Le Film Taken est un exemple parmi d’autres de ces films qui un jour, seront interdits par la censure du politiquement correct au nom du « vivre ensemble ». Cet article vaut comme filtre et grille d’explications. Ne regardez plus les téléfilms comme d’innocentes images pour vous distraire.
Nous sommes déjà chez George Orwell.
Demain, les seuls films autorisés seront du type de la série « CHERIF » sur TF1 qui correspond à la doxa du multiculturalisme et de la bien pensance:
un capitaine de police, fils d’immigré algérien, sympathique en diable, père d’une gamine, divorcé d’une avocate blanche, travaillant avec un autre capitaine de police de sexe féminin et blanche, sous le charme. Tout ce petit monde est placé sous les ordres d’un Commissaire de police antillais.
Nous sommes loin de Maigret et même de Navarro. Les faires valoirs sont blancs, un peu abruti comme il se doit (normal?) sauf une petite blanche en uniforme dont le regard admiratif qu’elle porte sur son beau capitaine de Chérif nous indiquent clairement qu’elle serait prête à se sacrifier sur l’autel de la mixité plutôt deux fois qu’une.
Le décor est planté. C’est le même à quelques variantes près sur tous les téléfilms. Faîtes-en l’expérience.
Cerise sur le gâteau, le beau Capitaine a non seulement une mère orientale envahissante, (gâteux au miel, couscous, tajine, etc.) Mais aussi une grande gravure d’Abdelkader accroché au mur de son appartement. Ce personnage historique fût l’un des principaux combattants contre les Français lors de la colonisation des territoires d’Afrique du Nord au 19iém siècle et que les Français, par la suite, ont dénommés Algérie en 1839.
Donc tout va bien… Habituez-vous car c’est la norme syndicale. Le blanc est un abruti, un raciste, voire islamophobe, donc un marginal. Bref, l’image du passé dans les rêves de la socia-lie.
GB