Francaisdefrance's Blog

24/08/2011

L’homme fort du Vlaams Belang Filip Dewinter déclare : « La guerre ethnique se trouve à nos portes » !

Et Dieu sait si il a raison, Filip Dewinter…

On ne va tout de même pas continuer à se laisser faire ça ?

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Tous les signes annonciateurs sont réunis. On se croirait en Afrique, où les rivalités tribales se règlent dans des effusions de sang. Ne bougez pas, on y arrive; doucement mais sûrement. Les cartes sont entre les mains de nos gouvernements respectifs. Mais ils ont du mal de les sortir. Et l’on s’étonne de montée impressionnante de ces partis nationalistes et patriotes… Ce sont peut être eux qui nous sauveront…

FDF

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Flandre (Belgique) et Royaume-Uni (via Lionel Baland) — Invitée par le British National Party, une délégation du Vlaams Belang a visité les zones de Londres touchées par les émeutes.

À l’invitation du Député européen du BNP (British National Party – Royaume-Uni) Nick Griffin, une délégation du Vlaams Belang (Flandre – Belgique) s’est rendue durant deux jours à Londres afin de visiter les quartiers atteints par les émeutes.

La délégation parlementaire composée du chef de groupe des élus du Vlaams Belang au sein du Parlement flamand Filip Dewinter, du Député flamand et Président de la Commission des affaires étrangères Frank Creyelman, du Député européen Philip Claeys et des Députés nationaux Filip De Man et Tanguy Veys a visité les quartiers de Londres touchés par les émeutes : Tottenham, East-London, Enfield, Croydon, Brixton et Stratham.

À l’intérieur de ces zones, règne la sharia et une forme de polarisation ethnique permanente : là où autrefois les bandes ethniques attaquaient les installations publiques telles que les bureaux de police et mairies, les bandes se combattent. C’est une nouvelle phase alarmante de la guérilla urbaine. L’homme fort du Vlaams Belang Filip Dewinter déclare : « La guerre ethnique se trouve à nos portes ».

Il ressort des contacts avec des fonctionnaires sociaux qui ont eu lieu lors de cette visite que les bandes se professionnalisent, s’arment et s’organisent de manière professionnelle.

Source: http://fr.novopress.info/

15/08/2011

La « tolérance zéro » de David Cameron.

Tolérance zéro envers les racailles; mon rêve. Voyons si David Cameron tient ses engagements. Si c’est le cas, souhaitons que cela fasse un effet de propagation parmi tous les pays touchés par ce fléau. Les menaces, les promesses de répression, les gangs et bandes ethniques diverses en rigolent en encore…

FDF

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La lutte contre les gangs, jugés responsables des émeutes par le Premier ministre anglais, constitue la « priorité nationale ».

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Les quatre nuits d’émeutes en Grande-Bretagne ont choqué le monde. Les gangs seraient à l’origine de ces troubles, dixit le Premier ministre britannique. Aux yeux de David Cameron, ils sont les seuls responsables des récents actes de violence, de pillage et de vandalisme qui ont coûté la vie à cinq personnes. Tandis que les arrestations se multiplient, la lutte contre ces gangs constitue désormais la « priorité nationale » de Londres. Place à la « tolérance zéro » inspirée du modèle américain de lutte antigang mis en place à Boston, à Los Angeles et à New York. Détails de l’arsenal imaginé par le gouvernement britannique.

La politique des vitres cassées

Dès le 11 août, lors d’une session extraordinaire au Parlement, Cameron esquissait son plan antigang. Aucune mesure policière ne serait écartée, y compris l’usage de canons à eau – réservé jusque-là aux troubles en Irlande du Nord -, la possibilité d’instaurer un couvre-feu en cas d’émeutes et le recours éventuel à l’armée. Trois jours après ses annonces à Westminster, le Premier ministre anglais va plus loin, dans les colonnes du Sunday Telegraph daté du 14 août. « Nous n’avons pas assez employé le langage de la tolérance zéro jusqu’à maintenant, mais c’est en train de changer très rapidement », prévient David Cameron.

La « tolérance zéro » part du principe que les délits mineurs – par exemple le fait de briser des vitres, d’où son surnom de « politique des vitres cassées » – doivent être punis de façon stricte. Car, selon les défenseurs de ce dispositif, les « petits » actes de délinquance peuvent déboucher sur des délits plus « graves », voire des crimes en l’absence d’une première sanction sévère.

Lain Duncan Smith, ministre du Travail et fondateur du Centre de justice sociale, un institut de recherche sur l’exclusion sociale et la délinquance, sera le maître d’oeuvre et présentera un rapport en octobre prochain. Mais déjà, la stratégie du gouvernement britannique s’articule autour de deux axes : une lutte vigoureuse à l’encontre des chefs de gang, combinée à une politique de soutien et d’aide sur le terrain aux jeunes adolescents susceptibles d’être recrutés.

Une existence sous surveillance

A l’encontre des chefs de gang, Londres prévoit la mise en place de mesures draconiennes. Des visites quotidiennes par la police à leur domicile sont envisagées. Objectif déclaré : faire de leur vie « un enfer ». Tous les aspects de leur existence seront ainsi examinés : la plus petite infraction – telle que le non-paiement de la taxe sur la télévision ou d’amendes de la circulation – pourrait déboucher sur l’emprisonnement.

 » Les plus durs d’entre eux ont besoin de se retrouver entre quatre murs de prison, et ce, pendant une période de temps particulièrement longue », résume Duncan Smith, interrogé par le Sunday Times.

L’éducation des mères célibataires

Le ministre du Travail assure que de nombreux jeunes éduqués par des mères célibataires se retrouvent happés par des gangs, car ils ne disposent pas de figure paternelle : « Beaucoup de garçons sont en quête d’une autorité dont ils manquent et le gang leur offre un certain code disciplinaire et une structure hiérarchique similaire à celle d’une famille, mais d’une famille dysfonctionnelle et violente », explique-t-il.

L’une des mesures déjà avancées prévoit donc des visites régulières de travailleurs sociaux dans les familles monoparentales, avec pour objectif d’inculquer aux mères des règles éducatives leur permettant de réaffirmer leur autorité, mais aussi de placer dans des familles d’accueil les cadets de familles dont les aînés appartiennent à des gangs.

A l’instar de la ville de Liverpool, la police pourrait arrêter des enfants présents dans les rues la nuit – considérés comme des proies vulnérables pour les gangs. Ils seraient placés dans des lieux dirigés par des associations caritatives, où leurs parents peuvent ensuite venir les récupérer.

Les stages de réhabilitation

Un nouveau « délit par association » pourrait aussi être voté. Il permettrait la mise en place de couvre-feux pour ceux associés à des gangs.

Duncan Smith suggère également la possibilité de créer des académies où les membres de gangs pourraient être placés en stages de réhabilitation organisés par des associations caritatives et la police, avec pour objectifs de leur inculquer la discipline et de leur offrir une éducation de base

Reste à savoir quand et comment le gouvernement mettra en place de telles mesures, dans un contexte de coupes budgétaires drastiques touchant la police et les services sociaux.

Source: http://www.lepoint.fr/

03/04/2011

Ces « jeunes » ne savent plus s’amuser: rixe à coups de fusil en plein centre ville de Castres !

Même les Gitans s’y mettent. Normal: comme les autres chimpanzés habituels, ils savent que notre justice défaillante ne leur fera pas grand mal… Pauvre France.

FDF

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Tout a commencé passage Henri IV, à proximité d'un établissement de nuit/Photo DDM.

Tout a commencé passage Henri IV, à proximité d’un établissement de nuit/Photo DDM.

Violente bagarre hier vers 5 heures en centre ville. Au cours de celle-ci, l’un des protagonistes a volontairement heurté un jeune homme avec son véhicule ; par ailleurs, une arme a été sortie et utilisée pour intimider les « adversaires » mais aussi la police ! La situation n’a pas dégénéré davantage grâce au sang-froid des fonctionnaires de la police nationale, qui ont tout de même été obligés de sortir leurs armes de service.

Il roule sur sa jambe

Selon les premiers éléments de l’enquête, tout a commencé à proximité de l’établissement de nuit MoonLigth, passage Henri IV. Il semblerait qu’un simple refus de cigarette a vite pris une sale tournure entre des jeunes d’origine maghrébine et d’autres originaire des Îles. Rapidement, l’altercation s’est poursuivie dans les rues adjacentes, chacune des parties y allant de ses SMS pour alerter des renforts. Pour ajouter aux ingrédients explosifs, un groupe issu de la communauté gitane sédentarisée de Castres, s’est retrouvée mêlée à l’affaire. Vociférations, poursuites et coups dans les rues Henri IV et Borrel… Une vingtaine de personnes au total participaient à la rixe. Subitement, une voiture est arrivée à reculons dans la rue Henri IV, depuis la place Jean-Jaurès. Elle a heurté l’un des protagonistes : au moins une roue lui passant sur une jambe, par deux fois, puisque le conducteur est reparti de l’avant. La victime, un ancien militaire (du 3e RPIMa de Carcassonne) a été opérée hier matin de multiples fractures (tibia, péroné et malléole).

Fusil de chasse en mains

Mais le scénario, déjà bien noir, ne s’est pas arrêté là : un homme, issu de la communauté gitane, s’est présenté avec un fusil de chasse avec canon superposé. Il en a menacé ses rivaux mais également les services de police arrivés sur les lieux en nombre (des renforts étant venus de Mazamet, Albi, Graulhet. Plus un équipage de la gendarmerie). Placés sous les ordres du commandant Louvet, les fonctionnaires de police ont fait preuve d’une grande maîtrise. Ils ont réussi à reprendre le contrôle de la situation sans devoir faire usage de leurs pistolets, qui avaient toutefois été tirés de leurs étuis. L’homme détenteur de l’arme, légèrement blessé au cours de l’altercation, s’est fait alors admettre à l’intérieur d’un VSAB des pompiers… où il a tenté de dissimuler son fusil ! Il a toutefois été conduit au centre hospitalier pour contrôles, mais non sans mal : le VSAB a dû en effet être placé sous la protection de la police. Des éléments de sa troupe de belligérants, renforcés d’autres, voulaient le récupérer. Intention manifestée également dans l’enceinte même du service des urgences… où une fois de plus il a fallu tout leur sang-froid aux policiers pour protéger les personnels et pour que force reste à la loi. L’individu a finalement été très vite récupéré par le commissariat, ramené dans ses locaux et placé en garde à vue.

Source: http://www.ladepeche.fr/

18/03/2011

Au moins 480 « bandes » de racailles en France…

Ca, ce sont les chiffres « officiels ». Ceux que l’on veut bien donner au peuple. Pour ne pas trop étendre le sentiment d’insécurité auquel il est confronté tous les jours. Les VRAIS chiffres sont comme ceux du nombre de voitures brûlées festivement: on peut multiplier par quatre, facilement. Rien qu’où je réside (12 000 âmes), on peut compter 5 bandes « officielles »; et toutes ethniques, toutes… Semer la merde est leur devise. Et si on peut en même temps massacrer du « blanc », c’est mieux.

Faites le calcul par rapport au nombre d’habitants en France.

Marine, vite !!!

FDF

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Radioscopie des 480 bandes qui sévissent en France.


Elles seraient deux fois plus nombreuses qu’en 2008. Constituées de 15 à 20 jeunes, les bandes défendent un territoire et s’agressent pour des motifs futiles.

Ce ne sont ni les gangs armés de Harlem ni ceux du Bronx de jadis. Mais leur inexorable montée en puissance et leurs indicibles bouffées de violence ont suffi à en faire une cible prioritaire du ministère de l’Intérieur. Selon un bilan de la Direction centrale de la sécurité publique (DCSP) porté à la connaissance du Figaro, pas moins de 480 bandes actives écument l’ensemble du territoire. Soit le double de ce qu’avait observé la très discrète section «dérives urbaines» en septembre 2008, lorsqu’elle s’était mise à défricher cet univers méconnu.

«Articulées autour d’un noyau de trois ou quatre individus, ces structures mouvantes sont composées de quinze à vingt personnes, observe le commissaire divisionnaire Christian Hirsoil, sous-directeur de l’Information générale (ex-Renseignements généraux). En général, le ciment du groupe est territorial, que ce soit la cité mais aussi une grande tour, voire une simple cage d’escalier…»

1096 individus interpellés, dont 438 mineurs

Leurs membres, qui n’affichent aucun signe d’appartenance pour ne pas attirer l’attention de la police, s’agrègent dans une moindre mesure autour d’établissements scolaires et de centres commerciaux. En rajoutant la mouvance des «occasionnels qui se réunissent ponctuellement dans 120 groupes de circonstances à l’occasion d’une rumeur, d’un incident quelconque avec un vigile ou une patrouille», les services spécialisés estiment à 10.000 le nombre d’aficionados composant les bandes en France. L’année dernière, ils en ont interpellé 1096, dont 438 mineurs. Les plus jeunes ayant quatorze ans à peine. Impliquées dans des trafics de drogues et des petits recels dans 75% des cas et composées de filles uniquement pour 2,5% d’entre elles, les bandes passent à l’action sur la voie publique, au hasard des rencontres et pour des motifs insignifiants.

«Un simple vol de casquette ou une histoire de cœur suffit pour que l’on sorte les couteaux, déplore un officier. Les motifs des agressions et des affrontements sont aussi futiles qu’irrationnels. Quand on fait des prisonniers, rares sont ceux qui parviennent à expliquer les déchaînements de violence. Récemment, une personne a été lardée de neuf coups de couteau dans un escalator pour un simple regard de travers.» Les incidents les plus graves n’éclatent pas forcément dans les grandes métropoles. Ainsi, fin janvier, à Villeneuve-sur-Lot, deux bandes rivales se sont affrontées à l’arme blanche au cours d’une invraisemblable rixe. Trois protagonistes, dont l’un poignardé à mort, avaient été relevés sur le champ de bataille.

Un simple regard de travers

«En général, les belligérants s’arrangent pour emporter leurs blessés avant l’arrivée des collègues», constate un policier. Quelques mois auparavant, là encore, un simple regard de travers et une insulte avaient coûté la vie à un Antillais de 19 ans, tué à l’arme blanche en plein cœur du vieux Millau (Aveyron).

En région parisienne, où un plan antibandes a été déclenché depuis le 1er juillet dernier par le préfet de police Michel Gaudin, 154 voyous gravitant dans des «gangs» ont été appréhendés pour le seul mois de février dernier. Au sein de la Direction de la sécurité de proximité de l’agglomération parisienne (DSPAP), une trentaine de policiers spécialisés passent au crible 78 bandes, dont 23 sont enracinées dans la capitale et cinq classées comme «cibles prioritaires». Parmi elles, le gang des «Candy shop» et sa centaine d’adolescents soudés par la culture «gangsta rap» convergeant de toute la banlieue vers la gare du Nord ou le forum des Halles pour chercher la bagarre…

Suite et source: http://tinyurl.com/46tpmh5

14/03/2011

Rixe à Asnières : la mère de l’ado tué appelle au calme…

D’abord on ne dit pas « ado ». On dit « jeune », puisque que la famille lance un appel au calme.  Quand on appelle au calme, ça veut tout dire sur l’origine des belligérants…

FDF

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Il était aux environs de 21h30, samedi soir, quand un adolescent de 15 ans a été frappé d’un coup de couteau au thorax, alors qu’il se trouvait dans la rue, à Gennevilliers, à la limite d’Asnières (Hauts-de-Seine).

Les équipes du Samu ont tenté de le ranimer pendant une heure, avant de la transporter à l’hôpital Georges-Pompidou, à Paris, précise Le Parisien.

L’adolescent est décédé des suites de ses blessures.

Selon une source proche de l’enquête, la situation était tendue dans le quartier où s’est déroulée l’agression mortelle.

D’importants effectifs de police ont été déployés dans le secteur au cours de la nuit.

Note de la rédaction:
Moins de 24 heures après la mort de cet ado, deux autres jeunes ont été blessés dans une rixe entre bandes rivales d’Asnières et Gennevilliers. La mère de la victime a tenu à lancer un appel au calme devant les caméras.

(source : i>télé ; merci à Fred-Lille pour la vidéo)

Source: http://tinyurl.com/65l8xfl

08/02/2011

Rixe entre bandes rivales à Audincourt(Doubs): la délinquance est en baisse…

Et c’est encore le FN qui réagit en premier… L’UMPS n’a pas « condamné ». Qui ne dit rien consent…

FDF

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COMMUNIQUE DE PRESSE – AUDINCOURT

16/12/2010

« Il faut partir d’ici le plus vite possible ! » hurlent les commerçants des banlieues.

Fini de rire…

Non seulement ils occupent nos rues mais ils nous chassent de chez nous. On ne va tout de même pas se laisser faire, si? Alors que la résistance s’amplifie! Réveillez-vous !

FDF

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Banlieues de l’immigration : l’exil forcé des commerçants continue…


Exercer normalement une activité commerciale dans l’une des zones de non-droit que sont devenus les banlieues de l’immigration est désormais devenu impossible.

Ainsi, à Thiais (Val-de-Marne), après les départs de la boucherie, du pressing, de l’auto-école, du magasin Franprix, c’est au tour des  boulangers, victimes d’un braquage à main armée, de chercher à quitter le quartier des Grands-Champs. « Il faut partir d’ici le plus vite possible ! » est désormais le cri de ces artisans lassés de vivre dans la peur et la violence.

Cela fait huit ans que la famille Chariot tient la boulangerie du quartier des Grands-Champs dont elle a pu observer la progressive dégradation.

Aujourd’hui, seule la boulangerie et la pharmacie voisine survivent malgré un chiffre d’affaires en baisse, au milieu des stores baissés et des grues de chantier dans ce quartier de 2000 habitants.

Les derniers commerçants n’ont pas d’autre but que de quitter ce cauchemar. Mais à quel prix ? Car dans un tel contexte les repreneurs ne se bousculent pas ou proposent des prix dérisoires.
Une vie de travail et un patrimoine se voient ainsi sacrifié sur l’autel de l’impunité des bandes ethniques.


Source: Novopress.info

29/11/2010

Rennes : des « jeunes» agresseurs de policiers laissés en liberté !

Honteux et provocateur. C’est ce qui se nomme du laxisme entraînant la favorisation du sentiment d’impunité… Je les plains, nos forces de l’ordre, je les plains… Et l’on s’étonne que parfois ils baissent les bras?

FDF

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Les policiers avaient été appelés par des habitants de la place de Serbie, qui se plaignaient du bruit provoqué par une bande de « jeunes ». Bruit, dégradations en tout genre, insultes, incendies de voitures et trafics divers pourrissent depuis longtemps la vie de ce quartier de tours et d’immeubles situé au sud de la ville.

A l’arrivée de la police les « jeunes » avaient disparu, abandonnant sur les lieux des vêtements et des pièces d’identité. Mais en sortant de l’immeuble, les policiers ont été pris à partie par une dizaine d’individus. Des coups ont été échangés, l’un des agresseurs tentant même de s’emparer de l’arme de service du capitaine qui dirigeait la patrouille. Deux représentants des forces de l’ordre ont été blessés.

Après enquête, trois « jeunes »,  déjà « bien connus  des services de police » – l’un d’entre eux avait déjà été arrêté la semaine passée pour une quinzaine de vols avec effraction – ont été interpellés mardi matin. Alors que le syndicat de policiers Alliance espérait que « la réponse donnée serait à la mesure de l’agression » deux de ces individus, majeurs, ont été remis en liberté hier. Ils comparaîtront devant le tribunal en janvier prochain. Le troisième, mineur, a été déféré au parquet. Il devait faire l’objet d’une demande de placement en détention.

La décision de laisser en liberté deux de leurs agresseurs passe très mal chez les policiers, qui se sentent lâchés. «Dans tous les cas, il y aura une réponse pénale», a assuré le procureur de la République. Mais ce qui ressort de cette affaire, c’est qu’aujourd’hui, à Rennes, on peut agresser des policiers et rester en liberté.

Les bandes ethniques qui sévissent dans le quartier de Blosne auront certainement retenu la leçon..

Novopress.info, 2010

27/10/2010

Anti-Racailles: cet après-midi du 23 octobre, 500 jeunes européens ont dit que dorénavant ils ne reculeraient plus !

 

Quand Jean-David Cattin se lâche…

FDF

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Le discours de Jean David Cattin

Le discours de Jean David Cattin


Hier, en 1968, une génération s’est révoltée, ça n’a pas duré bien longtemps et ils ont vite fait de troquer leur internationalisme gauchiste pour un internationalisme ultra-libéral. Aujourd’hui cette génération est à la tête des médias, de la politique et de tous les cercles du pouvoir. Et comme des enfants gâtés, ils refusent de partager.

Ils ne partagent pas leur pouvoir mais nous laisseront-ils quelque chose en héritage ? Quel est le résultat de leurs 40 années de domination ?

Une Europe du chômage ! Une Europe de vieillards ! Une Europe honteuse ! Une Europe victime de l’immigration ! Une Europe soumise ! Une Europe martyrisée !

Une Europe du chômage. Alors qu’ils ont connu le plein emploi, ils nous laissent des sociétés oscillant entre 10 et 20% de chômage. Les jeunes alternent les petits boulots et sont confrontés à un chômage monstrueux. Et que trouvent-ils de mieux à faire ? Ils instaurent la discrimination positive et ainsi légalisent le racisme anti-blanc ! Mais qu’est-ce que nous leur avons fait pour qu’ils nous détestent à ce point ?

Une Europe de vieillards. Voulant profiter à fond de tous les plaisirs du monde moderne, la génération 68 n’a pas fait d’enfants. Trop cher ! Trop aliénant ! Ils ont fait leur choix, ils ont profité, mais maintenant qu’ils ne comptent pas sur nous pour payer leurs retraites !

Une Europe honteuse. A les entendre l’histoire de l’Europe ne se résume qu’à des invasions sur nos gentils et innocents voisins, à l’esclavage de la moitié de la planète et que bien sûr nous avons été les seuls à pratiquer, sans oublier la colonisation qui est bien sûr le péché ultime et qui, encore une fois, est propre à l’Europe.

Contrairement à eux nous aimons notre Europe et nous connaissons son histoire, nous savons que comme les autres civilisations, elle a tué, envahi et conquis, mais nous savons aussi que l’Espagne a été envahie et dominée par les Maures pendant 700 ans, nous savons que la Turquie a mis sous coupe réglée la moitié de l’Europe de l’est pendant 400 ans et qu’il y a cent ans encore, ils imposaient leur joug terrible sur nos frères des Balkans. Nous savons que les pirates nord-africains ont semé la terreur dans le sud de la France pendant 1000 ans et y ont capturé durant cette période plus d’un million d’esclaves.

Nous ne voulons pas que l’éducation de nos petits frères se résume à l’histoire d’obscures dynasties d’Afrique noire et à la liste des crimes que nos ancêtres ont pu commettre.

Une Europe victime de l’immigration
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En à peine 40 ans nos villes autrefois homogènes ressemblent aujourd’hui à Alger ou Kinshasa. Par avidité, les gauchistes de 68 reconvertis dans l’ultra-libéralisme sans frontières, se sont servi de l’immigration pour peser sur les salaires sans se soucier le moins du monde des effets dévastateurs qu’elle allait produire ! Après eux le déluge ! Et ce déluge arrivera immanquablement, et ce jour-là sachez que les arches que nous construirons renverront chez eux ceux qui n’auraient jamais dû venir !

Une Europe soumise. Trop lâches et paresseux pour assumer une politique étrangère, ils ont préféré laisser les États-Unis faire comme ils l’entendaient. Ce n’est pas Sarkozy l’Américain et ses Ray-ban qui me contredira !

En politique intérieure ce n’est pas mieux. 80% de nos lois sont votées à Bruxelles, autant dire que 80% de nos lois sont votées dans les conseils d’administration des multinationales ! Et mieux vaut vous prévenir tout de suite, nos intérêts ne sont pas les leurs.

Une Europe martyrisée. Alors qu’aujourd’hui le crime le plus grave semble être de critiquer les minorités ou leur religion, on peut allègrement cracher sur tout ce que les Européens ont de plus sacré. Vandaliser les églises sans que personne s’en émeuvent. Inscrire Allah Wakbar sur nos cathédrales. Brûler nos drapeaux.

Je vous parle d’Europe, mais regardez ce qu’il se passe à deux pas d’ici en ce moment-même. L’Etat a renoncé, les racailles imposent leur loi. Pas plus tard que cette semaine des centaines d’entre elles ont fait régner la terreur à Nanterre sans qu’aucune d’entre elles ne soient arrêtées.

Nos amis lyonnais peuvent témoigner du climat d’ultra-violence qui régnait dans leur ville ces dernières semaines. Loin de toute revendication politique, les bandes ethniques profitent du chaos pour effectuer de véritables razzias dans le centre ville. Et à chaque fois, une police impuissante, en sous-effectif, et qui a la consigne de ne surtout pas casser un ongle aux fauteurs de troubles.

Ces évènements on peut les comparer aux zones de non-droit qui poussent aux quatre coins de la France, que ce soit à Lyon, Marseille, Paris ou Grenoble. La police n’ose plus ou n’a plus l’autorisation d’y entrer.

Mesdames et Messieurs, je vous demande ce qu’il va se passer quand il n’y aura plus d’argent dans les caisses, plus d’argent pour faire vivre à bout de bras ces banlieues qui reposent en grande partie sur l’aide sociale. Que va faire l’Etat ? Envoyer le Raid et le GIPN dans les toutes les banlieues en flamme de France en même temps ?

Oui, la situation est intenable, les mesurettes du gouvernement ne sont que de la poudre aux yeux. On fait des coups médiatiques sans rien changer aux problèmes de fond. Ils espèrent sans doute que l’explosion se produise au moment où ils ne seront plus en charge des affaires.

Ils sont bien les seuls qui peuvent se payer ce luxe-là, tous les autres vont devoir continuer à vivre, à travailler, à élever leurs enfants dans ce pays à l’abandon.

Pour nos familles, pour notre pays, pour notre civilisation, nous avons le devoir de résister. Nous avons le devoir de résister car nous en avons assez.

NOUS EN AVONS ASSEZ !

Oui, nous en avons assez de leur vivre-ensemble, de leur diversité, de leur société multi-ethnique qui transforme nos vies en véritable cauchemar.

Nous voulons vivre chez nous, maîtres chez nous, sans qu’on nous impose des règles venues d’ailleurs !

Nous voulons vivre chez nous débarrassés d’une société de consommation qui nous abrutit !

Nous voulons vivre en homme libre, en homme européen, nous ne voulons plus de ces gérontocrates qui confisquent le pouvoir !

Nous sommes la jeunesse, pas celle qui manifeste pour sécher les cours, pas celle qui casse et qui pille. Nous sommes l’AUTRE JEUNESSE.

La jeunesse qui a fait le choix de la résistance, la jeunesse qui a refusé de se faire traiter en étranger sur son propre sol.

Nous sommes la jeunesse anti-racaille, celle qui ne baisse pas les yeux et qui ne se fait pas dépouiller lors de ses manifestations.

Nous sommes une jeunesse déshéritée. Ils n’ont pas voulu nous transmettre. Ce n’est pas grave, nous prendrons.

Source: http://www.bloc-identitaire.com/

22/10/2010

Actes « racistes » et « néo-nazis » en Alsace : Rappel d’une étonnante manipulation…


 

Octobre 2010 :

Plusieurs actes ciblant des cimetières et des biens de personnalités publiques juives et musulmanes ont été relevés récemment en Alsace, et tout particulièrement à Strasbourg, suscitant le cirque que l’on imagine du côté des élus, des « autorités morales », et bien entendu des medias qui s’en donnent à cœur joie. Pensez donc : deux cimetières juifs et deux carrés musulmans profanés, des tags de symboles nazis qui visent un camion de distribution de viande halal, la maison du maire socialiste de Strasbourg  Roland Ries, celle du maire de Schiltigheim Raphaël Nisand, président de la Licra et à ce titre, grand persécuteur de militants identitaires, celle de son frère Israël Nisand, gynécologue très médiatisé partisan de la gratuité de la pilule contraceptive pour les adolescentes, celle de Faruk Günaltay, activiste de la multiculturalité, etc… C’est, comme le relève la presse, « la mobilisation générale. Tout le monde est sur le pont ». Pendant que les pétitionnaires pétitionnent en désignant l’extrême-droite, les analystes tel le géographe Richard Kleinschmager analysent le sombre terreau alsacien, rappelant le « poids de l’histoire » en n’oubliant pas de relever « la douloureuse question des malgré-nous, ces 130.000 Alsaciens et Lorrains enrôlés de force dans l’armée allemande avec, parmi eux, quelques volontaires acquis aux idées du 3ème Reich ». Cette dernière précision est bien entendu vitale pour la compréhension des évènements contemporains, dont l’importance du vote d’extrême-droite en Alsace. Kleinschmagger va jusqu’à formuler cette forte pensée : « du fait de son histoire particulière, la région pourrait être une sorte de laboratoire obscur, le terrain d’exercice de fractions extrémistes ».

Mais les autorités ont décidé de réagir en prenant des mesures dignes de l’importance de l’enjeu : création d’une cellule spéciale de six enquêteurs, secondée par des patrouilles renforcées et des techniciens de la police scientifique et surtout « l’éducation des nouvelles générations (entendez le bourrage de crânes) » et, bien entendu « l’organisation de visites de collégiens au Struthof, camp de concentration nazi en Alsace » (qui fut utilisé à la fin de la guerre pour emprisonner les collaborateurs).

Retour sur mai 1957 en Alsace :

Que se passe-t-il en Alsace en ce début d’année 1957 ? Des croix gammées et des slogans à la gloire du Reich, revendiqués par une mystérieuse organisation « Union de combat pour une Allemagne indépendante », fleurissent partout. On imagine l’émotion et le chahut médiatique sur le thème : les nazis sont toujours menaçants. En mai 1957, l’épouse du Préfet Trémaud ouvre une boîte à cigares qui lui a été envoyée par la poste. La boîte explose, tuant celle-ci. L’attentat est revendiqué par cette pseudo organisation néo-nazie, suscitant de très vives réactions.

Il a fallu attendre la chute du mur de Berlin et l’ouverture des archives des services secrets tchécoslovaques, pour apprendre que toute l’opération avait été montée par les services tchèques qui agissaient pour le compte du KGB. Le but ? Envenimer les rapports franco-allemands en plein renouveau et empêcher le développement de l’intégration européenne naissante.

Depuis, nous avons connu Copernic et Carpentras, entre autres. Mais aujourd’hui, ce n’est plus le KGB qui se révèle responsable de ces mises en scène. Ce sont les dirigeants de l’Etat, avec la complicité de leurs services, relayés par tous les lobbys et leurs médias, qui portent la responsabilité de ces manipulations. Ces accusations frénétiques visant à culpabiliser les électeurs et sympathisants du camp national et identitaire doivent être dénoncées sans relâche.

A qui profite le crime, si ce n’est au Système et à ses spadassins qui ne reculent devant aucune forgerie, aucun mensonge pour imposer leur loi et  formater les esprits les plus jeunes et les plus faibles ?

Si l’Etat mettait le dixième de son énergie à rétablir l’ordre dans les banlieues et à combattre sans relâche les bandes ethniques qui y sèment la terreur, plutôt que de poursuivre des chimères grimées en nazis, les Français pourraient se sentir davantage en sécurité.

Robert Spieler
Ancien Député
Délégué général de la
Nouvelle Droite Populaire

Blog de Robert Spieler : http://robert-spieler.hautetfort.com/

Site de la NDP : www.nouvelledroitepopulaire.info

Synthèse nationale, l’information au quotidien : www.synthesenationale.com


19/10/2010

Manifestations: 4 policiers blessés à Lorient !!!

Décodage: remplacez le mot « jeunes » par « racailles-sous-merdes cagoulées issues de l’immigration »

FDF

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Les incidents se poursuivent à Lyon, à Nanterre, à Paris… 1.158 personnes ont été interpellées en une semaine.

Lundi, de nombreux incidents ont éclaté en marge des mobilisations lycéennes.

Mardi, le nombre d’incidents semble monter d’un cran. Le ministère de l’Intérieur a dénombré près de 163 interpellations à la mi-journée.

Au total, sur une semaine, près de 1.158 personnes ont été interpellées, toujours selon le ministère.

Plusieurs grandes villes de France ont été concernées par les mobilisations lycéennes mardi, notamment Nanterre, Evry, Saint-Denis, Lille, Mulhouse, Clermont-Ferrand…

A Paris, dans le 15 éme arrondissement, une jeune fille a été blessée après l’explosion d’un scooter suite à un feu de poubelle près d’une école élémentaire et d’un lycée technique. La victime a dû être hospitalisée. « C’est un lycéen qui a mis le feu à des poubelles. La police a des indices, il devrait être arrêté dans la journée », rapporte le maire UMP.

Selon 20 Minutes, sont hospitalisation s’est bien passée. La jeune fille va bien.

Les forces de l’ordre ont procédé à 110 interpellations, dont 81 gardes à vue mardi, à Paris et dans la petite couronne (Hauts-de-Seine, Seine-Saint-Denis et Val-de-Marne).

A Corbeil-Essonnes
en Essonne, des incidents ont eu lieu en marge des manifestations lycéennes. Une soixantaine de jeunes de la cité des Tartêrets ont rejoint 250 lycéens qui manifestaient. La voiture du commissariat a été retrounée et des objets ont été volés.

Un policier aurait été blessé en marge de la mobilisation.

A Évry en Essonne, deux policiers auraient été blessés lors d’affrontements avec des manifestaants.

A Savigny-sur-Orge
toujours en Essonne, des lycéens auraient, eux-mêmes, dégradé du mobilier urbain, provoquant une intervention des forces de l’ordre.


A Nanterre
dans les Hauts-de-Seine, le lycée Joliot-Curie est toujours bloqué par plus de 200 lycéens.

De nouveaux affrontements ont eu lieux entre CRS et des jeunes extérieurs au lycée, indique Le Point.fr.

Regardez ces images de ITélé :

Les policiers ont fait usage de gaz lacrymogènes et de Flash-Ball pour dissiper les jeunes qui leurs lançaient des pierres et autres projectiles, rapporte L’Express.

Les lycéens de Nanterre indique qu’il vont rejoindre le cortège place d’Italie, précise I Télé.

« J’ai pourtant essayé de calmer le jeu lundi, une réunion a été organisée à la mairie avec les élus, des parents d’élèves, des lycéens, des professeurs. J’ai donc décidé de fermer le lycée mardi matin, pour éviter que les actions de provocations policières soient portées », explique le proviseur du lycée Joliot-Curie sur I Télé.

« Ce sont des casseurs, extérieurs au lycée qui viennent semer le trouble. Ils ne sont pas là dans le cadre d’une manifestation lycéenne contre la réforme des retraites », déplore le proviseur du lycée.

Une nouvelle voiture aurait été brûlée, des vitres brisés, précise encore ITélé.

Le tribunal de Nanterre a été endommagé par une quarantaine de jeunes.

Voici une vidéo qui revient sur les affrontements de mardi matin à Nanterre.

(Source : I Télé – Montage Fred-Lille)

A Lyon, dans le Rhône les affrontements entre les forces de l’ordre et les jeunes se poursuivent également. Un policier a été blessé à la jambe. Un photographe a été blessé par un jet de bouteille au visage.

Regardez ces images de TF1 :

Une trentaine de voitures ont été renversées, dont cinq brûlées.

On constate plusieurs pares-brises brisés, des feux de poubelles, des abribus détruits, des vitrines de magasins brisées… Deux magasins – une bijouetrie et une boutique de vêtements – ont été pillés.

Déjà 13 personnes ont été interpellées, mardi matin, suite aux incidents en marge des manifestations.

Sur le réseau de micro-blogging Twitter, un photographe, en direct de Lyon, parle d’un véritable champ de bataille.

Le sénateur-maire de Lyon, Gérard Collob en appelle au calme via son compte Twitter. « La situation se dégrade. Un peu partout des incidents se produisent. Je condamne ces débordements et en appelle au calme », rapporte 20 Minutes.

La ville avait déjà été le théâtre de violences lundi et la semaine dernière.

Au regard de l’ampleur des événements, le maire de Lyon a décidé d’écourter son voyage en Chine pour apaiser les tensions et appeler au calme, indique 20 Minutes.

Débordemant dans les manifestations lycéennes à Lyon, le 18 octobre.

Débordemant dans les manifestations lycéennes à Lyon, le 18 octobre.

Par mesure de sécurité, plusieurs lycées de toutes la France ont préféré fermé leur porte, notamment à Tourcoing dans le Nord.

A Mulhouse, dans le Haut-Rhin, 500 à 600 lycéens et étudiants dégradé des voitures et brisé des vitrines, a constaté un journaliste de Reuters. La police a procédé à plusieurs interpellations, rapporte Le Point.fr.

Lorient dans le Morbihan, quatre policiers ont été blessé et deux personnes ont été interpellées suite à des affrontements entre jeunes et CRS.

 

Sources : Le Point.fr, L’Express, I Télé, 20 Minutes, Le Progrès, Le Figaro.fr, Europe 1, Europe 1

Par La rédaction du Post

voir les vidéos sur http://www.lepost.fr/article/2010/10/19/2272293_incidents-en-marge-des-manifestations-lyceennes-ca-continue-a-nanterre.html

10/10/2010

Petit rappel dominical… La « novlangue »…

Attention! Certaines sources ne sont plus valables car obsolètes dans les dates de publication. Mais c’est dimanche, vous avez un peu de temps pour faire les recherches nécessaires. Pas vrai?

FDF

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Apprenez bien ces nouvelles définitions…

Quelques exemples de la novlangue (nouvelle langue) : les mots façonnent les esprits, puis modifient la manière de penser :

 

 

  • Ne dites plus clandestin mais candidat à l’immigration (Figaro)

  • Ne dites plus clandestin, immigré illégal, ni même sans-papiers, mais privés de papiers(source)

  • Ne dites plus discrimination positive mais encadrement différencié (Belgique) (voir)

  • Ne dites plus quartier à majorité immigrée mais quartier populaire (tous les médias)

  • Ne dites plus ni crimes, agressions, violences, mais plutôt actes de délinquance ou incivilités. Et encore mieux bêtises (source) ou faux-pas (France 2). Récent : les inconduites (CNRS)

  • Ne dites plus émeutes ou guerre des gangs mais incidents (partout)

  • Ne dites plus immigration mais mobilité européenne (Frattini, commissaire européen) (voir)

  • Ne dites plus immigré mais client (bureaucratie finlandaise) (voir)

  • Ne dites plus bandes mais identités de quartier.  (LCI.fr)

  • Ne dites plus des bandes de noirs et d’Arabes mais des jeunes qui se regroupent souvent sur des considérations ethniques » (Belgique) (voir)

  • Ne dites plus  enfants d’immigrés mais enfants issus de familles d’éducations éloignées (source)

  • Ne dites plus attraper les voleurs mais lutter contre les délits d’appropriation (France)(voir)

  • Ne dites plus des vauriens font des graffitis mais des graffeurs habillent la ville de couleurs ». (source

  • Ne dites plus un voyou notoire mais un individu défavorablement connu de la justice(tous les médias)

  • Ne dites plus mosquée mais centre culturel et religieux. (partout)

  • Ne dites plus fusillade mais bagarre par balles (source)

  • Ne dites plus Français  attaché à son pays, à sa culture et fier de son drapeau mais raciste

27/09/2010

Délinquance: des bandes d’origine africaine perturbent la Techno Parade.

D’origine africaine… Des « bandes »… Des semeurs de merde, quoi, et TOUJOURS les mêmes! ON ose enfin parler « d’individus à risques »? Heureusement que la Police veillait au grain. Et qu’on n’aille pas encore hurler au racisme! Nous, les sous-chiens, on n’a pas le droit de s’amuser rien que pour le plaisir. Ils faut qu’ils viennent semer leur merde, pour le plaisir, aussi et par haine du blanc, je pense. Rien d’étonnant que l’Afrique soit sans cesse secouée par des guerres tribales et dirigée par bon nombre de despotes sanguinaires pour qui vivre sans guerre n’est pas vivre…

Ils n’ont qu’à organiser une « Africo-Techno », ces enfoirés. On ira y participer aussi… Il peuvent compter sur nous.

FDF

27/09/2010

Le dispositif de sécurité fut d'autant plus efficace que le public n'était pas aussi nombreux que prévu : 30 000 personnes selon la Préfecture de police (300 000 selon les organisateurs), contre au moins 100 000 l'an dernier.

Le dispositif de sécurité fut d’autant plus efficace que le public n’était pas aussi nombreux que prévu : 30 000 personnes selon la Préfecture de police (300 000 selon les organisateurs), contre au moins 100 000 l’an dernier. Crédits photo : REUTERS

Des bandes étaient venues pour dépouiller. Mais la police en civil était dans la foule…

«Aucun incident grave», mais trente-huit arrestations malgré tout. La dernière Techno Parade à Paris, samedi, dans le quartier de la Bastille, a fourni l’éclatante démonstration de la réactivité des forces de l’ordre dans la capitale. Le soir même, trente-quatre de ces fauteurs de troubles se trouvaient en garde à vue dans les locaux de la police. L’audition de nombreux trublions, principalement issus des quartiers chauds de banlieue, s’est poursuivie tout le week-end, en attendant les inévitables déférements au parquet.

Il suffit d’analyser sur Internet les messages «twittés» (envoyés via le réseau social Twitter), cet après-midi-là, pour comprendre, même sans communiqué officiel, qu’il se passait quelque chose autour du bruyant cortège. «Évitez Bastille, ça commence à dégénérer. On est enfermés dans un magasin Chevignon», dit l’un d’eux. «Merci les racailles pour les émeutes à Bastille !», ajoute un autre, un brin emphatique. Plus sobre : «J’aime pas du tout ce que je vois dans les rues de Bastille…», écrit un blogueur. Ou encore celui-là : «Baston sur la ligne 5 à Bastille direction Bobigny.»

«Individus à risque»

Les vidéos laissées sur les blogs sont tout aussi explicites. On y voit de véritables hordes d’individus encapuchonnés, dont beaucoup de grands ados d’origine africaine, intimider des badauds et fondre sur la foule…

Suite et source: http://tinyurl.com/2covo4x

13/09/2010

Faut il avoir peur des racailles ??? Vidéo.

Rien à dire, juste à lire…

FDF

http://www.dailymotion.com/video/x58z2a_justice-stress-official-video_music


07/09/2010

Parcours… Fabrice Robert.




Retour sur un parcours politique personnel, par Fabrice Robert.

7 septembre 2010 Imprimer cet article

A l’heure où le Bloc identitaire se développe partout en France et cherche à inscrire durablement un nouveau courant de pensée dans le paysage politique français, les attaques se multiplient logiquement pour tenter de freiner notre progression. Parce que je suis en première ligne – par mon statut de président du mouvement –, j’apparais aujourd’hui comme une cible prioritaire. Et je me retrouve dans une situation paradoxale.

D’un côté, certains journalistes fouillent dans mon parcours militant pour trouver des éléments qui, à leurs yeux, pourraient se révéler infamants afin d’imposer l’idée selon laquelle certains choix passés interdisent toute évolution et discréditent a priori mes prises de position actuelles. De l’autre, quelques individus issus de la mouvance nationaliste ne parviennent pas à comprendre certaines de ces prises de position et vont jusqu’à parler de « reniements ». Il faudrait se mettre d’accord.

Je crois le moment venu de clarifier certains points de mon parcours personnel car le débat – si débat il doit y avoir – ne se pose pas en ces termes. Cela me semble d’autant plus important que ma personnalité – ce que je suis en 2010 – est indissociable des diverses expériences que j’ai vécues depuis le début de mon engagement en politique. Je ne renie rien, j’assume tout. Je dirais même que la force qui est en moi aujourd’hui s’est construite dans l’adversité, la douleur et la répression.

Quitte à choquer, il est donc temps pour moi de dire certaines choses face à tous ceux qui préfèrent les raccourcis faciles et qui ne connaîtront jamais le dixième de ce que j’ai vécu. Je ne me veux pas exhaustif. Je veux seulement apporter des précisions sur quelques moments clés de mon parcours personnel.

Chez les « rebelles blancs »

« Face aux bandes ethniques qui terrorisaient, déjà, certains quartiers, nous voulions que la peur change de camp. »

Mes premiers pas dans le militantisme politique remontent à la fin des années 1980. J’avais 16 ans et une profonde envie de m’engager pour mon pays. Attiré immédiatement par le nationalisme-révolutionnaire – avec le mouvement Troisième Voie –, je rêvais de justice sociale, de nation forte et unie, d’identité assumée, d’Europe indépendante face aux blocs américain et soviétique. A travers le slogan « Ni trusts, ni soviets », nous voulions proposer une troisième voie entre communisme et libéralisme. Il y avait aussi dans cet engagement, non dénué de romantisme, la recherche d’une certaine esthétique de l’action.

Le système dénonçait les militants nationalistes comme des « salauds ». J’ai donc pris allégrement l’habit du « salaud », du proscrit. « Seuls contre tous », nous avions la certitude d’incarner la vérité face à la trahison des élites.

Pour aller encore plus loin dans la radicalité, je me suis alors rapproché de ces bandes de « rebelles blancs » aux cheveux courts qui se développaient, à cette époque, dans la plupart des villes de France. Par notre tenue vestimentaire, nous étions de véritables cibles vivantes. Le risque était quotidien, permanent. Nos idées étaient clairement affichées comme un bras d’honneur à ceux qui tentaient de criminaliser l’idéal nationaliste. A une situation violente, la réponse adéquate ne pouvait être que violente. D’ailleurs, nous savions que l’Histoire s’était construite dans la violence et nous pensions qu’il ne pourrait pas en être autrement. Face aux bandes ethniques qui terrorisaient, déjà, certains quartiers, nous voulions que la peur change de camp et prouver notre détermination à rester maîtres chez nous.

Cette période de ma vie restera à jamais gravée dans mon esprit. C’est dans ces bandes de « rebelles blancs » que j’ai découvert l’esprit de camaraderie, le courage, la détermination. J’y ai perdu de nombreux amis, certains morts sous les coups des bandes adverses, d’autres incarcérés pour de nombreuses années. J’ai moi-même failli perdre la vie à plusieurs reprises ; j’aurais pu également finir en prison. Mon quotidien était à cette époque rythmé par les rixes à répétition, les gardes à vue et les séjours aux urgences dans une multitude d’hôpitaux. Mais nous étions respectés et craints. Très souvent en minorité, à un contre cinq, nous parvenions à avoir le dessus car nous étions déterminés. C’est dans ce genre de situation que l’on découvre sur qui on peut compter, que les liens se renforcent, que l’esprit de communauté se développe.

Bien évidemment, nous n’étions pas toujours victorieux. Et je me suis parfois retrouvé dans ses situations vraiment délicates. Comme cette soirée où, seul, poursuivi par une dizaine de caïds maghrébins, je me suis retrouvé au bout d’un ponton en pleine nuit avec une arme de poing sur le front. Ou cette autre fois où, traqué par quatre Noirs bodybuildés et armés de machettes, j’ai cru que mes dernières heures étaient arrivées.

Avec le recul, je crois pouvoir dire que l’expérience que j’ai acquise dans la rue a été déterminante dans la suite de mon engagement.

Questions d’Histoire

« La vie reste pour moi un combat permanent. Rebelle j’étais, rebelle je suis resté. »

En 1991, alors que je commençais à peine mes études d’histoire, je me suis intéressé au révisionnisme. Par rejet de tout dogme, par refus qu’une quelconque vérité historique soit imposée par les tribunaux, j’ai voulu provoquer un débat par différentes actions militantes. Le scandale ayant éclaté et largement dépassé les frontières de Nice – interventions de députés à l’Assemblée nationale, condamnation de Simone Veil, etc. –, je me savais recherché par les autorités judiciaires mais pas seulement… C’est ainsi qu’en pleine action nocturne, je me suis retrouvé plaqué à terre, braqué avec une arme sur la nuque par un individu – qui avait décidé de « faire justice » lui-même ? – qui m’a ensuite livré à la police. Cette « arrestation » n’a jamais fait l’objet d’une enquête approfondie.

La machine judiciaire s’est mise en marche. Face aux juges, j’ai adopté une stratégie de rupture dans une ambiance lourde et délétère, le « pigeonnier » normalement dédié aux procès d’assises ayant été spécialement ouvert afin d’accueillir le maximum de public pour cet événement à vocation pédagogique. J’ai eu le « privilège » d’être le deuxième condamné en France sur le fondement de la loi Gayssot.

Les problèmes ne faisaient que commencer. Mon adresse personnelle fut divulguée par un journaliste de Nice-Matin, des pétitions demandèrent mon exclusion de l’université, je fus l’objet de menaces de mort à répétition (avec notamment le dépôt de balles de gros calibre dans la boîte aux lettres de mon domicile, accompagnées de photos de moi avec une cible sur le visage), des biens matériels m’appartenant furent dégradées – dont une voiture plusieurs fois vitriolée (en guise d’avertissement avant de passer au visage ?). Je dus m’endetter aussi sur cinq ans pour payer les frais d’avocat.

Tout ceci pouvait paraître assez lourd à porter pour un jeune homme de 20 ans. J’ai toutefois tenu bon et cet épisode de ma vie m’a considérablement endurci.

Musique et politique

Fabrice Robert (accompagné de Philippe Vardon et de BenoÎt Lœuillet) en compagnie de Filip Dewinter, dirigeant du Vlaams Belang.

En 1996, autre affaire : celle des poursuites engagées par l’Etat contre le groupe de rock dans lequel je jouais à l’époque, Fraction.

Considérant que pour prendre le pouvoir, encore faut-il déjà réussir à conquérir les esprits et donc utiliser tous les outils susceptibles de diffuser notre conception du monde, j’ai toujours été impliqué dans le combat culturel. A l’instar de camarades italiens qui suivaient la même stratégie, j’ai participé au développement d’une scène musicale diffusant un message enraciné. D’où mon rôle dans la création du label Bleu Blanc Rock puis, plus tard, dans le label Alternative-s.

En 1996, ce fut la fameuse polémique autour du groupe NTM suite à certains propos tenus à l’encontre des forces de l’ordre lors d’un concert à la Seyne-sur-Mer. C’est le moment que choisirent certains journalistes et élus qui, pour mieux défendre les rappeurs, mirent en avant l’existence d’une scène musicale tout aussi radicale mais classée à droite.

C’est alors que le groupe Fraction a été pris comme principale cible. Philippe Douste-Blazy, ministre de la Culture, demanda des sanctions exemplaires. Le débat était lancé et le grand public apprit l’existence de groupes de rock patriotes. En pleine tempête médiatique, LCI envisagea même d’organiser un débat opposant les membres de NTM à ceux de Fraction. Le projet fut abandonné à cause des risques de dérapages sur le plateau et en coulisses entre supporters des deux groupes…

Aujourd’hui, si Fraction se produisait encore, quelques titres ne seraient plus interprétés. En effet, certains textes restent liés à une période de ma vie qui correspond à un contexte bien précis. Mais je ne renie rien de cette aventure politique et musicale.

Dissolution et appel à la révolution culturelle

Maxime Brunerie : « Il n’a jamais été membre d’Unité radicale. »

Le 14 juillet 2002, l’acte d’un certain Maxime Brunerie (qui tire avec une carabine en direction de Jacques Chirac sur les Champs-Elysées) apporte à celui-ci la notoriété qu’il recherchait… et me plonge dans une nouvelle tourmente médiatique. Et quelle tourmente ! Il n’est pas fréquent de gérer une crise relative à une tentative d’assassinat sur un chef d’Etat…

Suite et source: http://tinyurl.com/372fy3f

18/12/2009

Noël en société multiethnique…

Filed under: immigration,racaille — francaisdefrance @ 19:24
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Vive la société multiethnique !!!
FDF
18 décembre 2009


SARTROUVILLE

Pour les deux prochains week-end et le réveillon du nouvel an, Sartrouville (Yvelines) semble se préparer à l’arrivée d’un ouragan ou d’un conflit imminent. A l’arrivée des fêtes, tous les établissements publics devront être fermés à double tour. Les alarmes branchées et les effectifs de police renforcés.
La mairie et la préfecture sont sur les dents, craignant les habituelles émeutes multiraciales des fêtes de fin d’année. Le ramassage des ordures ménagères est chamboulé. Afin d’éviter les caillassages des camions et les feux de poubelles, les « techniciens de surface » interviendront désormais le matin. Les habitants ont pour consigne de ramasser les conteneurs immédiatement après leur passage. Encombrants et épaves automobiles, également, ne doivent pas stagner dans la rue. Ils pourraient servir d’armes ou de barricades lors d’émeutes. Des tournées spéciales vont faire place nette sur la voie publique.

Quant aux chantiers de travaux publics, des vigiles seront employés pour les surveiller et éviter ainsi les pillages et le vol d’objets transformés en projectiles. L’utilisation de pétards est interdite. Par ailleurs, un arrêté préfectoral va prochainement interdire la vente d’essence en jerrycans, histoire de ne pas mettre le feu à cette commune multiethnique. La diversité, une chance pour la France ?

vu sur http://fr.novopress.info/42852/noel-en-societe-multiethnique-sartrouville-en-etat-de-siege/

16/12/2009

Quoi? Les marins de Lorient privés de bar suite aux agressions des bandes ethniques!

Filed under: immigration,racaille — francaisdefrance @ 18:55
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La racaille ethnique prive de bar les marins français? Ca ne passera jamais… J’rigole, mais le plus grave est que NOS autorités vont sanctionner (devinez qui?) les marins… Pas beau, ça?


FDF


16 décembre 2009

Lorient interdit aux marins

16/12/09
LORIENT (NOVOpress)

Voilà encore de quoi nourrir le débat sur « l’identité nationale ».
Les 3000 marins de Lorient (Morbihan) se sont vus purement et simplement interdire la fréquentation à pied d’une partie du centre-ville, qui compte de nombreux bars et une discothèque.

Raison de cette décision ? Depuis un an, des militaires ont fait l’objet, en ville, de nombreuses agressions nocturnes qui ont donné lieu à de graves blessures.

Cette note de service s’appuie sur l’article L4121-5 du code de la défense qui dit que « lorsque les circonstances l’exigent, la liberté de circulation des militaires peut être restreinte» . Il est en général utilisé en situation de guerre.

Selon des témoignages, des jeunes présentés comme « plutôt HLM à capuches» auraient décidé de « se payer des militaires» , reprochant notamment aux marins, outre leur condition de soldats français, un certain succès auprès des femmes.

Face à cette situation, la police s’est montrée extrêmement discrète et la hiérarchie militaire a préféré sanctionner ses hommes en limitant leur liberté plutôt que de chercher à lutter efficacement contre la racaille qui, une fois encore, impose sa loi.

Les autorités militaires ont même annoncé de lourdes sanctions si les marins, refusant d’être des victimes passives, étaient pris en faute, au cours d’une bagarre nocturne.

Le monde à l’envers…

Source: Novopress.info