Francaisdefrance's Blog

01/02/2012

Amiens sous tension…

Comme à Marseille. Les « quartiers nord » font la une… Mais comment calmer tous ces semeurs de m…. ?

Envoyons l’armée, ceux qui rentrent d’Afghanistan, par exemple.

FDF

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IL FAUT BIEN QUE LES « DJEUNS »   S’EXPRIMENT   NON?

AUCUN MEDIA  NATIONAL  NE NOUS PARLE DE CELA   –   ELECTIONS OBLIGENT !!!!!!
Les violences urbaines sont fréquentes à AMIENS,   
QUI PAYE LA CASSE DE CES DJEUNS QUI DETRUISENT TOUT  COMME DES SAUVAGES  ???

« De nouvelles violences urbaines ont eu lieu hier, en fin d’après-midi SAMEDI DERNIER et durant une partie de la soirée, dans le quartier nord d’Amiens. Dès 17 heures, un véhicule de police, visé par des tirs de projectiles, était pris pour cible près de la place du Colvert.Mercredi, c’est un bus qui avait fait l’objet de jets de projectiles sur l’avenue de la Paix. Après avoir mis en place un système de sécurisation, les policiers s’étaient retrouvés face à une vingtaine d’individus et avaient essuyé des tirs de projectiles. »

JC JC…

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AMIENS: Tensions urbaines dans le quartier nord

Comme le laissaient présager certains commentaires circulant sur Internet, de nouvelles violences urbaines ont eu lieu dimanche, en fin d’après-midi et durant une partie de la soirée, dans le quartier nord d’Amiens.

Dès 17 heures, un véhicule de police, visé par des tirs de projectiles, était pris pour cible près de la place du Colvert où doit se tenir le traditionnel marché aujourd’hui. Afin de disperser un groupe de jeunes particulièrement énervé mais qui n’avait rien à voir avec le caillassage, les fonctionnaires de police ont dû faire usage de gaz lacrymogène.

Les affrontements se sont poursuivis en début de soirée toujours à hauteur de la place du Colvert où des poubelles incendiées étaient renversées sur la chaussée.

Les CRS ont dispersé les jeunes et quadrillé la zone. Le calme est revenu aux alentours de 20 h 30 mais la tension restait palpable. Plusieurs camions de CRS ont d’ailleurs tourné dans le quartier pour sécuriser les lieux.

Mercredi, déjà, un bus était la cible de projectiles
Mercredi, c’est un bus qui avait fait l’objet de jets de projectiles sur l’avenue de la Paix. Après avoir mis en place un système de sécurisation, les policiers s’étaient retrouvés face à une vingtaine d’individus et avaient essuyé des tirs de projectiles.

Comme hier, les policiers avaient dû répliquer avec des moyens lacrymogènes pour disperser le groupe.

SOURCEhttp://www.courrier-picard.fr

20/12/2011

Egypte: après la révolution, la révolution…

Il fallait s’y attendre. Ce n’est pas la prise du pouvoir par les islamistes qui allait arranger les choses. Faut pas rêver…

FDF

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Les affrontements très violents se poursuivent au Caire

En Egypte, une personne a été tuée lundi matin dans le centre du Caire. Les forces de l’ordre ont, elles, barré avec un mur en béton la rue où s’étaient concentrés la veille les affrontements avec les manifestants anti-armée.

«Le nombre de tués depuis le début des heurts est monté à 11, dont un ce jour», a affirmé Adel Adaoui, adjoint du ministre de la Santé, cité par l’agence officielle Mena, faisant état de 201 blessés pour la journée de dimanche. Le dernier bilan officiel, dimanche soir, s’élevait à 10 tués et près de 500 blessés en trois jours.

Des heurts ont à nouveau eu lieu lundi à l’aube lorsque les forces de sécurité ont tenté d’évacuer les manifestants de la place Tahrir, haut lieu de la contestation, mais le calme était revenu dans la matinée. Des manifestants ont montré une chemise blanche ensanglantée, la présentant comme celle du manifestant tué lundi.

Sur la place Tahrir, quelques dizaines de personnes observaient toujours un sit-in. Elles brandissaient des banderoles hostiles au pouvoir militaire et des photos qui ont indigné les protestataires d’une manifestante voilée, dont les soldats avaient découvert le soutien-gorge et le ventre en la frappant et en la traînant sur la chaussée.

Un mur de béton a été dressé dans la rue où s’étaient déroulés à coups de pierres et autres projectiles les heurts de dimanche, une voie perpendiculaire à la grande avenue conduisant de la place Tahrir au siège du gouvernement, selon la même source.

Ban ki-Moon et Clinton

L’avenue est barrée depuis samedi par un mur en béton afin d’empêcher les manifestants d’approcher du siège du gouvernement, où la confrontation avait débuté vendredi matin. Plus de 180 personnes ont été arrêtées par les forces armées dont des femmes et des mineurs, pour implication présumée dans les heurts et pour incendie de bâtiments, selon le Parquet.

Le secrétaire général de l’ONU Ban Ki-moon a accusé les forces de sécurité égyptiennes d’usage «excessif» de la violence à l’encontre des manifestants. La secrétaire d’Etat américaine Hillary Clinton a appelé dimanche les Egyptiens à s’abstenir de toute violence et demandé «instamment aux forces de sécurité égyptiennes de respecter et de protéger les droits universels de tous les Egyptiens, y compris les droits d’expression et de réunion».

Ces violences sont les plus graves depuis des affrontements similaires qui avaient fait au moins 42 morts, principalement au Caire, quelques jours avant le début le 28 novembre des premières législatives depuis la chute du président Hosni Moubarak en février.

Source: http://www.tdg.ch/

17/12/2011

Algérie: eux aussi ont des « jeunes »…

Image d’illustration

En fait, les « jeunes » sont ceux qui ne sont pas (encore) arrivés retrouver les « cousins » en France. Mais ils se forment sur leurs terres pour « agir » ensuite chez nous… Mais la police algérienne a des consignes plus strictes à leur intention. C’est aussi la raison pour laquelle ils viennent se réfugier chez nous. Leurs grands parents immigrés ne nous ont jamais causé de problèmes; eux, les « jeunes », rattrapent le retard… Vous aviez remarqué?

FDF

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MÊME CHEZ EUX  ILS ONT LEUR PROPRES RACAILLES, LEURS PROPRES VOYOUS   vous pourrez voir dans l’article que les méthodes de ces voyous   sont les mêmes que celles qu’ils emploient chez nous.   EN ALGÉRIE ILS SONT CHEZ EUX.
SURTOUT QU’IL Y RESTENT NOUS EN AVONS ASSEZ  dans tous les sens du terme !

JC JC

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ALGER  :   La brigade d’intervention rapide et de répression du banditisme, mise en place par la DGSN, a arrêté plus de 500 jeunes.

Logo El Watan

De jeunes délinquants de Sidi M’hamed s’organisent

Affrontements entre policiers et dealers

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La brigade d’intervention rapide et de répression du banditisme, mise en place par la DGSN, a arrêté plus de 500 jeunes.

Des affrontements ont opposé, dans la soirée de mardi, des jeunes de la cité Mahieddine, à Sidi M’hamed, aux policiers. Les jeunes du quartier Chaâba, postés en haut d’un talus surplombant la salle Harcha, ont lancé des cocktails Molotov sur les éléments de la police judiciaire, qui ont été obligés d’arrêter la circulation durant quelques minutes. Selon des indiscrétions, les jeunes dealers de Chaâba avaient été filés par des policiers et, pour les semer, leurs complices du quartier ont pris à partie les policiers. Des jeunes ont été arrêtés, après les échauffourées, dans certains quartiers de Belouizdad. La lutte engagée contre la délinquance dans cette cité populaire et les quartiers alentour n’a guère réussi à stopper la petite criminalité.


En effet, les jeunes n’hésitent plus à attaquer les policiers avec toutes sortes d’objets et à se replier ensuite dans les immeubles. Des incidents sont signalés dans cette partie de la ville, surtout à la sortie du stade. «Des jeunes de la cité Mahieddine déboulent la nuit dans le quartier sans se soucier de personne. Ils arborent des sabres qu’ils confectionnent eux-mêmes. Ces jeunes, à l’accoutrement spécial, ne craignent personne, ni les notables du quartier, ni les policiers du coin et encore moins le maire. Même cette section de la PJ qu’a mise en place la DGSN n’a donné aucun résultat sans le soutien de la population», souligne un résident de la rue Necira Nounou, qui affirme qu’il est presque plus possible de sortir la nuit.


Des jeunes du chantier «Titanic» désaffecté détroussent les piétons et même les automobilistes qui ne connaissent pas le danger qu’ils encourent en empruntant, passée une certaine heure, la rue Belouizdad ou dans les rues adjacentes des quartiers des communes de Sidi M’hamed et de Belouizdad. La brigade d’intervention rapide et de répression du banditisme, mise en place par la DGSN, ne peut, semble-t-il, pas combattre une délinquance qui prend de plus en plus d’ampleur. Des jeunes des quartiers de Belouizdad s’organisent en gangs armés de sabres ; une fois leur forfait accompli, ils se replient dans les barres d’immeubles.


«Les éléments de la brigade criminelle de la division Centre de la police judiciaire d’Alger, engagés dans les quartiers, ont fort à faire pour espérer en finir avec la petite criminalité. Ils sont obligés de poursuivre les jeunes jusque dans les bâtiments, ce qui engendre des incidents. Même les femmes se mettent de la partie en jetant des objets hétéroclites sur les policiers, parfois en civil», constate une source, qui parle de plusieurs policiers blessés lors des poursuites. «Ces jeunes ont de véritables chefs auxquels ils obéissent au doigt et à l’œil ; la police en a arrêté plus de 500 avec un attirail de guerre (sabres, couteaux, chiens). Un grand travail reste pourtant à accomplir pour la BMPJ», poursuit notre interlocuteur qui signale, contrairement au discours rassurant de la DGSN, une propagation des incivilités et un accroissement des actes délictueux dans les quartiers populaires où des jeunes se comportent comme de véritable caïds et délimitent leur territoire sans que les autorités locales s’en soucient.
«Il arrive à des élus locaux d’utiliser de nouveaux baltaguia pour chahuter une manifestation politique ou même soutenir le Président, en visite dans la capitale. La dernière fois, la police a arrêté des délinquants à la rue Hassiba. Un élu bien inspiré a voulu gonfler les rangs de ses sympathisants avec des voyous du quartier», affirme un résident la rue Belouizdad, qui trouve indigne que des élus du peuple «utilisent des délinquants pour imposer leurs choix politiques.»
Source: http://www.elwatan.com/

12/09/2011

Mulhouse: la guerre civile au coeur de la ville…

Photo d’illustration

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Billet et reportage spécialement dédiés aux abrutis qui font encore semblant de croire aux « bienfaits de l’immigration ».  Mais tout le monde fermait volontairement les yeux sur ce genre d’exactions qui pourrissent notre France. Nul n’est maintenant à l’abri des guerres de bandes ethniques. Et les « sous-chiens » trinquent. Et ils en ont marre de ça; d’ici à ce qu’ils décident à rétablir eux-même le calme et le droit de vivre sereinement, sans la peur au dessus de la tête, il n’ y a pas loin…

Je ne voudrais pas un oiseau de mauvaise augure, mais je pense que ce n’est qu’un début… On va le payer cher, le laxisme pratiqué jusqu’alors en la matière. Beaucoup ne pourront pas dire qu’on ne les avait pas maintes fois alertés sur ce sujet…


Merci au maire de Mulhouse pour sa politique de la ville…

FDF

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Mulhouse: affrontement armé entre « bandes » dans le quartier de Bourtzwiller

Pendant plus de deux heures, les forces de l’ordre ont dû arbitrer un éprouvant face à face entre  des jeunes et des hommes armés retranchés dans la mosquée. Photos Jean-François Frey

Pendant plus de deux heures, les forces de l’ordre ont dû arbitrer un éprouvant face à face entre des jeunes et des hommes armés retranchés dans la mosquée. Photos Jean-François Frey

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Coups de feu, coups de couteau, voitures incendiées, jets de pierres et de cocktails Molotov… Une rixe entre bandes a pris des proportions inédites hier, à Mulhouse-Bourtzwiller.

Hier à 19 h, quartier de Bourtzwiller à Mulhouse. Dans la rue Brossolette, des dizaines de policiers et de gendarmes, bardés d’équipement de protection et d’armes d’assaut, sont accoudés à leur véhicule, le visage crispé.

Sur les trottoirs, des centaines de badauds sont massées, le regard tourné vers le bout de la rue. Certains ignorent tout de ce qui est en train de se passer, d’autres ont entendu ici ou là des bribes de l’histoire.

Ils racontent la même chose. Tout a commencé par un banal différend entre des habitants du quartier et des hommes originaires des pays de l’Est, vendredi. Ces derniers sont revenus en nombre et armés, hier après-midi, une rixe a éclaté, des coups de feu ont été tirés et deux hommes ont été blessés par arme blanche.

Après un regain de tension en début de soirée, une quarantaine d’hommes, présentés comme membres de la communauté tchétchène, se sont retranchés dans la cour de la mosquée, face à une centaine d’adversaires, postés derrière une haie de l’autre côté de la chaussée.

Depuis, les forces de l’ordre s’efforcent de s’interposer entre les deux camps. Les forces de l’ordre et quelques pompiers, venus pour secourir d’éventuels blessés. « C’est la première fois de ma vie que je mets un gilet pare-balles », lâche l’un d’entre eux en le montrant sous son gilet fluo. La situation est encore sous contrôle, mais il semble qu’une étincelle pourrait suffire à l’embraser.

Cette étincelle, elle arrive à 19 h 30, lorsqu’une voiture entre en trombe dans la cour de la mosquée et que les forces de l’ordre essuient une pluie de pierres et de cocktails Molotov. Elles répliquent par une salve de gaz lacrymogènes et la foule détale en une marée humaine affolée. Une femme sanglote, effondrée.

Où que l’on soit, le quartier bruisse de la même expression : « C’est la guerre ! » En voyant un policier recharger un fusil à pompe, une voiture flamber en dégageant une épaisse colonne de fumée noire et l’hélicoptère de la gendarmerie tourner dans les airs, on comprend ce qu’ils veulent dire. La guerre, non, mais du jamais vu de mémoire de Mulhousiens, certainement.

Après un nouveau moment de calme orageux, parsemé d’échauffourées ponctuelles, les choses s’embrasent à nouveau à 20 h 20. Un cortège de puissantes voitures se fraie un chemin dans la foule et repart en direction de la rue de Kingersheim dans un crissement de pneus et des vrombissements de moteurs.

Il est la cible d’une pluie de pierres grosses comme le poing, qui n’épargnent ni la police, ni les observateurs. C’est à ce moment que retentit une rafale de coups de feu venue d’on ne sait où. Puis plus rien. Le calme après la tempête. La voiture continue de brûler en silence, les derniers témoins sont hébétés.

Les hommes retranchés dans la mosquée ont manifestement été « extraits » par la police. Les pompiers dressent un premier bilan : plusieurs personnes ont été blessées, dont quatre policiers et gendarmes touchés par des pierres, mais le pire a été évité. À 20 h 30, aucun blessé grave, voire pire, n’a été recensé.

Hier soir à 22 h, l’origine de l’affrontement, le bilan exact et le nombre des éventuelles interpellations n’étaient pas encore connus. Mais la soirée promettait encore d’être longue. Un escadron de gendarmes mobiles et une compagnie de CRS étaient encore attendus sur place.

NOTRE REPORTAGE PHOTO ICI

Source: http://www.lalsace.fr/
A noter: les Tchétchènes sont musulmans. Mais vous l’aviez compris… Bizarre: les Maghrébins en face aussi, en principe. Guerre de territoires ?
FDF

18/08/2011

Ramadan en Algérie: pas de tout repos…

Le ramadan, comme la pratique de l’islam, n’est pas bon pour la santé; mentale, aussi. La preuve en Algérie.  Au 4 août, des morts, des blessés, des bagarres, etc… A ce jour, nous n’avons pas les chiffres. Ca vaut peut-être mieux…Constat.

FDF

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Un ramadan algérien d’une rare violence!

Dur, dur, d’être un bon musulman…

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Premier décompte policier au 4e jour du ramadan version algérienne: 2.000 bagarres qui ont fait 100 blessés, 4 morts et une cinquantaine d’accidents de voitures qui ont fait 19 morts. Mais d’où vient cette violence? Est-elle typiquement algérienne?

A la chaleur pénible se conjugue la pratique du ramadan, pendant lequel il faut s’abstenir de se faire introduire tout produit liquide (boissons), solide (aliments), fumeux (tabac), charnel (sexe) ou encore cutané (patchs nicotiniques) et intraveineux (injections de toute substance). Et ce, du lever du soleil (actuellement 4 heures du matin à Alger) jusqu’au coucher (20 heures à Alger) pendant un mois (lunaire, soit 28 ou 29 jours selon les années).

Bref, une épreuve digne d’un parcours du combattant; 16 heures par jour, par 40 à 45 degrés à l’ombre, pour contenter l’un des cinq piliers de l’islam —celui le plus observé par les Algériens et les Maghrébins d’une manière générale.

Car si en Algérie tout le monde ne fait pas la prière, l’un des cinq premiers préceptes avec le ramadan, la chahada (attestation de l’unicité de Dieu), la zakat (aumône aux pauvres) et le Hadj (pèlerinage à la Mecque), en théorie chacun observe le jeune, pratique plus culturelle que religieuse.

D’où le problème d’un bon nombre d’Algériens pas convaincus et ni réellement pieux, mais qui se forcent au jeûne pour montrer leur capacité de résistance. Cette virilité entraîne de fait chaque année des affrontements, bagarres, rixes et empoignades qui finissent mal en général —comme les histoires d’amour. Inquiète, la police nationale a pour la première fois donné des chiffres sitôt les quatre premiers jours du ramadan entamés (le mois de jeûne a commencé en Algérie le 1er août).

Bilan effarant, avec une moyenne de 500 bagarres par jour, qui se sont soldées par la mort de quatre personnes. Violents aussi avec eux-mêmes, une cinquantaine d’accidents de voiture ont déjà été enregistrés, qui ont fait 19 morts. Un ramadan qui démarre donc sur les chapeaux de roue. Loin de la piété, l’essentiel est d’être un homme.

Le jeûne, abstinence totale, entraîne un sérieux problème de manque. En dehors de la déshydratation et de la chaleur qui occasionnent des délires, le problème va du simple sevrage café-tabac qui rend passablement nerveux, au manque de cannabis, avec une anxiété supérieure, jusqu’au stade beaucoup plus sérieux, la désintoxication aux psychotropes pour les nombreux accros de ces drogues chimiques.

L’Algérie en manque

En effet, l’Algérie figure parmi les plus grandes consommatrices de la planète (plus de 2 millions de comprimés saisis l’année dernière par les services de sécurité, représentant 29 tonnes, contre 40 tonnes de cannabis) qui alimentent un marché informel florissant, brassant 20 millions de comprimés, essentiellement des benzodiazépine comme le Valium, Diazepam et Rivotril. A tel point que le Maroc, très bio, qui exporte du cannabis vers l’Algérie, se plaint de l’introduction illégale et massive de psychotropes en provenance de cette dernière.

Une guerre de fous, où l’Algérie est pour l’instant gagnante, avec ses abonnés réguliers à ces drogues du pauvre, encore moins chères que le cannabis (une plaquette de 10 comprimés coûte environ 1 euro), mélangées à de l’alcool ou d’autres substances —c’est le shoot assuré à moindre frais.

C’est là où la violence entre en scène: ces molécules neurotoxiques entraînent une dépendance très forte; douleurs, convulsions, violents troubles psychiques accompagnent le sevrage. «Ara habba Valium bech n’hal 3iniya» (donne moi un Valium pour que je puisse ouvrir les yeux), chante Amazigh Kateb, l’un des chanteurs les plus populaires en Algérie.

Mais si la violence apparaît pendant le ramadan, le reste de l’année ce n’est pas mieux. Selon les chiffres, la moitié des détenus algériens sont accros aux psychotropes et en 2010, 69.446 cas d’atteinte aux personnes ont été consignées, avec les CBV, coups et blessures volontaires, en tête de liste. Violente aussi contre elle-même, pour les accidents de voiture l’Algérie est classée en tête des nations avec plus de 11 tués chaque jour et 5 accidents de la route chaque heure —soit une moyenne de 4.000 morts par an, pour une population de 36 millions d’habitants.

L’Algérien est-il violent? Oui, mais l’Algérienne aussi puisque les femmes sont de plus en plus présentes dans les chiffres de la délinquance.

Une violence politique et économique

Mais pourquoi l’Algérie? En dehors de sa grande consommation de psychotropes, il y a une violence typiquement algérienne. Pour des raisons historiques —les guerres d’indépendance et le terrorisme—, politiques —la violence du régime érigée en norme—, ou encore idéologiques, comme la prime à la violence du fait de l’amnistie des terroristes par le président. C’est tout? Non, bien sûr; l’Algérie est malheureuse et a faim de tout, et aussi d’argent.

Comme à l’accoutumée, les prix des produits alimentaires flambent pendant le ramadan. On jeûne la journée mais on mange beaucoup le soir, pour se rattraper. Ce qui se traduit par une tension sur la demande et une inflation, mais aussi par des files d’attente aux urgences hospitalières, la plupart du temps pour des cas d’indigestions, mêlés aux victimes des nombreuses rixes, dommages collatéraux du ramadan.

C’est durant cette période que les pauvres se comptent, par le nombre de couffins (paniers alimentaires) donnés par le ministère de la Solidarité. Si l’année dernière, un million de couffins ont été distribués aux familles (qui représentent 6 millions de personnes environ), 1 million et demi de ces couffins de première nécessité ont été offerts cette année, soit 9 millions de démunis.

Ceci explique un peu cela, la misère avance avec la délinquance, d’autant que les statistiques des services de sécurité expliquent que plus de 50% des criminels qui sévissent dans la capitale font partie de la société inactive.

A Alger, les journées sont donc difficiles, autant par le jeûne, très pénible en cette chaleur, que par la présence de jeunes délinquants désœuvrés, en proie aux manques de toutes sortes. Mais le soir, la tendresse revient au cours des longues sorties nocturnes où se mêlent hommes et femmes, familles, couples et célibataires, quand les jeunes accros ont pris leurs calmants.

Tout un contraste, à l’algérienne. La journée, la haine ; le soir, la douceur. Oui, le ramadan est théoriquement un mois mystique, le mois de la Révélation prophétique, et on a oublié Dieu dans tout cela. Mais comme à son habitude, il est partout et nulle part.

Source: http://www.slateafrique.com/

02/04/2011

Tant qu’ils se battent entre eux, ça nous fera toujours ça de moins à affronter…

Salafistes  contre les Frères musulmans, ça va déjà « nettoyer le terrain ». Continuez, les gars!

FDF

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– Les salafistes sont financés par l’Arabie saoudite, et les Frères musulmans par le Qatar.

– Les forces laïques et libérales n’ont aucun financement : elles ont un énorme

défi à relever en vue des prochaines élections.

Les membres d’une secte musulmane ultraconservatrice et des villageois du sud du Caire se sont affrontés après que les salafistes ont exigé la fermeture de bistros et d’un magasin d’alcools, a déclaré un fonctionnaire mardi, ce qui signale une affirmation croissante du mouvement fondamentaliste.

Un villageois a été tué et huit autres ont été blessés dans les affrontements armés qui ont éclaté lundi soir dans le village de Kasr el-Bassil dans la province de Fayoum, selon un responsable de la sécurité.

Les salafistes étaient tolérés en tant que groupe religieux par l’ancien président Hosni Moubarak pour lutter contre son principal ennemi, les Frères musulmans. Mais leur pouvoir s’est accru maintenant qu’ils entendent jouer un rôle plus politique et qu’ils réfléchissent à la nomination d’un candidat à la présidentielle après l’insurrection de 18 jours qui a conduit à l’éviction de l’ancien régime. Cet incident a beaucoup inquiété les forces laïques et libérales en Égypte en raison du discours extrémiste du groupe et de l’imposition de la charia islamique.

Des dizaines de salafistes ont également organisé une manifestation mardi au Caire, accusant une Église de l’enlèvement de Camilla Shehata, l’épouse d’un prêtre copte qui se serait prétendument convertie à l’islam et qui serait détenue contre son gré. Les salafistes ont accusé la police de collaborer avec l’Église en retournant Mme Shehata aux autorités religieuses pour sa reconversion. Le sort de la femme est actuellement inconnu.

Les manifestants brandissaient des pancartes se lisant « pacifique, non violente » pour désamorcer les rumeurs selon lesquelles le mouvement entendait tenir un rassemblement massif pour réclamer le port obligatoire du voile islamique par les Égyptiennes et punir les récalcitrantes en leur jetant de l’acide au visage.

Source : AP via Washington Times, Traduction partielle

Pillé à Gérard Brazon

29/03/2011

À Florensac, le drapeau algérien remplace le drapeau français !

On ne touche pas à NOTRE drapeau. Prochainement, certains vont facilement le comprendre… Ce ne sont pas des menaces, c’est du PATRIOTISME…

Et dire qu’un groupe de résistants de Franche-Comté se trouve condamné suite aux plaintes des sangsues de:

–          Ligue des droits de l’homme de Belfort

–          MRAP

–          LICRA

–          SOS Racisme

–          Atelier des môles

–          Association des Tunisiens de l’Est

–          CGT

–          FSU

etc…

à une somme exorbitante pour avoir osé produire cette affiche:

La préférence non-nationale bat son plein.

FDF

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Les auteurs de cet affront au drapeau ne seront jamais retrouvés, ni trop « recherchés », en fait…

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Durant la soirée de dimanche, les gendarmes qui faisaient une ronde à Florensac, se sont rendus compte que le drapeau français qui pavoise sur le fronton de la mairie avait été remplacé par un drapeau algérien. Les services municipaux ont été alertés et hier matin ils enlevaient cet emblème. 

Le drapeau français était alors retrouvé dans des arbres et remis à sa place…

09/02/2011

Des musulmans incendient deux églises et en pillent une troisième en Indonésie !

La christianophobie bat son plein. Le pire est que ça se répand…

Ben on va se battre.

FDF

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Des musulmans extrémistes ont incendié mardi deux églises et pillé une troisième lors d’affrontements entre quelques 1 500 manifestants qui réclamaient la peine de mort pour un chrétien de 58 ans (Antonius Bawengan) condamné à 5 ans de prison pour blasphème par une tribunal de Temanggung, et les forces de police. Cette sentence correspond pourtant au maximum de ce que prévoit la loi indonésienne…

Le ministre italien des affaires étrangères Franco Frattini a jugé mardi qu’il s’agissait d’une « très sérieuse démonstration de fanatisme anti-chrétien ». « C’est une atteinte à la liberté religieuse et à la liberté individuelle de chacun » a-t-il continué. « J’espère que le gouvernement indonésien, qui a toujours soutenu le dialogue entre les religions, prendra les mesures nécessaires et réagira à ces actes ».

L’Indonésie, 240 millions d’habitants, est le pays musulman le plus peuplé du monde.

 

(sources : AFP et CBN)

27/01/2011

Egypte: la tentative de récupération de la démocratie va servir aux islamistes..

Et pendant ce temps, en Egypte comme en Tunisie et autres contrées prêtes à exploser, les islamistes attendent patiemment leur heure…

FDF

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Au moins mille personnes arrêtées en Égypte!

Un policier et un manifestant ont été tués mercredi dans des heurts au Caire, au deuxième jour de violentes manifestations contre le régime d’ Hosni Moubarak. Au moins 70 personnes ont été blessées à Suez.

Pour la deuxième journée consécutive, les Égyptiens ont défié mercredi le pouvoir dans la rue. De violents affrontements ont opposé les manifestants à la police dans le centre du Caire et dans la ville de Suez, à l’est de la capitale égyptienne. Un policier et un manifestant ont trouvé la mort dans un quartier du centre de la capitale, où les deux camps se sont lancés des pierres après des tirs de gaz lacrymogènes par la police. Ces deux décès portent à six le nombre de personnes tuées en deux jours de contestation sans précédent du régime du président Hosni Moubarak. Au moins mille personnes ont par ailleurs été arrêtées depuis le début des manifestations dans le pays. Parmi eux, environ 90 se trouvaient dans le secteur de la place Tahrir, dans le centre du Caire, et 121 à Assiout, au sud de la capitale égyptienne, sont membres de l’organisation islamiste des Frères musulmans, officiellement interdite mais tolérée dans les faits.

La tension étaient encore très vive mercredi soir au Caire. Des dizaines de manifestants ont affronté les forces de sécurité devant le ministère des Affaires étrangères. Alors qu’ils tentaient de s’introduire dans le bâtiment, ils ont forcé l’une des entrées du ministère et occupé le bureau de l’un des gardes de sécurité avant d’être contraints de se retirer par la police qui a tiré des gaz lacrymogènes.

A Suez, environ 2000 personnes se sont rassemblées, 55 d’entre elles ont été blessés, ainsi que 15 policiers. Les manifestants de cette ville portuaire ont également incendié un un bâtiment gouvernemental et tenté de mettre le feu à des locaux du parti du président Hosni Moubarak.

Les manifestants répondaient à l’appel du «Mouvement du 6 avril» – un groupe de militants pro-démocratie – à une nouvelle journée de mobilisation. Ils ont ainsi bravé l’interdiction proclamée mercredi par le gouvernement, qui a prévenu qu’«aucun acte de provocation, rassemblement de protestation, marche ou manifestation ne sera permis». Le site de micro-blogs Twitter est par ailleurs devenu mardi inaccessible dans le pays, affirme le site herdict.org. Mercredi, c’est le réseau social Facebook qui a subi le même sort.

Quatre morts mardi

Suite et source: http://tinyurl.com/5srbf6k

26/10/2010

Trente ans d’émeutes urbaines…

Et l’on retrouve toujours les mêmes… Du moins, la relève. Dément. Si on avait attaqué le problème au départ, nous n’en serions pas là… Autre fait marquant: à l’apparition de ces émeutes, les forces de l’ordre faisaient leur boulot. Puis, petit à petit, ils on reçu des ordres… Dépassés par les évènements, nos autorités? Pas du tout. Faut pas provoquer les sous-merdes. Ils pourraient se fâcher; encore plus. La Légion, elle est où, au fait? Car la guerre civile ne fait que commencer…

FDF

Cette liste n’est pas exhaustive. C’est ce que nos gouvernants ont bien voulu laisser divulguer… Demandez aux vrais français durements touchés pas cette délinquance; ils en ont beaucoup plus à raconter…

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1981 : En juillet, le département du Rhône est le théâtre d’émeutes à Vénissieux, Villeurbanne et Vaulx-en-Velin.

1990 : Premiers affrontements violents à Vaulx-en-Velin, (Rhône), à la suite de la mort de Thomas Claudio, 21 ans, percuté par une voiture de police.

1994 : Le 27 juillet, affrontements dans le quartier des Sapins à Rouen, après le décès d’Ibrahim Sy, tué par un gendarme.

1997 : Le 17 décembre, Abdelkader Bouziane, 16 ans, est tué par des policiers à Fontainebleau. Des incidents éclatent entre jeunes et CRS à Dammarie-les-Lys (Seine-et-Marne), dans la cité de la plaine du Lys, d’où l’adolescent était originaire.

2001 : En octobre, deux jours de violences à Thonon-les-Bains (Haute-Savoie) après la mort accidentelle de quatre hommes voulant éviter un contrôle policier. En décembre, cinq nuits d’échauffourées à Vitry-sur-Seine (Val-de-Marne), après le décès d’un jeune de Vitry tué dans le braquage d’une banque à Neuilly-sur-Marne (Seine-Saint-Denis).

2005 : A partir du 27 octobre, des émeutes éclatent à Clichy-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) puis dans le reste du pays, après la mort de deux adolescents qui s’étaient réfugiés dans un transformateur pour échapper à un contrôle policier.

2007 : Le 25 octobre, de violents incidents se produisent à Villiers-le-Bel (Val-d’Oise) après la mort de deux jeunes de 15 et 16 ans renversés par une voiture de police. Ils s’étendent à cinq autres villes du département : Sarcelles, Cergy, Garges-lès-Gonesse, Ermont et Goussainville.

2008 : En juin, le meurtre d’un jeune de 20 ans tué par balles lors d’une rixe déclenche des affrontements à Vitry-le-François (Marne).

2010 : En juillet, vague de violences dans le quartier de la Villeneuve (Grenoble) après la mort de Karim Boudouba, 27 ans, lors d’échange de tirs avec la police à la suite d’un braquage de casino auquel il participait.

Etc…, etc…

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