Francaisdefrance's Blog

24/02/2012

Délinquance: tournevis et marteaux deviennent des armes !

Image d’illustration

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J’aurais bien une solution, que je rappelle une nouvelle fois: nos soldats qui devraient rentrer d’Afghanistan; ben on les les laisse profiter d’un repos bien mérité, le temps qu’ils veulent et on demande des volontaires pour nettoyer les banlieues écuries d’Augias… Je suis certain que certains d’entre eux s’y colleraient et même bénévolement.

Pour l’anecdote: je me suis fait agresser il y a quelques années par un jeune « issu de l’immigration » qui rôdait vers chez moi. J’ai pu éviter les coups.

En 12 minutes, la BAC était sur place (les relations, ça sert…) et appréhendait le « suspect ». Celui-ci avait un marteau dans une poche, une bouteille de scotch dans l’autre. J’ai donc porté plainte. Devant le juge, ce type a été relaxé, comme d’hab: enfance malheureuse, pas de travail, avait bu, problèmes psychiatriques, élevé par sa mère seule, etc, etc…

Son avocat, payé par vous et moi, a plaidé le fait que je lui avait fait peur… Dément, non? Et pourtant c’est vrai…

FDF

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Ces 313 bandes qui écument la France

FDF: (313? On peut multiplier par quatre, au moins…)

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Les bandes s’organisent autour d ‘un noyau de caïds qui cherchent à contrôler les quartiers.

Plus jeunes et plus violents, leurs membres sont à l’origine d’affrontements qui ont fait six morts et 252 blessés en 2011.

Composées de jeunes de plus en plus violents n’hésitant plus à attaquer frontalement les forces de l’ordre, pas moins de 313 bandes écument le pays. À l’origine d’une bataille rangée presque chaque jour en métropole, leur activisme croissant s’est soldé en 2011 par un bilan de six morts et 252 blessés. Cet édifiant constat émane d’une note de la sous-direction de l’information ­générale (Sdig, ex-renseignements généraux) de la Direction centrale de la sécurité publique.

Le document confidentiel, daté du 19 janvier dernier et que Le Figaro a pu consulter, brosse la radioscopie d’un phénomène qui gangrène la vie des quartiers et inquiète le ministère de l’Intérieur. Pour la première fois, les analystes ont procédé à un inédit «toilettage dans l’identification et le nombre des bandes». «Un bilan précédent, faisant état de 600 bandes n’était plus à jour, concède un fonctionnaire de haut rang. Nous avons éliminé les structures inertes pour ne retenir que les gangs vraiment actifs, articulés autour d’un noyau stable de “caïds” capables de passer à l’action pour contrôler leur quartier, se battre contre des rivaux ou les forces de sécurité intérieure…»

«Rixes communautaires»
D’emblée, le rapport révèle que l’activité des 313 bandes varie selon des «fluctuations saisonnière». Le nombre des affrontements, estimés à 27 en juin et 24 en septembre, reflue à une dizaine en juillet et août. «Les départs estivaux hors du territoire national de certains jeunes et les vacances scolaires expliquent cette baisse, décrypte le rapport. Ceux qui restent dans leur quartier ne sont plus influencés par l’effet de groupe…».

Si une part des rixes a pour origine la «recherche du monopole sur des trafics de stupéfiants» ou «l’affirmation d’une supériorité sur un territoire donné», les experts s’attardent sur quelques «rixes communautaires».

Ainsi, précise la note «le quartier sensible de Bourtzwiller à Mulhouse (Haut-Rhin) a été le théâtre d’affrontements violents le 10 septembre 2011 entre une quarantaine de Tchétchènes et une centaine de Maghrébins fortement armés (Flash-Ball, fusils de chasse…)». Des Mahorais ont été quant à eux « stigmatisés pour leur manque d’intégration» à Lons-le-Saunier (Jura). Et ils ont subi des attaques à l’arme blanche dans un quartier sensible de Limoges (Haute-Vienne) car ils étaient accusés «de ne pas respecter les codes de la cité».

Soulignant que «246 des 331affrontements recensés étaient armés en 2011, soit 74,32% des cas (contre 63,84% en 2010)», le document déplore une spectaculaire «montée de la violence lors des rixes» qui «accentue le sentiment d’insécurité parmi la population». À 61 reprises, les armes à feu ont parlé en 2011, contre 43 fois l’année précédente, «pour se protéger d’autres bandes ou pour se livrer à des vols qualifiés, des intimidations, des extorsions de fonds ou encore des ventes de stupéfiants».

Tournevis et marteaux deviennent des armes
«Face aux risques d’interpellation pour port d’arme prohibée, les membres des ­bandes utilisent des objets quotidiens ­passe-partout (tournevis, marteaux, béquilles), observe la Sdig. Pour échapper à la nouvelle législation condamnant la participation à une bande violente, les délinquants utilisent des nouvelles armes par destination, dont les armes électriques de défense de type “choqueur”.» En vente libre sur Internet, elles envoient une intense décharge au contact de la cible. Associées à l’usage de lacrymogène, leur emploi peut avoir des conséquences tragiques.

Comme ce 26 novembre dernier, lorsqu’une «dizaine d’individus encapuchonnés» ont aspergé de gaz un voyageur de 18 ans près de Canteleu (Seine-Maritime) avant de lui faire subir une décharge. « Immédiatement, le visage du jeune homme s’embrasait, détaille la note. Les flammes s’étendaient à plus de 50 centimètres autour de la tête de la victime. Celle-ci, qui ne faisait partie d’aucune bande, a été grièvement brûlée.» Les auteurs, interpellés dans la foulée, et qui n’avaient jamais croisé leur proie auparavant, étaient âgés de 17 ans à peine.

«Culte de l’argent facile»
«La part des mineurs impliqués est en forte hausse», relève le rapport. Désormais, ils représentent 56% des 992 aficionados de gangs interpellés, contre seulement 40% en 2010. «Depuis plus d’un an, les constitutions de bandes juvéniles (moins de 13 ans) sont détectées dans plusieurs cités d’Ile-de-France, préviennent les experts. Imitant le comportement des “grands” qui leur servent de référence en l’absence d’autorité parentale, ces jeunes s’approprient leurs “valeurs”.

En quête d’affirmation et de reconnaissance, ils utilisent intensivement les réseaux sociaux (Facebook, Skyblog, Twitter…) pour cultiver une image résolument ancrée dans le culte de l’argent facile et de la violence armée…»

À la pointe de la riposte, le plan Bandes initié par le préfet de police Michel Gaudin s’est soldé en Ile-de-France par une baisse de moitié des gangs – 46 contre 86 – et un repli de 9% des violences urbaines. Soit un millier de faits en moins.

Source: http://www.lefigaro.fr/

Merci à JC JC…

17/02/2012

Face à la montée des coutumes islamistes, une expression libre appelle à la résistance sur Facebook.

Ouhais……………….

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Facebook? Mais c’est de la modernité occidentale, ça !!! C’est « haram » !

Les Tunisiens commencent à déchanter de cette démocratie nouvelle… Ils l’ont voulue et se sont fait manipuler. La charia va certainement les calmer.

FDF

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Le voile se prend dans la toile…

« Les foulards côtoient les cheveux dans le vent. Comme ailleurs. Pas plus qu’ailleurs. Il parait que les marchands de tissus noirs ou marron pour la confection des burqas, gagnent beaucoup d’argent. On en voit peu, pour autant. Et un journal tunisois a publié une enquête selon laquelle 35 % des femmes portent le foulard en Tunisie.

Le muezzin peut s’égosiller, le Tunisien vaque à ses occupations. Il est en très grande majorité musulman, fier de l’être.

L’ombre de l’Islam n’en jette pas moins un voile sombre sur sa révolution. Chaque fois que des suspects sont repérés avec des armes, on imagine que ce sont des salafistes (intégristes musulmans). Des jeunes gens à la barbe longue font du zèle à l’entrée des mosquées, parfois. Même si c’est marginal, pacifique, peut-être même orchestré depuis l’extérieur du pays, cela peut créer un malaise.

Le parti Ennahda a remporté les élections, et c’est une victoire des Islamistes. « Ils tentent d’imposer des choses, mais on ne se laissera pas faire », assure un cadre haut et fort.

Comme pour illustrer son propos, en ce début d’année émerge un débat sur le mariage coutumier, qui peut s’apparenter à un retour à la polygamie Comble : une femme ministre d’un parti laïque, n’y serait pas opposée. Mais les éditorialistes des journaux sont montés au créneau pour la rappeler à la raison, sans la ménager. Preuve que la société civile ne s’en laissera pas compter. Notre cadre signale haut et fort, au milieu d’une assemblée fournie, qu’il « est athée ». Un intellectuel raconte qu’il a mis sur sa page Facebook, à la date du 14 janvier 2011 : « Ben Ali dégage ! » Et à celle du 14 janvier 2012 : « Ennahda dégage ! »

La Tunisie révolutionnaire, c’est aussi cela. Des rigoristes aux pouvoirs et une grande liberté dans les médias et sur le net. Le voile se prend dans la toile.

Notre intellectuel reste persuadé que « la société civile ne permettra pas que les religieux confisquent la révolution ». Parce qu’elle peut s’exprimer, parce qu’il y a Internet, qui a largement contribué à cette révolution, qui doit sauver une démocratie nouvelle. »

J-Y.M.
Source: http://www.leprogres.fr/

06/02/2012

Beau coup de filet à Toulouse. Ceux-ci ne sont pas passés entre les mailles.

Encore des « frères »… Ca change des « cousins ». Et puis encore et toujours: « c’est pas moi, m’sieur »…

FDF

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Près de 1 000 cartouches et des armes saisies à La Reynerie

La police avait interpellé les deux mis en cause la semaine dernière.

Les policiers ont mis la main sur un véritable arsenal lors d’une descente, la semaine dernière à La Reynerie. Deux personnes ont été incarcérées.

La descente réalisée en début de semaine dernière cheminement Auriacombe, dans le quartier de la Reynerie à Toulouse, a permis aux enquêteurs du SRPJ de mettre la main sur des armes mais aussi sur un stock de produits stupéfiants.

Deux frères, âgés de 19 ans et 22 ans, ont été arrêtés. Ils ont été incarcérés après leur garde à vue. Le plus jeune est soupçonné d’avoir participé, en août 2010, à une tentative de meurtre sur les policiers de la BAC Mirail. Il est la quatrième personne mise en cause dans cette affaire. Reste à déterminer qui était le tireur. Cette nuit-là, une patrouille était tombée dans un véritable guet-apens. Les policiers avaient été caillassés et ils avaient essuyé des tirs de fusil de chasse.

11 kg de cannabis

Au cours de la perquisition, les policiers ont mis la main sur un véritable arsenal. Un fusil à pompe et plusieurs armes de poing ont été retrouvés ainsi qu’un gilet pare-balles. Près de mille cartouches ont également été découvertes. Une centaine de cartouches de chasse, des balles de 9 millimètres pour armes de poing et fusil-mitrailleur et des balles du calibre civil de certaines armes de guerre qui peuvent être utilisées, par exemple, pour des répliques de kalachnikov.

Beaucoup s’interrogent sur la provenance des armes dans ces cités. Si certaines viennent des pays de l’Est, la majorité n’a pas autant voyagé. « Il ne faut pas tomber dans le fantasme, glisse un policier. Régulièrement, des armes sont dérobées dans des cambriolages chez les particuliers. Après il suffit de scier le canon et la crosse. »

En plus du trafic d’armes, les policiers sont tombés, à la Reynerie, sur des stupéfiants : 11 kg de résine de cannabis et 8 000€.

Les deux frères nient leur implication dans les faits qui leur sont reprochés. Le plus âgé, mis en examen pour trafic de stupéfiants, « conteste absolument, indique son avocat, Me Parra-Bruguière. Je plaiderai sa remise en liberté ce lundi. »

Soupçonné d’avoir participé à la tentative de meurtre contre les policiers, son frère clame lui aussi son innocence. « Mon client nie farouchement. Il y a très peu d’éléments à sa charge », estime Me Périé. Les trois dossiers, trafic de stups, trafic d’armes et tentative de meurtre ont été disjoints.

En visite la semaine dernière à Toulouse, Frédéric Pechenard, le directeur général de la police nationale, a félicité la PJ. « Vous venez de boucler une belle affaire », a-t-il souligné.

Source: http://www.ladepeche.fr/

09/01/2012

Noël à retardement? L’armement des polices municipales revient sur le devant de la scène.

C’est une blague? Depuis le temps que le peuple réclame plus de sécurité dans les villes… L’aurait on enfin entendu? Il est vrai que sans armes, en face d’une « kala », on a très peu de chances de survivre. 

Bon; ce n’est pas encore fait. Une « promesse », ça peut tenir quatre mois, au moins…

FDF

Photo d’illustration

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L’armement des polices municipales pourrait s’étendre

À l’UMP, les initiatives se succèdent pour réclamer une généralisation du port d’arme pour les «municipaux».

 Alors qu’à gauche, le secrétaire national du PS chargé de la sécurité, Jean-Jacques Urvoas, propose, à titre personnel, de désarmer les municipaux, la majorité pousse les feux pour confier à ces agents, au nombre de 18 000 en France, des pouvoirs renforcés qui les rapprocheraient de la police nationale. À ce jour, les municipaux armés sont déjà au nombre de 7 000, soit environ 40 % de l’effectif.

Le 7 décembre, plusieurs députés UMP, dont des membres de la Droite populaire, ont déposé une proposition de loi pour généraliser la dotation en armes de poing. Elle n’a certes pas été inscrite à l’ordre du jour de la commission des lois, mais elle vient relayer une première tentative dans les rangs de la majorité. En juin dernier, en effet, Bruno Beschizza, le secrétaire national de l’UMP chargé de l’emploi des forces de sécurité, avait déjà émis publiquement le souhait que l’armement des polices municipales devienne la règle. Avant que l’Association des maires de France ne vienne contrecarrer ce projet, en objectant que toutes les villes n’avaient pas les mêmes besoins ni les mêmes budgets.

Faut-il aller jusqu’à imposer l’armement pour tous les policiers? De nombreux responsables au ministère de l’Intérieur considèrent que les grandes agglomérations sont davantage concernées que les petites par la question des armes. La Place Beauvau a les yeux rivés sur Marseille notamment, où les récentes bouffées de violence imposent une mobilisation tous azimuts des forces de sécurité.

Dans la Cité phocéenne, le député UMP Renaud Muselier milite désormais ouvertement pour l’armement des municipaux. La ville va recruter 100 agents de plus pour étendre, dans un premier temps, les plages horaires des patrouilles. Et son maire Jean-Claude Gaudin, qui a toujours refusé d’armer ses agents, ne se déclare plus hostile au principe de l’armement. «Il évolue, comme sur la vidéoprotection qui va prendre un tour concret, avec l’implantation de 1 000 caméras d’ici à la fin 2013», se félicite un haut fonctionnaire à la préfecture des Bouches-du-Rhône. M. Gaudin ira-t-il jusqu’au bout?

Concertation avec les élus

En tout état de cause, la réforme des polices municipales reste un sujet délicat. Le Conseil constitutionnel avait désavoué le gouvernement en censurant, le 10 mars dernier, deux dispositions de la loi d’orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure (Loppsi), censées renforcer les pouvoirs des policiers municipaux. Les Sages semblaient critiquer une forme de désengagement de l’État sur certaines missions de sécurité.

La concertation avec les élus est donc plus que jamais nécessaire. Dès cet été, Claude Guéant a ainsi mis en place une commission consultative des polices municipales, dont l’ancien ministre UMP Christian Estrosi a été élu président. L’hôte de Beauvau a, par ailleurs, publié mercredi dernier un décret relatif aux conventions que scellent les communes avec les préfets pour mieux coordonner le travail des municipaux avec celui de la police d’État.

Christian Estrosi y voit «une première étape dans le renforcement de l’action des polices municipales». Le maire de Nice, qui a fait de sa ville une vitrine de la police municipale armée, appuyée par une vidéosurveillance dernier cri, travaillant main dans la main avec les «nationaux», assure que le décret sur la coordination des polices en France «instaure un diagnostic local de sécurité qui permettra, en fonction des particularités de la commune, de déterminer plus précisément la nature et les lieux d’intervention de la police municipale et de la police nationale, et ainsi, de renforcer les modalités opérationnelles d’une collaboration efficace».

La question des armes sera étudiée au sein de cette commission, dans un groupe spécialement composé pour en débattre, parallèlement aux questions de statut. Mais la puissante Association des maires de France se montrera vigilante.

Source: http://www.lefigaro.fr/

06/01/2012

2011: le Nigéria champion de la christianophobie !

Triste record. Chiffres assourdissants. En 2011, il n’a pas été bon d’être chrétien au Nigéria… Plus d’un millier de morts au tableau de chasse des islamistes. Et il n’y a pas de raisons que ça cesse. Dans l’indifférence politique générale, 2012 sera encore une année sanglante pour le christianisme au Nigéria…

On va encore leur envoyer de l’aide humanitaire: armes et otages en sursis. Ca fera pleurer les peuples d’Occident.

FDF

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http://tinyurl.com/7rod33b

18/12/2011

Le sabre, la nouvelle arme des gangs…

Stock de machettes au Rwanda 1984…

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Pour « fignoler » le billet précédent… A lire jusqu’au bout; on se croirait au beau milieu d’une banlieue de France…

Testé et approuvé dans toutes les « démocraties » d’Afrique…

FDF

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ILS LE FAÇONNENT EUX-MÊMES ET L’ARBORENT À LA MOINDRE OCCASION


Il s’agit d’une arme blanche qui s’est fortement incrustée dans les mœurs de la jeunesse algéroise. Emeutes, affrontements entre jeunes issus de quartiers populaires, bagarres générales… Le sabre est arboré à la moindre occasion. Mais il sert surtout à marquer les territoires des bandes rivales de l’Algérois, et à trancher dans les milieux de trafic de drogue. Le monopole. Des jeunes âgés entre 17 et 21 ans le façonnent eux-mêmes et le proposent à 1 000 DA. Sa prolifération est d’autant plus inquiétante que la division centre de la police judiciaire de la wilaya d’Alger a dû mobiliser, le jour, sur le terrain, une brigade de lutte contre la violence urbaine, en civil, et la nuit, une brigade d’intervention rapide et de répression du banditisme. Témoignages accablants, arrestations spectaculaires et périlleuses, terreur quasi quotidienne… Voici ce que cache Alger !
Début septembre 2011. Les éléments de la brigade criminelle de la division centre de la police judiciaire d’Alger font leur patrouille nocturne routinière. Ils sont de passage dans une ruelle du quartier Mohamed-Belouizdad (ex-Belcourt). Un bruit étrange émane de la cage d’escalier d’un immeuble. Ils s’arrêtent un peu plus loin et s’y glissent discrètement. Le surnommé Cheese, l’un des délinquants les plus dangereux de Belcourt, ajuste des plaquettes de fer pour façonner deux sabres, à l’aide d’une limeuse électrique. Le premier étant achevé, il ne lui reste plus qu’à tailler le second pour qu’il soit bien tranchant. Les policiers le chopent en flagrant délit. Cheese, le chef d’une bande de cinq personnes, s’apprêtait à les vendre, 1 000 DA chacun, à deux commerçants de Laâqiba, un des bazars informels les plus fréquentés de la capitale. Il fait depuis quelque temps de la fabrication de sabres son commerce et les façonnent à l’intérieur de la cage d’escalier de l’immeuble où il habite. Aucun voisin de l’entourage n’a eu jusque-là l’audace d’interrompre son œuvre prohibée ou du moins le dénoncer. Pourtant, le bruit qu’il propage est assourdissant. Mais c’est que Cheese, un jeune très menaçant, âgé d’à peine 21 ans, fait peur et surtout porte souvent sur lui un sabre. Il n’hésite d’ailleurs pas à en faire usage. Il a plusieurs démonstrations à son palmarès, la dernière remonte à peine à quelques jours avant son arrestation. Lui et sa bande ont affronté la bande dite Loufa, composée de trois jeunes délinquants de la cité Mahieddine (Chaâba). L’affrontement a eu lieu en plein Belcourt, sabres et barres de fer à la main. Un fourgon de police qui était de passage ce jour-là a tenté vainement d’intervenir. Mais c’était périlleux de le faire sans renfort. Les deux bandes rivales qui se disputaient le territoire de Necira-Nounou et Harcha, pour la vente de drogue, se sont subitement retournées contre la police. Ils ont carrément saccagé le fourgon. Histoire de faire passer le message : «Pas d’ingérence dans nos affaires.» La police était, depuis, à leurs trousses et l’arrestation de Cheese a permis de les faire tous tomber. Plusieurs sabres et une petite quantité de drogue ont été récupérés. Ils ont été neutralisés un par un lorsqu’ils s’aventuraient à dépasser de quelques mètres les limites de leur quartier, étant donné qu’il est difficile de les arrêter devant chez eux, explique le chef de la division centre de la police judiciaire de la wilaya Alger, Tarek Keskas. «Dès que nos éléments procèdent à une arrestation, dans ce genre de quartier, c’est tout le monde qui se met contre eux. Des jeunes s’attaquent à eux en lançant des pierres, d’autres, parfois des femmes, larguent de leurs balcons des bouteilles en verre et autres objets. C’est pour cela que chaque opération que nous menons est étudiée et préparée à l’avance, parfois à la faveur d’un renseignement, alors que dans d’autres moments ça nécessite toute une stratégie, car ils sont très dangereux», ajoute le commissaire principal Tarek Keskas. L’exemple le plus significatif est peut-être celui de l’arrestation du surnommé Jambaz, un jeune délinquant hyper dangereux, âgé de 18 ans, et qui a à son actif 23 agressions à l’arme blanche. Il est issu du quartier Marché T’nach, rue Fayçal M’barek, à Belcourt, et manier le sabre est pour lui un jeu d’enfant. Il n’appartient à aucune bande et préfère agir en solo. Vers la fin du mois de Ramadan de l’année en cours, les éléments de la brigade de lutte contre la criminalité et la violence urbaine passent à l’action. Après plusieurs jours de préparation, les policiers en civil l’arrêtent à l’entrée de l’immeuble de son domicile à l’heure du f’tour (moment de rompre le jeûne). Subitement, une armada de jeunes gens du quartier sort de partout. Sabres et barres de fer à la main, ils se lancent à l’assaut des policiers. Un des éléments de ladite brigade soulève le jeune recherché et commence à courir vers le véhicule de police. Jambaz ne se laisse pas faire et le mord à l’épaule. Le policier en question reçoit un coup de barre de fer au-dessus de l’œil par un des jeunes voisins de Jambaz, mais il ne le lâche pas pour autant. Il réussit ainsi à le transporter jusqu’au véhicule avant de quitter illico les lieux. Ils ont failli y laisser leur vie. Il s’agit, en effet, d’une brigade créée il y a une année et qui a été mise à la disposition de la division centre de la police judiciaire d’Alger. Ils sont environ 60 éléments qui sillonnent à pied et en civil, le jour, les grands boulevards des quatre circonscriptions administratives de Sidi M’hamed, Hussein Dey, Bir Mourad Rais et Bab- El-Oued. Sur les 455 personnes arrêtées et déférées devant la justice par la division centre de la police judiciaire d’Alger, depuis le début de l’année en cours, 206 l’ont été par les éléments de cette nouvelle brigade. La plupart arrêtées pour port ou agression à l’arme blanche. D’ailleurs, plus de 500 armes blanches prohibées ont été récupérées à la faveur de ces opérations. «Ils sont déployés, en civil, sur le terrain pour veiller sur la sécurité des individus, parer aux agressions, contrôler les personnes suspectes de porter des armes blanches… c’est aussi et surtout une manière de faire dans la prévention, car celui qui porte aujourd’hui un couteau demain il portera un sabre ; celui qui vend aujourd’hui du cannabis, demain il touchera à l’héroïne… et comme les armes blanches et la drogue vont souvent ensemble, il faut agir à la base. Ce sont d’ailleurs les directives du DGSN lui-même, lequel a instruit de combattre la criminalité à la racine et de renforcer la lutte contre le port d’armes blanches, notamment les sabres qui constituent depuis environ deux ans un phénomène de plus en plus inquiétant», dira Tarek Keskas.
Climat-de-France délivré de Saïd El-Wahch Saïd El-Wahch
(la bête), comme on le surnomme, est le chef d’une bande de cinq personnes du quartier Climat-de- France. Il faisait l’objet d’un mandat d’arrêt et a à son actif plusieurs affaires, entre autres, atteintes aux personnes, aux forces de l’ordre, ainsi que destruction de biens publics… Lui et le surnommé Tyson, chef d’une autre bande de Climat-de-France sont constamment en guerre avec la bande de Mansour Echitane (le diable), du quartier Beau- Fraisier. Ils se livrent batailles à coups de sabres au niveau de la place Triolet. Un monopole de vente de la drogue, très prisé par les uns et les autres. Mansour Echitane et ses 16 acolytes n’écoulaient pas rapidement leur marchandise à Beau- Fraisier. La place Triolet est beaucoup plus porteuse et ils ont ainsi tenté de s’emparer à maintes reprises des lieux par la force. C’est le sabre qui a finalement tranché après plusieurs batailles rangées en janvier et mars derniers. Parfois, pour déjouer la vigilance policière, des émeutes sont provoquées à cet endroit précis, pour faire passer la drogue, livrer une commande ou la détailler sur les jeunes dealers de la région. Les pneus brûlés et les routes coupées à la circulation n’expriment pas toujours le ras-le-bol d’une population exigeant le relogement et l’amélioration des conditions de vie, mais obéissent aussi à des calculs macabres pour le passage de la drogue ou autres objets prohibés. De la manipulation. Pour Saïd El-Wahch et ses compagnons, la police n’a pas eu recours à la même méthode d’arrestation du surnommé Jambaz de Belcourt. Ils sont beaucoup plus dangereux pour les traquer dans leur quartier. Les éléments de la brigade criminelle de la division centre de la police judiciaire d’Alger ont attendu le moment propice, un renseignement communiqué durant le mois de septembre dernier. La bande de Saïd El-Wahch allait se déplacer dans un fourgon à Tizi-Ouzou pour assister à un match de foot opposant le Mouloudia d’Alger à la JS Kabylie. Mais ce n’est pas vraiment leur passion pour le MCA qui est à l’origine de ce déplacement. C’est plutôt leur soif de vengeance, un règlement de compte avec le surnommé Hmed Kamikaz, le chef d’une bande de «Djamaâ Lihoud», rue de la Lyre. Ils allaient l’abattre en terrain neutre, à Tizi Ouzou. Ils seront finalement arrêtés à l’entrée de l’autoroute en possession de deux sabres, un fusil à harpon et des couteaux. Un massacre a été évité, car sous l’effet de psychotropes, ils auraient facilement pu commettre l’irréparable à Tizi Ouzou. Le surnommé Tyson, quant à lui, a été arrêté vers le 20 août, et une semaine après, ce fut le tour de ses trois acolytes, dont les deux frères dits El-Sori, en référence à leur région d’origine, Sour-El-Ghozlane. Il s’agit de deux individus extrêmement dangereux. Les éléments de la brigade criminelle ont trouvé en leur possession quatre sabres, un fusil à harpon avec ses trois flèches, un javelot à trois flèches, plus de 100 g de kif et deux chiens, un rottweiler et un berger allemand. Une semaine avant leur arrestation, ils ont violé le domicile d’un individu, avec les deux chiens et des sabres, pour une histoire de drogue. La bande de Mansour Echitane de Beau- Fraisier a également été démantelée avec son lot de sabres et de poignards à triple dent. Ce sont ces bandes qui descendaient avec des sabres, la nuit, à Bab-El-Oued, pendant le mois de Ramadan passé, faire la loi et s’en prendre à la population.

La bande Vicky, les deux Maliens, le pitbull et l’héroïne
Le quartier de Saint-Eugène n’a peut-être jamais connu de pires moments que ceux du temps de Vicky et sa bande. Elle comptait en effet cinq Algériens, deux Maliens et… un pitbull. Un chien d’une rare sauvagerie. Ils campaient quotidiennement sur les escaliers du marché du quartier où ils semaient la terreur. Hormis les agressions, ils vendaient de la drogue, le cannabis comme l’héroïne. Pour un oui ou pour un non, ils lâchaient leur chien et arboraient leurs sabres. Tout le monde était terrifié, personne n’osait protester ou parler. Ils régnaient sur leur territoire portant des sabres qu’ils ont eux-mêmes façonnés. Pour les arrêter, les éléments de la brigade des stupéfiants de la division centre de la police judiciaire d’Alger ont dû mettre en place tout un stratagème. Ils seront d’abord divisés puis neutralisés un par un, vers la fin du mois d’octobre dernier ; deux sabres et 42 g d’héroïnes seront récupérés. Les éléments de la même brigade ont également arrêté, quelques semaines auparavant, trois individus au boulevard Amirouche, à Alger-Centre, en possession d’un sabre, cinq couteaux, six cocktails Molotov, 94 g de cannabis et 182 comprimés de psychotropes. Lors du récent match de foot qui a opposé le CR Belouizdad à l’USM Alger, quatre personnes à bord d’une Peugeot 206 ont été arrêtées à Ben Aknoun en possession de deux sabres. Durant les récents affrontements qui ont opposé les habitants de Beni Messous aux nouveaux relogés en provenance de Djenan-El-Hassan à Bab-El- Oued, les sabres circulaient comme des baguettes de pain, et des jeunes en ont eu recours pour défier les forces de l’ordre intervenues sur les lieux. «Il est vrai que ça devient de plus en plus inquiétant et nous avons dû mobiliser toutes nos brigades, y compris les BMPJ pour parer à ce phénomène. Aujourd’hui, celui qui n’achète pas son sabre, il le fabrique. Avant, les gens avaient recours à cette arme blanche dans des cas isolés, mais depuis deux ans c’est presque toute la jeunesse qui en fait usage. C’est devenu pour certains un jeu d’enfant et c’est justement là que consiste le danger», regrette Tarek Keskas.
El-Harrach, El-Kawassir et le sabre

Au niveau des différents quartiers de la rive gauche de l’embouchure de l’oued El-Harrach, à savoir La Faïence, P.L.M., La Gare, Sainte-Corinne, Fouquereau, Dussolier, Djenane Mabrouk, La Cressonnière, et la route d’Alger, celui qui ne possède pas un sabre est une personne vulnérable et sans défense. C’est cette arme tant idolâtrée qui décide de tout dans l’ex-Maison Carrée. Les ferronniers les livrent comme un boulanger écoule ses petits pains et font depuis fortune. Dans cette région de l’est d’Alger, il faut dire que certains ont même atteint le génie dans l’art de fabrication et de la décoration des sabres en tous genres. «Les ferronniers récupèrent les lames des véhicules de marque 404 bâchée, pour le façonnage de sabres à poignée de bois et diversement décorés. Ils les proposent entre 2 500 et 3 000 DA. Quant aux vrais sabres japonais importés, ils coûtent, prix d’occasion, entre 10 000 et 15 000 DA. «Le mien, je l’ai acheté à 800 francs, en 1992, à Paris. Je le garde toujours à la maison et la plupart des anciens d’El-Harrach en possèdent un. Car à l’époque, on pouvait faire entrer une épée au pays sans le moindre problème. Très rares sont ceux, aujourd’hui, qui sont prêts à vendre leurs vrais sabres. Pour en acheter un, il faut vraiment tomber sur quelqu’un qui traverse une mauvaise passe financière», raconte un quadragénaire de la rive gauche d’El-Harrach, qui malgré son âge et son statut de père de famille n’arrive toujours pas à se détacher de son sabre ! C’est le milieu dans lequel il évolue qui lui dicte sa démarche. Mais le sabre a peut-être sa propre histoire à El-Harrach. C’est lié au feuilleton de guerre El-Kawassir. Diffusé il y a quelques années sur l’ENTV, ce film qui raconte les conquêtes d’une tribu qui a existé dans un lointain passé a eu une influence particulière sur la jeunesse d’El-Harrach. Les supporters de l’USM El-Harrach sont, depuis, baptisés El-Kawassir et pour «mériter et sauvegarder ce titre», chacun doit posséder un sabre et exceller dans sa manipulation. Triste réalité que de s’identifier, en ces temps modernes, à une tribu barbare des âges obscurs ! C’est que les clichés psychiques de la jeunesse de la capitale algérienne n’évoluent pas avec la psyché collective mondiale. La jeunesse algéroise a adopté le sabre dans ses mœurs comme un couple sans progéniture adopte un enfant et ne s’en détache plus jamais. Sa prolifération a atteint un seuil alarmant et si des mesures exceptionnelles ne sont pas immédiatement prises, l’Algérie risque, un jour, de se faire trancher et de saigner par ce même sabre et sa jeunesse.

Source: http://www.lesoirdalgerie.com/

13/12/2011

« Chances pour la Belgique »: 4 morts et 75 blessés !

Il ne faut pas dire les noms des criminels, terroristes ou autres déchets « issus de l’immigration » qui sévissent sur nos terres Occidentales. Ca pourrait « heurter » les autres.

Passons outre ces absurdités. Dans cet attentat meurtrier, l’auteur se nomme Nordine Amrani (et oui; encore…); très défavorablement connu des forces de police… Il s’est suicidé, ce con. Un kamikaze, donc. Et qui dit kamikaze… On s’est compris.

Ses victimes sont un garçon de 15 ans, décédé sur les lieux, un adolescent de 17 ans, mort à l’hôpital, et une femme de 75 ans, également décédée à l’hôpital…

FDF

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La ville a été la scène, mardi midi, d’une attaque d’un assaillant isolé. Un homme, connu de la police, a lancé des grenades avant de tirer dans la foule. Quatre personnes sont mortes, 75 sont blessées, annonce la procureur. 

Confusion et panique dans la troisième ville de Belgique. Un homme âgé de 32 ans, connu des services de police, a lancé plusieurs engins explosifs vers 12h30 sur la place Saint-Lambert, en plein coeur de Liège, avant de tirer dans la foule. Il se serait ensuite suicidé. Bilan provisoire de l’attaque: au moins quatre morts -dont le tireur- et 75 blessés, d’après le dernier décompte des médias belges, citant des sources judiciaires. 

Une conférence de presse était prévue à 16H à Liège, d’après Le Soir, premier site d’information en Belgique. Le Premier ministre Elio Di Rupo doit rejoindre Liège à 17 heures accompagné de Joëlle Milquet, ministre de l’Intérieur. de leurs côtés, le Roi et la Reine se rendront au palais provincial de Liège à 17H. 

Un tireur isolé

Quatre déflagrations importantes ont été entendues. D’autres plus minimes pourraient correspondre à des coups de feu. D’après RTL.be, l’homme aurait lancé un engin explosif sur le palais de justice, puis deux autres en direction d’un abribus. Le Centre fédéral de crise affirme par ailleurs qu’il s’agit de l’acte d’un tireur isolé, démentant les rumeurs d’autres assaillants. 

Selon Cédric Visart de Bocarmé, procureur du roi de Liège, l’auteur des faits s’est suicidé après avoir tiré au fusil d’assaut kalashnikov, rapporte la RTBF. Il possédait plusieurs grenades dans un sac. 

L’auteur de la fusillade serait Nordine Amrani. Selon l’avenir.net et RTL.be, « ce Liégeois de 32 ans avait été condamné en 2008 à un total de 58 mois de prison ferme pour avoir détenu 9500 pièces d’armes et une dizaine d’armes complètes, ainsi que pour la culture de 2 800 plants de cannabis dans le cadre d’une association de malfaiteurs« . 

Selon RTL.be, Nordine Amrani devait comparaître ce mardi matin pour des faits de moeurs, après avoir bénéficié d’une libération conditionnelle en octobre 2010. Il y a quelques jours, une perquisition avait été menée à son domicile, rue Bonne Nouvelle, à Liège. 

Périmètre de sécurité

Un large périmètre de sécurité a également été établi dans le centre ville. Le quartier Saint-Lambert a été évacué, alors que les centres commerciaux ont été fermés. 

Une tente blanche a d’abord été dressée près de l’Archéoforum afin d’accueillir les blessés, précise la RTBF, tandis que plusieurs hôpitaux de Liège ont commencé à accueillir les premières victimes de l’attentat. Selon le site belge la Meuse, un enfant de 2 ans entre la vie et la mort

Les réseaux mobiles sont perturbés ce mardi à Liège, à la suite de l’attentat survenu place Saint-Lambert. Mobistar et Proximus ont constaté un trafic très dense dans la région liégeoise. Les perturbations devraient se résorber assez rapidement. 

Selon les médias belges, des objets qualifiés de « suspects » ont été découverts sur la place Saint-Lambert. Les démineurs d’Heverlee ont été appelés à Liège et devraient faire sauter le véhicule d’Amrani, qui se trouve place Saint-Lambert. Pour l’heure, la situation serait sous contrôle, selon la police. 

Source: http://www.lexpress.fr/

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Cherchez son nom sur Facebook (avant que son compte soit clôturé…) et épluchez. Si c’est bien lui, si ce n’est pas un homonyme, on ne s’étonnera plus de rien…

FDF

28/11/2011

Appels aux dons. Donnez, mais pas n’importe quoi…

Une réflexion tout à fait dans mon courant de pensée.

Nous sommes à l’époque des appels aux dons en tous genres. On vient de vivre la fameuse période de la « banque alimentaire ». Depuis longtemps, je l’avoue, je donne. Il faut aider les plus démunis d’entre nous. Mais ce que je donne en nourriture contient du porc. Ainsi, je suis sûr que ce sera emporté par celles et ceux qui sont vraiment dans le besoin…

Et je mets un point d’honneur à ne jamais donner d’argent, à quelque campagne contre la faim dans le monde. Je ne veux pas me rendre complice des guerres ethniques dans des pays où la nourriture se transforme très vite en armes.

Avec ce genre d’image, on vous fait culpabiliser alors que vous n’y êtes pour rien… Et si ces gens ont faim, ils ne savent pas pourquoi. Ceux qui les dirigent, si… Mais feront appel à vous. Eux ont des armes à acheter; alors donnez…


FDF

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 À l’heure où nous voyons en boucle sur toutes les chaînes de TV les appels aux dons pour que ne meurent pas de faim de petits Africains qui n’ont pas demandé à naître, je rappelle à tous, que les pays d’Afrique concernés sont majoritairement musulmans, que tous sont en guerre fratricide, chassent leurs frères, et les laissent mourir de faim, sans aucun état d’âme…
Que font les pays voisins… Musulmans de surcroit ? RIEN
Et le Croissant Rouge (équivalent de notre Croix Rouge)… RIEN.
Serait-ce à nous de donner?… Il manque 1 (et pas 2 ni 3) milliard d’euros…
Au lieu de construire des hôtels de luxe, d’acheter des 4×4 monstrueux, ou faire des patinoires dans le désert, chaque émirat ou pays voisin devrait ouvrir son porte-monnaie au lieu de demander aux ouvriers français qui gagnent le SMIC d’ouvrir le leur…
Et si chaque musulman d’Europe et d’ailleurs donnait un euro pour l’Afrique, à la place de financer le terrorisme anti-occident, c’est ce geste qui les conduirait sans doute au Paradis !
Voilà des décennies, si ce n’est plus, que ces pays sont dans la misère et régulièrement on nous matraque avec des images terribles de populations qui sont appelées à disparaître !!! Femmes et enfants sont mis en avant afin de nous culpabiliser un peu plus, dans le seul but de nous soutirer de l’argent.
Femmes musulmanes qui avec leur croyance, pondent des mioches en nombre, sachant pertinemment qu’elles ne pourront les nourrir !!!
Peu d’hommes dans ces reportages… pourquoi, alors que ces géniteurs engrossent leur harem et des gamines à peine pubères, ne sont-ils pas conscients et responsables de leur folie ?
2000 ans de retard et une religion aveugle font de ces peuples des condamnés pour l’éternité…

Croyez-vous encore que c’est notre faute et que nous devrions nous sentir responsables de tant de misères ???

Lorsque dans un pays il y a plus de balles de fusil que de grains de riz, nul ne saura jamais rien changer malgré toute la bonne volonté et tout l’argent du monde !!!
Triste, mais hélas bien réel.
Bonne journée à tous et MÉDITEZ bien !

17/11/2011

C’est bon de se sentir en sécurité…

Il est des endroits, de plus en plus nombreux, où il est risqué de sortir car personne n’est à l’abri de se prendre une « balle perdue »… Dans cette affaire, comme dans bien d’autres, les agresseurs et les victimes sont, selon la formule consacrée, « connus des services de police »…

FDF

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Photo d’illustration.

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Deux hommes ont été blessés par balle cet après-midi lors d’une fusillade en pleine rue à Colombes (Hauts-de-Seine) après avoir été braqués par trois personnes, a-t-on appris de sources policières. Selon les premiers éléments de l’enquête, les deux victimes, connues des services de police, ont été agressées vers 17H10, boulevard Charles-de-Gaulle, au pied d’un immeuble HLM par trois personnes dont l’une portait « un pistolet-mitrailleur« , a déclaré à l’AFP une source policière.

Une dizaine de douilles ont été retrouvées sur le sol, a expliqué une source proche de l’enquête. Selon des témoignages, les agresseurs – deux d’entre eux étaient cagoulés – ont pris la fuite après avoir tiré à plusieurs reprises en direction des deux victimes. C’est le bruit des détonations qui a alerté les riverains et les forces de l’ordre.

Les deux hommes, blessés au niveau des jambes, ont été transportés à l’hôpital Pompidou à Paris mais leur pronostic vital n’est pas engagé, selon une autre source policière. Les deux victimes, un jeune majeur et un mineur, habitent les quartiers Nord d’Asnières (Hauts-de-Seine), une commune proche.

Les enquêteurs procéderont à leur audition dès que leur état de santé le permettra.
« Le mode opératoire ressemble fortement à un règlement de comptes. Une nouvelle fois, l’UNSA police déplore ces violences aveugles à coups de fusil mitrailleur, à proximité imminente de la voie publique à une heure très passante », a déclaré à l’AFP un représentant syndical départemental, Christophe Crépin.

Dans ce quartier à proximité d’une artère routière très passante, une dizaine de voitures de police étaient stationnées près du lieu de l’agression. Le quartier est l’objet d’une vigilance particulière des forces de l’ordre car il est connu pour abriter des trafics de stupéfiants.

Il y a un mois, deux hommes, également connus des services de police, avaient été agressés dans ce quartier: l’un avait reçu un coup de couteau et un autre avait été blessé par trois balles dans le dos. Un habitant, qui souhaite garder l’anonymat, a raconté à l’AFP que « depuis un mois, le climat était « tendu » et a déploré « cette grosse fusillade » dans un quartier en train de « changer », notamment grâce aux travaux d’extension du tramway. L’enquête a été confiée à la police judiciaire des Hauts-de-Seine.

Source: http://www.lefigaro.fr/

22/10/2011

Villiers-le-Bel: La cour d’assises des Hauts-de-Seine a prononcé des peines allant de 3 à 15 ans de prison; et DEUX acquittements….

On a encore peur de nouvelles émeutes? On a toujours peur de la racaille issue de l’immigration? Des « peines-cadeau » ont été prononcées à l’encontre de ces « chances pour la France »… Et pourquoi?

FDF

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Procès de Villiers-le-Bel : trois condamnés, deux acquittés

En première instance, les quatre tireurs présumés avaient écopé de peines de 3 à 15 ans de prison pour avoir ouvert le feu sur des policiers lors des deux soirées d’émeutes des 25 et 26 novembre 2007.

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La cour d’assises des Hauts-de-Seine, qui rejugeait depuis trois semaines les quatre tireurs présumés des émeutes de Villiers-le-Bel en 2007, a condamné vendredi trois des accusés à des peines de 3 à 15 ans de réclusion et a prononcé un acquittement. Un cinquième accusé, qui comparaissait pour avoir fourni une arme aux émeutiers, a, lui aussi, été acquitté.

« Justice a été faite d’un côté, mais de l’autre côté justice n’a pas été rendue. On crie, on crie et on criera toujours parce qu’il y a de l’autre côté nos frères qui ont pris des peines très lourdes », a déclaré un des acquittés, Maka Kanté, reparti libre du tribunal de Nanterre.

90 policiers blessés

Lors du premier procès en juin 2010, les quatre tireurs présumés âgés de 24 à 30 ans avaient écopé de peines de 3 à 15 ans de prison pour avoir ouvert le feu sur les forces de l’ordre lors des deux soirées d’émeutes des 25 et 26 novembre 2007 qui avaient suivi le décès accidentel de deux adolescents.

Quelque 90 policiers avaient alors été blessés par des cartouches de plomb. Prononcé dans une salle comble après plus de neuf heures de délibéré, le verdict a été accueilli dans la colère et la confusion par la foule qui patientait à l’extérieur de la salle d’audience sous haute surveillance policière.

Clamant leur innocence tout au long des trois semaines de débats, les deux principaux accusés, les frères Adama et Abderhamane Kamara, ont été condamnés à des peines de 12 et 15 ans de réclusion, conformément aux réquisitions du parquet qui avait fustigé leur volonté de « tuer des policiers« . « Pour les victimes que je défendais, l’objectif est rempli. Les deux meneurs partent en prison ce soir, et sur ce point la justice est passée », a commenté Me Laurent-Franck Liénard, un des avocats des policiers.

Les témoins se défilent

Ancien médiateur à Villiers, Adama Kamara avait assuré pendant les débats avoir « tenté de calmer les jeunes » le soir des affrontements, alors que le ministère public avait fait de lui le « leader des émeutes ».

À ses côtés dans le box, son frère Abderhamane, présenté par le ministère public comme « le tireur le plus déterminé et le plus efficace », avait reconnu ne pas « aimer la police », mais il avait nié avoir ouvert le feu. « Je suis pas fou, je connais les peines encourues », avait-il lâché, mettant les accusations portées contre lui sur le compte des « rumeurs » de la cité. Au cours des trois semaines d’audience, cette thèse avait été longuement développée par la défense qui avait dénoncé une enquête « bâclée » en espérant profiter des défections en série enregistrées par l’accusation.

Aucun des quatre témoins sous X qui avaient mis en cause les accusés pendant l’enquête n’a déposé devant la cour, contraignant le président à faire lecture de leurs dépositions. Un témoin à charge crucial, qui devait venir déposer à visage découvert, a, lui aussi, fait faux bond en dépit d’un mandat d’amener pris à son encontre.

Encore un procès

« Je ne suis pas satisfait, parce qu’on aimerait que ce genre de justice ne soit pas pour les cités », a déclaré un des avocats de la défense Me Patrick Arapian, se référant aux témoignages anonymes. « Il n’y a pas une justice des pauvres et une pour les riches. » En dépit de ce jugement d’appel, la justice n’en a pas encore fini avec les évènements de Villiers-le-Bel.

Au terme d’une longue instruction, le policier qui conduisait la voiture entrée en collision avec les deux adolescents a été renvoyé en septembre devant le tribunal correctionnel pour homicides involontaires. Une information judiciaire pour faux témoignages visant les policiers qui l’accompagnaient dans la voiture est par ailleurs toujours en cours à Pontoise.

Source: http://www.lepoint.fr/

13/10/2011

Faut-il désarmer les policiers municipaux ?

Quelle question idiote! Dans certains coins de France (…), c’est tout simplement les envoyer à l’abattoir. La Police armée a déjà bien du mal pour riposter aux bandes ethniques bardées de « kalas »… Alors désarmer notre police municipale (qui est déjà fort peu équipée) c’est de la tentative de meurtre. Et je pèse mes mots.

Qu’est-ce qu’on peut entendre comme absurdités !

FDF

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La proposition avancée par le socialiste Jean-Jacques Urvoas a provoqué la colère des professionnels.

Jean-Jacques Urvoas, secrétaire national du PS chargé de la sécurité

« Oui, car ils n’ont pas à jouer les supplétifs de la police nationale »

« Je m’attendais à la polémique suscitée par ma proposition de désarmement des polices municipales. En revanche, je déplore le caractère parfois indécent de certains arguments développés par des syndicats professionnels qui parlent d’autant plus fort que leurs adhérents ne sont guère nombreux.

Qu’on cesse en particulier d’instrumentaliser la mort tragique d’Aurélie Fouquet pour justifier la généralisation de l’armement. Cette jeune femme était justement armée, ce qui n’a hélas pas suffi à la sauver !

Je reste fidèle à l’esprit de la loi : ce sont les missions qui doivent déterminer l’armement et non l’inverse. Cela ne me semble donc pas le principal sujet à traiter dans l’avenir.

Depuis 10 ans, la majorité sortante n’a cessé d’augmenter, contre l’avis de l’Association des maires de France (AMF), les compétences des polices municipales pour les transformer en outil toujours plus répressif mais parallèlement, elle n’a procédé à aucune reconnaissance et n’a conduit aucune réflexion globale sur le rôle important qu’elles doivent jouer.

Quant à la relance par le ministre de la Commission consultative des polices municipales à quelques mois de l’élection présidentielle, cela fleure bon l’électoralisme. A mes yeux, ce n’est pas leur rendre service que d’en faire une force supplétive de la police nationale, dont elles viendraient pallier le désengagement.
Elles doivent, au contraire, cultiver leur singularité, qui est leur connaissance du terrain et leur sens du contact avec la population. »

Eric Ciotti, secrétaire national de l’UMP chargé de la sécurité

« Non, ce serait irresponsable face à une violence croissante »

« Les propositions de monsieur Urvoas sont totalement ahurissantes. Elles traduisent une méconnaissance totale du métier de policier municipal et des risques auxquels ils sont exposés. Je partage complètement le point de vue des syndicats.

Comme nous l’a malheureusement rappelé le drame de Villiers-sur-Marne en mai 2010 qui a coûté la vie à Aurélie Fouquet, policiers nationaux et municipaux sont aujourd’hui confrontés aux mêmes menaces.

Au quotidien, les policiers municipaux font face à une violence croissante et exercent leurs missions avec beaucoup de courage. L’arme est pour eux un équipement de protection et de dissuasion. Et, le cas échéant, de légitime défense.

Désarmer les policiers municipaux serait les placer en situation de danger et serait irresponsable. A titre personnel, je suis favorable à un armement obligatoire. Pour certaines communes et dans la mesure où les conditions de formation sont réunies.

Au-delà de cette question, les policiers municipaux doivent occuper une place majeure dans la chaîne de sécurité. Sans eux, le niveau de délinquance serait plus élevé.

Mon souhait est que nous favorisions une meilleure articulation avec la police nationale. La police municipale est un outil supplémentaire pour la sécurité dans le cadre de conventions de coordination, qu’il faut sans doute améliorer, certaines missions pourraient être étoffées en respectant les réserves émises par le Conseil constitutionnel. »

Vive réaction syndicale

La FA-FPT Police Municipale réagit vivement à ce débat paru dans la Gazette des communes : « La démonstration de Jean-Jacques Urvoas trahit une vision angélique de notre société, très loin du pragmatisme que l’on attend d’un responsable politique. Il est pourtant possible d’aller encore plus loin dans ce raisonnement. Monsieur Urvoas pourrait sauver tous les fonctionnaires de police nationale, gendarmerie, douanes, nos militaires et surtout qu’il n’oublie pas les convoyeurs de fond qui en ont très certainement assez d’être attaqués au lance roquette pour de l’argent qui ne leur appartient même pas. (…) S’il veut porter un combat utile à toutes les forces de sécurité et accessoirement aux Français, qu’il s’attache plutôt à trouver une solution pour éradiquer toutes les armes de guerre en circulation chez les voyous et faire qu’elles ne tuent plus ni des policiers, ni des convoyeurs, ni de simples citoyens. »

Source: http://www.lagazettedescommunes.com/

25/08/2011

Lybie: les rebelles ont réclamé une aide d’urgence de 5 milliards de dollars.

Ils réclament et c’est urgent!

Faut demander à Sarkö, les gars. Il va se faire un plaisir de vous les donner. Mais ne pas oublier que ça sortira de NOS poches, nous, les CONtribuables… On attend au moins des remerciements; ce serait sympa. Parce que nous, les Français, on se prend un plan de rigueur en pleine face depuis hier. Mais si c’est dans l’objectif d’une aide humanitaire, alors, ça change tout…

FDF

Aide « humanitaire »…

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La rébellion libyenne demande 5 milliards d’aide d’urgence !

La somme est à débloquer sur les avoirs gelés du pays, suivant la proposition américaine. Nicolas Sarkozy a annoncé que les «amis de la Libye» se réuniront à Paris le 1er septembre.

• Une aide d’urgence à débloquer sur les avoirs gelés de la Libye

De hauts responsables du Groupe du contact sur la Libye (États-Unis, France, Grande-Bretagne, Italie, Allemagne et Turquie) se sont réunis mercredi soir à Doha, à la demande du CNT, l’organe politique de la rébellion libyenne. A l’issue de cette réunion, les rebelles ont réclamé une aide d’urgence de 5 milliards de dollars. Le CNT avait initialement estimé ses besoins à 2,5 milliards de dollars. L’organe exécutif de la rébellion libyenne a demandé que cette somme soit débloquée sur les avoirs libyens gelés, comme le proposaient les Etats-Unis.

Le Conseil de sécurité de l’ONU s’est aussi réuni mercredi soir pour examiner la demande libyenne. Cette proposition a pour l’instant essuyé le refus de l’Afrique du Sud, qui souhaite que le Conseil de sécurité attende de savoir si l’Union africaine (UA) reconnaît ou non le CNT lors d’une réunion jeudi.

Ces avoirs ont été gelés le 26 février dernier par une résolution de l’ONU qui imposait des sanctions sévères à Mouammar Kadhafi et son entourage.

» L’après-guerre en Libye mobilise les Occidentaux

• Sarkozy reçoit le numéro 2 de la rébellion

Une conférence des «amis de la Libye» se tiendra le 1er septembre à Paris, a annoncé mercredi Nicolas Sarkozy. Le chef de l’État s’exprimait lors d’une conférence de presse suivant une rencontre avec Mahmoud Jibril, premier ministre du CNT.

«Nous avons décidé en plein accord avec David Cameron (premier ministre britannique, ndlr) de convoquer une grande conférence internationale pour aider la Libye libre de demain, pour bien montrer que nous passons à l’avenir», a déclaré Nicolas Sarkozy. Au-delà du seul groupe de contact, la réunion inclura la Chine, la Russie et l’Inde.

• Pas de forces spéciales françaises au sol

Nicolas Sarkozy a profité de la conférence de presse pour catégoriquement démentir les rumeurs faisant état d’un déploiement de militaires des forces spéciales françaises en Libye. «Nous avons des observateurs (…) mais il n’y a pas de forces spéciales», a insisté le chef de l’État sans donner plus de détails sur le statut de ces «observateurs». «Dans le cadre du mandat des Nations unies, nous ne déploierons pas de troupes au sol», a-t-il conclu. Des conseillers militaires français, dont le nombre a été évalué mercredi par l’état-major des armées à «quelques dizaines», se trouvent en revanche en Libye.

La France, a assuré Nicolas Sarkozy, est prête à poursuivre ses opérations militaires contre les forces militaires de Mouammar Kadhafi aussi longtemps que le CNT le jugera nécessaire. «À la minute où nos amis du CNT nous disent (…) ‘il n’y a plus de menace du camp Kafhafi contre le peuple libyen’, à cette minute-là, les opérations militaires de la coalition s’arrêtent», a-t-il déclaré.

• Journalistes : 2 Français blessés, 4 Italiens enlevés

À Tripoli, deux journalistes français ont été blessés par balles en marge des combats qui font rage depuis mardi autour du QG de Mouammar Kadhafi. Les deux reporters, désormais hors de danger, ont été soignés dans la capitale libyenne et devraient être rapatriés.

En outre, quatre journalistes italiens ont été enlevés mercredi matin près de Zawiyah, dans l’ouest du pays. Les reporters voyageaient en voiture vers Tripoli quand un groupe de combattants loyaux à Mouammar Kadhafi a arrêté leur véhicule et a tué leur chauffeur. Les quatre Italiens auraient alors été transférés dans une maison où l’un d’entre eux a été autorisé à appeler sa rédaction pour dire qu’ils se portaient bien.

Quant à la trentaine de journalistes étrangers qui étaient retenus depuis dimanche (voir les photos) à l’hôtel Rixos au centre de Tripoli, ils ont été relâchés mercredi après-midi. Empêchés de sortir depuis dimanche par les forces loyales à Mouammar Kadhafi, ils ont finalement pu se rendre à l’hôtel Corinthia, un autre établissement de la capitale libyenne.

• Combats nourris dans le quartier du QG de Kadhafi

Malgré la chute du QG de Kadhafi mardi, les combats se sont poursuivis mercredi à Tripoli. A midi, des affrontements nourris ont repris dans le quartier de Bab al-Aziziya. Une épaisse fumée s’élevait du secteur du complexe, où des tirs d’armes légères, de mitrailleuse lourde, de lance-roquettes et de mortiers ont été observés. Les violences se sont étendues au quartier voisin d’Abou Slim, l‘un des derniers fidèles au colonel, d’où les rebelles reculaient.

Des check-points ont été mis en place dans la capitale par la rébellion, qui a deux priorités : la prise d’Abou Slim et la sécurisation de la route d’accès à l’aéroport. L’aéroport de Tripoli a été, selon une journaliste de CNN, la cible de tirs abondants. Le commandant des rebelles en charge de ce secteur se demande si le colonel kadhafi est proche ou tenterait de fuir la capitale par cette route.

• Une récompense pour Kadhafi mort ou vif

Le mystère reste entier quant à la localisation du dirigeant libyen, dont les rebelles n’ont trouvé aucune trace dans son complexe de de Bab al-Aziziya. Les rebelles ont annoncé mercredi une récompense financière de 1,7 million de dollars (2 millions de dinars libyens) pour la tête du colonel, mort ou vif. Cette somme est proposée par des hommes d’affaires libyens et le Conseil national de transition (CNT) a indiqué soutenir cette initiative.

Le «Guide» a diffusé dans la nuit de mardi à mercredi deux messages audio. Le numéro deux du Conseil national de transition libyen, Mahmoud Jibril, a indiqué mercredi à Paris que la rébellion n’avait aucune «information confirmée» sur la localisation du colonel. «Ce serait une chose exemplaire que l’on puisse l’arrêter et le juger de façon équitable», a-t-il estimé. Quant à son éventuel jugement devant un tribunal libyen ou devant la justice internationale, c’est «une question que les juristes libyens vont devoir examiner et ils devront donner leur avis au CNT de façon à respecter les intérêts nationaux libyens», a-t-il poursuivi.

» La justice attend Kadhafi et sa famille


Des partisans des rebelles manifestent leur joie à Tripoli sur la place verte, rebaptisée place des martyrs.

• Des élections dans huit mois

Des élections législatives et présidentielle seront organisées en Libye dans huit mois, promet le CNT dans une interview au quotidien italien La Repubblica. «Nous voulons un gouvernement démocratique et une Constitution juste. Nous ne voulons plus être isolés du monde comme nous l’avons été jusqu’à maintenant».

• Un lourd bilan humain

La bataille de Tripoli a coûté cher en vies humaines : selon le CNT les combats ont fait au moins 400 morts et 2000 blessés dans la capitale libyenne. Près de 600 soldats pro-Kadhafi ont été capturés.

Source: http://www.lefigaro.fr/

17/08/2011

Emeutes: à armes égales…

Je crois qu’il y en a qui commencent à serrer les fesses… Mais il est vrai que face à des bandes ethniques armées de « kalas », nos autorités ripostaient comme ils pouvaient… On passe « à armes égales »; ça va changer la donne.  De plus, ça commençait à se voir et se savoir que le peuple était prêt à faire justice lui-même (comme en Grande-Bretagne).

Si vis pacem, para bellum (« Si tu veux la paix, prépare la guerre » )

Oumma.com prévient ses ouailles. La peur change de camp; il est bientôt temps.

FDF

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Un nouveau décret autorise la police française à tirer à balles réelles sur les manifestants !

« Il est des décrets qui passent en douce alors que le soleil d’été darde ses premiers rayons timides, et qui profitent que l’Hexagone se mette au vert pour transpercer le ciel de leur visée répressive.

Juillet a sonné la récré scolaire, mais aussi le glas d’une certaine idée de la France, à travers une loi, adoptée le 1er juillet, qui autorise dorénavant la police à tirer à balles réelles sur les manifestants.

Tandis que le pays n’est plus qu’une longue transhumance, le législateur siégeant encore sous la coupole a durci le ton en votant un décret modifiant le régime juridique lié à la dispersion des attroupements, dont l’entrée en vigueur est immédiate : le « Décret n° 2011-794 du 30 juin 2011 relatif à l’emploi de la force pour le maintien de l’ ordre public », qui définit les moyens militaires spécifiques de la gendarmerie nationale susceptibles d’ être utilisés au maintien de l’ordre.

Bizarrement, le fait de savoir que mettre en joue et faire feu sur la population ne sera que l’ultime recours de forces de l’ordre confrontées à de graves troubles à l’ordre public, ne procure aucun apaisement d’aucune sorte…

Même enrobé de garde-fous qui stipulent que l’emploi de la force sera subordonné à une autorisation du Premier ministre ou du préfet de zone de défense et de sécurité, et que cet ordre devra être transmis par tout moyen permettant d’en assurer la matérialité et la traçabilité, on ne retiendra de ce texte de loi que le durcissement sécuritaire qu’il augure.

Elargissant la liste des autorités habilitées à user de la force pour le maintien de l’ ordre public aux commandants de groupement et de compagnie de gendarmerie départementale, ce décret estival détaille également les catégories d’armes utilisées, à travers une correspondant à la gravité des situations énoncées par l’ article 431-3 du code pénal.

La patrie des droits de l’Homme jetterait-elle aux oubliettes de l’histoire certaines de ses valeurs cardinales ? »

Source: http://oumma.com/

29/07/2011

Norvège: L’association nationale des armes à feu compte 900 clubs de tir à travers le pays…

Et ce n’est pas pour autant que ça flingue de tous cotés. Question de confiance en la population. Il est à noter qu’en France, on ne doit pas être bien loin de ces chiffres (pas de clubs de tir, mais des habitants possédant une ou plusieurs armes). Mais c’est valable chez la racaille et dans les banlieues. Les preuves tombent tous les jours. A moins que les sous-chiens ne cachent bien leur « jeu ». Mais ceci, on ne le saura que quand la goutte aura fait déborder le vase; ce qui ne saurait tarder…

FDF

Et qu’est-ce qu’on cache dans ses poches, hein ? Bande de coquins, va!

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En Norvège, un habitant sur cinq est armé !

La police n’est pas armée en Norvège, mais compte tenu de l’énorme popularité de la chasse, le pays compte plus d’une arme pour cinq habitants. Selon Vildar Nilsen, expert de l’association norvégienne des chasseurs et des pêcheurs (NJFF), il y a «au moins un million d’armes de chasse et de compétition, pistolets, fusils, mitraillettes confondus» en Norvège.

Ce qui explique qu’il n’y ait pas d’appel à légiférer sur ce sujet pourtant brûlant. Espem Sarstad, porte-parole de la NJFF, ne pense pas que la tragédie d’Utoeya freinera l’avenir de la chasse. Il s’attend à «des restrictions sur l’achat et la détention d’armes» mais n’est pas inquiet car ces restrictions ne devraient concerner que «les armes semi-automatiques, qui ne sont pas habituellement utilisées par les chas­seurs».

Le massacre commis par Anders Breivik n’empêchera pas davantage 4000 tireurs de participer la semaine prochaine à une compétition organisée par l’association nationale des armes à feu (la NDFS) à Bodö, juste au nord du cercle polaire. Seule la couverture télévisée de la compétition a été annulée. La NDFS, partiellement financée par le ministère de la Défense, compte 900 clubs de tir et 160.000 tireurs réguliers.

Source: http://www.lefigaro.fr/

25/07/2011

Libye: l’ambiguïté de L’Elysée…

Le temps des copains…

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A ne plus rien y comprendre…. D’un coté, la France arme les rebelles libyens; d’un autre, elle cherche à aider Kadhafi à se sortir le l’impasse dans laquelle on l’a mis… J’aimerais que l’on m’explique. Parce que là, j’ai l’impression que Paris aimerait qu’il reprenne un semblant de pouvoir, Le Guide…

FDF

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La France cherche une porte de sortie à Kadhafi en Libye.

Je t’aime; moi non plus…

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La rébellion fait mine d’accepter que le dictateur puisse, selon la proposition de Paris, rester dans son pays s’il quitte le pouvoir. 

«L’ambiguïté constructive». Cette notion, qui a sa définition dans le monde de la finance et celui des relations internationales, est aujourd’hui à l’œuvre en Libye. Il s’agit, si l’on ose une explication succincte, d’atteindre un objectif en brouillant les pistes. Drapée dans de tels atours conceptuels, la diplomatie française ainsi avance, pariant tour à tour sur la force des rebelles, la défection de l’entourage de Mouammar Kadhafi, la mort ou la retraite du dictateur.

Depuis cinq mois, l’objectif demeure : il s’agit de débarrasser la Libye de son Guide. Mais comme aucune opération militaire de l’Otan ou des rebelles n’est parvenue à imposer une solution sur le terrain, la France multiplie les propositions pour tenter de convaincre Kadhafi d’abandonner le pouvoir.

Après avoir longtemps repoussé cette idée, Alain Juppé, le ministre des Affaires étrangères, vient de déclarer sur LCI : «L’une des hypothèses envisagées, c’est qu’il (Kadhafi) séjourne en Libye à une condition : qu’il se mette à l’écart de la vie politique libyenne.» Le Guide, croit-on comprendre, irait séjourner loin de Tripoli, pourquoi pas sous une tente dans le désert. Non, comme l’avait d’abord proposé le ministre de la Défense, Gérard Longuet, «dans une autre pièce de son palais, avec un autre titre ». Et pas à l’étranger, puisqu’il est sous un mandat de la justice internationale.

«Jamais je ne quitterai la terre de mes ancêtres », répète de son côté le dictateur. Il a en outre expliqué qu’on ne pouvait le comparer à un autre chef d’État, car, selon la folle rhétorique de son livre vert, il est un Libyen parmi les Libyens qui ne fait qu’exprimer le pouvoir et l’amour de son peuple. Les diplomates occidentaux ont du mal à comprendre. Mais après 42 ans de dictature, les combattants libyens savent, eux, qu’ils gagneront ou mourront, et qu’il en sera de même pour Kadhafi. «Le plus important, vient certes d’affirmer pour la première fois le représentant de la rébellion, Mahmoud Jibril, est que Kadhafi quitte le pouvoir. Mais, a-t-il ajouté pour sortir de l’ambiguïté constructive, «ceux qui décideront finalement, ce sera le peuple libyen ». Ce peuple désormais armé, qui rêve de vengeance.

Source: http://www.lefigaro.fr/

06/07/2011

Rétablissement des contrôles aux frontières: le premier pas Danois.

Voilà un pays membre de l’UE qui semble avoir compris. Il est fort à parier qu’en rétablissant le contrôle aux frontières, le Danemark va voir baisser nettement son taux de criminalité et de délinquance. La « libre circulation » ne nous a apporté que des ennuis supplémentaires. Reste aux autres pays de suivre, en toute intelligence et en toute logique. Pas gagné. Surtout en France, terre d’accueil de la fange du monde…

FDF

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Membre de l’UE, le pays veut ainsi lutter contre la criminalité. Vives réactions en Europe face à ce qui apparaît comme une remise en cause de la libre-circulation.

Le Danemark a déployé mardi 50 douaniers à ses frontières avec l’Allemagne et la Suède, dans le cadre de la première phase du plan du gouvernement de rétablir des contrôles permanents aux frontières, qui a suscité des vives protestations au niveau européen.

« Cinquante officiers supplémentaires ont été déployés à certaines frontières et vont mener des contrôles aléatoires« , a déclaré un porte-parole des Douanes, Finn Serup. « Ils n’arrêtent pas toutes les voitures, ce n’est pas l’idée. On parle de contrôles aléatoires« .

Lutte anti-drogue

Une trentaine d’agents ont été dépêchés à la frontière germano-danoise de Froeslev au sud du Jutland, dix sur le pont de l’Oeresund entre Copenhague et Malmö et dix autres au port de Gedser (sud-est), relié par ferries au port allemand de Rostock, a-t-il expliqué. Ces derniers seront ensuite déplacés au port de Roedby (sud).

« Au cours des premières années, ils seront très mobiles. Lorsque les installations seront construites en 2014, il y aura moins d’officiers stationnés aux postes-frontières« , a dit M. Serup.

Le Danemark, qui a pris la mesure sous la pression de l’extrême-droite alliée du gouvernement, assure respecter les règles européennes de Schengen. Il entend ainsi combattre la criminalité transfrontalière, et réduire l’entrée de drogues et d’armes dans le royaume scandinave.

Au ban de l’Europe ?

Mais Berlin et Bruxelles en particulier ont nettement critiqué la mesure, qui selon eux pourraient violer les règles européennes. Dans une interview au journal danois Jyllands-Posten mardi, un ministre de l’Etat fédéral allemand de Hesse, Juerge-Uwe Hahn, estime que le Danemark, déjà connu pour sa politique d’immigration très dure depuis dix ans, « se met au ban« .

La réintroduction des contrôles douaniers permanents au Danemark doit se dérouler en trois phases, la première ayant commencé mardi. Le 1er janvier 2012, 48 agents supplémentaires des douanes seront déployés, et le chantier d’installation permanentes débutera, la phase finale devant commencer en 2014. « Jusqu’à cette date, ce sera un groupe d’officiers mobiles« , a dit M. Serup.

Source: http://www.liberation.fr/

03/07/2011

Délinquance: toujours en baisse…

Ils ne peuvent plus trafiquer tranquille. Il faut bien que « jeunesse » se passe, non? On peut l’aider en cela, la « jeunesse ». Nos militaires devraient rentrer d’Afghanistan, dit-on… Et ils se sont bien formés sur le terrain…

FDF

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Val-de-Marne: 9 interpellations après l’attaque d’un commissariat

Neuf personnes âgées de 15 à 20 ans ont été interpellées et placées en garde à vue samedi soir après s’en être pris au commissariat de Champigny-sur-Marne (Val-de-Marne), sans faire de blessé, a-t-on appris dimanche de source policière.

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Vers 22H30 samedi soir, une vingtaine de jeunes munis de mortiers, de barres de fer et de « divers projectiles » ont attaqué le commissariat de Champigny, s’en prenant aux locaux et aux fonctionnaires de police présents.

« Aucun policier n’a été blessé » lors de l’attaque, selon cette source policière.

Les jeunes, tous originaires de Champigny, protestaient contre la mise en place sur la commune il y a quelques semaines d’une unité de police spéciale chargée de patrouiller pour mettre fin « aux divers trafics », a indiqué à l’AFP cette source policière.

« En mesure de représailles, ils s’en sont pris au commissariat local », a précisé cette source.

Après l’arrivée de renforts, les policiers ont procédé à l’interpellation de neuf personnes qui ont été placées en garde à vue au commissariat de Champigny-sur-Marne, chargé de l’enquête.

Source: http://actu.orange.fr/

Merci à Godefroy de Bouillon pour l’info…

30/06/2011

Lybie: la France marchand de mort. Pas de quoi être fiers…

Ce n’est pas une nouveauté. Mais c’en reste une honte. Vous ne le saviez pas, mais la France est en guerre. Et qui dit guerre dit morts. Et pas seulement parmi les « militaires ». On va appeler ça des dommages collatéraux, sans vergogne. Et ça passe mieux… Les Français qui ont connu les guerres diverses n’en gardent pas un bon souvenir, pour la plus-part. Ils riposteront dans les urnes; en 2012…

Et pendant ce temps; j’en connais qui caressent des poussins…

FDF

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La France fournit des armes aux insurgés Lybiens.


Engagées depuis 3 mois en Libye, les autorités françaises ont effectué des parachutages d’armes pour aider les rebelles sur le terrain. Une prise rapide de Tripoli est en jeu.

La France semble prête à tout pour accélérer la chute du régime de Mouammar Kadhafi en Lybie. Paris a donc procédé, ces dernières semaines, à des parachutages d’armes pour aider les rebelles libyens dans la région du Djebel Nafusa, au sud de Tripoli, affirme ce mercredi le quotidien français Le Figaro, qui cite des sources françaises haut placées. Le journal a pu consulter une carte estampillée « DGSE Confidentiel défense », qui montre les localités de Nalout, Tiji, al-Jawsh, Shakshuk et Yafran aux mains des insurgés.  

Selon le journal, la France aurait livré dans cette région située à quelques dizaines de kilomètres au sud de la capitale des lance-roquettes, des fusils d’assaut, des mitrailleuses et missiles antichar Milan. « Une source française haut placée » ajoute que l’armée française dispose d’un système très performant et très précis de parachutage et qu’elle a agi sans l’appui de ses alliés.  

Prise de Tripoli par les rebelles?

Mardi, les rebelles se sont emparés d’un important dépôt de munitions dans une zone désertique à 25 kilomètres au sud de Zenten, au sud-ouest de Tripoli, non loin de ces localités. Depuis plusieurs semaines, les insurgés progressent au sud de la capitale. En fournissant des armes, les responsables français misent sur l’avancée de la rébellion vers Tripoli. « Si les rebelles parviennent jusqu’aux abords de Tripoli, la capitale ne manquera pas de se soulever contre Kadhafi », déclare un haut responsable français.  

Une avancée des rebelle bienvenue alors que des dissensions se font jour au sein de l’Otan et que les pays engagés comme l’Italie, se montrent de plus en plus frileux. Par ailleurs, des signes de fatigue se font jour à Tripoli: « les mercenaires du régime ne sont plus payés et à peine nourris, il y a une sévère pénurie d’essence, la population n’en peut plus », estime un militaire français cité par Le Figaro. 

Dans le même temps, les bombardements continuent dans les alentours de Tripoli, toujours contrôlé par les forces de Kadhafi.

Source: http://www.lexpress.fr/

18/06/2011

Délinquance: Villeneuve sur Lot est devenu un ENFER !

Ce fut une ville agréable, avant l’arrivée de la racaille…

Témoignage récupéré sur un forum… Le pire est que c’est pareil dans beaucoup (trop) de villes françaises.

FDF

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« Personne n’ose sortir dans cette ville, je crois que la place a été faite à la délinquance et on ne peut même plus se promener seul, entre amis ou en famille sans y être agressé verbalement ou physiquement. La vidéosurveillance, on s’en FOUT !! ce qu’il faut, c’est des effectifs de police en permanence qui patrouillent et une justice qui interdise enfin le port d’armes blanches ! A votre avis, pourquoi les jeunes ont pratiquement TOUS un couteau sur eux ? ce n’est pas pour aller à la pêche ou chercher les cèpes : il faut arrêter les conneries 5 min et organiser des fouilles corporelles en mettant de lourdes amendes à ceux qui ont un couteau sur eux !!!
L’autre soir en me promenant à villeneuve, certains ont dit : « Villeneuve appartient à l’Algérie et plus à la France » ! moi je suis resté scandalisé…
Tout ça pour dire que Villeneuve sur Lot est devenu un véritable ENFER à cause de « jeunes » »qui sèment la terreur et qui n’ont pas peur de tuer !! Réveillez-vous, l’heure est grave !!!!!!!!!! »

29/05/2011

Belgique voisine: un prisonnier s’est évadé de la prison de Lantin, aidé par 4 hommes armés de kalachnikovs.

« Chances pour la Belgique »… Y’a pas de raison. Nous avons les nôtres, de Momos. Et même leur pays d’origine n’en veut plus; c’est dire… Au fait: il était en tôle pourquoi, celui-ci?

FDF

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Evasion et course-poursuite spectaculaires à la prison de Lantin

L’évadé s’appelle Mohamed El Jabbari, 28 ans. Considéré comme un détenu calme, il avait droit à certaines activités dans la prison. Ce matin, il procédait à l’entretien d’un atelier et a réussi à fausser compagnie aux gardiens. Il s’est alors empressé de rejoindre l’une des cours de la prison avant de s’évader.

Ses complices : 4 hommes armés

4 hommes armés ont d’abord découpé un grillage pour atteindre le mur de l’enceinte. Ils ont ensuite lancé une échelle de corde dans la cour. Mohamed El Jabbari, de son côté, a couru vers l’échelle pendant que ces complices, positionnés en haut du mur, tiraient à la kalachnikov en direction des gardiens qui tentaient de rattraper le détenu. 4 ou 5 coups auraient été tirés sans faire de victime.

Après l’évasion, la course poursuite… sans succès

L’évadé et ses 4 complices se sont enfuis à bord d’une voiture dont la plaque était volée. Un kilomètre plus loin, à Juprelle, ils font un accident et embarquent dans une autre voiture. S’ensuit alors une course poursuite avec les forces de police. Sans succès. Les individus courent toujours…

L’évasion suscite la polémique

L’endroit de l’enceinte où les complices ont placé l’échelle de corde est un angle mort. Aucune caméra ne permet de visualiser cette partie-là de la prison. Un problème qui a pourtant déjà été signalé auparavant… sans effet.

Source: http://www.rtl.be/info/

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