Francaisdefrance's Blog

03/02/2012

Mohamed MOUSSAOUI (CFCM) sera décoré de la Légion d’honneur par Sarkozy le 9 février !

Petits rappels:

-Le CFCM (Conseil Français du Culte Musulman), c’est bien connu, rend d’innombrables services à la République Française: aide à la constructions des mosquées, d’écoles coraniques, etc…

-La Légion d’honneur récompense depuis ses origines les mérites éminents militaires ou civils rendus à la Nation…

Mais nous approchons des élections; et beaucoup de musulmans sont des électeurs…

Je vous laisse mijoter ça…
FDF

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GENIAL NON ???? ALORS QUE NOS JEUNES SE FONT TUER EN AFGHA ET QU’ON LEURS FILE CETTE DISTINCTION A TITRE POSTHUME, C’EST HONTEUX…

Le président du CFCM (Conseil Français du Culte Musulman),  Mr Mohamed MOUSSAOUI sera décoré de la Légion d’honneur par Sarkozy le 9 février

Source WIKIPEDIA :L’ordre national de la Légion d’honneur est l’institution qui, sous l’égide du grand chancelier de l’ordre et du grand maître, est chargée de décerner la plus haute décoration honorifique française. Elle a été instituée le 19 mai 1802 par Napoléon Bonaparte. Elle récompense depuis ses origines les mérites éminents militaires ou civils rendus à la Nation.
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Mr  MOUSSAOUI  sera  donc reconnu pour ses mérites pour la France???
Pour l’instauration de l’islam?

MAIS SARKOZY  A PERDU TOUT SENS DES VALEURS   –
C’EST UNE TRAHISON  à NOTRE  FRANCE,  ET A SES ORIGINES CHRETIENNES

JC JC…

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Le président d la République Nicolas Sarkozy remettra le 9 février les insignes de Chevalier de la Légion d’honneur au président du Conseil Français du Culte Musulman (CFCM), M. Mohammed Moussaoui, lors d’une cérémonie à l’Elysée.

Président du CFCM depuis 2008, M. Moussaoui, professeur de mathématiques à l’université d’Avignon et polyglotte (français, arabe, berbère, anglais), est tenant d’un islam modéré, consensuel et respectueux des valeurs et des lois de la République.

Né le 1er avril 1964 à Figuig, dans l’est du Maroc, il est maître de conférences à l’université d’Avignon et vice-président du Rassemblement des musulmans de France. En juin 2011, il est réélu à son poste de président du CFCM.

M. Moussaoui a poursuivi ses études à Oujda. Après l’obtention de son baccalauréat en sciences mathématiques, il intègre l’université Mohammed Ier où il obtient en 1984 son diplôme des études universitaires générales en mathématiques et physiques. Il prépare ensuite une licence de mathématiques à Rabat et sort major de sa promotion en 1986. En septembre 1986, il rejoint Montpellier (France) où il obtient en 1990 son doctorat et son agrégation de mathématiques. En 1991, il rejoint l’université d’Avignon. En mars 1998, il est habilité à diriger des recherches. Il est auteur de nombreux articles et notes académiques sur différents thèmes de mathématiques.

M. Moussaoui a, par ailleurs, acquis une formation en théologie et sciences islamiques auprès des Oulémas da la région Est du Maroc. Il assure, depuis une vingtaine d’années], les prêches de vendredi dans plusieurs mosquées de France. Il a participé à de nombreuses conférences nationales et internationales sur la pensée islamique et le dialogue interreligieux.

Il est membre du Conseil français du culte musulman (CFCM) depuis sa création en 2003 et vice-président du Rassemblement des musulmans de France, créé en 2006. Lors des élections au CFCM de juin 2008, la liste du RMFobtient 43,24% des voix..

M. Moussaoui est membre de la Commission nationale consultative des droits de l’homme (CNCDH) et de la Conférence des Responsables de culte en France

Source: http://www.saphirnews.com/

28/01/2012

En réponse à Duhem.

C’est ça que vous voulez ?

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Duhem a posté ce commentaire:

« En même temps si la majorité de la clientèle de cette pharmacie s’exprime en arabe, je peux comprendre que pôle emploi exige cette langue. Les langues arabes ou Chinoises risquent devenir plus demandées que l’Espagnol ou l’Allemand… »

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Cela mérite une réponse: mon point de vue concernant ces faits est essentiellement que ça se passe en France et que les immigrés doivent savoir parler le français, si ils veulent s’intégrer, comme ils disent.

Dans le cas présent, la volonté d’intégration n’existe pas. Je suis absolument CONTRE l’arabisation de NOTRE Patrie. Ce n’est pas du racisme, c’est de l’instinct patriotique.

La France doit rester Française; tant au niveau us et coutumes qu’au niveau de la langue parlée. Sinon, il ne faut plus l’appeler France…

FDF

27/01/2012

La colère d’un Alsacien…

Et quoi, bientôt? Un Kougelhopf halal ? Avec les raisins tournés vers la Mecque ?

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Bien légitime, ce coup de gueule…

A diffuser un max.

FDF

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Voir ici: Lettre_d-AlsaceLN

05/01/2012

La machine à lire l’avenir…

J’ai trouvé ce diaporama pas mal du tout; et dans l’air du temps…

A vous d’en profiter…

FDF

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ICI: MACHINE__POUR_VOIR_DANS_LE_FUTUR(roy2011_

25/12/2011

Je m’appelle Mouloud…

Et je souhaite un bon Noël 1472 (2050) à tous les Français !

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Excellent ! A diffuser.

Mais triste vision de notre avenir si personne ne réagit assez vite.

FDF

Bonjour !

Je m’appelle Mouloud et je souhaite à tous les Français une bonne année 1472  !!! (2050 pour les mécréants).

Vous l’avez deviné, je suis musulman, comme 70% des Français, le reste ce sont des Infidèles, principalement des athées et quelques chrétiens parmi le lot. Pour ces dhimmis, disons que c’est plutôt l’exode en ce moment, ils sont quelques centaines de milliers à quitter le pays à chaque année.

Je viens tout juste d’avoir 23 ans, et je suis heureux dans mon pays, la France.  Il y a quelques années, lors des Présidentielles, j’ai voté pour le PIF (Parti Islamique Français) qui a été élu, Inch Allah !!! La France est donc devenue la première République Islamique en Europe, et certainement pas la dernière !!!

Je n’ai pas connu la France d’il y a 50 ou 60 ans, mais mon grand-père m’en a pas mal parlé. Il faut bien admettre que nous, les musulmans, rêvions d’envahir ce pays depuis des siècles. On avait bien failli réussir en 732 après J.C., mais un certain Charles Martel nous avait mis les bâtons dans les roues à Poitiers.

Puis, ça a été des siècles d’attente et de frustration. Les Français étaient tout simplement trop forts. Vers le début des années 1960, ils s’étaient même constitué un arsenal nucléaire : de quoi rayer de la carte l’humanité toute entière. Une attaque directe contre ce pays était donc impensable et impossible.

Toutefois, malgré leur écrasante supériorité militaire et technique sur les musulmans, les Français avaient de graves faiblesses que nous avons su merveilleusement exploiter, grâce à l’aide d’Allah.

La première de ces faiblesses était que toute leur économie dépendait du pétrole. Les Français avaient soif de ce liquide comme des types qui auraient passé une semaine dans le Sahara sans la moindre goutte d’eau. Pour étancher leur soif de pétrole, ils étaient prêts à toutes les concessions. Or, les principales réserves de pétrole se trouvaient à cette époque dans les pays du Moyen-Orient.

Ils nous ont donc laissé construire des casernes, pardon, des Mosquées, dans tout leur pays. Je puis vous assurer qu’aucun village, si reculé et si isolé soit-il, ne fut épargné. Ce fut leur première erreur.

Leur seconde faiblesse était leur faible taux de natalité. Les Français n’avaient même pas un indice de fécondité suffisant pour assurer le renouvellement de leur peuple. Plutôt que de mettre en œuvre des moyens pour relancer la natalité, les politiciens de l’époque ont préféré ouvrir en grand les vannes de l’immigration, pendant des décennies et des décennies. Et qui immigrait majoritairement dans leur beau pays ??? Des musulmans bien évidemment.

Pire encore, ils avaient légalisé l’avortement. Il y en avait environ 200 000 à chaque année. Pas besoin d’être un grand mathématicien Arabe pour calculer le nombre de mécréants en moins que ça représente après 40 ans.

Bref, l’avortement a été du véritable pain béni pour les musulmans.

Leur troisième faiblesse, c’est que les Français étaient tellement obnubilés par la supériorité de leur race et de leur culture qu’ils s’étaient imaginé que le monde entier partageait leur point de vue. Les Blancs, il faut bien l’avouer, dominaient le Monde depuis 2500 ans : il y avait eu les Grecs, puis les Romains, les Portugais, les Espagnols, les Anglais, les Français, les Allemands, les Américains, et j’en passe.

Mais ils étaient bien naïfs pour croire que nous, les Musulmans, allions larguer par-dessus bord notre Religion,  notre Foi, nos coutumes et nos traditions pour intégrer leur société amorale, dépravée et matérialiste en échange d’une bagnole, de quelques barils de diesel et d’une poignée d’Euros – la monnaie de l’époque.

Les Français avaient en effet balancé leur religion – en l’occurrence le christianisme – depuis un siècle pour adopter une constitution laïque.

La France était donc  « officiellement »  un pays laïc. Ce pays comportait à l’époque, parmi les Français de souche,  des traîtres et des collaborateurs d’une ignominie et d’une veulerie inconcevable. Le genre d’individus qui auraient été immédiatement saignés comme des porcs, lapidés comme des chiens dans n’importe quel pays musulman.

Ces traîtres avaient instauré en France, officieusement, une véritable Religion d’État. C’était la Religion des Droits de l’homme, de l’Antiracisme et de la Liberté d’Expression.

Je vous vois venir avec vos gros sabots… vous vous dites, la France, ça devait être le Paradis Terrestre, le Jardin d’Eden.

Sur le papier, tout cela semblait en effet merveilleux, sauf qu’il y avait un hic…  un très gros hic…

Je vais vous expliquer, vous allez tout comprendre.

On pouvait par exemple, et c’était approuvé par tous les « intellectuels » et par la Presse, vomir sur le christianisme, mettre des excréments et de l’urine sur la croix de Jésus. Le public bobo applaudissait à tout rompre et en redemandait encore. On appelait ça de la « Créativité Artistique ». Ce genre de blasphème était protégé par la Liberté d’Expression.

Par contre, le petit artiste raté en manque d’inspiration qui se serait avisé de pondre une version analogue avec l’islam – disons le Shit Coran ou le Piss Mahomet – aurait été immédiatement traîné devant les tribunaux et aurait dû répondre d’accusations graves d’incitation à la haine raciale. Il aurait eu sur le dos SOS Racisme, la LICRA, MRAP, LHD, HALDE, et une bonne trentaine d’autres associations antiracistes. Tout cela bien entendu sans tenir compte la fatwa qu’on aurait mis sur sa tête.

Maintenant, imaginons l’individu qui avait tué un Juif. Il s’agissait donc d’un meurtre. Mais le caractère aggravant antisémite de l’assassinat faisait que l’acte atteignait le 9 sur l’échelle de Richter. Cela n’arrivait donc que très très rarement, car la tête brûlée qui commettait un tel délit prenait facilement la perpétuité.

Il arrivait aussi, très rarement également, qu’un Noir ou un Arabe soit assassiné par un Blanc. Encore une fois, ce type de meurtre était fortement aggravé en raison de son caractère raciste, mais un peu moins cependant que le cas antisémite. Disons 7 à 8 sur l’échelle de Richter.  Une fois encore, l’auteur pouvait s’attendre à écoper d’une très lourde peine.

Finalement, il y avait l’autre cas de figure, celui qui arrivait presque quotidiennement en France, c’en était d’ailleurs devenu aussi banal que les histoires de chats écrasés.

Un groupe de Noirs, ou d’Arabes, ou un mélange des deux, massacrait un jeune Blanc.

Les sismographes de l’époque n’étaient pas assez précis pour mesurer, sur l’échelle de Richter, l’intensité de ce type d’agression.

Ça commençait presque toujours par un prétexte futile : on demandait au Blanc une cigarette, ou son portable pour passer un coup de fil urgent.

Si le Blanc avait le malheur de refuser, on lui exposait la gueule, on lui niquait sa race. Le céfranc finissait souvent par décéder après avoir passé quelques jours dans le coma.

Généralement, les auteurs – dans la mesure où les keufs réussissaient à les arrêter – comparaissaient libres devant les tribunaux sous l’accusation de « violences en réunion ayant entraîné la mort sans intention de la donner ».

Parfois aussi, le juge bobo – comme ils disaient dans le temps – estimait qu’il s’agissait simplement d’un « jeu entre gamins qui avait mal tourné ».

La justice de l’époque était à chaque fois totalement incapable, à cause des témoignages contradictoires des divers accusés et de l’absence de témoins directs, de déterminer qui avait fait quoi exactement.

En général, la Cour relâchait immédiatement un certain nombre d’inculpés, faute de preuves, et les autres écopaient de peines légères avec sursis. Bref, personne ne mettait jamais les pieds en taule. Il faut vous rappeler qu’à cette époque, en France, les peines d’emprisonnement de moins de deux ans n’aboutissaient pas forcément à une incarcération.

Bon, voilà, c’est assez pour aujourd’hui, je poursuivrai une autre fois, maintenant faut que j’aille fêter la nouvelle année !

Inch Allah !!!

Jean Leclerc alias Mouloud

Source: http://ripostelaique.com/

05/07/2011

La machine à voir dans le temps…

Un peu d’humour pour commencer cette journée… Vous pouvez transmettre.

FDF

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La machine à voir dans le temps
Le président des États-Unis Barak Obama et le président Français Sarkozy
étaient à une présentation d’une machine à voir dans le temps qui
permettait de voir dans 100 ans dans le futur.
Tous deux décidèrent de l’essayer en posant une question chacun.
Le président Obama commença : « Comment seront les USA dans 100 ans ? »
La machine vibra, sonna, se mit en fonction et il prit le résultat imprimé,
il le lit :
« Le pays est en de bonnes mains avec un président républicain, il n’y a
plus de crimes, il n’y a plus de conflits, les Talibans sont battus, la
Corée du Nord est une démocratie, l’économie est en bonne santé. Il n’y a pas de problèmes ».

Le président Sarkozy pense alors, « Cette machine semble pas mal. Je
vais l’essayer ».
Il demande : « Comment sera la France dans 100 ans ? »
La machine vibra, sonna, se mit en fonction et il prit le résultat imprimé.
Mais il ne fit que le regarder et le mit dans sa poche.
« Vas-y Nicolas,» dit Obama, « dis nous ce qui est écrit. »

«Je ne peux pas, c’est écrit en Arabe. »

20/05/2011

En France, à Lille, les collabos du PS banalisent l’islam à l’école…

Une petite vidéo pour vous rafraîchir la mémoire… En ces périodes où l’on parle beaucoup du Parti Socialiste…

Marine; VITE !!!

FDF

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Lire:

20/04/2011

Humour…

Reçu par mail. C’est une nouvelle version, tellement réaliste… Ce ne sont pas les caisses d’allocations ni le Pôle Emploi qui vont s’en offusquer. A bien lire jusqu’au bout…

FDF

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Ici: Arabe arrive à Paris

02/03/2011

« La France est le premier pays arabe en dehors du monde arabe ».

Et le con qui a osé dire ça est le tristement célèbre Malek Boutih (http://fr.wikipedia.org/wiki/Malek_Boutih), l’ex roi du testing chez SOS Racisme… Il aurait fait fureur (pas fait exprès…) du temps de la Gestapo… Ca ne m’étonne plus que ses « cousins » s’y croient déjà, en pays conquis.

FDF

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Voir ici: http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=JcLcN-aNDl8#at=29


Source: C dans l’air sur France 5, le 28 février 2011.


15/02/2011

Enseignement « orientalement orienté »: ça ne plait pas à tout le monde.

Et fort heureusement. Il y a de quoi être « heurtés » pour les sous-chiens parents d’élève, n’est-ce pas les muzz?

Personnellement, ce n’est pas une lettre anonyme que je lui aurais envoyé. Je serais venu en personne lui affirmer le fond de ma pensée et lui conseiller d’aller enseigner plutôt dans une école coranique.

FDF

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L’instit enseigne une berceuse en arabe : des parents protestent avec une lettre anonyme.

Plusieurs parents n’ont pas apprécié que leurs enfants apprennent et chantent  en classe les paroles en arabe  de la berceuse du film d’animation “Azur et Asmar” du réalisateur Michel Ocelot. Ils refusent que leur enfant la chante pour le spectacle de fin d’année.

Un courrier anonyme dénonçant ce choix pédagogique  de l’école a été distribué aux parents du regroupement pédagogique intercommunal de la commune Pin et de Saint-Pons-la-Calm. Le maire du Pin, également président du syndicat intercommunal du regroupement,  se dit choqué par ce courrier qu’il a lui-même reçu.


Source: http://www.midilibre.com/

28/12/2010

J’ai encore un nouveau pote !!!

Bon. Il cause « mal la France » mais on sent bien qu’il l’aime… Et moi aussi, il m’aime, apparemment. Preuve à quel point il était absent le jour où l’on a distribué le « savoir écrire français », les fautes d’orthographe dont il a truffé son commentaire… Encore une « chance pour la France », je pense. On a son IP (anonyme, qu’il signe, ce con…), son adresse mail, il nous offre le bâton pour se faire battre. Merci de me laisser commencer le premier.

Il n’y a que la vérité qui blesse mon pote! Rentre au bled, ça nous fera de l’air!

FDF

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Voici son agréable commentaire; ça fait chaud au coeur, non?

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Auteur : anonyme (IP : 88.178.169.197 , 88.178.169.197)
E-mail   : andeil@hotmail.fr
Adresse :
Whois  : http://whois.arin.net/rest/ip/88.178.169.197
Commentaire :

sale raciste c est pas parceque une majoriter des arabe et non musulman je sousigne que vous dever mettre vos propos raciste ainsi que vos imageet photo vous etes qune pourriture

14/08/2010

Racisme annoncé du futur Etat de Palestine !

Beau temps… grisaille. Vous êtes en congé ou, comme la moitié de la population française, vous n’avez pas pu partir. Sur la plage ou au bureau, prenez le temps de lire les lignes qui suivent.

Primo a reçu l’autorisation de Shmuel Trigano de vous communiquer ce tout nouvel article. L’apartheid n’est pas toujours là où on le prétend.

Un éditorial flamboyant !!!


Dans une rencontre avec la presse égyptienne, la semaine dernière, Mahmoud Abbas, président de l’Autorité Palestinienne, sur qui les Etats-Unis et l’Europe fondent tous leurs espoirs de paix, a dévoilé le fond de sa pensée sur les Juifs et la nature du régime qu’il entend instaurer dans un éventuel Etat de Palestine.

Les exigences officielles des Palestiniens pour un règlement sont connues (engagement préalable d’Israël à se retirer sur les frontières de 1967, l’arrêt de la construction dans les implantations, y compris à Jérusalem, la division de cette ville – l’Est, y compris la Vieille Ville, devant revenir à la Palestine -, la solution du problème des “réfugiés”, conforme aux exigences arabes et à la résolution 194 (1) de l’Assemblée des Nations unies) (2).

C’est l’intention qui fonde le principe, énoncé déjà à maintes reprises par Abbas ou Saeb Erekat, son “ministre” des affaires étrangères, de ne jamais reconnaître en Israël un Etat juif, qui prend sa véritable signification, à savoir une véritable épuration ethnique des Juifs, de la part de l’Etat de Palestine, et la submersion arabo-musulmane de l’Etat d’Israël.

Un discours antisémite

En envisageant la possibilité qu’une troisième force, comme l’OTAN, puisse être chargée de veiller à l’exécution de l’accord envisagé, Mahmoud Abbas s’est senti obligé d’y mettre une condition : qu’il n’y ait aucun soldat juif et aucun Israélien.

“Je suis prêt à accepter une troisième partie qui contrôle l’exécution de l’accord, par exemple les forces de l’OTAN, mais je n’accepterai pas qu’il y ait des Juifs dans ces forces ni un Israélien sur la Terre de Palestine”.

L’inanité de toutes les gloses sur le refus de reconnaître un Etat juif (on n’a pas à reconnaître “la religion” d’un pays, disaient certains pacifistes), et autres excuses dilatoires, devient patente.

C’est bien de racisme antisémite qu’il s’agit de la part d’un homme qui fut l’auteur d’une thèse (soviétique) de doctorat négationniste de la Shoah.

Quand Mahmoud Abbas dit “Israélien” il pense clairement “Juif” si l’on fait le rapprochement avec ce qu’il demande aux forces de l’OTAN, à savoir : d’exclure les Juifs de leurs rangs.

Tous les Juifs, en effet, ne sont pas de nationalité israélienne mais des nationaux de leurs pays respectifs. Sans doute accepterait-il des Arabes israéliens – déjà considérés comme citoyens potentiels ? – dans le futur Etat de Palestine ?

Si l’on fait le rapport entre son exigence du retour des “réfugiés” de 1948 et le refus de reconnaître un Etat juif, on comprend bien que sa demande, abusive et exorbitante (3), est un paravent politiquement correct du refus réel de reconnaissance de l’Etat d’Israël.

Sous le poids de 5 millions de réfugiés ce pays deviendra ipso facto – en plus d’une ruine cédant sous le poids déferlant d’un tel afflux de populations (ennemies) -, un pays à majorité arabe et musulmane, un Etat binational où les Juifs deviendraient une minorité, alors que la Palestine sera uniquement arabe.

Pas un Juif, même sous la bannière de l’OTAN ou de l’ONU, ne pourra se trouver en Palestine, mais 5 millions d’Arabes s’ajouteront au million d’Arabes israéliens vivant déjà dans l’Etat d’Israël.

L’Autorité palestinienne concocte en fait pour l’Etat qu’on la presse de fonder un régime raciste sur la base d’un apartheid entre une Palestine pure de sang juif et un Etat d’Israël mélangé où les Juifs deviendront une minorité.

Dans le refus de l’Autorité palestinienne de reconnaître un Etat juif, il y a donc plus qu’un déni de l’histoire et de l’identité juives. L’OLP a abandonné, sur ce point, son bluff d’une “Palestine laïque et démocratique” des années 1980-1990, à moins que cette dénomination ne concerne désormais l’Etat d’Israël seul, à côté de l’Etat de Palestine.

Un racisme d’Etat

La Palestine, elle, sera arabe et musulmane. C’est ce qui est inscrit en toutes lettres dans le projet de constitution du futur Etat (4) :

« Cette constitution se fonde sur la volonté du peuple arabe palestinien » (Art. 1), « le peuple palestinien est une partie des nations arabes et islamiques » (Art. 2), « la souveraineté appartient au peuple arabe palestinien » (Art. 10), « le caractère légal du peuple arabe palestinien sera incarné par l’Etat » (Art. 13). « L’islam sera la religion officielle de l’Etat » (Art. 6).

Nous pouvons vérifier ce dernier principe (l’islamité de l’Etat) à la lumière de l’opération de diversion rhétorique (l’article 6) à laquelle se livrent les rédacteurs de cette constitution, lorsqu’ils font mine de faire une place aux non-musulmans :

« L’islam sera la religion officielle de l’Etat. Les religions monothéistes seront respectées ».

Qui sont ces étranges “monothéistes” (et quid des Indous, des confucianistes, des bahaïs, etc., interdits de séjour en Palestine ?) sinon une version politiquement correcte du vieux statut de dhimmi imposé aux non-musulmans par la loi coranique (5) ?

En l’occurrence, il ne s’agirait que de chrétiens, puisque des Juifs, il ne devra plus y en avoir dans l’Etat de Palestine…

Cet étrange statut de “monothéiste” nous aide à comprendre, par déduction, la vision que l’Autorité Palestinienne se fait de l’Etat d’Israël (entendez des Juifs israéliens).

En Palestine, les Juifs ne seraient théoriquement pas des citoyens, car ils ne sont ni « Arabes » (clé de la nationalité palestinienne, selon les articles 10 et 13), ni « musulmans » (clé de la loi nationale palestinienne selon l’article 6) ; ils seraient, quoique « respectés », hors souveraineté nationale, privilège exclusif des Arabes (art. 10), qui peuvent être chrétiens ou musulmans, certes, mais avec cette réserve que, puisque la loi sera conforme à la loi islamique, les Arabes chrétiens ne seront que des citoyens de seconde zone.

Ils seront soumis au statut que leur impose la loi coranique, un statut qui les exclut de la loi générale s’appliquant aux musulmans, assorti d’un “privilège” cependant : comme ils échappent aux règles du droit national (islamique) pour leur statut personnel, ils sont autorisés à le gérer de façon autonome, dans le cadre de leur loi et de leurs tribunaux religieux.

C’était déjà le cas avant l’ère coloniale, avant que l’islam ait perdu tout pouvoir sur les non-musulmans, et c’est bien ce que prévoit la constitution palestinienne dans son article 7 :

« les principes de la Shari’a islamique sont la source première de la législation. Le pouvoir législatif déterminera la loi du statut personnel sous l’autorité des religions monothéistes conformément à leurs confessions, dans le respect des dispositions de la constitution et de la préservation de l’unité, de la stabilité et du progrès du peuple palestinien (sous-entendu “musulman”) ».

La Sharia ne pèse sur eux que pour leur statut “civil” et politique d’obligés (soumission politique, comportementale et religieuse, paiement d’une capitation, la djizya, ou d’un impôt foncier sur la terre dont ils ont été dépossédés, le kharadj, etc).

Comment le statut du monothéiste nous renseigne-t-il sur la vision que l’Autorité Palestinienne a de ce que devrait être cet Etat d’Israël qu’elle ne veut pas reconnaître comme ”juif” ? Elle reconnaîtrait les “monothéistes” mais pas le caractère juif de cet Etat ? “Juif” ne désignerait donc pas à ses yeux un “monothéiste” ?

C’est la compréhension du statut du dhimmi qui peut nous aider à comprendre cette apparente contradiction qui a tout d’une entourloupette pour ceux qui ne comprennent pas les catégories de la culture musulmane.

Le statut du dhimmi, il faut en effet le savoir, n’est pas individuel mais concerne des collectivités, des “nations” (millet, du temps des Ottomans) politiquement soumises au pouvoir islamique depuis la “conquête”.

La base théologique de la condition collective du dhimmi demande à être expliquée.

Dans la vision coranique, il y a eu, en effet, dans l’histoire, différentes “oumma”, chacune se levant à l’appel d’un prophète (Moïse, Jésus, etc.), jusqu’à l’avènement de la oumma finale, rassemblant toutes les autres, à l’appel de l’islam.

Le fond d’une oumma est donc une “religion”. En ce sens, les dirigeants palestiniens ne peuvent pas non plus reconnaître en droit un Etat juif (et en fait tout Etat qui ne serait pas musulman), ce qui impliquerait l’autodétermination et la souveraineté d’une collectivité, dont le seul statut possible sous l’islam est celui de dhimmi.

Il y aurait là un défi à la oumma islamique.

Un Etat juif constitue ainsi dans son essence un scandale. Si les Juifs n’ont pas de place en Palestine dans l’Etat d’Israël, par contre, ils seront, par la force des choses, voués à redevenir des dhimmis.

Les deux termes Etat et Juif constituent donc, en matière théologico-politique, un alliage impossible. Les Juifs ne peuvent avoir d’Etat, ils ne sont pas un peuple de rang politique, puisque seule la oumma doit l’être. Ils ne peuvent pas être libres, ni souverains.

La Charte de l’OLP est toujours valide (6)

Cette perspective apparaissait beaucoup plus clairement du temps où l’OLP ne pratiquait pas le double langage à un point aussi sophistiqué. Que lit-on dans cette charte ?

« La Déclaration Balfour, le Mandat pour la Palestine, et tout ce qui a été fondé sur eux, sont déclarés nuls et non avenus. Les prétentions à des liens historiques et religieux des Juifs avec la Palestine sont incompatibles avec les faits historiques et la véritable conception de ce qui constitue une nation. Le judaïsme, étant une religion, ne constitue pas une nationalité indépendante. De même que les Juifs ne constituent pas une nation unique avec son identité propre ; ils sont citoyens des Etats auxquels ils appartiennent » (Art. 20).

Sur l’arabité exclusive de la Palestine, la même charte déclarait:

« la Palestine est le foyer du peuple arabe palestinien ; c’est une partie indivisible du foyer arabe, et le peuple palestinien est une part intégrale de la nation arabe (Art. 1) […] « L’unité arabe et la libération de la Palestine constituent deux objectifs complémentaires » (Art. 13) […] « Le peuple de Palestine joue le rôle d’avant-garde dans la réalisation de ce but sacré ».

On découvre à ce propos combien le cadre strictement palestinien, “national”, est récent.

« Le peuple palestinien croit en l’unité arabe. Afin de contribuer pour sa part à atteindre cet objectif, il lui faut cependant, à cette étape de sa lutte, sauvegarder l’identité palestinienne et développer sa conscience de cette identité, et s’opposer à tout plan qui pourrait la dissoudre ou lui faire obstacle » (Art. 12), car (Art. 1) : « la Palestine est le foyer du peuple arabe palestinien ; c’est une partie indivisible du foyer arabe, et le peuple palestinien est une partie intégrale de la nation arabe ».

La Palestine appartient donc à la Oumma (qui ne peut renoncer à une partie de la terre islamique).

Autorité Palestinienne et Hamas: deux versants d’une même tête

Il est intéressant de souligner que, dans leurs documents constitutionnels, les frères ennemis écrivent la même chose des Juifs/Israéliens, quoique de façon plus abrupte dans le cas du Hamas.

Qu’on en juge.

Sur les dhimmis la charte du Hamas déclare que

« le Mouvement de la Résistance Islamique… est guidé par la tolérance islamique quand il traite avec les fidèles d’autres religions. Il ne s’oppose à eux que lorsqu’ils sont hostiles. Sous la bannière de l’islam, les fidèles des trois religions, l’islam, le christianisme et le judaïsme, peuvent coexister pacifiquement. Mais cette paix n’est possible que sous la bannière de l’islam » (7).

Sur la nature du pays palestinien, le Hamas avance que :

« Le Mouvement de la Résistance Islamique croit que la Palestine est un Waqf [patrimoine religieux] islamique consacré aux générations de musulmans jusqu’au Jugement Dernier. Pas une seule parcelle ne peut en être dilapidée ou abandonnée à d’autres […] (Art. 11).

En quoi s’agit-il de racisme et pas de nationalisme ?

Certains pourraient voir dans le qualificatif de “raciste” une expression polémique et idéologique. L’exigence de Mahmoud Abbas envers l’OTAN ne laisse aucun doute à ce propos. De quoi s’agit-il en effet quand il demande aux Etats européens, membres de l’OTAN, d’exclure des rangs de leurs forces leurs citoyens juifs ? Imagine-t-on la situation et les dispositifs juridiques que ces Etats devraient mettre en oeuvre pour écarter les Juifs de leurs citoyens ?

En l’occurrence, Mahmoud Abbas ne les aide pas en définissant le critère du Juif : la loi religieuse, les origines ethniques, le père, la mère, le grand père ?

Il frappe plus fort que l’Arabie saoudite, qui avait permis qu’au sein des forces américaines, lors de la guerre du Golfe en 1990-1991, il y ait des militaires américains juifs sur son territoire qui, pourtant, selon le Coran, est sacré et ne doit abriter aucun non-musulman. Remarquons qu’Israël, pour sa part, n’a jamais requis que dans les forces internationales au Golan, au Sinaï, et au Liban les musulmans soient bannis!

Dans tous ces cas, il n’est pas question d’Israéliens, mais de Juifs, et l’on comprend que les Palestiniens ne font pas, dans leur immense majorité de distinguo : “Yahoud” [Juif], dans cette région, désigne sans hésitation l’“Israélien”.

Ce que Abbas dit des Juifs, il le dit des Israéliens, comme on l’a vu, et il demande aux Européens, qui sont si complaisants avec lui, de s’aligner sur ses critères.

La Charte palestinienne de l’OLP est plus explicite, là aussi, sur l’intention raciste.

Elle écrit dans son article 23:

« Le besoin de sécurité et de paix, ainsi que le besoin de justice et de droit, requièrent de tous les Etats qu’ils considèrent le sionisme comme un mouvement illégitime, qu’ils déclarent illégale son existence, qu’ils interdisent ses opérations, afin que les relations amicales entre les peuples puissent être préservées, et que la loyauté des citoyens envers leurs pays respectifs soit sauvegardée ».

Que désigne cette expression ampoulée de “loyauté des citoyens envers leurs pays respectifs” sinon les Juifs du monde entier (essentiellement les Etats occidentaux), non israéliens, que la charte désigne au soupçon et à la vindicte de leurs Etats respectifs, en laissant entendre qu’ils ne leur sont pas fidèles et pourraient prendre fait et cause pour Israël contre l’intérêt de leurs pays respectifs, qu’ils sont en fait des Israéliens, c’est-à-dire, plus crûment, des Juifs (8) ?

Ils sont justement peints dans les traits classiques de l’antisémitisme: le complot juif mondial.

L’article 22 de la Charte trace ainsi les frontières de sa forme « antisioniste”:

« Le sionisme est un mouvement politique lié de façon organique à un impérialisme international et antagoniste à toute action pour la libération et à tout mouvement progressiste dans le monde. Le sioniste est raciste et fanatique dans sa nature, agressif, expansionniste, colonial dans ses buts, et fasciste dans ses méthodes. Israël est l’instrument du mouvement sioniste, et la base géographique de l’impérialisme mondial placé stratégiquement au sein du foyer arabe pour combattre les espoirs de libération, d’unité, et de progrès de la nation arabe.

Israël est une source constante de menaces pour la paix au Moyen-Orient et dans le monde entier.

Puisque la libération de la Palestine détruira le Sionisme et la présence impérialiste et contribuera à l’établissement de la paix dans le Moyen Orient, le peuple palestinien demande l’aide de toutes les forces progressistes et tournées vers la paix, et leur enjoint, sans distinction d’affiliation et croyances, d’offrir leur aide et leur soutien au peuple palestinien dans sa lutte pour la libération de sa patrie ».

La passivité internationale et… israélienne

Les propos de Mahmoud Abbas sont passés inaperçus, à moins que le monde entier ne sache à quoi s’attendre des Palestiniens “modérés” ; mais alors, pourquoi fait-on croire à la volonté de paix palestinienne et au mythe de la “modération” de Abbas?

Aucune réaction israélienne, européenne ou américaine, pour ne pas dire française, n’a condamné ces propos odieux. Aucune réaction de protestation des institutions juives européennes et américaines non plus n’est venue troubler la torpeur de l’été.

Aucune réaction du gouvernement israélien. Où sont les belles âmes de J Call pour fustiger cette “faute morale” et cette déclaration ouvertement belliciste ?

Cela donne une idée de la complaisance de ces gens envers les exigences palestiniennes et arabo-musulmanes et de leur désintérêt pour l’impasse dans laquelle ils veulent précipiter Israël et le monde juif dans son ensemble.

© Shmuel Trigano. Publié avec de l’autorisation de l’auteur.

Sources de l’article:
Jonathan Halevy, “Abou Mazen dévoile son approche raciste du peuple juif”. JCPA, 1/8/2010.Texte en hébreu ici.
Shmuel Trigano, “Le refus palestinien d’un Etat juif”, in Controverses 7/2008. Dossier téléchargeable.

Notes

(1) La résolution 194 a été adoptée le 11 décembre 1948 par l’Assemblée générale des Nations unies. Elle est donc non contraignante comme celles du Conseil de sécurité. Elle décide: « qu’il y a lieu de permettre aux réfugiés qui le désirent, de rentrer dans leurs foyers le plus tôt possible et de vivre en paix avec leurs voisins, et que des indemnités doivent être payées à titre de compensation pour les biens de ceux qui décident de ne pas rentrer dans leurs foyers et pour tout bien perdu ou endommagé lorsque, en vertu des principes du droit international ou en équité, cette perte ou ce dommage doi[ven]t être réparé[s] par les gouvernements ou autorités responsables. »

(2) C’est ce qu’il avait proposé à Olmert, mais les négociations avaient buté sur l’échange de territoires. Pour Olmert, elles devaient concerner 6,5 % de la Cisjordanie, alors que les Palestiniens ne souhaitaient pas aller au delà de 1,9 %. Olmert, en somme, était d’accord sur le reste.

(3) C’est le seul cas de l’histoire où le statut de réfugié devient héréditaire et où une institution comme l’UNWRA a été créée spécifiquement pour les Palestiniens, là où tous les réfugiés de la planète dépendent du Haut Commissariat des réfugiés de l’ONU. Ainsi, les 600 000 réfugiés de 1948 sont-ils devenus 5 millions et plus en 2010. Cette mascarade terminologique cache le fait que les Etats arabes n’ont pas voulu les intégrer comme cela s’est passé pour les dizaines de millions de réfugiés que le monde à connus depuis la fin de la Deuxième Guerre mondiale, à commencer par Israël, qui a intégré les 600 000 juifs chassés des Etats arabes.

(4) Palestinian Center for Policy and Survey Research (PSR) : Palestinian draft constitution. Prepared by The Constitution Committee in cooperation with the Konrad Adenauer Foundation.

(5) Qui les définit comme les « gens du Livre ».

(6) La Charte de l’Organisation de Libération de la Palestine (1968) n’a jamais été formellement abrogée par un vote aux ¾, comme le stipulent ses clauses, malgré le processus d’Oslo.

(7) Art. 31, 18 août 1988.

(8) A ce propos, il était important que le juge Goldstone soit Juif pour cacher ce travers : un Juif condamnant Israël, certificat de non-racisme pour le bloc arabo-musulman, qui sait ce qu’il est, entraîné par l’Organisation de la Conférence Islamique sur la scène de l’ONU.

08/08/2010

J’irai dormir chez vous aux USA (ou comment la France est perçue dans le monde).

Eh ben. On passe encore pour de beaux Guignols… Et la faute à qui? Toujours les mêmes…

FDF

Lire: http://www.youtube.com/watch?v=CbJLZ-Wa0qs

26/07/2010

L’Histoire de France menacée à l’école. Au profit de quoi?

Quand on pense que certains connards souhaitent que l’arabe passe « en première langue » dans nos établissements scolaires…

FDF

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25/07/2010

Touche pas à l’Histoire de France!

Après le général de Gaulle, Napoléon Ier est le personnage historique préféré des Français. Demain, au collège, l’étude de ses victoires et défaites ne sera plus obligatoire et restera à l’appréciation des professeurs.

Plus qu’une question c’est le SOS que lance l’historien Dimitri Casili. Il condamne en effet les nouveaux programmes scolaires appliqués au collège, qui s’ouvriraient aux civilisations étrangères au détriment de l’histoire franco-française. « En septembre, les manuels de 5e consacreront 20 pages à l’Afrique sous le Moyen âge (empires Songhaï et du Monomotapa) ce qui ne laissera plus que 8 pages dédiées à Louis XIV. C’est un pur scandale. »

L’écrivain ne rejette pas le principe d’ouverture aux civilisations étrangères, « mais trop c’est trop. L’an prochain, en 5e, Clovis, Saint-Louis et François Ier passent à la trappe. Pire encore : Louis XIV ne sera plus abordé en 4e mais en fin de 5e. On sait que les profs ont toujours du mal à terminer le programme, et les enfants risquent ainsi de zapper complètement Versailles, la cour du Roi Soleil, etc., bref un pan essentiel de notre Histoire de France ».

Autre personnage en souffrance, Napoléon Ier : « La période 1804-1815 disparaît du programme de 4e. » Adieu Austerlitz, Iena, Wagram : c’est la Bérézina…

« Voilà un mauvais procès », s’insurge Laurent Wirth, doyen du groupe histoire-géographie de l’inspection générale de l’Education nationale. Pour le ministère, « l’Histoire de France n’est pas sacrifiée, mais nous adaptons les programmes pour éviter la course aux événements. Le déroulé chronologique complet était devenu impossible ». Au contraire, les nouveaux programmes « s’ouvrent aux autres civilisations et laissent aux professeurs le choix d’insister sur telle ou telle période ».

Selon l’administration, le contenu des cours d’histoire était trop lourd en 4e, d’où le redéploiement de Louis XIV sur la 5e, pour consacrer davantage de temps l’année suivante aux XVIIIe et XIXe siècles, donc à la Révolution et à l’Empire. Napoléon garderait donc toute sa place, mais dans des thèmes précis, le ministère se retranchant à nouveau derrière « la liberté pédagogique » octroyée aux profs.

Un risque persiste : celui d’une Histoire de France à la carte, différente d’une classe à l’autre, avec ou sans François Ier. Adieu 1515 et Marignan : prière de s’adresser désormais à Annie Cordy…

« Il n’y aura pas de perte de repères. Les compétences nécessaires à l’obtention du brevet des collèges resteront le même », martèle Paris. Pas de quoi rassurer les profs et parents d’élèves qui, depuis des années, accusent l’Education nationale de lâcher prise sur l’Histoire de France.

Une matière jadis sacralisée par l’école de la République et aujourd’hui marginalisée. La preuve ? Nos anciens se souviennent encore des grandes dates et des rois de France. Et ils peuvent de mémoire donner des leçons aux ados d’aujourd’hui…


Le chiffre : 25

% > En classe de 4e. Selon le ministère de l’Education nationale, l’étude de la Révolution et de l’Empire occupera 25 % des cours d’histoire. « Il n’y aura donc aucun sacrifice », se défend-on rue de Grenelle.


La phrase

« Il faut que les programmes scolaires s’ouvrent au monde. Avant, on n’avait rien sur la Chine, l’Inde ou l’Afrique. Pourtant aujourd’hui leur place est considérable.»

Laurent Wirth, historien, inspecteur général de l’Education nationale


Polémique

Quand les profs « évitent les sujets qui fachent»

« Nouveaux programmes scolaires, nouveaux horaires, des profs d’histoire qui sont désabusés, des élèves qui ne comprennent plus rien, qui n’ont plus les repères chronologiques minimums : à l’école, l’Histoire de France est clairement en danger. Je pèse mes mots : nous sommes face à une ca-ta-strophe. »

Ce constat, sans appel, émane d’une spécialiste. Patricia Crété est rédactrice en chef d’ Historia, un magazine de référence qui est entré en croisade pour réhabiliter l’histoire dans l’enseignement secondaire. Un combat entamé cet été, et que le mensuel poursuivra jusqu’à l’automne.

« Le changement des programmes pose effectivement problème, précise la journaliste. Je prends un simple exemple, la disparition de la civilisation égyptienne du programme de 6e. C’est aberrant car les momies, les pharaons, les pyramides, tout cela parlait aux jeunes. En 5e, Jeanne d’Arc est édulcorée, et les Guerres de religion passent carrément à la trappe. » En cause, selon elle, une européanisation voire une mondialisation de l’histoire poussée à l’extrême. « On va beaucoup trop loin », bien au-delà des frontières françaises. « On peut certes donner une ouverture sur l’étranger à l’Histoire de France, ajoute-elle, mais on ne doit rien lâcher sur les grands personnages de notre pays. Nos responsables ont trop joué sur cette ouverture, et surtout tenté d’éviter les sujets qui fâchent. » Sur le terrain, les profs constatent en effet qu’il est parfois difficile d’aborder des sujets sensibles (les religions, la colonisation, par exemple) pour éviter toute levée de bouclier émanant de certains élèves.

Autre inquiétude, le niveau des professeurs d’histoire-géographie qui serait en baisse. « La formation des futurs profs est partie à vau-l’eau, complète Patricia Crété. En première année de fac d’histoire, on retrouve souvent des étudiants ayant trop peu de connaissances. Dans les amphis on commence même par des dictées – ils ont en effet de gros problèmes d’orthographe – et par des rappels chronologiques de base.»

« Il y a péril en la demeure. Sauf les plus curieux, plus aucun gamin ne connaît l’Histoire de France. Je ne les incrimine pas : au fil des années ils ont tout survolé, et finalement rien appris. C’est pourtant fondamental de connaître nos racines. Il faut que les enfants se réapproprient cette culture commune, je pense aussi au drapeau bleu-blanc-rouge, à l’hymne national. A l’étranger, on ne badine pas l’histoire du pays. En France, en revanche, on marche sur la tête : déclarer en classe que les Gaulois sont nos ancêtres est devenu politiquement incorrect ! » A Alésia, la statue de Vercingétorix en tremble encore…


Interview de Denis Tillinac, écrivain

« Notre mémoire est agressée »

L’Histoire de France est-elle en danger à l’école ?

Oui, depuis au moins soixante ans ! Le problème de fond est que notre mémoire nationale est aujourd’hui agressée, concassée. La mythologie identitaire nationale forgée par les instits, ces fameux Hussards noirs de la République, est attaquée. A travers la repentance, liée aux lois mémorielles

[NDLR : nécessité d’aborder l’esclavage, le colonialisme… sujets jadis masqués des programmes scolaires] on aboutit à une survalorisation des minorités. Oui, Louis XIV a institué le Code noir, certes Napoléon a rétabli l’esclavage, mais ces deux personnages doivent rester des gloires nationales. On vit aujourd’hui une occultation mensongère des racines catholiques de la culture française.

Source: http://tinyurl.com/22nnwfh