Francaisdefrance's Blog

29/02/2012

Mais pourquoi les islamistes s’en prennent exclusivement aux chrétiens ?

Ils ont peur des autres? Ou bien c’est une fixation? Que ce soit dans les pays les plus islamistes qui soient où dans les « cités », la chasse aux chrétiens est ouverte. Mais qu’est-ce qu’ils ont après la chrétienté? Ils sont jaloux, parce que celle-ci a su évoluer, mais pas eux ?

J’en viens à être pour le retour des croisades, version XXIe siècle. Résistance et riposte sur nos terres et opérations « coup de poing » chez eux… S’il faut en arriver là.

FDF

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Attentat-suicide meurtrier dans une église à Jos

Attentat-suicide meurtrier dans une église à Jos

Au moins trois personnes ont été tuées lors d’un attentat-suicide dans une église, ce dimanche, à Jos, dans le centre du Nigeria. Le pays est secoué quasi quotidiennement par des attaques attribuées à la secte islamiste Boko-Haram.

 Un kamikaze a pénétré dimanche au volant d’une voiture piègée dans une église chrétienne de Jos, dans le centre du Nigeria, tuant trois personnes en plein office, ont déclaré à l’AFP responsables religieux et témoins.

Il s’agit du dernier attentat en date dans le pays le plus peuplé d’Afrique, secoué quasi quotidiennement par des attaques, attribuées pour la plupart au groupe islamiste Boko Haram.

Des fidèles ont raconté que la voiture avait forcé le portail de l’église lors de l’office du matin.

« Nous étions dans l’église pour l’office quand un kamikaze en voiture a forcé le passage à travers la porte, puis dans l’église et a fait exploser la bombe », a indiqué le révérend John Haruna, de l’Eglise du Christ du Nigeria (COCIN).

Un autre fidèle membre d’une organisation chrétienne de défense des droits de l’homme, la Stefanos Foundation, a fourni un témoignage similaire.

« C’était un attentat suicide. L’auteur a pénétré en voiture dans l’église, il s’est approché de la chaire et ça a explosé. Trois fidèles sont morts et dix ont été blessés« , a rapporté Mark Lipdo.

Il a ajouté que des lambeaux de chair humaine jonchaient l’église et que des dizaines de voitures alentour avaient été détruites.

Ezekiel Gomos, qui a été blessé à la tête, a précisé que l’office avait commencé depuis 30 minutes quand il a vu une voiture noire franchir le portail de l’église. « Le poseur de bombe roulait à toute allure et nous avons entendu une énorme explosion et tout est devenu noir ».

Il a estimé que l’église, qui contient 800 sièges, était remplie à 80% à ce et que les victimes faisaient partie des derniers arrivants.

« S’il avait pénétré plus loin dans l’église il aurait pu faire plus de dégâts, mais Dieu veillait », a ajouté M. Gomos à son retour de l’hôpital où il avait été soigné.

La police n’était pas joignable dans l’immédiat.

Les attentats en progression dans le centre du pays

Boko Haram a lancé des attaques similaires au cours des derniers mois dans le nord et le centre du Nigeria, accroissant l’instabilité dans ce pays premier producteur de pétrole d’Afrique.

Les attentats se multiplient dans le centre situé entre le nord déshérité et majoritairement musulman, et le sud, où se trouve le pétrole, et qui est lui à dominante chrétienne.

Les islamistes veulent restaurer le califat islamique et imposer la charia au Nigeria, et à ses 160 millions d’habitants.

Des églises chrétiennes ont été visées à plusieurs reprises. Un spectaculaire attentat revendiqué par Boko Haram avait fait 44 morts le matin de Noël dans une église catholique du centre du Nigeria près de la capitale Abuja.

Dimanche dernier plusieurs personnes ont été blessées dans une explosion près d’une église de la banlieue d’Abuja.

Boko Haram a longtemps concentré ses actions dans le nord-est, principalement à Maiduguri, son fief. Mais le groupe a élargi son champ d’opération en même temps que ses assauts sont devenus de plus en plus sophistiqués et meurtriers.

Vendredi, des militants islamistes avaient attaqué un poste de police après avoir échoué à pénétrer dans une prison, à Gombe, dans le nord-est, tuant une douzaine de personnes.

D’autres violences se sont produites le même jour à Kano, la grande métropole du nord, où des hommes suspectés d’appartenir à Boko Haram ont abattu cinq fidèles d’une mosquée, dont le chef d’une milice locale financée par le gouvernement.

Kano avait été secouée le 20 janvier par une série d’attaques spectaculaires revendiquées par Boko Haram qui ont fait au moins 185 morts.

Le groupe s’est aussi attribué la responsabilité de l’attentat suicide contre le siège des Nations unies à Abuja en août 2011 (25 tués).

Source: http://www.france24.com/

15/02/2012

La vérité choque? Tant mieux; elle est là pour ça…

Lisez les lignes qui suivent. Vous ne pourrez qu’approuver…

FDF

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À l’heure où nous voyons en boucle sur toutes les chaînes de TV l’appel de l’Unicef concernant la famine dans la corne de l’Afrique, je rappelle à tous que les pays de l’Afrique concernés sont majoritairement musulmans mais que tous ces frères sont en guerre fratricide et chassent leurs frères, les laissent mourir de faim sans état d’âme.

 

Que font les pays voisins… musulmans de surcroît ?

 

Rien, et le Croissant Rouge (équivalent de notre Croix-Rouge)…

 

Rien. Mais c’est à nous de donner… Il manque 1 (et pas 2, ni 3) milliards d’euros…

 

Peut-être qu’au lieu de construire des hôtels de luxe, d’acheter des 4/4 ou de faire des patinoires dans le désert, il faudrait que les riches de chaque Émirat ou autre pays ouvrent leur porte-monnaie au lieu de demander aux ouvriers des méchants pays occidentaux d’ouvrir le leur… Et si chaque musulman d’Europe et d’ailleurs donnait un euro pour l’Afrique, voilà un geste qui le conduirait certainement au Paradis !

 

Voilà des décennies, si ce n’est plus, que ces pays sont dans la misère et, régulièrement, on nous matraque avec des images terribles de populations qui sont appelées à disparaître !  Femmes et enfants sont mis en avant afin de nous culpabiliser un peu plus, et ceci dans le but de nous soutirer de l’argent.

 

Des femmes musulmanes qui, avec leur croyance, font plein d’enfants alors qu’elles savent pertinemment qu’elles ne pourront les nourrir ! ! !  Peu d’hommes dans ces reportages… Pourquoi, alors que ces géniteurs engrossent leur harem et des gamines à peine pubères, ne sont-ils  pas conscients et responsables de leur folie ?

 

Deux mille ans de retard et une religion aveugle font de ces peuples des condamnés pour l’éternité. Croyez vous encore que c’est de notre faute et que nous devrions nous sentir responsables de tant de misères ?

 

Lorsque, dans un pays, il y a plus de balles de fusil que de grains de riz, nul ne saura jamais rien changer malgré toute la bonne volonté et tout l’argent du monde !  C’est triste mais hélas bien réel !

 

Bonne journée à tous et MÉDITEZ Bien !

 

Reçu d’un ami…

 

Faire suivre au moins 1 fois svp.

 

Merci ! ! !

 

Ce n’est pas un message raciste, mais réaliste,,,  pour ouvrir les yeux de ceux qui ne veulent pas voir ou entendre….

Merci à C.H….

11/01/2012

Stoppons immédiatement la repentance!

Image d’illustration…

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Une excellente analyse que je vous laisse le soin de découvrir. Bonne lecture.

FDF

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L’immigration et la mauvaise conscience européenne

 

« Nous courons sans souci dans le précipice, après que nous ayons mis quelque chose devant nous pour nous empêcher de le voir » (Blaise PASCAL)

 

Dés lors qu’il s’agit des relations entre pays développés et tiers-monde, l’Occident, et principalement la France, sont atteints d’un sentiment de culpabilité qu’entretient une classe intellectuelle et médiatique inspirée par l’idéologie mondialiste et le rejet du passé colonial présenté comme honteux. L’esclavage, le colonialisme, le capitalisme, l’exploitation sous toutes ses formes, que nous aurions infligés aux peuples du Sud, nous rendraient coupables à leur égard d’une faute  irrémissible et leur confèreraient sur nous des droits : devoir de repentance pour les uns, pour les autres droit aux compensations, à l’ouverture des frontières, et demain bien sûr droit à une revanche méritée.  Alors que sont  expulsées ou dépossédées les dernières minorités européennes des pays ex-colonisés et notamment  d’Afrique, il nous faudrait, au nom de ces « péchés » historiques, accepter et entretenir sur notre sol des flots de migrants venant de ces mêmes pays, y compris lorsqu’ils s’imposent chez nous en violant nos frontières et nos lois. Dans cette vision des choses, les coupables ne sont plus ceux qui renoncent à défendre nos valeurs, notre identité et notre territoire, mais ceux, qualifiés de « xénophobes », qui prétendent résister à un déferlement migratoire de plus en plus envahissant et arrogant. La manipulation idéologique s’appuie sur un arsenal législatif de jour en jour plus répressif.

 

Accueillir des migrants en surnombre auxquels nous n’avons à proposer que l’assistanat, l’économie parallèle et la délinquance, au nom de la compassion et du rachat de nos fautes présumées, est un faux argument auquel nos compatriotes cèdent trop facilement. L’alibi de la solidarité et de l’aide au tiers-monde ne tient pas : Les pays qui voient partir les migrants n’ont rien à y gagner sur le long terme. Le coût social d’un seul immigré africain en France permettrait d’en faire vivre et travailler utilement plusieurs dizaines chez eux. Aider les tricheurs attirés par le mirage de l’Eldorado français ne fait qu’enfoncer un peu plus leurs pays dans un sous-développement devenu chronique, car structurel. L’argent qu’ils envoient à leurs parents est investi dans l’immobilier de prestige (Bamako et Kayes, au Mali, sont entourées d’une ceinture de carcasses de béton abandonnées) ou sert à acquérir des biens de consommation importés au détriment de l’économie locale. Le « bon pain blanc », fabriqué avec de la farine de blé d’origine étrangère acheté avec l’argent des immigrés, a  ruiné les producteurs de vivriers locaux, mil, sorgho et manioc. Les politiques dites d’aide alimentaire aboutissent d’ailleurs aux mêmes conséquences, déstabilisant des économies fragiles et poussant les agriculteurs à émigrer, dans un premier temps dans les mégapoles africaines devenues ingérables, puis en Europe. Les « transferts de technologie », autre argument souvent invoqué en faveur de l’immigration, sont de très faible amplitude car les retours au pays sont de plus en plus exceptionnels et les savoir-faire acquis en France par une main-d’œuvre non qualifiée au départ  trouvent rarement un débouché en Afrique. Un éboueur parisien aura du mal à exercer ses talents dans la vallée du fleuve Sénégal, où, par contre, l’agriculture manque désormais de bras et surtout de débouchés rentables. L’immigration des cadres, dite à tort immigration « choisie » car elle n’est pas davantage maîtrisée que l’autre, est tout autant pernicieuse car elle prive l’Afrique de l’élite professionnelle dont elle aurait besoin pour enfin sortir de l’ornière.

 

L’immigration, conséquence du sous-développement et d’une décolonisation ratée, ne saurait en constituer le remède. Faire appel aux bons sentiments d’une opinion publique manipulée, mal informée et indûment culpabilisée, pour lui faire accepter l’intrusion sur son territoire d’une immigration envahissante qui tend à ruiner notre économie et à détruire notre identité, sans bénéfice décelable pour les pays d’origine des migrants, constitue une supercherie mortelle. Ce n’est pas en encourageant les comportements de fuite que nous contribuerons au développement des pays du Sud, bien au contraireL’émigration est un choix personnel, qui ne confère aux migrants aucun droit. Les intellectuels, politiques, magistrats, gens d’église, de media, de lettres et du spectacle, belles âmes en quête de valorisation personnelle ou électorale, qui jouent de la corde sensible pour instrumentaliser la pitié des Français, se trompent ou nous trompent. A l’époque coloniale et après, alors que la France constituait encore aux yeux des Africains authentiques un modèle et un partenaire respecté, beaucoup d’entre nous avons participé, sur un terrain difficile, à la construction d’une Afrique  prospère et  digne. Nous n’avons, à ce titre, aucune leçon de générosité à recevoir d’apprentis sorciers et d’idéologues toujours prêts à dénigrer la France, pour soigner leur image politique et promouvoir leur vision d’une humanité hors-sol, grise, déculturée et amnésique.

 

Robert SCHILLING

« La France est un pays qui s’est construit sur la diversité et sur l’immigration. Ça doit continuer. » (Nicolas SARKOZY, alors Ministre de l’Intérieur, le Monde 08/04/2003)

 

« L’absence de communauté nationale est facteur de guerre civile, tant que les citoyens ne partagent pas les mêmes valeurs de civilisation. Une cité ne se forme pas à partir de gens pris au hasard, et elle a besoin de temps pour se coaguler. C’est pourquoi, parmi ceux qui ont accepté des étrangers pour fonder une cité avec eux, et pour les intégrer à la cité, la plupart ont connu des guerres civiles. Par exemple, les tyrans de Syracuse, en ayant naturalisé les immigrés, ont dû subir des révoltes. Citoyens et étrangers en sont venus à se combattre »

(Aristote, Politique, Livre V)

 

« Nous devons être fous, littéralement fous à lier dans ce pays, pour autoriser chaque année l’entrée de 50.000 personnes, qui seront à l’origine de la future augmentation de la population d’origine immigrée. J’ai l’impression de regarder ce pays construire frénétiquement son propre bûcher funéraire » (Enoch Powell – 20 avril 1968)

 

Sous le titre « Stopper l’immigration, renforcer l’identité française », Marine Le Pen prévoit ceci dans son programme : « L’immigration non contrôlée est source de tensions dans une République qui ne parvient plus à assimiler les nouveaux Français. Les ghettos, les conflits interethniques, les revendications communautaires et les provocations politico-religieuses sont les conséquences directes d’une immigration massive qui met à mal notre identité nationale et amène avec elle une islamisation de plus en plus visible, avec son cortège de revendications. Le communautarisme est un poison contre la cohésion nationale. »

 

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– Cliquez sur ce lien :¤ Immigration : dossier brûlant

 

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– Appel à soulèvement des immigrés musulmans contre la France
http://www.petitsechodoran.com/flash-info/la-france-en-grand-danger-de-printemps-arabe,a3005645.html

18/12/2011

Le sabre, la nouvelle arme des gangs…

Stock de machettes au Rwanda 1984…

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Pour « fignoler » le billet précédent… A lire jusqu’au bout; on se croirait au beau milieu d’une banlieue de France…

Testé et approuvé dans toutes les « démocraties » d’Afrique…

FDF

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ILS LE FAÇONNENT EUX-MÊMES ET L’ARBORENT À LA MOINDRE OCCASION


Il s’agit d’une arme blanche qui s’est fortement incrustée dans les mœurs de la jeunesse algéroise. Emeutes, affrontements entre jeunes issus de quartiers populaires, bagarres générales… Le sabre est arboré à la moindre occasion. Mais il sert surtout à marquer les territoires des bandes rivales de l’Algérois, et à trancher dans les milieux de trafic de drogue. Le monopole. Des jeunes âgés entre 17 et 21 ans le façonnent eux-mêmes et le proposent à 1 000 DA. Sa prolifération est d’autant plus inquiétante que la division centre de la police judiciaire de la wilaya d’Alger a dû mobiliser, le jour, sur le terrain, une brigade de lutte contre la violence urbaine, en civil, et la nuit, une brigade d’intervention rapide et de répression du banditisme. Témoignages accablants, arrestations spectaculaires et périlleuses, terreur quasi quotidienne… Voici ce que cache Alger !
Début septembre 2011. Les éléments de la brigade criminelle de la division centre de la police judiciaire d’Alger font leur patrouille nocturne routinière. Ils sont de passage dans une ruelle du quartier Mohamed-Belouizdad (ex-Belcourt). Un bruit étrange émane de la cage d’escalier d’un immeuble. Ils s’arrêtent un peu plus loin et s’y glissent discrètement. Le surnommé Cheese, l’un des délinquants les plus dangereux de Belcourt, ajuste des plaquettes de fer pour façonner deux sabres, à l’aide d’une limeuse électrique. Le premier étant achevé, il ne lui reste plus qu’à tailler le second pour qu’il soit bien tranchant. Les policiers le chopent en flagrant délit. Cheese, le chef d’une bande de cinq personnes, s’apprêtait à les vendre, 1 000 DA chacun, à deux commerçants de Laâqiba, un des bazars informels les plus fréquentés de la capitale. Il fait depuis quelque temps de la fabrication de sabres son commerce et les façonnent à l’intérieur de la cage d’escalier de l’immeuble où il habite. Aucun voisin de l’entourage n’a eu jusque-là l’audace d’interrompre son œuvre prohibée ou du moins le dénoncer. Pourtant, le bruit qu’il propage est assourdissant. Mais c’est que Cheese, un jeune très menaçant, âgé d’à peine 21 ans, fait peur et surtout porte souvent sur lui un sabre. Il n’hésite d’ailleurs pas à en faire usage. Il a plusieurs démonstrations à son palmarès, la dernière remonte à peine à quelques jours avant son arrestation. Lui et sa bande ont affronté la bande dite Loufa, composée de trois jeunes délinquants de la cité Mahieddine (Chaâba). L’affrontement a eu lieu en plein Belcourt, sabres et barres de fer à la main. Un fourgon de police qui était de passage ce jour-là a tenté vainement d’intervenir. Mais c’était périlleux de le faire sans renfort. Les deux bandes rivales qui se disputaient le territoire de Necira-Nounou et Harcha, pour la vente de drogue, se sont subitement retournées contre la police. Ils ont carrément saccagé le fourgon. Histoire de faire passer le message : «Pas d’ingérence dans nos affaires.» La police était, depuis, à leurs trousses et l’arrestation de Cheese a permis de les faire tous tomber. Plusieurs sabres et une petite quantité de drogue ont été récupérés. Ils ont été neutralisés un par un lorsqu’ils s’aventuraient à dépasser de quelques mètres les limites de leur quartier, étant donné qu’il est difficile de les arrêter devant chez eux, explique le chef de la division centre de la police judiciaire de la wilaya Alger, Tarek Keskas. «Dès que nos éléments procèdent à une arrestation, dans ce genre de quartier, c’est tout le monde qui se met contre eux. Des jeunes s’attaquent à eux en lançant des pierres, d’autres, parfois des femmes, larguent de leurs balcons des bouteilles en verre et autres objets. C’est pour cela que chaque opération que nous menons est étudiée et préparée à l’avance, parfois à la faveur d’un renseignement, alors que dans d’autres moments ça nécessite toute une stratégie, car ils sont très dangereux», ajoute le commissaire principal Tarek Keskas. L’exemple le plus significatif est peut-être celui de l’arrestation du surnommé Jambaz, un jeune délinquant hyper dangereux, âgé de 18 ans, et qui a à son actif 23 agressions à l’arme blanche. Il est issu du quartier Marché T’nach, rue Fayçal M’barek, à Belcourt, et manier le sabre est pour lui un jeu d’enfant. Il n’appartient à aucune bande et préfère agir en solo. Vers la fin du mois de Ramadan de l’année en cours, les éléments de la brigade de lutte contre la criminalité et la violence urbaine passent à l’action. Après plusieurs jours de préparation, les policiers en civil l’arrêtent à l’entrée de l’immeuble de son domicile à l’heure du f’tour (moment de rompre le jeûne). Subitement, une armada de jeunes gens du quartier sort de partout. Sabres et barres de fer à la main, ils se lancent à l’assaut des policiers. Un des éléments de ladite brigade soulève le jeune recherché et commence à courir vers le véhicule de police. Jambaz ne se laisse pas faire et le mord à l’épaule. Le policier en question reçoit un coup de barre de fer au-dessus de l’œil par un des jeunes voisins de Jambaz, mais il ne le lâche pas pour autant. Il réussit ainsi à le transporter jusqu’au véhicule avant de quitter illico les lieux. Ils ont failli y laisser leur vie. Il s’agit, en effet, d’une brigade créée il y a une année et qui a été mise à la disposition de la division centre de la police judiciaire d’Alger. Ils sont environ 60 éléments qui sillonnent à pied et en civil, le jour, les grands boulevards des quatre circonscriptions administratives de Sidi M’hamed, Hussein Dey, Bir Mourad Rais et Bab- El-Oued. Sur les 455 personnes arrêtées et déférées devant la justice par la division centre de la police judiciaire d’Alger, depuis le début de l’année en cours, 206 l’ont été par les éléments de cette nouvelle brigade. La plupart arrêtées pour port ou agression à l’arme blanche. D’ailleurs, plus de 500 armes blanches prohibées ont été récupérées à la faveur de ces opérations. «Ils sont déployés, en civil, sur le terrain pour veiller sur la sécurité des individus, parer aux agressions, contrôler les personnes suspectes de porter des armes blanches… c’est aussi et surtout une manière de faire dans la prévention, car celui qui porte aujourd’hui un couteau demain il portera un sabre ; celui qui vend aujourd’hui du cannabis, demain il touchera à l’héroïne… et comme les armes blanches et la drogue vont souvent ensemble, il faut agir à la base. Ce sont d’ailleurs les directives du DGSN lui-même, lequel a instruit de combattre la criminalité à la racine et de renforcer la lutte contre le port d’armes blanches, notamment les sabres qui constituent depuis environ deux ans un phénomène de plus en plus inquiétant», dira Tarek Keskas.
Climat-de-France délivré de Saïd El-Wahch Saïd El-Wahch
(la bête), comme on le surnomme, est le chef d’une bande de cinq personnes du quartier Climat-de- France. Il faisait l’objet d’un mandat d’arrêt et a à son actif plusieurs affaires, entre autres, atteintes aux personnes, aux forces de l’ordre, ainsi que destruction de biens publics… Lui et le surnommé Tyson, chef d’une autre bande de Climat-de-France sont constamment en guerre avec la bande de Mansour Echitane (le diable), du quartier Beau- Fraisier. Ils se livrent batailles à coups de sabres au niveau de la place Triolet. Un monopole de vente de la drogue, très prisé par les uns et les autres. Mansour Echitane et ses 16 acolytes n’écoulaient pas rapidement leur marchandise à Beau- Fraisier. La place Triolet est beaucoup plus porteuse et ils ont ainsi tenté de s’emparer à maintes reprises des lieux par la force. C’est le sabre qui a finalement tranché après plusieurs batailles rangées en janvier et mars derniers. Parfois, pour déjouer la vigilance policière, des émeutes sont provoquées à cet endroit précis, pour faire passer la drogue, livrer une commande ou la détailler sur les jeunes dealers de la région. Les pneus brûlés et les routes coupées à la circulation n’expriment pas toujours le ras-le-bol d’une population exigeant le relogement et l’amélioration des conditions de vie, mais obéissent aussi à des calculs macabres pour le passage de la drogue ou autres objets prohibés. De la manipulation. Pour Saïd El-Wahch et ses compagnons, la police n’a pas eu recours à la même méthode d’arrestation du surnommé Jambaz de Belcourt. Ils sont beaucoup plus dangereux pour les traquer dans leur quartier. Les éléments de la brigade criminelle de la division centre de la police judiciaire d’Alger ont attendu le moment propice, un renseignement communiqué durant le mois de septembre dernier. La bande de Saïd El-Wahch allait se déplacer dans un fourgon à Tizi-Ouzou pour assister à un match de foot opposant le Mouloudia d’Alger à la JS Kabylie. Mais ce n’est pas vraiment leur passion pour le MCA qui est à l’origine de ce déplacement. C’est plutôt leur soif de vengeance, un règlement de compte avec le surnommé Hmed Kamikaz, le chef d’une bande de «Djamaâ Lihoud», rue de la Lyre. Ils allaient l’abattre en terrain neutre, à Tizi Ouzou. Ils seront finalement arrêtés à l’entrée de l’autoroute en possession de deux sabres, un fusil à harpon et des couteaux. Un massacre a été évité, car sous l’effet de psychotropes, ils auraient facilement pu commettre l’irréparable à Tizi Ouzou. Le surnommé Tyson, quant à lui, a été arrêté vers le 20 août, et une semaine après, ce fut le tour de ses trois acolytes, dont les deux frères dits El-Sori, en référence à leur région d’origine, Sour-El-Ghozlane. Il s’agit de deux individus extrêmement dangereux. Les éléments de la brigade criminelle ont trouvé en leur possession quatre sabres, un fusil à harpon avec ses trois flèches, un javelot à trois flèches, plus de 100 g de kif et deux chiens, un rottweiler et un berger allemand. Une semaine avant leur arrestation, ils ont violé le domicile d’un individu, avec les deux chiens et des sabres, pour une histoire de drogue. La bande de Mansour Echitane de Beau- Fraisier a également été démantelée avec son lot de sabres et de poignards à triple dent. Ce sont ces bandes qui descendaient avec des sabres, la nuit, à Bab-El-Oued, pendant le mois de Ramadan passé, faire la loi et s’en prendre à la population.

La bande Vicky, les deux Maliens, le pitbull et l’héroïne
Le quartier de Saint-Eugène n’a peut-être jamais connu de pires moments que ceux du temps de Vicky et sa bande. Elle comptait en effet cinq Algériens, deux Maliens et… un pitbull. Un chien d’une rare sauvagerie. Ils campaient quotidiennement sur les escaliers du marché du quartier où ils semaient la terreur. Hormis les agressions, ils vendaient de la drogue, le cannabis comme l’héroïne. Pour un oui ou pour un non, ils lâchaient leur chien et arboraient leurs sabres. Tout le monde était terrifié, personne n’osait protester ou parler. Ils régnaient sur leur territoire portant des sabres qu’ils ont eux-mêmes façonnés. Pour les arrêter, les éléments de la brigade des stupéfiants de la division centre de la police judiciaire d’Alger ont dû mettre en place tout un stratagème. Ils seront d’abord divisés puis neutralisés un par un, vers la fin du mois d’octobre dernier ; deux sabres et 42 g d’héroïnes seront récupérés. Les éléments de la même brigade ont également arrêté, quelques semaines auparavant, trois individus au boulevard Amirouche, à Alger-Centre, en possession d’un sabre, cinq couteaux, six cocktails Molotov, 94 g de cannabis et 182 comprimés de psychotropes. Lors du récent match de foot qui a opposé le CR Belouizdad à l’USM Alger, quatre personnes à bord d’une Peugeot 206 ont été arrêtées à Ben Aknoun en possession de deux sabres. Durant les récents affrontements qui ont opposé les habitants de Beni Messous aux nouveaux relogés en provenance de Djenan-El-Hassan à Bab-El- Oued, les sabres circulaient comme des baguettes de pain, et des jeunes en ont eu recours pour défier les forces de l’ordre intervenues sur les lieux. «Il est vrai que ça devient de plus en plus inquiétant et nous avons dû mobiliser toutes nos brigades, y compris les BMPJ pour parer à ce phénomène. Aujourd’hui, celui qui n’achète pas son sabre, il le fabrique. Avant, les gens avaient recours à cette arme blanche dans des cas isolés, mais depuis deux ans c’est presque toute la jeunesse qui en fait usage. C’est devenu pour certains un jeu d’enfant et c’est justement là que consiste le danger», regrette Tarek Keskas.
El-Harrach, El-Kawassir et le sabre

Au niveau des différents quartiers de la rive gauche de l’embouchure de l’oued El-Harrach, à savoir La Faïence, P.L.M., La Gare, Sainte-Corinne, Fouquereau, Dussolier, Djenane Mabrouk, La Cressonnière, et la route d’Alger, celui qui ne possède pas un sabre est une personne vulnérable et sans défense. C’est cette arme tant idolâtrée qui décide de tout dans l’ex-Maison Carrée. Les ferronniers les livrent comme un boulanger écoule ses petits pains et font depuis fortune. Dans cette région de l’est d’Alger, il faut dire que certains ont même atteint le génie dans l’art de fabrication et de la décoration des sabres en tous genres. «Les ferronniers récupèrent les lames des véhicules de marque 404 bâchée, pour le façonnage de sabres à poignée de bois et diversement décorés. Ils les proposent entre 2 500 et 3 000 DA. Quant aux vrais sabres japonais importés, ils coûtent, prix d’occasion, entre 10 000 et 15 000 DA. «Le mien, je l’ai acheté à 800 francs, en 1992, à Paris. Je le garde toujours à la maison et la plupart des anciens d’El-Harrach en possèdent un. Car à l’époque, on pouvait faire entrer une épée au pays sans le moindre problème. Très rares sont ceux, aujourd’hui, qui sont prêts à vendre leurs vrais sabres. Pour en acheter un, il faut vraiment tomber sur quelqu’un qui traverse une mauvaise passe financière», raconte un quadragénaire de la rive gauche d’El-Harrach, qui malgré son âge et son statut de père de famille n’arrive toujours pas à se détacher de son sabre ! C’est le milieu dans lequel il évolue qui lui dicte sa démarche. Mais le sabre a peut-être sa propre histoire à El-Harrach. C’est lié au feuilleton de guerre El-Kawassir. Diffusé il y a quelques années sur l’ENTV, ce film qui raconte les conquêtes d’une tribu qui a existé dans un lointain passé a eu une influence particulière sur la jeunesse d’El-Harrach. Les supporters de l’USM El-Harrach sont, depuis, baptisés El-Kawassir et pour «mériter et sauvegarder ce titre», chacun doit posséder un sabre et exceller dans sa manipulation. Triste réalité que de s’identifier, en ces temps modernes, à une tribu barbare des âges obscurs ! C’est que les clichés psychiques de la jeunesse de la capitale algérienne n’évoluent pas avec la psyché collective mondiale. La jeunesse algéroise a adopté le sabre dans ses mœurs comme un couple sans progéniture adopte un enfant et ne s’en détache plus jamais. Sa prolifération a atteint un seuil alarmant et si des mesures exceptionnelles ne sont pas immédiatement prises, l’Algérie risque, un jour, de se faire trancher et de saigner par ce même sabre et sa jeunesse.

Source: http://www.lesoirdalgerie.com/

11/12/2011

« C’était mieux du temps des blancs »…

L’Afrique avouerait elle son échec en matière de désir d’indépendance ?

FDF

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http://youtu.be/X3Hf-GgNcOw

Merci à DG pour l’info…

29/11/2011

Encore un bienfait de l’immigration: le sida…

Au lieu de leur envoyer de la nourriture (qui se transforme en armement avant d’arriver à destination) pourquoi ne pas leur envoyer des préservatifs? Neufs, bien sûr…

Ca, ce serait un geste humanitaire… Si il y a de la demande, je participe; chiche !

FDF

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Il faudrait aussi leur apprendre à s’en servir…

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Des données interprétées sous le titre suivant par la presse française : « L’épidémie de Sida stable en France »…
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(…) Sur les quelque cinq millions de tests de dépistage réalisés en 2010, environ 10.800 ont révélé une contamination par le VIH et près de 6.300 personnes ont découvert leur séropositivité à cette occasion. Un nombre qui, après avoir diminué entre 2004 et 2007, semble s’être stabilisé depuis. Alors que les nouvelles contaminations par le VIH étaient estimées à environ 7.000 en 2008, ces chiffres signifient qu’ « on n’arrive pas à faire reculer le nombre de nouveaux cas », a déclaré Eric Fleutelot, directeur général adjoint de Sidaction. Mais, souligne-t-il, ils indiquent aussi qu’il n’y a « pas de généralisation de l’épidémie à toute la population ». Europe 1.

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Les 2 500 hétérosexuels nés à l’étranger représentent la majorité des découvertes chez les hétérosexuels (69%). Il s’agit essentiellement de personnes nées en Afrique subsaharienne (76%).

Cliquer pour agrandir :

(…) La région Ile-de-France concentre 44% des nouveaux cas. Autre point noir en terme de nouvelles infections, la Martinique, la Guadeloupe et la Guyane représentent 9% du total des nouveaux cas. Le Point.fr

Les personnes contaminées par rapports hétérosexuels

En 2010, ce sont 3 600 personnes contaminées par rapports hétérosexuels qui ont découvert leur séropositivité, représentant 57% de l’ensemble des découvertes. Leur nombre a tendance à diminue depuis 2007, notamment chez les personnes nées à l’étranger. Les 2 500 personnes hétérosexuelles nées à l’étranger représentent la majorité des découvertes chez les hétérosexuels (69%). Il s’agit essentiellement de personnes nées en Afrique subsaharienne (76%) et de femmes (60%).  Source  : Institut de Veille Sanitaire, page 3.

Source: http://www.defrancisation.com/

Appels aux dons: pourquoi le Tiers-Monde ne se développe pas ?

Un petit rappel au sujet des appels aux dons…

FDF

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« A part le sida, l’Afrique ne nous apporte rien ! »

Kevin Myers - The Irish Independent - Africa is giving nothing to anyone -- apart from AIDS(Africa is giving nothing to anyone — apart from AIDS)

Article paru dans “The Irish Independent”, le 10 juillet 2008.

par Kevin Myers, journaliste et éditorialiste irlandais.

« Alors même que les États africains refusent de prendre des mesures pour restaurer un semblant de civilisation au Zimbabwe, il nous faudrait de nouveau faire l’aumône, à l’Ethiopie cette fois. L’Éthiopie était déjà au centre de l’actualité il y a près de 25 ans, avec la campagne contre la faim de Bob Geldof. Et durant ce laps de temps, la population du pays a bondi de 33,5 à 78 millions d’habitants…

Pourquoi diable devrais-je de nouveau encourager la croissance démographique catastrophique de ce pays ? Où est la logique ? Il n’y en a aucune. Et deux choses me disent que la logique ne compte pas dans cette affaire.

Africa's peoples are outstripping their resources, and causing catastrophic ecological degradation, writes Kevin Myers. A sick child waits in line to be screened at Giara Clinic, Southern EthiopiaLa première, c’est ma conscience. La seconde, c’est l’image, une fois de plus, d’un de ces enfants qui, une fois de plus, fixe l’objectif, de ses yeux une fois de plus grand ouverts, illustrant une fois de plus la tragédie qui une fois de plus, etc.

Désolé mais moi, j’ai parcouru ce pays. A pied et financièrement. Contrairement à beaucoup d’entre vous, je suis allé en Ethiopie. Comme beaucoup d’entre vous, j’ai craché au bassinet pour les bonnes œuvres qui là-bas luttent contre la famine. L’enfant aux yeux grand ouverts que nous avons sauvé il y a 20 ans est désormais cet homme en rut, arborant une Kalachnikov et procréant comme bon lui semble au gré de ses poussées hormonales.

Il y a sans doute de bonnes raisons pour prolonger ce système économique, social et sexuel détraqué et destructeur. J’ignore lesquelles. Et il y a surement toutes les bonnes raisons du monde de ne pas écrire le présent article.

Ces lignes ne me rallieront à coup sûr aucune amitié. Elles provoqueront le courroux indigné des lecteurs bien-pensants, une catégorie qui ne manque jamais une occasion de pervertir le débat public irlandais de ses persiflages et de ses injonctions morales. (…) Qu’importe…

Mais par pitié, vous, les représentants des ligues de vertu bien pensantes, épargnez-moi les allusions à “Notre Famine” et les analogies trop faciles [ndlr : allusion à la Grande Famine irlandaise entre 1845 et 1852, dont les effets se feront sentir de longues années] . Il n’y aucune comparaison possible. En 20 ans de famine, la population de l’Irlande a été réduite de 30%. Durant ce même laps de temps, grâce à l’aide alimentaire occidentale, aux semi-remorques Mercedes à dix roues et aux avions Hercules, la population de l’Éthiopie a plus que doublé.

Hélas, ce pays dévasté n’est pas isolé dans sa folie… Quelque part, dans ce continent merveilleux, se trouve la Somalie ; un autre charmant pays bien pourvu en fainéants perpétuellement en rut, brandissant des Kalachnikovs, mâchonnant du khat et excisant les filles. C’est désormais un continent pratiquement entièrement peuplé d’indigents sexuellement hyper-actifs, et des dizaines de millions de personnes ne survivent que grâce à l’aide internationale.

Cette dépendance n’a pas encouragé la prudence politique, ou le simple bon sens. La sottise vaudou semble constamment gagner du terrain et le prochain Président d’Afrique du Sud est persuadé qu’un peu d’eau du robinet sur un pénis post-coïtal est un bon moyen de prévenir les infections. En outre, cela va sans dire, la pauvreté, la faim et l’écroulement social n’ont pu prévenir des guerres ineptes au Tigré, en Ouganda, au Congo, au Soudan, en Somalie, en Erythrée, etc.

Une situation dépeinte à grands coups de crayon, certes. Mais c’est ainsi que l’histoire a souvent dépeint ses épisodes les plus sordides, les plus décisifs aussi. Le Japon, la Chine, la Russie, la Corée, la Pologne, l’Allemagne, le Vietnam, le Laos, le Cambodge… ont eu à surmonter des épreuves bien plus dures que celles que doit endurer l’Afrique. Tous ces pays aident aujourd’hui ce continent, y investissent, alors que l’Afrique, avec ses vastes savanes et ses opulents pâturages n’apporte pratiquement rien à personne, si ce n’est le Sida.

Pendant ce temps, les populations africaines épuisent leurs ressources, et provoquent des dégâts écologiques catastrophiques. En 2050, la population de l’Ethiopie sera de 177 millions : l’équivalent de la France, de l’Allemagne et du Benelux réunis, mais situés dans les zones arides et dévastées de la Vallée du Rift, où l’on trouve de moins en moins de sources de protéines.

Quel sens cela a-t-il d’encourager activement l’augmentation de la population adulte d’un pays déjà surpeuplé, à l’environnement dévasté et économiquement dépendant ? En quoi est-il moral de sauver un enfant éthiopien de la faim aujourd’hui, et lui permettre de survivre dans un contexte de circoncision brutale, de pauvreté, de faim, de violence et de sévices sexuels, qui résultera en une autre demi-douzaine d’enfants aux grands yeux, dont les perspectives seront tout aussi réjouissantes ? Cela vous permettra sans doute de vous sentir mieux, ce qui est la raison principale d’une charité aussi abondante. Mais ce n’est pas suffisant.

Cette charité intéressée est l’un des fléaux de l’Afrique. Elle a permis de maintenir en place des régimes politiques qui se seraient effondrés autrement. Elle a prolongé de 10 ans la guerre entre l’Erythrée et la Somalie. Elle a inspiré à Bill Gates un programme d’éradication de la malaria, alors qu’en l’absence quasi complète d’auto-discipline, cette maladie est actuellement l’une des formes les plus efficaces de contrôle des populations.

Si ce programme réussit, se vante-t-il, des dizaines de millions d’enfants qui seraient morts en bas-âge parviendront à l’âge adulte. Très bien, et ensuite ? Hmm… je sais. Qu’ils viennent tous ici. En voilà une riche idée.

Kevin Myers

Titre original : Africa is giving nothing to anyone — apart from AIDS

http://www.independent.ie/opinion/columnists/kevin-myers/africa-is-giving-nothing-to-anyone–apart-from-aids-1430428.html

Cet article a depuis été censuré par “The Irish Independent” mais… il reste encore de nombreuses réactions à cet article :

Friday July 11 2008

http://www.independent.ie/opinion/letters/africa-must-share-blame-for-turmoil-1431300.html

http://www.independent.ie/opinion/letters/continent-was-exploited-by-west-1431301.html

Saturday July 12 2008

http://www.independent.ie/opinion/letters/looking-too-hard-at-the-big-picture-1431714.html

http://www.independent.ie/opinion/letters/making-private-thoughts-public-1431995.html

Monday July 14 2008

http://www.independent.ie/opinion/letters/starving-people-betrayed-by-own-rulers-1432468.html

http://www.independent.ie/opinion/letters/life-is-not-always-worth-preserving-1432540.html

http://www.independent.ie/opinion/letters/thanks-for-brave-article-on-africa-1432542.html

http://www.independent.ie/opinion/letters/mr-myers-wants-the-final-solution-1432543.html

Etc.

http://www.independent.ie/search/?q=kevin+myers (aller aux pages de juillet 2008)

Version pdf :
faminafrick
faminafrick.pdf

210 Ko

Version pdf de l’article original (en anglais) avant censure :
Africa is giving nothing to anyone -- apart from AIDS / By Kevin Myers, Thursday July 10 2008, http://www.independent.ie/opinion/columnists/kevin-myers/africa-is-giving-nothing-to-anyone--apart-from-aids-1430428.html
24702573-08-07-10-independent-ie-africa-is-giving-nothing-to-anyone-apart-from-aids_kevin-myers.pdf

350 Ko

Vous partagez le point de vue exprimé par Kevin Myers ?

Vous n’êtes pas le seul :

Gaston Kelman : « Arrêtez d’aider l’Afrique ! » (vidéo)
Gaston Kelman

http://en.sevenload.com/videos/Qiod3dE-Gaston-Kelman-Arretez-daider-lAfriquehttp://www.fdesouche.com/59347-gaston-kelman-arretez-daider-lafriquehttp://www.mefeedia.com/watch/22168819http://www.in.com/videos/watchvideo-gaston-kelman-arrtez-daider-lafrique–4537703.html

Pourquoi le Tiers-Monde ne se développe pas
Pourquoi le Tiers-Monde ne se développe pas
fdesouche_com-pourquoi_le_tiers-monde_ne_se_developpe_pas.pdf

Source : fdesouche.com/56866-pourquoi-le-tiers-monde-ne-se-developpe-pas/

L’Afrique noire est mal partie
L’Afrique noire est mal partie
l_afrique-noire-est-mal-partie_libertyvox364.pdf

Source : libertyvox.com/article.php?id=364

Les somnifères de l’Afrique
Les somnifères de l'Afrique - deux pages - pdf
les_somniferes_de_l-afrique2pages.pdf

Source : http://sitamnesty.wordpress.com/2009/04/19/les-somniferes-de-lafrique/

Course vers la mort
Course vers la mort - deux pages - pdf
course_vers_la_mort.pdf

Source : http://sitamnesty.wordpress.com/2009/03/17/course-vers-la-mort/

« Sans papiers » ni dignité !
« Sans papiers » ni dignité ! - deux pages - pdf
sans-papiers-ni-dignite.pdf

Source : http://sitamnesty.wordpress.com/2009/04/28/%C2%AB-sans-papiers-%C2%BB-ni-dignite/

Le parasitisme social
Le parasitisme social - deux pages - pdf
le-parasitisme-social.pdf

Source : http://sitamnesty.wordpress.com/2009/05/02/le-parasitisme-social/

La malhonnêteté des intellectuels africains
La malhonnêteté des intellectuels africains - deux pages - pdf
la-malhonnetete-des-intellectuels-africains.pdf

Source : http://sitamnesty.wordpress.com/2009/05/11/la-malhonnetete-des-intellectuels-africains/

Pourquoi l’Afrique ne se développe pas
pourquoi-afrique-ne-se-developpe-pas-economie-corruption-agriculture - deux pages - pdf
pourquoi-afrique-ne-se-developpe-pas-economie-corruption-agriculture.pdf

Source : http://www.slateafrique.com/20967/pourquoi-afrique-ne-se-developpe-pas-economie-corruption-agriculture

bisounours jaune-orange

Un timbre pour informer les Bisounours

Le vrai drame c’est que ceux qui auraient le plus besoin de lire ces articles, surtout celui de Kevin Myers, ne les liront pas.

Non pas qu’ils ne voudront pas le lire mais ils n’auront simplement pas l’occasion de les lire, car ce sont tous de gentils bobos qui ne surfent jamais sur les Zafreu sites des fascistes intégristes catholiques racistes fanatiques islamophobes d’ekstraime-droâte.

Ceux qui auraient pourtant vraiment besoin de lire cet article ce sont les gens de l’ONG Action Contre la Faim, la bien nommée.

Alors pour qu’ils lisent cet article, le plus simple c’est bêtement de l’imprimer et de le leur envoyer par la poste. Bien obligés d’ouvrir l’enveloppe pour savoir ce qu’il y a dedans ils seront tout autant bien obligés de commencer à lire le courrier pour savoir de quoi il s’agit.

imprimer, adresser, poster : la nouvelle façon d'informer

Faisons tous un geste pour la planète : Mettons un flocon de plomb dans la tête de ceux qui élèvent inconsidérément nos futurs envahisseurs.

Au bout d’un certain nombre de flocons, ça peut faire son effet, et les faire craquer, comme la neige sur le toit.

Quoi mettre dans l’enveloppe ?

Imprimer l’article de Kevin Myers sur une feuille (recto-verso).

Un timbre de base permet d’envoyer deux feuilles.

Vous pouvez donc éventuellement joindre une deuxième feuille avec l’un au choix des divers articles complémentaires ci-dessus pour enfoncer le clou.

Embarras du choix parmi les articles complémentaires ? Grosse flemme ?
Vous pouvez à la place utiliser l’article suivant directement en 4 pages :

Faut-il laisser mourir l’Afrique ?
Faut-il laisser mourir l'Afrique ? - quatre pages - pdf
faut-il_laisser_mourir_l-afrique.pdf

Spécial Somalie été 2011

Utiliser l’article en 4 pages de Bernard LUGAN, expert de l’Afrique réelle :

Somalie été 2011 - article en 4 pages de Bernard LUGAN, expert de l'Afrique réelle
http://bernardlugan.blogspot.com/2011/07/somalie-merci-mais-nous-avons-deja.html

Imprimer directement depuis votre navigateur :
(Fichier [> Aperçu avant impression] > Imprimer… > Pages de : 1 à 1 [puis 2 à 2, 3 à 3 et 4 à 4])

Attention : après avoir imprimé l’article, corriger au bic une petite faute de frappe. Il est indiqué au deuxième paragraphe un taux de natalité brute de 48% alors que ce devrait bien évidemment être 48 pour mille, c’est à dire 48. Rajouter simplement le petit 0 qui manque au symbole %.

Mettre les deux feuilles dans une enveloppe, écrire l’adresse (voir ci-dessous), timbrer, poster.

Qui sont les destinataires ?

Les principales ONG Bisounours :
Cliquer sur un logo pour accéder à la page de leur site internet donnant leur adresse postale.

SITA un moment, SITA un timbre alors participe à l'opération SITA !
action contre la faimunicef
acted, agence d'aide à la coopération technique et au développementcarecroix rouge françaiseplansecours populaire francaissolidarités internationalvision du mondesecours humanitaire franceassociation survieMSF - Mèdecins du mondesos sahella chaine de l espoirAssociation - ONG - Médecins du Monde - ONG de solidarité internationale

SITA vers les USAEt aussi, avec l’article de Kevin Myers en version anglaise :

bill& melinda gates foundationMadonna foundation for Malawi

Un timbre tarif -20 grammes Monde-timbre Marianne vert = 20 grammes économiquetimbre Marianne vert = 20 grammes économiqueUn timbre de base tarif “USA” (affranchissement pour une lettre internationale jusqu’à 20g à destination du monde entier.) permet d’envoyer deux feuilles, vous pouvez donc ajouter une deuxième feuille d’information sur la véritable nature de l’islam.
Exceptionnellement, vous pouvez sur-timbrer avec deux timbres France si vous n’avez pas le timbre au bon tarif et pas le temps ou l’envie d´aller à la poste en acheter un.

Imprimer, poster… Voilà, ce n’est pas plus compliqué que ça de vraiment contribuer à aider l’afrique en appliquant le principe éprouvé Charité bien ordonnée commence par soi-même.

Si vous recevez des sollicitations de votre générosité pour sauver les pov’zafwikain avec des enveloppes « Lettre T » pour la réponse (donc sans avoir besoin de timbrer) vous pouvez de même envoyer ces articles.

Vous pouvez faire la promotion de la présente action dans les commentaires des articles parlant de l’Afrique
en postant le court slogan paradoxal suivant :Pour ne rien faire en faveur de l’Afrique, agissez : http://sitamnesty.wordpress.com/faminafrick/
Les africains ne sont pas des poulets, et les palestiniens, ne sont pas des lapins. Pourtant, madame, vous faites de l’élevage d’africains et de palestiniens dans des camps de réfugiés pour soulager les tiraillements de notre conscience comme le paysan du coin fait de l’élevage de lapins ou de poulets dans des clapiers et des poulaillers pour soulager les tiraillements de notre estomac. C’est donc bien de votre faute si, maintenant, l’Afrique ressemble à un gigantesque poulailler et la Palestine à un immense clapier.Desproges, Tribunal des Flagrants Délires

blog de Bernard Lugan - L'actualité de l'afrique réelle

Archives…

Bisounours prioritaire jusqu’en juillet 2011

ce que nous devons à l'afrique
P R O G R A M M E Une saison pour l’Afrique o c t o b r e 2 0 1 0 - j u i l l e t 2 0 1 1

Programme (pfd 2 Mo)
Adresse postale :
musee-dauphinois.fr/642-contacts.htm

16/11/2011

Les malfaisances d’une certaine idéologie… Ce sont les enfants qui « trinquent ».

Et le pourquoi du comment est d’une simplicité déroutante; mais dangereuse…

« La France a un taux de fécondité qui remonte » a dit récemment un haut politique. Rien de plus normal: il est indexé sur l’augmentation de l’immigration et l’ aspirateur à fric que sont toutes les allocations dédiées aux « nouveaux Français ». Et c’est sans compter sur les principes fondamentaux de l’islam qui fabrique en Europe de « futurs combattants » à grands coups de …………………. vous m’avez compris…

FDF

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30/10/2011

Paris d’hier et Paris d’aujourd’hui! Edifiant!

Cette « évolution », vous pouvez la suivre sur les deux diaporamas ci-joints. Ce n’est pas du racisme: c’est une constatation…

Bonne lecture visite.

FDF

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Paris 1970

Paris Barbès Château Rouge

06/09/2011

Libye: sale temps pour les Africains…

Les rebelles Libyens s’en prennent aux mercenaires Africains que Kadhafi avait « embauchés » pour « nettoyer le royaume ».

(Il faut que le CRAN agisse; et vite !!! Mais non, j’déconne; restez assis à vos bureaux à continuer d’organiser le racisme anti-blanc en France…).

Un site à visiter: http://amdys.over-blog.com/article-les-manifestants-libyens-font-la-chasse-aux-mercenaires-africains-67786327.html

(Attention! Images choquantes…).

FDF

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Soupçonnés d’être d’ex-mercenaires de Kadhafi, de nombreux immigrés subsahariens sont pris pour cible.

La traque des kadhafistes tourne fréquemment à la chasse aux Noirs. Sur la soixantaine de détenus des cellules du poste de police de Furnaj, quartier de l’est de Tripoli, quarante sont des Noirs d’origine africaine. «Kadhafi a fait venir des mercenaires de toute l’Afrique noire, auxquels il donnait la nationalité libyenne», explique M. Fathi, un ingénieur en construction qui fait office de commissaire auxiliaire à titre temporaire. «Regardez, voici les cartes que nous avons trouvées sur les prisonniers !»

Il montre une série de pièces d’identité plastifiées portant la mention : «Comité africain pour la défense du roi des rois d’Afrique.» Sur les cartes figurent aussi des noms d’ethnies tchadiennes ou nigérianes, Toubou, Ibo. «Kadhafi s’était fait élire roi des rois d’Afrique, et importait ses mercenaires pour combattre le peuple libyen», explique M. Fathi. Si la présence de combattants étrangers dans les rangs des kadhafistes s’est avérée dans plusieurs cas, elle a surtout contribué à alimenter le mépris traditionnel des Libyens pour les Noirs d’Afrique, confinant dans bien des cas au racisme le plus élémentaire.

Un prisonnier est extrait de sa cellule. Yassine Bare est sénégalais, et n’en mène pas large. «Je suis carreleur. Je n’ai jamais combattu pour Kadhafi», assure-t-il. «Comment as-tu eu cette carte de résident si tu n’étais pas un de ses soldats ?», interroge M. Fathi.

«C’est vrai, les Libyens n’aiment pas les Noirs, mais c’est à cause de leurs crimes», commente un policier dans l’assistance.

Boucs émissaires 

La politique panafricaine de Kadhafi, ainsi que l’attrait de la Libye, pays pétrolier relativement prospère accessible par la route depuis l’Afrique sahélienne, attirait de nombreux immigrants d’Afrique noire. Accusés d’être responsables de la hausse de la criminalité, ils avaient été l’objet de pogroms. En 2000, ces émeutes raciales avaient fait plusieurs dizaines de victimes.

La révolution libyenne a durement touché ces immigrés, estimés à plus d’un million de travailleurs peu qualifiés. La décomposition de l’État en a d’abord fait des victimes toutes désignées pour des criminels. Les fuyards qui avaient réussi en mars dernier à passer en Tunisie racontaient tous comment ils avaient été rançonnés à leur départ. Ceux qui sont restés bloqués dans le pays ont subi le même sort.

La victoire des rebelles les a ensuite transformés en boucs émissaires, chacun étant soupçonné d’avoir été un mercenaire de Kadhafi à moins de pouvoir apporter la preuve formelle du contraire.

Volés et battus 

Pris au piège, ayant tout perdu, plusieurs centaines de ces malheureux se sont réfugiés dans le petit port de pêche de Sidi Bilal, à Janzour, ville côtière à environ 12 kilomètres à l’ouest de Tripoli.

Campant depuis des semaines à bord de chalutiers rouillés ou sous la coque de navires à terre, ils n’ont nulle part où aller. On leur a volé leurs économies, leurs téléphones, et souvent leurs papiers.

«Ce n’était déjà pas très marrant avant la guerre de vivre en Libye», explique le pasteur Anthony, un Nigérian de 32 ans, originaire de Benin City, ouvrier en construction en même temps que ministre pentecôtiste de la Church of God Mission. «La façon qu’avaient les gens de nous traiter n’était pas correcte. On refusait parfois de nous payer notre salaire, on nous jetait des pierres dans la rue, où bien on se faisait arrêter par la police sans raison. Avec la guerre, c’est devenu pire. Je suis prêt à aller travailler n’importe où, sauf en Libye.»

Les gardes libyens de ce camp de réfugiés improvisé affirment que Kadhafi avait fait venir ces Africains dans le petit port avec l’intention de les envoyer vers l’Europe comme immigrants clandestins. «On ne sait pas quoi faire avec eux, explique l’un des gardes. Le CNT va prendre une décision.»

Mais certains de ces immigrés affirment avoir été amenés à Sidi Bilal par les rebelles. «J’ai été arrêté par les révolutionnaires et amené ici», dit Moussa Abou Mohammed, un laveur de voitures originaire de Kano, au Nigeria, qui travaillait en Libye depuis quatre ans. «Des Libyens m’ont volé tout mon argent et ma carte SIM. Seule l’ONU peut nous sauver.»

Justice Hassan, un plâtrier ghanéen, a été attaqué dans sa chambre il y a trois mois par des hommes armés dans le quartier de Furnaj, à Tripoli. «Je leur ai dit que je n’avais pas d’argent. Ils m’ont donné un coup de couteau, dit-il en montrant une longue cicatrice sur son abdomen. J’ai été emmené à l’hôpital par le fils de mon propriétaire. Mais je n’ai plus rien, nulle part où aller.»

Source: http://www.lefigaro.fr/

26/08/2011

Rappel: à part le sida, l’Afrique ne nous apporte rien ! Envoyons leur des préservatifs, d’abord…

Kevin Myers - The Irish Independent - Africa is giving nothing to anyone -- apart from AIDS(Africa is giving nothing to anyone — apart from AIDS)

Article paru dans “The Irish Independent”, le 10 juillet 2008.

par Kevin Myers, journaliste et éditorialiste irlandais.

Leurs gouvernements les affament. Et on fait appel à l’Occident… Il faudrait arrêter de nous prendre pour des cons.

En France, on nous a annoncé qu’il allait encore falloir plus se serrer la ceinture. Et charité bien ordonnée…

On peut néanmoins faire un geste envers ces populations: leur envoyer des préservatifs et leur apprendre à s’en servir. Et tout le monde se portera mieux…

FDF

Aidons les Africains !

« Alors même que les États africains refusent de prendre des mesures pour restaurer un semblant de civilisation au Zimbabwe, il nous faudrait de nouveau faire l’aumône, à l’Ethiopie cette fois. L’Éthiopie était déjà au centre de l’actualité il y a près de 25 ans, avec la campagne contre la faim de Bob Geldof. Et durant ce laps de temps, la population du pays a bondi de 33,5 à 78 millions d’habitants…

Pourquoi diable devrais-je de nouveau encourager la croissance démographique catastrophique de ce pays ? Où est la logique ? Il n’y en a aucune. Et deux choses me disent que la logique ne compte pas dans cette affaire.

Africa's peoples are outstripping their resources, and causing catastrophic ecological degradation, writes Kevin Myers. A sick child waits in line to be screened at Giara Clinic, Southern EthiopiaLa première, c’est ma conscience. La seconde, c’est l’image, une fois de plus, d’un de ces enfants qui, une fois de plus, fixe l’objectif, de ses yeux une fois de plus grand ouverts, illustrant une fois de plus la tragédie qui une fois de plus, etc.

Désolé mais moi, j’ai parcouru ce pays. A pied et financièrement. Contrairement à beaucoup d’entre vous, je suis allé en Ethiopie. Comme beaucoup d’entre vous, j’ai craché au bassinet pour les bonnes œuvres qui là-bas luttent contre la famine. L’enfant aux yeux grand ouverts que nous avons sauvé il y a 20 ans est désormais cet homme en rut, arborant une Kalachnikov et procréant comme bon lui semble au gré de ses poussées hormonales.

Il y a sans doute de bonnes raisons pour prolonger ce système économique, social et sexuel détraqué et destructeur. J’ignore lesquelles. Et il y a surement toutes les bonnes raisons du monde de ne pas écrire le présent article.

Ces lignes ne me rallieront à coup sûr aucune amitié. Elles provoqueront le courroux indigné des lecteurs bien-pensants, une catégorie qui ne manque jamais une occasion de pervertir le débat public irlandais de ses persiflages et de ses injonctions morales. (…) Qu’importe…

Mais par pitié, vous, les représentants des ligues de vertu bien pensantes, épargnez-moi les allusions à “Notre Famine” et les analogies trop faciles [ndlr : allusion à la Grande Famine irlandaise entre 1845 et 1852, dont les effets se feront sentir de longues années] . Il n’y aucune comparaison possible. En 20 ans de famine, la population de l’Irlande a été réduite de 30%. Durant ce même laps de temps, grâce à l’aide alimentaire occidentale, aux semi-remorques Mercedes à dix roues et aux avions Hercules, la population de l’Éthiopie a plus que doublé.

Hélas, ce pays dévasté n’est pas isolé dans sa folie… Quelque part, dans ce continent merveilleux, se trouve la Somalie ; un autre charmant pays bien pourvu en fainéants perpétuellement en rut, brandissant des Kalachnikovs, mâchonnant du khat et excisant les filles. C’est désormais un continent pratiquement entièrement peuplé d’indigents sexuellement hyper-actifs, et des dizaines de millions de personnes ne survivent que grâce à l’aide internationale.

Cette dépendance n’a pas encouragé la prudence politique, ou le simple bon sens. La sottise vaudou semble constamment gagner du terrain et le prochain Président d’Afrique du Sud est persuadé qu’un peu d’eau du robinet sur un pénis post-coïtal est un bon moyen de prévenir les infections. En outre, cela va sans dire, la pauvreté, la faim et l’écroulement social n’ont pu prévenir des guerres ineptes au Tigré, en Ouganda, au Congo, au Soudan, en Somalie, en Erythrée, etc.

Une situation dépeinte à grands coups de crayon, certes. Mais c’est ainsi que l’histoire a souvent dépeint ses épisodes les plus sordides, les plus décisifs aussi. Le Japon, la Chine, la Russie, la Corée, la Pologne, l’Allemagne, le Vietnam, le Laos, le Cambodge… ont eu à surmonter des épreuves bien plus dures que celles que doit endurer l’Afrique. Tous ces pays aident aujourd’hui ce continent, y investissent, alors que l’Afrique, avec ses vastes savanes et ses opulents pâturages n’apporte pratiquement rien à personne, si ce n’est le Sida.

Pendant ce temps, les populations africaines épuisent leurs ressources, et provoquent des dégâts écologiques catastrophiques. En 2050, la population de l’Ethiopie sera de 177 millions : l’équivalent de la France, de l’Allemagne et du Benelux réunis, mais situés dans les zones arides et dévastées de la Vallée du Rift, où l’on trouve de moins en moins de sources de protéines.

Quel sens cela a-t-il d’encourager activement l’augmentation de la population adulte d’un pays déjà surpeuplé, à l’environnement dévasté et économiquement dépendant ? En quoi est-il moral de sauver un enfant éthiopien de la faim aujourd’hui, et lui permettre de survivre dans un contexte de circoncision brutale, de pauvreté, de faim, de violence et de sévices sexuels, qui résultera en une autre demi-douzaine d’enfants aux grands yeux, dont les perspectives seront tout aussi réjouissantes ? Cela vous permettra sans doute de vous sentir mieux, ce qui est la raison principale d’une charité aussi abondante. Mais ce n’est pas suffisant.

Cette charité intéressée est l’un des fléaux de l’Afrique. Elle a permis de maintenir en place des régimes politiques qui se seraient effondrés autrement. Elle a prolongé de 10 ans la guerre entre l’Erythrée et la Somalie. Elle a inspiré à Bill Gates un programme d’éradication de la malaria, alors qu’en l’absence quasi complète d’auto-discipline, cette maladie est actuellement l’une des formes les plus efficaces de contrôle des populations.

Si ce programme réussit, se vante-t-il, des dizaines de millions d’enfants qui seraient morts en bas-âge parviendront à l’âge adulte. Très bien, et ensuite ? Hmm… je sais. Qu’ils viennent tous ici. En voilà une riche idée.

Kevin Myers

Titre original : Africa is giving nothing to anyone — apart from AIDS

http://www.independent.ie/opinion/columnists/kevin-myers/africa-is-giving-nothing-to-anyone–apart-from-aids-1430428.html

Cet article a depuis été censuré par “The Irish Independent” mais… il reste encore de nombreuses réactions à cet article :

Friday July 11 2008

http://www.independent.ie/opinion/letters/africa-must-share-blame-for-turmoil-1431300.html

http://www.independent.ie/opinion/letters/continent-was-exploited-by-west-1431301.html

Saturday July 12 2008

http://www.independent.ie/opinion/letters/looking-too-hard-at-the-big-picture-1431714.html

http://www.independent.ie/opinion/letters/making-private-thoughts-public-1431995.html

Monday July 14 2008

http://www.independent.ie/opinion/letters/starving-people-betrayed-by-own-rulers-1432468.html

http://www.independent.ie/opinion/letters/life-is-not-always-worth-preserving-1432540.html

http://www.independent.ie/opinion/letters/thanks-for-brave-article-on-africa-1432542.html

http://www.independent.ie/opinion/letters/mr-myers-wants-the-final-solution-1432543.html

Etc.

http://www.independent.ie/search/?q=kevin+myers (aller aux pages de juillet 2008)

Version pdf :
faminafrick
faminafrick.pdf

210 Ko

Version pdf de l’article original (en anglais) avant censure :
Africa is giving nothing to anyone -- apart from AIDS / By Kevin Myers, Thursday July 10 2008, http://www.independent.ie/opinion/columnists/kevin-myers/africa-is-giving-nothing-to-anyone--apart-from-aids-1430428.html
24702573-08-07-10-independent-ie-africa-is-giving-nothing-to-anyone-apart-from-aids_kevin-myers.pdf

350 Ko

Vous partagez le point de vue exprimé par Kevin Myers ?

Vous n’êtes pas le seul :

Gaston Kelman : « Arrêtez d’aider l’Afrique ! » (vidéo)
Gaston Kelman

http://en.sevenload.com/videos/Qiod3dE-Gaston-Kelman-Arretez-daider-lAfriquehttp://www.fdesouche.com/59347-gaston-kelman-arretez-daider-lafriquehttp://www.mefeedia.com/watch/22168819http://www.in.com/videos/watchvideo-gaston-kelman-arrtez-daider-lafrique–4537703.html

Pourquoi le Tiers-Monde ne se développe pas
Pourquoi le Tiers-Monde ne se développe pas
fdesouche_com-pourquoi_le_tiers-monde_ne_se_developpe_pas.pdf

Source : fdesouche.com/56866-pourquoi-le-tiers-monde-ne-se-developpe-pas/

L’Afrique noire est mal partie
L’Afrique noire est mal partie
l_afrique-noire-est-mal-partie_libertyvox364.pdf

Source : libertyvox.com/article.php?id=364

Les somnifères de l’Afrique
Les somnifères de l'Afrique - deux pages - pdf
les_somniferes_de_l-afrique2pages.pdf

Source : http://sitamnesty.wordpress.com/2009/04/19/les-somniferes-de-lafrique/

Course vers la mort
Course vers la mort - deux pages - pdf
course_vers_la_mort.pdf

Source : http://sitamnesty.wordpress.com/2009/03/17/course-vers-la-mort/

« Sans papiers » ni dignité !
« Sans papiers » ni dignité ! - deux pages - pdf
sans-papiers-ni-dignite.pdf

Source : http://sitamnesty.wordpress.com/2009/04/28/%C2%AB-sans-papiers-%C2%BB-ni-dignite/

Le parasitisme social
Le parasitisme social - deux pages - pdf
le-parasitisme-social.pdf

Source : http://sitamnesty.wordpress.com/2009/05/02/le-parasitisme-social/

La malhonnêteté des intellectuels africains
La malhonnêteté des intellectuels africains - deux pages - pdf
la-malhonnetete-des-intellectuels-africains.pdf

Source : http://sitamnesty.wordpress.com/2009/05/11/la-malhonnetete-des-intellectuels-africains/

Pourquoi l’Afrique ne se développe pas
pourquoi-afrique-ne-se-developpe-pas-economie-corruption-agriculture - deux pages - pdf
pourquoi-afrique-ne-se-developpe-pas-economie-corruption-agriculture.pdf

Source : http://www.slateafrique.com/20967/pourquoi-afrique-ne-se-developpe-pas-economie-corruption-agriculture

bisounours jaune-orange

Un timbre pour informer les Bisounours

Le vrai drame c’est que ceux qui auraient le plus besoin de lire ces articles, surtout celui de Kevin Myers, ne les liront pas.

Non pas qu’ils ne voudront pas le lire mais ils n’auront simplement pas l’occasion de les lire, car ce sont tous de gentils bobos qui ne surfent jamais sur les Zafreu sites des fascistes intégristes catholiques racistes fanatiques islamophobes d’ekstraime-droâte.

Ceux qui auraient pourtant vraiment besoin de lire cet article ce sont les gens de l’ONG Action Contre la Faim, la bien nommée.

Alors pour qu’ils lisent cet article, le plus simple c’est bêtement de l’imprimer et de le leur envoyer par la poste. Bien obligés d’ouvrir l’enveloppe pour savoir ce qu’il y a dedans ils seront tout autant bien obligés de commencer à lire le courrier pour savoir de quoi il s’agit.

imprimer, adresser, poster : la nouvelle façon d'informer

Faisons tous un geste pour la planète : Mettons un flocon de plomb dans la tête de ceux qui élèvent inconsidérément nos futurs envahisseurs.

Au bout d’un certain nombre de flocons, ça peut faire son effet, et les faire craquer, comme la neige sur le toit.

Quoi mettre dans l’enveloppe ?

Imprimer l’article de Kevin Myers sur une feuille (recto-verso).

Un timbre de base permet d’envoyer deux feuilles.

Vous pouvez donc éventuellement joindre une deuxième feuille avec l’un au choix des divers articles complémentaires ci-dessus pour enfoncer le clou.

Embarras du choix parmi les articles complémentaires ? Grosse flemme ?
Vous pouvez à la place utiliser l’article suivant directement en 4 pages :

Faut-il laisser mourir l’Afrique ?
Faut-il laisser mourir l'Afrique ? - quatre pages - pdf
faut-il_laisser_mourir_l-afrique.pdf

Spécial Somalie été 2011

Utiliser l’article en 4 pages de Bernard LUGAN, expert de l’Afrique réelle :

Somalie été 2011 - article en 4 pages de Bernard LUGAN, expert de l'Afrique réelle
http://bernardlugan.blogspot.com/2011/07/somalie-merci-mais-nous-avons-deja.html

Imprimer directement depuis votre navigateur :
(Fichier [> Aperçu avant impression] > Imprimer… > Pages de : 1 à 1 [puis 2 à 2, 3 à 3 et 4 à 4])

Attention : après avoir imprimé l’article, corriger au bic une petite faute de frappe. Il est indiqué au deuxième paragraphe un taux de natalité brute de 48% alors que ce devrait bien évidemment être 48 pour mille, c’est à dire 48. Rajouter simplement le petit 0 qui manque au symbole %.

Mettre les deux feuilles dans une enveloppe, écrire l’adresse (voir ci-dessous), timbrer, poster.

Qui sont les destinataires ?

Les principales ONG Bisounours :
Cliquer sur un logo pour accéder à la page de leur site internet donnant leur adresse postale.

SITA un moment, SITA un timbre alors participe à l'opération SITA !
action contre la faimunicef
acted, agence d'aide à la coopération technique et au développementcarecroix rouge françaiseplansecours populaire francaissolidarités internationalvision du mondesecours humanitaire franceassociation survieMSF - Mèdecins du mondesos sahella chaine de l espoirAssociation - ONG - Médecins du Monde - ONG de solidarité internationale

SITA vers les USA
(avec l’article de Kevin Myers en version anglaise)

bill& melinda gates foundationMadonna foundation for Malawi

Un timbre tarif -20 grammes Monde-timbre Marianne vert = 20 grammes économiquetimbre Marianne vert = 20 grammes économiqueUn timbre de base tarif “USA” (affranchissement pour une lettre internationale jusqu’à 20g à destination du monde entier.) permet d’envoyer deux feuilles, vous pouvez donc ajouter une deuxième feuille d’information sur la véritable nature de l’islam.
Exceptionnellement, vous pouvez sur-timbrer avec deux timbres France si vous n’avez pas le timbre au bon tarif et pas le temps ou l’envie d´aller à la poste en acheter un.

Imprimer, poster… Voilà, ce n’est pas plus compliqué que ça de vraiment contribuer à aider l’afrique en appliquant le principe éprouvé Charité bien ordonnée commence par soi-même.

Si vous recevez des sollicitations de votre générosité pour sauver les pov’zafwikain avec des enveloppes « Lettre T » pour la réponse (donc sans avoir besoin de timbrer) vous pouvez de même envoyer ces articles.

Vous pouvez faire la promotion de la présente action dans les commentaires des articles parlant de l’Afrique en postant le court slogan paradoxal suivant :

Pour ne rien faire en faveur de l’Afrique, agissez : http://sitamnesty.wordpress.com/faminafrick/

Les africains ne sont pas des poulets, et les palestiniens, ne sont pas des lapins. Pourtant, madame, vous faites de l’élevage d’africains et de palestiniens dans des camps de réfugiés pour soulager les tiraillements de notre conscience comme le paysan du coin fait de l’élevage de lapins ou de poulets dans des clapiers et des poulaillers pour soulager les tiraillements de notre estomac. C’est donc bien de votre faute si, maintenant, l’Afrique ressemble à un gigantesque poulailler et la Palestine à un immense clapier.Desproges, Tribunal des Flagrants Délires

blog de Bernard Lugan - L'actualité de l'afrique réelle

Archives…

Bisounours prioritaire jusqu’en juillet 2011

ce que nous devons à l'afrique
P R O G R A M M E Une saison pour l’Afrique o c t o b r e 2 0 1 0 - j u i l l e t 2 0 1 1

Programme (pfd 2 Mo)
Adresse postale :
musee-dauphinois.fr/642-contacts.htm

Belle demeure… Belle ordure.

En outre, ce président à de bons potes…

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Dans ce pays d’Afrique, le peuple meurt de faim. On fait appel à nous, les Occidentaux, pour leur venir en aide. Vous voulez savoir quel est ce pays et qui le dirige de main de fer? En outre, plus raciste que ce type là, tu meurs… Aidons encore les pays d’Afrique dont (presque) toute la population meurt de faim !

Cliquez ci-dessous:

Batisse d-enfoir-

FDF

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Bonus. Une citation du fameux président en question:

« Le président du XXXXXX, Xxxxx Xxxxx a fait à de nombreuses reprises des déclarations racistes18 :

  • « Notre parti doit continuer de faire entrer la peur dans le cœur de l’homme blanc, notre véritable ennemi » (s’adressant au ZANU-PF)

  • « Le seul homme blanc que vous pouvez croire est l’homme blanc mort »

  • « L’homme blanc est ici comme le second citoyen : vous êtes en numéro un. Il est numéro deux ou trois. C’est ce qui doit être enseigné à nos enfants » »

20/08/2011

Pour ça, il y en a du fric…

Mais l’islam fait encore appel à l’aumône… Un des piliers. C’est marqué dans le coran, cousin…

C’est de la provocation envers les « frères » qui crèvent de faim dans les pays musulmans…

FDF

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Les « contrastes de l’islam… Ecoeurant. Les Somaliens sont entièrement musulmans…

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Arabie : nouveaux travaux d’extension de la grande mosquée de La Mecque

Le chantier d’une nouvelle extension de la grande mosquée de La Mecque, d’un coût de 10,6 milliards de dollars, est en voie de réalisation, rapportent les médias saoudiens. Les travaux sont destinés à permettre au complexe de la première ville sainte de l’islam d’accueillir en même temps quelques deux millions de fidèles, a précisé le quotidien Asharq al-Awsat.
Le chantier où travaillent déjà 10 000 ouvriers 24 heures sur 24 couvre une superficie de 400 000 m2. Il consiste à ériger une extension du côté nord de la mosquée sur plusieurs niveaux, à aménager des escaliers et des tunnels pour faciliter l’accès des fidèles à la mosquée érigée autour de la Kaaba.

La grande mosquée a connu une importante extension au milieu des années 1980 mais le nombre sans cesse croissant de fidèles a nécessité les nouveaux travaux. La Mecque, dans l’ouest de l’Arabie saoudite, qui accueille pendant le hajj, pèlerinage annuel, quelque 2,5 millions de fidèles en moyenne, a en outre été dotée en novembre dernier d’un métro qui n’est utilisé que pendant le moment fort de ce rassemblement spirituel, soit cinq jours par an. Un projet de train à grande vitesse reliant Djeddah à Médine à travers La Mecque, estimé à 7 milliards d’euros, fait actuellement l’objet d’une vive concurrence entre plusieurs constructeurs européens et asiatiques.
Des médias espagnols ont indiqué le 19 juillet que le consortium espagnol, conduit par Renfe, candidat au projet de train à grande vitesse Djeddah-La Mecque-Médine, aurait remporté l’appel d’offres. Mais les autorités saoudiennes ont assuré que rien n’avait été encore décidé pour l’attribution de ce mégacontrat pour lequel la SNCF et Alstom se sont alliés au sein d’un consortium pour déposer une offre, avec le saoudien al-Rajhi.

Source: http://www.lorientlejour.com/

19/08/2011

Et ils partirent vers la terre promise…

Reçu de José Castano. Je fais suivre…

FDF

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Photo: http://www.toutlecine.com/

 

« Quel enthousiasme enfin, mêlé de fierté, devant un bilan de réussites brillantes dans tous les domaines, culturel, scientifique, journalistique, politique, économique ! … Comment ne pas voir dans ces réussites une manifestation des traits propres aux hommes et aux femmes originaires de ces pays: une joie de vivre associée à une grande chaleur humaine, une résistance devant l’épreuve et une remarquable capacité à rebondir, une générosité naturelle, une grande ouverture aux autres cultures ? Comment ne pas y voir aussi une preuve de la qualité de l’enseignement qui a été dispensé par la France dans ces pays avant leur indépendance, l’enseignement de la République ? » (Préface du Professeur Claude Cohen-Tanoudji, Prix Nobel de Physique pour l’ouvrage de René Mayer : « Français d’Afrique du Nord, ce qu’ils sont devenus »)

« L’exploration scientifique de l’Algérie, sera l’un des titres de gloire de la France au XIXe et au XXe siècle » (Renan)


            Lorsque, en 1830, la France aborda les côtes algériennes, les autochtones en étaient à s’ignorer ou à se combattre entre eux et représentaient alors ce qu’on a appelé : « une poussière de tribus ».

L’Algérie n’était à cette époque pas un territoire indépendant mais une possession turque ; l’occupation par la France n’eut donc pour résultat que de substituer à une occupation étrangère celle d’un autre pays.

Cette Algérie là ne constituait pas un Etat, encore moins une nation. Elle fit toujours  partie d’un empire dont elle était une province ; comme elle allait devenir colonie française, elle fut province de l’empire musulman, de l’empire byzantin, de l’empire romain… Elle n’avait pas de frontières. Elle constituait une mosaïque de tribus qu’aucun lien, sauf le religieux, n’unissait entre elles, encore que d’une façon très fragmentaire.

En 1848, après les sanglantes journées de juin, le gouvernement français choisit de faire de l’Algérie un lieu de déportations et c’est pour éviter une nouvelle révolution que, le 19 septembre 1848, l’assemblée nationale vota 50 millions pour la création en Algérie de 42 « colonies de peuplement » ou « centres agricoles » pour établir 13500 « colons » français dans le but « d’occuper » ces Parisiens jeûneurs malgré eux et qu’on devinait prêts à se faire turbulents.

Les premiers déportés furent les « communalistes » qui devaient être rejoints en 1852 par ceux qui avaient osé répondre « NON » au plébiscite. Que savaient les uns et les autres de l’Afrique ? Pas grand-chose… si ce n’était que le pays était chaud, où les soldats enjuponnés de rouge qu’on appelait zouaves se battaient six jours sur sept contre les « Mahoms » dont le péché mignon était de couper la  tête aux chrétiens et que certains civils, dont on avait dit qu’ils étaient allés chercher fortune par là-bas, n’étaient plus reparu.

Ils retrouvèrent sur place ceux qui, depuis une dizaine d’années déjà, pataugeaient dans les boues des marécages infectés de miasmes, rongés par le paludisme et la malaria, la cervelle à moitié cuite sous l’aveuglant et lourd glissement du sirocco et qui étaient partis vers l’Afrique, comme on se met en marche vers la terre promise…            

On avait promis à ces malheureux des merveilles… ils découvrirent un désert, une lande hérissée de broussailles au bord d’un marais pestilentiel où pullulaient les moustiques. Mais ils ne pouvaient pas repartir ! Ils étaient pris au piège de leur propre rêve, prisonniers de l’Afrique… et déjà promis à la malédiction qui allait s’abattre sur elle…

Après un si vif et bref rêve, voici déjà la résistance des hommes et des choses, l’adversité, les premiers revers, les épreuves et l’infortune. Pourtant cette poignée d’immigrants s’entêta contre moustiques, paludisme, dysenterie, typhus, choléra, misère, canicule, froid et faim. Elle s’organisa et pendant des jours, des mois, des années, mena un combat de titan contre le défrichage et les maladies.

Dans un pays où certaines régions de colonisation étaient en majeure partie des marécages, le paludisme faisait des ravages effrayants. En 1841, dans son étude « Solution de la question d’Algérie », le général Duvivier écrivait : « Les plaines telles celles de la Mitidja, de Bône et tant d’autres ne sont que des foyers de maladies et morts. Les assainir, on n’y parviendra jamais… Les plaines pour les Européens, sont et seront toujours longtemps de vastes tombeaux. Qu’on abandonne ces fétides fosses ! »

Fosses fétides ! Vastes tombeaux ! Quel programme engageant ! Et le général Berthezène d’affirmer, menaçant : «La Mitidja n’est qu’un immense cloaque. Elle sera le tombeau de tous ceux qui oseront l’exploiter ! ». 

Tous payèrent de leur santé sinon de leur vie une implantation prématurée dans des secteurs du pays insalubres et pestilentiels dont cette description de Boufarik en 1842 résumait les inconvénients : « Boufarik était la localité la plus mortelle d’Algérie. Les visages des rares habitants échappés à la fièvre pernicieuse étaient verts et bouffis. Bien que la paroisse eût changé de prêtre trois fois en un an, l’église était fermée ; le juge de paix était mort ; tout le personnel de l’administration civile et militaire avait dû être renouvelé et le chef du district resté seul debout, avait été investi de toutes les fonctions par le décès ou la maladie de tous ses titulaires. »

Pourtant, quelques années plus tard, à force de courage, de patience, de persévérance, d’abnégation, mais aussi de privations, de souffrance, de misère et de centaines de morts usés à la tâche, Boufarik « ce marais pestilentiel », devint la perle de la Mitidja et la plus riche contrée agricole de l’Algérie : «  la première victoire de la quinine », « la plus belle réalisation du génie colonisateur de la France », « l’émeraude pêchée dans la vase », écrira le colonel Trumelet.

Typhus, choléra frappèrent inexorablement. Bugeaud, rentré en France, mourra du choléra en 1849. Dans les Centres de colonisation, où l’hygiène était rudimentaire, ce mal surtout faisait des ravages terribles. Des villages entiers furent décimés.

Forts de leur idéal, mais dénués de l’expérience qui nous arme, ces hommes s’immolèrent, imprudents héroïques, en se  riant des maux les plus cruels et de leurs implacables ennemis. De l’anarchiste au militaire, du paysan au marin, de l’ouvrier au fonctionnaire, tous s’étonnaient et s’émerveillaient d’un monde encore plein de secrets et de prodiges : ils en aimaient jusqu’à l’amertume, jusqu’à la souffrance infinie, jusqu’aux dernières cruautés. C’est que réussir à survivre, c’est choisir de souffrir !…

Chacun était désormais lié au sol, au ciel, aux périls de toujours et devait se défendre, à la fois, contre les éléments et les bandes armées qui parcouraient le pays. Elles le ravageaient au jour le jour, sans plan arrêté. L’insécurité régnait partout. Les cavaliers en burnous, les yatagans, les Hadjouths et les pillards se chargeaient de trancher les gorges et d’enlever les femmes pendant que les hommes tentaient de maîtriser les meules de fourrage en flammes, produit de leur labeur de forçat.

Des fermes qui, pierre à pierre, s’étaient exhaussées au-dessus des pestilences et avaient réussi à étendre autour d’elles un peu de fécondité, commencèrent à chanceler sous l’assaut. Le souci de la survie quotidienne l’emportait parfois sur tout autre projet et mettait un frein brutal à l’imagination de l’avenir.

En 1840, déjà, las de voir des pères égorgés, des mères violées puis éventrées et des enfants écrasés contre les murs, un chant de guerre monta du fond de la plaine. Quelques colons commencèrent à résister aux assauts des cavaliers hurlants, se faisant tuer sur place, refusant d’exécuter l’ordre officiel d’abandonner leurs cultures. Oh ! Cruel et perpétuel renouvellement de l’Histoire !…

Dans les cimetières, les rangées s’ajoutaient aux rangées où s’affirmait ainsi le commencement d’un peuple. L’Afrique devenait une « terre à sépultures »…

Rien de ce qu’ils avaient rêvé ne s’était  accompli comme ils l’avaient espéré. Tout s’était passé autrement, avec plus de dureté et de cruauté, mais à force d’énergie à travers les échecs, les souffrances, les malheurs, à force de volonté, de patience et de génie, ils avaient donné un sens à ce que le destin et l’Histoire leur avaient confié.

Alors arrivèrent pour essayer de vivre à côté de ces Français têtus, des frères latins, tout aussi miséreux : Espagnols, Italiens, Maltais, Génois, Siciliens… Un point commun les unissait : l’extrême misère ! L’Algérie –leur avait-on déclaré- c’était l’eldorado ! Et puis, ce pays était plus proche de l’Europe que la Californie…

Comme il y eut un rêve américain après la seconde guerre mondiale, il y eut à partir de 1840, un rêve algérien…

« Français de France », les fils de cette France qui les avait exilés protestèrent de l’intrusion de ces nouveaux défricheurs :

« Ne sommes-nous pas capables d’arriver nous-mêmes à nos fins ? Ne l’avons-nous pas suffisamment prouvé ? »

La mère-patrie leur répondit doucement :

« Ces étrangers sont là pour vous aider dans votre tâche. Ils auront des terres qui auraient fini par vous tuer. Ils réussiront à n’y pas mourir, habitués qu’ils sont déjà à la grande misère, à l’extrême fatigue. Ne les renvoyez pas ! Accueillez-les au contraire en associés ».

Tous, étaient des déportés de la politique et de la misère, des réfractaires, des exilés, mais ils portaient en eux ce germe qui s’appelle l’audace et que leurs parents demeurés dans les vieux pays d’Europe allaient inexorablement laisser mourir comme des semailles gelées.

Ensemble ils édifièrent cette Afrique latine qui, en bonne justice, se fondit, s’harmonisa en une seconde France. C’est ainsi que la grande famille européenne se forma et à côté d’elle, la famille musulmane commença à concevoir que ces roumis n’étaient –tout compte fait- ni des adversaires, ni des parasites, et que par conséquent nul besoin était de leur couper la tête, d’autant qu’ils étaient habités d’un formidable appétit d’exister et qu’ils semblaient avoir soif de souffrir encore. Elle se risqua, se rapprocha, écouta, puis accepta l’invitation à l’initiation. Les étrangers poussaient la charrue un peu plus loin que les Français. Les Arabes consentaient à venir à la rescousse de l’effort des uns et des autres. L’Afrique du Nord toute entière devenait un musée ethnographique où allaient commencer à se désintégrer dans le silence baignant des paysages vitrifiés, les débris de toutes les races du monde méditerranéen donnant naissance à une nouvelle race : Les Pieds-Noirs.

            Ces Européens d’Algérie –surtout ceux des classes populaires- même s’ils étaient citoyens français, étaient différents des métropolitains. Leur français, émaillé de tournures espagnoles ou italiennes, parfois arabes, avaient donné naissance à un langage nouveau : le patahouet ou sabir ; l’accent avec lequel ils le prononçaient, leurs mœurs, leur mentalité n’étaient pas ceux de la Métropole. Ils étaient Français, certes ; ils le revendiquaient… mais différents, voilà tout. En réalité ils se nommaient eux-mêmes « franco-algérien ».

La foi, l’amour, la bonne volonté, la ténacité, les sacrifices, la confiance, les chagrins n’avaient pas manqué. Et tout cela, avec les morts et avec les vivants, avec ceux qui creusaient, ceux qui labouraient, ceux qui conseillaient, tout cela, ensemble, avait contribué à écrire l’histoire de l’Afrique du Nord.

Ils fondèrent une colonie à l’image de la France, offrirent aux indigènes les premiers enseignements de notre culture, débrouillèrent à notre intention l’écheveau des connaissances locales indispensables. Puis, satisfaits de leur effort, ils demandèrent à cette terre qu’ils avaient prise de les accueillir dans son sein pour l’éternité et ils s’éteignirent, loin des doux réconforts de la mère patrie.

La France, du reste, n’avait pas attendu leur décès pour les rayer du nombre de ses enfants ; dès leur départ, souvent définitif, elle avait considéré comme perdus ceux qui allaient porter au loin son renom et son drapeau. Elle avait revu sans gratitude ceux d’entre eux qui revenaient consacrer leur vieillesse, alors que d’autres ne purent même pas atteindre le port et succombèrent en mer.

C’est ainsi que naquit, grandit puis se dissipa dans des vapeurs de sang, de larmes et de passions, un miroir épique vers quoi des millions d’hommes et de femmes ont marché en portant les douleurs et les enchantements de l’amour. Si les pierres de gloire ne gardent pas leurs noms, si leur sacrifice est demeuré anonyme, nous n’en devons que davantage apporter l’hommage de notre piété reconnaissante à ces rudes artisans de la plus splendide entreprise française qui ait jamais été tentée.

En deux siècles, sous deux Empires et quatre Républiques, ces hommes allaient servir dans les Armées françaises. Officiers ou simples soldats, la plupart du temps, volontaires, ils allaient être de tous les combats mais aussi de toutes les tâches quotidiennes même les plus modestes. Pour les morts et pour les blessures du corps et de l’âme, la France leur décerna des croix… puis elle les combattit, les chassa de cette terre ingrate qu’ils avaient arrosée de leur sueur et de leur sang et les effaça de sa mémoire.

En politique, c’est peut-être la foi qui sauve, mais ce sont les œuvres qui comptent. C’est par ses œuvres que l’Algérie, fille de la force française, a montré au monde qu’elle n’a pas démérité des magnifiques énergies qui se sont, aux temps héroïques, inclinées sur son berceau. Ce rêve de misère ensoleillé dura 132 ans et il durerait encore si les forces du mal n’avaient pas en ce monde souvent l’avantage sur les apôtres du bien.

                                              

                                                                                                                      José CASTANO


Cet article a fait l’objet d’un ouvrage intitulé« Et l’Algérie devint française… ». Cliquez sur :– Ma Biographie –

17/08/2011

Somalie: les chrétiens condamnés à mourir de faim par les islamistes !

Quelles pourritures! De l’épuration ethnique, en fait. Ou religieuse. Beau comportement de la « religion d’amour, de paix et de tolérance »… Ecoeurant. L’idéologie Nazie n’est pas morte… Elle a changé de couleur de peau, c’est tout.

FDF

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Une famine a entrainé la mort de milliers de personnes en Somalie, et plusieurs millions d’habitants ont un urgent besoin d’aide. Les aides humanitaires tentent d’atteindre certaines zones durement touchées, mais les « radicaux islamistes » ont pris le contrôle de la distribution, et ils interceptent tout les secours destinés aux chrétiens, causant de nombreux morts par la faim.

La secte islamique d’Al-Shabaab, qui se bat officiellement pour faire régner la charia sur le pays, exterminent ouvertement les chrétiens Somaliens. En 2010, les membres de cette secte islamique ont décapité un chrétien. L’exécution est une des seules à avoir pu être filmée.[âmes sensibles s’abstenir]

Jusqu’ici, 18 chrétiens sont morts de faim au cours des trois derniers mois, uniquement à Afgoye, Baidawa et Kismayo. Mais dans les zones occupées par les troupes d’Al-Shabaad, la situation est bien pire, car les chrétiens n’ont plus rien à manger, et on les empêchent d’aller réclamer de l’aide aux gouvernements des autres provinces !

A Mogadiscio (la capitale), la situation est meilleure, et les chrétiens peuvent recevoir des aides alimentaires, car cette ville est sous le contrôle d’un gouvernement internationalement reconnu.
Mais dans le Sud de la Somalie, la faim est en train d’exterminer les chrétiens

S’adressant à l’ICC de la Somalie, le chef d’une église clandestine à déclaré :

« Tout Somalien que les islamistes soupçonnent d’être chrétien ou simplement ami d’un chrétien ne reçoit aucune aide alimentaire. Cependant, ils auraient pu faire pire. Ces islamistes ont déjà tués beaucoup de nos membres, et ils pourraient très bien décider d’en finir une fois pour toute … »

Le directeur régional de l’ICC pour l’Afrique, Jonathan Racho a déclaré :

« Nous sommes extrêmement préoccupés par la famine en Somalie. Al-Shabaab à aggravé le sort des chrétiens en leurs refusant une aide alimentaire. Les actes d’AL-Shabaab ont touchés musulmans et chrétiens, mais les chrétiens sont les plus touchés, en raison des crimes odieux commis par lui contre les chrétiens. La communauté internationale doit prendre conscience de la vulnérabilité de cette minorité, et prendre des mesures décisives pour atténuer leurs souffrances. »

Source: http://infos-meconnues.blogspot.com/

11/07/2011

Sud Soudan: un nouvel Etat belliqueux est né…


Mal barrés, les Soudanais. Au Nord comme au Sud, les machettes vont a nouveau être souillées de sang… Le nouvel Etat du Sud est de sensibilité animiste et chrétienne… Je vous fait un dessin?

FDF

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Le Président soudanais el-Béchir est le pire criminel de masse que le monde connaisse. Poursuivi par la Cour Pénale Internationale pour génocide, il a pendant 20 ans exterminé des communautés entières qui avaient osé contester son règne. L’histoire est en train de se répéter, à moins que nous ne l’arrêtions pour de bon.

Il bombarde en ce moment des femmes et des enfants dans les monts Nouba, pendant que ses milices passent de porte en porte pour égorger des familles entières. Cela fait des décennies que les dirigeants du monde entier tolèrent de manière honteuse l’indicible brutalité d’el-Béchir afin de conserver l’accès aux importantes réserves de pétrole de son régime. Mais les choses ont changé. Le Soudan s’est divisé en deux, l’inflation et les prix des produits alimentaires montent en flèche, et l’emprise d’el-Béchir sur le pouvoir est plus affaiblie que jamais.

Envoyons un message retentissant à nos dirigeants pour leur signifier que trop c’est trop, et pour exiger qu’ils mettent fin immédiatement à leur inaction choquante : en arrêtant ce monstre, en imposant des sanctions sévères contre son camp, et en s’engageant à protéger le peuple soudanais du génocide qu’il encourt. Cliquez ci-dessous pour signer la pétition et parlez-en à tous. Nous la remettrons aux membres du Conseil de Sécurité de l’ONU lorsque nous aurons atteint 300 000 signatures.

http://www.avaaz.org/fr/sudan_enough_is_enough_fr/?vl

Les monts Nouba sont en état de siège. El-Béchir y a assassiné une génération entière d’hommes, de femmes et d’enfants durant les années 1990, et le voilà revenu pour martyriser les survivants. Mais le Sud-Soudan en souffrance depuis des années est finalement devenu indépendant, reprenant par là-même l’essentiel du pétrole utilisé par el-Béchir pour monnayer la complicité internationale envers ses crimes. El-Béchir est également confronté à des mouvements de protestation démocratique, à une économie en déclin, et à des relations tendues avec son protecteur de toujours, la Chine. C’est notre meilleure chance depuis des décennies d’organiser l’action internationale indispensable pour faire cesser le pouvoir brutal d’el-Béchir.

Des sanctions internationales sévères, un plan global concerté pour arrêter el-Béchir et ses complices poursuivis par la Cour Pénale Internationale, ainsi qu’un engagement à protéger les Soudanais d’autres crimes contre l’humanité, tout cela donnerait à el-Béchir un signal fort que la partie est terminée. Cela affaiblirait sa position au sein-même de son régime, et montrerait aux Soudanais que l’impunité pour ses crimes a pris fin. Voilà trop longtemps que les Soudanais – au Sud, au Darfour, à Nouba, et en bien d’autres endroits – attendent que le monde prenne position pour l’humanité et la justice, soutenons-les maintenant:

http://www.avaaz.org/fr/sudan_enough_is_enough_fr/?vl

Il est presque impossible d’imaginer le désespoir et la terreur des femmes et des enfants à Nouba aujourd’hui, ou au Darfour avant eux. C’est une large tache sur la conscience du monde entier que de ne pas avoir pas agi pour faire cesser le règne de terreur d’el-Béchir. Mettons fin à ce règne maintenant, en appelant massivement nos gouvernements à agir.

Avec espoir,

Ricken, Stephanie, Nicola, Alice, Morgan, Rewan et le reste de l’équipe Avaaz

Source: http://avaaz.org/

25/06/2011

Soudan: Bye bye les djellabas !

Un Etat chrétien du Sud-Soudan va voir le jour. Au grand dam des islamistes. Qui vont ressortir les machettes et les « kalas »(qu’ils n’ont pas rangées, d’ailleurs)…

FDF

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Le 9 juillet prochain devrait être proclamée l’indépendance de la région du Sud-Soudan, malgré la reprise des combats avec le Nord musulman, qui rechigne à accepter cette partition. Car ce nouvel État à dominante chrétienne suscite toutes les convoitises pour ses richesses pétrolifères. Un pays à peine né, et déjà fragilisé…

Debout au premier rang des fidèles, le prochain président du nouvel État africain du Sud-Soudan se balance doucement au rythme des cantiques. Salva Kiir, ancien guérillero en boubou violet, grand, mince, très droit, bat la mesure de ses mains fines en chantant avec les fidèles. C’est un dimanche de janvier dans la cathédrale de Juba, future capitale de 1 million d’habitants aux toits de tôle ondulée et aux rues défoncées. Un dimanche particulier: ce jour-là, l’archevêque, Mgr Paulino Lukudu Loro, célèbre aussi bien la messe que la naissance de l’Etat. Les bureaux de vote viennent de fermer. Théâtral, l’archevêque fait porter sur l’autel une urne en plastique, «symbole de toutes les urnes du Sud-Soudan», dit-il. «Je demande à ceux qui vont dépouiller de ne pas tricher», s’enflamme-t-il. Avant de conclure par une plaisanterie qui fait rire l’assistance: « Et j’espère qu’ils ne boivent pas!» En réalité, tout le monde connaît déjà le résultat: un scrutin massivement pour l’indépendance, qui se traduira par 98,83 % de votes positifs sur quelque 4 millions d’électeurs.

Le 9 juillet prochain, au terme d’une période de transition de six mois, le Sud-Soudan autonome va devenir le 193e Etat sur la carte du monde. Son chef sera catholique. Et il aura du pétrole. En se séparant du Nord, il emportera 80 % environ des quelque 500.000 barils/jour produits actuellement. L’événement est inédit. La géographie africaine contemporaine était fondée sur un interdit : on ne touche pas aux frontières de la colonisation. Le tabou a volé en éclats. Il faut dire que le Soudan, plus vaste Etat d’Afrique, grand comme presque cinq fois la France, n’a jamais vraiment constitué une nation. Sous la domination égyptienne, le Sud peuplé de pasteurs africains était vu par le Nord comme une terre de razzias et un réservoir d’esclaves. Les Britanniques, eux, tracèrent une frontière symbolique au sud de laquelle les missionnaires, particulièrement l’ordre italien des Comboni, pouvaient évangéliser librement. Et dès l’indépendance de 1956, une guerre civile Nord-Sud a commencé. La division était autant ethnique que religieuse. Les rebelles du Sud, animistes et chrétiens, mais aussi musulmans, se sont appelés Armée de libération du Soudan. Ils se sont d’abord battus pour un Soudan unifié où tous seraient égaux. Et puis, au fil des années de guerre sans merci contre un gouvernement dirigé depuis le coup d’Etat militaire de 1989 par un régime d’inspiration islamiste, le Nord a ajouté l’agenda religieux à ses griefs contre le Sud. Il a tenté de lui imposer la charia, la loi islamique. Et parmi les combattants sudistes, l’idée de l’indépendance a fait son chemin. En janvier 2005, un accord de paix parrainé par les États-Unis mettait fin au conflit. Il prévoyait un référendum d’autodétermination six ans plus tard. En août de la même année, John Garang, le chef charismatique de la rébellion sudiste, mourait dans un accident d’hélicoptère. Sa disparition a sonné le glas de l’unité soudanaise. Garang, ancien officier de l’armée soudanaise, était unioniste. Son successeur est indépendantiste.

Le peuple aussi, et, le jour du référendum, il est allé le dire jusqu’à la tombe de Garang. En janvier dernier, un bureau de vote est installé juste à côté du mausolée du héros national, respecté presque comme un saint. «Vous venez prier?» demande la sentinelle à l’entrée de l’esplanade. Mais les électeurs de Juba, eux, sont venus respectueusement confier au «Dr Garang» qu’ils ne veulent plus du Nord. «Bye bye les djellabas» disent en riant les centaines d’hommes et de femmes qui font la queue sous le soleil pendant des heures. Presque tous ont perdu un frère, un père, une mère sous les bombardements des Antonov nordistes, ou dans les raids contre villes et villages. «Ils nous ont toujours considérés comme des esclaves», dit Mary, mère de famille et veuve de combattant.

Aujourd’hui, les Dinkas, les Nuer et les Chilouk prient pour leur pays à venir. La cathédrale est une grande bâtisse en brique, surmontée à l’extérieur de l’inscription «Hic est domus Dei». L’ambiance est fervente. Des mamas en robe blanche barrée d’une écharpe verte avec l’inscription «Legio Mariae» en lettres blanches font le service d’ordre. L’archevêque répète sur tous les tons qu’aujourd’hui, c’est une prière de gratitude, l’occasion de dire merci à Dieu puisque, de toute façon, «c’est sa volonté qui est faite à travers le vote». A l’entendre, le dessein de Dieu peut même être discerné dans la mort de Garang l’unioniste. «Même la trahison de Judas fait partie de la volonté de Dieu…» La thèse de la trahison, du sabotage de l’hélicoptère du leader, jamais démontrée, connaît une grande vogue au Sud.

Vient le moment des intentions de prière. Le Président prend sa place dans la file. Il prêche le pardon. «Prions pour ceux qui sont tombés pendant le temps du combat, dit-il d’une voix grave, ajoutant: et pardonnons à ceux qui ont causé leur mort.» A Juba, le christianisme a le vent en poupe. Une université catholique, Sainte-Marie, a été inaugurée en 2009. L’église anglicane est également très présente. Un Etat chrétien et pétrolier est-il en train de naître au cœur de l’Afrique de l’Est? Sœur Roassa, religieuse espagnole dirigeant une radio subventionnée par le Vatican, n’aime pas beaucoup l’idée: «Un Etat chrétien? Il n’y en a aucun dans le monde qui se définisse comme cela. Il y a des Etats qui se définissent comme islamiques, mais chrétiens, non.» Certes, la radio est ancrée dans une histoire conflictuelle. Son nom, Bakhita FM, est celui d’une sainte qui fut esclave. Mais l’Eglise soudanaise se veut accueillante. «Il y a des musulmans au Sud, qu’ils soient originaires du Nord ou qu’ils viennent des ethnies locales. Nous en accueillons tous les jours sur nos ondes.»

Le représentant de ces musulmans du Sud qui veulent participer à l’édification de l’Etat, c’est le général El-Tahir Bior Abdallah Ajak, secrétaire général du Conseil islamique du Sud. Ex-militaire de l’armée soudanaise, il a fait défection pendant la guerre civile pour se battre aux côtés des sudistes. Lui aussi croit à la cohabitation. La preuve: «Je suis allé récemment à Djedda, en Arabie saoudite, pour plaider la cause du Sud-Soudan auprès de la Banque de développement islamique. J’étais accompagné de mon ami Victor Luol Achak, un chrétien, ministre de l’Energie dans le gouvernement autonome.» El-Tahir Ajak espère toutefois obtenir également des fonds pour ses organismes de bienfaisance islamiques. «Nous sommes contre le fondamentalisme. Nous devons attirer les gens à la religion par l’exemple.» On devine que, pour lui, le Sud-Soudan reste un champ de bataille pacifique pour la conquête des âmes païennes. «D’après des chiffres que j’ai lus, nous sommes 18% de musulmans, 17% de chrétiens, et 65% d’animistes.» Chiffres invérifiables, même si les connaisseurs de la région s’accordent pour dire que la majorité de ses habitants restent en réalité fidèles aux religions de leurs ancêtres. Car la guerre n’a pas entamé la volonté de vivre ensemble. A Tékéréké, une bourgade à trois heures de Juba, les commerçants arabes venus du Nord, nombreux au marché, n’ont pas l’intention de se rapatrier après l’indépendance. Devant la mosquée voisine, un déjeuner rassemble sous un arbre quelques éleveurs locaux. Chrétiens ou musulmans? «Un chrétien, un musulman, un chrétien…», compte l’un d’eux en riant.

Reste que la naissance d’un Etat disposant de ressources pétrolières et à forte composante chrétienne n’a rien d’anodin dans la région. Certes, sa production reste modeste comparée aux quelque 10 millions de barils/jour extraits par le géant saoudien. Mais ce pays enclavé qui aujourd’hui n’a rien, ni routes ni infrastructures, va pouvoir se développer en empruntant sur les marchés internationaux. Et sa richesse est peut-être encore à venir. «Il reste des zones immenses à explorer, dit Francis Perrin, directeur de la revue Pétrole et gaz arabes. Le Sud-Soudan ne sera jamais l’Arabie saoudite, mais il est tout de même possible de faire des découvertes importantes». Le pétrole soudanais n’est certes pas de très bonne qualité, mais quand on songe que le français Total dispose à lui seul d’un permis d’exploration de 118.000 kilomètres carrés, l’avenir semble prometteur.

La dimension religieuse a toujours beaucoup compté dans le conflit entre le Nord (islamiste) et le Sud (animiste, chrétien et musulman). Face au Nord, qui voulait lui imposer la charia, le nouveau Soudan du Sud se dotera bientôt d’un président catholique.

Le Sud-Soudan restera pourtant lié à Khartoum, au moins dans un premier temps, pour commercialiser son pétrole. Le seul pipeline dont il dispose rejoint ce qui sera demain le nouvel État du Nord-Soudan, avec de gros frais de transit à la clé. On évoque la construction d’un oléoduc vers la côte kényane, mais rien n’est décidé tant le coût et les délais apparaissent importants. Pourtant, il suffit de regarder la capitale pour comprendre que le Sud-Soudan se tourne vers l’Est. Les cadres des amis historiques – Kenya, Ethiopie, Ouganda – ont envahi la ville. Les professeurs sont kényans, les commerçants, ougandais, les hôtels, pour l’instant installés dans des Algeco améliorés, sont presque tous tenus par des Erythréens, et souvent propriétés d’investisseurs indiens du Kenya. Les Chinois arrivent, eux aussi. La société nationale de pétrole chinoise, qui exploite l’or noir soudanais, espère bien rester. Et on a vu apparaître un Beijing Hotel et une Chinese clinic…

Cette nouvelle donne intéresse naturellement les puissances occidentales, qui espèrent la naissance d’un nouvel allié à la frontière du problématique Etat du Nord, toujours en guerre au Darfour et toujours suspecté de redevenir un sanctuaire terroriste. Le Sud-Soudan intéresse aussi beaucoup les Israéliens, ravis de voir s’ajouter un point de chute potentiel dans la région. Salva Kiir reste cependant prudent. Dans son discours à la cathédrale de Juba, il change soudain de registre pour démentir l’achat d’avions de combat israéliens, annoncé par la chaîne qatariote al-Jezira. «Ce n’est pas vrai. Ceux qui disent cela sont des ennemis du Soudan. Nous n’amènerons pas les Israéliens ici.»

Parmi les pays arabes, l’Egypte n’est pas le moins inquiet. Le Sud-Soudan contrôlera le Nil Blanc, qui rejoint le Nil Bleu à Khartoum. Mais pour l’instant, le Sud-Soudan, pas encore né, a d’autres soucis. La guerre pourrait reprendre sur les frontières, surtout dans la région disputée d’Abyei, et en d’autres endroits où les démarcations restent floues, et où des milices sudistes favorables à Khartoum ont repris les armes. Comme si le Nord ne se résolvait pas, finalement, à l’amputation d’un tiers de son territoire.

Source: http://www.lefigaro.fr/

10/06/2011

Si c’est lui qui le dit…

Vite! Il faut prévenir le CRAN, en priorité, puis la Halde, SOS Machin, la Licra et les autres sangsues! Il est vrai qu’en matière d’immigration, on récolte la « crème » (voir les statistiques de la délinquance), mais bon… D’après ce monsieur, les Italiens ne sont pas gâtés non plus. Je pense qu’il est bien placé pour savoir de quoi il parle.

FDF

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Le représentant congolais à l’ONUG : « Les immigrés africains en Italie sont les ordures de l’Afrique »

Le représentant congolais à l’ONUG : « Les immigrés africains en Italie sont les ordures de l’Afrique »
Serge Boret Bokwango, membre de la mission permanente du Congo à l’Office des Nations Unies à Genève (ONUG), a publié une lettre ouverte, reproduite hier soir sur le site d’information italien Julienews, où il s’exprime sans ménagements sur les immigrés présents en Italie du Sud – et dont le nombre, via Lampedusa, ne cesse d’augmenter.

« L’Italie du sud », écrit-il, « ne reçoit pas seulement les ordures du nord mais aussi celles de l’Afrique (les immigrés africains, marchands ambulants et mendiants dans les rues) ».

« Les Africains qu’il m’arrive de voir en Italie », poursuit le diplomate congolais, « tandis qu’ils vendent tout et n’importe quoi et qu’ils se prostituent, représentent l’ordure de l’Afrique. Ces hommes, marchands ambulants sur les plages et dans les rues des villes, ne représentent en aucun cas les Africains qui vivent en Afrique et qui se battent pour la reconstruction et le développement de leurs patries. Eu égard à cet état de fait, je me demande pourquoi l’Italie, les autres pays d’Europe et les états arabes autorisent et tolèrent la présence de ces individus sur leur propre sol national. »

Bokwango conclut ainsi : « J’éprouve un fort sentiment de honte et de rage vis-à-vis de ces Africains immigrés qui se comportent comme des rats qui infestent les villes. J’éprouve aussi de forts sentiments de honte et de rage vis-à-vis des gouvernements africains qui favorisent le départ en masse de leurs déchets vers l’Italie, l’Europe et l’Arabie. »

« Ordures », « rats », « déchets », « ne pas tolérer leur présence sur le sol national »… Imaginez les réactions si un homme politique italien avait tenu de tels propos. Imaginez si un homme politique français – non, vous avez raison, c’est inimaginable.

Source d’origine: [http://fr.novopress.info]

04/06/2011

France: Etat pantin américain…

Ca, on s’en était rendu compte. Pour laisser un pays comme la France dans l’état lamentable où elle se trouve et passer son temps à se mêler d’affaires à l’Etranger… Mais ceci a toujours été la politique américaine. Faire la guerre par pays interposés… Il est vrai que nous somme redevables aux USA de nous avoir aidé à vaincre le troisième Reich. Mais on ne savait pas que c’était « donnant-donnant »… Et ça fait plus de 70 ans que ça dure, les remerciements. Il n’y a qu’à faire de la France un état américain; leur drapeau n’est plus à une étoile près… Et Sarkö non plus. Il aime ça, les honneurs. Aviez-vous remarqué?

Marine, VITE !!!

FDF

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Sarkozy ne rend pas de compte au peuple français, il rend des comptes à Washington


Aux État-Unis, Paul Craig Roberts est une personnalité connue et respectée de la droite républicaine. Sous-secrétaire au Trésor dans l’administration Reagan, économiste renommé (y compris en France où Édouard Balladur, lui décernera la Légion d’honneur en mars 1987 pour son action en faveur d’un « renouvellement de la science économique »), chroniqueur du Wall Street Journal et du Business Week, il n’a pas pour habitude de mâcher ses mots. Ainsi dans un entretien accordé à Press TV, la chaîne d’information internationale iranienne en langue anglaise, Paul Craig Roberts dit ce qu’il pense des dirigeants politiques européens :

« On utilise les Français en Afrique, on utilise les Britanniques en Afghanistan, ce sont des pantins.

Ces pays ne sont pas indépendants. Sarkozy ne rend pas de compte au peuple françaisil rend des comptes à Washington. Le premier ministre britannique ne rend pas des comptes au peuple anglais – il rend des comptes à Washington. Ce sont des dirigeants fantoches d’un Empire, ils n’ont rien à voir avec leurs peuples qui les ont élus.

La Grande-Bretagne, la France, l’Italie, l’Allemagne, sont des États pantins des Américains, tous appartiennent à l’empire américain. Donc ils font tous ce qu’on leur dit de faire. On a des troupes stationnées en Allemagne depuis 1945. Les Américains ont des bases militaires en Italie – est-ce un pays indépendant ? La France était d’une certaine façon indépendante jusqu’à ce que Sarkozy ait été placé au pouvoir. »

Source: http://www.nationspresse.info/

07/05/2011

Kadhafi conseillé par un colonel Russe…

Un officier supérieur russe donne des conseils à Kadhafi


L’intéressant site de géopolitique Zebra Station Polaire publie la traduction d’une  lettre ouverte adressée, le 21 mars dernier, par le colonel Vladimir Vassilievich Kvachkov ,  un officier parachutiste qui a commandé les forces spéciales russo-soviétiques – les fameux Spetznaz – du célébrissime GRU (renseignement militaire russe) en Afghanistan et en Tchétchènie. Dans celle-ci, l’officier supérieur russe s’adresse au colonel Mouammar Kadhafi en lui conseillant de « porter la guerre sur le territoire de l’ennemi » en menant des actions de guérilla et des sabotages sur le territoire des états membres de l’OTAN et plus particulièrement en France.

Il  propose ainsi de s’attaquer aux aéronefs sur leurs bases de départ en France  – en Corse, mais cela pourrait aussi concerner les bases d’Istres, de Salon de Provence ou la base de Toulon –  et en Italie au moyen de systèmes portatifs de défense anti-aérienne. Il souligne que des armes utilisées dans le domaine sportif peuvent à courte distance infliger des dommages aux aéronefs en stationnement mais aussi lors des phases de décollage et d’atterrissage. La destruction du ravitaillement en carburant de ces bases est proposée comme un moyen de réduire les capacités opérationnelles de l’aviation de l’OTAN.

Concernant la France, il met en avant l’existence de populations d’origine « arabe »- maghrébine – qui pourraient servir de 5e colonne,  apporter un appui logistique aux commandos et servir de vivier de recrutement. Il propose de s’attaquer aux « transports militaires  » sur le territoire des états membres de l’OTAN au moyen de mines en soulignant que le transport de personnel s’effectue dans des zones civiles. Une cible particulièrement vulnérable serait les étudiants des écoles militaires, élèves-officiers,   »tout homme en uniforme de l’ennemi doit être détruit  » .

Ces attaques devraient concerner aussi les infrastructures comme les réseaux de distribution d’eau et de gaz mais aussi les centrales nucléaires afin de faire « sentir la douleur de l’agression » aux populations européennes complices de l’agression contre la Libye.
Le colonel fait enfin le lien entre l’agression contre la Libye et celle contre la Yougoslavie – en 1999 mais estime que le président Slobodan Milosevic manquait de « force spirituelle » pour opérationnaliser sa stratégie*.
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Note NPI : Néanmoins, le KOS ou Kontraobavesajna Sluzba, le renseignement militaire de l’armée serbe (VJ) utilisait des « observateurs » aux abords des bases aériennes de l’OTAN (Aviano notamment) destinés à fournir du renseignement sur les rotations de l’aviation de l’Alliance atlantique durant l’Opération Allied Force.

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