Francaisdefrance's Blog

06/01/2012

Ode à une France maltraitée…

Pas mal, ces quelques vers…

FDF

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Jadis j’ai dû m’enfuir de mon pays
Quand la France décida de lâcher l’Algérie
Et si avec le temps les plaies se sont fermées
Leurs cicatrices, elles, ne peuvent s’effacer.
Aussi pour mes enfants, je demande au Messie
Que jamais ils ne vivent une pareille tragédie.

Pourtant, lorsque je vois ces hordes de Magrébins
Envahir notre sol par n’importe quel moyen
Pour venir y chercher toute cette assistance
Qui n’existe plus chez eux depuis l’indépendance,
Quand je vois qu’ils acquièrent cette nationalité
Qu’ils ont pourtant reniée il y a quelques années

Je me pose une question qui me met mal à l’aise,
Combien de temps encore la France sera Française ?
Ils occupent tour à tour l’ensemble des quartiers
Où la police alors n’a plus le droit d’entrer,
Bien vite ils les transforment en ces fameux ghettos
Où ils pillent les commerces et brulent les autos.

Marseille est devenu une base d’Al-Quaïda
Et notre canebière le souk d’une casbah.
La banlieue parisienne n’est pas plus épargnée
Partout règne le racket et l’insécurité.
Les seuls européens qui s’obstinent à rester
Doivent se barricader sitôt la nuit tombée.
Des cités toutes entières leurs sont abandonnées
Dans l’attente qu’ils obtiennent les clefs de l’Élysée.

Lorsque notre président, en quête de bulletins
Va leur rendre visite, la veille des scrutins
Ils bousculent sa voiture et crachent sur son costume
Et l’obligent à partir plus vite que de coutume.
Ils sifflent la Marseillaise au match de l’amitié
Et brandissent les drapeaux du pays invité.

Puisqu’ils peuvent posséder deux nationalités
Ils en changent à leur guise, suivant leurs intérêts
Pour les allocations, ce sont de vrais français,
Pour les obligations ils restent des étrangers.
Ils respectent qu’une seule loi celle des islamistes
Et suivent assidument la mode des intégristes,

Elles se coiffent du foulard, ils portent la barbouze
Et pavoisent leur logis aux couleurs des fellouzes
Depuis quelques années ils sembleraient vouloir
Que la France se décide à réécrire l’histoire.
On enseigne pour se faire à notre descendance
Que les pieds-noirs étaient des colons de la France

Qu’ils n’avaient pas de cœur et usaient d’un gourdin
Pour payer les salaires de chaque Magrébin.
Aujourd’hui les médias demandent à nos élus
Qu’une enquête soit faite sur ces moments vécus
Pour voir si notre armée a commis des bavures
Et condamner ceux qui pratiquaient la torture

Pour que ces terroristes veuillent leur divulguer
La liste des attentats qu’ils devaient perpétrer.
Vouloir faire des victimes de nos ex-assassins
C’est en sorte approuver les crimes et les larcins
Qu’ils ont commis jadis sur ces gens innocents
Qui voulaient conserver la terre de leurs parents.

Somme-nous tous amnésiques pour avoir oublié
Combien les F.L.N. ont fait d’atrocités ?
Serions-nous insensibles à tous ces attentats ?
Qui ont été commis par ces vils fellaghas
Et devons-nous ce jour, pour des raisons d’état
Pardonner les tueries de leur chef Ben Bella !

La bombe de la Corniche, ou celle du Milk Bar
Et ces assassinats empreints d’actes barbares
Ces femmes étripées aux ventres empierrés
Tout près de leur fœtus qui était empalé.
Ces milliers de Harkis qui furent assassinés
Sur la place publique sans le moindre procès

Trahis et délaissés par le chef de la France.
Ils ont subi la mort dans d’atroces souffrances.
Ils furent même désarmés avant l’indépendance
Afin qu’ils n’opposent pas la moindre résistance
Aux couteaux des tueurs qui étaient impatients
De pouvoir leur donner le suprême châtiment.

Aurions-nous oublié la date du 5 Juillet 1962
Et les massacres commis après le cessez le feu ?
Ces centaines d’Oranais qui furent exécutés
Devant l’armée française restée les bras croisés !
En France, dans nos écoles, aucun livre d’histoire
Relate ces évènements vécus par les pieds noirs

On transforme le passé à la gloire des vainqueurs
Qui deviennent des martyrs à la place des tueurs
Oublier notre passé ou même le transformer
Serait une grave erreur qu’on pourrait regretter
Ne baissons pas la garde, redoublons de méfiance
Si nous ne voulons pas connaitre un jour en France

Une prochaine débâcle vers d’autres horizons
Ou vouloir accepter de changer de religion.
Ben Bella l’avait dit, après la prise d’Alger
« Nous devons remonter en France jusqu’à Poitiers ».
Hélas cette latitude est maintenant dépassée
Puisqu’aucun coin d’Europe ne se trouve épargné !

A moins d’un revirement rapide et énergique
La France deviendra vite république islamique
Par le nombre des naissances ils auront l’avantage
Qui leur fera gagner l’ensemble des suffrages
Ainsi sera mis fin à notre démocraties
Et la France à son tour deviendra colonie.

Alors sera troqué l’angélus des clochers
Par l’appel des imams en haut des minarets
Dès lors, pour survivre, de même que nos aïeuls,
Nous aurons à choisir = la valise ou l’cercueil
Les exemples sont nombreux et faciles à citer
Sur toute la planète, nombreux sont les foyers

Où des familles entières furent exterminées
Pour le simple prétexte qu’elles avaient refusé
D’accepter les contraintes de ces jeunes républiques
Qui instaurent par la force la charia islamique.
Aussi la prochaine fois, lorsque vous serez appelés
Pour vous rendre aux urnes afin d’aller voter
Devenez l’électeur d’un second Charles Martel
Qui renverra chez eux, au fond de leur djebel

Ceux qui viennent chez nous pour y défier la France
En réclamant sans cesse encore plus d’assistance
Afin que vos enfants ne subissent jamais
La débâcle vécue par les pieds noirs Français
Le livre a peut-être été refermé, mais son histoire
Est restée gravée dans ma mémoire.

Un Français déraciné

02/04/2011

Tant qu’ils se battent entre eux, ça nous fera toujours ça de moins à affronter…

Salafistes  contre les Frères musulmans, ça va déjà « nettoyer le terrain ». Continuez, les gars!

FDF

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– Les salafistes sont financés par l’Arabie saoudite, et les Frères musulmans par le Qatar.

– Les forces laïques et libérales n’ont aucun financement : elles ont un énorme

défi à relever en vue des prochaines élections.

Les membres d’une secte musulmane ultraconservatrice et des villageois du sud du Caire se sont affrontés après que les salafistes ont exigé la fermeture de bistros et d’un magasin d’alcools, a déclaré un fonctionnaire mardi, ce qui signale une affirmation croissante du mouvement fondamentaliste.

Un villageois a été tué et huit autres ont été blessés dans les affrontements armés qui ont éclaté lundi soir dans le village de Kasr el-Bassil dans la province de Fayoum, selon un responsable de la sécurité.

Les salafistes étaient tolérés en tant que groupe religieux par l’ancien président Hosni Moubarak pour lutter contre son principal ennemi, les Frères musulmans. Mais leur pouvoir s’est accru maintenant qu’ils entendent jouer un rôle plus politique et qu’ils réfléchissent à la nomination d’un candidat à la présidentielle après l’insurrection de 18 jours qui a conduit à l’éviction de l’ancien régime. Cet incident a beaucoup inquiété les forces laïques et libérales en Égypte en raison du discours extrémiste du groupe et de l’imposition de la charia islamique.

Des dizaines de salafistes ont également organisé une manifestation mardi au Caire, accusant une Église de l’enlèvement de Camilla Shehata, l’épouse d’un prêtre copte qui se serait prétendument convertie à l’islam et qui serait détenue contre son gré. Les salafistes ont accusé la police de collaborer avec l’Église en retournant Mme Shehata aux autorités religieuses pour sa reconversion. Le sort de la femme est actuellement inconnu.

Les manifestants brandissaient des pancartes se lisant « pacifique, non violente » pour désamorcer les rumeurs selon lesquelles le mouvement entendait tenir un rassemblement massif pour réclamer le port obligatoire du voile islamique par les Égyptiennes et punir les récalcitrantes en leur jetant de l’acide au visage.

Source : AP via Washington Times, Traduction partielle

Pillé à Gérard Brazon

04/03/2011

Al-Qaida oublié dans les révolutions arabes…

C’est à se demander s’ils ont bien existé un jour, ces cons. Et puis, si Al Quaida existe, il ne faut pas oublier que c’est sur eux que l’on colle la responsabilité de tous tes attentats contre l’Occident… Il leur faut bien un bouc émissaire, à nos « amis » musulmans, adeptes de la « religion » d’amour, de paix et de tolérance. A méditer…

FDF

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Pillé sur: http://www.magharebia.com/

Les deux révolutions populaires qui ont renversé les Présidents Zine El Abidine Ben Ali en Tunisie et Hosni Moubarak en Egypte constituent un nouveau défi pour al-Qaida et ses idéologues.

« Ce défi ne résulte pas d’une frappe militaire ciblée ni de restrictions supplémentaires aux déplacements des leaders d’al-Qaida dans leurs zones de retraite préférées, à la frontière afghano-pakistanaise.

Il résulte plutôt d’un rêve devenu réalité : la chute de régimes habituellement décrits comme « dictatoriaux » ou « apostats » pour avoir gouverné d’une manière contraire aux enseignements de la charia islamique.

Mais l’ironie de la situation est que ce rêve a créé un problème idéologique épineux pour les leaders d’al-Qaida. Les régimes qualifiés de dictatoriaux et oppressifs peuvent être renversés par des soulèvements populaires pacifiques et non seulement par l’action armée, dont certains djihadistes affirment depuis longtemps qu’elle constitue le seul et unique moyen de parvenir à un changement de régime.

Le dilemne intellectuel d’al-Qaida est apparu clairement immédiatement après la chute des régimes tunisien et égyptien. Le Dr Ayman al-Zawahiri, numéro deux d’al-Qaida, a diffusé une série de messages apparemment enregistrés quelques jours seulement avant la démission de Moubarak, à la suite des manifestations qui ont rassemblé dans les rues d’Egypte des millions de manifestants pacifiques appelant à « la chute du régime ».

Ces messages ont été les premiers commentaires faits par al-Zawahiri sur le soulèvement populaire en Egypte. Il y attaque le régime de Moubarak pour s’être présenté comme un régime laïc et démocratique utilisant la charia islamique comme une source de législation et non pas comme fondement unique. Il l’a également critiqué pour avoir affirmé que la souveraineté vient du peuple.

Al-Zawahiri a qualifié le régime de Moubarak de « Jahilia » (non islamique) et l’a critiqué pour avoir affirmé que « le processus démocratique ne peut être que laïc et non religieux ». Il a critiqué les Etats doté de systèmes démocratiques, affichant son dédain pour les islamistes qui appellent à l’adoption « du système connu sous le nom d’Etat civique ».

Les déclarations d’al-Zawahiri semblent hors de propos face aux aspirations des jeunes hommes et femmes qui sont descendus dans les rues d’Egypte et de Tunisie pour demander des régimes véritablement démocratiques en remplacement de ce qu’ils considéraient comme les régimes corrompus de Moubarak et de Ben Ali.

Ses paroles rappellent un message vidéo diffusé il y a des années, dans lequel il affirmait que le changement dans les pays islamiques ne peut être accompli d’une manière pacifique. Dans ce message, qui a été publié sur les forums de discussion en même temps que son dernier appel, il mettait au défi ceux qui ne partagent pas son opinion de fournir « un seul exemple » de révolution pacifique ayant réussi à changer un régime.

Bien que les messages d’al-Zawahiri, à la fois l’ancien et le nouveau, aient été publiés en ligne, le vice-président égyptien Omar Suleiman a annoncé que Moubarak démissionnait, en réponse aux demandes des manifestants. L’armée égyptienne, qui a assumé le pouvoir durant la période de transition, est apparue sérieuse dans sa volonté de répondre aux aspirations des manifestants. Ces derniers ont souhaité le départ de Moubarak, une campagne de lutte contre la corruption rampante dans les institutions de l’Etat, et des amendements constitutionnels qui ouvriraient la porte à une démocratie réelle permettant le transfert pacifique des pouvoirs, le pluralisme politique et la liberté de la presse.

Les autorités égyptiennes ont immédiatement entamé les poursuites contre les responsables de l’ancien régime pour leur implication dans la corruption et ils ont amendé les articles de la constitution permettant une plus grande concurrence pour la présidence et les fauteuils des parlementaires. La nouvelle direction a également commencé à autoriser des partis politiques qui attendaient une autorisation depuis vingt ans, comme le Parti du centre, fondé par d’anciens dirigeants des Frères musulmans.

Cette fraternité semble prête à devenir un parti légal après avoir été interdite pendant des décennies.

Des décennies de violence ont engendré l’oppression, pas le changement

La capacité de la population égyptienne à changer de régime par des manifestations pacifiques remet en mémoire trois décennies de troubles sécuritaires que l’Egypte avait connues après que des djihadistes comme al-Zawahiri eurent insisté sur l’emploi de la violence et de l’action armée comme seules moyens de changer le régime.

Les djihadistes avaient assassiné le Président Anouar Sadate en 1981. Le régime suivant, dirigé par Moubarak, avait réagi en imposant un état d’urgence, en luttant violemment contre les islamistes et en empêchant toute activité politique pouvant conduire à un changement de régime (comme l’a montré la dissolution du Parti des travailleurs et l’interdiction faite aux Frères musulmans de participer à la vie politique).

Ces mesures énergiques à caractère sécuritaire et politique furent renforcées pendant les années 1990 parce que les djihadistes accentuaient leurs actions violentes contre les symboles de l’Etat, contre les responsables politiques et de la sécurité, ainsi que contre des touristes occidentaux en visite en Egypte, et qui constituent un maillon essentiel des moyens d’existence d’une grande partie des employés égyptiens dans le secteur du tourisme.

Cela est devenu la formule proposée par les responsables égyptiens lorsque les visiteurs étrangers soulevaient la question de l’ouverture du champ de plus grandes libertés politiques : tout relâchement de la poigne de fer avec laquelle le régime contrôle les différents segments de la société favoriserait l’accession des islamistes au pouvoir, affirmaient-ils.

Certains responsables acceptaient cet argument et ont ignoré pendant de nombreuses années les atteintes aux droits de l’Homme et les mesures répressives politiques et sécuritaires mise en place en Egypte, ainsi que dans d’autres Etats »policiers ». D’autres tentèrent de persuader l’Egypte et d’autres pays que les réformes politiques et la réponse aux demandes populaires pouvaient aider et non menacer les efforts de lutte contre al-Qaida et ceux décrits comme des militants islamistes.

Mais le régime égyptien s’empressait de refuser les appels à la libéralisation politique, affirmant qu’elle permettrait aux islamistes d’arriver au pouvoir, comme cela avait été le cas des Frères musulmans lors des élections à l’assemblée populaire égyptienne en 2005, et avec le Hamas lors des élections en Palestine en 2006.

Bien que cet argument puisse être vrai dans une certaine mesure, c’est-à-dire que les élections puissent porter les islamistes au pouvoir, la faiblesse fondamentale est, semble-t-il, la confusion entre l’Islam politique et al-Qaida. Il existe de fait une différence fondamentale entre l’Islam politique et le mouvement djihadiste, en ce que ce dernier utilise la violence armée comme moyen essentiel, et parfois le seul, de changer un régime.

Islam politique et al-Qaida

Mais la différence la plus fondamentale entre les islamistes politiques et al-Qaida est leur point de vue différent concernant le pluralisme politique. Bien que la fraternité l’accepte et défende sa participation dans des parlements comportant des partis non islamistes (qui peuvent être laïcs ou nationalistes), al-Qaida et les autres mouvances djihadistes partageant une idéologie similaire ne l’acceptent pas. Ils rejettent ce qu’ils considèrent comme des « parlements infidèles » (dans la mesure où ils contrôlent les lois sur le statut des personnes), rejettent le système du multipartisme, et refusent d’accepter tout transfert démocratique des pouvoirs.

Le Mouvement tunisien du renouveau islamique a fait partie des premiers groupes islamistes à avoir répondu à cette ligne de pensée, qui stipule qu’il n’est pas permis pour des islamistes d’abandonner le pouvoir s’ils perdent les élections. Ce groupe tunisien a déclaré, lors de ses réflexions durant les années 1990, qu’il renoncerait au pouvoir si les islamistes perdaient les élections.

Il est vraisemblable que ce débat entre Islam politique et al-Qaida réapparaisse, alors que le premier se prépare à s’engager dans les luttes électorales qui auront lieu dans les mois qui viennent en Egypte et en Tunisie. Il est également vraisemblable que leur participation politique rencontrera l’opposition des partisans d’al-Qaida au prétexte qu’elle est contraire aux enseignements corrects de l’Islam. »

28/10/2010

Burqa: la face caché de l’iceberg…

Parce que nos démocraties sont en grand danger si nous laissons faire, ceci offre aux citoyens qui y sont attachés l’occasion de s’exprimer face au danger que représente l’islam dans nos pays respectifs. Alors, si vous êtes de ceux qui pensez que l’occident est en danger, lisez la charte et signez-là.

La charia est la loi islamique régissant la vie religieuse, politique, sociale et individuelle, appliquée de manière stricte dans presque tous les états où la religion dominante est l’islam. Les principes fondamentaux de la charia Islamique seront considérés comme la principale source de la législation . Ces principes fondamentaux sont tirés des préceptes du Coran et des «hadiths» Les hadiths sont les récits des paroles et des actes de Mohamed rapportés, pour la plupart des lustres après sa mort, par une succession de témoins par procuration. Ce qu’implique la charia : Lapidation-Amputation-Flagellation-Mutilations sexuelles féminines-Polygamie

LUTTONS POUR NE PAS PERDRE NOTRE LIBERTE DE PENSER ET D’AGIR

La Charia et la lapidation des femmes en Iran

Un bonne petite lapidation ?

 

CHARTE DES NATIONS REFUSANT LA CHARIA

Nous, organisations ou citoyen(ne)s libres et responsables de nos actes, au nom et pour la préservation des valeurs de Liberté, de Laïcité et de respect d’autrui présentes dans la Convention Européenne des Droits de l’Homme, qui est un des socles de nos sociétés démocratiques, déclarons en plein accord avec la Cour Européenne des Droits de l’Homme refuser la présence et l’introduction de règles de la Charia sur notre territoire.

Arrêt du 13 Février 2003 de la Cour Européenne des Droits de l’Homme: « la Cour partage l’analyse effectuée par la chambre* quant à l’incompatibilité de la charia avec les principes fondamentaux de la démocratie. »

Les signataires de la charte récusent toute accusation de racisme ou de xénophobie. Condamner la charia est un acte politique et social qui ne concerne en rien la nature des individus ni leur personne. C’est la charia qui, en actant dans les sociétés la classification et la hiérarchisation des groupes humains en fonction de leurs croyances ou de leur sexe et en obligeant les gens à se conduire comme si une partie de l’humanité était impure et inférieure, constitue un inacceptable système de sexisme, de racisme, de xénophobie et d’apartheid religieux.

La Charia qui prétend régir les actes des individus sous la menace de châtiments spirituels ou physiques au nom d’une croyance, est un ensemble de règles qui viole de manière fondamentale les libertés constitutionnelles et la dignité humaine de nos citoyen(ne)s en tentant de les persuader d’abjurer leurs droits inaliénables au profit d’une servitude dégradante.

Nous, signataires de cette charte, constatant l’incompatibilité entre la Démocratie et la Charia, déclarons celle-ci inacceptable dans nos pays respectifs et appelons citoyen(ne)s et organisation de tous ordres à adhérer à cette proclamation et à œuvrer de concert pour la défense de nos libertés fondamentales et de la dignité humaine.

Nous nous engageons à préserver et à protéger de la Charia nos concitoyen(ne)s et nos sociétés ainsi qu’ à œuvrer en vue de son bannissement définitif par tous les moyens en notre possession, dans le respect des lois et des principes démocratiques.

Nous nous engageons à:

– Promouvoir dans nos pays respectifs le vote de lois transformant en délit l’enseignement des règles de la charia ainsi que la promotion ou l’incitation, publique ou privée, de leur application individuelle ou collective en tant que normes comportementales.

– Promouvoir l’adoption, dans nos pays respectifs, de mesures éducatives, législatives et éventuellement répressives efficaces visant à un dépérissement rapide des pratiques sociales liées au respect des règles de la charia.

* La Grande Chambre de la Cour Européenne des Droits de l’Homme est l’instance juridique suprême de l’Europe au sujet des droits de l’Homme, ses décisions s’imposent aux états signataires de la Convention.

Sincerely,

The Undersigned

La burqa ne représente que ce que l’on voit : le haut de l’iceberg.

Iceberg Burqa

 

Source: http://tinyurl.com/33fu495