Lettres envoyées aux maires des différentes communes concernées par Marlène Courtois, Responsable Résistance républicaine de Basse-Normandie.
Objet : Centre d’hébergement de ST CONTEST
à Monsieur le Maire de Caen, Hôtel de Ville, Esplanade J.M. Louvel, 14027 CAEN CEDEX
Monsieur le Maire,
En regardant le J.T. régional, j’assiste, une fois de plus, au spectacle consternant du mépris qui est réservé à l’inquiétude des riverains concernés par la création du centre d’hébergement d’urgence temporaire.
Je vous informe que je partage entièrement le souci des honnêtes citoyens qui participent à la richesse du pays, de se voir imposer une telle infrastructure,sans concertation, alors qu’ils sont soumis aux pires rigidités administratives pour la construction de leur maison et le paiement des impôts qui résulte de l’acquisition d’un bien.
Par ailleurs, je m’étonne, alors que nous croulons sous la dette publique, que nous sommes « lessivés » par les impôts et taxes de toutes sortes, que l’on trouve encore les moyens d’héberger aux frais des contribuables, des populations qui n’ont rien à faire sur notre territoire. Pourquoi n’avez-vous pas le même élan envers les personnes nées sur notre sol : personnes âgées dans des demeures insalubres, jeunesse dans le désarroi du besoin, travailleurs précaires qui deviennent SDF ?
Je vous prie de bien vouloir regarder en face la réalité, c’est-à-dire le ras-le-bol des français face à l’insécurité grandissante, les deux poids-deux mesures dont ils sont victimes, le laisser-faire des politiques qui les détournent des urnes où les orientent vers les « extrêmes » comme vous dites.
Veuillez agréer, Monsieur le Maire, l’expression de mes salutations distinguées.
Marlène Courtois, responsable Résistance républicaine de Haute-Normandie
A Monsieur le Maire d’Epron, Place Francis Bernard 14610 EPRON
Monsieur le Maire,
En regardant le J.T. régional, j’assiste, une fois de plus, au spectacle consternant du mépris qui est réservé à l’inquiétude des riverains concernés par la création du centre d’hébergement d’urgence temporaire.
Je vous informe que je partage entièrement le souci des honnêtes citoyens qui participent à la richesse du pays, de se voir imposer une telle infrastructure,sans concertation, alors qu’ils sont soumis aux pires rigidités administratives pour la construction de leur maison et le paiement des impôts qui résulte de l’acquisition d’un bien.
Par ailleurs, je m’étonne, alors que nous croulons sous la dette publique, que nous sommes « lessivés » par les impôts et taxes de toutes sortes, que l’on trouve encore les moyens d’héberger aux frais des contribuables, des populations qui n’ont rien à faire sur notre territoire, alors que nos personnes âgées, nos jeunes étudiants vivent dans la précarité, que le chômage en s’accroissant conduit des familles vers la perte de leurs repères.
Je vous félicite d’avoir été à l’écoute de vos concitoyens et d’avoir partagé leurs inquiétudes. J’espère qu’en suivant ce dossier durant 23 mois, vous contribuerez à faire modifier la loi qui nous est injustement imposée.
Veuillez agréer, Monsieur le Maire, l’expression de mes salutations distinguées.
Marlène Courtois, responsable Résistance républicaine de Haute-Normandie
A Madame le Maire de Saint Contest, Place de la Mairie, 14280 SAINT CONTEST
Madame le Maire,
En regardant le J.T. régional, j’assiste, une fois de plus, au spectacle consternant du mépris qui est réservé à l’inquiétude des riverains concernés par la création du centre d’hébergement d’urgence temporaire.
Je vous informe que je partage entièrement le souci des honnêtes citoyens qui participent à la richesse du pays, de se voir imposer une telle infrastructure,sans concertation, alors qu’ils sont soumis aux pires rigidités administratives pour la construction de leur maison et le paiement des impôts qui résulte de l’acquisition d’un bien.
Par ailleurs, je m’étonne, alors que nous croulons sous la dette publique, que nous sommes « lessivés » par les impôts et taxes de toutes sortes, que l’on trouve encore les moyens d’héberger aux frais des contribuables, des populations qui n’ont rien à faire sur notre territoire, alors que nos personnes âgées, nos jeunes étudiants vivent dans la précarité, que le chômage en s’accroissant conduit des familles vers la perte de leurs repères.
Je vous félicite d’avoir été à l’écoute de vos concitoyens et d’avoir partagé leurs inquiétudes. J’espère qu’en suivant ce dossier durant 23 mois, vous contribuerez à faire modifier la loi qui nous est injustement imposée.
Veuillez agréer, Madame le Maire, l’expression de mes salutations distinguées.
Marlène Courtois, responsable Résistance républicaine de Haute-Normandie
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