Et quel argumentaire le Ministère de la justice va-t-il développer pour contrer cette décision de fournir du halal dans les prisons, si grossièrement absurde, laquelle, sous couvert d’humanisme, n’est qu’un coup de plus porté à nos principes républicains ?
Comment supporter une telle indécence?
J’ai envie de crier : « Dégagez, dégagez tous!!! » Et pas sur le mode festif, croyez moi !!!
Je vous livre ici ce pavé du goudronneux Estrosi, ci-devant Maire de notre (bonne?) ville de Nice…P….Les Niçois quand donc allez vous vous remuer???
Demain 20 mosquées à Nice à cause d’Estrosi ? Enquête de Philippe Vardon, préface de Joachim Véliocas.
Vous pouvez commander l’enquête-choc « L’imam Estrosi » à NR – 9 rue Ribotti – 06 300 Nice, 15 euros port compris, chèques à l’ordre de « mandataire financier de Philippe Vardon »
Préface de Joachim Véliocas
« Quand Philippe Vardon m’a demandé une préface, j’ai tout de suite accepté. D’une part car je soutiens son combat pour que Nice ne devienne pas une autre Marseille, mais aussi car il met le doigt sur une des contradictions, non apparente, de la droite française.
Aidés en cela par les médias, la droite dure UMP tendance Sarkozy-Hortefeux-Estrosi a une image de fermeté face à l’islamisme, voire une image d’intransigeance face à l’islam tout court, sans compter les injustes procès en racisme auxquels elle a droit.
Or une approche journalistique méticuleuse nous conduit à penser au contraire que l’ancienne majorité a été très laxiste face aux islamistes lors de son long double mandat.
Repassons nous un rapide film chronologique des deux derniers quinquennats.
Nicolas Sarkozy reçut le 8 octobre 2002 le secrétaire général de la Ligue Islamique Mondiale, Abdallah Turki, qui vint Place Beauvau pour obtenir un feu vert sur le financement de mosquées en France. Peu importait si cette Ligue est le bras financier et prosélyte de l’Arabie Saoudite, où le wahhabisme d’état est la mouture la plus extrême de l’islam.
La même année, Nicolas Sarkozy reprend le dossier du Conseil Français du Culte Musulman, et, le 20 juin 2002, lors d’une séance consultative avec les représentants des différentes fédérations de mosquées, il tenta de rassurer « Je ne laisserai pas l’intégrisme s’asseoir à la table de la république ». Pourtant c’est exactement ce qu’il fit en y introduisant la filiale française des Frères Musulmans, l’UOIF, le mouvement Tabligh, ainsi que les islamistes turcs du Milli Gorus.
(more…)