Ainsi, la Suède, alors qu’elle n’a jamais colonisé l’Afrique, se voit submergée par des tribus subsahariennes. Pire : l’on viole l’imaginaire des Suédois en intégrant dans des films subventionnés par l’État des non-européens dans des villages vikings ou à la cour de Gustav III (cliquez ici).
L’on n’accuse pas encore les pauvres Suédois des exactions liées au commerce d’esclaves comme cela se fait actuellement en France lorsque de braves universitaires français réécrivent l’histoire en exigeant jusqu’au déboulonnage des statues de Colbert, mais peut-être cette folie obscurantiste ne va-t-elle pas tarder ?
Les Suédois sont sommés de s’effacer joyeusement en tant que peuple indo-européen de Scandinavie, car – et on les dresse ainsi – leur amour du prochain le nécessiterait et il serait mal et contraire à l’esprit des Évangiles de refuser une mort immédiate en tant que peuple. Sans aucune démarche pseudo-intellectuelle comme cela est requis notamment en France, le trépas de la nation suédoise est présenté au peuple intéressé comme le choix juste du Bien contre le Mal. Et nous voyons les symptômes de la mort imminente des Suédois dans chaque manifestation de leur existence civique.
Ainsi, les féministes suédoises gouvernant cette pauvre nation infligent une castration sociale et personnelle aux mâles blancs, leurs compatriotes, mais acceptent avec une joie manifeste de se soumettre, jusque dans leurs tenues vestimentaires, lors de leurs déplacements dans les pays mahométans (cliquez ici).
Il est donc légitime de se demander avec Nietzsche si la christianisation des pays du Nord n’était pas le premier signe de leur longue agonie en tant qu’ethnie : ayant privilégié un dieu sémite à leur panthéon boréal, les peuples nordiques d’Europe ont donné le premier signe de leur vouloir mourir.
L’origine de cette aspiration au suicide joyeux de ceux qui sont devenus, actuellement, les pays scandinaves est-elle anthropologique ?
La christianisation a été précédée par la mort au combat des meilleurs hommes de cette race, qui, par vagues, sur plusieurs générations, ont disparu afin d’acquérir puissance et biens. En effet, ce sont les mâles les plus passionnés de Scandinavie qui quittaient leur clan, se réunissant dans des villages vikings pour partir à la conquête de l’univers. Ainsi filaient d’une décennie à l’autre le sang et la semence des meilleurs géniteurs aryens du Nord. À la tête d’une ethnie dès lors affaiblie, les derniers rois vikings ont trahi les dieux du Walhalla et ont cessé d’exister en tant que jarls (conte en scandinave) maîtres de l’Europe, et ce, dès l’installation du christianisme politique.
Cette aspiration au suicide – d’un grand corps anthropologique, un peuple lassé de vivre – a continué à traverser cette Suède désormais chrétienne qui s’est totalement offerte à sa mort en tant qu’État-nation – désir dont nous voyons actuellement les derniers soubresauts.
Puis, pendant plus de trois siècles, la nation suédoise a réussi à faire fermenter de nouveau, tant bien que mal, le meilleur sang de ses fils. Mais le désir de puissance et d’enrichissement guettait toujours les Suédois et il s’est transformé en un piège mortel pour cette nation. Le Christ s’est retrouvé vêtu des habits du chevalier nordique, transformé en dieu viking grâce à la résurgence de nouvelles générations de mâles passionnés.
Nous glorifions à juste titre les Kamikazes qui, dans un élan noble et désespéré, se sacrifiaient pour l’honneur de l’Empire japonais, mais pas moins kamikazes étaient les générations qui constituèrent les corps militaires du roi de « ce que nous appelons actuellement Suède-Finlande » Charles XI.
En effet, cette meilleure armée du monde d’alors qui portait le nom latinisé de ses rois, Karoliner, appliquait une tactique l’obligeant à sacrifier les plus exceptionnels de ses membres à chaque nouveau combat, dès lors quasi obligatoirement gagné.
Cette tactique rendue par le slogan célèbre « Ingen kula träffar människan » consistait à s’approcher de l’adversaire au pas de marche à distance de tir de fusil, puis à charger à l’arme blanche, toujours préférée. Nulle nation de l’univers à cette époque n’acceptait de payer des victoires un tel prix humain.
De nouveau, les générations successives des meilleurs mâles de cette espèce nordique s’éteignirent par extinction naturelle et forcée dans les années dix du XVIIIe siècle et la Suède d’après Charles XII a dès lors commencé sa longue déchéance vers sa neutralité d’État, puis le féminisme hystérique, le charlatanisme du gender et, le comble, le changement de sa population.
Les peuples du Sud, français, italiens ou espagnols en l’occurrence, ne devraient pas manifester leur arrogance face à la tragédie suédoise : eux aussi vivent leur fin toute gaie qui s’apparente à un drame satirique, car les organisateurs de ce génocide des peuples indo-européens de l’Ouest de notre continent rient bel et bien de leur œuvre parfaitement réussie…
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