Francaisdefrance's Blog

19/03/2012

Lentement mais sûrement, l’Allemagne met la main sur l’Europe.

La revanche du « petit nerveux à moustaches » ?

Analyse cinglante mais bien réelle de la situation…

FDF

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Carnaval de Cologne- février 2012…

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Jean-Michel Quatrepoint : « Comment Berlin pilote l’Europe »

Depuis la crise des dettes souveraines et le psychodrame hebdomadaire sur la dette de la Grèce, les citoyens de la zone euro ont compris que le centre du pouvoir ne se situait plus à Bruxelles, encore moins à Rome ou à Paris, mais bel et bien à Berlin.

Certes, le duo Merkel-Sarkozy tente de donner l’impression que le couple franco-allemand fonctionne encore à parité. Rien n’est plus faux. En réalité, depuis l’adoption des traités de Nice, puis de Lisbonne, les Européens, à commencer par la France, ont accepté cette montée en puissance du leadership allemand. Ces traités, rappelons-le, mettaient fin à l’un des principes de base de la Communauté européenne. À savoir, la parité entre les grands pays européens, tant au sein du Parlement que de la répartition des voix au Conseil européen

En acceptant que l’Allemagne, réunifiée et forte de ses quatre-vingt millions d’habitants, ait plus de sièges et plus de voix dans certaines autres instances européennes, on lui reconnaissait, de facto, une prééminence. Dans l’Europe de Lisbonne, la France ne pèse plus que les trois-quarts de l’Allemagne.


Jean-Michel Quatrepoint
Vidéo sur http://fortune.fdesouche.com/273862-jean-michel-quatrepoint-comment-berlin-pilote-leurope

Merci à DG…

19/02/2012

Petits éclaircissements, pas forcément agréables, sur le MES…

En gros, pour résumer, c’est l’effacement de la souveraineté du peuple. C’est un peu ce qui se passe au Maghreb. Et l’on voit ce que ça donne. Les peuples de l’Europe vont probablement emboîter le pas. La Grèce, d’ailleurs, a déjà commencé… Ca sent le brûlé, en Europe. Mais nos dirigeants ont des problèmes olfactifs…

FDF

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Qu’est-ce que le MES, que les députés sont invités à voter le 21 février ?

Nicolas SARKOZY  vient de redécouvrir le référendum dans ses dernières déclarations démagogiques, comme à son habitude,  pour lancer sa campagne électorale pour l’élection présidentielle des 22 avril et 6 mai prochain.

Nous devons rappeler que lors du référendum de 2005 pour la ratification du traité de constitution européenne, les Français avaient massivement voté contre.

En 2007, ce président soit- disant démocrate, à peine élu, avait fait ratifier en 2008 par la voie parlementaire le traité simplifié de Lisbonne avec la complicité des élus socialistes des deux chambres (Assemblée Nationale et Sénat) sans que le peuple ne soit consulté.

Nous voyons avec quel mépris les élus de la Nation considèrent le peuple Français, alors que tous les faits nous prouvent aujourd’hui que la création de la monnaie unique européenne ( EURO) est à l’origine de tous nos maux actuels lesquels se sont aggravés avec la crise des subprimes ayant pris naissance aux  États-Unis en 2007  et qui a contaminé tout le système financier international,  obligeant  ces mêmes États à le renflouer, pour éviter que celui-ci  ne se termine par une faillite généralisée entrainant tous les États dans un chaos systémique, aux conséquences incalculables.

Après avoir renfloué les banques et les institutions financières internationales, les États se sont retrouvés avec des dettes souveraines abyssales et se sont exposés à la spéculation orchestrée par des fonds de pension, des hedges fund et  autres intervenants  financiers qui les ont fragilisés, les conduisant à prendre des mesures drastiques destinées à réduire l’endettement respectif de leurs dettes publiques et à appauvrir leurs peuples.

Au lieu de réduire leurs dettes publiques 25 sur 27 des États de l’Union européenne  pour sauver la zone euro d’un éclatement qui ne peut être qu’inéluctable,  ont  adopté le 30 janvier 2012 à Bruxelles  un nouveau traité sur la stabilité, la coordination et la gouvernance dans l’union économique et monétaire (TSCG), le traité Merkel Sarkozy  encore appelé pacte budgétaire.

Ce nouveau traité doit être signé le 1er ou 2 mars avant ratification par les États signataires.

Le mardi 21 février, à la demande du gouvernement, l’Assemblée nationale examinera en procédure d’urgence deux projets de loi :

a)    le projet de loi ratifiant la décision du Conseil européen de modifier l’article 136 du TFUE

b)   le projet de loi ratifiant le traité instituant le Mécanisme européen de stabilité (MES)

Ce qui se prépare dans un silence scandaleux alors que ces projets devraient être au cœur des débats dans toute la presse, va au-delà de tout ce qu’on a connu jusqu’ici, au niveau européen, en matière d’abandon de souveraineté, de recul démocratique et d’opacité.

Pour s’en rendre compte, il faut savoir ce qu’est le MES et de quelle procédure on use pour le faire adopter.

Le Mécanisme Européen de Stabilité (MES) : un FMI européen

Le texte définitif du traité instituant le MES a été adopté par les représentants des États membres de la zone euro le 2 février 2012.

Ce MES est destiné à prendre, à partir de juin 2013, la suite des instruments créés en 2010 pour faire face à la crise de la dette. Ce MES et le Pacte budgétaire (TSCG) sont complémentaires : à partir du 1er mars 2013, pour avoir accès aux aides du MES un État devra avoir accepté toutes les dispositions sur l’austérité budgétaire contenues dans le TSCG.

Le MES, dont le siège est fixé à Luxembourg, est doté du statut d’une institution financière internationale bénéficiant des immunités dont jouissent les institutions internationales. Il n’a donc aucun compte à rendre ni au Parlement européen, ni aux parlements nationaux, ni aux citoyens des États membres et ne peut en aucun cas faire l’objet de poursuites. Par contre, doté de la personnalité juridique, le MES pourra ester en justice. Locaux et archives du MES sont inviolables. Il est exempté de toute obligation imposée par la législation d’un État Membre.  Le MES, ses biens, fonds et avoirs jouissent de l’immunité de toute forme de procédure judiciaire.

En cas de litige entre le MES et un État Membre, c’est la Cour de Justice de l’UE qui est compétente.

Les membres du MES sont les États de la zone euro. L’institution est dirigée par un collège composé des ministres des finances des États membres appelés pour la circonstance « gouverneurs ».  Ces gouverneurs désignent un conseil d’administration. Un Directeur général est nommé. Le Conseil des gouverneurs est compétent pour toutes les décisions relatives à l’intervention du MES. Le Conseil d’administration est compétent pour la gestion de l’institution. Le secret professionnel est imposé à toute personne travaillant ou ayant travaillé pour le MES. Toutes les personnes exerçant une activité au sein du MES bénéficient de l’inviolabilité de leurs papiers et documents officiels et ne peuvent faire l’objet de poursuites en raison des actes accomplis dans l’exercice de leurs fonctions.

Le but du MES est de « mobiliser des ressources financières et de fournir, sous une stricte conditionnalité, » un soutien à la stabilité d’un de ses États membres qui connaît des graves difficultés financières susceptibles de menacer la stabilité financière de la zone euro. A cette fin, il est autorisé à lever des fonds. Son capital est fixé à 700 Milliards d’euros. La contribution de chaque État a été déterminée de la manière suivante :

 

Membres du MES Capital souscrit (EUR)
Allemagne 190 024 800 000
France 142 701 300 000
Italie 125 395 900 000
Espagne 83 325 900 000
Pays-Bas 40 019 000 000
Belgique 24.339.700.000
Grèce 19 716 900 000
Autriche 19 483 800 000
Portugal 17 564 400 000
Finlande 12 581 800 000
Irlande 11 145 400 000
République Slovaque 5 768 000 000
Slovénie 2 993 200 000
Luxembourg 1 752 800 000
Chypre 1 373 400 000
Estonie 1 302  000 000
Malte 511 700 000
Total 700 000 000 000

Le plus grave dans ce nouveau  montage financier que nos élites viennent de créer au sein de l’Union européenne, c’est que par ce traité les États s’engagent de manière irrévocable et inconditionnelle à verser quoiqu’il puisse leur en coûter leur contribution au capital du MES.

Il faut savoir que les États de l’Union européenne déjà très endettés devront une nouvelle fois emprunter sur les marchés financiers pour alimenter ce fonds, sans que nous sachions de quelle façon, ces mêmes États pourront un jour rembourser ces crédits, qui viendront se rajouter aux fonds que nous levons chaque année pour tout juste payer les intérêts des dettes souveraines, dont le montant global ne cesse de croître.

Le MES aura tout pouvoir  de décider de revoir la contribution de chaque État  membre, laquelle décision sera imposée de façon automatique.

Lorsqu’un État sollicitera une demande de soutien de stabilité, celle-ci sera  conditionnée à l’accord de  la Commission Européenne, en liaison avec la Banque Centrale Européenne et du FMI.

Cette négociation devra s’inscrire dans le respect du Pacte budgétaire (TSCG)

Le traité entrera en vigueur deux mois après le dépôt des instruments de ratification par les États signataires dont la souscription représente 90% du total.

Les gouvernements signataires viennent de créer un monstre institutionnel contre lequel les États eux-mêmes et les peuples.

Nous assistons, sans que les médias et les politiques ne voient pas grand-chose à redire, à une pression inadmissible du monde de la finance et des affaires, au démembrement  du siège de la souveraineté populaire, l’État, au profit d’institutions échappant à tout contrôle démocratique.

Une procédure illégale

La création du MES exige une modification de l’article 136 du TFUE. Cette modification, qui est possible si on recourt à la procédure simplifiée pour modifier un traité européen, a été proposée par la Commission européenne et adoptée par le Conseil européen le 25 mars 2011. Elle est formulée comme suit :

« A l’article 136, paragraphe 1, du TFUE, le point suivant est ajouté :

Les États membres dont la monnaie est l’euro peuvent établir un mécanisme de stabilité pouvant, si nécessaire, être activé dans le but de préserver la stabilité de la zone euro dans son ensemble. L’octroi de toute aide financière en vertu du mécanisme sera soumis à de strictes conditionnalités. »

Il est précisé que la base légale de cette modification de l’article 136 du TFUE, via la procédure simplifiée, est fournie par l’article 48, paragraphe 6, du TUE.

Or, cet article stipule, en son §6, alinéa 3, qu’une décision prise sous le régime de la procédure simplifiée « ne peut pas accroître les compétences attribuées à l’Union dans les traités. »

La création du MES pose en réalité des problèmes de compétence entre le MES et les institutions de l’Union.

Les partisans du MES tentent de nous expliquer de façon spécieuse que comme le MES ne serait pas une institution de l’Union il n’aurait pas d’accroissement de ses compétences.

En réalité, cette interprétation ne peut être jugée recevable puisque le traité créant le MES indique sans ambigüité que le MES implique directement la participation de la Commission européenne, en cas  de litige, celle de la Cour de Justice de l’EU, deux institutions de l’Union.

De plus, au sein du MES, le Commissaire européen en charge des affaires économiques et monétaires  y aura un poste d’observateur. C’est la Commission européenne qui sera mandatée pour imposer à l’État concerné les conditions d’une intervention du MES.

Il n’est pas contestable que le MES diminue les pouvoirs des États membres et augmente les compétences attribuées à l’Union, en particulier les pouvoirs de la Commission européenne.

Le projet de loi soumis le 21 février à l’Assemblée nationale pour ratifier la modification à l’article 136 du TFUE vise donc à permettre une extension des compétences de l’Union européenne en toute illégalité.

Un coup d’État?

Qu’est-ce qu’un coup d’ État ? C’est le remplacement d’un pouvoir légitime, issu du peuple, par un pouvoir qui ne l’est pas.

Le transfert, en toute illégalité, à des autorités européennes et internationales qui ne sont soumises à aucun contrôle démocratique de pouvoirs qui relèvent pas nature de la souveraineté populaire s’apparente à un véritable coup d’État.

Les gouvernants qui sont à la manœuvre manifestent leur plus total mépris du respect des exigences démocratiques. Par des artifices de procédure, en interprétant abusivement des règles dont ils se moquent, ils se font les complices d’une entreprise de démantèlement de la démocratie et d’effacement d’un acquis fondamental dans l’histoire de l’humanité : la souveraineté du peuple.

Deux traités antidémocratiques

Les deux traités que sont le  MES et le Pacte budgétaire(TSCG) vont avoir pour conséquence de déposséder les peuples de tout pouvoir en matière budgétaire, comme ils ont été dépossédés de la manière dont l’Euro était géré par la Banque Centrale Européenne.

Rappelons que la démocratie est née progressivement du droit réclamé par les peuples de contrôler les dépenses des gouvernants. La Déclaration des droits de l’homme et du citoyen, adoptée le 26 août 1789, en son article XIV, proclame que « Tous les citoyens ont le droit de constater, par eux-mêmes ou par leurs Représentants, la nécessité de la contribution publique, de la consentir librement, d’en suivre l’emploi et d’en déterminer la quotité, l’assiette, le recouvrement et la durée. »

C’est ce droit fondamental qui leur est aujourd’hui enlevé.  En violation d’une disposition inscrite dans la Constitution de la République : « Le peuple français proclame solennellement son attachement aux Droits de l’homme et aux principes de la souveraineté nationale tels qu’ils ont été définis par la Déclaration de 1789, confirmée et complétée par le préambule de la Constitution de 1946 (…). »

Ceux qui approuveront les deux projets de loi soumis le 21 février approuveront le TSCG puisqu’ils sont étroitement liés. Les promesses de renégociation de ce dernier perdent leur peu de crédibilité si leurs auteurs approuvent le MES.

Ces deux traités MES et TSCG confirment que la construction européenne s’est définitivement éloignée de l’idéal démocratique.

Ces deux traités sont, contrairement à ce qu’affirme Hollande, étroitement liés. Ils alimentent l’un et l’autre transfert de pouvoir et perte de souveraineté rendant possible une totale mise sous tutelle financière et budgétaire des États et des peuples.

La France est la première à engager la procédure de ratification du MES. Des mouvements d’opposition se lèvent dans plusieurs pays signataires qui interpellent les élus sur leur attitude future.

Si ces deux textes soumis le 21 février sont adoptés, il est indispensable que soit saisi le Conseil constitutionnel. Y a-t-il, dans le Parlement du pays qui a donné au monde les progrès de 1789, 60 députés et sénateurs pour soumettre au respect de la Constitution des traités qui la violent ?

Que vont faire les élus de l’Assemblée Nationale ? Vont-ils continuer à bafouer impunément le peuple Français ou auront-ils le courage de ne pas voter ces deux textes.

Il est à craindre que nos députés n’aient pas ce courage de redonner au peuple la parole alors que nous avons un président-candidat qui ose sans vergogne et avec cynisme nous dire que s’il était réélu, il n’hésiterait pas à consulter les Français par la voie référendaire.

Les peuples se retrouvent face à un pouvoir technocratique qui ne fera que renforcer leur méfiance envers les élites qui se sont éloignées de l’intérêt général au profit d’intérêts particuliers qui sont en train de confisquer à chaque peuple souverain le droit de choisir  leur destinée dans le concert des États-Nation.

Nous devons exiger que les États-Nation  recouvrent leur entière et pleine souveraineté si nous voulons éviter que l’appauvrissement des peuples ne s’accroissent et ne face basculer le monde dans l’abîme, comme est en train de le faire la Troïka ( La Commission européenne, la BCE et le FMI) avec la Grèce au nom d’un dogme et sous la pression des oligarchies financières.

Fabrice LETAILLEUR

http://lebloglaicdechamps.over-blog.com/

Source:  http://ripostelaique.com/

17/11/2011

Le Premier ministre turc Erdogan a récemment fait une visite officielle en Allemagne. Il a encore une fois appelé les immigrés colons turcs à ne pas s’assimiler.

J’ai toujours pensé que ce type était un faux jeton, qui se félicite de prendre les Européens pour ses futurs esclaves. Et nos dirigeants continuent à le recevoir. A ne plus rien y comprendre…

Allez; je vous la replace:

Erdogan (premier ministre turc) a déclaré en 1999 : «Les minarets sont nos baïonnettes, les coupoles nos casques, les mosquées nos casernes et les croyants nos soldats.».

FDF

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Erdogan humilie Merkel sur son sol !

ON CROIT REVER QUAND ON VOIT L’AUDACE DE CE PERSONNAGE QUI ORDONNE AUX TURCS DE NE PAS S’INTEGRER, ET DE NE PAS APPRENDRE LA LANGUE DE LEUR PAYS D’ACCUEIL MAIS MIEUX ENCORE  IL EXIGE DES ECOLES TURQUES.

QUANT A NOUS,  NOUS CONTINUONS DE LEUR VERSER DES SOMMES INVRAISEMBLABLES  AFIN QU’ILS VIENNENT MIEUX ENCORE NOUS COLONISER.

SI CA S’APPELLE PAS SE FOUTRE DE LA GUEULE DU MONDE !

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Erdogan humilie Merkel sur son sol : que le immigrants turcs vivant en Allemagne apprennent la langue allemande est « contraire aux droits humain.  Alors que la CDU et le SPD glosent sur l »intégration, Erdogan   vient en Allemagne afin de répéter aux colons turcs de ne surtout pas devenir allemands

Un journal allemand a comparé Erdogan à un Roi qui visite ses sujets dans ses colonies...

Les Turcs en Allemagne : les invités s’emparent de la maison !


Lire aussi :

« Je fais un rêve – l’Allemagne deviendra Turkland »

Le premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan était en Allemagne les 1er et 2 novembre pour marquer le 50ième anniversaire de l’accord sur les « travailleurs invités ». 

Erdogan a transformé ce qui était supposé être une opportunité amicale de faire un bilan en une plate-forme pour lancer une nouvelle tirade contre les offenses et carences supposées dans le traitement des immigrants turcs vivant en Allemagne, population estimée à 3.5 millions.

Erdogan a dit que l’insistance allemande à exiger que le immigrants vivant en Allemagne apprennent la langue allemande est « contraire aux droits humains ». Il demande que Berlin accorde la citoyenneté aux immigrants turcs sans considération de leurs efforts pour s’intégrer à la société allemande.

Pour faire bonne mesure, Erdogan a accusé l’Allemagne d’être un « complice » de la campagne de terreur lancée en Turquie par le Parti des travailleurs kurdes (PKK). Il a aussi blâmé l’Allemagne pour faire dérailler la demande turque vieille de plusieurs dizaines d’années à rejoindre l’Union Européenne.

Ajoutant à la controverse, un groupe de scientifiques, de politiciens et d’activistes des droits de l’homme allemands a accueilli la visite d’Erdogan en déposant une plainte pour crimes de guerre contre le Premier ministre turc et neuf autres officiels politiques et militaires d’importance.

La plainte déposée auprès du bureau du procureur fédéral dans la ville de Karlsruhe au sud-ouest de l’Allemagne le 2 novembre 2001, est fondée sur la législation de « juridiction universelle » de 2002 qui donne aux cours allemandes le droit de poursuivre les auteurs de violations des humains quel que soit le pays où les crimes ont été commis.

L’action en justice accuse Erdogan et d’autres de dix actes de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité, incluant la torture et l’utilisation d’armes chimiques en rapport avec les opérations militaires turques contre les rebelles kurdes depuis 2003.

Le président allemand Christian Wulff et la chancelière allemande Angela Merkel avaient invité Erdogan pour assister à une cérémonie commémorant l’accord de recrutement de main-d’oeuvre du 31 octobre 1961 entre l’Allemagne de l’Ouest et la Turquie qui a permis l’afflux de millions de travailleurs turcs en Allemagne au cours des 50 dernières années. Cependant cet accord marque le début des problèmes actuels de l’Allemagne avec l’immigration musulmane.

Par le passé, en 1961, l’économie de l’Allemagne après de la seconde guerre mondiale était florissante et des traités similaires avec la Grèce, l’Italie et l’Espagne étaient insuffisants pour fournir la demande apparemment insatiable de main-d’œuvre. À la fin de 1969, plus d’un million de « travailleurs invités » étaient arrivés en Allemagne pour travailler dans les zones industrielles du « pays hôte ».

L’idée de départ était que les travailleurs turcs retourneraient chez eux après une période de deux ans, mais la « clause de rotations » ainsi dénommée a été retirée du traité germano-turc en 1964, en partie après des pressions des secteurs de l’industrie allemande qui ne voulaient pas payer constamment les coûts de formation de nouveaux travailleurs. Le résultat prévisible était que beaucoup de Turcs ne retournèrent jamais chez eux.

Aujourd’hui, la population turque en Allemagne a explosé ; les turcs constituent maintenant la plus grande minorité ethnique. Les démographes s’attendent à ce que la population turque en Allemagne s’accroisse exponentiellement dans les prochaines décades, grâce à la fois à une forte fécondité et une forte demande de travailleurs étrangers.

La demande allemande en travailleurs étrangers est alimentée par une crise démographique : la population allemande est non seulement vieillissante, mais aussi en diminution rapide. Selon des projections récentes du Bureau allemand des statistiques, la population de l’Allemagne qui est actuellement de 82 millions et qui est la plus importante de l’Union Européenne, devrait diminuer de près de 20% à 65 millions dans les cinq prochaines décades. En même temps, 34% de la population aura plus de 65 ans et 14% aura plus de 80 ans en 2060, comparés aux chiffres de 20% et 5% respectivement en 2009.

Les défis combinés de la dépopulation et de son vieillissement auront des conséquences majeures pour la pérennité du système allemand de sécurité sociale qui va du berceau à la tombe. Par exemple, le nombre de pensionnés qui devront être entretenus par la population en âge de travailler pourrait presque doubler en 2060 selon le Bureau fédéral des statistiques. Alors que 100 personnes en âge de travailler entre 20 et 65 ans devaient fournir des pensions à 34 retraités en 2009, ils devront générer un revenu pour 63 à 67 pensionnés en 2060.

Sans surprise, les Allemands sont inquiets du futur ; leur inquiétude alimente un débat national sur l’immigration et l’intégration musulmane, ainsi que sur le rôle de l’islam dans l’Allemagne. Les Allemands sont particulièrement concernés par la présence de millions de musulmans non intégrés.

Cela implique que dans le futur, l’Allemagne va devenir encore plus dépendante des immigrants. En outre, les Turcs continueront d’être une source importante de main-d’œuvre, surtout en considérant que le taux de natalité chez les immigrés turcs en Allemagne (2,4 enfants par femme) est presque le double de celui des Allemands autochtones (1,38, un taux bien inférieur au taux de remplacement des générations, qui est de 2,1 enfants par femme). Si ces chiffres se maintiennent, les démographes prédisent que le nombre d’Allemands de souche sera réduit de moitié dans environ six générations, tandis que le nombre d’immigrés musulmans en Allemagne devrait plus que quadrupler au cours de cette même période.

Dans un discours mémorable en octobre 2010, Merkel a concédé que les efforts de l’Allemagne pour bâtir une société multiculturelle d’après-guerre ont échoué totalement. « totalement échoué ». Elle a dit : « Nous sommes un pays qui au début des années 1960 a amené des travailleurs invités [musulmans] en Allemagne. Ils vivent désormais parmi nous et nous nous sommes longtemps mentis à nous-mêmes en disant qu’ils ne resteront pas et qu’ils disparaîtront un jour. Cela n’est pas la réalité. Cette approche multiculturelle – en disant que nous vivons simplement côte à côte et en sommes heureux – cette approche a échoué, échoué totalement. »

Confronté à la réalité que plus de un million d’immigrants vivant en Allemagne ne parlent pas du tout allemand, le gouvernement a récemment commencé à pousser les enfants de parents non germanophones à développer une meilleure connaissance de la langue allemande.

Cela a irrité Erdogan, qui durant une précédente visite en Allemagne en février 2011 a sommé les immigrants turcs d’apprendre à leurs enfants à lire et écrire le turc avant l’allemand. Parlant devant une foule de plus de 10.000 immigrants agitant des drapeaux turcs et criant « la Turquie est grande » dans la ville industrielle de Düsseldorf, Ergodan a dit : « nous sommes contre l’assimilation. Personne ne devrait être en mesure de nous éloigner de notre culture et de notre civilisation ».

Durant une visite similaire à Cologne en février 2008, Erdogan a dit devant une foule de plus de 20.000 immigrants turcs que « l’assimilation est un crime contre l’humanité » et les a enjoint à résister à l’assimilation au monde occidental. En mars 2010, Erdogan a demandé à l’Allemagne d’ouvrir des écoles primaires et secondaires en langue turque.  

La réaction en Allemagne à la rhétorique d’Erdogan a été négative.

Le journal de centre-droit Die Welt, dans un article d’opinion intitulé « Les appels à la division d’Ergodan manquent de tact »,  a écrit que le Premier ministre turc s’engageait dans une « pure guerre culturelle » avec pour credo : « turc un jour, turc toujours ». L’article dit « Chacune de ses visites officielles ressemble plus à celle d’un roi visitant ses colonies. Ergodan croit être le patron de tous les trois millions de turcs en Allemagne, comme si ils lui appartenaient. Cela est une attitude paternaliste et en fait non démocratique et nationaliste ».

Le journal respecté Die Zeit, dans un article intitulé « Erdogan: une malédiction pour les turcs d’Allemagne », écrivait : « Le Premier ministre Erdogan est un désastre pour les Turcs en Allemagne. Une fois de plus, Erdogan a utilisé sa visite en Allemagne pour parvenir à ses propres desseins nationalistes. Une fois de plus, il est revenu sur le thème de la langue turque : les enfants devraient d’abord apprendre le turc avant l’allemand. Bien sûr, il est souhaitable que les enfants avec des racines turques apprennent le turc. Le problème des échecs d’une éducation entièrement turque ne se trouve pas dans la première langue acquise, mais dans une médiocre maîtrise des deux langues. Des centaines de millier d’enfants ne peuvent de fait parler correctement ni le turc ni l’allemand ».

Le journal dit que la rhétorique enflammée d’Ergodan se résume entièrement à des considérations de politique intérieure. Die Zeit écrit : « Ergodan n’est pas réellement intéressé par le sort des immigrants turcs et de leurs enfants. Sa prestation théâtrale et nationaliste n’est qu’un jeu utilisant les sentiments et les frustrations des turcs allemands. C’est une posture qu’il considère prometteuse : Ergodan veut tirer parti de la colère du citoyen turc. Pourquoi veut-il une double citoyenneté ? Pour pouvoir faire campagne pour des votes en Allemagne et ainsi gagner des voix parmi les électeurs de l’étranger. La pompe et splendeur nationaliste d’Ergodan est bien embarrassante et rend l’accession de la Turquie à l’Union Européenne bien moins probable. »

Soeren Kern est « Senior Fellow » pour les relations transatlantiques au groupe madrilène « Grupo de Estudios Estratégicos / Strategic Studies Group  ». Suivez le sur Facebook.

Source : Turks in Germany: The Guests Take Over the House

http://www.postedeveille.ca/2011/11/les-turcs-en-allemagne-les-invites-semparent-de-la-maison.html#more

http://lechevalierfrancois.over-blog.com/article-erdogan-humilie-merkel-sur-son-sol-que-le-immigrants-turcs-vivant-en-allemagne-apprennent-la-langu-88855415.html

Traduction: Poste de Veille


12/11/2011

La nouvelle devrait faire l’effet d’une bombe si cela est avéré : l’Allemagne réimprimerait des Marks !

Ca, ce n’est pas du tout une « bonne nouvelle »…

FDF

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Photo d’illustration

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L’Américaine Pippa Malmgren, 49 ans, n’est pas n’importe qui, experte du monde politique et économique elle a une connaissance pointue de la Deutsche Bank.

Que nous apprend-elle sur son blog ?

Selon elle, les Allemands auraient annoncé qu’ils comptent réintroduire le Deutsche Mark sur les marchés. Ils ont déjà commandé la nouvelle monnaie et ont mêmedemandé à leurs imprimeurs de se dépêcher. Le Vice-chancelier allemand, Philippe Roesler, a prononcé un discours en septembre dans lequel il dit qu’il n’y aura pasun sauvetage de plus d’un pays de la zone euro. Cette déclaration intervient alors que tout le monde sait qu’il faudra bientôt venir en aide à l’Italie et à l’Espagne.

Cette déclaration est en totale cohérence avec la position du peuple Allemand qui selon un sondage récent est à 70 % opposé à transférer les richesses allemandes pour sauver les nations sur-endettées. L’Allemagne a annoncé également qu’elles soutiendra ou nationalisera une partie voire toutes ses banques pour les sauvermais seulement ses banques. Ceci augmente donc le risque d’un défaut de paiement des pays de la zone euro qui sont affaiblis. Ce qui a amené Pippa Malmgrenà ce constat c’est la déclaration récente de Christine Lagarde à Jackson Hole qui a reconnu que l’Allemagne ne pourra faire un « chèque » de renflouement pour aider

les membres de la zone euro. Elle a dit « quelqu’un doit faire un chèque ou nous allons avoir des défaillances bancaires historiques multiples ».

Dans l’assistance tout le monde a bien entendu qu’il n’y avait aucun chèque à venir.

Pippa Malmgren ajoute qu’il y aurait bien une garantie, celle des réserves d’or mais ces réserves sont insuffisantes. L’autre solution est la remise de propriété de l’actif des nations industrielles ce qui revient à dire une nationalisation des industries par un pays et donc d’un gouvernement étranger. Il n’y a pas pour

Pippa Malmgrem de véritables garanties significatives. Et même la Chine ne peut faire un chèque assez gros pour remplir le trou des dettes cumulées des pays de la zone euro.

Donc l’Allemagne réimprime ses Deutsche Mark pour se prémunir de la disparition de l’euro, afin de rester souveraine… Qu’attend donc Nicolas Sarkozy pour réimprimer notre monnaie nationale, le franc, et sortir de ce système d’emprunt sur les marchés qui date de 1973 et qui nous a sur-endetté ?

 http://www.observatoiredeleurope.com/L-Allemagne-serait-en-train-de-reimprimer-des-Deutsche-Marks_a1666.html



L’ex-conseillère économique du Président américain George W. Bush, Pippa Malmgren connaît apparemment bien la Deutsche Bank. Elle vient de révéler sur son blog que les Allemands comptent,

selon elle, réintroduire le Deutsche Mark sur les marchés. Ils auraient déjà commandé la nouvelle monnaie et même demandé à leurs imprimeurs de se dépêcher. Rappelons que le Vice-chancelier allemand,

Philippe Roesler, avait prononcé un discours en septembre dans lequel il dit qu’il n’y aura pas un sauvetage de plus d’un pays de la zone euro. Cette déclaration est en totale cohérence avec la position

du peuple Allemand qui selon un sondage récent est à 70 % opposé à transférer les richesses allemandes pour sauver les nations sur-endettées. (http://www.pippamalmgren.com/77.html )

Source: http://www.luniondescitoyenspatriotesleblog.com/

03/11/2011

La Grèce dépense plus d’un milliard d’euros pour acheter des chars !!!

Et que l’on n’aille pas nous raconter que Sarkö et A. Merkel n’étaient pas au courant… Nous savons maintenant pourquoi « on » nous demande de nous serrer encore plus la ceinture.

FDF

Photo d’illustration.

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Alors que la Grèce, en faillite potentielle, bénéficie d’une manne d ‘aides financières (UE, FMI…), elle s’apprête par ailleurs à acheter pour plus d’un milliard d’euros de chars aux Etats-Unis…


« Depuis des mois, il ne se passe pas une journée sans que les médias nous abreuvent d’informations concernant la probable faillite de la Grèce avec son cortège de conséquences en série, des risques de faillite des banques au risque de faillite des États (dont la France). Depuis le début les Grecs manifestent pour protester contre les plans d’austérité qui succèdent aux plans d’austérité dans un pays ruiné du fait de la lâcheté et de l’incompétence crasse de sa classe politique et d’une fraude fiscale massive contre laquelle les dirigeants du pays n’ont jamais rien fait. Le total des aides apportées à la Grèce par l’Europe et le FMI ont atteint la somme extravagante de 160 milliards d’euros pour un pays de 11 millions d’habitants.

On pouvait dès lors imaginer que la Grèce ferait les efforts nécessaires pour rétablir ses comptes publics alors qu’elle ne boucle ses fins de mois que grâce aux contribuables européens dont nous et que, en cas de besoins impératifs d’achats pour l’État grec, celui-ci se tournerait en priorité vers ses prêteurs, c’est-à-dire vers les pays de l’Union Européenne.

Patatras, l’information vient d’être divulguée par le quotidien espagnol « la Razon », la Grèce va acheter 400 chars lourds M1 Abrams d’occasion ainsi que 20 véhicules amphibie « AA7VA1 » aux États-Unis pour un montant estimé à 1,28 milliards d’euros. Ainsi les contribuables européens aident la Grèce pour que celle-ci fasse tourner l’industrie d’armement US. Les Polonais l’avaient inventé avec les avions de chasse en achetant en 2003 des F-16 avec les subventions européennes, les Grecs nous refont le coup en 2011 avec les chars d’assaut. Rappelons simplement que l’Armée française a en tout et pour tout 400 chars Leclerc pour 65 millions d’habitants, c’est dire si les grecs n’y vont pas avec le dos de la cuillère en terme de dépense pour leur budget militaire alors que la même semaine, comme le dit « la razon », le gouvernement grec se réunissait pour trouver 7 milliards d’économies dans les dépenses publiques.

Dès lors une seule question se pose : « De qui les dirigeants grecs se moquent ils ? ».

Ils s’étaient engagés à privatiser leurs entreprises publiques et depuis rien. Ils s’étaient engagés à lutter contre la fraude fiscale et depuis rien et, pour nous remercier de nous serrer la ceinture pour eux (et nous n’avons encore rien vu), ils achètent des armes en quantité astronomique aux USA. On comprend mieux en voyant ce scandale que le mot « proxénète » soit d’origine grecque.

On attend de la part de nos dirigeants le blocage de toute nouvelle aide et l’annulation pure et simple de ce contrat par l’État grec car ce n’est pas aux contribuables européens de payer les impôts que les Grecs refusent de payer pour aider l’industrie d’armement américaine. J’ai pourtant malheureusement peur qu’aucun d’entre eux n’ait le courage d’élever la voix. »

Source: http://www.atlantico.fr/

24/10/2011

La zone euro accorde (encore) un prêt à la Grèce pour lui éviter la faillite…

Je me pose une question. Nous sommes (la France) très mal placés sur l’échelle de l’endettement des pays; nous somme même en équilibre instable… Et quand nous chuterons, QUI nous viendra en aide ??? Ben, plus personne…

FDF

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Les ministres des Finances de la zone euro, réunis vendredi à Bruxelles, ont donné leur aval au déblocage de 8 milliards d’euros d’aide à la Grèce. En contrepartie, les banques créancières du pays devront effacer au moins 50% de la dette nationale.

 La zone euro a donné son feu vert vendredi soir au versement d’un prêt crucial à la Grèce pour lui éviter la faillite, suite aux mesures d’austérité décidées par Athènes, alors que les banques créancières du pays risquent de devoir effacer au moins 50% de la dette nationale.

Toutefois les pays de l’Union monétaire, engagés dans un marathon de négociations qui va durer jusqu’au 26 octobre, restent profondément divisés sur les autres volets de sa réponse à la crise de la dette.

Réunis à Bruxelles pour préparer le premier sommet européen de dimanche, les ministres des Finances des 17 pays de l’Union monétaire ont donné leur accord pour débloquer la sixième tranche du prêt pour la Grèce, de 8 milliards d’euros, tiré du premier plan de sauvetage au pays décidé au printemps 2010, d’un montant de 110 milliards d’euros au total.

L’enveloppe est co-financée par les Européens, à hauteur de 5,8 milliards d’euros, et le Fonds monétaire international (FMI) qui doit encore donner son aval. Le versement est prévu dans la première quinzaine de novembre et permettra à Athènes de ne pas se retrouver en cessation de paiement dans l’immédiat.

L’institution de Washington devrait rendre un avis positif début novembre. Sa directrice, la Française Christine Lagarde, va faire une recommandation en ce sens, a indiqué à l’AFP une source proche du dossier.

Il ne s’agit toutefois que d’une avancée minime compte tenu de l’ampleur des difficultés de la Grèce.

Les dirigeants de la zone euro planchent en parallèle sur une participation beaucoup plus importante que prévu des banques dans le cadre du second plan d’aide à la Grèce, décidé dans son principe en juillet et portant sur des prêts publics de 109 milliards d’euros.

Selon un rapport de la troïka des créanciers de la Grèce (UE, FMI et BCE) remis aux ministres, dont l’AFP a obtenu copie, il faudra que les banques acceptent une dépréciation (décote) de 60% de leur créances si l’on veut que le montant de 109 milliards d’euros reste inchangé.

Avec une décote à 50%, le FMI et les Européens et le FMI devront augmenter leurs financements à 114 milliards d’euros, selon les calculs du rapport.

Encore faut-il que les banques acceptent volontairement de subir ces nouvelles pertes de grande ampleur. En juillet, leur « effort » avait été fixé à seulement 21%.

Plus largement, les discussions s’annoncent ardues aussi dans les prochains jours pour empêcher la contagion de la crise de la dette car de profondes divergences entre Paris et Berlin persistent sur le moyen d’y parvenir.

Ces clivages, ainsi que la nécessité pour le Parlement allemand d’avoir son mot à dire au préalable sur les mesures envisagées, ont contribué à reporter les annonces à un deuxième sommet qui se tiendra mercredi soir.

La confirmation de ce deuxième sommet a semblé rassurer les marchés financiers: la Bourse de Francfort a bondi de 3,55%, Paris de 2,83%, Milan de 2,80% et Madrid de 2,84%.

Mais à Bruxelles, l’atmosphère reste tendue. « Nous ne donnons pas vraiment l’exemple éclatant d’un leadership qui fonctionne bien », a déploré le chef de file des ministres des Finances de la zone euro, Jean-Claude Juncker, en parlant d’image « désastreuse » à l’étranger.

La Chine a exhorté vendredi l’UE à une « réforme fondamentale » des finances de ses pays. Et le président américain Barack Obama continue à surveiller la situation de près.

La France et l’Allemagne sont en effet engagées depuis plusieurs jours dans un bras de fer sur le meilleur moyen de renforcer la force de frappe du Fonds européen de stabilité financière (FESF), un instrument essentiel pour espérer empêcher une contagion de la crise de la dette à des pays comme l’Espagne et l’Italie.

Paris insiste pour transformer le Fonds en banque pour qu’il s’approvisionne auprès du guichet de la Banque centrale européenne (BCE), tandis que Berlin refuse cette option qui irait à ses yeux à l’encontre des traités européens.

Le ministre français des Finances, François Baroin, a montré des signes d’ouverture à la fin des discussions vendredi soir. La proposition soutenue par la France est « la solution la plus efficace« , selon lui, mais Paris « n’en fait pas un point d’affrontement définitif ».

De son côté, sa collègue autrichienne Maria Fekter a indiqué qu’il n’y avait plus que deux options sur la table pour donner plus de poids au FESF. Et une source diplomatique a indiqué qu’aucune n’impliquait la BCE.

La solution qui a la préférence de Berlin serait de permettre au FESF de garantir une part des titres de dette émis par les pays fragiles, afin d’inciter les autres investisseurs à en acheter.

Autre sujet sur la table pour les prochains jours, la question de la recapitalisation des banques en Europe. Les besoins devraient finalement s’élever à entre 80 et 100 milliards d’euros, un chiffre moins important que celui avancé par le FMI, a fait savoir une source européenne.

Une nouvelle réunion aux allures de mini-sommet entre le président français Nicolas Sarkozy et la chancelière allemande Angela Merkel était prévue samedi soir à Bruxelles, en préambule au rendez-vous de dimanche. M. Van Rompuy et le président de la Commission européenne José Manuel Barroso y participeront aussi. Le président de la BCE, Jean-Claude Trichet, et Mme Lagarde pourraient aussi être de la partie, selon une source européenne.

Source: http://www.france24.com/fr/

09/10/2011

Les islamo-résistants allemands sous haute surveillance…

Grave; très grave, même… C’est de la soumission à l’islam pure et dure. Il est certain que les dénonciations vont aller bon train. Nous ne sommes pas loin d’entendre à nouveau les « bruits de bottes » que l’on ne souhaitait plus jamais avoir à subir. C’est dangereux pour nous, les Français, quand on sait que maintenant Sarkö Ier prend ses ordres chez Angela Merkel…

Plus que jamais, soyons vigilants et regroupons nous pour la résistance. Regardons en même temps les réactions du peuple allemand et encourageons le à ne pas se laisser faire. L’heure est grave… Le nazislamisme se frotte les mains.

FDF

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By Soeren Kern

October 3, 2011

Traduit de l’anglais  par Nancy VERDIER

Le gouvernement allemand considère la possibilité d’accroître la surveillance des citoyens allemands qui s’opposent à l’expansion de l’Islam radical en Allemagne.

Cette décision vient après une campagne de diffamation implacable menée trois semaines durant par les media  bien pensants qui ont mis tout leur poids pour discréditer le mouvement anti  islamiste en Allemagne.

Des sondages d’opinion montrent qu’un nombre croissant d’allemands est  inquiet  des conséquences des politiques multiculturelles  menées depuis des décennies et qui ont permis une immigration massive en provenance de pays musulmans.

Les Allemands sont tout particulièrement inquiets du refus de millions d’immigrés  musulmans de s’intégrer à la société allemande et de l’émergence d’un système juridique parallèle fondée sur la Charia.

Pour inverser  cette tendance dans l’opinion publique, les gardiens du multiculturalisme allemand se sont mis à la tâche pour regagner l’initiative,  le plus souvent en essayant d’intimider et de réduire au silence les voix qui s’élèvent contre l’Islam.

La campagne médiatique a été menée par des journaux tels le  Frankfurter Rundschau, un quotidien financièrement en difficulté et basé  à Francfort, le Berliner Zeitung, et le journal de gauche Spiegel, dont le siège social est à Hambourg et qui est depuis longtemps l’organe de référence en matière de multiculturalisme.

Ils s’en prennent tout particulièrement au très populaire site Internet allemand « Politiquement Incorrect » ou PI qui au  fil des ans s’est imposé comme la source première d’informations pour une population inquiète de la montée de l’Islam en Allemagne.

La devise du PI  s’énonce comme suit  « Contre la pensée unique, pro- américain, pro – Israël, contre l’islamisation de l’Europe” ce qui représente tout ce que la gauche allemande abhorre. Il n’est pas étonnant que nombreux sont les médias allemands qui voudraient fermer le site PI.

Au cours des dernières semaines, plusieurs journaux allemands ont utilisé un stock de plus de 10 000 adresses e-mails  privées pour insinuer que les gens derrière PI sont « antidémocrates » et constituent une menace à l’ordre constitutionnel allemand.
 

Ils exigent que le site PI et les tenants du mouvement anti – islamiste (ou « islamophobes »)  soient l’objet d’une étroite surveillance de la part des services de renseignements intérieurs le Bundesamt für Verfassungsschutz (BfV).

Le Frankfurter Rundschau, par exemple a fomenté une campagne hystérique en publiant des douzaines d’articles de propagande et d’agitation, dont certains par Mely Kiyak, issu d’une première génération d’allemands dont les parents étaient des immigrés turco – kurdes. Kiyak, qui se reconnaît comme  » pionnier  politique » dénonce tous les opposants à l’Islam comme étant des marchands de haine.

Un article intitulé « Politiquement  Incorrect: Vulgaire, Désinhibé, Raciste, » affirme  que:

 « le portail Internet PI  fait partie d’un réseau international de haine envers l’Islam et de harcèlement contre les musulmans. Et ces allégations sont confirmées par les recherches menées par le Frankfurter Rundschau. »

Dans un autre article intitulé  » PI : le prototype d’une nouvelle droite” le Frankfurter Rundschau relie la critique de l’Islam au comportement anti-sémite: « La  Nouvelle Droite a grandi en puissance depuis dix ans. Le blog ‘PI’ montre que ce mouvement y ressemble bien ».
Le directeur du Centre de Recherche sur l’anti-sémitisme, Wolfgang Benz, trouve des parallèles avec l’anti-sémitisme.  « Les expressions  ouvertement anti-sémites sont illégales dans l’Allemagne de l’après-guerre; l’inférence ici est que ceux qui critiquent l’Islam sont coupables de crime. »

D’autres articles du Frankfurter Rundschau sont intitulés :   « Politiquement Incorrect: Ce qui pue sur Internet »  « Les Populistes de Droite : Unis dans leur haine contre les musulmans »  ou encore «  Haine politiquement correcte » 

Le Berliner Zeitung, dans un article excessif (proche de l’hystérie) intitulé :   “ Politiquement Incorrect : Au coeur du réseau de haine envers l’islam “  affirme : « PI est tout sauf un site inoffensif. C’est une parfaite organisation de conspiration qui œuvre à la diabolisation de la foi de toute une communauté. Elle joue un rôle vital dans le réseau international de ceux qui haïssent l’Islam.  Elle nourrit en son sein des racistes et des glorificateurs de la violence partageant sur ce forum la vision  mondiale d’une tuerie comme celle perpétrée en Norvège par Anders Breivik »

Le magazine Spiegel, dans un article intitulé    « Action contre les mouvements anti- islamiques en Allemagne : les autorités envisagent la surveillance des islamophobes », affirme que le populisme de droite est une nouvelle forme d’extrémisme. « En Allemagne, il se pourrait que les islamophobes soient mis sous  étroite surveillance par les services de renseignements intérieurs. Nous sommes inquiets de ce que l’action anti – musulmane puisse devenir de plus en plus dangereuse. Essentiellement, la question est de savoir si la haine envers les musulmans est suffisante pour mettre en danger la liberté religieuse et la compréhension internationale ou si c’est une expression radicale mais légitime de l’opinion d’auteurs individuels restant dans les limites de la constitution. »

De son côté le Spiegel magazine a rassemblé tous ses efforts pour démontrer  que toutes les critiques de l’Islam proviennent de “l’extrème droite “ même si les sondages d’opinion montrent de façon accablante que les électeurs appartenant à l’ensemble de l’éventail des formations politiques sont inquiets de l’expansion de l’Islam en Allemagne.

Un sondage d’opinion appelé “ Perception et Acceptation de la Diversité Religieuse “  mené par le département de sociologie de l’université de Münster en partenariat avec la prestigieuse  firme de sondages politiques TNS Emmid –  montre que la majorité des allemands n’est pas d’accord avec la déclaration du Président allemand Christian Wulff qui affirme que l’Islam « fait partie intégrante de l’Allemagne »  à cause des quatre millions de musulmans qui y résident désormais. L’Allemagne a la deuxième population musulmane la plus importante d’Europe occidentale après la France et les Turcs constituent  la majeure partie de cette minorité.  

L’étude montre que seulement 34% des allemands de l’ouest et 26% des allemands de l’est ont une image positive des musulmans. Moins de 5% des allemands pensent que l’Islam est une religion tolérante et seulement 30% approuvent la construction de mosquées.  La proportion  d’allemands qui approuvent la construction de minarets ou l’introduction des vacances musulmanes est encore plus faible.

Moins de 10% des allemands de l’ouest et 5% des allemands de l’est disent que l’Islam est une religion pacifique. Plus de 40% des allemands pensent que la pratique de l’Islam devrait être vigoureusement restreinte.

Seulement 20% des allemands pensent que l’Islam est compatible avec le monde occidental. De manière significative, plus de 80% des allemands sont d’accord avec le principe selon lequel  « les musulmans doivent s’adapter à notre culture ».  Plus d’un million d’immigrants vivant de façon permanente en Allemagne ne savent pas parler l’allemand.

Un autre sondage appelé “ observation mondiale de l’immigration “ conduit par la société Ipsos basée à Londres et spécialisée en recherche internationale –  a trouvé que plus de la moitié des allemands pensent qu’il « y a trop d’immigrants »  dans leur pays.

En réponse à la question  « diriez-vous que l’immigration a généralement un impact positif ou négatif ? »  54% des allemands disent que l’impact est négatif. Près de 60% des allemands approuvent ce jugement : “ L’immigration exerce trop de pression sur les services publics “ en Allemagne.

Le rapport sur “ la persistance des tensions entre occidentaux et musulmans” publié par le centre de recherche Pew  basé à Washington montre que 61% des allemands pensent que leurs relations avec les musulmans ne sont pas bonnes. Le sondage montre aussi que 72% des allemands pensent que les musulmans ne veulent pas s’intégrer dans les pays où ils vivent et 79%  des allemands trouvent  que l’islam est «  la plus violente des religions ». Plus des deux -tiers des allemands sont inquiets de la présence des islamistes radicaux dans leur pays.  

Un autre sondage conduit par le groupe Pew “projet de comportement mondial “ montre que 71% des allemands pensent que le voile islamique devrait être interdit en public, y compris dans les écoles, les hôpitaux et les administrations gouvernementales.

Une autre étude publiée par la Fondation Friedrich Ebert, un think tank  (groupe de réflexion) lié au parti SPD (centre-gauche du parti Social démocrate) a trouvé que  55% des allemands pensent que les arabes sont « désagréables » et plus de 33% pensent que le pays est sur le point d’être « écrasé » par les immigrants. L’étude a aussi relevé que les “comportements de droite radicale“ ne sont pas confinés aux franges de la société allemande, mais “sont largement répartis au centre de cette société “.

Ces études montrent clairement et de manière consistante que la plupart des allemands sont inquiets de l’impact de l’immigration musulmane sur leur vie quotidienne. Dans un pays modelé par le politiquement correct  et une longue lutte pour la liberté d’expression, le site PI donne la parole à des allemands frustrés  qui constatent  que le mal prend forme autour du culte du multiculturalisme. Le courant  de l’opinion publique a basculé et l’establishment allemand a peu de chance de pouvoir inverser cette tendance.

Source: http://puteaux-libre.over-blog.com/

05/07/2011

2012: danse avec Marine…

Pas mal…

FDF

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Dans le hebdomadaire Dilema veche, à Bucarest, Marine Le Pen est vue comme une potentielle menace pour Nicolas Sarkozy: future présidente parce qu’elle est blonde est être blonde est à la mode dans le monde politique féminin? Ou danger léger comme une bulle de champagne? Adrian Cioroianu, professeur à la Faculté d’Histoire, Université de Bucarest, écrit un édito sur les blondes, que nous publions avec son aimable autorisation.

Ce qui est bien en Europe, c’est non seulement que chaque pays se retrouve avec les partis qu’il mérite, mais aussi avec les blondes afférentes en têtes de ces partis : Angela Merkel – Allemagne, Marine Le Pen – France, Ioulia Timochenko – jadis en Ukraine, Elena Udrea – Roumanie. Il y en a peut-être d’autres, mais je ne les ai pas en tête. Aujourd’hui, je me suis proposé d’écrire au sujet d’une de ces blondines. En préparant ce texte, j’ai opéré moi aussi un sondage, sur un échantillon complètement non représentatif. J’ai pris une feuille A3 et j’ai écrit dessus au marqueur noir les dix mots qui suivent : « Elle est blonde et conduit un parti sur la droite« . Et j’ai demandé à mon échantillon d’étudiants : « Qui est-ce ? ». Alors, un pourcentage de 94,4% des répondants ont dit… – oui, oui, c’est vrai, voilà qu’à peine la phrase finie vous avez déjà deviné le nom (Elena Udrea, ministre du Tourisme en Roumanie). A peine une minorité de 4,9% de l’échantillon a répondu Angela Merkel, et une autre minorité de 0,6% a avancé le nom de l’ukrainienne Ioulia Timochenko. Et le reste de 0,1% soit ne savaient pas / n’ont pas répondu, soit ont jeté une chaussure à talon aiguille sur ma chère feuille A3.

Eh bien, ils avaient tous faux – parce que je pensais à une autre blonde ! Si d’aventure vous ne saviez pas qui est Marine Le Pen, il serait bon de mettre à jour vos connaissances de la France d’aujourd’hui. Ainsi l’année prochaine, lorsque son parti obtiendra un score étonnamment bon aux élections, vous ne direz pas que je ne vous avais pas prévenu. Madame Marine Le Pen, une des blondes la plus en vogue en Union Européenne, est la fille cadette, de 30 et quelques années (lire quarante-deux), de son plus illustre père, Jean-Marie de son petit nom.

La dame en question a des études juridiques, a également deux mariages consommés à son actif, et surtout, depuis le 15 janvier, a la responsabilité de diriger le parti que son père a créé près de quatre décennies auparavant (et avec lequel, en 2001, il est arrivé en finale des présidentielles françaises), le Front National. Et dès que madame Le Pen touche à un micro, la presse se frotte les mains : lors d’un meeting à Lyon, madame a comparé les musulmans qui sortent prier dans la rue, en-dehors des mosquées, aux troupes d’occupation nazies de naguère (et un sondage subséquent révélait que 39% des Français semblaient être à peu près d’accord avec « la métaphore« ). Le programme de Marine Le Pen & FN devient (selon les analystes) un peu plus digeste pour un électorat français stressé par la crise, la concurrence des immigrés et par « le danger de l’islamisation« ; ils voudraient un filtrage de  ceux qui viennent s’installer dans l’Hexagone, la reprise de certains attributs de la souveraineté que Paris semble avoir cédé à Bruxelles, le retour au franc français comme monnaie nationale, et, entre autres, le rétablissement de la peine de mort pour les crimes graves. Comme j’ai eu l’occasion de croiser cette dame plusieurs fois ces dernières années, sur les vols Strasbourg – Paris, vous comprendrez que les dernières données sur son évolution m’ont quelque peu sauté aux yeux : un sondage effectué en France, en décembre dernier, suggérait que 22% des Français étaient d’accord avec les idées du Front, près de 20% des Français déclarant leur intention de voter pour Mme Le Pen en tant que présidente de la France, au moment respectif. Enfin, il faut garder à l’esprit que plus de 30% des partisans actuels de Nicolas Sarkozy et de son parti (UMP) croient qu’il serait normal que, après les élections de 2012, l’UMP et le FN établissent une alliance.

Six ou sept ans auparavant, Sarkozy, à l’époque futur candidat à la présidence, avait repris plusieurs des thèmes favoris de Jean-Marie Le Pen – bien sûr, avec une différence dans le ton et la forme. Je ne pense pas qu’il résistera à la tentation de le faire à nouveau l’année prochaine, lors des élections à venir. En outre, toute éventuelle augmentation de l’instabilité dans les pays d’Afrique du Nord pourrait accroitre le nombre de maghrébins en Europe, et particulièrement en France – et ceci pourrait être une chance pour cette blonde qui semble sérieusement ragaillardir en France un parti que beaucoup considéraient comme décrépit (voire même défunt) d’un point de vue politique. Il n’est pas exclu que, en 2012, M. Sarkozy danse sur la musique de Mme Le Pen.

Source: http://alest.blogs.courrierinternational.com/

23/05/2011

Et l’inévitable arriva… L’euro et la politique impulsée par l’Eurogroupe sont en danger de mort..

Allemagne: l’Euro à terre.

Eurogroupe

Il y a encore quelques semaines toute personne qui osait remettre en cause l’euro passait pour un cassandre. Aujourd’hui au sein du sérail de la bienpensance, l’hypothèse de voir l’euro s’effondrer est de moins en moins tabou.
Ce week-end, dans l’émission « les clés de l’éco » (1) sur Itélé, l’économiste libéral Marc de Scitivaux a enfoncé le clou  » ceux qui avaient prévu lors de l’instauration de l’euro que celui-ci ne serait pas viable, comme Milton Friedman, avaient raison… et leurs analyses étaient absolument impeccables. »

Dans la classe politique française on ne peut compter que sur Nicolas Dupont-Aignan et Marine Le Pen pour apporter des réponses concrètes à une éventuelle disparition de la monnaie unique européenne.

( voir vidéo de l’émission « les clés de l’éco  » du 22 ami 2011: http://www.itele.fr/emissions/magazine/les-cles-de-leco)

Aujourd’hui c’est dans les pages du journal Le monde que l’on peut lire une tribune d’Elisabeth Humbert-Dorfmüller, consultante, spécialiste de l’Allemagne, et membre du PS et du SPD. Elle nous explique comment l’euro est sérieusement remis en cause Outre-Rhin:

Allemagne: l’Euro à terre.

Le débat existe depuis longtemps, mais il a commencé à prendre de l’acuité à l’occasion d’un succès en librairie d’un ancien patron de l’industrie [Hans-Olaf Henkel], fin 2010. Le livre s’appelle Sauvez notre monnaie ! (Rettet unser Geld !), et il préconise la partition de la monnaie européenne en euro du Nord (Allemagne, Pays-Bas, Autriche, Luxembourg, Finlande essentiellement) et euro du Sud (France, Italie, Espagne, Portugal, Grèce essentiellement).

Retraçant l’histoire de la monnaie commune, l’auteur souligne que l’euro est le fruit d’un deal franco-allemand qu’on peut réduire à l’équation : réunification allemande (revendication allemande) contre monnaie européenne (revendication française). L’euro est donc né parce que la France craignait une superpuissance allemande et pensait pouvoir la briser en l’impliquant dans une solidarité monétaire. Si Helmut Kohl voulait sa réunification, il n’avait pas le choix.

Tous les Allemands ne partagent pas cette analyse, mais voilà la force des best-sellers : un thème dont tout le monde parle, dans les médias ou dans le café du commerce, parvient à s’insinuer dans l’esprit de tous.

Dans les mois précédents, plusieurs tabous de la politique économique allemande avaient déjà été brisés : il y a d’abord eu dès 2009 les plans de relance imposés par les autres pays européens, France et Grande-Bretagne avant tout, qui allaient frontalement à l’encontre de la religion que la chancelière souhaitait imposer à tous, y compris ses partenaires de coalition sociaux-démocrates : une réduction constante des dépenses de l’Etat et la baisse des prélèvements obligatoires.  Merkel fît mauvaise mine et accepta à la fin de coopérer pour éviter que la machine économique européenne sombre.

Puis, tout au long de l’année 2010, la Banque centrale européenne (BCE) a racheté des obligations de l’Etat grec pour que leur prix ne s’effondre pas. Cette décision a été prise exceptionnellement sans consensus au sein du Conseil des gouverneurs, et notamment avec le désaccord du président de la Bundesbank Axel Weber qui craignait que le bilan de la BCE, pilier de l’orthodoxie monétaire, se remplisse d’actifs de valeur douteuse. Weber a, quelques mois plus tard, démissionné de son poste et d’une possible succession à Jean-Claude Trichet. Le futur banquier central européen sera, avec très probablement l’Italien Mario Draghi, un représentant de l’Europe du Sud.

Ensuite, l’influence de l’Eurogroupe que certains n’hésitent pas à appeler un gouvernement économique, s’accrut. Si les Allemands pensaient encore éviter une coopération renforcée car ils ne veulent surtout pas d’un transfert décisionnel notamment dans les domaines budgétaire, fiscal et social vers une structure multilatérale, 2010 a été l’année de toutes les concessions pour eux.

Aujourd’hui, il n’y a guère que les directions des partis politiques établis (les chrétiens-démocrates, les sociaux-démocrates, les libéraux et les Verts) qui argumentent en faveur du maintien de la zone euro dans sa configuration actuelle. La base a commencé à se mobiliser contre ce dogme officiel, et un nombre croissant de députés se singularisent en réclamant la fin des opérations de sauvetage monétaire. De toute façon, partout ailleurs, le démontage est en cours : des économistes influents, des grands journaux nationaux (Bild bien sûr et son tirage de 3 millions d’exemplaires, mais aussi les très sérieux FAZ et Die Welt) et, surtout, les innombrables talk-shows télévisés dont les Allemands sont tellement friands : tous considèrent déjà cette aventure monétaire comme un échec, et, en tout état de cause, comme préjudiciable aux équilibres économiques de l’Allemagne. Ainsi, les finances publiques seront à nouveau sur une mauvaise pente en cas de sauvetage de pays du Sud, alors même que l’Allemagne s’est dotée d’une obligation constitutionnelle de ne quasiment plus s’endetter à partir de 2016. Mais il y a aussi le spectre de l’inflation qui guette la zone euro en raison d’une politique de taux trop laxiste durant les trois dernières années.

Sur le plan plus émotionnel, la messe est également dite : pour une raison un peu mystérieuse, et en tout cas pas très compréhensible historiquement, les Allemands considèrent qu’ils sont les vaches à lait de tout le monde. Est-ce le traumatisme du Traité de Versailles de 1919 qui imposa des réparations impossibles à honorer à l’Allemagne ? Ou n’a-t-on pas besoin de chercher une référence historique, et est-ce tout simplement la cure économique des dix dernières années qui a donné la rage à ceux qui se sont serré la ceinture, sur le ton de « si j’ai souffert, d’autres le devront également ».

Le grand philosophe Jürgen Habermas constate en tout cas que cette nouvelle mentalité allemande s’est installée au moment de la réunification et s’est renforcée depuis l’élection d’Angela Merkel en 2005. Il parle d’un recul de la « culture de la réserve » au profit d’une « conscience auto-centrée », aussi dans le domaine de la politique européenne qui vise désormais à installer « une Allemagne européenne dans une Europe germanisée ».

L’opinion publique allemande semble imposer sa volonté d’agir en faveur de l’intérêt allemand avant tout, et la zone euro et sa gouvernance actuelle sont perçus comme contraires à cet intérêt. Tant que les dirigeants politiques ne s’émanciperont pas de cette pression, l’euro et la politique impulsée par l’Eurogroupe sont en danger de mort.

Elisabeth Humbert-Dorfmüller, consultante, spécialiste de l’Allemagne, et membre du PS et du SPD

Source: http://www.prechi-precha.fr/

23/02/2011

Un autre clou dans le cercueil du multiculturalisme…

Le Conseil de l’Europe met en garde contre le multiculturalisme !


Conseil-de-leurope
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Le Conseil de l’Europe, gardien de la Convention européenne des droits de l’homme, a appuyé le nombre croissant de chefs de gouvernement ayant constaté l’échec du multiculturalisme, lequel constitue une menace à la sécurité.

«Nous constatons maintenant que le multiculturalisme permet à des sociétés parallèles de se développer au sein des États », a déclaré Thorbjørn Jagland, secrétaire général du Conseil, dans une interview au Financial Times. « Il faut arrêter cela. Il est également manifeste que certaines sociétés parallèles ont développé des idées radicales qui sont dangereuses. Le terrorisme n’est pas acceptable.»[…]

Mr Jagland a déclaré que les dirigeants européens [Angela Merkel, David Cameron, Nicolas Sarkozy] avaient ouvert un « important débat » qui doit être poursuivi. « Nous devons éviter de nous méprendre sur le multiculturalisme, car la diversité des cultures est souhaitable. Nous devons toutefois mettre l’emphase sur ce qui assure la cohésion de la société. » Les trois dirigeants européens ont invoqué l’identité européenne déterminée par les valeurs communes et les droits fondamentaux enchâssés dans la Convention européenne des droits de l’homme, y compris l’égalité entre les sexes et l’interdiction du mariage forcé. «Nous ne devrions pas accepter des attitudes et des comportements contraires à ces principes», a-t-il dit.

M. Ja gland a ajouté que les récents événements en Afrique du Nord montrent le danger de permettre à l’Europe d’affaiblir les droits humains au nom de la tolérance des différences culturelles ou ethniques. « Le respect des droits de l’homme est une question de sécurité. Lorsqu’il n’y a pas de droits humains, il y a de l’instabilité dans la société », a-t-il dit. […]

Le Conseil de l’Europe a demandé à un groupe formé d’universitaires éminents et d’anciens politiciens de formuler des recommandations sur la façon dont les gouvernements peuvent faire face aux défis posés par la diversité culturelle croissante. Le groupe déposera son rapport en mai.

Source : Council of Europe warns on multiculturalism, par Peggy Hollinger, Financial Times, 16 février 2011

D’après une info lue sur: http://www.postedeveille.ca/

10/11/2010

Air Zarkö one…

Avec vos impôts, vous avez le droit de regarder…

Le beau cadeau que nous avons fait à notre président avec l’argent de nos impôts fait couler beaucoup de kérosène… Sa folie des « grandeurs » nous coûte très cher… Mais ça, il s’en fout. Et puis, la « France d’en bas », ce n’est que pacotilles et gueuseries. Sauf à l’approche de élections… Il faut que les français fassent des efforts de mémoire en 2012…

FDF

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Merkel contre Air Sarko One selon le Daily Telegraph

Angela Merkel aurait conseillé à Nicolas Sarkozy de retarder la mise en service de son nouvel avion présidentiel selon le quotidien britannique Daily Telegraph.

« Retardez la mise en service de votre avion présidentiel à 150 millions, Sarkozy a été prévenu »

« Alors que 200.000 manifestants marchaient dans la rue en France lors de la dernière journée de grèves contre la réforme des régimes de retraite, Mme Merkel, la chancelière allemande, a suggéré que l’avion surnommé « Air Sarko One »reste dans son hangar. Des sources diplomatiques à Berlin racontent que Mme Merkel a dit à M. Sarkozy de « retarder »l’arrivée de ce nouveau symbole qui renforcerait sa réputation de président Bling Bling. »

Il y aura même un système de filtre à air pour faire face à la fumée des cigares de M. Sarkozy.

« On a raconté que M. Sarkozy avait souhaité une baignoire remplie à bord, mais il a été informé qu’elle pourrait déborder dans de fortes turbulences et endommager l’électronique du bord. Il y aura même un système de filtre à air pour faire face à la fumée des cigares de M. Sarkozy. »

Le Daily Telegraph rappelle que le Premier ministre britannique David Cameron a décidé de se déplacer sur des vols commerciaux, dans le cadre de son programme d’austérité.

http://www.youtube.com/watch?v=GOZ-vRmCEwE&feature=player_embedded

Source (via nationspresse.info)

 

21/10/2010

Zemmour commente les récentes déclarations d’Angela Merkel…

« Nous nous sentons liés aux valeurs chrétiennes. Ceux qui n’acceptent pas cela n’ont pas leur place chez nous ».

Angela Merkel

Ce qui veut dire (et ça fait plaisir…) « L’Allemagne, tu l’aimes ou tu la quitte! »

FDF

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Lire: http://www.dailymotion.com/video/xf9qid_eric-zemmour-le-debat-allemand-sur_news

12/10/2010

Contrairement à ce que dit Angela Merkel, la charia est appliquée en Allemagne…

Là, c’est grave… On a du mal d’y croire, et pourtant…

FDF

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La loi religieuse du 7e siècle dans l’Allemagne du 21e siècle…

EurabiaMap2
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Un éminent professeur de droit contredit la déclaration de la chancelière Angela Merkel à l’effet que la charia n’est pas appliquée en Allemagne.

Il a déclaré que des décisions fondées sur la charia étaient rendues de façon routinière. «Nous appliquons la loi islamique depuis des années, et c’est une bonne chose», a dit Hilmar Krüger, professeur de droit international privé à l’Université de Cologne, au magazine Der Spiegel.

Les décisions en droit de la famille et des successions sont souvent rendues conformément à la loi islamique, a-t-il dit, énumérant une série d’exemples. Les femmes dans des mariages polygames qui sont légaux dans leur pays d’origine peuvent faire des demandes à leur mari en Allemagne même si leur mariage n’est pas légal ici.

Elles peuvent réclamer une pension alimentaire de leur mari et une part d’un éventuel héritage, a déclaré Krüger.

Les juges allemands font souvent référence à la charia, comme ce fut le cas pour la cour sociale fédérale de Kassel il y a quelques années.

La deuxième épouse d’un homme décédé réclamait une part de sa pension de retraite mais la première épouse voulait la garder en totalité pour elle seule.

La cour lui a ordonné de la partager.

Dans un autre cas, la chambre d’appel du tribunal administratif de Coblence a accordé à la seconde épouse d’un Irakien vivant en Allemagne, le droit de rester au pays.

Elle avait vécu avec lui en Allemagne en tant qu’épouse pendant cinq ans et le tribunal a estimé qu’il serait injuste de la renvoyer seule en Irak.

Un juge de Cologne a statué qu’un Iranien devait remettre à sa femme la dot de 600 pièces d’or après leur divorce, conformément à la charia appliquée en Iran.

Mathias Rohe, avocat et spécialiste de l’islam à Erlangen a déclaré au magazine que l’application des lois de différents pays était une expression de la mondialisation.

«Nous appliquons la loi islamique comme nous appliquons la loi française », dit-il.

Un pays comme le Canada, par exemple, ne reconnaît aucune loi étrangère, mais la structure juridique allemande permet à certaines de ces lois d’être appliquées dans la mesure où elles ne contreviennent pas à la constitution.

Source : Sharia law being used in Germany in Muslims’ domestic disputes, The Local, 9 octobre

Merci à JLB pour l’nfo…

11/10/2010

Fermer les portes de l’Allemagne aux immigrants musulmans…

Thilo Sarrazin fait des émules…

FDF

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Une nouvelle controverse ravive le débat sur l’immigration en Allemagne suite à la déclaration de Horst Seehofer, le premier ministre de l’État de Bavière, (membre de la coalition d’Angela Merkel) qui a dit que l’Allemagne ne devrait plus accepter d’immigrants arabo-musulmans. Juste après la rencontre du Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan avec la chancelière Angela Merkel à Berlin, où elle a réaffirmé que les négociations d’adhésion de la Turquie à l’UE restaient “ouvertes mais sans aucune garantie,” Seehofer a appelé à empêcher dorénavant, certains groupes d’immigrer en Allemagne.

“Il est clair que les immigrants en provenance de milieux culturels différents, comme la Turquie ou les pays arabes, ont des difficultés,“ a-t-il dit au magazine hebdomadaire Focus News. “Ce qui m’amène à la conclusion que nous n’avons pas besoin de plus de migrants en provenance de ces milieux culturels.”

Lors d’une conférence régionale du parti, M. Seehofer a également déclaré que le concept du multiculturalisme du Parti des Verts avait échoué. “La réalité nous montre que le multi-culti est mort “ dit-il.

L’opposition demande des excuses

Les remarques de Seehofer font couler beaucoup d’encre.  Le leader parlementaire du Parti Vert, Renate Kuenast, a accusé M. Seehofer du populisme de droite et a exigé des excuses.

Ehrhart Koerting, le ministre  de l’Intérieur de la Etat-ville de Berlin, qui est social-démocrate , a accusé Seehofer de «stigmatiser» certains immigrants et de compromettre la paix intérieure.

Les membres de la coalition d’Angela Merkel, composée de l’Union chrétienne-démocrate (CDU) et de l’Union chrétienne-sociale en Bavière (CSU), ont exprimé des réserves sur les commentaires du leader bavarois.

[…]

Débats en cours

Depuis août, le débat fait rage en Allemagne après  que Thilo Sarrazin, de la Banque centrale, a du démissionner après avoir déclaré que le pays devenait  plus “bête” à cause  des immigrés musulmans peu instruit et improductifs, et de leurs enfants.


Source : DW-World.de

Extraits traduits par Bivouac-ID.

Source:  http://www.bivouac-id.com/2010/10/10/le-premier-ministre-bavarois-veut-fermer-les-portes-de-lallemagne-aux-immigrants-musulmans/

06/10/2010

« L’islam est le communisme contemporain »…

Et le communisme, c’est l’idéologie qui a fait le plus de morts au monde; devant le nazisme, loin devant… L’islam a déjà une bonne avance…

FDF

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Discours engagé, réflexions assurées !

Les analyses du monde politiquement incorrect méritent aussi d’être soumises au plus grand nombre.

Ayons le courage d’affirmer que la dénégation des idées amène la défaite de la pensée car beaucoup savent utiliser notre « angélisme tolérant » à leur grand avantage.

Ci-dessous, le discours que vient de prononcer à Berlin le responsable du parti de la droite néerlandaise venant de former un gouvernement de coalition en Hollande.


« L’islam est le communisme contemporain »

Cher Amis, je suis heureux d’être aujourd’hui à Berlin. Comme vous le savez, cette invitation de mon ami René Stadtkewitz, lui a coûté son statut de membre de la CDU de Berlin. Cependant, René ne s’est pas laissé intimider. Il n’a pas trahi ses convictions. Son éviction fut pour René l’occasion de fonder son propre parti politique. René, je te remercie pour cette invitation et te souhaite le succès que tu mérites avec ton nouveau parti.

Mes amis, comme vous le savez peut-être, ces dernières semaines furent pour moi épuisantes. En début de semaine nous avons pu former avec succès un gouvernement minoritaire avec les libéraux et les chrétiens démocrates, soutenus par mon parti. Cela est un événement historique pour les Pays Bas. Je suis fier d’avoir pu y contribuer. En ce moment même, dans le cadre d’une conférence, les chrétiens démocrates doivent décider leur entrée dans cette coalition.

S’ils le font, nous serons en mesure de reconstruire notre pays, de garder notre identité nationale et d’offrir à nos enfants un futur meilleur. Malgré mon agenda chargé, c’était pour moi une obligation de venir à Berlin, car, l’Allemagne aussi a besoin de défendre son identité allemande et de résister à l’islamisation de l’Allemagne.

La Chancelière Angela Merkel déclare que l’islamisation de l’Allemagne est inévitable. Elle appelle les citoyens à s’adapter aux changements provoqués par l’immigration. Elle souhaite que vous vous adaptiez à cette situation.

Le Président de la CDU déclare – je cite : « Les mosquées deviendront plus qu’avant une partie du paysage de nos villes. » fin de la citation. Mes amis, nous ne devons pas accepter l’inacceptable, sans essayer de tourner cette page. Il est notre devoir de politique, de préserver notre nation pour nos enfants.

J’espère que le mouvement de René sera autant couronné de succès que mon propre parti Partij voor de Vrijheid, comme celui de Oskar Freysinger, la Schweizerische Volkspartei en Suisse, ou celui de Pia Kjaersgaards, le Dansk Folkeparti au Danemark et autres mouvements du genre. Ma très chère amie, Pia, déclarait récemment à l’invitation de la Sverigedemokraterna : « Je ne suis pas venue, afin de me mêler de la politique intérieure suédoise. Cela est l’affaire des Suédois. Non, je suis venue car, malgré des différences certaines, le débat Suédois me fait penser au débat que nous avons déjà mené depuis 15 ans au Danemark. Et, je suis venue en Suède, car cela concerne aussi le Danemark. Nous ne pouvons pas rester assis là, les bras tombants et être des témoins muets du développement politique de la Suède. »

Ceci est valable pour moi en tant que Néerlandais concernant l’Allemagne. Je suis ici, parce que l’Allemagne est pour les Pays Bas et le reste du monde de grande importance parce que, sans un partenaire allemand fort, le « International Freedom Alliance » « Alliance Internationale pour la Liberté » ne pourra jamais être portée sur les fonds baptismaux. Mes chers amis, demain est le jour de l’unification allemande. Demain, depuis exactement vingt ans, votre grande nation se réunifiait, suite à la faillite de l’idéologie communiste. Le jour de la réunification de l’Allemagne est un jour important pour toute l’Europe.

L’Allemagne est la plus grande démocratie d’Europe…

Suite et source: http://tinyurl.com/353a52l

21/09/2010

Allemagne, terre de minarets…

La panzer-chancelière semble baisser les bras… Pas bon, ça, pas bon.

FDF

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« Une chose est sûre: notre pays va continuer à se transformer et l’intégration est un devoir pour une société qui accueille des immigrés. […] Pendant des années nous nous sommes bercés d’illusions sur ce sujet [mais] les mosquées, entre autres, vont devenir un élément plus présent dans notre paysage que par le passé »

Angela Merkel.