Francaisdefrance's Blog

13/12/2011

Un bien joli site…

Que l’on ne vienne pas nous emmerder avec les termes issus de la bien-pensance comme « incitation à la haine », racisme », « haine raciale », « bienfaits de l’immigration », « islamophobie », etc…

J’ai déniché un site non censuré, bien sûr, et qui vaut son pesant de cacahuètes. Mais, rassurez-vous: il y en a des pires. Je vais lancer une chasse, d’ailleurs…

Voir ci dessous.

FDF

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Ici: http://www.islam-al-haqq.com/

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Alors? On fait quoi, là ???

27/10/2011

Une guerre est faite à la France. Il se peut fortement qu’elle y risque sa survie…

Nos élus savent-ils que les musulmans donnent des noms guerriers à leurs mosquées ?

Ils leur donnent aussi des noms de lieux de conquête, de « théoriciens », de chefs de guerre, etc… Voyez par vous-mêmes.
Islam, « religion » de paix…
FDF
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Écoutons le chœur de la bien-pensance :
– L’islam est une religion parmi d’autres, en tous points comparable à notre christianisme, au bouddhisme, au taoïsme… ; les mosquées ne sont que des lieux de prière et de culte, comme nos églises ; l’identité musulmane et la Loi musulmane sont tout à fait compatibles avec nos principes démocratiques ; les rites et traditions des musulmans ne peuvent qu’enrichir notre culture. Ceux qui prétendent que l’islam est un totalitarisme expansionniste et guerrier, au demeurant incapable de se réformer, et que ce totalitarisme est reparti depuis quelques années à la conquête de l’Europe par l’argent, la démographie et la taqiyya, ceux-là sont des racistes, à exclure de la vie politique et des médias, à traîner dare-dare devant les tribunaux. »
Il existe un moyen simple de mieux connaître la réalité de cette religion : considérons le tel qu’il s’affiche aux yeux du peuple de France et de ses fidèles dans les noms de ses « lieux de prière », qui, désormais, prolifèrent sur notre sol.

La Conquête…

Le mot le plus fréquemment exposé au fronton des mosquées construites dans nos villes est, de loin, al-fath, le terme arabe pour « conquête ».
Des mosquées al-Fath existent à Besançon-Planoise (25), Bordeaux (33), Bourges (18), Saint-Dizier (52), Évreux (27), Paris (10e et 18e arrondissement), Noisy-le-Sec (93), Cachan (94), Louvroil et Hem (59) Grenoble (58), Amiens (80), Tours (37) , Vandoeuvre-lès-Nancy (54), Fréjus (83)…
Dans la tête et le cœur d’un Musulman, le vocable suscite immédiatement deux références :
– la Grande Conquête du premier siècle de l’Hégire, qui permit aux guerriers d’Allah de détruire l’Empire perse et de s’emparer d’une grande partie des terres chrétienne du Proche-Orient, de l’Afrique du Nord et de la péninsule ibérique,
– des organisations politiques contemporaines violentes, en guerre.
Fath est le nom, nul ne l’ignore, du parti créé en1959 par Yasser Arafat en vue de détruire Israël et qui assura rapidement sa notoriété par les attentats qu’il multipliait.
Moins connu en Europe, Fath al-islam est un mouvement proche d’al-Qâ‘ida. Fondé en 2006, il est classé, à peine un an plus tard, et pour de bonnes raisons, comme terroriste par les Etats-Unis ; en 2008, l’armée libanaise doit lui livrer, pendant plusieurs jours, une bataille qui se soldera par des dizaines de morts de part et d’autre.
Fath appartient au vocabulaire de la guerre, du jihâd.

… et les conquérants

Dès lors que la conquête était mise en exergue, il était normal que des conquérants fussent honorés.
A Cherbourg (50), Lunéville (54), Wattrelos (59), Antony (92), dans le 11e arrondissement de Paris, des mosquées portent le nom de ‘Umar ibn al-Khattâb.
Deuxième successeur de Mahomet à la tête de la Communauté, il fut, pendant son califat, de 634 à 644, le grand organisateur de la Conquête. Il promulgua le statut des non-Musulmans – les dhimmi-s –, inauguré par le Prophète, mais plus strictement défini par lui. Il est connu des Croyants pour avoir chassé tous les juifs qui restaient en Arabie après la saignée exercée par le fondateur.
Des chefs qui se sont illustrés sur le terrain, dans les batailles, ont aussi droit à leur inscription au fronton d’un édifice « religieux ».
C’est ainsi que la mosquée de Nanterre (92) porte le nom de ‘Uqba ibn Nâfi‘ (622-689). Ce général doit parler au cœur de la plupart de nos Musulmans, puisque c’est lui qui soumit les indigènes berbères et juifs d’Afrique du Nord par le sabre et le feu.
Mais, à tout seigneur tout honneur : citoyens de la république laïque, apprenez à connaître le plus remarquable des saints hommes signalés par les cadres de l’islam de France à l’attention de leurs ouailles.

Sayf al-Islam

Tous les petits enfants musulmans connaissent ce héros. Dans les mosquées et madrasas, aussi bien dans les pays de la Maison de l’islam que chez nous, en France, en Europe, ils doivent apprendre l’histoire de sa vie pour y puiser des exemples de comportement afin de devenir de parfaits disciples de Mahomet. Parents, enseignants, prédicateurs serinent qu’il fut homme distingué par l’Envoyé d’Allah pour ses œuvres inégalées. Il est aussi célèbre que les membres de la famille du « beau modèle », ses épouses et concubines, son muezzin, sa chamelle, les premiers califes.
Khâlid, fils de Walîd, appartenait, comme Mahomet, à la tribu de Quraysh, qui dirigeait La Mekke, et s’était assuré le monopole du commerce entre la Méditerranée et l’Asie sur la seule voie utilisable à l’époque, à travers le Hedjaz. La plupart des auteurs situent sa naissance en 584. Très tôt, il se révèle cavalier exceptionnel et il manifeste une vocation de guerrier, servie par une audace et un courage exceptionnels. Il est remarqué par les chefs mekkois qui « lui donnent du galon ». A Uhud, le 23 mars 625, dans une bataille jusque là indécise entre Mekkois et Musulmans, il prend le risque de s’engager dans un défilé dangereux avec deux cents cavaliers et tombe à revers sur les troupes ennemies, qui vont bientôt fuir en déroute.
Comme la plupart des Mekkois, il est longtemps réfractaire à l’islam. Il ne se « convertira » qu’en 627, quand Mahomet est devenu l’homme le plus puissant d’Arabie, désormais en mesure de couper la route du transit international qui fait la richesse des Quraysh. Il participe à un premier accrochage avec ses compatriotes demeurés polythéistes près d’al-Hudaybiyya, au début de 628, mettant en fuite deux cents cavaliers. Il est récompensé : le 11 janvier 630, il est à la tête d’une des deux colonnes qui font leur entrée dans la Mekke, livrée par des « collaborateurs » à l’enfant du pays devenu « incontournable ».
Il commande en troisième l’armée lors de la première expédition contre les Rûm (les Romains, les Byzantins) en septembre 629. Il se bat comme un lion, pendant trois jours, « brisant plusieurs lances », et il organise la retraite. C’est à son retour à Médine – à moins que ce ne soit après l’affaire d’al-Hudaybiyya – que Mahomet lui donne le surnom Sayf al-islam ou Sayf Allâh : « l’Epée (le Sabre, le Glaive) de l’Islam » ou « … d’Allah ». (Parenthèse : C’est en son hommage que furent prénommés un des fils de Kadhafi et le rejeton… du fouteux Franck Bilal Yusuf Mohammed – sic – Ribéry).
Il risque la disgrâce peu après avoir reçu cette distinction. Le Prophète l’envoie en ambassadeur auprès d’une tribu de la côte, les Banû Jahîma. A peine arrivé sur place, il menace de couper la tête à tous ceux qui ne se rallieraient pas. Après qu’ils se sont « convertis », il leur demande de déposer les armes, disant qu’ils ne risquent plus rien puisqu’ils sont musulmans. Alors, dit le chroniqueur Tabari, « il les fit lier et les fit mettre à mort les uns après les autres ». Une « bavure », pour le moins aux yeux de l’habile Mahomet, qui cherchait un compromis. L’Envoyé d’Allah demanda pardon à Allah, publiquement, le visage tourné vers la Kaaba et il envoya Ali, avec une forte somme d’argent, pour payer le prix du sang et, ainsi, réparer les dégâts diplomatiques. Le bouillant disciple se fit pardonner à la bataille de Hunayn, un an plus tard.
Mais c’est après la mort de Mahomet, en 632, que le guerrier va donner toute sa mesure. Il est à la tête des troupes musulmanes qui répriment dans le sang la révolte contre l’islam qui s’est étendue dans toute l’Arabie. Parmi ses hauts faits, la défaite d’une troupe commandée par une femme, Salma. Son chameau étant mort sous elle, elle tombe à terre ; Khâlid la tue de sa main.

Lors de la Conquête, il fut sans doute le plus grand massacreur de chrétiens. Il dirigeait l’armée des envahisseurs lors de la bataille du Yarmouk, en août 636 ; d’après l’historien reconnu de tous les Musulmans, Tabari, 120 000 chrétiens périrent pendant les trois jours que dura le combat et, dans les semaines qui suivirent, « la région fut horriblement ravagée, quelque 40 000 chrétiens, juifs, samaritains et autres furent massacrés » (Louis Chagnon : Les débuts des conquêtes arabo-musulmanes). Peu après, il fut révoqué de son commandement et chassé de l’armée pour « détournement de butin » par le calife ‘Umar. Il meurt en 642.
Des mosquées, à Marseille et dans le 18e arrondissement de Paris, rendent justement hommage au Sabre de l’islam –, à qui Mahomet lui-même dit un jour (mais n’était-ce pas un compliment ?) « qu’il ne pensait qu’à tuer ».

Les théoriciens aussi

C’est à un théologien-juriste (droit et religion sont indissociables en islâm) qu’est dédiée une mosquée à Tourcoing (59).
Ibn Taimiyya (1263-1328) est le plus rigide des fondamentalistes. Ses textes vouent à l’Enfer – et, en attendant, à un trépas rapide – les mystiques, les philosophes, les « novateurs » en général. Pour lui, rien ne peut être plus peccamineux et criminel, en même temps dangereux pour l’islam, que la pensée personnelle ; la liberté de conscience lui est inconcevable… Les Musulmans doivent s’en tenir à la tradition, rien qu’à la tradition. Il est l’inspirateur du wahhabisme de l’Arabie saoudite et du Golfe, qui via l’argent, les télévisions satellitaires, la contrainte sociale, la terreur et la taqiyya, est en train de submerger les autres variétés d’islam ; il est le maître à penser des promoteurs et acteurs de la guerre perpétuelle des Musulmans contre tous les autres, le père spirituel d’al-Qâ‘ida, des islamistes, taliban, salafistes…
Ce frénétique méritait bien une mosquée dans notre doulce France.

La preuve est faite. Agissons !

Par le choix de ses grands hommes, l’islam en France montre son visage et ses intentions, jusqu’à nous narguer, assuré de notre passivité, de notre lâcheté. Ses cadres, français de papier ou venus de l’étranger, imams, aumôniers, propagandistes et militants participent à une action de conquête, comme devoir leur en est fait par leurs textes les plus sacrés. Ils n’offrent pas une religion de plus aux libre choix des citoyens : ils veulent imposer leur totalitarisme, par essence guerrier et hégémonique.

Les mosquées ne sont pas des « lieux de prière » : centres de la vie de la Umma, à la fois mairies, bureaux d’état-civil, tribunaux, commissariats, écoles, organes de propagande, de formation, de mobilisation et de répression, éventuellement casernes, les mosquées sont les bastions avancées d’une armée d’invasion.
Nous ne devons pas accepter qu’on se moque à ce point de nous.
Que faire ? Écrivons (des lettres, pas des courriels, qui ne seront lus que par des seconds couteaux) au Ministre de l’Intérieur, chargé des cultes, aux élus locaux, aux maires et conseillers municipaux, aux candidats aux diverses élection, aux associatifs, aux patrons et journalistes de la presse et des radios locales… N’oubliez pas nos béni oui-oui : curés, rabbins, francs-maçons, associatifs…
Ne restons pas passifs. Démontrons que nous ne sommes pas, comme le pensent beaucoup de nos ennemis, « vaincus d’avance ».
Agissons en attendant les mesures qui, un jour, s’imposeront si nous ne voulons pas que notre pays soit libanisé, qu’il soit condamné à la guerre civile permanente : l’arrêt de la construction des mosquées, y compris sous le faux-nez « d’institut », et la réduction de celles qui existent en simples… « lieux de prière ».
Une guerre est faite à la France. Il se peut qu’elle y risque, demain, sa survie. Dès aujourd’hui, elle y joue sa dignité et, plus, son honneur.

René Marchand

Source: http://ripostelaique.com/

02/06/2011

Les Schtroumpfs racistes ?

Ca va encore « heurter » le MRAP, SOS Racisme, le CRAN, etc… Du grand « n’imorte quoi »… Après Tintin au Congo, c’est au tour des Schtroumpfs de subir les foudres le la bien-pensance. On va arrêter quand, toutes ces conneries ???
FDF

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Les Schtroumpfs seraient-ils racistes ? Dans la Première édition de BFM TV, un professeur à Sciences Po revient sur un album, Le Schtroumpf noir, dans lequel les Schtroumpfs atteints de maladie devenaient noirs et complètement idiots.

Voir: http://tele.premiere.fr/Zapster/Les-Schtroumpfs-racistes

14/04/2011

Les suspects de la bien-pensance…

Nous sommes les cinq salopards !

La bien-pensance médiatique s’affole et dresse ses listes de suspects.

Elle en a déjà trouvé… cinq : Eric Zemmour, Elisabeth Lévy, Robert Ménard, Eric Brunet et votre serviteur. Après Le Nouvel Observateur, Le Monde a consacré sa page 3, la semaine dernière, à ces journalistes qui mettraient la France en péril, sous le titre: « Profession : réactionnaire« . A lire ce qui s’écrit sur nous, nous monopoliserions les médias à des fins de subversions extrémistes (de droite, of course).

C’est nous faire trop d’honneur. Il est vrai que ces sycophantes à la mine sévère savent de quoi ils parlent: ils se sont copiés et épaulés durant des décennies. Nous aurions sûrement des leçons de solidarité de caste et d’entrisme à apprendre d’eux, nous cinq qui n’avons jamais trouvé utile de nous rencontrer ensemble pour échafauder je ne sais quelle stratégie ou même pour boire un verre. Il se trouve plus simplement que ce que l’on dit, chacun à sa manière, semble correspondre à une attente de l’opinion. Il va falloir que les comités de vigilance et de salut public se fassent une raison: ils ont effectivement perdu le monopole de la parole.

Pourtant, leurs pratiques dénonciatrices de petits propriétaires spoliés restent encore efficaces. C’est ainsi que Maxime Tandonnet, conseiller à l’immigration auprès de Nicolas Sarkozy, a été prié cette semaine de suspendre pratiquement son blog, épinglé par un site du Monde.fr consacré à la droite extrême. C’est Xavier Musca, secrétaire général de l’Elysée, qui a pris cette décision. Elle est d’autant plus regrettable que le blog de Tandonnet, ouvert il y a peu, était vite devenu une mine d’informations et d’analyses compétentes, introuvables dans les médias traditionnels. Dernièrement, il témoignait du double discours de la gauche sur l’immigration en rappelant que tel député socialiste, très remonté en séance, admettait à la buvette la gravité du sujet. Mais c’est un texte prônant le recours au référendum pour contourner les multiples freins à l’application d’une politique souveraine qui lui a valu le reproche, sur le site du Monde, de reprendre l’argumentaire du FN, le référendum étant considéré, parait-il, comme « un vrai marqueur d’extrême droite ».

Donc, si je comprends bien: vouloir défendre la laïcité fait le jeu de Marine Le Pen. Souhaiter des référendums sur de grands sujets de société fait le jeu de Marine Le Pen. Se faire l’écho d’une opinion n’ayant pas accès aux médias, critiquer la mondialisation, s’inquiéter du communautarisme fait le jeu de Marine Le Pen. Mais ne voient-ils pas, ces maitres censeurs obsédés par Le Pen, qu’ils sont les meilleurs soutiens de la candidate, en s’enfermant dans des caricatures d’apparatchiks au service d’une presse soviétoïde ?

Malika Sorel, autre esprit libre, se voit également écartée des médias qui la sollicitent, quand elle ne leur répond pas ce que la pensée conforme veut entendre. Elle a d’ailleurs refusé de cautionner le rapport présenté ce mercredi (« La France sait-elle encore intégrer les immigrés ?« ) par le Haut conseil à l’intégration dont elle est membre. « L’intégration en France, ça marche ! » peut-on y lire, au milieu de considérations rabâchées et de clichés.

Oui, la bien-pensance est entrée en résistance…

Source: http://www.claudereichman.com/articles/rioufolcinqsalopards.htm

08/02/2011

Entretien avec Marine Le Pen…

Tu iras loin, Marine, tu iras loin… J’en connais qui ont intérêt à s’accrocher ferme à leurs fauteuils dorés…

FDF

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Cet entretien est paru dans le dernier numéro de l’hebdomadaire Le Point.Le Point : L’écrivain Céline a été retiré de la liste des célébrations nationales de 2011. Regrettez-vous cette décision ?  

Marine Le Pen : Elle est absurde ! J’attends maintenant qu’on interdise ses livres à la vente. Nul n’ignore les écrits antisémites de Céline, mais nul n’ignore non plus qu’il est un des plus grands écrivains français. En prenant cette décision, Frédéric Mitterrand, ministre de la République, se soumet à une exigence communautaire. Retirer Céline de cette liste est la négation même du patrimoine littéraire français. Nous aurions pu profiter de ces commémorations pour lancer, justement, un débat sur la distinction entre un auteur et son œuvre. Plus jeune, j’étais au lycée Florent-Schmitt qui a été débaptisé car on l’a suspecté d’avoir eu des accointances enver les nazis. Le lycée a été rebaptisé Alexandre Dumas… Dans notre histoire, il y a des choses glorieuses et d’autres qui le sont moins, certes, mais je trouve appauvrissant cet inventaire perpétuel au titre de la bien-pensance.

Dans le préambule de cette liste de célébrations, il est question des valeurs de la République. Céline, par ses écrits, s’en est écarté.

Ce préambule est débile. On ne commémore pas des écrivains parce qu’ils incarnent les valeurs de la France, mais parce qu’ils in­carnent le génie de la France.

Serge Klarsfeld est à l’origine de ce retrait. Pensez-vous, comme Alain Finkielkraut, que cela risque d’accréditer l’idée qu’un « lobby juif fait la pluie et le beau temps » ?

Je n’irai pas jusque-là, mais cela accrédite l’idée qu’il y a, en France, des associations qui ont un pouvoir excessif sur les choix et les orientations des ministres. En tant que républicaine, je ne me rendrai jamais, par exemple, au dîner du CRIF. Un gouvernement qui se rend à un diner communautaire – pour recevoir au passage des leçons de politique étrangère -, cela me choque énormément. Les politiques cèdent à cette tendance par pur clientélisme.

La France est-elle encore une terre de débat ?

La loi est le problème. Figurez-vous que la loi sur la diffamation raciale interdit à Eric Zemmour d’apporter la preuve de la vérité de son propos. Je suis moi-même poursuivie pour mes déclarations sur les prières de rue des musulmans par SOS-Racisme, dont le président, lorsqu’un clandestin est arrêté, n’a de cesse de parler d’une « rafle ». La France, patrie de la liberté et des droits de l’homme, n’existe plus. Le seul jugement qui vaille quand on fait de la politique est celui des électeurs, et non la plainte des associations. Pour cette raison, j’ai refusé de hurler avec les loups après la condamnation de Brice Hortefeux pour ses propos sur les « Auvergnats ».

Ne pensez-vous pas qu’un responsable politique se doit, plus qu’un autre, de peser ses mots ?

Personnellement, je dis les choses. Je prends des risques, sans crainte des poursuites. Beaucoup de Français s’élèvent contre cette absence de débat et contre ce terrorisme intellectuel. Tant que Jean-Marie Le Pen était poursuivi, les gens s’en indignaient, mais ce n’était pas grave. Mais quand des journalistes sont convoqués devant des tribunaux, tout comme des ministres, les Français commencent à trouver ces poursuites choquantes. Jean-Marie Le Pen a dit : « Il y aura 20 millions de musulmans en France et les Français descendront du trottoir et baisseront les yeux. » On peut ne pas être d’accord, mais mérite-t-il pour cela d’être condamné à de la prison avec sursis ?

Au-delà de la loi et de ce « terrorisme Intellectuel », ne croyez-vous pas que l’histoire de la Seconde Guerre mondiale, de l’esclavage ou du colonialisme, a marqué les consciences et développé une sensibilité particulière sur ces questions ?

L’Histoire a d’abord permis de culpabiliser les Français au-delà du raisonnable. On leur a expliqué qu’ils étaient des salauds, des colonisateurs, des esclavagistes… à ce titre, ils devaient abandonner leurs réflexes de survie et accepter, par exemple, une immigration insupportable. On a fait de l’histoire une bombe à retardement. Quand on entend des jeunes de banlieue exprimer un sentiment de revanche vis-à-vis de la France, on peut s’en inquiéter.

Qui leur aurait inculqué cet esprit de revanche ?

La classe politique et l’école. On peut changer beaucoup de comportements, mais on peut difficilement changer les cœurs. Quand on introduit dans des cœurs la haine, la revanche et la vengeance, il est ensuite difficile de les extirper. Le danger est là et ce sera notre souci de demain.

Les condamnez-vous à porter perpétuellement dans leur cœur cette supposée haine de la France ?

Je le ne les y condamne pas. Ce qui peut les sauver, c’est la préférence nationale. Leur dire : parce que vous êtes français, vous aurez des avantages, vous serez mieux traités que ceux qui ne le sont pas. C’est une démarche vers l’apaisement.

Les intellectuels ont-ils encore un pouvoir social dans notre pays ?

Non. Je pense que les élites intellectuelles sont totalement déconnectées. C’est si vrai que, lorsqu’elles se reconnectent, elles ont un succès fou. Lorsque les élites sortent de la pensée unique, elles ont immédiatement l’oreille du peuple.

La religion est devenue secondaire dans notre société matérialiste et court-termiste. Regrettez-vous la perte de spiritualité ?

Je le déplore. Je déplore aussi la déchristianisation de la France. Mais cela ne s’explique pas uniquement par la perte d’influence du religieux. C’est la soumission à la culture anglo-saxonne qui a accéléré ce phénomène. Je crois que cette société consumériste, où tout est à vendre et où tout est à acheter, est en profonde inadéquation avec la culture française. En cela, l’élection présidentielle de 2012 sera un vote de civilisation plus qu’un simple choix politique.

Avez-vous vu« Des hommes et des dieux » ? Comment analysez-vous le succès de ce film ?

Je ne l’ai pas vu. Cependant, je le mets en perspective avec le succès d’une série d’autres films français : « Amélie Poulain », « Les choristes », « Bienvenue chez les Ch’tis »… N’est -ce pas là une fantastique nostalgie de la part des Français ? On pourrait penser que c’est une nostalgie de l’ancien. Or il n’en est rien, c’est une nostalgie de nos valeurs de civilisation qui sont en voie de délitement : l’élévation, la droiture, la spiritualité, la générosité, la courtoisie…

C’est quoi, pour vous, la réussite ?

C’est apporter quelque chose à l’autre mettre son existence au service de l’autre.

Si on vous dit Mai 68…

Mai 68 a promu l’individualisme. Un individualisme qui a bouleversé les fondements de notre société. Le désir d’un individu est considéré comme supérieur à l’intérêt du groupe. On en voit encore aujourd’hui les conséquences avec les revendications communautaristes  ou les demandes de mariage homosexuel. La pensée 68 dit : « Les filles sont libres. Libres à tel point qu’elles ont le droit de porter la burqa. » Mai 68 a été un événement destructeur de la société.

Contrairement à vous, la gauche ne se réfère plus à Jaurès… Qu’est-ce qui vous séduit tant chez le père du socialisme ?

La gauche a d’abord abandonné la défense du peuple pour être le défenseur de toutes les minorités au nom de l’individualisme. La gauche sectorise, segmente. On me conteste la citation de Jaurès : « La patrie est le bien de ceux qui n’ont plus rien. » La gauche jauressienne avait une vision nationale. C’est cette vision qui a disparu,comme le sentiment d’appartenir à un peuple, d’être lié à lui, d’assumer son histoire et de préparer son avenir. Si Mélenchon a un petit succès aujourd’hui, c’est parce qu’il a bien compris cette déconnexion. Si bien qu’il a pris comme titre de son dernier livre un quasi-slogan de Poujade …

Auriez-vous pu, comme votre père, vous ranger derrière Pierre Poujade ?

Pierre Poujade avait une vision catégorielle de la vie politique. Je suis au-delà de la défense catégorielle. Quand on me demande ce que je veux pour les femmes, je réponds toujours par ce que je veux pour les Français.

On vous découvre jauressienne, mais aussi gaullienne !

De Gaulle avait réussi à rendre au peuple sa fierté. Seulement, il n’a pas eu à subir quarante ans de lavage de cerveau, qui nous conduit aujourd’hui à fêter les défaites et à occulter les victoires. On a retiré au peuple français l’estime de lui-même, c’est le problème.

Qui était François Mitterrand ?

[Elle hésite longuement] Un margoulin ! Oui, un margoulin doté d’une immense culture et qui portait en lui cette notion de la grandeur de la France. Une notion qui est la marque des grands dirigeants. C’est pour cette raison qu’il a refusé de reconnaitre, contrairement à Jacques Chirac, la participation de l’État français dans la déportation des juifs. Non par antisémitisme, mais parce qu’il était convaincu que la France n’avait pas de responsabilité. Le gouvernement de Vichy, oui ; la France, non !

Si le Front national arrivait au pouvoir en 2012, reviendriez-vous sur la parole de Chirac ?

Je viens de vous dire ma conviction ; après, ce sont des paroles et on ne reviendra pas sur des paroles. Je pense simplement que la France doit être réhabilitée.

Êtes-vous favorable à une Maison de l’histoire de France ?

C’est de l’enfumage ! Mais je ne vois pas pourquoi on n’aurait pas le droit de faire une Maison de l’histoire de France.

Pour y dire quoi ? Que dire, par exemple, de la colonisation ? Bonne ou mauvaise ?

On peut y exprimer les faits tels qu’ils se sont déroulés, ensuite chacun est libre d’en faire une analyse. Chacun a le droit d’avoir son point de vue. On peut envisager objectivement la colonisation dans ses aspects positif. Comme dans ses aspects négatifs. On doit pouvoir dire qu’elle a permis la construc­tion d’infrastructures, de meil­leures conditions sanitaires, sans immédiatement être poursuivi par les Indigènes de la République.

Les Français sont les héritiers de la Révolution française. Qu’est-ce que cela induit dans leur comportement ? Ont-ils une capacité à la révolte ?

Les Français sont les héritiers du 14 juillet 1789 et du 15 août. La France n’est pas morte en 1789 et elle n’est pas née en 1789. Il y a une continuité dans les valeurs, qui sont les valeurs de la chrétienté. Oui, le peuple français est incontestablement sujet à la révolte, parfois brutalement. Voltaire disait : « Les Français sont un peuple léger et cruel ». Nos dirigeants l’ont oublié.

La révolte dont vous parlez s’est hélas peu vue en 1940…

Qu’en sait-on ? Que savons-nous de ces milliers – peut-être de ces millions – de petits résistants qui ont subi cette occupation avec la rage au ventre ? En outre, tout le monde n’avait pas les moyens intellectuels, physiques et de caractère pour exprimer une opposition ou pour entrer dans un réseau de résistance. Qu’en savons-nous ? Je ne supporte plus d’entendre dire que les Français ont été des collabos ! Combien de gamins de 14 ans ont gardé chez eux une arme sans craindre d’être fusillés pour cela ? Et il y a eu quelques salauds, bien sûr. Mais je prends tout dans l’histoire de France, ses grandeurs comme ses faiblesses, ses moments de génie comme ses moments de barbarie.

Quand on vous interroge sur la Seconde Guerre mondiale, vous répondez que c’est une époque que vous n’avez pas vécue. Craignez-vous les pièges ?

Je pense que, lorsqu’on est un responsable politique, on se doit de réserver l’ensemble de son énergie aux préoccupations actuelles et ne pas se perdre dans des polémiques sur ce qu’il aurait fallu faire ou ne pas faire en telle année. J’ai souvent reproché à ma famille de pensée de refaire la guerre d’hier. On peut avoir une vision de la guerre d’hier sans la refaire.

Après la Seconde Guerre mondiale, la communauté internationale a déclaré « Plus jamais ça ». L’histoire pourrait se répéter, selon vous ?

Personne n’est à l’abri de la guerre. Ce n’est pas l’Union européenne qui préserve de la guerre, mais d’abord ce que fut la réalité de la Seconde Guerre mondiale, l’étendue du désastre, l’étendue de la barbarie. Voilà ce qui nous préserve de la guerre.

Lorsque vous étiez conseillère régionale d’ile-de-France, vous avez déposé un amendement au nom du groupe FN afin d’accompagner les groupes scolaires à Auschwitz. Surprenant…

C’était un amendement de principe. Je trouvais inadmissible que mon groupe ne participe pas à ces déplacements. C’est un problème de démocratie. Ostraciser un parti politique avec le sous-entendu qu’il est antisémite ou nazi est pour moi insoutenable. Je ne me sens aucune filiation avec ce que fut l’armée allemande. Je n’ai aucune fascination, aucun sentiment vis-à-vis d’elle. Cette armée a assassiné nos pères et nos frères, je ne l’oublie pas. Et tous ceux qui font preuve d’ambiguïté sur le sujet m’agacent au plus haut point.

Comme ceux qui font preuve d’ambiguïté sur la Shoah ?

Oui, ils m’agacent de la même manière. C’est absurde.

On vous sent prête à vous engager dans un travail mémoriel…

Je n’ai pas à faire de travail de mémoire. Tout le monde sait ce qui s’est passé dans les camps et dans quelles conditions. Ce qui s’y est passé est le summum de la barbarie. Et, croyez-moi, cette barbarie, je l’ai bien en mémoire.

Cela vous blesse d’être parfois présentée comme une fille inculte ?

Jeanne d’Arc ne savait ni lire ni écrire

Source: http://www.nationspresse.info/?p=122713#more-122713

27/01/2011

Action SITA 3 en 1.

Au boulot!

FDF

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L’hebdomadaire en ligne Riposte laïque nous offre cette semaine, dans son numéro 181, trois  articles que nous avons complétés en actions SITA.

Citons d’abord ces 3 textes  prêts à être imprimer:

I) Et si le « nouveau facho » c’était le journaliste Sébastien Lafargue ? Par Christine Tasin, Pierre Cassen

On peut imprimer l’article sur 4 pages à partir de la page http://www.ripostelaique.com/Et-si-le-nouveau-facho-c-etait-le.html par la procédure habituelle en cliquant successivement sur Fichier du navigateur, Aperçu avant impression puis en réglant l’échelle à 90% pour Internet Explorer et 100% pour Firefox ensuite cliquer sur Imprimer.

II) Christine Matheus, journaliste au Parisien, trouve normal que des infirmiers suivent des stages à la mosquée de Créteil ! Par Catherine Ségurane

On peut imprimer cet article sur 4 pages à partir de la page http://www.ripostelaique.com/Christine-Matheus-journaliste-au.html en suivant les consignes du I)

III) Les dix commandements laïques du professeur Fourest par Paul Le Poulpe

On peut imprimer cet article sur 2 pages à partir de la page: http://www.ripostelaique.com/Les-dix-commandements-laiques-du.html en suivant les consignes du I)

Ces journaleux aux ordres de la bien-pensance vous insupportent faites-leur savoir en votant selon la nouvelle façon avec votre enveloppe timbrée comme bulletin de vote.

Action SITA : imprimer, adresser, poster : la nouvelle façon de voterDémocratie Directe

I) Ecrire à Sébastien Lafargue à France4:   http://www.france4.fr/et-vous/

II)Ecrire au Parisien qui transmettra à Christine Matheus : http://www.takeapen.org/francais/QuotidiensFrancaises.html#LeParisien

III)Ecrire aux éditions Grasset qui transmettront à Caroline Fourest: http://www.edition-grasset.fr/textes/accueil.htm

23/01/2011

La dictature de la « bien pensance »…

A l’heure du procès Zemmour, la dictature de la bien pensance frappe n’importe quel citoyen !

JUSTICE POUR JONATHAN ! 


12 000 euros à payer :

3 000 euros d’amende

4 600 euros pour la famille

et le reste en frais d’avocats!

Et cela a eu lieu à Grenoble, avec la justice qui a laissé en liberté un multirécidiviste qui a ouvert le feu sur la police!

Avez vous entendu l’histoire de Jonathan quelque part?

Voir la vidéo et lire la suite sur http://www.patriotes-francais.fr/content/lheure-du-proc%C3%A8s-zemmour-la-dictature-de-la-bienpensance-frappe-nimporte-quel-citoyen

02/11/2010

L’assistanat et les limites de la « bien pensance »…

Quand l’assistanat démontre que l’on ne peut pas faire à la place des gens…

Vous souvenez-vous de cet ingénieux système, le « play-pump », qui consiste à installer une pompe dans certains villages africains et de les relier à des tourniquets?

Le principe est simple : les enfants s’amusent et la taille du tourniquet permet de pomper l’eau sans s’exploser les bras. Cette idée est géniale car elle permet d’utiliser les lois de la physique (démultiplication des forces grâce au diamètre du tourniquet). En plus, il vaut mieux être assis et pousser avec les jambes que de tourner avec les bras!

16 millions de dollars ont été investis pour aider des populations à accéder à l’eau. Et le projet a été abandonné parce que les femmes ne s’en servent pas quand il n’y a pas d’enfants….

L’eau sera un des plus gros enjeux de notre planète et l’on apprend que les hommes de ces villages ne s’en soucient pas, puisque ce sont les femmes qui s’en occupent, et que ces dernières ne veulent pas monter sur un tourniquet car « trop compliqué »….

Quelle honte!

L’article (en lien) sur le design social est assez révélateur sur la volonté des occidentaux de « faire à la place » sans réellement prendre en compte les populations locales.

Deux exemples sont cités : le « play-pump » qui est abandonné pour les raisons invoquées et un système de four collectif abandonné également en raison de la violence de la « mafia » locale.

On pourrait tirer de ces deux exemples des cas d’écoles à l’échelle planétaire :

1- Les gens ne se saisissent pas de ce que nous mettons en place. Réactions identiques aux nombreuses prises en charge en occident où l’éducation est délaissée à l’école alors que cette dernière est là pour instruire. La base même de l’évolution des personnes est leur capacité à se MOTIVER. Comme le tourniquet, vous pouvez adapter nos prises en charge scolaire tant que vous le voulez, si les enfants ne sont pas motivés, ce sera des quantités impressionnantes d’énergie et d’argent gaspillées!

2-La violence qui règne dans ces pays est liberticide. On peut investir chez eux de l’argent par brouettes tant que l’on veut, si cette violence est toujours là, cela ne sert à rien. De nombreux africains fuient leurs pays pour se réfugier chez nous et « s’épanouir » ou simplement survivre dans de meilleures conditions. Et ils retournent en vacances là bas!

Nous servons juste de soupape de sécurité pour que les personnes issues de ces pays n’explosent pas chez eux car en venant chez nous, ils ne remettent pas en cause les violences quotidiennes et ne cherchent pas à rendre leur pays meilleur. L’exemple flagrant est l’algérie : pays riche grâce au pétro dollars mais bouffé par la corruption et l’islamisme. Les algériens et le pouvoir algérien font tout pour que la France leur ouvre ses frontières.

L’assistanat et le « faire à la place de  » montrent les limites de la bien pensance. Nous freinons les introspections nécessaires qui permettent aux peuples d’évoluer et de faire face à leurs difficultés. Autant nous devons, dans notre culture chrétienne, aider les plus démunis à avancer, autant nous ne sommes pas là pour compenser leurs défauts ou refus de faire face. En France, les politiques achètent la paix avec des aides ciblées à certaines catégories mais en agissant ainsi, elle ne leur permet pas de se remttre en question et maintient de nombreuses personnes dans un système d’assistanat/revendications. La société occidentale fait exactement la même chose à l’échelle planétaire.

Source: http://tinyurl.com/34bjfxh