c’est inconcevable car nous sommes dans un Etat laïc. Le minaret n’est d’ailleurs pas ce qui fonde la mosquée. »

> Se fondre dans l’architecture locale,
« La mosquée est un lieu de culte qui doit être ouvert sur la ville et esthétiquement beau. Elle doit pouvoir se fondre dans l’architecture locale. Il pourrait y avoir un style européen de mosquées. Sans minaret. Ou avec un minaret symbolique comportant seulement une excroissance. Il faut un bâtiment qui n’élève pas sa sacralité. Comme cela existe déjà, par exemple, à Bondy. »

> Une place dans le projet Coeur d’agglo,
« De par sa position de ville-relais entre le nord et le sud, Poitiers devrait avoir une mosquée centrale, une mosquée cathédrale. La mosquée aurait sa place dans le projet Coeur d’agglo. Si on veut un islam à la française, il faut s’en donner les moyens. »

Gilles Morin, secrétaire de la ” Libre Pensée ”

Gilles Morin, secrétaire de la -Libre Pensée-“ Un élément de propagande religieuse ”

> Le minaret regarde les musulmans.
« Nous n’avons rien à dire sur le minaret de la future mosquée. C’est une affaire qui regarde la communauté musulmane. Sauf à dire que si une loi en matière d’urbanisme existe, il faut bien sûr qu’elle soit respectée. Le minaret est fait pour être vu et il est forcément un élément de propagande religieuse. Mais pas plus qu’une église. »

> Aucun argent public ne doit être donné.
« L’aspect du minaret nous est bien secondaire en regard de la question du financement de l’édifice en tant que tel. Nous sommes pour le respect de la loi de 1905. Nous demandons qu’aucun argent public soit donné quelle qu’en soit la forme pour l’édification de ce nouveau lieu de culte. Cela est bien plus important que la question du minaret. »

Boubaker El Hadj Amor, imam de Poitiers

Boubaker El Hadj Amor, imam de Poitiers“ Une mosquée digne de ce nom doit avoir un minaret ”

> Aucune envie de choquer ou de heurter.
« A l’origine, le minaret a une fonction d’appel à la prière. C’est un peu comme le clocher d’une église installé le plus haut possible pour être entendu par le maximum de personnes. Dans les pays musulmans. à une époque où la sonorisation n’existait pas, c’était pour faire monter la voix. Aujourd’hui, ne serait-ce que parce que nous n’avons aucune envie de choquer, de heurter, de montrer que l’on envahit, ou de faire réagir les plus extrémistes, le minaret ne servira que comme élément d’ornement et d’appel visuel. »

> Le minaret est un élément marquant.
« Même si l’islam s’adapte à chaque pays et à son architecture, une mosquée digne de ce nom ne peut pas échapper à avoir un minaret. C’est un élément marquant. Celui de Poitiers fera 21-22 mètres, mais il comprendra une partie non visible puisque nous avons un terrain enterré de 7 à 8 mètres. En terme visuel, le minaret ne débordera pas du bâtiment d’une façon choquante ni provocante. »

> La mosquée ne sera pas un espace clos entre musulmans.
« Ce que l’on espère dans un pays comme la France, c’est d’être présents dans la communauté nationale. C’est pour cela qu’il y aura aussi une bibliothèque, une salle de conférences et d’autres éléments. Tout cela dans le but de nous ouvrir sur la communauté nationale. La mosquée ne sera pas un espace clos entre musulmans. Nous espérons que, demain, chaque Poitevin aura l’envie d’aller une fois à la mosquée pour visiter, se renseigner sur l’islam ou la culture musulmane. »

Version pdf
de l’article

17/10/2010

17 octobre: bon anniversaire, les momos !!!

On ne pouvait décemment pas louper ça…
FDF
.

732

le 17 octobre

La bataille de Poitiers.

Charles Martel arrête les conquérants musulmans à Poitiers. Si l’importance du combat est sujet à polémique, il semble toutefois établi que les deux armées se sont bien affrontées ce jour-là, et que la puissance montante du premier des Carolingiens, le « roi sans couronne », a réellement entravé l’expansion musulmane en Occident.

.

 

 

 

 

 

http://www.francebalade.com/histo/carolin.htm#charlesmartel

08/09/2010

A conserver dans vos archives…

Charles Martel va disparaître des livres d’Histoire de France? Qu’à cela ne tienne. Le devoir de mémoire va faire valoir ses droits. Rien qu’avec ce dessin animé qui va rappeler des souvenirs à beaucoup…

FDF

Lire: http://www.youtube.com/watch?v=747hZZPBaJg