Francaisdefrance's Blog

02/03/2012

L’ Union Européenne a une troupe secrète d’intervention de l’UE contre les Peuples avec droit d’occupation !!!

Des bruits de bottes résonnent au sein de l’UE… L’état policier prend de l’ampleur. Si c’était ça l’Europe que l’on nous a imposée, ce n’était vraiment pas la peine…

On comprend mieux pourquoi nos armées respectives sont envoyées se battre ailleurs; loin…

FDF

Photo « futuriste » d’illustration…

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À propos d’armées secrètes ou de troupes d’intervention policière secrètes. Elles existent depuis longtemps dans l’UE, mais peu de gens le savent (Création de l’Eurogendfor en 2004).

La troupe policière de l’UE existe depuis longtemps – et elle dispose de larges pouvoirs ! Actuellement, c’est une « troupe d’intervention spéciale » forte de 3000 hommes sous le sigle difficile à prononcer « Eurogend­for » (European Gendarmerie Force/troupes de polices européennes). Le commandement se trouve à Vincenza en Italie, loin du siège de l’UE !

Ce corps de police a été créé à l’initia­tive de l’ancienne ministre de la Défense française Michèle Alliot-Marie, pour réprimer à l’avenir plus facilement les manifestations qui dégénèrent toujours à nouveau dans les villes françaises.

Le grand problème est le suivant : Eurogend­for va à l’avenir réduire au niveau européen le droit national et la souveraineté natio­nale des États-membres de l’UE ! Un « conseil de guerre », qui se compose des ministères de la Défense et de la Sécurité des pays de l’UE participant à l’Eurogendfor et du pays concerné, décidera de l’intervention dans un État-membre de l’UE. Voilà comment est réglementée la nouvelle troupe policière de l’UE dans le « document constitutif » dé­nommé Accord de Velsen (NL).

Cela représente pour les observateurs un droit d’occupation par l’UE. Car, si une intervention à l’intérieur d’un pays « ami », membre de l’UE, est une fois décidée, tous les bâtiments et zones occupés par des unités d’Eurogendfor, jouissent de l’immu­nité et ne sont plus accessibles pour les autorités du pays concerné. En fait, il s’agit d’un droit d’occupation par l’UE. Mais il y a pire : l’Eurogendfor ne dispose pas seulement dans le cas particulier de compétences policières mais aussi de compétences qu’ont les ser­vices secrets et elle a le devoir de réinstaller l’ordre et le calme dans la zone d’intervention concernée en collaboration étroite avec l’armée. En cas de besoin, les troupes doivent avoir à disposition toutes les autorisations et tous les moyens pour remplir leur mandat.

Eurogendfor résout divers problèmes pour les gouvernements européens. À l’avenir, ils pourront, lors de troubles sociaux ou de manifestations majeures de longue durée, utiliser des armes à feu contre leurs populations, mettre des zones entières sous quarantaine militaire et retirer les meneurs de la circulation sans avoir à engager leurs propres forces militaires ou policières qui pourraient éventuellement se solidariser avec les manifestants. L’Eurogendfor de son côté, ne pourra pas être poursuivi en justice grâce à ses autorisations exceptionnelles, civiles et militaires.

Notons que ce n’est que grâce au Traité de Lisbonne – qui n’est rien d’autre que l’ancienne « Constitution européenne » controversée sous un nouveau titre – qu’une telle situation incroyable a pu être instaurée. Grâce au jugement du Tribunal constitutionnel su­prême, les politiques allemands, qui ont soutenu ce traité douteux à la quasi-unanimité au Bundestag, auront à l’avenir le droit d’être entendus. Un homme politique allemand, ramené à la réalité, déclare lors d’un entretien privé : « On s’amusera bien au sein de l’Eurogendfor quand à l’avenir l’état d’urgence sera imposé dans les centres chauds de Bottrop ou Neukölln en Allemagne fédérale. »

 

Ndlr. legaulois.info : certaines sources indiquent que des éléments de l’Eurogendfor auraient été acheminés vers la Grèce et seraient actuellement basé dans un camp militaire désaffecté de Larissa (voir ICI).

Source (Merci à JP)

Source: http://www.legaulois.info/

Et merci à DG pour cette info…

09/10/2011

Les islamo-résistants allemands sous haute surveillance…

Grave; très grave, même… C’est de la soumission à l’islam pure et dure. Il est certain que les dénonciations vont aller bon train. Nous ne sommes pas loin d’entendre à nouveau les « bruits de bottes » que l’on ne souhaitait plus jamais avoir à subir. C’est dangereux pour nous, les Français, quand on sait que maintenant Sarkö Ier prend ses ordres chez Angela Merkel…

Plus que jamais, soyons vigilants et regroupons nous pour la résistance. Regardons en même temps les réactions du peuple allemand et encourageons le à ne pas se laisser faire. L’heure est grave… Le nazislamisme se frotte les mains.

FDF

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By Soeren Kern

October 3, 2011

Traduit de l’anglais  par Nancy VERDIER

Le gouvernement allemand considère la possibilité d’accroître la surveillance des citoyens allemands qui s’opposent à l’expansion de l’Islam radical en Allemagne.

Cette décision vient après une campagne de diffamation implacable menée trois semaines durant par les media  bien pensants qui ont mis tout leur poids pour discréditer le mouvement anti  islamiste en Allemagne.

Des sondages d’opinion montrent qu’un nombre croissant d’allemands est  inquiet  des conséquences des politiques multiculturelles  menées depuis des décennies et qui ont permis une immigration massive en provenance de pays musulmans.

Les Allemands sont tout particulièrement inquiets du refus de millions d’immigrés  musulmans de s’intégrer à la société allemande et de l’émergence d’un système juridique parallèle fondée sur la Charia.

Pour inverser  cette tendance dans l’opinion publique, les gardiens du multiculturalisme allemand se sont mis à la tâche pour regagner l’initiative,  le plus souvent en essayant d’intimider et de réduire au silence les voix qui s’élèvent contre l’Islam.

La campagne médiatique a été menée par des journaux tels le  Frankfurter Rundschau, un quotidien financièrement en difficulté et basé  à Francfort, le Berliner Zeitung, et le journal de gauche Spiegel, dont le siège social est à Hambourg et qui est depuis longtemps l’organe de référence en matière de multiculturalisme.

Ils s’en prennent tout particulièrement au très populaire site Internet allemand « Politiquement Incorrect » ou PI qui au  fil des ans s’est imposé comme la source première d’informations pour une population inquiète de la montée de l’Islam en Allemagne.

La devise du PI  s’énonce comme suit  « Contre la pensée unique, pro- américain, pro – Israël, contre l’islamisation de l’Europe” ce qui représente tout ce que la gauche allemande abhorre. Il n’est pas étonnant que nombreux sont les médias allemands qui voudraient fermer le site PI.

Au cours des dernières semaines, plusieurs journaux allemands ont utilisé un stock de plus de 10 000 adresses e-mails  privées pour insinuer que les gens derrière PI sont « antidémocrates » et constituent une menace à l’ordre constitutionnel allemand.
 

Ils exigent que le site PI et les tenants du mouvement anti – islamiste (ou « islamophobes »)  soient l’objet d’une étroite surveillance de la part des services de renseignements intérieurs le Bundesamt für Verfassungsschutz (BfV).

Le Frankfurter Rundschau, par exemple a fomenté une campagne hystérique en publiant des douzaines d’articles de propagande et d’agitation, dont certains par Mely Kiyak, issu d’une première génération d’allemands dont les parents étaient des immigrés turco – kurdes. Kiyak, qui se reconnaît comme  » pionnier  politique » dénonce tous les opposants à l’Islam comme étant des marchands de haine.

Un article intitulé « Politiquement  Incorrect: Vulgaire, Désinhibé, Raciste, » affirme  que:

 « le portail Internet PI  fait partie d’un réseau international de haine envers l’Islam et de harcèlement contre les musulmans. Et ces allégations sont confirmées par les recherches menées par le Frankfurter Rundschau. »

Dans un autre article intitulé  » PI : le prototype d’une nouvelle droite” le Frankfurter Rundschau relie la critique de l’Islam au comportement anti-sémite: « La  Nouvelle Droite a grandi en puissance depuis dix ans. Le blog ‘PI’ montre que ce mouvement y ressemble bien ».
Le directeur du Centre de Recherche sur l’anti-sémitisme, Wolfgang Benz, trouve des parallèles avec l’anti-sémitisme.  « Les expressions  ouvertement anti-sémites sont illégales dans l’Allemagne de l’après-guerre; l’inférence ici est que ceux qui critiquent l’Islam sont coupables de crime. »

D’autres articles du Frankfurter Rundschau sont intitulés :   « Politiquement Incorrect: Ce qui pue sur Internet »  « Les Populistes de Droite : Unis dans leur haine contre les musulmans »  ou encore «  Haine politiquement correcte » 

Le Berliner Zeitung, dans un article excessif (proche de l’hystérie) intitulé :   “ Politiquement Incorrect : Au coeur du réseau de haine envers l’islam “  affirme : « PI est tout sauf un site inoffensif. C’est une parfaite organisation de conspiration qui œuvre à la diabolisation de la foi de toute une communauté. Elle joue un rôle vital dans le réseau international de ceux qui haïssent l’Islam.  Elle nourrit en son sein des racistes et des glorificateurs de la violence partageant sur ce forum la vision  mondiale d’une tuerie comme celle perpétrée en Norvège par Anders Breivik »

Le magazine Spiegel, dans un article intitulé    « Action contre les mouvements anti- islamiques en Allemagne : les autorités envisagent la surveillance des islamophobes », affirme que le populisme de droite est une nouvelle forme d’extrémisme. « En Allemagne, il se pourrait que les islamophobes soient mis sous  étroite surveillance par les services de renseignements intérieurs. Nous sommes inquiets de ce que l’action anti – musulmane puisse devenir de plus en plus dangereuse. Essentiellement, la question est de savoir si la haine envers les musulmans est suffisante pour mettre en danger la liberté religieuse et la compréhension internationale ou si c’est une expression radicale mais légitime de l’opinion d’auteurs individuels restant dans les limites de la constitution. »

De son côté le Spiegel magazine a rassemblé tous ses efforts pour démontrer  que toutes les critiques de l’Islam proviennent de “l’extrème droite “ même si les sondages d’opinion montrent de façon accablante que les électeurs appartenant à l’ensemble de l’éventail des formations politiques sont inquiets de l’expansion de l’Islam en Allemagne.

Un sondage d’opinion appelé “ Perception et Acceptation de la Diversité Religieuse “  mené par le département de sociologie de l’université de Münster en partenariat avec la prestigieuse  firme de sondages politiques TNS Emmid –  montre que la majorité des allemands n’est pas d’accord avec la déclaration du Président allemand Christian Wulff qui affirme que l’Islam « fait partie intégrante de l’Allemagne »  à cause des quatre millions de musulmans qui y résident désormais. L’Allemagne a la deuxième population musulmane la plus importante d’Europe occidentale après la France et les Turcs constituent  la majeure partie de cette minorité.  

L’étude montre que seulement 34% des allemands de l’ouest et 26% des allemands de l’est ont une image positive des musulmans. Moins de 5% des allemands pensent que l’Islam est une religion tolérante et seulement 30% approuvent la construction de mosquées.  La proportion  d’allemands qui approuvent la construction de minarets ou l’introduction des vacances musulmanes est encore plus faible.

Moins de 10% des allemands de l’ouest et 5% des allemands de l’est disent que l’Islam est une religion pacifique. Plus de 40% des allemands pensent que la pratique de l’Islam devrait être vigoureusement restreinte.

Seulement 20% des allemands pensent que l’Islam est compatible avec le monde occidental. De manière significative, plus de 80% des allemands sont d’accord avec le principe selon lequel  « les musulmans doivent s’adapter à notre culture ».  Plus d’un million d’immigrants vivant de façon permanente en Allemagne ne savent pas parler l’allemand.

Un autre sondage appelé “ observation mondiale de l’immigration “ conduit par la société Ipsos basée à Londres et spécialisée en recherche internationale –  a trouvé que plus de la moitié des allemands pensent qu’il « y a trop d’immigrants »  dans leur pays.

En réponse à la question  « diriez-vous que l’immigration a généralement un impact positif ou négatif ? »  54% des allemands disent que l’impact est négatif. Près de 60% des allemands approuvent ce jugement : “ L’immigration exerce trop de pression sur les services publics “ en Allemagne.

Le rapport sur “ la persistance des tensions entre occidentaux et musulmans” publié par le centre de recherche Pew  basé à Washington montre que 61% des allemands pensent que leurs relations avec les musulmans ne sont pas bonnes. Le sondage montre aussi que 72% des allemands pensent que les musulmans ne veulent pas s’intégrer dans les pays où ils vivent et 79%  des allemands trouvent  que l’islam est «  la plus violente des religions ». Plus des deux -tiers des allemands sont inquiets de la présence des islamistes radicaux dans leur pays.  

Un autre sondage conduit par le groupe Pew “projet de comportement mondial “ montre que 71% des allemands pensent que le voile islamique devrait être interdit en public, y compris dans les écoles, les hôpitaux et les administrations gouvernementales.

Une autre étude publiée par la Fondation Friedrich Ebert, un think tank  (groupe de réflexion) lié au parti SPD (centre-gauche du parti Social démocrate) a trouvé que  55% des allemands pensent que les arabes sont « désagréables » et plus de 33% pensent que le pays est sur le point d’être « écrasé » par les immigrants. L’étude a aussi relevé que les “comportements de droite radicale“ ne sont pas confinés aux franges de la société allemande, mais “sont largement répartis au centre de cette société “.

Ces études montrent clairement et de manière consistante que la plupart des allemands sont inquiets de l’impact de l’immigration musulmane sur leur vie quotidienne. Dans un pays modelé par le politiquement correct  et une longue lutte pour la liberté d’expression, le site PI donne la parole à des allemands frustrés  qui constatent  que le mal prend forme autour du culte du multiculturalisme. Le courant  de l’opinion publique a basculé et l’establishment allemand a peu de chance de pouvoir inverser cette tendance.

Source: http://puteaux-libre.over-blog.com/

27/07/2011

En France, la délation est de bon ton… A la grande satisfaction des autorités.

Il y a « propos racistes » et « propos racistes ». C’est selon l’impact supposé et la « personnalité » de l’auteur… Si c’est un Français de souche, il est certain qu’il va faire l’objet d’une « attention particulière » et certainement se retrouver devant la justice.

Si c’est un « pauvre jeune issu de l’immigration », on ne va pas l’ennuyer encore plus. De toutes façons, c’est devenu une espèce protégée qui n’arrive pas à s’intégrer (il est obligé de brûler des voitures, de violer, voler et j’en passe, pour se faire remarquer aux yeux de cette société qui ne reconnait plus ses enfants) et de toutes façons, il n’est pas solvable en cas d’amende…

Mais bon; il est triste de constater cette délation envers ceux qui essaient de préserver leur Patrie. On croirait entendre venir des bruits de bottes que l’on souhaite tous oublier…

FDF

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8’000 signalements de propos racistes en 2010 sur le web français !

L’auteur du massacre en Norvège diffusait des propos extrémistes sur internet. Il avait publié un manifeste de plus de mille pages contre l’islam et le marxisme. Il n’était pourtant pas connu des services de cybercriminalité. En France, de tels propos peuvent être dénoncés par les internautes. Leurs auteurs sont ensuite surveillés par  une section spécialisée de  la police judiciaire, qui mène une enquête pour savoir si ces personnes risquent de passer à l’acte.

En 2010, la police judiciaire a reçu 8’000 signalements de propos racistes ou xénophobes sur sa page dédiée. Pour traiter un cas, les enquêteurs font d’abord une copie d’écran du contenu dénoncé, pour garder une preuve. Ils mènent ensuite des recherches « en sources ouvertes », sur internet. Ainsi, la commissaire Adeline Champagnat, qui est en charge de la section, a confié à l’AFP se rappeler d’un auteur de commentaires racistes qui publiait des petites annonces pour acheter une arme. Il avait aussi laissé sa photo en ligne sur un site de rencontre. Toutes ces informations permettant de cerner le personnage sont accessibles librement. Si les investigateurs ne parviennent pas à en apprendre plus sur internet, ils lancent une enquête préliminaire.

L’an dernier, la page Internet-signalement.gouv.fr a permis au total 80’000 signalements de contenus illicites. 57% concernaient des escroqueries, 25% de la pédopornographie et 10% des contenus xénophobes ou racistes. Le reste se partage entre des cas divers, avec seulement 3% de dénonciations infondées.

Source: http://www.ceriseclub.com/