Qu’une part de l’impôt (jugé confiscatoire par nombre de ses assujettis) soit utilisée non pour lutter mais pour faciliter les toxicomanies est insupportable !
On se souvient que le gouvernement avait refusé de faire de la présomption de non-consentement des mineurs de moins de 15 ans un des piliers de cette loi.
On reconnaissait à François Mitterrand l’incroyable talent de laisser croire à l’autre qu’il était seul au monde face à lui. Emmanuel Macron, paraît-il, n’est pas dénué de ce don aujourd’hui. Il n’écoute peut-être pas en gros, mais au détail, oui.
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