Publié le 13 août 2015 – par Raphaël Delahaut

Grâce à Cyrano, j’avais déjà vécu, il y a quelques jours, un pur moment de félicité à la lecture de sa chronique, hautement jubilatoire et digne d’un moderne Saint-Simon, de la vie amoureuse à la Cour du Régent François, entre demi-mondaines, petits marquis et courtisanes blanchies sous le harnais ; le stupre façon Grand Siècle au temps des bobos post-modernes :
http://ripostelaique.com/ne-reste-plus-a-hollande-qua-faire-gosse-a-gayet.html
Je découvre aujourd’hui avec délectation la dernière ballade en date de notre mousquetaire préféré :
http://ripostelaique.com/lislam-sommes-france.html
Ici, dans un impeccable balancement rhétorique, Cyrano nous présente alternativement les deux faces d’une même médaille, celle du monde où nous vivons et, singulièrement, de la France que nous aimons. Tel un prestidigitateur du langage – rien dans les mains, rien dans les poches, tout dans les mots – il nous fait contempler le jour et la nuit, l’ombre et la lumière, le Bien et le Mal, la mort et la vie, la matière et l’antimatière…
Il lance ses rimes à la cantonade, tout en ferraillant contre les intrus barbaresques, et conclut chaque strophe par :
« Ils sont l’islam, nous sommes la France »,
manière de :
« Je te préviens, mahométan,
Qu’à la fin de l’envoi, je touche ! »
Pour finir, dans un élégant mouvement de cape et d’épée, le magicien à huit-reflets nous présente les deux faces de la médaille France, strictement identiques cette fois, où n’apparaît plus désormais qu’un drapeau tricolore flamboyant, lumineux, au centre d’un hexagone débarrassé de ses scories islamiques :
« Ils n’ont qu’à aller se faire foutre. On est chez nous. »
Tonnerre d’applaudissements ! La salle tout entière se lève d’un seul mouvement, des drapeaux s’agitent, frénétiques, dans des mains innombrables, formant une prairie tricolore au-dessus des visages radieux… Éclate alors une Marseillaise entonnée, clamée, projetée par mille voix de stentor, à faire trembler les murs de toutes les mosquées de Navarre et de France…
Les quelques musulmans qui s’étaient glissés parmi les patriotes aux fins d’espionnage ont filé par les sorties de secours, comme un pet sur une toile cirée, en moins de temps qu’il n’en faut pour cracher « Allahu akbar ». Vous sentez tous, Français d’hier et de demain, Français de toujours, vous sentez tous au parfum de l’air comme une patrie qui nous revient…
Je suis allé compter les bouquets-commentaires déposés devant la porte de sa loge : 180 au moment où j’écris ces lignes, à tout seigneur tout honneur ! Et parmi eux, quelques poignées d’orties, quelques champignons vénéneux déposés là, subrepticement, par deux ou trois musulmans de réserve, de ceux que les media appellent modérés parce qu’ils n’ont pas encore été mobilisés, parce qu’ils n’ont pas encore servi, mais qui attendent l’arme au pied – n’en doutons pas – le jour du Grand Aïd pour entrer dans la danse. Ce sont bien sûr les plus dangereux, ce sont eux qui induisent encore en ingénuité une grande partie de nos compatriotes en leur faisant croire à une possible coexistence pacifique.
Ils doivent tout de même être un peu masochistes, les petits Nordine, les petites Rachida, les petits Farès qui viennent sur ce site se faire fesser les joues par Cyrano ! À leurs réactions virulentes, à leurs emportements de dindons colériques, on devine qu’ils ont été piqués au vif, les sectateurs d’Allah. Eh oui, jeunes coraïnomanes, les coups de rapière, c’est comme les pruneaux, c’est plus facile à donner qu’à recevoir ! Gardez-vous, la prochaine fois, de vous frotter aux Cadets de Gascogne : ils pourraient bien vous tailler quelque nouvelle boutonnière dans cette partie de votre anatomie que vous dressez vers le ciel en guise d’hommage à votre dieu pétomane.
Certains osent tout, c’est même à ça qu’on les reconnaît… Ils ont le brave culot de vouloir nous faire la leçon sur les valeurs de la France, ils parlent de ce pays comme s’il leur appartenait. Ainsi, notre terre (et ses vingt siècles d’Histoire) serait devenue la leur simplement pour y avoir planté quelques mosquées, comme un chien dépose un étron au pied d’un platane ! Ils auraient des droits sur notre sol uniquement parce que leurs parents (ou grands-parents), coucous héréditaires, ont un jour lâché leur progéniture dans le nid d’un autre (le nôtre, en l’occurrence) !
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