C’est aujourd’hui, le 11/11/11; et il est 11h11…
Et les superstitieux (ses) pensent qu’il va arriver de bonnes choses; d’autres, de mauvaises choses.
Du moment qu’il ne nous arrive pas ça:
FDF
C’est aujourd’hui, le 11/11/11; et il est 11h11…
Et les superstitieux (ses) pensent qu’il va arriver de bonnes choses; d’autres, de mauvaises choses.
Du moment qu’il ne nous arrive pas ça:
FDF
Triste anniversaire… C’est ce genre de crimes que les intégristes de la « religion d’amour », de paix et de tolérance doivent payer !!! Pardon; pas que ceux là; tous ! Regrettable que la peine de mort ne soit pas en vigueur aux Pays-Bas… Ce fou d’Allah ( un « bienfait de l’immigration »), Mohammed Bouyeri, n’a pris QUE la perpétuité…
Le film qui a coûté la vie à Thé Van Gogh: http://tinyurl.com/3eocmos
FDF
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Mohammed Bouyeri/Theo Van Gogh
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Le 2 novembre 2004 à Amsterdam, le réalisateur néerlandais Theo Van Gogh est assassiné dans la rue par l’immigré marocain Mohammed Bouyeri. Bouyeri blesse Van Gogh avec une arme à feu, puis l’achève en tirant de nouveau. Au total, huit balles atteignent le réalisateur. Le Marocain l’égorge, le décapitant presque. Puis, il lui plante deux couteaux dans la poitrine.
Au cours de son procès, Bouyeri se dit prêt à recommencer, puisque, selon le Coran, tout bon musulman a le devoir de combattre les ennemis de l’Islam.
Le crime de Theo Van Gogh ? Avoir réalisé deux mois plus tôt, avec Ayaan Hirsi Ali, un court-métrage (vidéo ci-dessous) intitulé « Soumission » sur la situation de la femme en terre d’Islam.
[cc] Novopress.info, 2011, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d’origine [http://fr.novopress.info/]
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Moins d’un siècle après la mort de Mahomet, ses guerriers avaient atteint l’Espagne et le Languedoc actuel (cette province s’appelle alors Septimanie, d’après ses sept villes principales).
À la tête de ses troupes, composées d’Arabes ainsi que de Berbères fraîchement convertis à l’islam, Abd el-Rahmann pille Bordeaux et projette de remonter jusqu’au riche sanctuaire de Saint-Martin de Tours. Il a l’intention de s’en approprier les richesses avant de s’en retourner au sud des Pyrénées.
Le duc Eudes appelle à son secours les Francs qui vivent au nord de la Loire. Leur chef accourt. Celui-ci, du nom de Charles Martel, est issu d’une puissante famille franque d’Austrasie (l’Est de la France). Il exerce les fonctions de maire du palais (ou «majordome») à la cour du roi mérovingien, un lointain descendant de Clovis. Quelques années plus tôt, il a refait l’unité des Francs en battant ses rivaux de Neustrie à Néry.
Eudes craint avec raison que Charles Martel ne tourne désormais ses ambitions vers le Sud de la Loire. Il accepte malgré tout de rapprocher leurs deux armées pour faire face à la menace musulmane.
Devant l’avancée des armées de Charles Martel et Eudes, Abd el-Rahmann arrête sa progression. C’est à Moussais, sur la commune de Vouneuil-sur-Vienne, entre Poitiers et Tours, que se font face les ennemis. Pendant six jours, les cavaliers musulmans et les fantassins chrétiens s’observent et se livrent à quelques escarmouches.
Le 25 octobre 732, qui est aussi le premier jour du mois de Ramadan, les musulmans se décident à engager la bataille. Mais leur cavalerie légère et désordonnée se heurte au rempart humain que forment les guerriers francs, disciplinés et bardés de fer. Abd el-Rahmann meurt au combat et la nuit suivante, découragés, ses hommes plient bagage et se retirent.
Plus tard, les chroniqueurs français se sont fait un devoir d’exalter le souvenir de la bataille de Poitiers pour mettre en valeur Charles Martel, père de Pépin le Bref et grand-père de Charlemagne.
Reçu par mail…
FDF
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José CASTANO
Un peu d’Histoire ne nuit pas. Surtout quand elle concerne notre Patrie et ce qu’elle est devenue ces derniers temps…
FDF
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Le 5 décembre 1360, à Compiègne, le roi Jean II crée une nouvelle monnaie, le «franc», de même valeur que la monnaie existante, la livre tournois.
Jean II le Bon (c’est-à-dire le Brave) a été fait prisonnier à la bataille de Poitiers. Il a subi une longue captivité en Angleterre et son geôlier, le roi anglais Édouard III, lui a réclamé une énorme rançon, environ trois millions de livres tournois, soit 12,5 tonnes d’or.
Le royaume est ruiné et pour obtenir une partie de la rançon, Jean accepte une mésalliance avec le riche duc de Milan, Galéas Visconti. À ce marchand de médiocre extraction, il «vend» sa fille Isabelle contre 600.000 livres.
Édouard III accepte de libérer son prisonnier après un premier versement de 400.000 livres. Mais le roi de France doit s’engager à verser le reste et pour cela n’hésite pas à endetter son pays. C’est ainsi que, sur le chemin du retour, à Compiègne, il prend trois ordonnances. Il crée en premier lieu de nouvelles taxes et généralise l’impôt sur le sel, la gabelle. Le sel est un complément alimentaire vital et, qui plus est, en l’absence de réfrigérateur, il est, au Moyen Âge, indispensable à la conservation des viandes (les salaisons). La gabelle va devenir de ce fait incontournable et très impopulaire.
Pour faciliter le règlement de sa rançon, le roi crée en second lieu le «franc». La nouvelle pièce commémore sa libération comme l’indique son appellation (franc et affranchissement sont synonymes de libre et libération). «Nous avons été délivré à plein de prison et sommes franc et délivré à toujours», rappelle le roi dans son ordonnance. «Nous avons ordonné et ordonnons que le Denier d’Or fin que nous faisons faire à présent et entendons à faire continuer sera appelé Franc d’Or».
Le franc de 1360 est en or fin de 3,88 grammes. Il vient en complément de l’écu d’or qu’a introduit Saint Louis au siècle précédent, et de la livre tournois en argent. Il vaut une livre ou vingt sous tournois.
Le premier franc représente le roi à cheval avec la légende «Johannes Dei GratiaFrancorum Rex». Une version ultérieure du franc, en 1365, représentera le roi à pied (le «franc à pied»).
Jean II le Bon et son fils, le futur Charles V suivent en matière monétaire les recommandations de leur conseiller Nicolas Oresme. Dans son Traité des Monnaies (1370), ce clerc, philosophe et traducteur d’Aristote, prône une monnaie stable, garante de la puissance du souverain, capable de rivaliser sur les marchés avec le prestigieux florin de Florence, qui domine l’Europe depuis déjà un siècle.
Rappelons qu’au Moyen Âge, les pièces de monnaie tirent leur valeur de leur poids en métal précieux (or ou argent). Les pièces de différents pays peuvent circuler côte à côte sur les marchés, leur attrait dépendant de la confiance que le public accorde à l’émetteur. Si celui-ci est suspecter de tricher sur la quantité de métal précieux ou de laisser faire les faux-monnayeurs, sa monnaie tendra à être rejetée par le public et dévalorisée à son détriment.
Tandis que les Français s’échinent à payer au roi anglais la rançon pour la libération de son souverain, celui-ci revient en Angleterre comme prisonnier volontaire pour laver l’honneur d’un otage français qui s’était enfui sous prétexte d’un pèlerinage, son propre fils, Louis d’Anjou, pressé de rejoindre sa jeune épouse.
«Vous avez blêmi l’honneur de votre lignage», lance le roi à son trop malin rejeton. C’est en prison que meurt Jean II le Bon, le 8 avril 1364, tandis que son pays continue de payer la rançon liée à sa première libération !
La France, du Moyen Âge à la fin du XIXe siècle, se montre attachée au bimétallisme : pièces principales en or et subdivisions en argent.
Le franc poursuit une carrière à éclipses. La pièce de Jean II le Bon et de Charles V est frappée jusqu’en 1385. Une pièce du même nom mais en argent reparaît brièvement en 1576 sous le règne du roi Henri III. À partir de Louis XIII, le franc n’est plus qu’une unité de compte. Il disparaît au profit de la livre, elle-même divisée en 20 sous ou 240 deniers. Mais dans le langage courant, on continue de parler de franc plutôt que de livre.
Au XVIIIe siècle, on tente à deux reprises d’introduire des billets en sus des pièces, les billets étant gagés sur des richesses réelles ou à venir.
Ce sont les ressources de la colonie de Louisiane dans le premier cas (expérience de John Law, sous la Régence, en 1716-1720) et les biens enlevés au clergé et aux émigrés dans le second cas (création des assignats par l’Assemblée Nationale, au début de la Révolution, en décembre 1789).
Dans l’un et l’autre cas, les pouvoirs publics ne résistent pas à la tentation d’imprimer plus de billets qu’ils n’ont de richesses en gage.
Ces billets sans contrepartie sont très vite rejetés par le public et l’on en revient à chaque fois aux pièces d’or ou d’argent.
Les pièces en franc sont remises à l’honneur par la Convention, sous la Révolution.
Une loi du 7 avril 1795, confirmée le 15 août 1795, fait du franc l’unité monétaire de la France, en remplacement de la livre. La nouvelle unité monétaire, très simple d’emploi avec ses décimes, ses centimes et ses millimes, est immédiatement adoptée.
Le Premier Consul Napoléon Bonaparte lui donne une base stable par la loi du 7 Germinal an XI (27 mars 1803) qui définit la nouvelle pièce de 1 Franc par «5 grammes d’argent au titre de neuf dixièmes de fin». Une pièce en or de 20 francs est également créée sous le nom de Napoléon.
Bonaparte institue une Banque de France pour soutenir la nouvelle monnaie et développer la monnaie scripturale.
Le «franc germinal» va traverser avec succès le XIXe siècle, ses changements de régime et même la défaite de 1870. Respectueux de la monnaie nationale, les insurgés de la Commune épargnent le stock d’or de la Monnaie. Sa stabilité vaut même au franc germinal d’être adopté comme référence commune par de nombreux pays au sein de l’Union latine.
Dévalué après la Grande Guerre de 1914-1918, le franc germinal est remplacé par un franc au rabais, le «franc Poincaré», en 1928.
Le franc a perduré comme monnaie de référence de la France jusqu’au 31 décembre 2001, dernier jour avant l’euro. Il subsiste dans les anciennes colonies françaises d’Afrique et du Pacifique ainsi qu’en Suisse (vestige de l’Union latine).
On peut lire l’excellent ouvrage de vulgarisation, très complet, de Georges Valance : Histoire du franc, 1360-2002(Flammarion, 1996).
FDF
Le 12 septembre 1683, après deux mois de siège, les Turcs échouent à s’emparer de Vienne. C’est la deuxième (et dernière fois) que la ville doit affronter un siège par les Turcs, le premier siège ayant eu lieu en 1529.
Tout est venu de dissensions entre paysans et nobles hongrois. Les Turcs du sultan Mehmet IV ont voulu en tirer parti pour élargir un peu plus leur sphère d’influence en Europe centrale. C’est ainsi que le grand vizir Kara Mustapha (Kara Moustafa, dit le Noir) s’allie ainsi au roi de Hongrie Étienne Tokoly.
Tandis que le Hongrois entreprend le siège de Presbourg (aujourd’hui Bratislava), le sultan met le siège devant Vienne le 14 juillet 1683 avec des forces considérables (200.000 hommes, dit-on).
Soumise à un siège impitoyable, la capitale des Habsbourg est défendue avec acharnement par le comte Rüdiger Starhemberg et le bourgmestre Andreas Liebenberg.
Vienne est libérée in extremis grâce à une armée de 65.000 hommes venue du nord, composée pour moitié de Polonais ainsi que d’Allemands et d’Autrichiens.
Commandée par le roi de Pologne Jean III Sobieski et le duc Charles de Lorraine, cette armée de renfort passe sur la rive droite du Danube puis déboule sur les Turcs des hauteurs du Kahlenberg, à l’ouest de Vienne.
Les janissaires du grand vizir se battent jusqu’au dernier mais le reste de l’armée ottomane se retire en désordre, abandonnant sur place canons et provisions.
Ayant échoué à s’emparer de Vienne, les Turcs s’enfuient précipitamment en laissant sur place leurs provisions. C’est ainsi que les Viennois récupèrent 500 sacs de café… ce qui leur vaut d’être les premiers Européens à siroter une tasse de café.
Dans le même temps, les boulangers de la ville, qui se flattent d’avoir donné l’alerte lors d’une tentative d’attaque nocturne des Turcs, commémorent leur exploit en confectionnant des pâtisseries en forme de croissant (l’emblème des Turcs). De là le café et les «viennoiseries» (spécialités de Vienne)qui accompagnent nos réveils matinaux.
De retour à Istambul, le grand vizir Kara Moustafa est décapité par le sultan.
Pendant ce temps, l’empereur Léopold 1er fait une entrée triomphale dans Vienne et, dans la foulée, part à la conquête de la Hongrie et de la Transylvanie, sous domination ottomane.
Le conflit entre Turcs et Autrichiens va s’achever par les victoires du prince Eugène de Savoie et la paix de Karlowitz«Vienna gloriosa». (1699).
Source: http://tinyurl.com/2c34ano
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Et merci à DG pour l’info…