Francaisdefrance's Blog

22/02/2012

Najat Belkacem; l’espionne qui venait du bled…

Que du beau monde, dans les rangs du PS de François Hollande. Et ça ne doit pas être un hasard…

FDF

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Najat Belkacem, l’espionne du roi qui se rêve à l’Elysée

Najat Belkacem

Voilà ce qu’écrivait il y a deux ans le site Notre famille.com sur Najat Belkacem, la jeune pousse du PS d’origine marocaine, qui d’escalade en pirouette, s’est retrouvée au pinacle de la classe politique française : Elle est au cœur du staff de François Hollande, le candidat préféré des français dans la course à Élysée, dont elle est la voix la plus chantante de sa campagne présidentielle :

Najat Belkacem est une femme politique comme on en voit peu : aussi jolie que discrète, moderne et passionnée, engagée mais sympathique. D’origine marocaine, lyonnaise de coeur, elle est devenue Mme Najat Vallaud-Belkacem en 2005, et maman de jumeaux en 2008. Elue socialiste, conseillère régionale, adjointe au maire de Lyon, porte-parole de Ségolène Royal, et tout ça à seulement 32 ans, jusqu’où ira-t-elle ?

Un portrait tout en douceur que d’autres médias répètent à l’envi, ne résistant pas à son charme exotique.

Jusqu’où ira-t-elle ? s’interrogent justement ses contempteurs qui voient à juste titre en elle autre chose qu’une vaillante militante de gauche, mais plutôt un clone de sa grande sœur du camp adverse, l’inénarrable Rachida Dati.

Nous le savons maintenant, elle qui se définit, non sans malice, comme “ un pur produit de ce que certains appellent  » l’immigration subie » et aujourd’hui pleinement française, sans cacher sous le tapis mes racines ”. Sans cacher sous le tapis ? Voyons voir.

Belle carrière politique donc que celle de Najat Vallaud-Belkacem comme le rappelle SlateAfrique. Née à Beni Chiker sur les contreforts du Rif marocain en 1977,  elle était déjà à 30 ans, la porte-parole de Ségolène Royal durant la campagne de l’élection présidentielle de 2007.

Najat Benkacem, François Hollande et Arnaud Montebourg

Moins connue est sa double carrière politique simultanée, l’une en France et l’autre au Maroc, car avant de rouler pour Ségolène, puis pour François Hollande, Najat Belkacem roule d’abord pour le roi du Maroc.

Depuis décembre 2007, elle fait partie des 37 membres du Conseil consultatif des Marocains à l’étranger (CCME) directement nommés par Mohammed VI, où elle perçoit des émoluments de complaisance dont le montant est presque un secret d’Etat. Une Information confirmée par l’ambassade du Maroc en France, ainsi que par le site du CCME.

Ah, le CCME ! Pour ceux qui ne savent ce qui se cache derrière cet acronyme, c’est pour résumer, la machine de propagande du royaume à l’international, sa cinquième colonne, son meilleur vecteur de fadaises et de mensonges sur ce Maroc qui serait en pointe de tout, un Maroc aussi éclairé que clairvoyant, un Maroc où la démocratie a subitement bourgeonné avec le règne de Mohammed VI, un Maroc où il fait bon vivre sous le soleil. A sa tête, le roi a nommé Driss El Yazami, un repenti, une figure de la lutte anti-makhzen qui a tourné sa cuti et utilise avec cynisme son carnet d’adresses français pour tromper son monde, car qui pourrait le démasquer, lui qui a si souffert de la dictature marocaine!

C’est pourtant arrivé l’été dernier pour ceux encore une fois qui avaient loupé cet épisode:

Driss El Yazami, Europe Ecologie les Verts

Najat Belkacem, telle la sphinge grecque, cache bien son jeu. Face aux journalistes (Marocains), elle assume totalement cette double allégeance politique et bi-nationale. Dans une interview à Bladi.net, elle expliquait, sans ciller, que ce conseil « s’exprimera d’abord sur les sujets dont [il] sera saisi par Sa Majesté en faisant valoir un point de vue de Marocains de l’étranger, et pour ce qui me concerne de Franco-Marocaine engagée dans la vie politique française ».

Sur sa double identité, Najat Belkacem prône l’idéal républicain de gauche : “ Il n’y a rien d’hermétique entre les deux (identités) et je crois que cela peut évidemment être une richesse ”.

Sur les terres marocaines?

Une richesse? “une histoire commune” ajoute-t-elle, fière d’être républicaine à Paris et thuriféraire et lobbyiste à grands frais de la monarchie à Rabat. Un grand écart aussi extravagant que surréaliste. Elle aurait été une taupe de Merkel qu’elle aurait soulevé une bronca d’indignation. Mais avec le Maroc du baisemain, de la torture, des bagnes, de la mafia économique, que dire?

Alors que la thématique de l’immigration focalise le débat en France, on comprendra que la jeune ambitieuse devenue porte-parole de François Hollande soit désormais si discrète sur le sujet… Que diraient ses adversaires politiques s’ils apprenaient le pot-aux-roses ? Comment ? Une espionne, une missi dominici du roi féodal qui parle au nom de la gauche et de toutes ses espérances anti-Sarkozystes ? S’il savaient, le scandale serait retentissant. Mais ni eux, ni ses amis sincères du PS ne le savent (ou s’en cachent). Du moins, pas encore, et pour cause : Il y a tant de fans du Maroc de Mohammed VI dans les rangs du PS que la fausse idée d’un Maroc, bon élève des démocraties, a fait son chemin. Normal, les dinosaures socialistes ont surpassé leurs collègues de la droite dans la compromission chérifienne, les uns pour une nuit VIP à La Mamounia, les autres pour une soirée de gala dans un palais du “roi des pauvres”.

Pourtant, les signes avant-coureurs sur la petite Najat clignent sans arrêt comme un sapin de Noël et depuis longtemps. Jugez-en :

Najat Belkacem et Ségolène Royal

Lorsqu’en 2007, la candidature de Ségolène Royal à la présidence inquiétait Rabat, le Palais a vite fait de missionner sa protégée ( Najat Belkacem était sa porte-parole à l’époque ) pour l’inviter au pays. Il faut dire que la coriace Ségolène n’était pas encore une habituée des riads et des palaces marocains.  Mission accomplie pour Najat 007: Ségolène est venue bronzer sous le soleil à Essaouira sous couvert d’un colloque de femmes d’influence et on l’a même aperçue à une autre occasion aux commandes d’un hors-bord au large de Saïdia avec quelques notables du makhzen.

Mais Ségolène a perdu. Et c’est François qui est sorti du chapeau des socialistes. Il fallait vite remettre le couvert, car lui aussi est un méfiant, plus prompt à aller serrer la pince aux anciens du FLN à Alger que de venir se trémousser à Marrakech. Là encore, Najat a reçu son ordre de mission : le faire venir coûte que coûte avant qu’il ne soit élu à Élysée. Il paraît qu’elle et d’autres “amis” font le forcing rue Solférino pour qu’il débarque en mars pour partager une pastilla avec Mohammed VI.

Najat Belkacem

Celle qui siège à 34 ans comme adjointe au maire de Lyon, et également comme conseillère générale, engrange les faits d’arme d’agent double. Ce qui selon Le Point “lui permettrait assurément de décrocher un poste ministériel en cas de victoire de la gauche”.

Au Palais de Rabat, on se frotte déjà les mains de la voir sur la photo de groupe sur le perron de Élysée. L’espionne qui venait du bled est à deux doigts de pénétrer le saint des saints de la république. A la joie du sultan!

Source: http://voxmaroc.blog.lemonde.fr/

21/12/2011

« Marine Le Pen est désormais candidate à la victoire présidentielle », prévient Malek Boutih, l’ancien président de SOS Racisme.

On ne voit pas trop ce que vient faire l’ancien président de SOS Racisme dans cette affaire, mais bon. Il est du PS, refuge idéal pour les amoureux de l’immigration.

Mais passons. Le PS a peur de Marine Le Pen; pourquoi peur ? Parce que c’est la seule candidate patriote? La seule qui fait passer la France en premier? Certainement. Et les gens du PS ont peur aussi pour leur place. Je pense qu’ils ont raison…

Ce n’est pas en dénigrant le Front National qu’on arrivera à l’abattre. Plus maintenant… La « recette » est éculée.

FDF

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Présidentielle : la montée du Front national inquiète Hollande

Obnubilés par leur duel avec Nicolas Sarkozy, les socialistes en avaient presque fini par oublier Marine Le Pen. Plusieurs dirigeants tirent la sonnette d’alarme.


François Hollande à la conquête des ouvriers, acte III. Après une usine de Placoplâtre en Seine-Saint-Denis et les salariés d’Alstom en Saône-et-Loire, c’est auprès des ouvriers des chantiers navals de Saint-Nazaire (Loire-Atlantique) que le candidat socialiste a tenté de poursuivre lundi son opération séduction.


Une façon pour lui de contrer la percée de Marine Le Pen dans les catégories populaires.

Un potentiel plus élevé que les chiffres des sondages

Au PS, des voix s’élèvent pour tirer la sonnette d’alarme sur le niveau élevé de la candidate du Front national dans les sondages. « Il y a un fauteuil pour trois : avec François Hollande et Nicolas Sarkozy, Marine Le Pen est désormais candidate à la victoire présidentielle », prévient Malek Boutih, l’ancien président de SOS Racisme.

Lors du dernier comité stratégique de campagne, le candidat en a appelé à la vigilance des socialistes : « Il faut faire attention au Front national. » L’inquiétude est d’autant plus forte qu’aux yeux de Hollande, Marine Le Pen peut encore progresser : « 16 à 17% à cinq mois du premier tour, c’est déjà haut », confiait-il la semaine dernière. « Le FN a un potentiel plus élevé que ce qu’indiquent les sondages. Il y a un danger, une alerte », reconnaît de son côté Manuel Valls, directeur de la communication de la campagne de Hollande.

Obnubilé par le face-à-face avec Sarkozy, le PS a pour l’instant zappé Marine Le Pen. « Il y a un problème de réponse politique. Nombre de socialistes regardent encore le FN d’aujourd’hui avec des lunettes des années 1980 », regrette Boutih. Sous-entendu, les traditionnelles accusations de racisme ou d’antisémitisme ne sont plus opérantes. « La digue de la condamnation morale est utile mais il faut aller au-delà », acquiesce Valls. Le député de l’Essonne promet d’ailleurs un travail spécifique autour d’une équipe « de deux ou trois personnes qui mettent en place des argumentaires ». Objectif : pousser Le Pen à la faute. « Quand on la cherche sur son discours économique, elle perd en crédibilité », prétend Valls. Vendredi, Hollande est monté au créneau. « Il faut dénoncer l’opération de mystification, a-t-il confié. Marine Le Pen détourne la colère des Français, notamment des plus fragiles, à des fins de vote extrême. »
Lundi, dans le « Monde », Arnaud Montebourg, interrogé sur les affaires qui embarrassent le PS, a dénoncé « la corruption, le clientélisme et l’affairisme […] qui poussent les Français vers le FN ». En clair, si le PS veut combattre Marine Le Pen, qu’il commence par faire le ménage.

Source: http://www.leparisien.fr/

09/09/2011

Les casseroles du PS… On ne va pas laisser passer encore celle-là !

Affaire Guerini: et encore une mise en examen et des ennuis judiciaires pour un élu du Parti Socialiste!

La couleur du PS ne sera plus le rose mais le rouge… Dénonçons toutes ces malversations! Montrons notre mécontentement au Parti Socialiste. Pointons du doigt les méfaits de la Gauche caviar platine !

A vos courriers !

FDF

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Jean-Noël Guérini mis en examen, se met en congé du PS et en retrait du CG.

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Jean-Noël Guérini mis en examen, se met en congé du PS et en retrait du CGEt encore une mise en examen, une !

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Jean-Noël Guérini a été mis en examen jeudi à Marseille dans une affaire de marchés publics impliquant son frère et s’est mis en congé du PS pour, dit-il, ne pas pénaliser son parti en pleines primaires, sans toutefois démissionner de la présidence du conseil général.

Après deux ans et demi d’enquête et une audition de plus de quatre heures, le sénateur des Bouches-du-Rhône, âgé de 60 ans, a été mis en examen pour prise illégale d’intérêt, trafic d’influence et association de malfaiteurs, tous les chefs visés par le réquisitoire du parquet.

Ses avocats, Me Patrick Maisonneuve et Me Dominique Mattei, ont décidé de déposer « une requête en nullité pour défaut d’indices » devant la cour d’appel d’Aix-en-Provence et demandent le dessaisissement de la juridiction marseillaise qu’ils accusent de partialité.

« Je vais prouver mon innocence et l’immense manipulation politique qui part du sommet de l’Etat », a martelé de son côté M. Guérini à la sortie du tribunal, déplorant « un scénario largement écrit à l’avance ».

Il a cependant annoncé sa mise en congé du PS « pour ne pas gêner (ses) camarades au moment où est engagé le processus des primaires » et a délégué « temporairement une grande partie de (ses) prérogatives à (son) premier vice-président » au conseil général, Daniel Conte.

« Pour autant, je ne démissionne pas de la présidence, je reste le pilote et le garant de la politique suivie« , a-t-il précisé.

Un geste qui ne devrait pas suffire à Solférino, où l’on voit l’élu marseillais comme un « boulet moral » dans le contexte des primaires et de la future campagne présidentielle.

Jeudi, le patron du PS par intérim, Harlem Désir, l’a encore appelé à « se retirer du PS et de toutes ses fonctions et responsabilités politiques ». « Je serai d’une totale intransigeance à l’égard de ceux qui voudront porter atteinte à la dignité et à l’intérêt général des socialistes », a déclaré M. Désir, évoquant des faits « d’une extrême gravité ».

Le député Arnaud Montebourg, qui avait dénoncé « les dérives » de la fédération socialiste des Bouches-du-Rhône en mettant violemment en cause M. Guérini, a demandé qu’il soit « mis hors d’état de nuire à la réputation du PS ».

« Il est parfaitement possible que la direction du PS réunisse les conseillers généraux socialistes des Bouches-du-Rhône et leur propose de voter une motion de destitution de leur président », a-t-il ajouté.

Un tel « coup de force » venu de Solférino serait une première, glisse-t-on à la fédération départementale, qui doit annoncer jeudi soir sa nouvelle direction collégiale, conformément aux conclusions de la commission d’enquête du PS présidée par Alain Richard et déclenchée par le rapport Montebourg.

Les appels à la démission sont venus également de la droite. « Il appartient aujourd’hui au PS, et en particulier à Martine Aubry et François Hollande, de prendre leurs responsabilités », a estimé le maire UMP de Marseille, Jean-Claude Gaudin, longtemps silencieux sur l’affaire.

La justice reproche différents éléments à Jean-Noël Guérini, dont le frère, Alexandre, entrepreneur dans les déchets, a été mis en examen fin 2010 et a passé cinq mois et demi en prison dans le cadre de cette vaste affaire à tiroirs, pour laquelle une vingtaine de personnes sont déjà mises en cause.

Selon ses avocats, c’est la première fois qu’un élu de la République est mis en examen pour association de malfaiteurs. « C’est aussi le seul dans ce dossier. Or, normalement, dans une association de malfaiteurs, il y a au moins deux personnes », ont-ils souligné.

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Il faut  nous écrivions  TOUS  a chacune des FÉDÉRATIONS DÉPARTEMENTALES DU PS   ET AU SIÈGE   rue SOLFERINO

federationxx@parti-socialiste.fr   ( xx   étant le numéro de département  à  2 chiffres)

NOUS DEVONS DEMANDER LA DEMISSION  D’HARLEM DESIR    et de CAMBADELIS

ET  TOUS LES AUTRES   QUI SONT OU ONT ETE CONDAMNES   ET QUI ONT DES  RESPONSABILITES AU SEIN DU PS

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D’après un coup de colère de JCJC…

Source: http://www.lepoint.fr/


03/07/2011

Nous sommes vraiment des moutons…

Il y a longtemps que c’était prévu, son retour sur la scène politique. Il faut dire qu’ on a pas lésiné sur les moyens pour çà… La femme de chambre peut témoigner.

Mais si le cas se présente, j’ai honte pour ceux qui vont voter pour lui…

FDF

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Dominique Strauss-Kahn peut-il revenir dans la course à la présidentielle ?

Si Dominique Strauss-Kahn a été libéré sur parole ce vendredi, la justice américaine n’a pas pour autant abandonné les poursuites qui pèsent contre lui. En France, d’aucuns s’interrogent déjà sur l’avenir politique de l’ancien directeur du FMI.
Par Bilal TARABEY (vidéo)
FRANCE 24 (texte)

DSK peut-il encore être candidat aux primaires socialistes ? La question est sur toutes les lèvres depuis la remise en liberté sur parole de l’ancien directeur du FMI, ce vendredi, suite à la fragilisation du témoignage de la femme de chambre l’ayant accusé de viol le 14 mai dernier à New York.

Pour que Dominique Strauss-Kahn puisse reprendre pied dans l’avant-campagne présidentielle 2012, il faudrait tout d’abord que le chapitre judiciaire aux Etats-Unis soit clos. Ce qui n’est pas la cas : l’accusation n’ayant pas abandonné les poursuites, l’enquête se poursuit et une nouvelle audience est prévue le 18 juillet au tribunal de New York. Jusqu’à cette date au moins, DSK doit rester à la disposition de la justice américaine, qui conserve son passeport.

Deuxième condition, si l’ex-directeur général du Fonds monétaire international (FMI) est blanchi, en France, le Parti socialiste doit accepter de bouleverser le calendrier des primaires, au terme desquelles sera désigné le candidat pour 2012 lors d’un vote les 9 et 16 octobre prochain. La date limite de dépôt des candidatures a en effet été fixée au 13 juillet, soit cinq jours avant l’audience de DSK à New York.

Le calendrier des primaires en question

Dès l’annonce de sa remise en liberté sur parole, la vice-présidente du conseil régional d’Ile-de-France, la strauss-kahnienne Michèle Sabban a demandé une « suspension » immédiate de la primaire. François Hollande, candidat déclaré, a quant à lui affirmé qu’il n’avait « aucune réserve par rapport à l’idée de reporter la date de clôture du dépôt des candidatures« , estimant que le retour dans le jeu d’un rival ne « change rien » pour lui.

Pas sûr toutefois que ces prises de positions suffisent à bouleverser le calendrier. Le numéro un du PS par intérim, Harlem Désir – la secrétaire générale Martine Aubry s’étant déclarée candidate, elle lui a délégué les rênes du parti – a  estimé vendredi qu’il n’y avait « pas de raison de revenir sur ce calendrier« . D’autres candidats déclarés, comme Arnaud Montebourg et Manuel Valls, ont eux aussi fait part de leur opposition à ce report.

Même les strauss-kahniens purs et durs, qui ont rallié François Hollande ou Martine Aubry depuis le 14 mai, sont sceptiques. « Aujourd’hui, il doit se reconstruire lui-même. Je crois que c’est la première étape« , a estimé samedi le maire de Lyon Gérard Collomb, dernier en date à s’être exprimé sur le sujet.

Les ténors du PS vs l’opinion ? 

Au-delà de l’embarras des éléphants du PS, reste à savoir comment réagirait l’opinion française à un éventuel retour de DSK en politique. Pour Jean-Daniel Lévy, directeur du département opinion de l’institut Harris-Interactive, les tribulations judiciaires de l’ex-patron du FMI n’auraient pas ébranlé la popularité de celui qui faisait la course en tête dans les sondages en vue de l’élection présidentielle avant le 14 mai.

« Ce qui a été principalement porté à la connaissance des Français sur DSK ces dernières semaines, c’est son attrait pour les femmes, ce qui n’est pas condamnable dans l’opinion, puisque ça relève de la sphère privée et non pas de la sphère politique. DSK reste donc indéniablement une personne compétente aux yeux des Français, qui peut faire passer un certain nombre de messages », estime le sondeur à l’antenne de FRANCE 24.

Mieux, cette séquence pourrait même lui être bénéfique en termes d’image : « C’est une personnalité qui est apparue relativement calme du début à la fin, et les Français ont tendance à créditer favorablement le calme plutôt que l’énervement ». De quoi donner des idées à l’intéressé.

Source: http://www.france24.com/fr/