Cet article restera mis en avant durant
toute la durée du procès, du 4 au 14 sep.
À quoi vous fait penser ce visage masqué et au regard ambigu ? [ci-contre à droite] Certainement pas à la franchise ! L’avantage d’écumer les vide-greniers et autres brocantes à la campagne est de trouver des perles rares, des livres qui n’ont pas subi la censure du politiquement correct, la révision historique de la gauche bien-pensante. Ce dimanche, j’ai trouvé une autre perle datant de 1964. J’avais un peu plus de 10 ans lorsque cette revue était dans les kiosques.
Le 4 septembre dernier, des militants dits antifas ont fait un simulacre de dépôt d’une plaque en l’honneur de Clément Méric, un jeune fils de professeur de gauche, mort bêtement pour avoir joué les caïds à la tête d’une bande de demeurés bien dignes de Benito Mussolini. En effet, les antifas se disent anti-fascistes et malgré leur niveau d’études, ils ont dû sécher les cours d’Histoire. Clément Méric était à Sciences Po, une école réputée pour diffuser, voire donner un bagage intellectuel important à ses élèves et qui fait, par la mort de ce jeune homme, la preuve qu’elle a perdu pas mal d’éléments et de puissance dans ses bagages, comme des références politiques et historiques ! Quand on veut à toute force mêler l’éducation et l’idéologie, il y a de fortes chances que ce soit l’éducation qui trinque ! Les antifas sont la copie fidèle des SA d’Ernst Röhm et rien ne peut justifier leurs nuisances, pas même un Manuel Valls. Clément Méric sortait d’une « longue maladie », une leucémie, et il était encore sous traitement médical. Il y a fort à parier que les médecins qui se sont occupés de lui avec patience, dévouement et persévérance pour qu’il puisse vivre ignoraient que Lire la suite |