Quand il y a de la gêne, il n’y a pas de plaisir.
Se drapant dans une posture morale, le maire de Bordeaux oublie sa condamnation en 2004 pour « abus de confiance, recel d’abus de biens sociaux, et prise illégale
d’intérêt ».
Il avait, selon le tribunal, « trompé la confiance du peuple souverain » !
Et Jupé, LE LECHE BABOUCHES DES FRERES MUSULMANS continue, de vouloir nous donner des cours alors que la liste des condamnés et condamnables s’allonge, ici c’est sa copine TABAROT, la N° 2 de l’UMP.
http://www.nicematin.com/cannes/affaire-roch-tabarot-une-plainte-deposee-a-grasse.1298568.html
Alain Juppé :
« L’UMP a la responsabilité de mener le combat contre le FN »
30 juin 2013

30/06/2013 – 19H10
BORDEAUX (NOVOpress via Infos Bordeaux) – Dans un post publié hier sur son blog, le maire de Bordeaux, Alain Juppé, considère que « la responsabilité du combat » contre le Front national revient désormais à son parti, notamment « pour éviter que le prochain Parlement européen ne soit dominé par des partis anti-européens ».
Pour l’ancien premier ministre, les récents succès électoraux du parti dirigé par Marine Le Pen sont un signal d’alarme : « l’arrivée du FN au pouvoir serait une catastrophe pour la France ».
Le « défi » est donc immense. Alain Juppé regrette ainsi la « dédiabolisation » d’un parti qu’il a toujours « combattu » et souligne qu’il « ne faut naturellement pas renoncer à rappeler l’incompatibilité de valeurs entre nous ». (NDLR c’est quoi le svaleurs de Juppé :
abus de confiance, recel d’abus de biens sociaux, et prise illégale d’intérêt et soumission à l’islam des frérots musulmans?
Jouant sur les peurs, « le programme du Front national précipiterait la France dans la spirale du déclin », le maire de Bordeaux semble ignorer que la France est déjà engagée depuis de nombreuses années dans cette « spirale », suite aux politiques désastreuses menées depuis plusieurs dizaines d’années par son propre parti, comme par la majorité socialiste.
Se drapant dans une posture morale, le maire de Bordeaux oublie sa condamnation en 2004 pour « abus de confiance, recel d’abus de biens sociaux, et prise illégale d’intérêt ». Il avait, selon le tribunal, « trompé la confiance du peuple souverain » !
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