Francaisdefrance's Blog

09/03/2012

Le Moyen Orient est devenu le plus important diffuseur et incitateur de l’antisémitisme au monde…

Bien analysé…

FDF

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Le véritable « Apartheid » au Moyen Orient

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Ceux qui aiment l’état Juif sont offusqués par l’organisation par des groupes occidentaux de la « Semaine de l’Apartheid » liée à Israël, mais ne sont pas d’accord entre eux sur la meilleure riposte à cette fête de la haine.

Cette campagne de dénigrement atteint des villes et des campus à travers le monde. Certains croient qu’Israël devrait plus insister sur ses efforts continus pour la paix, d’autres proposent de faire valoir son image en mettant en relief les réalisations dans de très nombreux domaines et les succès obtenus. D’autres enfin plaident en faveur d’un rappel de ce qu’est le « sionisme », un mouvement juif de libération nationale, et de ce qu’il n’est pas, du racisme. Toutes ces approches sont utiles, mais aucune d’elles ne résoudra le problème.

 

La recherche de la paix et de la prospérité n’est pas une preuve de bienveillance et de justice. Les régimes les plus oppressifs ont coexisté en paix avec leurs voisins, tout en réprimant leurs populations. Les sociétés les plus prospères ont rejeté leurs propres minorités. L’Afrique du Sud n’était pas un pays pauvre et arriéré technologiquement. La nation la plus riche et la plus avancée, les Etats-Unis, pratiquait récemment encore la ségrégation des noirs. L’accusation d’apartheid ne vise pas l’oubli de la vraie nature du sionisme, mais bien le rejet de l’existence même d’Israël. Aussitôt après que la poussière se fut déposée sur les camps nazis d’extermination, les Arabes et leurs alliés occidentaux se sont précipités pour reprendre le flambeau par la confusion entre les victimes avec leurs tortionnaires.

Une brochure de la Ligue Arabe de 1945 dit: « Pour les Arabes, en effet, le sionisme semble aussi hideux que tout ce que les nazis ont conçu d’expansion raciale aux dépens d’autrui ». Une brochure publiée par l’Olp en 1964, aussitôt après sa création, dit: « Le concept sioniste de la solution finale en ce qui concerne le problème arabe en Palestine et le concept nazi de la solution finale appliqué au problème juif en Allemagne, ont essentiellement les mêmes ingrédients de base, l’élimination de l’élément humain non désiré « 

Pourtant c’est bien cette organisation terroriste palestinienne qui a inventé le canard de l’apartheid vers le milieu des années 60, bien des années avant ladite « occupation » de la Cisjordanie et de Gaza. Bien entendu, cette accusation n’est pas seulement totalement fausse, mais elle est l’inverse de la vérité.

Si l’apartheid est un crime contre l’humanité, Israël est le seul pays au Moyen Orient où cet apartheid est absent, puisque sa population arabe jouit d’une égalité totale devant la loi et de plus de prérogatives que n’importe quelle autre minorité dans le monde libre, depuis la désignation de l’arabe comme langue officielle, jusqu’à la reconnaissance des fêtes religieuses non juives comme fêtes légales chômées.

 

En contraste, l’apartheid est un état habituel faisant partie intégrante des mœurs du Moyen Orient depuis un millénaire, et, aujourd’hui encore, les pays arabes et musulmans continuent à le pratiquer légalement, politiquement et socialement vis-à-vis de leurs minorités infortunées.

Alors comment se fait-il qu’Israël, un état sans apartheid, soit sous pression constante pour « se purifier », alors que les vrais coupables d’apartheid sont non seulement absous, et s’en sortent indemnes, mais de plus, l’Occident leur donne une plateforme mondiale pour blâmer les autres de leurs propres crimes ?

Au lieu de passer son temps à s’excuser et à protester de son innocence – par atavisme séculaire – Israël devrait adopter une stratégie dynamique, appeler un chat par son nom et dénoncer les vrais criminels de l’apartheid, les nations arabes et musulmanes du Moyen Orient. Cet apartheid prend des formes très variées selon les pays et certaines victimes ont subi plus d’une seule forme.

 

L’Intolérance religieuse

 

Sur le plan historique, les Musulmans se sont considérés comme différents et supérieurs aux autres croyants qui vivaient sous leur joug, connus comme les « dhimmis ». Aujourd’hui encore, ils ont préféré ne pas abandonner ce privilège. Les Chrétiens, les Juifs, les Baha’is sont des citoyens de seconde zone à travers le monde arabo-musulman. De même les groupes qui ne pratiquent pas le même Islam que celui des gouvernants sont partout opprimés, comme les shiites en Arabie ou les sunnites en Syrie, considérés comme des apostats dans un cas ou des ennemis dans l’autre.

 

L’injustice ethnique

 

L’héritage historique de l’intolérance s’étend au-delà de la sphère religieuse. Pendant longtemps les Arabes, les Turcs et les Perses ont été des maîtres impérialistes et ils continuent à traiter comme inférieures des populations, pourtant converties depuis longtemps à l’Islam, comme les kurdes et les berbères, qui ont voulu garder leur langue, leur culture et leurs coutumes sociales.

 

Le racisme

 

Le Moyen Orient est devenu le plus important diffuseur et incitateur de l’antisémitisme au monde, en utilisant aussi bien les diffamations moyenâgeuses (telles que l’usage du sang des enfants pour fabriquer la galette de Pâque) que des « canards » plus modernes (comme les Protocoles des Sages de Sion), décrivant les Juifs comme la source du Mal.

De même les Africains d’ascendance sub-saharienne sont traités avec un profond mépris, un vestige de l’histoire de cette région, épicentre de l’esclavage international mené par les marchands arabes.

 

La discrimination des sexes

 

La discrimination légale et sociale contre les femmes est envahissante à travers le monde arabo-islamique, allant de la violence endémique (la violence domestique et le viol de l’épouse ne sont pas considérés comme des crimes, par exemple) aux centaines d’exécutions chaque année, légales ou extra-légales (crimes d’honneur, par exemple).

La discrimination contre les homosexuels est encore pire.

 

Le refus de citoyenneté

 

Ne pas donner la citoyenneté ou les droits civils à un large segment d’une population pourtant née dans le pays est une situation habituelle. Les communautés palestiniennes dans les pays arabes offrent l’exemple le plus frappant de cette discrimination (ainsi au Liban, les Palestiniens ne peuvent pas posséder des biens, des professions leur sont interdites, ils ne peuvent pas circuler librement…). Les Bédouins dans les états du Golfe et des centaines de milliers de kurdes en Syrie ont subi des discriminations analogues.

 

L’inégalité devant le travail

 

La maltraitance des travailleurs étrangers, notamment les employés domestiques, allant des abus sexuels à l’emprisonnement de fait ou même le meurtre, est monnaie courante et largement tolérée partout au Moyen Orient, notamment dans les états pétroliers où vit une population importante d’expatriés.

 

L’Esclavage

 

Les pays arabes demeurent le plus important refuge de l’esclavage dans le monde, depuis le trafic des enfants et des femmes en Arabie saoudite et dans les pays du Golfe jusqu’à l’esclavage endémique au Soudan et en Mauritanie. C’est pourquoi, les islamistes arrivés au pouvoir aujourd’hui n’ont aucun scrupule à demander la légalisation de l’esclavage.

 

L’oppression politique

 

Nombre de régimes moyen orientaux ont des systèmes de gouvernance plus que répressifs visant à perpétuer l’apartheid par une minorité dominante: alawites en Syrie, Tikritis dans l’Irak de Saddam Hussein, oligarchie saoudienne, dynastie hashémite en Jordanie, coterie militaire en Egypte, minorité sunnite à Bahrein…

 

 

Probablement qu’il s’agit de l’anachronisme le plus saisissant de l’histoire, ces abus endémiques ont échappé jusqu’à ce jour à toute investigation et à toute condamnation !

Les gouvernements occidentaux hésitent sans doute à stigmatiser des alliés autoritaires pour ne pas éveiller leur hostilité et leurs élites les ont absous de leurs responsabilités, dans la pure tradition de condescendance de l' »homme blanc » vis-à-vis de ses anciens colonisés, les considérant comme des créatures abruties, incapables d’assumer leur destin.

Il est grands temps de dénoncer ces pratiques de discrimination et d’obliger ces régimes arabes à accepter de se soumettre aux principes de décence et de responsabilité. Cette volonté de recherche de la vérité du terrain mettra à nu la vacuité de la campagne pour délégitimer Israël, et facilitera la paix et la stabilité régionale.

L’histoire a montré que la discrimination systématique et conséquente est une menace non seulement pour les minorités opprimées, mais pour la santé politique des sociétés qui les opprime. Le jour où ces régimes autoritaires arabes et musulmans commenceront à considérer tous leurs citoyens comme égaux, alors ils pourront transcender leur malaise et regarder l’avenir comme un véritable printemps socio-politique.

Par Ephraïm Karsh, professeur au King College de Londres, spécialisé dans les études du Moyen Orient et de la Méditerranée, directeur du Middle East Forum (Philadelphia) et auteur d’un ouvrage récent, « la Palestine trahie »

Jerusalem Post du 5 mars 2012

Traduit par Albert Soued, écrivain http://soued.chez.com pour www.nuitdorient.com

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Merci à JC…

21/02/2012

Ode à la Turquie.

Je vous laisse méditer ça. Qui ne date pas d’hier…

FDF

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Visionnaire…

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« Considérer la Turquie telle qu’elle était au règne de François Ier, comme une puissance utile à notre politique, c’est retrancher trois siècles de l’histoire.

Prétendre civiliser la Turquie en lui donnant des bateaux à vapeur et des chemins de fer, en disciplinant ses armées, ce n’est pas étendre la civilisation en Orient, c’est introduire la barbarie en Occident ; des Ibrahims futurs pourront ramener l’avenir au temps de Charles Martel, ou au temps du siège de Vienne…Je dois remarquer que j’ai été le seul, avec Benjamin Constant, à signaler l’imprévoyance des gouvernements chrétiens : un peuple dont l’ordre social est fondé sur l’esclavage et la polygamie est un peuple qu’il faut renvoyer aux steppes des Mongols.

Il est bien difficile de prévoir quelle sera la conduite d’une race d’homme qui n’ont point les idées européennes. A la fois rusés comme des esclaves et orgueilleux comme des tyrans, la colère n’est jamais chez eux tempérée que par la peur.

En principe de grande civilisation, l’espèce humaine ne peut que gagner à la destruction de l’empire Ottoman : mieux vaut mille fois pour les peuples la domination de la croix à Constantinople que celle du Croissant…Tous les éléments de la morale et de la société politique sont au fond du christianisme, tous les germes de la destruction sociale sont dans la religion de Mahomet. On dit que le sultan actuel a fait des pas vers la civilisation…Depuis quand l’apprentissage machinal des armes est-il la civilisation ? C’est une faute énorme, c’est presque un crime, d’avoir initié les Turcs dans la science de notre tactique.

Vous ne voulez pas planter la croix sur Sainte Sophie ? Continuez de discipliner des hordes de Turcs, d’Albanais, de Nègres et d’Arabes, et, avant vingt ans peut-être, le croissant brillera sur Saint Pierre. Appellerez-vous alors l’Europe à une croisade contre des infidèles armés de la peste, de l’esclavage et du Coran? Il sera trop tard. »

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Chateaubriand, Mémoires d’outre-tombe

07/02/2012

Un peu d’Histoire…

Notre ami Jean-Jacques nous donne un petit cours d’Histoire. Toujours bon à savoir, tout ça… La France a toujours été convoitée par les muzz. Et  ça continue. Ce sont les méthodes d’invasion qui ont changé (je n’ai pas dit « évolué). Ils ont bientôt tout essayé.

Merci JJ.

FDF

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Les invasions au Moyen âge

Les Sarrasins

Au Moyen âge, on désignait sous le nom de Sarrasins les peuples musulmans des bords de la Méditerranée, composés principalement d’Arabes et de Berbères, et à l’orgine pendant près de trois siècles d’incursions, qui, avec celles des Vikings et des Magyars, constituent ce qu’on appelle ordinairement invasions du Moyen âgeLorsque les Arabes eurent conquis l’Espagne sur les Wisigoths (711), ils passèrent les Pyrénées et envahirent la Septimanie ( Languedoc), qui appartenait aux vaincus. Moussa s’empara de Narbonne, de Carcassonne; mais il n’osa pas pénétrer plus avant dans la Grande terre. En 718, les Arabes envahirent le Languedoc, prirent Nîmes, et emmenèrent en Espagne un nombre immense de captifs. Le Midi de la France eût été conquis en entier par les musulmans, sans la résistance qui leur fut opposée. Les Francs possédaient seulement le nord et l’est des Gaules; l’Aquitaine était libre; la Septimanie et la Provence, jadis aux rois goths, étaient abandonnées à elles-mêmes. Mais les Arabes étaient divisés et usaient leurs forces dans leurs luttes intestines. De leur côté, les chrétiens des Asturies et de la Cantabrie commençaient une lutte terrible contre les musulmans (La Reconquista), et, occupant toute leur activité, sauvaient ainsi le midi de la Gaule d’une conquête trop facile. Mais en 721, Alsamah, habile politique, après avoir rétabli l’ordre en Espagne, vint assiéger Narbonne, la prit et en tua les habitants; puis des hordes d’Arabes vinrent, suivies de leurs femmes et de leurs enfants, s’établir dans le Languedoc, avec l’intention d’occuper le pays.

Narbonne devint dès lors la place d’armes des musulmans en France. Son port assurait leurs communications avec la mer, et sa forte position pouvait les rendre maîtres du pays. Alsamah se porta sur Toulouse; mais Eudes, duc d’Aquitaine, sauva sa capitale par une victoire où Alsamah fut tué. En vain les habitants du Languedoc essayèrent de reprendre Narbonne; une guerre à mort s’engagea, et elle durait encore, sans avoir amené de résultat, lorsque Ambissa, successeur d’AIsamah, franchit les Pyrénées en 724. Carcassonne, Nîmes, tombèrent en son pouvoir, et

« le vent de l’islam, dit un auteur arabe, commença dès lors à souffler de tous les côtés contre les chrétiens. »

Toute la Septimanie, l’Albigeois, le Rouergue, le Gévaudan, le Velay, l’Auvergne méridionale, furent dévastés, incendiés, dépeuplés; puis de là les Sarrasins fondirent sur Lyon, qu’ils pillèrent en 732. Mâcon, Châlons, Beaune, Autun, la Franche-Comté, le Dauphiné, furent ravagés à leur tour, sans que Eudes, accablé, ou Charles Martel, en guerre avec la Germanie, opposassent la moindre résistance. Il fallait l’arrivée d’Abdérame (Abd-er-Rahman) au gouvernement de l’Espagne, et son projet de conquérir la Gaule tout entière, pour  que la situation change. 
Bataille de Poitiers.
La Bataille de Poitiers (25 octobre 732).
Tavleau de Charles Steuben (1837).Abdérame avait rassemblé une armée (732); il prit sa route à travers l’Aragon et la Navarre, entra en France par les vallées de Bigorre et de Béarn, brûlant Oloron, Aire, Bazas, Bordeaux, Libourne, Poitiers. Il s’avançait sur Tours, attiré par les richesses de l’abbaye de Saint-Martin, lorsqu’il apprit l’arrivée de Charles Martel, accouru pour s’opposer

«  à cette tempête qui renversait tout, à ce glaive pour qui rien n’était sacré. » 

C’est entre Tours et Poitiers que se livra la bataille que l’historiographie officielle monta en épingle. Les Francs remportèrent la victoire et firent de cette victoire, qui n’avait rien de décisif – la poursuite des incursions sarrasines dans le Midi de la france pendant encore des siècle suffit à le prouver amplement -, un outil de propagande pour la monarchie franque. Quoi qu’il en soit, Abdérame avait été tué, et les Arabes s’étaient sauvés vers le Sud. Charles, satisfait de les avoir empêchés de traverser la Loire, rentra dans ses États, et joignit à son nom cette terrible épithète de Marteau, parce que

« comme li martiaus débrise et froisse le fer et l’acier, et tous les autres métaux, aussi froissoit-il et brisoit-il par la bataille tous ses ennemis et toutes autres nations. »

Mais en fuyant, les Sarrasins dévastèrent la Marche, le Limousin, et revinrent à Narbonne. Abdel-Malek, successeur d’Abdérame, résolut de reprendre l’offensive : 

« Tel qui fut vaincu  hier, disait-il aux Arabes consternés, triomphe aujourd’hui. »

Il attaqua les chrétiens du nord de l’Espagne, puis il rétablit la domination des Arabes dans la Septimanie et la Provence; secondé par quelques comtes goths avides de pouvoir, il prit Arles, Avignon; et, s’il n’eût éprouvé une défaite dans la Cantabrie, les Sarrasins seraient redevenus aussi redoutables qu’avant leur désastre de 732. Cependant ils prirent Valence, Vienne, Lyon, et attaquèrent la Bourgogne et le Piémont. Enfin, en 735, Charles Martel, allié avec Luitprand, roi des Lombards, envoya une armée contre eux. Childebrand son frère, qui la commandait, battit les Arabes, les chassa devant lui, et prit Avignon. Luitprand et Charles Martel s’avancèrent chacun à la tête, d’une armée. Charles marcha contre Narbonne, battit les Arabes sur les bords de la Berre; mais ne pouvant prendre Narbonne, il résolut de détruire les fortifications de toutes les villes de la Septimanie, afin de ne laisser aux Sarrasins d’autre place que Narbonne. Ce fut alors qu’on brûla les arènes de Nîmes.En 739, Charles Martel revint encore en Languedoc, fit occuper Marseille, et les Sarrasins de Narbonne n’osèrent plus s’avancer au delà du Rhône. De plus, les guerres civiles qui eurent lieu à cette époque entre les Arabes d’Espagne et d’Afrique, donnèrent aux chrétiens d’Espagne et de la Septimanie de nouvelles forces; et lorsque, en 752, Pepin le Bref vint attaquer Narbonne, une armée assez faible la bloqua et la força de se rendre, en 759

Ainsi la France était provisoirement délivrée de la présence des Sarrasins. Ce ne fut qu’en 792 que le calife de Cordoue, Hescham, résolut de reprendre la Septimanie, et leva une armée pour pénétrer en France. En 793, Charlemagne étant occupé à faire la guerre aux Avars, les Sarrasins passèrent les Pyrénées et se dirigèrent sur Narbonne, impatients de reconquérir un boulevard où ils s’étaient maintenus si longtemps. Guillaume, comte de Toulouse, marcha à leur rencontre; mais les Francs furent vaincus à Villedaigne, entre Narbonne et Carcassonne. Cependant les Arabes ne purent s’emparer de Narbonne. Cette invasion détermina Charlemagne à les attaquer; et, dans ces guerres dont nous ne parlerons pas ici , les provinces entre l’Èbre et les Pyrénées tombèrent au pouvoir des Francs. Charlemagne assura ainsi ses limites au midi. Toutefois les pirates arabes d’Afrique, qui depuis longtemps infestaient la Méditerranée, commencèrent à ravager les côtes de l’empire de Charlemagne. Déjà, entre 728 et 739, ils avaient pillé le monastère de Lérins; mais, à partir de cette époque, leurs invasions en France devinrent plus redoutables. La Corse, la Sardaigne, les îles Baléares, furent dévastées, en 806, 808, 809, 813. Charlemagne fit établir des forts au lieux de débarquement, et des flottes pour repousser les ennemis. Tant qu’il vécut, ces moyens et la terreur de son nom suffirent pour préserver les côtes de ses États.

Après sa mort les Sarrasins recommencèrent leurs courses. En 820, la Sardaigne fut ravagée; vers 838, Marseille fut livrée au pillage. La mort de Louis le Débonnaire, et les guerres qui eurent lieu entre ses enfants, laissèrent aux Sarrasins le champ libre; aussi les em bouchures du Rhône, puis Marseille en 848, furent-elles dévastées; une armée partit d’Espagne s’avança en France, et ne se retira que comblée de présents par Charles le Chauve. En 869, les pirates sarrasins firent une nouvelle invasion dans la Camargue. En 889, ils s’établirent sur les côtes de Provence, à Fraxi.et, dans le golfe de Saint-Tropez, et de ce point, leurs ravages s’étendirent dans toute la vallée du Rhône, et jusqu’aux frontières de l’Allemagne.

En 906, les Sarrasins sortirent de ce repaire, et ravagèrent le Dauphiné et la vallée de Suse. En 908, des pirates africains saccagèrent les environs d’Aigues-Mortes. En 920, les Arabes d’Espagne passèrent les Pyrénées, et poussèrent jusqu’aux portes de Toulouse. Pendant ce temps, les environs de Fraxinet se trouvaient entièrement dévastés; Marseille, Aix, Sisteron, Gap, Embrun, furent successivement pillées; la Savoie, le Piémont et la Suisse n’étaient pas, malgré les Alpes, à l’abri des attaques des Sarrasins.

En 940, Fréjus et Toulon furent prises : toute la contrée fut dépeuplée. Le mal devint tel, que Hugues, comte de Provence, fit alliance avec l’empereur grec pour prendre Fraxinet. En 942, Hugues et les Grecs s’emparèrent, en effet, de ce port si important; mais Hugues, apprenant que l’Italie, qu’il convoitait, allait passer à son rival Bérenger, fit alliance avec les Arabes et leur rendit Fraxinet pour pouvoir disposer de ses forces contre son adversaire. Depuis lors, la puissance des Sarrasins alla toujours croissant. Il n’entre pas dans notre sujet de parler ici de leurs invasions en Italie; contentons-nous de dire qu’ils vinrent cent jusque sous les murs de Grenoble, dont ils se rendirent maîtres. Une victoire de Conrad, en 952, fit chanceler leur puissance. En 960, on leur enleva le mont Saint-Bernard, et les communications entre l’Italie, l’Allemagne et la France, furent rétablies. En 965, ils furent chassés du diocèse de Grenoble, puis, postérieurement à 972, de Sisteron et de Gap. De toutes parts, les seigneurs féodaux, secondés par le peuple et excités par le clergé, se soulevaient contre les envahisseurs.

Enfin, vint le moment de la délivrance Guillaume, comte de Provence, appela à lui tous les guerriers de la Provence, du bas Dauphiné et du comté de Nice, et résolut de prendre Fraxinet. D’abord les Sarrasins furent vaincus à Tourtour, près de Draguignan; puis, malgré leur résistance, obligés de fuir de Fraxinet. C’est vers 975 que la France fut enfin délivrée de ces terribles incursions. Ceux qui ne furent pas tués, devinrent serfs et se fondirent peu à peu dans la population. Il fallut bien que les Arabes se résignassent à regarder la France comme étant à l’abri de leurs atteintes. Ils s’en consolèrent en disant que

« les Français, étant exclus d’avance du paradis, Dieu avait voulu les dédommager en ce monde par le don de pays riches et fertiles, où le figuier, le châtaignier et le pistachier étalent leurs fruits savoureux. »

Il y eut bien encore depuis cette époque des attaques partielles : en 1019 ,contre Narbonne, en 1047, contre Lérins, etc.; mais ces attaques tiennent moins à l’histoire des invasions sarrasines proprement dites qu’à celle de la piraterie des Barbaresques, qui allait durer jusqu’au début du XIXe siècle. (elle furent, pour la France, l’un des motifs de la prise d’Alger en 1830).

Les Sarrasins dans l’imaginaire populaire en France

Le souvenir des Sarrasins a été longtemps, et est encore présent dans les traditions populaires; il a même absorbé le souvenir des Vikings et des Magyars (Les invasions au Moyen âge), dans toutes les oeuvres de la littérature du Moyen âge. Les invasions normandes et hongroises se perdent généralement dans les traditions relatives aux Sarrasins, et la raison en est facile à trouver. Les Sarrasins conquéraient autant pour répandre leur foi (Islam) que pour piller; il s’agissait d’abord pour eux de soumettre le monde à la loi de Mahomet; pendant trois cents ans, la France fut attaquée par eux; pendant trois siècles, il y eut une suite de guerres acharnées, de ravages et de meurtres; puis, quand la France eut chassé les Sarrasins de son sol, les croisades commencèrent, et pendant deux siècles encore, l’attention se porta sur ces expéditions si populaires. Lorsque la lutte fut terminée avec les Sarrasins, elle se renouvela avec les Turcs, et ces nouveaux ennemis semblèrent devoir les rendre éternelles. Aussi, dans l’esprit des peuples, tout ennemi, tout barbare, tout pillard, fut-il du Nord ou de la Hongrie, était Sarrasin; et toute calamité était nécessairement attribuée aux Sarrasins; les romans de chevalerie (Le Cycle carolingien) sont pleins de ces exagérations, de ces mensonges, et ils ont été si longtemps les seuls livres lus par les grands, et la source unique des récits faits au peuple par les jongleurs, que les erreurs dont ils étaient remplis devaient nécessairement pénétrer dans l’esprit des masses. Charles-Martel, Pepin le Bref, Charlemagne, Roland et tous les héros des chansons de geste, avaient, d’après ces livres, fait la guerre aux Sarrasins; tous les peuples qu’ils avaient battus étaient sarrasins; les Frisons, les Saxons, les Bavarois, les Avars, etc., devinrent des Arabes dans les traditions populaires. 

« Il fut admis en principe que tous les exploits des paladins et des braves de l’âge héroïque de notre histoire avaient eu lieu contre les Sarrasins. Il ne s’agit plus que de multiplier les occasions où ces braves pourraient se signaler. Presque chaque ville du midi de la France fut censée avoir eu son émir et son prince sarrasin, ne fût-ce que pour ménager aux preux de la chrétienté le mérite de les déposséder. On fit même intervenir les Sarrasins dans les combats et les tournois des chrétiens, en un mot, dans tous les lieux de la terre où il y avait quelque laurier à cueillir. Il y a plus afin de relever la gloire des chevaliers chrétiens, qui naturellement finissaient par l’emporter, on rehaussa le caractère de quelques-uns des chevaliers sarrasins; on en fit des modèles de noblesse et de générosité; enfin, on ne reconnut de supérieur à leur courage, que le courage surhumain de Renaud et de Roland (Reynaud, Invasions des Sarrasins). »

 De façon plus générale, au Moyen âge, sarrasin, sarrasinois s’employait pour païen, romain; une tuile sarrasine était une tuile romaine; un monument sarrasinois était un tombeau antique. Castelsarrasin (Castel-Sarrazin) tirerait son nom de fortifications romaines et non arabes. (ED).

06/02/2012

A quatre pattes, les copains: « nous sommes tous des Arabes » !!!

Sponsorisé par Al Quaïda et tout le monde islamiste intégriste? Même pas. Mais avouez que ça fait froid dans le dos…

Nous voilà tous frères, tous cousins. Allons de ce pas conquérir par la force le monde Occidental ! Ah ben non; on ne peut pas. Puisque que le monde Occidental est arabe. Mais qu’est-ce qu’on va pouvoir conquérir?

Ce qui suit n’engage que son auteur… Je me demande si c’est un « convertit. Ca se peut…

Bon allez; je courre aller m’acheter quelques exemplaires du coran, des tapis de prière, faire un don à l’association islamo-terroriste du coin, demander un stage au Pakistan, et profiter de mon nouveau statut de polygame. C’est ma femme qui va être surprise…

Ah; il me faut aussi des babouches, un bol pour mettre sur la tête, ré-apprendre à manger sans couverts, m’interdire de bouffer du cochon, haïr les chiens, les « sous-chiens » (ah oui, il n’y en a plus), passer mon temps à me lamenter et mentir. Je crois que ça va être très très dur…

Il faut aussi que j’apprenne à égorger? C’est pas trop mon truc, ça. Mais la religion l’idéologie islamiste demande parfois beaucoup d’abnégations…

الله أَكْبَر

FDF

Tous les hommes descendraient d’ancêtres communs ayant peuplé la péninsule arabique, selon les généticiens.

Nous sommes tous des Arabes ! Telle est la dernière révélation fracassante des généticiens. Que cela plaise ou non à Marine Le Pen et à Claude Guéant, tous autant que nous sommes, Français, Américains, Esquimaux, Chinois ou Papous, nous descendons d’ancêtres communs ayant peuplé la péninsule arabique ! Après être née en Afrique, l’humanité aurait donc fait une étape dans l’Arabie heureuse, après avoir franchi la mer Rouge. C’est du scoop. En effet, jusque-là, les grands experts des migrations humaines pensaient que la division des troupes s’était plutôt faite au Proche-Orient ou en Afrique du Nord.

Les paléogénéticiens des universités de Leeds et de Porto ont été amenés à faire cette hypothèse à la suite des confidences d’un indic ! Un indic qui se cache par milliers dans chacune de nos cellules : la mitochondrie. Ce minuscule organite, qui officie en tant que centrale énergétique de nos cellules, possède son propre ADN. Comme les chromosomes, il peut muter. Ainsi, quand les généticiens observent exactement la même mutation chez deux peuples différents, ils peuvent en conclure que ceux-ci partagent un passé commun. En comparant l’ADN mitochondrial prélevé sur des centaines d’individus à travers le monde et dans la péninsule arabique, les chercheurs sont parvenus à la conclusion que tous les hommes, hors les Africains, ont tous effectué un passage de plusieurs milliers d’années très certainement, en Arabie. Voilà pourquoi nous sommes tous des Arabes et fiers de l’être. L’étude est parue dans American Journal of Human Genetics.

Éden Arabie

Voilà donc comment il faut réécrire l’histoire de l’humanité : après avoir surgi il y a quelque 200 000 ans en Afrique de l’Est, l’homme moderne (homo sapiens) a commencé par se répandre dans toute l’Afrique, se fragmentant en de nombreuses populations. La vie était belle et la nourriture largement disponible jusqu’au jour où une tribu s’est mise en tête d’aller voir si le soleil ne brillait pas davantage ailleurs. Elle a donc profité d’une baisse des eaux pour franchir la mer Rouge et débarquer sur la péninsule arabique. Jusqu’ici, on pensait que le premier passage avait dû avoir lieu, entre – 70 000 et – 40 000 ans. Mais la découverte d’outils façonnés par l’homme moderne datant de 106 000 ans repousse donc la conquête d’au moins 30 000 ans !

On a même trouvé le lieu de débarquement, dans le sultanat d’Oman. Il faut dire qu’à l’époque le climat arabique était humide : à la place d’un désert les nouveaux arrivants ont trouvé un paradis terrestre constitué de grandes prairies. L’occupation de ce nouvel Éden aurait duré plusieurs millénaires avant que l’homme ne poursuive sa conquête du monde. D’abord en empruntant la route du Sud-Est asiatique s’achevant en Australie, puis celle de l’est jusqu’au Japon, puis enfin la route du Nord, vers le Proche-Orient, puis l’Europe atteinte voilà environ 40 000 ans.

Des Indiens dans l’Altaï

L’Amérique est le dernier continent conquis. Mais là encore, il y a du nouveau. Et du lourd ! Grâce à de nouvelles confidences de l’indic mitochondrial, des chercheurs de l’université de Pennsylvanie ont identifié la terre d’origine des Indiens d’Amérique. Ne cherchez pas, vous ne pourriez pas trouver ! Il s’agit de l’Altaï. C’est une région montagneuse au coeur du continent eurasien, là où se rencontrent la Chine, la Mongolie, la Russie et le Kazakhstan. Le grand départ aurait eu lieu voilà 15 000 à 20 000 ans. Quelques dizaines ou centaines d’individus auraient pris la route du nord-est. Après de nombreuses générations, leurs descendants auraient fini par atteindre le détroit de Béring qu’ils auraient traversé en une ou plusieurs fois lors des glaciations, puis ils auraient descendu tout le continent américain. La découverte récente, par des chercheurs de l’université du Texas, d’objets façonnés par l’homme dans l’État de Washington datant de 13 800 ans conforte cette hypothèse.

Depuis sa venue au monde dans un petit bled africain, l’homme n’a cessé d’avoir la bougeotte. Les migrations font partie de sa nature. L’Europe et encore plus la France, située à son extrémité ouest, n’ont pas arrêté d’être enrichies par des vagues d’immigrants. Il n’y a pas de raison que cela cesse…

Source: http://www.lepoint.fr/

Merci à Henri pour le tuyau…

11/01/2012

Lettre ouverte à Houria Bouteldja !

Ils sont quand-même bons, chez SOS Francophobie.

Ci-après, l’une de leurs dernières moutures.

Faites suivre…

FDF

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De l’une de nos rédactrices…

samedi 08 janvier 2012

Je ne suis pas sûre que ton cerveau de « sous-inculte » (cerveau de mollusque), puisse intégrer ce que je vais essayer de te transmettre.
Pour cela, je vais prier le génie de la lampe, qu’il puisse pour un instant te doter d’une cervelle !
Il y a environ une soixantaine d’année, un petit homme à moustache qui se prénommait Adolf, voulu changer la face du monde et provoquer l’apocalypse (voulant dire renaissance et non fin du monde !)…
Cet homme et ses sbires se considérant comme des Dieux, ont comparé toute personne de confession juive ; noirs, arabes, handicapés, homosexuels et j’en passe à « des sous-hommes ». Insulte bien calculée, puisque ces pourritures étaient cultivées – (ce qui n’est pas ton cas).

Malgré l’insulte, antropologiquement ils n’avaient pas tort. Le sous-homme étant pour nous homosapiens-sapiens le SINGE. Mais comme ils se considéraient comme des Dieux, pour eux évidemment ce fut une suprême insulte !

Nous sommes toutes et tous issus des sous-hommes. Quant à toi et les tiens, ceux qui traitent les blancs de « sous-chiens » n’avez pas une once de culture pour savoir ce que cela veut dire.

Antropologiquement, le sous-chien est l’incomparable, le sublime, le magnifique, le merveilleux LOUP. Animal le plus fidèle, protecteur envers sa famille, son clan et son territoire. Animal majestueux, magique, animal des territoires du Nord ! Celtes, Gaulois, Vikings ! Plonger son regard dans le sien, équivaut à se perdre tant son âme est pure !

Alors, je veux bien être une sous-chienne, mais malheureusement, tout comme toi, je suis un sous-homme. Beurk…

Je m’en vais de ce pas hurler avec les miens.
Fin de la leçon dédiée à une raciste de base.

Pour Sos Francophobie.

Martine

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Je rajouterais: et continue à bien « niquer la France »…

FDF

Bravo, Martine !

02/01/2012

Attrape mouches…

Photo d’illustration, bien sûr…

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Comme dirait Henri, j’ai encore attrapé une mouche… Et une belle, cette fois. Voici ma prise du jour. Elle se nommes Farid. J’eusse préféré qu’elle se nomme Amhed

L’objectif est clairement affiché: « envahir la France »; comme si nous n’étions pas au courant. Il nous prend pour des cons, le Farid?  Au fait mon pote: tu te vantes de nous avoir b…. Mais pour cela encore eut il fallu que tu aies des c……. Ramasse !

J’insiste, mais c’est qui, les « racistes » ???

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New comment waiting approval on Francaisdefrance’s Blog

farid commented on Scandale! L’armée algérienne invitée au défilé du 14 juillet 2012 !

la france n’a pas didentité, les francais sont complexés enfin si existe encore des francais ils se sont fait baiser par les allemands les arabes et beaucoup dautre……….AUJOURD HUI VOUS ASSISTEZ A LAGERIANISATION DE LA FRANCE C A NOUS……..NOTRE OBJECTIF C DENVAHIR LA FRANCE ET NOUS Y ARRIVERONT

 

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21/12/2011

Ca s’est passé en France, ce samedi…

A Paris, notamment. Toute la « fine fleur » anti-patriote était présente. Mais eux, on les a laissé défiler… Les drapeaux « verts », les foulards palestiniens, tout y était. Les drapeaux français mélangés à tout ça m’ont fait honte.

J’aime bien ce commentaire: « Il me fait penser à Aubry, sans les arabes il n’est plus rien Soral, il les caresse dans le sens du poil,en parlant bien sur de palestine et Israèl. Et les cons tombes dans le piège ».

FDF

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Ecoeurez-vous en regardant ceci: http://youtu.be/I_91-Ia0n3E

12/12/2011

Quand on pense qu’ils sont convaincus qu’ils ont TOUT inventé…

En fait, « ils » ont fait comme ils le font encore: tout s’approprier… Sans honte ni vergogne.

FDF

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N.B.: nombreux sont ceux qui mettent en doute l’existence même leur prophète,  leur  CORAN,   livre de la haine, etc, etc…


La civilisation arabe

par Freya von Asgard

  La plupart des historiens s’accordent à assimiler la civilisation arabe à la civilisation islamique, puisque pendant la “période de l’ignorance” antérieure à Mahomet les Arabes , à l’instar des peuples africains noirs, avaient une littérature orale. Nous la ferons donc commencer en 622, année de l’Hégire. Au cours de leur très complexe histoire les Arabes , à plusieurs reprises et en maints endroits, ont , d’un point de vue civilisationnel, d’une part contribué à détruire l’unité de l’ancienne civilisation romaine dans le bassin méditerranéen, d’autre part bénéficié , et fait bénéficier les peuples conquis, d’une remarquable civilisation : Mésopotamie et Turkestan aux X° et XI° siècle, Egypte et Espagne au XII° . Mais cette civilisation n’était en rien originale , elle ne fut jamais que l’adaptation des civilisations byzantines et persanes dans la cadre historique que venait de bouleverser l’islamisme. Dans le domaine intellectuel ( mathématiques , astronomie, alchimie , médecine , philosophie ) les Arabes ne se montrèrent jamais que les disciples des Hindous, des Persans, des Grecs alexandrins, et ce avec un bonheur inégal, se bornant en général à compiler . De même en art, les Arabes empruntèrent les coupoles à la Mésopotamie, à Byzance et à la Perse, et les arcs en plein-cintre à Rome.

 Les chiffres de “un” à “neuf” ont été inventés au IVe siècle avant notre ère.



Ils apparaissent dans des inscrïptions de Nana Ghât au 3e siècle av.J.-C., mais le principe de position n’y est pas appliqué . La numération de position avec un zéro (qui était un point à l’origine), a été inventé au cours du 5e siècle. En 773, arriva à Bagdad une ambassade indienne avec un présent pour le calife Mansour et les savants arabes qui l’entouraient : le calcul et les chiffres. Deux siècles plus tard le mathématicien perse Muhammad ibn Musa al-Khuwârizmi écrivit le premier livre en langue arabe présentant la numération indienne de position au 9e siècle, “Mafâtih al-’Olum” ce qui signifie ”livre de l’addition et de la soustraction d’après le calcul des Indiens” .C’est par cet ouvrage , écrit vers 976, que le calcul indien pénétra dans l’Occident chrétien, où vers l’an 1000, le pape Sylvestre II mit tout le poids de son autorité pour faire reconnaître ce système . Voilà donc la seule et unique raison pour laquelle ces chiffres sont dit “arabes” .

Une autre affabulation récurrente est la civilisation de la péninsule ibérique par les musulmans : dans l’Espagne des Wisigoths , les monastères regorgaient de textes anciens latins et grecs recueillis du temps de l’Empire Romain et laissés sur place , et les clercs n’y eurent jamais besoin de l’aide de quelques “Arabe” que ce soit _ tel le calife Al Mansour qui au IX° siècle fit brûler par milliers les manuscrits antiques de la Grande Bibliothèque de Cordoue !

Car si les Arabes perpétuaient d’une certaine façon l’Antiquité classique , il n’en demeure pas moins qu’ils furent bien plus des dépositaires que des créateurs de culture . Or qui avait fondé les prestigieuses civilisations dont ils reprirent les créations? Les Aryens _ du terme sanskrit ārya (avestique, airya) signifiant « excellent, honorable, noble ». _ ces populations de langue indo-européenne qui, vers la fin du IIIe millénaire avant l’ère chrétienne, s’établirent sur le plateau iranien pour pénétrer ensuite dans le Pendjab entre les ~ xviiie et ~ xve siècles, et qui n’étaient autres que les blonds Hyperboréens, mes ancêtres, qui bâtirent au fil des millénaires les plus puissantes civilisations que connut l’Antiquité, y compris l’Héllène : Homère ne décrit-il pas les principaux guerriers grecs de l’Illiade comme blonds? Et les Troyens étaient des Boréens (des Européens) de même race que leurs adversaires grecs, les Achéens “à la chevelure blonde”, également appelés Argiens (originaire d’Argolide) ou Danéens (descendants du mythique Danaos)



En Egypte, sur le tombeau du roi Sethos Ier , dans la Vallée des Rois ( 1303-1290 avant J.-C.) , se trouve une représentation d’une tribu lybienne, les Temehou : ils sont blonds, ont les yeux bleus et le teint clair, et portent un long manteau ouvert sur le devant et des plumes d’autruche dans les cheveux ; et voici maintenant la fresque ornant le tombeau du pharaon Séthi 1er ( 1294 à 1279 avant J.-C. ) où on les reconnait parfaitement!

Mais l’Egypte connut son apogée culturelle et artistique sous la dynastie des Ptolémées qui y régna de -323 à -30, et qui étaient d’origine macédonienne. C’est le premier roi de cette dynastie, Ptolémée 1er, qui fit construire la si célèbre bibliothèque d’Alexandrie, et à son sujet Théocrite écrivit “Jamais, sous son règne, une horde ennemie n’osera traverser le Nil et porter le tumulte de la guerre dans les villages d’Ègypte; jamais le pirate , s‘élançant de ses vaisseaux sur le rivage, ne viendra à main armée enlever les troupeaux de l’Égyptien. Le blond Ptolémée, si prompt à brandir sa lance meurtrière, veille à la sûreté” ( Idylles , 391 ) . Le dernier roi de Thèbes se nommait Xanthos ou Xanthe (en grec ancien Ξάνθος / Xánthos, « le blond ») . Callimaque (IIIe s. avant J.-C.) décrit les “blondes Libyennes” dans l’Hymne à Apollon, 85-87

Que les choses soient bien claires : les grandes civilisations de l’Inde, du Moyen-Orient, du bassin méditerrannéen , furent l’oeuvre quasi-exclusive des peuples nordiques qui y descendirent durant des siècles. Ce sont eux qui humanisèrent les populations locales de races indo-afghanes, orientales et méditerranéennes , et tout ce que fut en ces lieux créé comme civilisation humaine, art, science et technique est presque exclusivement le fruit de l’activité créatrice des Aryens , ce qui nous permet d’induire qu’ils sont les fondateurs déterminants d’une humanité supérieure .

Source: http://foufoune.zymichost.com/page13.html

04/12/2011

Le ridicule peut encore tuer; heureusement…

A lire absolument si vous voulez passer un bon moment…

Chroniques du racisme ordinaire.

FDF

Scène désolante de racisme ordinaire en Belgique : Un Français reconduit à la frontière entre deux Flamands !

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Une analyse puissante et éclairée (en PJ), non politicienne mais non sans humour, donc efficace…

A.K….

Voir: Chronique – 47

19/11/2011

Blagounette: le perroquet raciste.

Allez; une petite blague pas méchante… Il y en a encore qui vont se sentir « heurtés », mais je les em…..

FDF

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L’épicière d’un petit village avait un ببغاء, درة, مُسْتَقْبِل بَث مِجْهاري, مُكَبِّر صَوْت, مُكَبِّر للصَّوْت  (perroquet), « Coco », qui parlait.
Tous les matins elle sortait sa cage et la mettait devant son étal de fruits et légumes.
Un jour, Djamel  qui passait par là, s’arrête devant la cage du perroquet.
Coco se met à crier :
« A mort, les Arabes. A mort les Arabes ».

Interloqué, n’en croyant pas ses oreilles Djamel passe son chemin mais le lendemain, pour en avoir le cœur net, il repasse devant l’épicerie, s’arrête de nouveau devant la cage et de nouveau le perroquet : « A mort les Arabes. A mort les Arabes ».
Djamel furieux entre dans le magasin et menace l’épicière :
– Je repasserai demain et si ton perroquet me dit encore « A mort les Arabes » je lui coupe le cou.

La pauvre femme qui tenait beaucoup à son Coco se demande comment faire pour lui éviter de se faire zigouiller.
« Mon Dieu venez-moi en aide ! »
Subitement il lui vient une idée. Mr le Curé a aussi un perroquet ! je vais lui demander de faire l’échange avec le mien pour quelques jours.

Le lendemain, Djamel repasse devant la cage du perroquet…. rien, il ne dit rien ! Étonné, il poursuit son chemin, fait demi tour, repasse devant la cage…toujours rien ! pas un mot ! complètement indifférent.

Alors Djamel se dit, je vais le provoquer pour le faire réagir.
Il se met lui chuchoter :
– « A mort les Arabes ! A mort les Arabes ! A mort les Arabes ! »
Alors le perroquet se tourne vers lui et lui répond :
« Que Dieu vous entende, mon enfant ! »

Merci à JC JC…

16/11/2011

Cinq « jeunes » prennent une raclée: ils n’osent pas porter plainte…

Et une bonne dans la tronche de ces cinq sous-merdes à qui ça a du faire drôle de se faire massacrer par deux types à qui ils cherchaient des noises. En même temps, cela va servir de leçon aux autres racailles qui voient ainsi fuir lentement leur sentiment d’impunité… Et ce n’est qu’un début, croyez moi… La baston, c’est réciproque.

Le règne de l’insécurité venue « du Sud » prend fin. Vous aimez la bagarre? Vous allez être servi: nos troupes sont prêtes et connaissent vos points faibles sur le bout des doigts…

Ca va être dur de quitter en vitesse les banlieues en ambulance. Puis, à l’hôpital, vous serez remis sur pied vite fait, bien fait. Et ensuite, retour au bled où vous serez accueillis à bras ouverts, je pense.

Quelle délectation de lire ces faits dans un journal…

FDF

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La langue française a perdu un mot. C’est une lourde perte pour les amoureux du vocabulaire, de la syntaxe et de la langue de Molière.  Les prédateurs ont été laissés en liberté par l’Académie Française, gardienne …

La langue française a perdu un mot. C’est une lourde perte pour les amoureux du vocabulaire, de la syntaxe et de la langue de Molière. 

Les prédateurs ont été laissés en liberté par l’Académie Française, gardienne du dictionnaire, parce qu’ils ont jugé que les coupables, identifiés comme « journalistes », méritent leur clémence : la culture, qui ne fait plus partie de leur cycle d’apprentissage professionnel, a été remplacée par l’enseignement de la novlangue. 

Ainsi le Dauphiné Libéré (1) nous en fait, d’une manière aussi désuète que pathétique, les aveux criants.

A Annecy, en Haute Savoie, une bagarre a éclaté samedi après midi rue de la Poste entre, explique le journaliste, un groupe de cinq « jeunes » et deux « hommes ».

« Il était 18 heures lorsqu’un petit groupe de cinq jeunes réunis autour d’une belle voiture a interpellé grossièrement deux couples (…) demandant (…) aux jeunes femmes, si elles souhaitaient finir leur soirée dans leur bolide (…). Une proposition que n’ont que modérément goûtée les deux hommes qui accompagnaient les deux jeunes femmes ».

Le lecteur de Dreuz.info aura compris : ces « jeunes » sont probablement une bande de « jeunes issus de l’immigration, des nouveaux français » (avant on disait arabes, mais le mot a lui aussi disparu), et les « hommes » sont certainement des français historiques.

L’incident est rapporté dans le journal car la scène a été d’une rare violence, mais aussi parce que les deux « hommes » ont donné aux cinq « jeunes » une raclée carabinée – et humiliante : cinq contre deux.

C’est la fin de l’article qui nous apporte notre cerise sur le gâteau, et qui n’appelle aucun commentaire :

« Hier soir, aucun des cinq jeunes, âgés de 25 à 30 ans (…) n’avait estimé nécessaire de porter plainte ». « Leurs deux adversaires, âgés de 24 et 34 ans, ont eux été (…) entendus par les policiers. »

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Reproduction autorisée, et même vivement encouragée, avec la mention suivante et le lien ci dessous :
© Jean-Patrick Grumberg pour www.Dreuz.info
(1) http://www.ledauphine.com/haute-savoie/2011/11/14/ils-voulaient-provoquer-mais-se-font-tabasser

25/10/2011

Printemps arabe, chute des dictateurs, hiver islamiste… Un processus inévitable.

L’hirondelle n’annonce plus le printemps. Le jasmin non plus. La charia s’occupe de tout… Je plains tous ces peuples qui on cru à une démocratie à laquelle ils ne seront jamais prêts. Et à laquelle les islamistes les ont fait croire.

La Tunisie sombre dans le chaos régi par les intégristes; la Libye et l’Egypte suivent. Si ça pouvait faire réfléchir les autres… On peut toujours rêver.

Ci-dessous un excellent billet de Christophe Barbier (L’Express).

FDF

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« C’est une peur qui chemine alors que les armes se taisent et que s’élève le brouhaha des urnes. Une peur un peu honteuse, tant l’irénisme est de rigueur, et tenace aussi, le remords d’avoir si longtemps soutenu des dictateurs, avec, pour seule raison, cynique mais valable, d’être en sécurité sur nos rives. Une peur nourrie par les cris des coptes massacrés en Egypte, les premières élections en Tunisie et l’engagement du Conseil national de transition libyen à faire de la charia la « source première de la loi ». Cette peur, c’est celle de l’islamisme, celle d’un pouvoir barbu et liberticide, dont les imams psychopathes remplaceraient les militaires d’opérette et les despotes débauchés d’hier. 

Jamais cette crainte n’a abandonné les esprits occidentaux, même si le vacarme de la fête droits-de-l’hommiste l’a reléguée depuis janvier dans l’arrière-boutique de la foire-fouille sondagière. Elle ressort aujourd’hui parce que nous sommes dans un marécage idéologique, un entre-deux politique où les potentats sont déchus, mais les démocraties, pas encore installées. Balbutiantes et vacillantes, elles sont comme un enfant effrayé par ses premiers pas dans un monde vertigineux. Arabes et Occidentaux, tous épris de paix et de liberté, nous sentons que quelque chose a gagné, qui était juste, mais qu’autre chose aujourd’hui menace, qui est terrible. Et si rebelles et révoltés avaient oeuvré, à leur insu, pour préparer le règne des imams? Et si nous avions fourni, enfants béats de Danton et de Rousseau, le moteur démocratique au véhicule islamiste? S’imposer par une révolution ou une guerre civile n’est rien à côté d’élections gagnées: l’islamisme pourrait bien, demain, affirmer être légitime selon les critères mêmes de l’Occident. Que répondrons-nous?  

Craintes d’un nouveau scénario algérien

Aujourd’hui, les sirènes de l’optimisme chantent à tue-tête qu’il n’y a rien à craindre, que c’est un islam modéré, « intermédiaire », qui donne le la des nouveaux régimes, qu’il ne s’agit que d’invoquer des principes sans corseter la vie quotidienne ni bâillonner les libertés au berceau. Elles n’ont à la bouche que l’exemple de la Turquie, où islamisme et démocratie barbotent en harmonie dans le bain de miel de la prospérité économique. C’est oublier la cure de laïcité imposée jadis à son peuple par Kemal Atatürk, ce vaccin longue durée. Plutôt que le modèle turc, c’est le scénario algérien qui risque d’advenir. Il y a vingt ans, l’Algérie faillit tomber dans l’intégrisme par la fente des urnes, il fallut interrompre le processus électoral et engager la bataille armée. 

En Libye, la situation est la plus inquiétante. Le chef du CNT, Moustafa Abdeljalil s’est engagé à faire de la charia la « source première de la loi ».

C’est en Libye que la situation est la plus inquiétante, parce que l’on y touille un explosif cocktail de pétrole, de trafic d’armes et de bédouinisme, sous l’oeil avide et la griffe déjà sortie d’Aqmi la terroriste. Que feront de leur révolution réussie les héros de Misrata et de Benghazi? L’égout de Syrte a vomi un Kadhafi sanguinolent comme dernier déchet de la tyrannie: puisse le régime qui sortira des discussions tribales et des élections promises nous éviter la nostalgie de l’ordre tyrannique. »

Source: http://www.lexpress.fr/

Nous avons un anniversaire à fêter, ce mardi…

25 octobre 732 : Charles Martel arrête les bourricots Maures à Poitiers !

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S’il est un anniversaire à ne pas oublier, c’est bien celui-ci ! Prendre une telle raclée le premier jour du ramadan cette année là, ça a du avoir du mal de passer…
A tous les « Charles Martel » contemporains: faites circuler !
FDF

Charles Martel à la bataille de Poitiers, composition fantaisiste de Charles Steuben (XIXe siècle)

Moins d’un siècle après la mort de Mahomet, ses guerriers avaient atteint l’Espagne et le Languedoc actuel (cette province s’appelle alors Septimanie, d’après ses sept villes principales).

À la tête de ses troupes, composées d’Arabes ainsi que de Berbères fraîchement convertis à l’islam, Abd el-Rahmann pille Bordeaux et projette de remonter jusqu’au riche sanctuaire de Saint-Martin de Tours. Il a l’intention de s’en approprier les richesses avant de s’en retourner au sud des Pyrénées.

Le duc Eudes appelle à son secours les Francs qui vivent au nord de la Loire. Leur chef accourt. Celui-ci, du nom de Charles Martel, est issu d’une puissante famille franque d’Austrasie (l’Est de la France). Il exerce les fonctions de maire du palais (ou «majordome») à la cour du roi mérovingien, un lointain descendant de Clovis. Quelques années plus tôt, il a refait l’unité des Francs en battant ses rivaux de Neustrie à Néry.

Eudes craint avec raison que Charles Martel ne tourne désormais ses ambitions vers le Sud de la Loire. Il accepte malgré tout de rapprocher leurs deux armées pour faire face à la menace musulmane.

Devant l’avancée des armées de Charles Martel et Eudes, Abd el-Rahmann arrête sa progression. C’est à Moussais, sur la commune de Vouneuil-sur-Vienne, entre Poitiers et Tours, que se font face les ennemis. Pendant six jours, les cavaliers musulmans et les fantassins chrétiens s’observent et se livrent à quelques escarmouches.

Le 25 octobre 732, qui est aussi le premier jour du mois de Ramadan, les musulmans se décident à engager la bataille. Mais leur cavalerie légère et désordonnée se heurte au rempart humain que forment les guerriers francs, disciplinés et bardés de fer. Abd el-Rahmann meurt au combat et la nuit suivante, découragés, ses hommes plient bagage et se retirent.

Plus tard, les chroniqueurs français se sont fait un devoir d’exalter le souvenir de la bataille de Poitiers pour mettre en valeur Charles Martel, père de Pépin le Bref et grand-père de Charlemagne.

Source : herodote.net/histoire/evenement.php?jour=7321025

11/09/2011

Le Simon Bolivar de la Libye…

Sarkö se fait allumer grave; et par Oumma.com, qui plus est…

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Libye/Sarkozy : Le Libertador est un Matamore…

C’est ainsi qu’est surnommé notre brave hyper-président des Français… Pourquoi ce surnom? Décryptage…
FDF

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« Le plus anti-arabe des dirigeants français qui se rêvait le Simon Bolivar de la Libye, a été pris la main dans le sac de la magouille et de l’esbroufe. La France a bien fourni au Colonel Kadhafi du matériel de surveillance de sa population, particulièrement de son opposition, de la même manière que la France avait fourni du matériel anti-émeute à la Tunisie et à Bahreïn pour la répression de la contestation populaire dans ces deux pays.

La société qui a mis en place le système de surveillance des internautes libyens, à base de « Deep Packet Inspection », est française. Elle s’appelle Amesys, filiale de Bull.

Lisez bien : La surveillance des internautes dont les internautes contestataires, c‘est à dire l’opposition qu’il chérit tant désormais.

« Le logiciel Eagle ne fait pas l’objet d’un contrôle à l’exportation, a précisé le porte-parole du Quai d’Orsay, Bernard Valero, l’Etat n’a pas de visibilité sur son exportation ; Nous démentons donc toute implication dans des opérations d’écoute de la population libyenne. » La DGSE s’est refusée à tout commentaire mais a tenu à rappeler que l’ensemble de ses activités en Libye s’inscrivait dans la lutte antiterroriste et notamment dans la traque, après 2001, des membres d’Al-Qaida et ses alliés, dont les combattants d’Al-Qaida au Maghreb islamique (AQMI).

Pis, l’examen des archives récupérées par l’ONG Human Right Watch promet des surprises Des contacts réguliers entre la Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE) et le chef de l’espionnage libyen, Moussa Koussa, qui a déserté le camp Kadhafi au début du soulèvement.

 Formation d’unités spécialisées libyennes par la société de sécurité privée française Geos d’assurer la formation des forces spéciales libyennes.

 Missions « ponctuelles » d’encadrement des services de renseignement libyens ou de forces spécialisées

Autrement dit, le Libertador est un Matamore, un vantard, un contre vériteur, le terme qui vous permet d’échapper à la diffamation si vous faites usage du terme menteur.

Le premier président de « sang mêlé » de France veut passer pour l’ami des Arabes. Comme dirait le fiston : « Bonne chance Mon papa ». Le chemin est long, le résultat aléatoire et les vigiles sur pied de guerre.

Encore un mot : Le terme matamore n’a pas été choisi au hasard Matamore (de l’espagnol mata moros, tueur de maures ou en arabe « mate » c’est-à-dire mort) est un personnage de lacommedia dell’arte , un soldat fanfaron, se targuant d’exploits qu’il n’a pas réalisés et qui, au fond, n’est qu’un poltron.

Voila une histoire qui devrait déniaiser définitivement les Arabes, au delà, tous les basanés sur les bons sentiments de la France et des Occidentaux en général, à leur égard. »

Source: Oumma.com

22/07/2011

Sus aux collabos ! Au temps où il existait un Etat Français…

Encore un fait de haute trahison…

Il a déjà vendu Bordeaux aux musulmans, Juppé; maintenant qu’il est sous l’aile de Sarkö Ier, il peut brader la France; du moins ce qu’il en reste… Mais attention à ne pas faire n’importe quoi. En France, ce sont les Français qui votent. Et parmi eux, une grande majorité est encore (fort heureusement), « de souche ». Et le Français on peut le prendre pour un con; mais pas trop longtemps… Il existe encore dans l’Hexagone, une foultitude de patriotes, de résistants. En fait, il y en a de plus en plus. Alors, faites attention, monsieur Juppé; ne faites pas n’importe quoi. La France gronde déjà assez comme ça…

FDF

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Alain Juppé va proposer d’abandonner l’expression « Etat Français » !

Pourquoi « le meilleur d’entre nous » a-t-il un air si bête ?

Un français sur trois a des grands parents étrangers, dix à quinze pour cent de la population française est issue de l’immigration du Maghreb et d’Afrique (et ce n’est pas fini), la première religion pratiquée en France est l’islam, et la seconde langue parlée à Marseille est… le français.

Devant ces chiffres édifiants, Alain Juppé a émis des réserves sur la formule « Etat Français », en indiquant qu’il pouvait heurter une partie importante de la population qui ne se reconnait pas dans cette appellation.

Cette dépêche de Drzz, qui risque hélas de se vérifier plus vite qu’on le croit si jamais la gauche était élue, vient illustrer une autre dépêche :

Alain Juppé, ministre des Affaires étrangères, aurait émis des réserves, selon une dépêche de l’Agence France Presse du 18 juillet 2011, sur la formule « Etat Juif » en indiquant qu’aujourd’hui en Israël, « il y a des Juifs mais aussi des Arabes »…
Reproduction autorisée avec la mention suivante et le lien vers cet article :
© Jean-Patrick Grumberg pour Drzz.fr Source: Jean-Patrick Grumberg
Et merci à Fred pour cette info qui m’avait échappée… Dessin de Bergolix.
FDF

21/07/2011

Déclaration de revenus…

J’en ai reçu une sévère, par mail; mais il n’y a pas de raison que je sois le seul à en profiter…

FDF

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« Quand j’ai reçu mon formulaire d’impôts 2011, je l’ai complété et retourné immédiatement par la poste.

Dans la case : Avez-vous des personnes à charge ? J’ai coché : OUI
 Dans la case : Liste des personnes à charge, j’ai répondu :
 Les sans-papiers, les sans-abris, les toxicomanes, les chômeurs, les politiciens, les RMIstes, les arabes, les syndicats, les fraudeurs en tous genres, les fainéants, les branleurs et la moitié de l’Afrique !

 Il parait que ma réponse n’est pas recevable !

Je ne comprends pas, j’ai pourtant dit la vérité ! »

01/07/2011

Ils ne sont pas heureux…

Piqué à Nitro. Merci. Ca vaut un billet; le voici:

FDF

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Ils ne sont pas heureux ….

Si on réfléchit bien …….. l’analyse n’est pas fausse !!!!!!

En fin de compte: Les Arabes ne sont pas heureux

Ils ne sont pas heureux à Gaza
Ils ne sont pas heureux en Egypte
Ils ne sont pas heureux en Lybie
Ils ne sont pas heureux au Maroc
Ils ne sont pas heureux en Tunisie
Ils ne sont pas heureux en Algérie
Ils ne sont pas heureux en Iraq
Ils ne sont pas heureux en Iran
Ils ne sont pas heureux au Yémen
Ils ne sont pas heureux en Afghanistan
Ils ne sont pas heureux au Pakistan
Ils ne sont pas heureux en Syrie
Ils ne sont pas heureux aux Emirats
Ils ne sont pas heureux au Liban
Ils ne sont pas heureux en Arabie
Ils ne sont pas heureux au Koweït

Et où sont-ils heureux ?
Ils sont heureux en Angleterre
Ils sont heureux en France
Ils sont heureux en Italie
Ils sont heureux en Allemagne
Ils sont heureux en Suède
Ils sont heureux aux USA
Ils sont heureux en Norvège

Ils sont heureux dans tous les pays NON Musulmans

Et qui blâment-ils
Pas l’Islam
Pas leurs leaders
Pas eux-mêmes

Ils blâment les pays où ils sont heureux !!!!

16/06/2011

Humour logique…

Allez; on rigole un bon coup!

FDF

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Tout ceci n’est qu’une hypothèse, mais le raisonnement se tient !!!

Imaginons que le gouvernement Français concède à chacun d’entre nous une bourse de 500 euros pour relancer la consommation.

                                                            (je confirme : c’est une supposition !!)

-Si nous la dépensons au supermarché du coin ou en vêtement, cet argent part en Chine.
– Si nous dépensons l’argent en carburant, il part chez les Arabes.
– Si nous achetons un ordinateur, il ira en Inde.
-Si on achète des fruits et des légumes, l’argent va en Espagne ou au Maroc .
-Si on achète une bonne bagnole, notre fric va en Allemagne
– Si on achète des babioles, il part à Taïwan et n’aidera toujours pas notre économie.  

  La seule façon de maintenir l’argent en France, c’est de le dépenser en achetant du vin, du pineau, du cognac, du calva, ou du champagne, si l’on considère que ce sont les uniques biens encore produits chez nous.  
  Donc, en faisant la bringue, j’accomplis mon devoir civique…   
 Alors pour aider notre système économique national en cette période de crise : PICOLEZ !

 Pour info : la Fête de l’Eau a fait près de 400 morts au Cambodge tandis que celle du Beaujolais s’est déroulée sans aucun problème

31/05/2011

Des nouvelles du bled: Oran (Algérie). On se croirait en France…

ORAN, UNE CITE INFRÉQUENTABLE


ORAN, UNE CITE INFRÉQUENTABLE

Les souvenirs m’assaillent en lisant, dans El Watan du 29 mai 2011, l’article de Mahroug Houari, décrivant, dans une longue succession de détails sordides et repoussants, la ville où je suis née et dont le nom persiste doux à mon oreille.

Cet Oran où, malgré une guerre sans nom, il faisait, encore, bon vivre… dans notre souvenir.

Dans notre souvenir, seulement. Celui que nous imposons à notre mémoire devenue  sélective. Parce que, en lisant sa condamnation sans appel d’Oran et des oranais d’aujourd’hui, ce journaliste exilé depuis l’âge de 18 ans, me renvoie à Oran de ma jeunesse d’où je suis partie, au même âge.

Cette ville où, le moindre coin sombre approché, prenait l’aspect d’un coupe-gorge dans la peur de voir surgir un arabe embusqué.

Celle où, dans le pâté de maisons devenu notre univers, nous étions consignés par crainte de rencontrer, une rue plus loin, l’arabe qui nous enlèverait, nous agresserait ou nous tuerait.

Celle, encore, où, dans le simple « trajet-travail »,  on affrontait un danger de mort permanent, selon qu’on devait approcher de M’dina Jdida ou des quartiers périphériques.

Ces craintes, ces angoisses des oranais d’aujourd’hui, soyons honnêtes, nous les avons vécues pendant des années. Seule, l’inconscience de notre jeune âge nous autorisait à rejeter obstinément la crainte de nous voir agressés ou même tués, non pas pour un portable mais parce que nous étions « blancs, français, roumis ».

Combien d’entre nous ont laissé leur vie en allant à l’école, au travail ou au marché ? Ils sont des milliers. Des milliers d’honnêtes gens innocents qui se sont, un jour, trouvé sur la  route de ces assassins.

Dans ce sens, Oran comme les autres villes d’Algérie de l’époque française, nous les avons connues, pareillement, infréquentables.

Et Oran, particulièrement. Oran dont les rues garderont, à jamais, l’empreinte du sang des milliers de victimes européennes assassinées par les mêmes qui, aujourd’hui, terrorisent sa population.

Contrairement à ce journaliste oranais, d’origine algérienne, né avec l’indépendance, cela fait cinquante ans que nous gardons, au fond de notre mémoire, la violence qui habitait ces oranais algériens. Et cela fait 50 ans que nous voyons (en photo) le pays tout entier se délabrer et les algériens s’entretuer.

La seule différence est que les bandes de délinquants ont remplacé les groupes d’activistes indépendantistes et que toute la ville a été envahie par la crasse et la vermine alors que, seuls les quartiers essentiellement arabes, l’étaient, à notre époque. Mais les us et coutumes des arabes oranais n’ont pas changé, eux. A quelques exceptions près, il faut le dire.

Comme tout exilé, comme nous aussi, il a dû entretenir dans son souvenir, les années qui virent son départ d’Oran, quand, encore, la saleté de ses rues n’avait pas atteint son paroxysme. Quand, encore jeune, il pouvait affronter les « loubards » de sa génération qui auraient menacé sa vie. Trente cinq ans plus tard, revenant sur les pas de son enfance, il est surpris de voir que ses congénères n’ont aucunement changé, sans éducation,  sans aucuns scrupules à voler ou à tuer pour un maigre butin.

Ne sait-il pas que, chez nous, en France, transportés par la grâce des regroupements, ils tuent pour un regard mal interprété, pour une cigarette refusée ?

Il n’y a rien de nouveau, pour nous, dans le regard qu’il porte à sa ville et ses habitants.

Mais cela ne nous empêche pas – et à lui et à nous – de regretter la splendeur passée de la ville d’Oran lorsqu’elle était, encore,  en  Algérie française.

Source: http://echodupays.kazeo.com/

09/05/2011

Qui a osé dire: « les cathédrales, c’est grâce aux arabes » ? Eh bien c’est………………..

…et leur art de construire.
Jean-Luc Mélenchon sur France Culture, Répliques, le 07 mai 2011 :

Ecoutez le passage sur http://www.defrancisation.com/j-l-melenchon-les-cathedrales-c-est-grace-aux-arabes/

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