Pourquoi la dhimmitude est-elle la clé pour comprendre notre époque ?
La dhimmitude permet d’entrer dans l’univers conceptuel de l’islam concernant sa mission religieuse obligatoire d’islamisation au niveau mondial – non encore remise en question – et la stratégie, régie par des règles religieuses, que cette mission induit à l’égard du monde non-musulman.
Cette stratégie englobe les champs politique, militaire, juridique, religieux et social.
La dhimmitude entérine la condition dévolue au monde non-musulman par l’idéologie djihadiste. Elle établit leurs relations avec la ‘oumma, la communauté musulmane, conformément à l’ordre religieux irrévocable prescrit par Allah à son intermédiaire Mahomet.
Le djihad est mené dans le but d’imposer la dhimmitude, une étape provisoire avant la conversion. Djdihad et mission sont corrélés, le premier n’étant que la stratégie militaire matérialisant la mission.
Aujourd’hui, il importe de connaître et de comprendre les buts et la stratégie de cette mission et de son modus operandi compte tenu de l’actualité d’un jihadisme planétaire et du renouveau religieux des pays majoritairement musulmans, unifiés dans un corps constitué représentatif, l’Organisation de la conférence islamique (OCI), qui a proclamé sa fidélité à la mission universelle de l’islam.
Pourquoi le djihad est-il, selon l’islam, religion universaliste, une « guerre musulmane défensive, juste et légitime » ?
Cette assertion se comprend par la promesse de ‘Allah de conférer à sa communauté la gouvernance du monde.
Le djihad consiste à reprendre aux non-musulmans les pays qui doivent revenir à la communauté islamique mais qu’ils occupent indûment. Quand les non-musulmans défendent leurs pays, ils agressent les musulmans qui, selon la promesse de ‘Allah, ne font que reprendre leur bien.
Le jihad, entreprise défensive de réappropriation islamique, est juste et légitime car selon l’islam, il établit sur terre les volontés de ‘Allah. Ceux qui s’y opposent, mettent des obstacles à l’expansion de l’islam et à l’instauration de la charîa dans leur pays, sont les agresseurs.
Certains présentent l’islam comme une religion abrahamique. Comment y sont présentés les personnages bibliques, tels Abraham, Moïse ou Jésus ?
Le Coran présente Abraham comme un prophète musulman.
D’autres personnages de la Bible sont aussi islamisés et ressemblent peu aux originaux, d’où les conflits de Mahomet avec les juifs de Médine qui étaient des lettrés connaissant bien la Bible. Conflits qui se terminèrent par l’expropriation, l’esclavage, les massacres et finalement l’expulsion des juifs d’Arabie.
Ces personnages aux noms bibliques sont respectés uniquement dans leur version coranique qui diverge de celle de la Bible.
Celle-ci, considérée comme une falsification de la vérité coranique, n’est nullement respectée.
La vision islamique du monde diffère du droit international public. Quels sont les sens de « paix », « sécurité » ou « terrorisme » dans l’islam ?
Le droit international public se situe dans un contexte laïc, nullement religieux. Il considère l’homme sur le plan universel et se construit sur l’axiome irrévocable de l’égalité des êtres humains et de leurs droits naturels inaliénables.
La vision islamique refuse la laïcité et demeure ancrée dans les principes religieux de l’islam fondés sur le Coran et la Sunna.
Dans le contexte islamique, les mots « paix » et « sécurité » représentent la soumission à l’ordre de la charîa qui ordonne la suprématie islamique sur les non-musulmans refoulés dans la dhimmitude. Seules l’obéissance et la soumission protègent les dhimmis contre la reprise du jihad contre eux, et leur ménagent la paix et la sécurité relative de l’ordre islamique.
C’est le programme du Hamas pour les juifs et les chrétiens, exposé dans sa charte à l’idéologie génocidaire.
L’OCI parvient, via des organisations internationales, transnationales ou régionales, des entités sans légitimité – Alliance des civilisations -, et des réseaux à appliquer son agenda visant la restauration du califat, c’est-à-dire de la gouvernance islamique mondiale, aboli en 1922 par Atatürk, président de la république turque. Pourriez-vous en donner un exemple ?
Créée en 1969, à Rabat (Maroc) pour combattre Israël, l’OCI est à l’origine de la guerre de diffamation d’Israël sur le plan mondial. C’est elle qui exigea le retrait de toutes les ambassades de Jérusalem en septembre 1980-janvier 1981.
L’Alliance des Civilisations (ADC) diffuse l’équivalence entre la Shoah et la nakba ainsi que l’interprétation islamique du jihad. Elle réclame en Europe et aux Etats-Unis l’application du programme de l’OCI concernant l’immigration musulmane et sa promotion politique et culturelle ainsi que les mesures sanctionnant l’islamophobie.
La négation du terrorisme et, par conséquent, la critique des mesures sécuritaires exprimées dans les Rapports sur l’islamophobie de l’OCI sont diffusées par les réseaux occidentaux liés à cette organisation.
N’y a-t-il pas des rivalités entre l’Iran, la Turquie et d’autres pays pour diriger la ‘oumma universelle, la communauté des musulmans ?
Oui bien sûr. Mais pour l’instant c’est la Turquie qui, semble-t-il, séduit le monde sunnite, d’où l’arrogance de Recep Tayyip Erdoğan, Premier ministre de la Turquie, et sa volonté d’humilier l’Etat d’Israël.
Vous célébrez les bienfaits de l’unité européenne, tout en dénonçant Eurabia. Quels sont les intérêts et les motivations des décideurs européens engagés dans ce processus pacifique, unilatéral, sans réciprocité aux concessions, et d’apaisement à l’égard du monde musulman ?
Les intérêts sont bien sûr économiques, énergétiques mais aussi géostratégiques.
Les motivations sont nombreuses. L’Europe s’est construite sur le désir de la paix et le refus de toute guerre. C’est le terrorisme palestinien qui, frappant l’Europe très durement dans les années 1960-1980, l’amena à s’aligner sur les positions de l’OLP (Organisation de libération de la Palestine) en politique étrangère.
Ceci amorça la collaboration – plutôt que la confrontation – avec la Ligue Arabe et l’OCI qui soutenaient l’OLP.
En quoi l’Etat d’Israël cristallise-t-il la haine de l’OCI et l’hostilité de politiques étrangères européennes ?
Avec l’OCI nous évoluons dans un domaine éminemment religieux qui ressuscite les conflits de Mahomet avec les Juifs de Médine, au VIIe siècle.
Comme le Coran déclare que toute l’humanité depuis Adam qui était musulman, est musulmane, il s’ensuit que toute l’histoire biblique est une histoire musulmane, et que l’histoire occidentale des juifs et des chrétiens précédant l’islam est une falsification.
L’Etat d’Israël qui s’appuie sur l’historicité de la Bible, confirmée par l’archéologie et d’autres sources, contredit le Coran considéré parole de ‘Allah. Israël est le symbole du droit des juifs et des chrétiens à une identité historique extérieure et antérieure au Coran. Il entérine aussi la libération des juifs du joug infamant de la dhimmitude, la réappropriation de leur patrie colonisée par le dar al-islam, l’abolition de la charîa sur ce territoire.
En somme, un processus semblable aux guerres de libération et d’indépendance des populations chrétiennes européennes qui se déroulèrent au cours des quatre derniers siècles. Durant cette longue période des pays européens conquis et colonisés par des armées jihadistes d’abord arabes, puis turques, parvinrent à se libérer : la botte italienne, la Sicile, l’Espagne, le sud de la Pologne, la Hongrie, toute la région balkanique de Belgrade (Serbie) à Athènes (Grèce) et Chypre ottomane jusqu’en 1914, l’Arménie…
L’hostilité des Européens s’inscrit dans un autre contexte. La dénazification de l’Europe ne s’est faite qu’en Allemagne… et encore ! D’anciens nazis reconvertis dans le socialisme peuplaient les administrations et même les instances internationales, parvenant, comme l’autrichien Kurt Waldheim (1918-2007), à la fonction de secrétaire général des Nations Unies.
A cela s’ajoutent les communistes, ralliés aux ordres de Moscou et aux théologies tiers-mondistes de la libération, leur haine des religions de la Bible et des nationalismes.
Ce contexte a conduit l’Union européenne (UE) à combattre Israël pour deux raisons principales. Premièrement, reprochant à Israël d’être un obstacle à sa lune de miel avec les musulmans, l’UE s’efforce de saper la légitimité et la sécurité de l’Etat hébreu pour le remplacer par la Palestine. Deuxièmement, le poids du passé l’oblige à dissimuler sa stratégie derrière des affabulations, et ses échecs, non seulement provoquent une frustration rageuse, mais l’exposent au terrorisme palestinien.
C’est dans le contexte des représailles terroristes contre l’Europe qu’il faut comprendre l’affirmation que l’existence d’Israël menace sa sécurité.
Le « palestinisme » a été le cheval de Troie de la reddition de l’Europe, de son islamisation, de sa flagellation, de sa négation d’une identité chrétienne car celle-ci est enracinée dans le judaïsme et dans l’histoire d’Israël que l’islam nie et que l’Europe nazie a abhorrée.
Le palestinisme a fondé le multiculturalisme, l’inversion de la vérité dans les concepts de paix (paix = soumission) et d’agresseurs (les résistants au djihad présentés comme les agresseurs). Il a induit la négation de l’histoire du djihad et de la dhimmitude et consacré la version d’un Occident agresseur et injuste. Incidemment, cette vision est celle de l’Alliance des Civilisations (ADC).
Le palestinisme a surtout libéré la mauvaise conscience de l’Europe qui a déguisé les promoteurs des idéologies de haine en victimes de l’Etat d’Israël, inversion morale djihadiste. Il a inculqué à l’échelle européenne une culture antisémite, f ondée sur l’interprétation islamique de l’histoire, à savoir : la négation de l’histoire et des droits d’Israël à l’existence, principes qui ont un impact direct sur l’identité, la culture et le destin politique de l’Europe.
En faisant d’Israël la source des conflits, l’Europe s’est condamnée à la paralysie face à ses ennemis et n’a pu combattre une idéologie qui la condamne à disparaître.
Vous parlez peu des opinions publiques européennes dans votre livre…
Maintenant elles s’expriment davantage, mais quand je terminais le manuscrit voici deux ans, l’opinion publique était inexistante. De plus, un tel travail, si considérable puisqu’il consisterait à étudier les opinions publiques dans toute l’Europe, n’était pas mon sujet.
Mais aujourd’hui s’élèvent de partout en Europe et en Amérique l’appel à la fronde, le dégoût des politiques antisémites et du mensonge, le désir de démocratie, le respect des droits et des libertés érodés par le droit coranique du blasphème.
Que répondez-vous à ceux qui contestent vos analyses en y voyant une déclinaison de la théorie du complot ?
Je leur réponds que si complot il y a, c’est au sein du Quai d’Orsay, de la Commission européenne et d’autres organismes respectables qu’il faut le chercher, car je n’ai fait que reproduire leurs documents.
De plus, un nombre considérable d’auteurs – hommes politiques, historiens, universitaires, journalistes, etc., de différentes nationalités, s’y réfèrent dans des ouvrages ou des études spécialisées catalogués dans des bibliothèques sur divers continents.
Le plus détaillé et le plus enthousiaste est le livre du chrétien palestinien Bichara Khader L’Europe et le Monde Arabe, Cousins, Voisins (Publisud, Paris, 1992).
Une transformation d’une telle envergure à l’échelle de tout un continent a suscité une énorme littérature en plusieurs langues. Rien qu’en 1979, Jacques Bourrinet en donne une impressionnante bibliographie dans son ouvrage Le Dialogue Euro-Arabe, Centre d’études et de recherches internationales et communautaires, Université d’Aix-Marseille III (Economica, Paris, 1979), qui fut publié avec le concours de la Commission pour l’étude des Communautés européennes (C.E.D.E.C.E.) et de l’U.E.R. Recherches juridiques de l’Université de Droit, d’Economie et des Sciences d’Aix-Marseille.
Alors tous des comploteurs ? Ces accusations émanent de l’ignorance et utilisent des insultes au lieu d’arguments.
Aux Etats-Unis, près d’un million d’Américains ont récemment manifesté leur attachement aux valeurs fondatrices de leur pays. Ce rassemblement augure-t-il un frein au multiculturalisme, à la politique du président Barack Hussein Obama à l’égard du monde musulman ?
Certainement, à moins que les ennemis de ce rassemblement réussissent à le torpiller.
Le président Obama, qui a remporté les suffrages de toute l’Europe, s’est soumis au cartel de l’OCI de façon encore plus radicale que l’UE.
Des médias craignent des représailles terroristes.
Ne présentant aucun danger, les musulmans modérés sont négligés par une Europe qui courtise ses ennemis et leur achète un répit provisoire par le paiement de milliards d’euros et la diffusion de leur propagande.
Charles Martel a arrêté les Arabes à Poitiers (732). Les souverains catholiques espagnols ont finalement reconquis tout leur territoire (1492). Vienne a résisté victorieusement aux Turcs (1683)… Quelles seraient les solutions pour éviter ce califat, cette gouvernance mondiale islamique ?
Si les peuples musulmans désirent restaurer le califat, autorité suprême unissant la législature, la politique et la religion, créée pour assurer la poursuite de la mission universelle de l’islam, l’Europe ne pourra pas les en empêcher.
Par contre, elle devra prendre des mesures urgentes pour sa sécurité et sa survie.
Mais tout laisse croire que les dirigeants qui nous ont mis dans ce pétrin, se réfugieront sous la protection du califat, et imposeront à leur peuple l’ordre islamique de la dhimmitude.
Aujourd’hui, le secrétaire-général de l’OTAN (Organisation du traité de l’Atlantique Nord), le danois Anders Fogh Rasmussen, suggère que l’Union européenne confère à la Turquie un statut spécial dans l’Agence de défense européenne (EDA) et l’associe davantage dans les décisions concernant la sécurité des missions européennes. Anders Fogh Rasmussen tient ainsi sa parole, n’ayant obtenu ce poste que par sa promesse à la Turquie de se réconcilier avec le monde musulman.
C’est la négation de la victoire de 1683, mais l’Europe, depuis longtemps, a jeté l’histoire aux orties.
La « bagarre courtoise » du jour est entre…
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…Forcetranquille et Pierre Lesincère.
Et je me permets de m’immiscer, sans prendre parti pour l’un ou pour l’autre mais en donnant mon avis sur la question dans ce pugilat théologique. Tout d’abord, un petit historique.
FDF
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Notez qu’à cette époque, filles et garçons du Maghreb n’avaient qu’une envie : vivre à l’occidentale, vivre notre vie. Vivre une sorte de « rêve américain » à l’européenne. Mais l’imprégnation culturelle – ce conditionnement – reste toujours bien plus forte que la raison chez les gens peu compliqués.Ainsi, lors d’une conversation avec Fatima, troublé par une remarque – j’ai oublié laquelle – j’ai lui ai avancé quelque chose comme ceci : « Mais ne trouves-tu pas que nous sommes très ouverts et généreux avec vous (les migrants) – tu habites une maison sociale, tu vas à l’école, ton père perçoit les allocations familiales, vous avez une bonne couverture sociale et vous ne devez rien faire en échange… »Je n’ai pas pu terminer. Car du haut de ses 17 ans, Fatima a éclaté d’un rire sincère et candide… Elle m’a dit :
« Mais Pierre, ce n’est pas vous qui voulez cela ! C’est Allah. Vous faites cela parce qu’ Allah le veut… »
À ce moment même, j’ai su que j’étais confronté à quelque chose qui dépassait toute notre logique laïque ! Non pas la volonté d’Allah, mais la foi aveugle du musulman en son Dieu. J’ai perçu toute l’écrasante puissance de l’Islam, son pouvoir de persuasion, l’occultation de la logique que cette idéologie engendre.
Cette perception, cette compréhension de la pensée du musulman et de l’Islam n’ont fait que s’approfondir en moi d’année en année, jusqu’au jour où, pour savoir une fois pour toutes, j’ai lu le Coran. Et là, je n’ai plus eu aucun doute …
Le Complexe de Fatima
Cette attitude propre aux seuls musulmans, ce sentiment qu’ils ont de jouir d’un privilège absolu, élitiste et divin, ce sentiment de supériorité mêlé à l’acceptation de la soumission absolue à Allah, la certitude qu’il agit et reçoit du seul vœu d’Allah, qu’il est déresponsabilisé, je l’ai nommée plus tard « le Complexe de Fatima ». Car ce que Fatima m’a dit il ya plus de quarante ans en est la parfaite démonstration.
La manifestation de ce complexe est la manifestation d’un mental inébranlable. C’est tellement vrai que l’islam, outre être une religion, est un mode vie dicté par le Coran.
Personnellement, j’ai lu 3 versions du Coran.
1) La plus ancienne, qui est une traduction en français dite « Coran d’André Chouraqui » par André du Ryer, sieur de La Garde-Malezais, version publiée en 1647.
2) la traduction de Régis BLACHÈRE (versets référencés « RB »), professeur à la Sorbonne parue chez G.P. MAISONNEUVE & LAROSE en 1966.
3) « Le Noble Coran » traduit par Mohamed Chiadmi (versets référencés « MC »), 3ème édition, parue en octobre 2007 et validée notamment par le célèbre Tariq RAMADAN, qui – convenez-en – en fait une traduction « en béton ».
Voici quelques versets choisis parmi ses trois traductions et qui justifient ma position.
S4 V34 MC
« Les hommes ont la charge et la direction des femmes en raison des avantages que Dieu leur a accordés sur elles et en raison aussi des dépenses qu’ils effectuent pour assurer leur entretien. En revanche, les épouses vertueuses demeurent toujours fidèles à leurs maris pendant leur absence et préservent leur honneur, conformément à l’ordre que Dieu a prescrit. Pour celles qui se montrent insubordonnées, commencez par les exhorter, puis ignorez-les dans votre lit conjugal et, si c’est nécessaire, corrigez-¬les. Mais dès qu’elles redeviennent raisonnables, ne leur cherchez plus querelle. Dieu est le Maître Souverain ».
L’homme est le maître et peut battre sa femme. Rien d’autre n’est dit en ce qui concerne les épouses, leurs droits et aussi, leur accès à un paradis tout à fait réservé aux hommes.
s3 v85, 86, 87 MC
« Quiconque recherche en dehors de l’islam une autre religion, celle-ci ne sera point acceptée de Lui ; et dans l’autre monde, il sera du nombre des réprouvés ».
« Comment Dieu mettrait-Il dans la bonne voie des gens qui L’ont renié après avoir cru, après avoir proclamé la véracité du Prophète et après avoir reçu tant de preuves irréfutables? Dieu ne dirige pas les gens pervers dans la bonne voie. Ceux-là ne pourront avoir pour rétribution que la malédiction de Dieu, des anges et de tout le genre humain ».
Affirmation inconditionnelle selon laquelle, en dehors de l’islam, c’est la damnation. Soumission totale ou exclusion. Intolérance absolue.
s4 v89, 91 RB
« [Les Hypocrites] aimeraient que vous soyez impies comme ils l’ont été et que vous soyez à égalité [avec eux]. Ne prenez pas parmi eux de patrons avant qu’ils émigrent dans le Chemin d’Allah !
S’ils tournent le dos, prenez-les et tuez-les où que vous les trouviez ! Ne prenez parmi eux ni patron, ni auxiliaires.»
Le Coran nomme « Hypocrite » le « faux croyant ». Celui qui dissimule sa mécréance en simulant la foi. Celui qui ne pratique pas, celui que nous nommons le « bon musulman », le musulman modéré…
s6 v39 RB
« (…) Celui qu’Allah veut [perdre], Il l’égare. Celui qu’il veut [sauver], Il le met sur une Voie Droite».
Les non-musulmans n’ont pas la foi par le vouloir d’Allah. Lequel prescrit ensuite de les tuer…
s9 v29 à 30 RB
« Combattez ceux qui ne croient point en Allah ni au Dernier Jour, [ceux qui] ne pratiquent point la religion de Vérité, parmi ceux ayant reçu l‘Écriture ! [Combattez-les] jusqu‘à ce qu‘ils paient la jizya, directement et alors qu‘ils sont humiliés. Les Juifs ont dit : Ozaïr est fils d‘Allah ».
« Les chrétiens ont dit : ‘’Le Messie est le fils d‘Allah’’. Tel est ce qu’ils disent de leur bouche. Ils imitent le dire de ceux qui furent infidèles antérieurement. Qu’Allah les tue ! Combien ils s’écartent [de la Vérité] ! »
Mohamed prêche clairement le meurtre des chrétiens.
s9 v123, 124 RB
« O vous qui croyez ! Combattez ceux des Infidèles qui sont dans votre voisinage ! Qu’ils trouvent en vous de la dureté ! Sachez qu’Allah est avec les Pieux ! »
s2 v191 MC
« Tuez-les partout où vous les trouvez et chassez-les d’où ils vous ont chassés, car la subversion est pire que le meurtre. Ne les combattez pas, cependant, auprès de la Mosquée sacrée, à moins qu’ils ne vous y attaquent les premiers. Dans ce cas, n’hésitez pas à les tuer. Ce sera la juste récompense des infidèles ».
Comment encore douter de la violence du Coran ?
s2 v216 RB
« Combattre vous a été prescrit, bien que vous l’ayez en aversion. Il est possible que vous ayez de l’aversion pour une chose qui est un bien pour vous et il est possible que vous aimiez une chose qui est un mal pour vous. Allah sait, alors que vous ne savez pas ».
Insistance et intolérance : le musulman doit tuer. Aucun choix n’est possible, même aux plus pacifiques. Le musulman DOIT combattre les non-musulmans.
Voulez-vous que je continue ?
Veuillez croire, Cher Forcetranquille, en mes sentiments très distingués.
Très cher concitoyen vous n’êtes pas naïf mais juste un peu trop influençable. Mr Pierre Lesincère pourquoi continuer à faire peur comme vous le faite.
Une simple question avez vous lu le coran ne serai ce qu’une seul fois?
et l’avez vous compris…..
avez vous la bible ou la torah….
lisant ce que vous avez écris je ne pense pas. mais si c’est le cas j’aimerais qu’on me donne des référence plutôt que d’utiliser des mots sur-médiatisés afin de semer la panique chez les français.
Connaissez vous un seul musulman avec lequel vous avez pu un jour discuter posément.
Arrêtons de tirer sur les musulmans qu’on on ne les connait pas.
Laissons les vivre leur foi librement car ne l’oublions pas et c’est cela le plus important. La France est un pays de Liberté.
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Bon. Chacun défend son point de vue. Mais j’ai bien entendu vérifié les versets du coran (ce n’est pas la première fois…) et j’ai pu m’apercevoir qu’ils sont bien réels. Le problème avec vous, les musulmans, c’est que l’on se perd entre les différentes interprétations de votre livre qui changent chaque fois qu’un religieux s’y réfère… A mon avis, chacun à son coran et l’interprète à sa façon, celle qui l’arrange le plus. Il n’y a eu pourtant qu’un seul coran qui devrait faire référence… C’est pour cette raison que l’on a beaucoup de mal à cerner les musulmans.
Chez les chrétiens, nous avons une Bible et quatre Evangiles, lesquels sont la traduction oécuménique de la Bible; et il n’y a pas d’interprétations loufoques possibles. Question de bon sens.
Le « Prophète », vous ne pouvez le nier, lance des appels au meurtre de tous les « infidèles ». On retrouve cet ordre partout. Religion de paix, d’amour et de tolérance? Je suis sceptique…
Et ces appels au meurtre sont et ont été très bien suivis au cours des siècles. Voulez-vous la liste des exactions commises au nom du prophète et de l’islam? Je l’ai sous la main. Très impressionnant.
Ceci-dit, Forcetranquille, prenez des leçons d’orthographe et de syntaxe, sans vous offenser; exprimez vous dans un français correct, ça passe mieux pour défendre vos idées.
Cordialement.
FDF