Francaisdefrance's Blog

04/12/2011

Austérité…

Français, l’heure est aux restrictions !!!

FDF

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Content, Fredo ?

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Le site du ministère de la Culture vient d’ être refait à neuf, pour la modique somme de 530 000 euros, à la charge des contribuables français.

ministere de la culture site Le site du ministère de la Culture a coûté 530 000 euros

Le ministère de la Culture vient de mettre en ligne son nouveau site internet qui a coûté la bagatelle de 529 065 euros.

C’est la société SILICOMP AQL (devenue IT & L@bs), filiale d’ Orange, qui a osé facturer 530 000 euros au ministère de la Culture pour un site internet.

Selon Orange, 530 000 euros pour un site internet, ce n’est pas « une grosse affaire« . Ben voyons…

Selon le webmaster d’ un site d’e-commerce réputé, le coût du site du ministère de la Culture facturé par la filiale d’ Orange est 10 fois trop cher, estimant le coût d’un tel site « entre 50 000 et 100 000 euros et encore, je suis gentil« . Selon ce webmaster, rien ne justifie le coût démesuré du nouveau site internet du ministère de la Culture, qui ne bénéficie d’aucune fonctionnalité élaborée ni de technologie innovante.

Le gouvernement demande de nouveaux efforts de la part des français, mais dans le même temps, dilapide l’ argent public en dépensant 530 000 euros pour le site internet du ministère de la Culture…

Source: http://www.impots-economie.com/

23/08/2011

SOS Racisme en redressement judiciaire ? SOS Pognon !

Mauvaise gestion des fonds publics. Je me marre… Excellent gaspillage de l’argent du contribuable; c’est plus clair? Et tout ça pour entretenir sans le dire directement le racisme anti-blancs…

Te bile pas, Sopo, je t’envoie un chèque. Ou plutôt non: j’ai mes impôts à payer; tu te serviras dedans, comme d’habitude…


FDF

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La petite lettre du président Sopo SOS Racisme « en situation financière des plus délicates »…

Une tapée de partenaires mis en exergue sur la promo du concert…

Ruinée par le concert du 14 juillet, SOS Racisme est une association au bord du redressement judiciaire… Dominique Sopo essaie de s’en tirer en tapant ses contributeurs ordinaires, et donc majoritairement, les ministères, l’État, le contribuable. Une bonne idée en cette période de crise de la dette et de déficit public…

Dimanche dernier, dans nos pages Satyricon, nous expliquions que la très socialiste association SOS Racisme, pour être richement dotée, notamment en fonds publics, connaissait régulièrement des soucis en matière de « phynances ».
En effet, le budget annuel de cette annexe du PS tourne autour du million d’euros, dont un peu plus de la moitié sort de la poche des contribuables.
Cette année, SOS Racisme qui voulait « renouer avec sa capacité à imposer des problématiques dans la société française », pour reprendre les mots de Dominique Sopo et sans rapport avec la proximité des primaires et de la présidentielle, a reçu, en sus de ses financements ordinaires, 230 000 euros de subventions prises sur le budget supplémentaire de la mairie de Paris.
Un soutien qui se décompose comme suit : 160 000 euros de subvention pour le concert, plus 30 000 euros pour le « village dédié à SOS Racisme » et enfin 40 000 euros pour le fonctionnement de l’association, sans parler de la mise à disposition du Champ de Mars entre autres broutilles et attentions sympathiques de ce brave Monsieur Delanoë…
Résultat : la belle fête de la gauche et de l’égalité entre potes a réussi au-delà de toute espérance avec plus d’un million de personnes. Cependant, explique Dominique Sopo, dans un courrier qu’il aurait pu intituler SOS Pognon, « en raison de la défaillance de certains partenaires, cette opération nous met dans une situation financière des plus délicates, dont l’association doit sortir le plus rapidement possible. C’est pourquoi, connaissant votre attachement à notre action, je me permets de vous solliciter de façon exceptionnelle afin que vous puissiez nous aider à la hauteur de vos possibilités… »
Et le brave Sopo d’adresser sa bafouille aux ministères, histoire de voir l’État l’aider à financer une campagne présidentielle à la sauce des potes bien compris. Après tant d’années de mauvaise gestion sur fonds publics, c’est au contraire le moment de mettre un terme à ce gaspillage opéré sur le dos des contribuables. Laissons les parrains et marraines privés de SOS Racisme assumer les errements de la gestion Sopo et consorts.
L’État a déjà donné, comme le rappelait la Cour des comptes qui pointait de « graves insuffisances de gestion et de rigueur » sur les budgets 1997 à 2000 : « L’association n’aurait pas pu échapper à la mise en redressement judiciaire sans des concours financiers publics de caractère exceptionnel, subventions au titre de la réserve parlementaire de 1998, 1999, 2000, sur le budget de l’Éducation nationale et surtout en 2001, subvention des services du Premier ministre au titre des fonds spéciaux. »
Et comme l’État, c’est nous…

Source: http://www.lunion.presse.fr/

25/06/2011

Vevey (Suisse): pas d’argent public pour la mosquée !

Les musulmans de Vevey pourraient se sentir « heurtés », stigmatisés et aller chialer partout. En France, on a l’habitude. Chez nos amis Suisses, ils n’osent, apparemment, pas trop brailler… Il faudrait qu’ils nous donnent leur recette-miracles, les Suisses… En tout cas, les administrés de Vevey peuvent être fiers de leurs élus, eux…

FDF

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Le Conseil communal a refusé à une courte majorité d’entrer en matière sur l’octroi d’un prêt de 2 millions sans intérêts à  la Fondation islamique du district de Vevey pour rénover un lieu de culte.

Le parlement de la ville de Vevey n’a pas souhaité, à bulletins secrets et à une courte majorité, entrer en matière, jeudi soir, sur l’octroi par la commune d’un prêt de 2 millions sans intérêts à la Fondation islamique du district de Vevey, comme l’annonce le quotidien 24heures.

Les raisons évoquées pour refuser ce projet par une majorité d’élus locaux? Le préavis était mal-ficelé et controversé. L’exécutif de la Ville décidera de proposer ou pas une nouvelle proposition.

Source: http://www.20min.ch/

31/05/2011

Le Hellfest véhicule la christianophobie avec l’argent public. Réagissez !

Par un simple clic ici, vous enverrez automatiquement un message aux collectivités locales (Mairie de Clisson, conseil général de la Loire-Atlantique, conseil régional des Pays de la Loire) demandant de ne pas accorder de financement public à la nouvelle installation du Hellfest et de mettre fin au financement public annuel de ce festival au contenu christianophobe, ainsi qu’un message à la société de brasseries Kronenbourg demandant de mettre fin à son partenariat avec le Hellfest comme l’a déjà fait Coca-Cola en 2009. 

Les collectivités locales vont-elles débourser 650.000 euros pour financer la christianophobie du Hellfest ?

 

Le Hellfest (festival de l’enfer) se déroulera les 17, 18 et 19 juin prochains.

Ce festival de musique « metal » relève-t-il du simple folklore ? Sur le site « radiometal », un post daté du 2 février 2011 résume bien ce qui suscite notre inquiétude. Interrogeant Jeff, responsable de la promotion et de la communication du Hellfest, à propos de la déprogrammation d’un groupe, le site « radiometal » écrit que « l’aspect sataniste et antichrétien » est « propre au black metal ».

Jusqu’à présent, le Hellfest se tenait sur le site du Val de Moine. Mais en 2012 ce site ne sera plus disponible, un nouveau lycée devant y être construit.

Ben Barbaud, le directeur du Hellfest, souhaite néanmoins rester à Clisson. Et envisage une installation future sur des terrains agricoles. Ce qu’il évalue à un coût de 650.000 euros. Qui, selon lui, devraient être déboursés par les collectivités.

Le conseil communautaire de la vallée de Clisson se prépare à accorder 50.000 euros.

Un même montant de 50.000 euros devrait être apporté par le conseil général.

La ville de Clisson, le conseil régional, ainsi que des partenaires privés, sont également sollicités.

Question : est-il admissible que de l’argent public serve à l’aménagement et à la promotion d’un festival musical au cours duquel se produisent des groupes à l’aspect sataniste et antichrétien ouvertement revendiqué ?

 Chrétiens, ne trinquez plus avec le diable !

 

Les 17-18-19 juin prochains, la commune de Clisson (en Loire-Atlantique) sera à nouveau le lieu du Hellfest, le « festival de l’enfer ».

Comme son nom l’indique, il ne s’agit pas simplement d’y faire la promotion du « rock metal » mais aussi de laisser libre cours à la propagation du satanisme qui s’accompagne de la haine du christianisme. Parmi les groupes musicaux qui s’y produisent, certains sont connus pour leurs appels au meurtre des chrétiens et aux destructions d’églises.

 

Nous constatons que  KRONENBOURG est, cette année encore, partenaire officiel du Hellfest. Pourtant, cette société de brasseries, filiale du groupe danois CARLSBERG, a été avertie de la véritable nature du Hellfest et des paroles de certaines chansons qu’on peut y entendre. KRONENBOURG ne peut donc plus prétendre ne pas savoir. Alors que, sur son site internet, KRONENBOURG affirme défendre le « mieux vivre ensemble », KRONENBOURG co-finance ici la christianophobie véhiculée par certains groupes musicaux satanistes.

 

Dès lors, soyons des consommateurs responsables et mettons KRONENBOURG sur liste noire.

Chrétiens, ne trinquez plus avec le diable ! 

 

L’institut Civitas a décidé de lancer une vaste campagne d’information visant directement tous ceux qui se rendent coupables de soutenir ces manifestations christianophobes.

 

Alain Escada, secrétaire général de l’Institut Civitas

 

Vous pouvez aussi écrire, téléphoner ou faxer

 

27/05/2011

Marine Le Pen demande que Christine Ockrent rembourse les salaires perçus pendant ces « mois payée à ne rien faire ».

Et encore une affaire » délicate »… Ca va aller jusqu’où? Le peuple en situation précaire en a déjà marre de sa condition; alors quand on lui raconte ce qui se passe dans les hautes sphères et que c’est lui qui en fait encore les frais…

FDF

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Quand émergera publiquement l’incroyable scandale Ockrent que seule Marine Le Pen évoque pour l’instant ?…

Il faut le reconnaître : l’incroyable scandale Ockrent n’est soulevé publiquement que par une seule personnalité politique…Marine Le Pen.
Marine Le Pen demande que Christine Ockrent rembourse les salaires perçus pendant ces « mois payée à ne rien faire » qu’elle évoque dans une récente interview au Figaro, et prône le retour de la moralité publique et de l’égalité républicaine face aux passe-droit et l’esprit de Caste. Des questions, on l’avouera, essentielles…

Quand émergera le scandale Ockrent sur la place publique ? Mystère…

Voir son communiqué du 26 mai 2011 (que l’AFP curieusement n’a pas repris semble-t-il…) :

« Christine Ockrent a enfin quitté l’Audiovisuel Extérieur de la France, six mois après le vote massif de défiance des salariés de France 24 contre elle (à 85%).

Christine Ockrent est le symbole de ce journalisme de caste, qui entretient des relations incestueuses avec le pouvoir politique et les puissants depuis des années.

Lorsque Christine Ockrent a porté plainte pour harcèlement moral il y a près d’un mois, 35 policiers et deux substituts ont été mobilisés pour mener trois perquisitions. Du jamais vu et un déploiement de moyens auquel le justiciable ordinaire n’aurait évidemment pas droit.

Il aura donc fallu de longs mois pour que Christine Ockrent daigne accepter l’idée qu’elle n’est pas indispensable.

Plus grave encore, Christine Ockrent avoue elle-même « être payée à ne rien faire depuis des mois ». Vu le niveau de salaire de Christine Ockrent (315 000 euros par an), c’est tout bonnement scandaleux.

L’argent public a servi à financer l’oisiveté d’une personnalité qui a de surcroît le culot aujourd’hui de se tourner vers le tribunal de commerce pour obtenir une compensation financière !

L’intégralité de l’affaire Ockrent illustre les dérives très graves du système français de caste, qui distingue les puissants et les gens ordinaires, ceux à qui tout est permis et les autres.

Il y a de quoi s’étonner que jamais le ministère de tutelle de Christine Ockrent ne soit intervenu pour mettre fin à ce scandale : un scandale financier pour les contribuables et un scandale pour le fonctionnement d’un service indispensable au rayonnement de la culture française dans le monde.

Marine Le Pen, Présidente du Front National, demande qu’une enquête soit conduite par le ministère de tutelle de l’Audiovisuel Extérieur de la France pour déterminer depuis combien de temps précisément Christine Ockrent « est payée à ne rien faire ».

Elle demande qu’on exige de Christine Ockrent qu’elle rembourse l’argent public qui lui a été indûment versé (chaque mois payée à ne rien faire, Christine Ockrent a coûté au pays l’équivalent de 213 redevances audiovisuelles).

Marine Le Pen dénonce l’affaissement de la moralité publique dans notre pays et l’esprit de caste délétère qui y règne. Seul le changement des hommes et des méthodes permettra à la France de connaître un nécessaire assainissement démocratique. »

Source: http://www.lepost.fr/

24/03/2011

Dépenses somptueuses d’internet dans nos ministères…

Bel exemple, encore…
FDF

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Les dépenses de communication des sites Internet des ministères


Au cours de l’année 2010, le député (UMP) de la Haute-Savoie, Lionel Tardy a interrogé chaque ministère pour connaître les dépenses de communication pour leur site Internet en 2009.

Voici les montants pour certains ministères.

Premier ministre. Total annoncé : 1,035 million

« Les services du Premier ministre sur Internet ont, pour l’essentiel, été assurées par le service d’information du gouvernement (SIG), la direction des Journaux officiels (DJO) et la direction de la Documentation française (DDF). »

  • 88 000 euros pour le référencement et 12 000 euros pour la promotion (via E-regie, la régie Internet du SIG) de gouvernement.fr
  • 242 000 euros pour le référencement de pandemie-grippale.gouv.fr
  • 69 000 euros référencement de journalofficiel.gouv.fr, Legifrance.gouv.fr, boamp.fr, bodacc.fr, circulaires.gouv.fr, info-financière.fr, Ladocumentationfrançaise.fr, service-public.fr, vie-publique.fr et formation-publique.fr
  • 55 000 euros en campagnes de pub pour Boamp.fr
  • 335 000 euros pour bodacc.fr (promotion presse écrite et web).
  • 6 000 euros en pubs lors de la participation de la DDF à des salons
  • 228 000 euros pour Service-public.fr (pubs radio)

Éducation nationale. Total annoncé : 1 244 386,17 euros

434 064,03 EUR (TTC) pour l’achat de mots clés, l’achat de bannières web ainsi que pour les reportages et entretiens vidéo mis en ligne sur la WebTV et la chaîne Dailymotion du ministère. Selon le ministère, près de 2,5 millions d’internautes par mois visitent le site Education.gouv.fr.

Écologie.Total annoncé : 102 842 euros

102 842 euros pour la refonte du site www.développement-durable.gouv.fr initiée en 2008.

Défense.Total annoncé : 380 000 euros

320 000 euros en fonctionnement, hébergement, maintenance et animation de defense.gouv.fr (près de 860 000 visites par mois en 2009). 60 000 euros en achats de mots-clés.

Alimentation, agriculture et pêche.Total annoncé : 137 513,80 euros

91 134 euros pour la mise en ligne des vidéos de la web TV du ministère. 18 489 euros pour l’hébergement du site Parlonsagriculture. 4 829,52 euros pour la formation des services départementaux au développement des sites Internet et intranet du ministère. 5 239,48 euros dépôt de noms de domaine. 17 820,40 euros pour une cartographie du web « alimentation/agriculture/pêche ».

En additionnant ces montants on obtient 137 512,40 euros et non 137 513,80 comme annoncé par le ministère. La différence est minime certes mais ô combien significative…

Jean-Baptiste Leon

Voir également France.fr : une pub à 500 000 euros

Source : Le Livre noir des gaspillages de l’argent public 2011

D’après: http://tinyurl.com/63re9r6

12/03/2011

Vous vous demandez pourquoi vos impôts augment?

Eh bien, en partie à cause de ça…

Comptez les véhicules; c’est tout simplement hallucinant !!!

FDF

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A regarder jusqu’au bout, ça vaut le coup !En matière de mégalomanie on ne fait pas mieux !!!! Pendant ce temps, il y a des commissariats qui manquent cruellement d’effectifs ou bien sont simplement fermés…Et tout ça, avec nos impôts !!!

Cliquez sur le lien ci dessous:

http://www.zap-actu.fr/2010/11/05/escorte-presidentielle-pour-sarkozy-et-hu-jintao/

03/03/2011

Défendre la laïcité, c’est ça, aussi…

C’est avec NOTRE argent que l’Etat veut financer les mosquées, premiers jalons posés par l’envahisseur islamiste. Connaissez-vous beaucoup de Français, des vrais, qui sont d’accord avec ça? Nous a t’on demandé notre avis? La France est elle toujours une démocratie? Ben non… Un petit rappel: NOS églises tombent en ruine; mais ça, c’est « secret-défense »… Second rappel: quand « ils » auront remplacé notre constitution par leur charia, il ne faudra pas venir se plaindre. Ce n’est pas faute de ne pas vous avoir prévenus, nous, les « résistants actifs »… Soyez le aussi. Suivez-nous. Signez !

FDF

Non au financement public des mosquées, annoncé par l’Etat !

http://t.regie11.net/c/?aWRTaXRlPTM0JmlkTGluaz0xODYyMyZpZFNlbnQ9Nzk2JmlkU3ViPTg1MDA4MA

 

« Il en va de l’avenir de notre pays, de nos valeurs, de notre civilisation de refuser que les mosquées soient construites avec l’argent public des Français. Je remercie très sincèrement tous les signataires, et je souhaite qu’encore beaucoup d’autres se joignent à nous. Si nous pouvions arriver à 10 000 signatures, j’enverrai cette pétition à l’Elysée, et aux organismes qui garantissent la laicité dans notre pays.
Encore un grand merci à tous, on continue le combat…! »


Auteur de la pétition : C Renoir

Lire la pétition »
Signez la pétition »

25/10/2010

Le communautarisme: fléau de notre système scolaire…

Ce n’est pas une nouveauté, mais ça commence à s’ébruiter… Et que d’argent public gaspillé pour une cause perdue d’avance.

FDF

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Un rapport du Haut Conseil à l’intégration, qui doit être remis au Premier ministre en novembre, dénonce l’incapacité de l’école française à intégrer les enfants de l’immigration

C’est une étude dérangeante. Une photographie sans concession de l’école face aux enfants issus de l’immigration. Sur ces deux sujets traités séparément, les bibliothèques ministérielles croulent déjà d’enquêtes aussi alarmantes les unes que les autres. Mais l’intérêt du rapport du Haut Conseil à l’intégration (HCI), que révèle en exclusivité le JDD, c’est le choc entre ces deux univers. La description d’une réalité souvent « politiquement incorrecte » sans stigmatisation de communautés enfermées dans leurs quartiers.

Ce document de travail, qui ne s’intéresse pas à toute l’école et à tous les enfants d’immigrés mais principalement à ceux qui fréquentent les « établissements ghettos », doit être remis dans sa forme définitive au Premier ministre au début du mois de novembre. Au moment où la chancelière Angela Merkel fustige les échecs de la Multi-Kulti à l’allemande, il montre que l’école républicaine, dernier rempart à la communautarisation de la société, n’arrive plus, dans de nombreux territoires, à jouer son rôle.

Un effet ghetto propre à la France

Le rapport du HCI met à mal une contre-vérité souvent reproduite. La pression de l’immigration n’est pas plus forte en France que dans la plupart des grands pays européens. Ainsi, une étude de 2005 montre que la proportion d’enfants de moins de 18 ans d’origine étrangère (ayant au moins un parent né à l’étranger) est de 18,1%, contre 22% aux Pays-Bas, 25% en Suède, 28% en Allemagne. En revanche, l’inégalité de répartition de cette population sur le territoire caractérise la France.

Les plus fortes concentrations départementales se situent en Ile-de- France: Seine-Saint-Denis (57%), Paris (41%), Val-de-Marne (40%). Cette surreprésentation dépasse même 60% dans 20 communes, pour l’essentiel situées en petite et grande couronne parisienne, où un jeune sur cinq est d’origine maghrébine et un sur six d’origine subsaharienne. Dans certaines villes comme Clichy-sous-Bois, Aubervilliers ou La Courneuve, plus des trois quarts de la jeunesse est d’origine étrangère. « Il n’est pas rare d’avoir des classes primaires et de collèges entièrement composées d’élèves d’origine étrangère, partageant la même confession« , constatent les auteurs du document pour lesquels « cet ‘effet ghetto’ a des conséquences scolaires et sociétales préoccupantes« .

Des aides à l’efficacité mal mesurée

Plus de 110 millions d’euros sont consacrés par les pouvoirs publics en 2010 au programme de réussite éducative mis en place par la loi de cohésion sociale. Les auteurs du rapport saluent la démarche qui privilégie les actions individualisées au traditionnel accompagnement collectif, le large public concerné et le volontarisme politique. Pour l’année scolaire 2008-2009, 725.434 collégiens du public (30,7% des effectifs des collèges) en ont bénéficié, et 147.014 élèves des écoles élémentaires publiques relevant de l’éducation prioritaire.

Pourtant, le HCI relève la persistance de dispositifs locaux et redondants, le manque de coopération entre les différents opérateurs et l’école, l’absence d’évaluation de ces dispositifs. « On a ainsi pu rencontrer des responsables d’établissements scolaires et des enseignants qui, en cinq années de fonctionnement, n’avaient jamais eu de contact avec les responsables et animateurs des associations investies sur le champ du soutien scolaire, de l’aide aux devoirs et de l’accompagnement de scolarité. »

L’enfermement dans des établissements ghettos, l’incapacité des pouvoirs publics à inverser le phénomène, le rejet du français – langue mal maîtrisée – provoqueraient des replis communautaires et religieux: « A tous les niveaux de la scolarité, les témoignages recueillis font état d’obstacles croissants. La montée des fondamentalistes et du communautarisme ouvre la porte à des contestations de cours de plus en plus nombreuses. »

Dérives identitaires et montée du communautarisme

Le document du HCI rapporte la difficulté croissante rencontrée par des enseignants d’histoire-géographie à aborder certains aspects du programme: le fait religieux, la Shoah et le Proche-Orient. Les professeurs d’autres matières, notamment les sciences de la vie et de la Terre, sont confrontés aux mêmes phénomènes: « L’évolutionnisme est remis en cause au profit d’une action divine ou créationniste imposée par l’élève sans argumentation. Loin d’être marginales, ces contestations sont suffisamment récurrentes pour être remarquées. »

Selon les témoignages recueillis, certaines classes des établissements de quartiers, où la mixité sociale et ethnique est absente, se déclarent « 100 % musulmanes ». La religion y serait affichée ouvertement et chaque élève serait situé par rapport à ses origines nationales et religieuses. « Ainsi en est-il à Marseille entre Comoriens et Mahorais ou entre Kurdes et Turcs. Dans ces établissements ghettos, les élèves sont prisonniers d’une assignation identitaire et religieuse« , explique le HCI, qui s’est rendu à Marseille pour son enquête.

L’assouplissement de la carte scolaire en 2007 a contribué à radicaliser la situation. Les parents d’enfants immigrés, mal informés, ne savent pas repérer les bonnes filières. Si les procédures ont gagné en transparence pour le plus grand nombre, localement leurs effets ont renforcé le phénomène de renfermement des quartiers. Avec une conclusion sans appel: « Les études de l’OCDE font valoir des résultats qui marquent le pas par rapport à ceux produits par d’autres systèmes éducatifs développés, en dépit des moyens importants que la nation investit. L’école s’essouffle et tout particulièrement vis-à-vis des publics socialement défavorisés, notamment ceux issus de l’immigration. »

Retrouvez l’interview du président du HIC, Patrick Gaubert, en cliquant ici.

22/10/2010

Associations de défense des Africains : 41 000 euros pour des emplois fictifs à Amiens !

Là, je dis BRAVO !!! C’est pas possible… Ben si. La préférence non-nationale bat son plein! De plus en plus pourries, ces associations à préférence non-nationale. Et l’on nous demande, à nous les souschiens, de nous serrer la ceinture?

FDF

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Une enveloppe de 41 000 euros d’argent public a été versée à la la Ligue des droits de l’Homme des Africains de France, une association d’Amiens suspectée d’emplois fictifs.

emplois fictifs subventionsUne enveloppe de fonds publics d’au moins 41 000 euros, correspondant à neuf contrats aidés a été versée à ce qui ressemble à un panier de crabes.

Voici le compte rendu de l’audition du président de la Ligue des droits de l’Homme des Africains de France devant le tribunal correctionnel:

« Vous vous nommez Vincent Dieudonné Gabriel K. et vous présidiez la Ligue des droits de l’Homme des Africains de France », énonce la présidente du tribunal. « Non, objecte le prévenu. Moi, c’est l’Association des droits de l’Homme des Africains de France. La Ligue, c’est mon cousin. »

« Et comment s’appelle ce cousin ? » Pas de chance, il se prénomme… Vincent Dieudonné. Au cas où ça ne serait pas assez embrouillé, le premier Vincent Dieudonné reconnaît qu’il a enregistré à son domicile l’association du second et lui a même ouvert un compte postal.

africains

Quand on commence à faire le tri, on découvre qu’il existait, de 2005 à 2007, à la même adresse, une nébuleuse d’associations loi 1901 se mêlant de protection des enfants africains, d’animation d’un club de foot, d’organisation de concerts ou de distribution d’aide alimentaire.

Et même une improbable « Association la ligue des droits de l’Homme des Africains de France et les femmes d’Afrique et de réfugiés politiques résident en France et les enfants victimes de la pauvreté et de la guerre », présidée par le second Vincent Dieudonné (le cousin) mais sise à l’adresse du premier Vincent Dieudonné (le prévenu).

Enveloppe de 41 000 euros d’argent public

Qu’a fait pendant deux ans l’Association des droits de l’Homme des Africains de France ? On ne voit jamais que la tenue d’un stand à Mégacité – le palais des congrès d’Amiens -, animé par un lecteur CD diffusant des airs africains, sauf à considérer comme partie intégrante de la défense des droits de l’Homme la pose de carrelage au domicile du président, comme le dénonce Me Bignan, avocate de la partie civile.

Plus embêtant pour ce père de quinze enfants, déjà condamné huit fois, notamment pour des escroqueries et abus de confiance : les neuf titulaires des contrats affirment n’avoir pas, ou peu, vu la couleur de l’argent. Plusieurs d’entre eux ont déjà gagné un procès aux prud’hommes.

Erreur judiciaire, évidemment, pour M. K., 64 ans, né au Congo. « Ils étaient payés tous les mois même s’ils ne faisaient rien », jure-t-il. Il concède manquer cruellement de preuves, puisqu’il les payait en liquide sans demander de reçus.

Les « salariés » disent au contraire qu’ils réclamaient leurs émoluments avant de s’entendre répondre que l’agence de service de paiement (l’organisme chargé de verser les fonds sur instruction de Pôle Emploi) était négligente.

Le CNASEA a eu la puce à l’oreille et a alerté l’inspection du travail. L’agent de cette dernière s’est frotté les yeux en découvrant les locaux de l’employeur des neuf salariés : la modeste habitation du couple Kazango (Madame est poursuivie pour recel). « J’avais quand même mis tout le salon à disposition de l’association », précise Vincent Dieudonné Gabriel.

L’inspection du travail a aussitôt demandé que plus un centime ne soit versé. Mais rien n’y a changé, pas même le faux grossier à en-tête de la direction du travail, que le prévenu nie avoir fabriqué puis envoyé. Les juges se donnent jusqu’au 23 novembre, soit cinq semaines pour y voir clair.

source:  www.courrier-picard.fr

Source: http://tinyurl.com/2wt48qk